Auteur/autrice : Eric Fourcaud

  • Nouveau projecteur Vivitek avec garantie étendue

    Nouveau projecteur Vivitek avec garantie étendue

    200420114daee2b674a58Le D855ST projette une image de près de 2 mètres (77 pouces) à un mètre de distance (rapport de projection de 0.65:1) : cela permet aux enseignants de se tenir près de l’écran sans pour autant faire d’ombres sur l’image projetée. De fait, l’espace disponible est optimisé, ce qui représente un avantage non négligeable dans de nombreuses salles de classe.

    Le D855ST offre une résolution XGA et un format d’image 4:3 pour un fonctionnement optimal avec la plupart des tableaux blancs interactifs.

    Le lancement du vidéo projecteur D855ST ciblant le marché de l’éducation coïncide avec celui du nouveau programme de garantie de 5 ans destiné à ce secteur : au lieu de la garantie standard de 3 ans, les établissements bénéficient désormais d’une garantie étendue à 5 ans pour les pièces et main d’œuvre et à 3 ans pour la lampe.

    Le D855ST est 3D-ready et bénéficie d’une connectivité complète. Idéal pour les applications multimédias et l’interaction dans les salles de classes, il offre de nombreux avantages comme une prise micro, un haut-parleur de 10 watts, une sortie audio, ainsi qu’une fonction sans fil grâce au déclencheur 12 volts et au dongle ViviNet sans fil (en option).

    A propos de Vivitek :
    Vivitek fabrique une large gamme de solutions audio-visuelles. Ce sont près de 40 vidéo projecteurs qui intègrent les dernières innovations afin que les clients, partenaires et distributeurs de Vivitek accèdent au meilleur de la technologie. Les produits Vivitek sont disponibles auprès des revendeurs, grossistes et intégrateurs systèmes.

    Plus d’informations sur www.vivitekcorp.com.

  • Des nouveautés dans la collection « facilecture »

    Des nouveautés dans la collection « facilecture »

    200420114db03f8f0b674
    Ses premières publications (Collection faciltecure) équipent déjà de nombreuses écoles et familles ou elles font chaque jour la preuve de leur efficacité.

    Voici ses nouveautés 2011 dans la collection facilecture :

    ● Les deux moutons de tonton Léon, collection lexi-livre facilecture
    Un ensemble ludo-pédagogique inédit (album, lexique, cédérom) pour lire et apprendre à lire à l’école et à la maison

    ● Déclic Des Sons facilecture, Version famille
    Quel que soit son niveau de lecture, l’enfant trouvera dans ce logiciel un large choix d’activités qui lui permettront de développer rapidement et de manière ludique, ses compétences dans tous les champs de la lecture.
    Un «outil» pour la maison, utilisable en complément de toute méthode de lecture.

    « facilecture », qu’est ce que c’est ?
    Grâce à l’utilisation de 11 couleurs, le code facilecture permet à l’enfant de «voir les sons» dans les mots : il peut ainsi observer immédiatement et sans équivoque la correspondance entre les phonèmes et les graphèmes qui les transcrivent.(radiographie)
    Le travail de déchiffrage étant facilité, l’enfant accède rapidement à la compréhension du code phonographique, à sa maîtrise, et au «savoir-lire».

    Après facilecture, l’éditeur poitevin s’apprête à sortir en septembre 2011 une méthode d’écriture innovante qu’il expérimente depuis plus d’une année «sur le terrain». Intitulée facilécriture, elle s’appuie également sur l’utilisation des couleurs pour faciliter l’apprentissage des gestes graphiques.

    Plus d’infos : www.editionsloiseailire.com

    – Pour les 2 moutons de tonton Léon 

    – Pour Déclic Des Sons Version famille

    – interview france info 

  • Neosphere et Daesign s’associent pour un serious game

    NeoSpheres, créée en octobre 2010, société spécialisée dans le conseil RH et créateur de « Myspheres » , premier écosystème communautaire dédié aux RH des PME, annonce son partenariat avec Daesign, éditeur de Serious Games, afin d’offrir à ses membres un serious game de formation comportementale à la conduite des entretiens.

    Créée par NeoSpheres, MySpheres est le 1er écosystème communautaire de Gestion des Ressources Humaines à destination des PME- PMI. L’objectif ? Faire de la GRH, un véritable atout compétitif. Dans sa logique de solution intégrée, MySpheres propose :

    – un outil de gestion des entretiens annuels

    – des bonnes pratiques de management de la performance

    – des modèles d’entretiens

    – et désormais un module de formation à la conduite d’entretiens.

    Le module basé sur des jeux de rôle et des mises en situation permet ainsi au collaborateur, comme au manager, de préparer efficacement cette étape clé de gestion de carrière.

    Ce partenariat s’inscrit dans une logique plus globale de « MySpheres » qui offre à ses membres une véritable offre de formation multi-modes (Blended Learning), les serious games de Daesign apportent une dimension capitale en travaillant sur le comportemental pour permettre une acquisition plus solide.

    « Avec Daesign, nous poursuivons notre politique de partenariat intégrée dans « MySpheres » , pour offrir aux PME-PMI une solution extrêmement riche et à forte valeur ajoutée« , conclut Philippe Bloquet, Président de NeoSpheres.

    A propos de NEOSPHERES :
    Créée en octobre 2010 par Philippe Bloquet et Christophe Galindo, respectivement ancien EMEA Vice President Consulting et EMEA HCM Senior Practice Manager chez Saba Software un des leaders mondiaux de solutions HCM, NEOSPHERES propose 2 pôles d’activités pour accompagner les entreprises dans leur transformation de leur gestion ressources humaines. Un pôle conseil RH au service des DRH et un pôle PME avec MySphères , le premier écosystème communautaire dédié aux RH des PME.

    A propos de Daesign :
    Editeur de Serious Games et de solutions multimédia, Daesign est à la pointe de la pédagogie interactive. Grâce à une technologie exclusive de simulation de dialogues (AVA), Daesign conçoit des outils et des programmes de formation, de sensibilisation mais aussi d’évaluation dont la finalité est le développement de compétences comportementales : c’est ce qu’on appelle des Serious Games. Traduit littéralement, il s’agit de jeux sérieux , le principe est le même que celui du jeu vidéo, mais adapté aux situations professionnelles pour une amélioration des performances.

  • e-lyco, un ENT ambitieux en Pays de la Loire

    e-lyco, un ENT ambitieux en Pays de la Loire

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    Inscrit dans les orientations nationales et dans les axes du projet d’académie de Nantes, CAP 2015, le projet e-lyco est à ce jour unique quant à son ampleur puisqu’il s’applique à tous les collèges et lycées publics et privés sous contrat d’association et les établissements agricoles de l’académie. Cela représente pas moins de 732 établissements, 321 000 élèves, 25 000 enseignants, soit 1 million d’utilisateurs. Il est progressivement déployé sur cinq ans depuis janvier 2010.

    Le budget global du projet est estimé à 20 millions d’euros.
    Le coût de la plate-forme et des frais de déploiement associés s’élève à 10 millions d’euros pris en charge par les collectivités territoriales au prorata de leurs effectifs d’élèves respectifs ( Région 46%, Loire-Atlantique 19,5%, Maine et Loire 12%, Mayenne 4,5%, Sarthe 9%, Vendée 9%). L’académie prend à sa charge le financement du dispositif de formation et d’accompagnement dont le coût est estimé à 10,6 millions d’euros répartis sur 5 ans.
    Le fonds FEDER apporte une subvention couvrant 30% du coût de la plate-forme.

    Les «plus» d’e-lyco : 
    Outre les aspects positifs qu’un ENT peut apporter, il est important de mettre en évidence les spécificités d’e-lyco :
    en s’engageant dans une démarche commune, La Région Pays de la Loire et les cinq départements et l’Académie de Nantes ont privilégié la continuité scolaire entre collège et lycée à partir d’une même solution d’environnement numérique. «L’association des partenaires institutionnels s’est fait en très bonne entente, au-delà des clivages politiques», nous confie Yves Nivelle, chef de projet ENT à la Direction des Lycées du Conseil régional des Pays de la Loire.

    «Le maillage du territoire qui est proposé aux utilisateurs est un des points forts», ajoute t-il.

    En 2014, un enseignant, où qu’il soit nommé, disposera d’un ensemble de services identiques ; Les parents auront la possibilité de suivre la scolarité de leurs enfants quels que soient leur affectation et leur niveau de scolarisation, de la 6ème à la terminale, jusqu’aux formations post-bac des lycées !

    Et cela va bien au-delà du cadre scolaire, ce qui fait tout l’intérêt d’e-lyco et plus généralement d’un ENT. Tous les partenaires institutionnels se sont engagés ensemble pour qu’e-lyco devienne un outil d’information et de communication. Comme le souligne Yves Nivelle, «e-lyco n’est pas un ENT, c’est un réseau d’ENT».

    Il nous explique que chaque partenaire (Région des Pays de la Loire, Départements, Académie) a souhaité disposer d’un portail afin de pouvoir interagir avec les établissements de sa compétence.
    Pour exemple, la Région des Pays de la Loire a mis en place sur son portail :
    – Des informations sur les politiques publiques menées (établissements éco-responsables par exemple ou toute nouvelle action)
    – Un espace d’échange et de travail collaboratif entre les services régionaux et chaque établissement
    – Un espace dédié aux enquêtes électroniques en faveur des établissements, permettant de recueillir de manière organisée et sécurisée un ensemble d’éléments difficiles à consolider auparavant.

    Autre aspect positif de ce système d’information global : «nous espérons qu’il permettra prochainement d’afficher des informations sur les transports scolaires pour une meilleure information du public. E-lyco a vocation à être le lieu de toutes les informations et de donner accès à toutes les télés procédures à destination des élèves ou familles».

    Une véritable révolution dans les habitudes des foyers : imaginez qu’en inscrivant votre enfant au collège, il soit automatiquement inscrit à la cantine et au transport scolaire…ça vous laisse rêveur…

    Pour conclure, Yves Nivelle ajoute : «E-lyco n’est pas l’outil qui va tout solutionner, mais c’est l’outil qui va permettre, par l’intégration de toutes les parties concernées, d’atteindre une homogénéité qu’aucun établissement ne pourra mettre en place seul».

    A propos d’e-lyco :
    Le projet e-lyco s’appuie sur les solutions logicielles et l’accompagnement de Kosmos.
    Le nom choisi reflète le caractère numérique du projet par le préfixe « e » aujourd’hui assimilé aux technologies de l’information et de communication.
    Le terme « lyco », contraction de « lycées et collèges » souligne le périmètre du projet qui concerne l’ensemble de la sphère du second degré.

  • Le numérique pour aider la reconstruction du système universitaire haitien

    Le numérique pour aider la reconstruction du système universitaire haitien

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    Projet conjoint entre le Ministère français des affaires étrangères et européennes, l’AIRD et l’AUF, le PENDHA (Plan d’Enseignement Numérique à Distance en Haïti) est destiné à soutenir la reconstruction du système universitaire haïtien à travers la mise en place d’un réseau «d’espaces numériques polyvalents» dans les universités haïtiennes.

    Le projet prévoit le développement de douze sites numériques pluridisciplinaires et de cinq «campus» consacrés à la médecine et aux sciences de la santé ; ils seront répartis dans les principales villes du pays.

    Les deux premiers espaces numériques ont été inaugurés à l’Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti (ESIH) et à l’Université Quisqueya. Dans ces espaces, les étudiants haïtiens pourront accéder directement aux ressources en ligne d’un réseau de plus de 700 universités francophones dans le monde et surtout, suivre des formations universitaires à distance dans le cadre du dispositif de Formation Ouverte et à Distance (FOAD) mis en place par l’AUF.

    Ce projet a notamment pour but de mettre un frein à la fuite des cerveaux qui compromet le développement de l’Ile. En effet, comme dans un grand nombre de pays en voie de développement, de nombreux Haïtiens étaient jusqu’alors souvent contraints de s’expatrier pour suivre certaines études, sans retour à leur pays natal dans la plupart des cas. Ce constat s’est vérifié tout particulièrement après le séisme de janvier 2010, qui a détruit une part importante des structures éducatives.

    Pour Bernard Cerquiglini, recteur de l’AUF, «le projet PENDHA représente l’offre numérique de contenus francophones la plus ambitieuse à ce jour».

    Avec l’inauguration de deux espaces numériques, le programme a entamé sa première phase. La préparation des formateurs appelés à prendre en main le réseau et mettre en œuvre le dispositif d’enseignement a également débuté. En renforçant le dispositif de formation de l’île, le projet PENDHA devrait permettre de réduire dans les deux années à venir la fracture entre Haïti et les pays les plus avancés de la région pour ce qui concerne l’accès à l’enseignement supérieur.

    A propos de l’AUF :
    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d’universités ; elle a pour objet de faire le lien entre les universités de langue française. Elle est l’opérateur des Sommets des pays francophones pour l’enseignement supérieur et la recherche.
    L’association œuvre depuis 50 ans dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a vocation à former des professionnels aptes à contribuer au développement de leur pays. Elle regroupe 774 établissements universitaires sur les 5 continents dans 91 pays, dont 55 membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie.
    L’association a pour mission de soutenir les stratégies de développement des 774 établissements membres, de faire émerger une nouvelle génération d’enseignants, de chercheurs, d’experts et de professionnels, acteurs du développement, de promouvoir la communauté scientifique francophone pour qu’elle devienne une référence internationale et apporte sa contribution aux enjeux mondiaux (changement climatique, pauvreté, agriculture, sécurité alimentaire, santé, droit).

  • Web Game Conférence 2011 à Paris

    Après le succès de la première édition en 2010, et dans un contexte de très forte croissance des jeux vidéo dématérialisés, la seconde édition de la Web Game Conférence annonce son programme et ses intervenants, parmi lesquels les leaders internationaux du secteur du jeu vidéo en ligne: Big Point, Blizzard, Facebook, Kobojo, Weka Entertainment, Prizee, Bulkypix, Unity, Orange,… et de grands acteurs des médias. Elle se tiendra le 19 mai, de 9h à 18h, à l’Institut International du Multimédia, à Paris.

    La Web Game Conférence, organisée par le Syndicat National du Jeu Vidéo, en partenariat avec Hi-media Payments – Allopass/Hipay, Orange, Owlient et avec le soutien de l’Institut International du Multimédia et de Capital Games est une occasion unique pour les professionnels du jeu vidéo «online» de débattre autour des enjeux de la production et de la diffusion des jeux vidéo sur les réseaux sociaux, le web et les mobiles grâce aux retours d’expériences, et ainsi d’optimiser leurs chances de réussite sur ces marchés en pleine expansion.

    « La France est le premier écosystème derrière les Etats-Unis pour la production de jeux vidéo sur Facebook, de très nombreux studios de productions développent également désormais sur mobiles et nous avons quelques leaders internationaux dans le domaine des jeux web en France. Il nous semble donc légitime que cette conférence qui réunira les leaders internationaux ait lieu à Paris. » souligne Nicolas Gaume, Président du Syndicat National du Jeu Vidéo l’organisateur de l’évènement.

    « Notre objectif est de réunir les professionnels du secteur pour leur permettre, grâce aux retours d’expériences, d’optimiser leurs chances de réussite sur ces marchés en très fort développement« .

    Au programme, quelques sujets : « les jeux communautaires et multiplateformes », « Le Community management », « Fire Tchat, Travailler avec Facebook », « Les stratégies Cross Media », « Le jeu sur mobile »…

    Plus d’infos : www.webgameconf.eu

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    EPITA

     

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    –        des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    –        le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    –        l’hôpital Broca,
    –        des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    – le formulaire en français
    – le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l’EPITA est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.

  • Généralisation des ENT : clin d’oeil sur le département du Doubs

    Généralisation des ENT : clin d’oeil sur le département du Doubs

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    A travers cet exemple, cherchons à comprendre quelles sont les raisons de ces disparités. Rencontre avec Bruno Costantini, responsable énergie et systèmes d’information 
au Conseil Général du Doubs.

    Avec l’évolution que connaît le monde de l’éducation, le Conseil Général du Doubs a entrepris une politique d’investissement en matériel (ordinateurs, serveurs…) pour ses collèges, car «la partie matériels et infrastructures constitue le socle inévitable subséquent à toute implantation de solutions logicielles», nous confie Bruno Costantini.
    D’ici 2013, l’objectif est la couverture intégrale (100% du référentiel, soit 6000 postes).

    D’autre part, «afin de maintenir notre territoire à un niveau correct en matière d’usage des TICE, le Conseil Général du Doubs s’est engagé, depuis trois ans, avec les départements 70 et 39, dans un partenariat avec la région Franche-Comté et le rectorat d’académie».

    Premier problème mis en avant : la gestion du parc. En effet, une fois le matériel installé, il faut des moyens humains pour assurer la maintenance. Pour l’instant, le Conseil Général n’a pas les moyens financiers d’embaucher du personnel pour cette mission, qu’il juge être celle de l’Etat. Bruno Costantini ajoute qu’actuellement, «nous avons 60 000 € au budget pour de l’infogérance» ; en clair, ce sont des sociétés extérieures qui sont appelées quand il y a un problème.

    Le bilan matériel étant établi, que se passe t-il dans le département du Doubs en matière d’ENT ?
    La solution choisie et qui devrait être mise en place dès la rentrée de septembre 2011 dans des collèges pilotes, est la solution Enoé. 

    C’est une «solution maison», nous confie Bruno Costantini, «qui ne coûte rien aux collectivités».

    Et Bruno Costantini ajoute «Les personnes vont être formées pour utiliser cette solution et si nous ne sommes pas satisfaits, nous pourrons toujours revenir vers un prestataire privé, puisque nous n’aurons pas engagé d’argent». «Nous ne voulions pas utiliser de l’argent public pour une solution privée alors qu’il existe une solution gratuite fournie par l’académie». Ce choix a d’ailleurs dores et déjà été adopté par les académies de Poitiers, Créteil et Dijon.

    Un aspect technique, mais qui a son importance, nous signale Bruno Costantini : «les serveurs d’Enoé sont hébergés à l’intérieur de l’établissement».

    Une fois Enoé installée, c’est avec les budgets alloués par le Conseil Général que chaque collège pourra faire son marché, où il le souhaite, pour l’achat de ressources numériques.

    Après cet état des lieux sur un département français «tiré au sort», un certain nombre de questions se pose : mais alors, pourquoi n’y a t-il que quatre académies qui ont ont adhéré à cette solution ? Le choix du Doubs porté sur «Enoé» plutôt qu’un ENT d’une société privée, est-il uniquement d’ordre financier ? et que doit-on attendre en terme de performances et de services associés à ce type de solution ?

  • eduPad et l’iPad vont transformer l’éducation de 2500 collégiens

    eduPad et l’iPad vont transformer l’éducation de 2500 collégiens

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    « Les applications eduPad répondent à un besoin d’aide aux devoirs et de continuité pédagogique à la maison« , déclare Pierre Mathieu, Directeur du CDDP de Corrèze.« Elles sont extrêmement simples et intuitives à utiliser pour la famille« .

    De son côté, Bernard Roussely, chef de projet Ordicollège au Conseil Général de Corrèze, considère que « les applications eduPad abordent intelligemment le sujet des applications éducatives tactiles ; elles sont à des années lumière de l’offre du marché« .

    Ce déploiement positionne eduPad comme l’acteur de référence sur le marché des applications éducatives tactiles en France, première étape avant le lancement d’eduPad sur le marché américain qui a eu lieu courant février 2011.

    Les applications iTooch d’eduPad sont disponibles sur l’App store d’Apple pour les parents qui souhaitent offrir à leurs enfants une expérience d’apprentissage unique sur iPad. Courant 2011, des applications couvrant de nouveaux niveaux scolaires seront publiées, et l’ensemble des applications seront déclinées avec des versions pour iPhone, ipod Touch et Android.

    Les applications eduPad ont été conçues avec des enseignants et des concepteurs de jeux pour maximiser la motivation et le plaisir d’apprentissage des élèves. Elles couvrent les programmes scolaires officiels, ce qui en fait, de loin, la plus grande base d’activités éducatives de l’App Store, avec entre 2000 et 5000 activités par application.

    eduPad a développé une solution ouverte qui permet aux enseignants qui le souhaitent de publier gratuitement et sans développement leurs propres applications éducatives tactiles sur l’App Store. Les éditeurs traditionnels peuvent également utiliser eduPad pour intégrer rapidement leurs contenus existants dans des applications repensées pour des interfaces tactiles.

    A propos d’eduPad :
    eduPad est une entreprise française créée en début 2010, spécialisée dans le développement d’applications éducatives tactiles. eduPad permet aux enseignants et aux éditeurs du monde entier de publier gratuitement et sans développement des applications éducatives tactiles avec un modèle de partage des revenus. eduPad est incubé par ExploLab Factory, incubateur du cabinet de conseil en stratégie et innovation ExploLab, qui a investi 300K€ dans l’entreprise.