Catégorie : Éditeurs & studios

  • Le numérique menace le modèle économique des éditeurs

    «On a déjà vu ce modèle dans la presse lorsqu’au début des années 2000, on avait d’un côté les rédactions papier et de l’autre les rédactions internet. Une dizaine d’année plus tard, la plupart des rédactions avaient fusionné» rappelle François-Xavier Hussherr, le fondateur de Gutenberg Technology, une entreprise française basée à Paris et New York.

    «Dans l’édition, nous avons d’un côté les éditeurs-auteurs chargés de produire la version papier du livre sous un fichier PDF, et, de l’autre, les départements de la production qui, à partir du fichier PDF, doivent se débrouiller pour produire des versions numériques (tablette, web, smartphone…), chacun à sa manière, avec plus ou moins de succès».

    Par ailleurs, les acteurs de l’édition évoluent aujourd’hui dans un environnement numérique particulièrement complexe, qui subit des changements rapides et permanents. Les iPad ont leurs spécificités que les Kindle ou les tablettes  Kobo (commercialisées par la FNAC) n’ont pas.

    Aux Etats-Unis, où 20% des livres sont vendus au format numérique, la situation est encore plus complexe puisqu’Amazon vient de sortir en plus de son Kindle historique son «Kindle Fire» qui fait concurrence à l’iPad; c’est encore sans compter avec le reader Nook de Barnes&Noble. Alors que certains acteurs comme Apple, s’orientent vers des produits compatibles avec la norme epub 3 tout en développant des fonctionnalités propres, Amazon fait le choix inverse en s’appuyant sur des formats propriétaires.

    En résumé, la production numérique se révèle un véritable casse-tête pour le monde de l’édition.

    Quand bien même le roman est numérisable à des coûts raisonnables, c’est loin d’être le cas de la littérature de jeunesse, des beaux livres, de la littérature technique ou bien de la littérature scolaire. Un rapport de l’inspection générale  mentionne qu’un livre scolaire numérique augmente les coûts de production du livre de … 50%.

    Cette augmentation des coûts de production qui va grever la rentabilité du secteur n’est cependant pas une fatalité.
    Il n’est pas dit que le livre connaîtra le destin de la musique numérique avec la disparition de grands acteurs et un marché mondial qui passe par l’intermédiaire d’Apple.

    «Cependant, il est certain que pour passer à l’ère du numérique, les maisons d’édition ne doivent pas avoir peur de refondre en profondeur leur mode d’organisation», ajoute François-Xavier Hussherr. «Cela doit passer par une refonte complète des chaînes de production et par une organisation décloisonnée».

    Désormais, les auteurs et les éditeurs doivent dès la conception du livre prendre en compte les contraintes imposées par le numérique aux départements en charge de la production.

    Les livres ne doivent plus être stockés dans un format unique et propriétaire comme le PDF (Format de Adobe) mais dans des bases de données qui seront toujours réutilisables dans 30 ans.Il faut aussi réfléchir au format sous lequel seront saisis les livres. Dans le cas des livres avec photo, il faut voir que le logiciel word n’est pas forcément le format le plus adapté.

    source : Gutenberg Technology

  • Et si jeu vidéo rimait avec plaisir d’apprendre ?

    Et si jeu vidéo rimait avec plaisir d’apprendre ?

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    «Un jeune de 21 ans a passé autant de temps devant des jeux vidéo qu’en classe, soit plus de 10.000 heures»

    Le divertissement à travers le jeu est un des meilleurs vecteur d’apprentissage, le plus naturel et le plus motivant, le comportement de toutes les espèces le prouve.
    Or, comme des études l’ont déjà montré, les jeux vidéo peuvent aussi développer l’intelligence.

    «Nous souhaitons à Familia Games innover en mettant l’expérience du jeu vidéo au centre d’une démarche d’acquisition des connaissances et du développement personnel», déclare Christophe Watkins, co-fondateur et Président de Familia Games, «nous voulons créer des jeux dans lesquels le fun est l’apprentissage»

    «Familia Games crée des jeux en réseau trans-générationnels pour parents, enfants et grands- parents. Nous souhaitons enrichir intellectuellement les joueurs, tout en resserrant le tissu social et ainsi permettre aux générations de coopérer entre elles», poursuit Serge Soudoplatoff, co-fondateur et Directeur de la Stratégie de Familia Games.

    «Le marché de Familia Games est vaste. Notre ambition est de devenir le leader des jeux sociaux « intelligents« », poursuit Christophe Watkins. «Pour y parvenir, nous avons réuni une formidable équipe de vétérans et experts du jeu vidéo, du Web et des sciences de l’éducation».

    Les jeux de Familia Games sont multilingues et multi-terminaux et distribués via Facebook, AppStore et Android Market (PC/Mac, tablettes, mobiles). Le premier jeu, ChronoTribe, est en cours de production avec un lancement Beta prévu pour janvier 2012. Il s’adressera au grand public et sera disponible dans un premier temps sur Facebook.

    Pour en savoir plus : http://www.familiagames.com

    A propos de Christophe Watkins, co-Fondateur et Président de Familia Games
    Franco-Américain, entrepreneur à succès depuis 1995 dans le domaine des jeux et des nouveaux médias, Christophe est le « Joueur » de Familia Games.
    Auparavant Directeur Général Adjoint chez TAATU SA (éditeur de divertissement social interactif) depuis janvier 2010, ainsi que Producteur exécutif et Vice-président chez Behaviour Interactive au Canada.
    En 2000, il fonda the Mforma group (aujourd’hui Hands-On Mobile). Durant les années 90, au sein du groupe Infogrames, il participe à la conception et au lancement d’Infonie, première plateforme d’accès Internet Française.

    A propos de Serge Soudoplatoff co-Fondateur de Familia Games :
    Diplômé de l’École polytechnique, enseignant, blogueur prolifique et écrivain largement publié, Serge est le « Professeur » de Familia Games.
    Il a récemment été conseiller stratégique et investisseur dans les sociétés Kzero et Vastpark.
    Il a également fondé les startups Sooyoos (développement Web) et Commonbox (service de gestion des événements via internet). Il a auparavant vendu sa société Highdeal et fut Directeur chez Cap Gemini Innovation et Directeur de l’innovation chez France Telecom.

  • Le test de positionnement en anglais UPMC : Une première de l’Université en France

    Pour élaborer ce test, le département des langues de l’UPMC s’est mis à la recherche d’items certifiés, condition impérative pour bâtir et calibrer un test de positionnement sur des bases incontestables.

    Cette démarche fut entreprise dès l’automne 2005 en collaboration avec le magazine Vocable – acteur depuis plus de 25 ans de la formation linguistique, et la Chambre de Commerce & d’Industrie de Londres (LCCI) qui produit des tests et diplômes sous le contrôle du gouvernement britannique depuis 1887.

    A travers son accord de partenariat, Vocable a su convaincre LCCI représenté à l’époque en France par Monsieur Ian Bell (également ancien directeur du Développement Europe des tests TOEIC, TOEFL et TFI et spécialiste du calibrage des tests d’anglais), de fournir les items nécessaires à cette entreprise.

    Doté dès 2004 de la plate-forme WBT Manager (second LMS le plus utilisé dans le monde, compatible toute source AICC), Vocable a mis en place l’infrastructure informatique indispensable à l’exploitation des données et à la mise en ligne du test de positionnement.

    Le concours de Monsieur Ian Bell conjugué à la pugnacité de Madame Faouzia Benderdouche (Maître de conférence UPMC) et de Madame Christine Demaison (Maître de conférence UPMC, Responsable des langues à l’Ecole des Mines de Paris, Responsable de la certification du pôle CLES Ile-de-France) ont permis d’aboutir en mai 2008 à la première version entièrement accessible en ligne du test de positionnement UPMC, accompagnée d’un accès libre des données réservé aux enseignants et aux chercheurs.

    Inédit, ce libre accès proposé par le département des langues sous l’égide de son Directeur Monsieur Fabrice Picon, est également assorti d’un dispositif de compilation des données qui permet d’appréhender concrètement les subtilités du CECRL par l’échantillonnage, tout en offrant une gestion administrative aisée des groupes d’étudiants par niveau.

    Instrument d’ajustement pédagogique d’un coût dérisoire au regard des pratiques actuelles, le test de positionnement UPMC représente désormais l’outil de positionnement que le corps professoral attendait.

  • Constructeurs, éditeurs : quels projets TICE pour l’école ?

    Compte-rendu de la conférence débat qui s’est tenu au salon Educatice mercredi 23 novembre.

    Les échanges principaux et idées clés relevées par la rédaction :
    La question se pose du désengagement de l’Etat de la formation des enseignants sur les TICE, le manque de moyens et la baisse des budgets pour les investissements. Quelle part et quelles actions peuvent engager les sociétés privées et fournisseurs de technologies des établissements ? Quelques éléments de réponse qui ont constitués les principaux échanges de cette table ronde :

    «Texas instruments organise des heures de formation sur l’usage des calculatrices, y a t-il une substitution des moyens fournis par les éditeurs et constructeurs face à la baisse d’engagement de l’Etat et des collectivités sur la formation», clame Alexandre Titin-Snaider, Directeur éducation Europe du Sud.

    «Pour que le numérique se généralise il faut que ça marche, or aujourd’hui il n’y a pas de suivi du parc informatique alors qu’il y a des moyens technologiques qui pourraient faciliter ce type de tâches, comme le Cloud où les outils de mutualisation. On voit encore aujourd’hui des ordinateurs qui restent dans les cartons. En tant qu’industriel nous savons répondre aux questions et besoins, mais il reste la problématique du financement par les collectivités et les familles. On note que le contenu est également indispensable aux cotés du matériel. Sans dimension contenu, il n’y aura pas de développement», précise Angelica Reyes de Microsoft Education France.

    Exemple donné par Angélica Reyes : Un cheque numérique à l’instar du cheque déjeuner pour monter des projets d’équipements global pour diminuer la fracture numérique.

    Jacqueline Cazeaux de SMART Technologies : «Pour un élu qui se pose toutes les questions relatives au développement des usages et des équipements, les éditeurs et constructeurs créent des pools pour apporter une réponse facilitant la prise de décision et la simplification des solutions pour que la solution fonctionne et soit globale : SMART avec des partenaires éditeurs d’ENT et de Ressources (Maxicours et ITS LEARNING) sont dans ce type de démarche».

    Une des solutions est également la mise en place de communauté pour partager les contenus et les bonnes pratiques : exemple avec SMART EXCHANGE, où 75% de nouvelles ressources proviennent de nouveaux membres. Cette plateforme respecte le schéma du ministère.

    «Le champs de la formation est en jachère en France, l’Université intègre les IUFM et la formation continue dans les TICE manque de budget», ajoute Jacqueline Cazeaux.

    Bertrand MELLAH – Acer a également mis en place des plateformes d’utilisateurs pour accompagner les usages, mais ce sont des formations orientées matériel plus que contenu pédagogique.

    Laurent Charon de SFR «l’accompagnement est fondamental dans le succès du déploiement du numérique. On constate également que l’échange entre enseignants est primordial pour la diffusion».

    Alexandre Titin-Snaider – Texas Instruments : «il faut dissocier la formation outil de la formation disciplinaire. Nous avons une équipe de délégués pédagogiques : leur présence impacte le développement des usages clairement. Cela impacte également la façon de développer nos solutions et nos technologies»

    SMART : «La nécessité de penser collaboratif, l’arrivée de nouveaux outils, change le périmètre des intentions entre les institutions et les collèges».

    «La location de matériel n’est pas adaptée à la façon des collectivités de lancer leurs appels d’offre : dommage, car il y aurait moins de poussière sur les ordinateurs…Chez SFR cette offre est fournie, on propose un service d’usage numérique et non du matériel à acheter» précise Laurent Charon. Angélica Reyes de Microsoft est d’accord avec cette tendance notamment pour les mises à jours des systèmes et des mises à jours logiciels qui est proposé par Microsoft depuis de nombreuses années.

    Animateur de la conférence sur Educatice : Cyril DUCHAMP de l’AEF
    Intervenants :
    Hélène MARCHI, directrice éducation Intel France,
    Angélica REYES-MATIZ, directrice marketing éducation Microsoft France,
    Jacqueline CAZEAUX, directrice des partenariats France et Afrique francophone Smart France,
    Alexandre TITIN-SNAIDER, Directeur éducation Europe du Sud Texas Instrument
    Loris VIAROUGE, directeur éducation-recherche Dell France,
    Bertrand MELLAH, Acer EMEA educational product marketing manager,

  • Pas assez de nouvelles technologies dans le système éducatif français

    L’objectif de cet indicateur est, d’une part, d’appréhender les perceptions des habitants de cinq grands pays européens (Allemagne, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie) sur l’innovation et, d’autre part, de mesurer de façon objective les indicateurs d’investissement, d’activité et de moral du secteur des éditeurs de logiciels.

    L’Allemagne, championne d’Europe pour son système éducatif

    Cette troisième édition, axée sur la place des nouvelles technologies dans le système éducatif, est marquée par la prédominance de l’Allemagne dans les différents résultats.

    Les Allemands sont en effet les grands gagnants de ce tour d’opinion puisque 45% des habitants des autres pays d’Europe considèrent qu’ils ont le système éducatif le plus performant. Ils sont suivis par l’Angleterre qui affiche un score de 28%, tandis que la France, l’Italie et l’Espagne sont à la traine avec respectivement 13%, 7% et 6% des voix.

    A noter que les Français sont seulement 26% à se déclarer satisfaits de leur propre système éducatif et 16% à considérer que leur pays favorise les liens entre l’école et le monde de l’entreprise, alors que leurs homologues européens s’estiment mieux lotis.

    A la question portant sur l’intégration des nouvelles technologies à l’école, les habitants des autres pays d’Europe ont, à 74%, une vision positive de la place qui leur est accordée dans les établissements français, et classent l’Hexagone en troisième position juste derrière l’Allemagne, plébiscitée à 83%, et la Grande-Bretagne (77%).

    Pourtant, seuls 50% des Français jugent que leur propre système éducatif intègre suffisamment les nouvelles technologies, se situant là encore loin derrière leurs voisins d’outre-manche (74%) et d’outre-rhin (70%).

    Comme le souligne Bruno Vanryb, Président du Collège Editeurs de Logiciels du Syntec Numérique,
    «s’agissant du premier budget de l’Etat, c’est un constat d’échec. Pour nous qui travaillons dans le monde des technologies, cette vision négative ne fait que conforter le sentiment d’une déconnexion très grande entre notre système éducatif et l’économie réelle. Pourtant, cette prise de conscience des Français peut être salutaire. Elle ouvre la voie à la possibilité de réformes structurelles qui pourraient être soutenues par les Français et ne pas générer les habituels blocages qui empêchent toute évolution.

    Espérons que nos gouvernants sauront se saisir de cette opportunité dans les années qui viennent pour refaire de notre système éducatif celui que le monde entier nous envie».

    Légère baisse de moral chez les éditeurs

    Très confiants le trimestre dernier en la situation économique de leur entreprise et de leur secteur, les éditeurs revoient leur optimisme à la baisse (58% d’indice de confiance vs 83% en juillet) et sont 40% à présenter à date un résultat en dessous de leur objectif.

    Pour autant, ils ne s’avouent pas vaincus : ils sont 74% à prévoir d’investir sur de nouveaux projets au cours des trois prochains mois (soit 6 points de plus que lors des deux premiers trimestres 2011) et 58% à annoncer une augmentation de leurs effectifs pour cette année.

    Bruno Vanryb explique : «Il aurait été surprenant que nos éditeurs ne soient pas impactés par les mauvaises nouvelles qui n’ont cessé de tomber ces derniers mois : crise de la dette, crise de l’Europe… Cet environnement difficile se retrouve naturellement dans notre baromètre trimestriel avec une chute de confiance de plus de 25% par rapport à notre sondage de juillet. Mais c’est encore un secteur très dynamique et plein d’énergie que notre baromètre met en avant, et pour l’instant, le solde reste largement positif».

    A propos de l’étude :
    Cette étude a été menée auprès d’un échantillon représentatif de 3 996 européens (allemands, espagnols, français, anglais et italiens), âgés de 15 à 65 ans, et de 101 éditeurs de logiciels français.

    A propos de Syntec Numérique :
    Syntec Numérique représente 1 100 groupes et sociétés membres, dont 50% d’éditeurs de logiciels, soit 80% du chiffre d’affaires et des effectifs de la profession. Présidé depuis juin 2010 par Guy Mamou-Mani, Syntec Numérique contribue au développement des Technologies de l’Information et de la Communication et de leurs usages, assure la promotion des entreprises du secteur des Logiciels & Services et la défense des intérêts collectifs professionnels. Syntec Numérique, observateur et analyste privilégié du secteur, informe l’ensemble de l’écosystème des TIC des chiffres et tendances de la profession et représente le secteur auprès de différents organismes et des pouvoirs publics.

  • Le soutien scolaire par abonnement sur Lingueo.fr

    Il n’est pas évident de devenir bilingue dans une classe de 30 personnes !

    Les abonnements annuels de soutien scolaire Lingueo permettent de pallier au manque de pratique des langues à l’oral. Le professeur particulier mettra rapidement à l’aise l’enfant, même le plus timide, et l’encouragera à pratiquer la langue pour que son usage devienne naturel.

    Cet abonnement permet d’offrir au collégien tout le soutien nécessaire pour progresser et mieux préparer son entrée au lycée. Il vise à doter le collégien d’un outil de communication à la fois à l’oral et à l’écrit.

    Cette formation a pour objectif de permettre à l’élève decomprendre une intervention brève si elle est claire et accessible, d’interagir de façon simple avec un débit adapté, decomprendre des textes courts et facile à comprendre et d’écrire des énoncés simples et brefs.

    Afin de motiver l’étudiant et le changer des habitudes trop scolaires qui peuvent devenir lassantes, le professeur l’implique dans des situations de communication motivantes grâce à des exercices oraux et écrit de compréhension, d’expression et de grammaire à travers des enregistrements audio et vidéo, des nouvelles, romans, textes économiques, musique ou images…

    Cette formule a pour but de rendre l’élève capable de dialoguer avec différents intervenants, de comprendre  des messages oraux (débats, exposés, radio, films…), de présenter, reformuler, expliquer et défendre son opinion de manière construite à l’écrit ou à l’oral.

    Les points forts Lingueo.fr et de la visioconférence dans le soutien scolaire :

    • Des professeurs natifs et expérimentés sélectionnés par Lingueo
      • Le professeur particulier propose à chaque élève, à l’issue du premier cours destiné au bilan des compétences, une pédagogie sur-mesure adaptée à ses propres besoins et lacunes. Les cours se font en parfaite cohérence avec le programme scolaire.
        • Opter pour des cours de soutien scolaire en visioconférence sur Lingueo.fr permet aux parents soucieux de la réussite scolaire de leur enfant de bénéficier de cours particuliers de langues avec un professeur particulier natif et expérimenté, parlant également français pour mettre à l’aise les collégiens débutants.
          • Une progression suivie en direct par les parents et un dialogue de visu avec l’enseignant.

    «Le suivi en temps réel et le dialogue avec le professeur rassurent les parents et témoignent d’un réel professionnalisme et d’une réelle transparence dans l’évolution de la formation de l’étudiant», poursuit Guillaume le Dieu de Ville.

    Pas de contrainte de temps ni de lieu

    Prendre des cours particuliers de soutien scolaire en visioconférence permet de passer outre les temps et les coûts de déplacement pour se rendre chez le professeur ou dans un centre de formation.

    L’élève ne perd pas de temps pendant et après sa journée au collège ou au lycée et ses diverses activités extrascolaires… et peut prendre à tout moment son cours : pause déjeuner ou entre deux cours, à la maison ou sur son lieu de vacances… et cela toute la semaine, dimanche inclus, en journée comme en soirée.

    Un simple ordinateur, une connexion Internet et une webcam suffissent à l’élève pour travailler avec son professeur particulier. Lingueo s’adapte à l’emploi du temps de l’enfant pour rendre cette formation encore plus motivante.

    A propos de Lingueo
    Créée en 2008 par Guillaume Le Dieu de Ville, Arnaud Portanelli, et Johann Querne, Lingueo est un organisme de formation français qui propose sur  Lingueo.fr des cours particuliers en visioconférence de plus de 10 langues avec des professeurs natifs du monde entier.
    Comptant plus de 10 000 utilisateurs, Lingueo à reçu le Label européen des langues, prix récompensant les projets les plus innovants favorisant l’apprentissage des langues étrangères décerné par la Commission Européenne.

  • MotionComposer, l’outil de création de contenu Web interactif

    MotionComposer, l’outil de création de contenu Web interactif

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    Publier sur le web, les tablettes et les smartphones exige souvent un contenu interactif réalisé à la fois en Flash et HTML5 dans la mesure où Flash n’est pas supporté sur toutes les plateformes.

    MotionComposer fonctionne par WebKit et permet de créer des animations compatibles avec les derniers navigateurs, les tablettes, les smartphones et les appareils iOS tels que l’iPhone et l’iPad.

    Les utilisateurs de MotionComposer pourront facilement réaliser des contenus web animés grâce à un procédé simple de création étapes par étapes.

    MotionComposer est facile à prendre en main et aide les utilisateurs à créer des diaporamas et des animations inédites. Ce nouveau logiciel résout le problème de la compatibilité avec tous les navigateurs, puisqu’il génère des animations sous forme hybride : Flash + HTML5.

    Sur les navigateurs iOS qui ne supportent pas Flash, une version optimisée pour les plateformes HTML5 est lancée à la place. Avec MotionComposer, inutile de connaître Flash ou encore l’HTML5, le logiciel est conçu pour une utilisation simple et rapide, pour un résultat professionnel.

    « MotionComposer offre une nouvelle façon de créer des animations pour les designers, les web designers, les publicitaires, et bien d’autres, souligne Matthieu Kopp, Directeur R&D d’Aquafadas. Il permet aux utilisateurs de ne plus se tracasser avec la complexité de Flash et de l’HTML5 qui nécessitent généralement des connaissances informatiques importantes. L’interface utilisateur est aussi là pour aider à la création d’animations diverses sans effort« .

    Plus d’infos : www.aquafadas.com

  • Avec e-learning maker3, la formation à distance devient plus facile


    Avec son moteur de serious game, le logiciel repousse les limites de la pédagogie ! Tiré du principe ludique et interactif des jeux vidéo, le serious game (ou jeu sérieux) n’en garde pas moins un objectif inéluctable : former. De quoi séduire des apprenants réceptifs à ce type de formats originaux et attrayants. Véritable stratégie pédagogique, elle s’avère gagnante en termes d’adhésion des apprenants mais pose souvent des difficultés dans sa mise en œuvre…

    Avec elearning maker 3, e-doceo propose des «gabarit» c’est-à-dire des modèles de scénarii pédagogiques graphiques. Le concepteur injecte alors contenu brut de sa formation dans un cadre pré-formaté, le «kit contenu». Les quatre gabarits disponibles correspondent aux niveaux de la classification e-learning e2c (grille fondée par e-doceo pour hiérarchiser les degrés de scénarisation et de médiatisation), allant du questionnaire jusqu’au serious game.

    Un moteur de serious gaming est d’ailleurs embarqué dans l’outil auteur, avec un mini langage de programmation simplifié. De nombreuses autres avancées technologiques présentent une logique de scenarii conditionnels pour laisser libre place à l’imagination du concepteur (récupération d’indices dans une partie de jeu, déplacement d’objets, etc.).

    elearning maker 3 : nouveau look, nouveau potentiel
    La réalisation de parcours e-learning complets se voit facilitée et optimisée grâce à la performance grandissante du logiciel. L’ergonomie d’elearning maker a été affinée pour une prise en main plus rapide. L’accès au portail web e-doceo media store, dernier né chez e-doceo, permet l’intégration de médias personnalisés au sein des modules de formation. Ces mêmes modules s’exportent à présent vers les smartphones.

    Dévoilé en avant-première lors d’un événement privé réservé aux clients e-doceo et lancé officiellement le 5 avril dernier pendant le séminaire annuel du Club utilisateurs, elearning maker 3 est d’ores et déjà disponible et approuvé par de nombreux utilisateurs !

    «8 000 licences d’elearning maker sont aujourd’hui déployées dans le monde. Avec cette dernière version, e-doceo renforce son positionnement de leader de l’innovation et de la performance des outils auteurs» explique Jérôme Bruet, Directeur Général d’e-doceo. «Les nouvelles fonctionnalités du logiciel représentent une avancée considérable de cet outil. Le travail de développement réalisé par nos équipes anticipe de façon optimale les besoins des utilisateurs».

    De l’innovation sur des bases solides
    La version 3 d’elearning maker conserve bien entendu les fonctionnalités clés qui ont fait sa force et son succès. A retrouver au sein du logiciel auteur :
    – Plus de 45 activités pédagogiques
    – 3 modes de conception : scénariste, simple et expert
    – Un système de production multilingue
    – De nombreux exports
    – Une prise en main rapide

    Comme tous les outils d’e-doceo, elearning maker 3 est conforme aux normes SCORM 1.2 et 2004 (Sharable Content Object Reference Model) et AICC 3.5, qui assurent le respect de standards prédéfinis pour les contenus de formation. Une interopérabilité parfaite est donc possible entre les outils du monde de la formation, notamment avec l’ensemble des plateformes LMS du marché. La nouvelle version d’elearning maker vient parfaire la mise à jour complète de la gamme de solutions e-doceo, afin d’offrir une cohérence ergonomique adaptée aux formateurs, aux experts métiers et aux studios de production multimédias, tous niveaux de compétences confondus.

    A propos de-doceo :
    Editeur français de logiciels dédiés à la formation à distance, e-doceo agit de façon complète dans la création des projets e-learning de ses clients, opérant aussi bien au niveau technologique, que pédagogique et organisationnel. Créé en 2002, e-doceo est présent en France, Belgique, Pays-Bas, Suisse, Espagne, Canada, Mexique, Colombie et Océan Indien. La société s’est développée autour de trois pôles d’activités : l’édition de logiciels destinés au e-learning, la réalisation de programmes de formation à distance et l’accompagnement de projets e-learning.
    La qualité des services, la puissance des logiciels et l’expertise des équipes e-doceo satisfont  ses clients au quotidien : Adecco, AFPA, BNP Assurances, Cnam, Häagen-Dazs, Hachette Education, Interpol, Mondial Assistance, Monoprix, Natixis, Nathan, NorthgateArinso, Orange, Poweo, Randstad, Rexel, Roche, Sandoz, Total, UGC, Veolia Environnement, etc.

  • ITOP éducation rachète Educ-Horus

    ITOP éducation rachète Educ-Horus

    ITOP

    En complément de l’ensemble des fonctions collaboratives de l’ENT (cahier de textes, messagerie, forums, disques partagés, annuaire…), la brique Educ-Horus vient apporter une gestion complète de la vie scolaire, entièrement Web : absences (gestion des absences, relevés, envoi de courriers / mails / sms…), notes (notes, bulletins, module conseil de classe, appréciations…), discipline (sanctions, punitions).

    Educ-Horus intègre encore un module performant de gestion des stages et un autre pour le suivi du socle commun. Il s’agit d’un logiciel web éprouvé, avec plus de huit ans d’existence et plus de 400 000 utilisateurs en ligne. C’est également le seul logiciel du marché à s’adresser spécifiquement aux établissements agricoles (interfaces Libellule et gestion des modules formatifs et certificatifs).

    En proposant une intégration forte des deux produits, ITOP éducation vient couvrir de manière native et performante le spectre entier des besoins des établissements scolaires, tant sur le volet métier que sur le volet d’échange et de communication. Lorsqu’un enseignant saisit ses notes ou son cahier de texte, il peut également adresser un message à ses collègues, déposer des documents à destination des élèves sur un espace dédié, participer à un forum, poster un article dans son blog. Ces opérations sont effectuées au sein d’un logiciel unique et au travers de son navigateur, quel qu’il soit, depuis n’importe quel poste et sans plus aucun besoin de gérer des serveurs au sein de l’établissement.

    ITOP éducation a également intégré les équipes du produit Educ-Horus pour avancer rapidement vers une intégration très poussée des deux produits, qui pourra être proposée dès la rentrée prochaine sur l’ensemble des ENT ITOP Education.

    À propos d’ITOP éducation :
    Spécialisé dans la maîtrise des nouvelles technologies au service de solutions innovantes pour l’éducation, ITOP éducation conçoit, développe et édite des ENT (Environnement Numérique de Travail) pour les écoles, collèges et lycées. Leader sur le marché des ENT avec plus de 2 millions d’utilisateurs actifs, ITOP éducation est également éditeur de contenu pédagogique multimédia et propose des outils et ressources pédagogiques numériques, depuis le rachat des catalogues Jériko et Carré Multimédia. ITOP éducation consacre depuis sa création plus de 20 % de son chiffre d’affaires à la recherche et au développement.