Auteur/autrice : Eric Fourcaud

  • Formation libre bouscule la formation à distance en informatique

    «La formation à distance a désormais acquis ses lettres de noblesses. Elle entre dans la culture des salariés comme une réponse au besoin permanent de se former sans perturber le rythme de travail. Elle répond aussi particulièrement bien aux besoins de personnes expatriées et aux milieux ruraux. Nous avons eu beaucoup de remarques de ce type via l’association École Ouverte Francophone que nous animons.» déclare A. Mascret président de l’Éof.

    La formation à distance présente aussi des avantages pour les salariés :

    «Certes il existe un planning pour le cours, mais la liberté dont on dispose dans l’organisation devient rapidement un avantage. Ceux dans lesquels on est plus à l’aise peuvent être traités plus rapidement laissant ainsi plus de temps pour les autres…?La formation à distance demande une plus grande maturité, mais elle permet d’avoir une aide plus personnalisée…» déclarent P.  Lapage et F. Tocquaine dans une interview sur la formation à distance (Linux Pratique Août 2009)

    La formation à distance (le fameux « e-learning ») se résume souvent à des documents mis à disposition sur une plate-forme spécifique et l’auditeur se trouve livré à lui-même. Dernièrement, on a même vu paraître des vidéos qui permettent d’animer un peu plus cet apprentissage, mais la formation à distance ne se résume pas à cela ! Avec formation-libre, nous apportons une véritable scénarisation permettant à l’apprenant d’évoluer au fur et à mesure de sa formation tout en étant accompagné par les formateurs, à la fois en groupe et individuellement. Sur une même formation, chaque auditeur apprend ainsi, à son rythme, selon ses connaissances et en fonction de ses contraintes professionnelles.

    L’offre de formation est essentiellement tournée vers les logiciels libres et les standards ouverts.

    «Toutes les études semblent confirmer que, dans le domaine informatique, le secteur des logiciels libres, représente, au niveau
    mondial, celui qui aura le plus fort taux de croissance dans les 4 à 5 ans qui viennent et l’enquête que nous avons menée sur le territoire Francophone en 2009 nous a confirmé cela…
    » complète A. Mascret.

    C’est donc tout naturellement que les créateurs de la société Keepin, également spécialistes dans le domaine de la formation à distance et dans celui les logiciels libres ont décidé de proposer une solution adaptée.

    Formation libre propose d’ores et déjà six formations dans les domaines du système et des réseaux basés sur les Logiciels Libres et prévoit d’ouvrir six nouvelles formations d’ici la fin de l’année 2010.

    Idéalement conçues pour s’intégrer au rythme de travail de l’entreprise ou du salarié, ces formations se déroulent à distance, sur trois semaines, représentant un équivalent temps plein de cinq jours.

    Dans leurs conceptions, les cursus permettent l’adaptation du rythme de l’apprentissage aux contraintes du salarié et de son activité professionnelle mais peuvent être également suivies en dehors du temps de travail dans le cadre du DIF (Droit Individuel à la Formation) par exemple. La formule ‘à distance’ devient aussi plus économique en coûts
    et en fatigue. Elle évite les absences, les déplacements, les frais de restauration ou d’hébergement.

    Tout au long de chaque formation, des formateurs, à la fois professionnels et spécialistes du domaine abordé, accompagnent, aident et conseillent les auditeurs sur toutes les difficultés qu’ils peuvent rencontrer.

    Pour toute information : contact@formation-libre.fr

    Site : http://formation-libre.fr

  • FUTURE GAME ON – Conférence Européenne sur la recherche et développement du jeu vidéo : Appel à Communications

    Future Game On proposera un ensemble de conférences de haut niveau à destination des professionnels du privé et universitaires du secteur. En présentant leurs avancées logicielles et matérielles ainsi que leurs nouvelles pratiques, les acteurs de l’industrie auront une occasion unique de faire le point sur les dernières innovations liées au jeu vidéo. Les thèmes abordés seront aussi variés que les technologies de rendu, la géolocalisation, l’Intelligence Artificielle, l’interactivité, le game design, ou encore les outils sociaux, de production ou de management. Les domaines d’application sont aussi bien les terminaux mobiles que fixes, le Web ou les réseaux sociaux, les applications orientées sur l’usage ou la plateforme.

    Les contenus de conférence de Future Game On feront l’objet d’une publication internationale en partenariat avec ACM SIGGRAPH. Ce journal sera une véritable vitrine du savoir-faire européen en matière de contenus interactifs.

    Future Game On est donc un rendez-vous professionnel majeur qui permettra pour la première fois un échange technique de haut niveau entre professionnels et académiques européens.

    APPEL A COMMUNICATIONS 2010

    Future Game On invite les professionnels du privé et universitaires à soumettre leurs propositions de travaux et conférences dès aujourd’hui et jusqu’au 22 juin sur le site officiel de l’événement : www.futuregameon.com . Les modèles et plannings de soumission sont disponibles en ligne.
    Pour toute question ou détail sur les conditions de participation, n’hésitez pas à contacter :
    Richard Duport
    Tel: +33 (0) 1.40.41.11.60
    Email: richard.duport@capdigital.com

    Future Game On 2010 est organisé par les pôles de compétitivité Cap Digital et Imaginove, en collaboration avec Capital Games (association du jeu vidéo de Paris et l’Île-de-France), en coopération avec ACM SIGGRAPH. Il aura lieu en parallèle du plus grand événement français : le Festival du Jeu Vidéo.

    Retrouvez l’actualité de Future Game On sur www.futuregameon.com

  • La Cour des comptes juge peu satisfaisant « la politique de l’éducation nationale face à l’objectif de la réussite de tous les éléves » et recommande

    La Cour des comptes juge peu satisfaisant « la politique de l’éducation nationale face à l’objectif de la réussite de tous les éléves » et recommande

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    Ce rapport est le résultat d’une enquête menée dans les établissements scolaires de six académies, ainsi que dans trois pays étrangers. Elle a conduit au constat d’une forte inégalité des chances entre les élèves et de l’incapacité de l’éducation nationale à atteindre les objectifs que lui assigne la loi (100% d’élèves diplômés ou qualifiés à la sortie de l’enseignement secondaire, 80% au niveau du baccalauréat et 50% de diplômés de l’enseignement supérieur).

    Des résultats peu satisfaisants
    Les enquêtes nationales indiquent qu’à la fin de la scolarité obligatoire la proportion d’élèves éprouvant des difficultés sérieuses en lecture augmente depuis 2000 et atteint 21%. Les comparaisons internationales montrent que l’écart entre les meilleurs élèves et les élèves en difficulté ne cesse de progresser. Le recul des résultats globaux de la France, qui se situe dans la moyenne de l’OCDE, s’explique essentiellement par l’aggravation des résultats des élèves en difficulté.

    La France est un des pays où les destins scolaires sont le plus fortement corrélés aux origines sociales : 78,4% des élèves provenant de catégories sociales favorisées obtiennent un baccalauréat général, contre seulement 18% des élèves d’origine sociale défavorisée.

    Le système scolaire français n’atteint pas l’objectif de 50% de diplômés de l’enseignement supérieur : ce taux n’est que de 41 %, dont seulement 27% au niveau licence et plus, contre par exemple 48% au Canada ou 40% aux Etats-Unis.

    Une allocation des moyens trop uniforme et des coûts trop souvent mal connus
    L’enseignement scolaire public coûte 53 milliards par an pour 10 millions d’élèves. Avec environ 3,9% du PIB, l’efficience du système scolaire français se situe dans la moyenne de l’OCDE.
    Le ministère ne connaît pas le coût des politiques éducatives ou des établissements d’enseignement. Il ne répartit pas systématiquement les moyens en fonction des objectifs qu’il affiche : ainsi, il veut baisser les redoublements, mais il continue à se fonder sur le nombre d’élèves, quel que soit leur retard scolaire éventuel, pour calculer les moyens des établissements. De même, l’école primaire est proportionnellement moins financée que dans les pays comparables, alors que l’échec scolaire commence à se constituer à ce niveau. Les moyens restent en fait majoritairement répartis comme si l’offre scolaire devait être uniforme sur tout le territoire.

    Enfin, l’offre d’options reste coûteuse dans le second degré : compte tenu des contraintes budgétaires, elle diminue les moyens disponibles pour aider les élèves en difficulté et elle augmente les effets de concurrence entre établissements.

    Une organisation du service des enseignants tenant insuffisamment compte des besoins des élèves
    Dans le second degré, 48% des enseignants débutent leur carrière sur des fonctions instables de remplacement et 18% sur des postes d’éducation prioritaire figurant parmi les plus difficiles.
    En outre, la définition du service des professeurs du second degré n’a pas évolué depuis soixante ans. En dépit de la forte implication individuelle des enseignants, elle est aujourd’hui inadaptée aux missions que la loi leur fixe, ce qui conduit à un développement désordonné, et parfois irrégulier, de mesures visant à reconnaître et rémunérer les activités de soutien et de suivi des élèves, d’accompagnement personnalisé ou de concertation des équipes pédagogiques.

    Une organisation des parcours qui prend insuffisamment en compte les besoins des élèves
    La France est le pays qui a à la fois l’année scolaire la plus courte et une des journées les plus longues. Le rythme journalier est encore alourdi pour les élèves en difficulté, alors qu’ils sont précisément les plus touchés dans leurs apprentissages par des journées surchargées.
    Les élèves sont peu suivis dans la durée : leur parcours scolaire apparaît, non comme un processus construit, mais comme l’addition d’appréciations indépendantes les unes des autres et dépourvues d’une visée d’ensemble cohérente.

    Dans le second degré, la moitié des classes sont officieusement des « classes de niveau », alors même que le ministère les interdit, car les établissements qui ont des classes hétérogènes obtiennent de meilleurs résultats.

    L’orientation se fait souvent par l’échec. Elle reflète une forte inégalité sociale : un enfant d’ouvrier non qualifié a cinq fois moins de probabilités d’obtenir un baccalauréat général qu’un enfant de cadre, mais en revanche neuf fois plus de n’avoir aucun diplôme. Elle dépend beaucoup de l’offre scolaire existante : les différences de parcours observées entre les académies sont à la fois très nettes et très stables.

    L’importance du recours au redoublement caractérise la France : à 14 ans, près de 250.000 élèves ont déjà redoublé au moins une fois, bien que le ministère reconnaisse lui-même que le redoublement, dont le coût est évalué à 2 Mds€, est inefficace. Il est par ailleurs révélateur d’une inégalité sociale marquée : les enfants de personnes sans activité sont beaucoup plus souvent en retard à l’école primaire (34,1%) que les enfants de cadres (4,4%).

    Les recommandations de la Cour
    Le système scolaire français est resté fondamentalement inchangé depuis des décennies, alors même que ses objectifs ont évolué : ainsi, la définition de l’activité des enseignants a été fixée en 1950, quand le taux de bacheliers était de 5%, et le système reste très majoritairement géré par le haut, alors que la difficulté scolaire ne peut être connue et traitée qu’à la base.
    Les recommandations de la Cour visent à promouvoir une nouvelle organisation du système scolaire, en tirant toutes les conséquences de la décision fondamentale qu’a prise la Nation en se fixant, dans la loi pour l’avenir de l’école de 2005, l’objectif d’atteindre la réussite de tous les élèves.

    Le système scolaire doit passer d’une logique de gestion par une offre scolaire uniforme – qui est inefficace, qui l’épuise financièrement et qui est contraire à l’égalité des chances -, à une logique de gestion par la demande scolaire, c’est-à-dire fondée de façon prioritaire sur la prise en compte des besoins très différents des élèves.

    La Cour recommande, en premier lieu, d’évaluer les besoins d’accompagnement personnalisé des élèves, qu’ils soient pris en charge dans le cadre de l’enseignement habituel ou par des aides supplémentaires. Ces besoins ne sont actuellement pas mesurés par le système scolaire : ce critère doit désormais être pris en compte pour fixer les moyens affectés aux établissements ; il doit également permettre de renforcer le niveau où commence à se constituer la difficulté scolaire, c’est-à-dire l’école primaire.

    En outre, le système scolaire doit arbitrer entre les moyens disponibles, non seulement en ne finançant plus des pratiques dont l’inefficacité est avérée – telles que, par exemple, le redoublement -, mais également en procédant à une forte différenciation selon les établissements, tout en respectant la garantie fondamentale, donnée à tous les élèves, qu’ils atteindront le socle commun de connaissances et de compétences défini par la loi.

    Par ailleurs, le système scolaire ne pourra progresser qu’avec les enseignants et les responsables d’établissement, d’autant plus qu’ils en subissent aujourd’hui les contraintes. C’est aux acteurs directs du système scolaire, et non à des échelons administratifs plus ou moins éloignés, que la responsabilité doit être donnée de procéder aux arbitrages nécessaires, en fonction des besoins des élèves, entre les heures de cours, les dispositifs de soutien, les heures consacrées au suivi ou à la méthodologie, etc. : la Cour recommande que la communauté éducative – c’est-à-dire les responsables d’établissement et les enseignants – soit désormais chargée de la répartition de l’ensemble des moyens d’enseignement affectés à l’établissement.

    La contrepartie nécessaire de l’autonomie est l’évaluation : la Cour recommande d’engager une évaluation systématique du coût et de l’efficacité des dispositifs éducatifs et des établissements, que le système scolaire ignore très largement aujourd’hui, ce qui nuit directement à son efficacité.

    Enfin, pour les établissements les plus confrontés à la difficulté et à l’échec scolaire, il est nécessaire de garantir des moyens exceptionnellement renforcés et inscrits dans des contrats à long terme, ainsi que la stabilité des équipes éducatives, notamment en systématisant l’affectation sur ces postes difficiles d’enseignants particulièrement formés et expérimentés.

    Consulter le rapport intégral sur www.cccomptes.fr

  • projets-ent.com un espace de référence pour accompagner la généralisation des ENT en France !

    Après une phase d’expérimentation riche et diverse, les projets ENT entrent désormais dans une phase de généralisation. Il ne s’agit plus de faire la démonstration de la pertinence des outils dans quelques établissements, mais bel et bien de déployer un outil innovant sur l’ensemble d’un territoire.

    Soucieuse d’accompagner cette phase de généralisation, la CDC a souhaité faire évoluer l’outil d’information et de communication qu’elle proposait jusqu’à présent aux porteurs de projet. « La Lettre ENT » évolue et devient donc un site Web :www.projets-ent.com . En phase de rodage depuis l’automne dernier, Projets-ent.com se veut un espace fédérateur. Animé par Marc Sagot, blogueur du WebPédagogique, Projets-ent.com propose une veille de l’actualité des projets, des dossiers d’analyse thématique (le cahier de texte, les tutoriels) mais aussi des entretiens avec les porteurs de projets et les utilisateurs des différentes solutions déployées.

    www.projets-ent.com n’est pas un espace figé, bien au contraire. L’équipe ENT de la CDC et son partenaire éditorial sont à votre écoute pour faire évoluer cet outil, le rendre encore plus utile à ceux et celles pour qui la généralisation des ENT est à la fois un projet et une noble ambition. Nous vous invitons donc à le découvrir, et y participer, par exemple en nous suggérant de nouveaux sujets ou en nous alertant sur votre actualité !

    Rendez-vous sur www.projets-ent.com !

  • Teacheo intègre la communauté OSEO Excellence : Une reconnaissance institutionnelle du potentiel de croissance de l’entreprise

    OSEO Excellence : 2 000 futurs champions de la croissance française

    OSEO a pour mission de favoriser l’innovation et la croissance des entreprises afin de restaurer la compétitivité hexagonale et faire émerger en France un plus grand nombre d’entreprises de taille intermédiaire.

    Pour lui donner plus de sens et favoriser davantage la croissance des entreprises, OSEO a décidé de compléter son dispositif en créant un réseau constitué de 2 000 sociétés triées sur le volet, parmi celles déjà accompagnées par l’entreprise publique.
    Le principal critère de choix ? La probabilité de croissance exceptionnelle, quel que soit le secteur d’activité.

    L’objectif est de faire entendre la voix de ces entreprises en pleine expansion, notamment  auprès des médias et des pouvoirs publics. Lieu d’échanges entre pairs, c’est aussi un formidable réseau et un accélérateur de business.

    C’est dans ce cadre et dans cette optique qu’OSEO a choisi Teacheo pour devenir partie intégrante de ce panel, à la pointe du dynamisme économique.

    Teacheo : une innovation qui révolutionne le marché du soutien scolaire

    Créée en 2007, Teacheo est une plateforme de soutien scolaire permettant aux élèves de prendre des cours particuliers avec des professeurs de l’Education Nationale ou étudiants de Grandes Ecoles. Les cours ont lieu par vidéoconférence dans l’E-Class : professeur et élève se parlent et échangent sur un support écrit, mais tout se passe sur Internet, sans avoir besoin de se déplacer ! Les professeurs n’ont aucune commission à rétrocéder et les parents sont rassurés par la qualité des enseignants sélectionnés. Une véritable E-communauté de soutien scolaire équitable !

    Sans aucune installation, avec un micro et une webcam, on peut partager facilement ses exercices, les annoter, écrire des équations, tracer des courbes, visualiser des formes 3D, partager des vidéos éducatives sur youTube ou même une carte sur Google Maps! L’E-Class est un outil complet, puissant, et très simple d’utilisation.  Ayant déjà séduit plus de 500 professeurs, cette société française a pour ambition de révolutionner le marché de soutien scolaire. Le procédé est salué par le magazine de la Silicon Valley RedHerring, qui a classé Teacheo l’an dernier parmi les 100 start-up les plus innovantes.

    Cette sélection par un organisme public conforte l’entreprise dans sa volonté d’expansion au niveau tant national qu’international. En effet, dans le cadre de son expansion internationale, l’équipe de Teacheo a décidé de lancer un nouveau produit : BlueTeach. Il s’agit d’un site d’enseignement tout public toutes matières (langues, marketing, finance, coaching, gaming…) qui a pour l’ambition de devenir le « nouveau Skype de l’enseignement ».

    A propos de Teacheo – Vous allez aimer apprendre !
    Fondée en 2007 par Kemal El Moujahid (X-Télécom, MBA Stanford, Bain&Co) Teacheo est la première communauté du soutien scolaire équitable par Internet. Sur cette plateforme,  les élèves (collège et études supérieures) prennent des cours particuliers avec des professeurs de l’Education Nationale ou étudiants de Grandes Ecoles. Les cours ont lieu par vidéoconférence : le professeur et l’élève se parlent et échangent sur un support écrit, mais tout se passe sur internet, sans avoir besoin de se déplacer ! Sans inscription, sans frais, sans délai pour les élèves. Sans commission, sans intermédiaire, sans tarification imposée pour les professeurs.

    Teacheo, c’est aussi un lieu d’échange où les élèves peuvent poser des questions aux professeurs, consulter des ressources pédagogiques et prendre conseil auprès des étudiants et professeurs de la communauté. Aujourd’hui Teacheo compte 400 professeurs issus des Grandes Ecoles : Ecole Polytechnique, Ecole Centrale, Telecom, HEC, ESSEC, qui enseignent les mathématiques, les sciences physiques, la chimie, le français, l’anglais, de la sixième à la terminale.

    Technologie propriétaire reconnue, finaliste du Red Herring 100 en 2009, sélectionnée par la pépinière Paris Innovation, lauréate de Paris Entreprendre. Teacheo est également soutenue par la Mairie de Paris, Oséo, et Paris Tech.
    Effectif : une dizaine de personnes

    www.teacheo.com 
    www.teacheo.com/blog

  • Instinct maker : quand les jeux vidéo rencontrent Darwin

    Un manque de réalisme que la toute jeune société toulousaine Instinct maker, créée en avril 2010, entend bien combler grâce à la technologie qu’elle a développée en partenariat avec l’équipe Vortex de l’IRIT (Institut de recherche en informatique de Toulouse) et l’université Toulouse Capitole (UT1). L’idée est de rendre ces entités artificielles « intelligentes ».

    « Notre moteur de comportement, qui s’incorpore au logiciel de jeu au même titre qu’un moteur de son ou un moteur 3D, permet de faire le lien entre ce que perçoit le personnage et l’action qu’il décide de mettre en œuvre » explique Vincent Scesa, le fondateur et directeur d’Instinct maker. En 2007, le jeune docteur en robotique avait convaincu l’équipe toulousaine, spécialisée dans la simulation informatique du comportement de créatures virtuelles, de miser sur son projet.

    Dans les pas de Darwin

    Un processus qui s’inspire directement de Darwin et de sa théorie de la sélection naturelle, où certaines mutations conféreront un avantage sélectif aux êtres vivants, alors que d’autres ne seront pas viables. En effet, avant d’aboutir à telle ou telle action, le personnage va procéder par « essais/erreurs ». S’il doit cuire un gâteau, par exemple, il va tenter de nombreuses combinaisons : allumer le four tout en laissant le plat sur la table ; casser les œufs directement dans le four, etc.

    Tout ceci ne sera pas visible par le joueur. C’est le « moteur de comportement » qui fera ces calculs pour permettre au personnage de trouver rapidement la solution et de prendre une décision.

    Cette logique pourrait très rapidement séduire les développeurs de jeux vidéo qui, à l’heure actuelle, sont obligés de scénariser au maximum chaque comportement en le codant à la main. Une procédure longue et fastidieuse qui les empêche d’approfondir la complexité des personnages. « Notre outil dynamique, qui automatise la création des comportements, va leur permettre, en moyenne, de diviser par deux le temps de programmation », estime Vincent Scesa….

    Plus d’informations sur Instinct Maker : www.instinct-maker.com

    Vu sur Kwantic par Anne Lesterlin, article complet sur http://www.kwantik.fr

  • Un jeu pour apprendre à faire des économies d’énergie

    Développé avec la société Sysope, spécialisée dans le serious game* au service du développement durable, le jeu vous apprendra, par exemple, que la Ville d’Issy-les-Moulineaux économise des millions de litres d’eau chaque année grâce au système de captage des eaux de pluie et à un bassin de captage des eaux de source (boulevard Rodin), que la géothermie permettra de couvrir une très grande part des besoins énergétiques (chauffage, eau chaude, sanitaires) dans le futur quartier du Fort d’Issy, ou que les panneaux solaires installés dans nos écoles primaires permettent d’éclairer près de 50 classes par an. Le jeu propose également toute une série d’astuces pour faire des économies individuellement.

    Pionnière dès 1991 avec la signature d’un plan municipal d’environnement, la Ville promeut systématiquement des initiatives respectant l’environnement : toitures végétalisées, verrières photovoltaïques, horodateurs solaires, systèmes LED pour l’éclairage de Noël, guide de l’agent éco-responsable dispensant des conseils pratiques, véhicules municipaux fonctionnant au GPL ou à l’électricité, récupération des eaux de source…. Les nouveaux aménagements urbanistiques (quartier d’affaires Seine Ouest) ou les projets (éco-quartier des bords de Seine) sont emblématiques d’une nouvelle ère, celle de la haute qualité environnementale !

    Rendez-vous sur :http://www.issy.com/index.php/fr/cadre_de_vie/developpement_durable

    * Les « serious games », sont des jeux dits sérieux qui fleurissent sur le web autour de questions liées à notre vie quotidienne. Le jeu a pris aujourd’hui une place prépondérante. Nouveaux joueurs, nouveaux supports, nouvel espace-temps : peu à peu, il sort du domaine du simple divertissement pour devenir support de communication et permettre l’apprentissage et la formation. Plus qu’un simple moyen de se divertir, c’est un  nouvel outil qui permet de transmettre efficacement des connaissances.

  • Le Syndicat National du Jeu Vidéo se félicite de l’élan impulsé par le Ministre de la Culture sur le secteur du Jeu vidéo

    « 40 ans après sa naissance, notre industrie culturelle régulièrement stigmatisée, fait aujourd’hui l’objet d’un anoblissement par le Ministre de la Culture. C’est plus qu’un symbole, cette déclaration place désormais notre secteur au coeur des cultures contemporaines » se félicite Nicolas Gaume, président du SNJV.

    « Les annonces du Ministre de la Culture témoignent de son profond intérêt pour notre industrie et adressent un signal fort à tous ceux qui doutent encore de la richesse créative et artistique de notre filière qui a su, au fil des ans, réunir des équipes d’ingénieurs et d’artistes de talents au sein de studios mondialement reconnus« , poursuit le président du syndicat.

    Parmi ses annonces, le Ministre de la Culture a notamment rappelé que l’Observatoire du jeu vidéo, coproduit par le snjv, délivrera ses premiers résultats fin juin et permettra d’y voir plus clair sur l’état du secteur et des pratiques  des joueurs en France. Il a également déclaré qu’il soutiendra la création du Bureau Export du Jeu Vidéo afin d’amplifier la promotion de la filière à l’international et a invité les professionnels du secteur à se rapprocher du commissaire général à l’investissement afin de déterminer les conditions de l’investissement de l’Etat pour assurer le développement des entreprises de jeux vidéo dans le contexte du Grand Emprunt. Il a enfin annoncé la création d’une mission d’étude sur le régime juridique du jeu vidéo, dont les conclusions devront lui être remises d’ici la fin de l’année.

    « Les annonces du Ministre de la Culture traduisent sa volonté de travailler avec les professionnels à la construction d’un écosystème juridique et économique performant, afin que l’on puisse continuer à produire des jeux vidéo en France dans les prochaines années » se félicite Julien Villedieu, Délégué général du Snjv. « Notre souhait de créer en France un cadre juridique adapté au processus de création des jeux vidéo, et notre volonté de voir l’Etat investir dans le secteur à travers l’enveloppe numérique du grand emprunt ont reçu un écho très favorable du Ministre, nous allons  donc dans les prochaines semaines activer ces chantiers avec les interlocuteurs dédiés » conclue le délégué général.

  • L’UGAP lance l’ « Ecole Numérique Mobile » avec Speechi

    «Les solutions mobiles se développent considérablement dans tous les domaines, et notamment dans celui de l’enseignement. L’UGAP se devait de proposer une offre répondant aux attentes de ses clients désireux de modernité. Le résultat de l’appel d’offres a fait que l’UGAP a sélectionné Speechi, PME innovante reconnue comme leader sur ce marché»  explique Marcelline Massenet, acheteuse à l’UGAP.

    «Cette offre produit, innovante et audacieuse, répond parfaitement aux souhaits actuels de nos clients qui recherchent des solutions simples, évolutives et qui leur permettent de construire eux-mêmes leur solution à la carte en fonction de leurs besoins réels» ajoute Laurent Maudy, chef de produit multimédia à l’UGAP.

    Thierry Klein, Fondateur de Speechi, s’exprime : «Nous avons longuement travaillé pour obtenir ce marché ! C’est un succés majeur dans le sens où c’est une reconnaissance publique pour Speechi – et pour les outils interactifs nomades qui permettent aux enseignants d’utiliser les nouvelles technologies dans leur propre salle de cours, en partage»

    Plus d’information sur les produits sur www.speechi.net