Auteur/autrice : Eric Fourcaud

  • Quand les manuels scolaires numériques sortent avant les manuels papier

    Conçus grâce à sa nouvelle chaîne de production numérique Gutenborg, ces manuels sont les premiers dont la version papier et la version numérique sont publiés simultanément, sans générer de surcoût supplémentaire. Les deux manuels sont disponibles dans leur intégralité sur le site Internet du techno-éditeur.

    A cette occasion, lelivrescolaire.fr vient de mettre en ligne une nouvelle version de son site Internet. Nouveau design, nouvelle ergonomie, nouvelles fonctionnalités et nouveaux manuels : tout est fait pour enrichir davantage encore les pratiques pédagogiques de 3000 enseignants déjà inscrits sur le site Internet.

    Comme tous les manuels conçus par lelivrescolaire.fr, ces derniers sont totalement gratuits et libres d’accès sur le site Internet Lelivrescolaire.fr se rémunère en vendant la version papier de ses manuels.

    Ils sont personnalisables par les enseignants qui peuvent y insérer leur propres cours. Les élèves peuvent faire leurs exercices en ligne et les professeurs ont la possibilité de corriger ces exercices directement depuis le site Internet.

    «L’année prochaine, notre nouvelle chaîne de production nous permettra de publier nos manuels avec une avance encore plus importante et avec une qualité toujours irréprochable. En effet, plus de 250 professeurs ont participé à l’écriture nos manuels dans le cadre de notre processus collaboratif», ajoute Raphaël Taïeb, cofondateur.

    A propos de l’entreprise lelivrescolaire.fr :

    Créé en septembre 2009 par un professeur, Lelivrescolaire.fr est un éditeur indépendant qui élabore des manuels scolaires collaboratifs, numériques et papier. Lelivrescolaire.fr est un projet innovant structuré autour de valeurs fortes :

    •    une communauté d’utilisateurs et d’auteurs qui travaillent ensemble pour éditer une œuvre collaborative ;
    •    une grande proximité avec les professeurs pour répondre d’une manière personnalisée à leurs préoccupations pédagogiques ;
    •    des manuels papier et numériques à la pointe de l’innovation et de l’interactivité pour les enseignants et leurs élèves.
    •    le choix  de partager les créations des auteurs  à travers des manuels libres (open source). A cet effet,lelivrescolaire.fr place le contenu qu’il élabore lui-même sous licence Creative Commons.

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    L’EPITA (l’école d’ingénieurs en informatique, membre de IONIS Education Group) lance un appel à projets auprès des entreprises et institutions qui souhaitent innover sur les thèmes de la mobilité et du cloud computing.

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    – des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    – le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    – l’hôpital Broca,
    – des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    le formulaire en français
    le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l‘EPITA
    est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.

  • Le manuel papier encore indispensable malgré le numérique

    «Les principales difficultés que rencontrent les établissements scolaires, les professeurs et les élèves qui souhaiteraient passer au manuel numérique sont liées au niveau d’équipement. Pour utiliser un manuel numérique convenablement, il faut disposer au minimum d’un vidéoprojecteur et dans l’idéal d’un TBI, d’une connexion Internet haut débit, voire d’ordinateurs personnels pour les élèves.

    De notre côté, nous poussons l’innovation sur le contenu, mais il faudrait que la puissance publique permette aux professeurs et aux élèves d’en profiter. Non pas en finançant l’acquisition des ressources (puisque nos manuels numériques sont gratuits), mais en leur permettant de jouir d’équipements et d’infrastructures adaptés»

    «Les 2500 enseignants qui utilisent nos manuels numériques sont très satisfaits : la gratuité et l’interactivité des manuels numériques (exercices en ligne, personnalisation du livre, etc.) ont convaincu, et nous travaillons quotidiennement pour améliorer nos outils en suivant leurs conseils et idées.

    Si l’on considère la population enseignante globale, la grande majorité ne demande qu’à se faire convaincre. En leur proposant des manuels gratuits et interactifs, nous leur permettons de s’y essayer progressivement, de rencontrer d’autres professeurs qui s’en servent afin de partager leur expérience (nous fonctionnons sous un mode collaboratif), et petit à petit de passer au manuel numérique.

    Alors oui, les enseignants sont prêts. C’est d’ailleurs sous la pression de ces derniers que les éditeurs se sont mis à réfléchir sérieusement aux manuels numériques.
    En tant qu’éditeur, nous ne pensons pas que le manuel papier disparaîtra totalement. Ce support répond à des usages bien spécifiques, dont le numérique est un complément. Je crois qu’il ne faut pas commettre l’erreur d’opposer le numérique au papier, en se demandant quel est le meilleur support pédagogique. Chez Lelivrescolaire.fr, nous voyons une forte complémentarité entre ces deux supports.

    Le manuel numérique est un nouvel outil qui a des vertus pédagogiques indiscutables. L’utilisation de ressources multimédia (audio, vidéo, animations, etc.) permet d’enrichir considérablement la pratique pédagogique de l’enseignant tout en améliorant la concentration des élèves, ce qui va souvent de pair avec une progression significative des résultats scolaires.

    Au-delà du contenu lui-même, nous pensons que le manuel numérique a vocation à devenir un outil innovant proposant de nouveaux services pédagogiques aux enseignants, à leurs élèves ainsi qu’aux parents. Il serait dommage de limiter l’apport pédagogique d’un manuel numérique à la seule projection d’un contenu, dans une disposition similaire au format papier qui plus est. Voilà pourquoi nous avons conçu nos manuels numériques comme de véritables espaces de travail avec la possibilité par exemple de corriger les exercices en ligne, d’évaluer les compétences sur le site, ou encore de créer ses propres cours.

    « C’est ici que résident les véritables apports du manuel numérique. Le manuel papier répond lui à d’autres usages liés par exemple à la lecture. C’est la raison pour laquelle nous concevons bien sûr des manuels numériques innovants, mais aussi des versions papier traditionnelles».

  • Val d’Oise : 130 millions/an, de la restauration scolaire à la prise en charge du numérique

    Val d’Oise : 130 millions/an, de la restauration scolaire à la prise en charge du numérique

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    25 ans après la « mise en route » de la décentralisation, il est bien difficile aujourd’hui de définir instantanément ce qui constitue désormais les lignes de force prioritaires des politiques éducatives départementales tant les domaines d’intervention sont devenus vastes. En prenant l’exemple du département du Val d’Oise, nous découvrons comment au delà la diversité des actions que ces institutions sont amenées à gérer. Pourtant, les projets de réformes et les contraintes budgétaires pourraient remettre en cause une dynamique territoriale engagée depuis lors.

    Avec 109 collèges publics et une moyenne légèrement supérieure à 500 élèves par établissement, le Val d’Oise se situe au niveau des Départements urbains millionnaires dans la moyenne basse. Il y a 10 ans, la moyenne valdoisienne était voisine de 650 collégiens par établissement, ce qui le classait pratiquement en dernière position au niveau national. Ce gain a été possible grâce à la construction d’une dizaine de collèges et aux efforts du département dans la période 2000/2010.

    Le département qui a en charge la construction et l’adaptation des établissements à des nouveaux contexte (notamment l’apport du numérique) se doit également de gérer dans le moyen et long terme la cohérence et l’équilibre des capacités de ses établissements sur le territoire, s’adapter à l’évolution des effectifs, prendre en compte les modifications de la carte scolaire, agir et investir pour permettre une mixité sociale au sein de chaque établissement pour éviter les ghettos et respecter un équilibre nécessaire au territoire.

    Une démarche de rationalisation et de mixité sociale pour respecter l’équilibre du  territoire

    Dans le cadre du programme pluriannuel d’investissement des collèges, qui privilégie les structures de taille moyenne, le département du Val d’Oise s’est attaché à assurer un équilibre global des effectifs entre les différents collèges du secteur, sachant qu’un établissement dont les effectifs sont inférieurs à 450 élèves ne peut répondre à un fonctionnement pédagogique satisfaisant.

    « Nous avons également  veillé à ce que la nouvelle sectorisation des collèges ait une certaine pérennité ; la modification fréquente du secteur de recrutement d’un collège ne peut, en effet, être le moyen privilégié pour ajuster les effectifs accueillis dans l’établissement »,
- respecter le souci de la mixité sociale, dans le cadre d’une sectorisation communale ou intercommunale, et ce en veillant à éviter tout effet ségrégatif,
- garantir aux collégiens des conditions de transport raisonnables (en durée comme en fréquence),
- conduire la démarche de sectorisation de manière participative » rappelle François Jollivet Directeur du service éducation et sport au Conseil Général.

    Un rôle important dans la gestion de la restauration scolaire

    Depuis 2004, les Départements ont également en charge la restauration des collégiens. Ainsi pour le Val d’oise,  chaque jour,  les 109 établissements distribuent plus  de 30 000 repas aux demi-pensionnaires inscrits. Conformément à sont engagement de régulateur social, le département a lancé deux opérations emblématiques pour assurer une certaine équité auprès des familles. La première opération « Rest’O Collège » s’est préoccupé de mettre en place un tarif unique avec quotient familial (6 tranches entre 0,85 € et 2,60 €), elle a permis d’assurer un meilleur équilibre entre les moyens financiers des familles et couches sociales du département, le résultat a été  une hausse de la fréquentation de 10 % en quatre ans (57 % contre 47 %).

    Au delà de la rationalisation et de l’accueil du plus grand nombre à des tarifs adaptés, le département s’engage aussi dans une démarche qualité des services et produits proposés à la restauration. Ainsi, l’opération  « Nos collèges ont du goût » entamée en mai 2010,  a mis la question de la qualité des produits dans l’assiette au cœur des préoccupations de la collectivité.

    Cette opération, grâce en particulier au concours de Chefs prestigieux comme Guy Martin, a permis d’aborder concrètement pour ce qui est des approvisionnements en denrées alimentaires, des thématiques comme le circuit court, le commerce équitable, les fromages de nos terroirs et les produits bio.

    La prise en compte des difficultés scolaires au titre d’une démarche territoriale

    La seconde loi de Décentralisation a également confié aux Conseils généraux le soin de déterminer la sectorisation des collèges. De son côté, l’Etat a facilité très nettement les dérogations à la carte scolaire.

    « En pratique, peu de tensions sont survenues sur le territoire départemental et nous n’avons pas constaté de désaffection marquée par rapport à un certain nombre de collèges publics. Il n’en demeure pas moins que la question de la grande difficulté scolaire doit être abordée avec une efficacité renforcée » précise François Jollivet

    « Notre démarche territoriale démarrera prochainement autour du Grand Est valdoisien qui jouxte la Seine-Saint-Denis et la Seine-et-Marne. Plusieurs points seront examinés comme les stratégies d’évitement des familles, la place des parents dans l’école, la prise en compte de la diversité et son corollaire l’intégration par l’Education sans oublier l’accès en fin de cursus scolaire aux emplois de la plate-forme aéroportuaire de Roissy-Charles-de-Gaulle. »

    Le développement de l’attractivité, de la performance et de la gouvernance des établissements grâce aux activités éducatives

    Dans un contexte de chute des effectifs et de renforcement des démarches projets, il s’est avéré logique pour la collectivité valdoisienne de contribuer au développement de l’attractivité, de la performance et de la gouvernance des établissements.

    Ainsi, depuis quelques années, les collèges ont progressivement formalisé des projets d’établissement de plus en plus structurés et tendant à favoriser l’animation et les échanges au sein de la communauté éducative.

    Pour accompagner cette démarche, le département a mis en ligne une plateforme Internet qui permet d’animer et de dynamiser un programme d’actions éducatives autour de différentes thématiques comme la citoyenneté, l’environnement, la prévention, l’information et l’orientation, sans oublier la culture… Grâce au concours de cinq chargés de développement éducatif, 900 actions sont diligentées chaque année scolaire au profit de tous les établissements. La mise en place de ce site Internet facilite grandement cette dévolution des actions éducatives.

    Une personnalisation de la réponse du département auprès de chaque usager de l’enseignement

    L’action des collectivités au côté de celle prépondérante de l’Etat s’inscrit dans la rupture de la massification de l’Ecole et donc dans la personnalisation progressive de la réponse apportée à chaque élève. Personnaliser une réponse ne vaut pas individualisation au-delà des règles collectives répondant aux principes républicains qui régissent l’Ecole.

    « Le Département du Val d’Oise, comme d’autres collectivités de taille importante, a mis en place en particulier des bourses aux collégiens, et détermine pour chaque élève des tarifs de demi-pension. Elle va désormais à titre expérimental au-delà depuis fin 2010 en proposant un système de bourses de stage au profit des élèves en grandes difficultés sociales (500 stages de découvertes offertes aux élèves de troisième), ce dans une démarche partenariale structurée avec les deux principales fédérations patronales valdoisiennes ».

    Un rôle important du département dans le développement de l’e-éducation

    Pour finir, le département, convaincu que le numérique peut contribuer à rendre l’acte scolaire plus séduisant et attractif pour les élèves, tout en contribuant au changement des pratiques professionnelles des enseignants, a décidé de généraliser la démarche dans le cadre de son « Plan Numérique des Collèges ».

    « En ce début du XXIème siècle, il faut aussi réfléchir activement à la nouvelle conception des établissements qui devra intégrer plus nettement le numérique et leur ouverture sur le monde extérieur. Des réflexions sont actuellement menées par la collectivité » ajoute François Jollivet.

    Après l’ouverture du premier collège tout numérique Georges-Charpak de Goussainville en septembre 2008, le département du Val d’Oise  a décidé de généraliser cette action à tous les établissements. Cette démarche, bien entendue se fait progressivement et par appel à projet.

    « D’un point de vue méthodologique, chaque collège est amené à déposer un projet numérique d’établissement qui fait l’objet d’une validation puis de la mise en place de différents équipements au profit d’un usage renforcé et de la réussite scolaire des adolescents ».

    Depuis le lancement du « Plan numérique », plusieurs initiatives ont vu le jour comme, la gestion des abonnements des collèges à Internet via un groupement d’achat, l’info-gérance du parc informatique des établissements dans le cadre d’un partenariat avec le Rectorat, la mise en place d’un E.N.T. (Espace Numérique de Travail), la promotion et la production de ressources numériques locales (programme ANPER 95) et la création de 12 postes de techniciens informatiques.

    L’avenir  de l’action départementale potentiellement compromise pour des raisons budgétaires et conjoncturelles

    A l’avenir, le département qui doit gérer une demande sociale et sociétale croissante, fortement exprimée par les citoyens usagers (et renforcée par les résultats décevant du classement PISA de la France) se voit confronté à un retrait de l’Etat accompagné d’une montée en puissance du rôle qui lui est dévolu. Elle se trouvera à moyen terme, confrontée de manière croissante à des questions budgétaires.

    En 25 ans, les frontières qui séparaient les domaines d’intervention de l’Etat de ceux de la collectivité départementale en matière d’éducation ont ainsi été abolies. Mais, pour répondre à leurs nouvelles obligations et au contexte de crise économique dont le département supportent une partie des conséquences – au titre de l’aide sociale – , le Conseil général réfléchit avec acuité à une réorganisation interne et son rôle vis à vis de ses multiples partenaires associatifs et publics, voire privés.

    A n’en pas douter, les politiques publiques départementales vont se transformer autour d’un nombre limité de thématiques comme le territoire, la mutualisation, la transversalité, la personnalisation de la réponse, le numérique, sans oublier les questions de développement durable. Les politiques Education vont donc s’en trouver affectées logiquement…

     

    Les chiffres clés du Val d’Oise :

     

    109 collèges publics

    31 700 élèves demi-pensionnaires

    Budget annuel consacré au secteur éducatif : 135 M€

    dont

    –       fonctionnement courant 25, 22 M€

    –       Rest’O collège 3,8 M€

    –       Actions éducatives 1,6 M€

    –       Investissements immobiliers et mobiliers 44,69 M€

    –       Plan numérique des collèges et TICE 6 à 8 M€

    –       Masse salariale ETTEE (Ex TOS) 34 M€

    –       Transport Scolaire 7,8 M€

     

    Les sites Internet qui concernent la politiques éducative du Val d’Oise :

    Le site dédié aux actions éducatives : http://actions-educatives.valdoise.fr/

    Le site du projet ANPER 95 pour les ressources numériques http://anper95.valdoise.fr/

  • Majobaventure.fr « Dans la jungle de l’entreprise » le premier « Serious Game » syndical

    Majobaventure.fr « Dans la jungle de l’entreprise » le premier « Serious Game » syndical

    Partant de ce constat, la Fédération de la Métallurgie (FGMM-CFDT) a depuis quelques mois, entamé un travail conséquent de réflexion avec une équipe de jeunes syndicalistes de la génération « Y » sur la mise en œuvre d’un jeu sérieux pour sensibiliser les salariés de son secteur, aux activités syndicales et aux droits des salariés.

    Le projet, qui a eu le nom de code  « ELOI 2.0 », le temps de son développement sortira prochainement sous le nom « Majobaventure – Dans la jungle de l’entreprise »

    « Notre objectif dans cette aventure a été,  dès les premières réflexions, de trouver une nouvelle voie, certes inhabituelle dans le monde syndical, pour toucher les jeunes salariés. Les jeux vidéo, les réseaux sociaux, cette sphère de l’internet en prise directe avec l’actualité est un monde qu’ils connaissent et se retrouvent plus facilement … » déclare Dominique Gillier secrétaire général de la FGMM-CFDT, qui précise que « l’équipe syndicale qui a œuvré au projet Majobaventure depuis plusieurs mois, s’est appuyée sur une équipe de professionnels des nouveaux médias et spécialistes du web 2.0 et des jeux sérieux pour nous aider à maîtriser le développement et le lancement du jeu»

    Pour préparer le lancement du jeu et faire progressivement découvrir ce nouveau Serious Game, Eloise Guesde Responsable Ressources Humaine d’AéroTaf a été chargée de tenir un Blog (www.majobaventure.fr/Blog) et d’être présente sur les réseaux sociaux et animer la page Fan du jeu sur Facebook, Twitter, Viadéo et Linkedin. « Participer à cette première m’a tout de suite enthousiasmé ! Motivée par le dialogue social, la défense des salariés, je souhaite me réaliser au travail tout en réussissant ma vie personnelle » nous confie Eloise, « je suis comme nombre de jeunes de ma génération, initiée et habituée à échanger et partager mes passions sur les réseaux et les jeux en ligne, le projet de la FGMM-CFDT m’a convaincu et je prend le temps de m’investir pour une cause sociale qui me paraît juste » conclue t’elle.

    Majobaventure.fr
    Majobaventure a pour objectif  de sensibiliser la jeune génération à la pratique syndicale et aux droits des salariés par des mises en situation dans le monde de l’entreprise. Dans un environnement de jeu convivial et ludique, les joueurs pourront tester leurs connaissances sur leurs droits, simuler un entretien d’embauche, découvrir des vidéos pour améliorer leur score et parfaire leur vision. Le jeu sera proposé sur le site www.majobaventure.fr et sur apps.facebook.com/majobaventure

    Découvrir Majobaventure « Dans la jungle de l’entreprise» sur www.majobaventure.fr

    Suivre l’actualité du jeu sur le Blog d’Eloise, les conseils, l’actualité sociale et les trucs et astuces du jeu sur www.majobaventure.fr/Blog

    A propos de la  FGMM-CFDT

    La Fédération Générale des Mines et de la Métallurgie, dite « CFDT métallurgie » est une des 14 fédérations professionnelle du syndicat CFDT. Elle regroupe tous les salariés syndiqués à la CFDT dans les secteurs de l’aéronautique et spatial, l’automobile, l’électronique, l’informatique, les constructions électrique et de production d’énergie, ferroviaire, navale, la mécanique et les équipements industriels, les services de l’automobile…

     

    La FGMM intervient dans ces secteurs pour la défense immédiate et les intérêt à long terme des salariés, sur tout ce qui concerne le travail : vie et santé au travail, carrière, rémunérations, organisation et durée du travail, prévoyance sociale, etc. Elle négocie avec les employeurs des conventions et accords collectifs de branche et d’entreprises et surveille leur application. Elle promeut et participe aux politiques industrielles, de l’emploi, de formation professionnelle, d’insertion des jeunes, de préservation de l’environnement et des ressources naturelles.…

     

    La FGMM veut améliorer la situation des salariés et la façon dont les entreprises sont gouvernées, corriger les inégalités, favoriser le progrès social, transformer la société par touches successives. Ses valeurs son la solidarité, les libertés, la justice sociale, l’émancipation des personnes. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a conçue « ma job aventure » qui est une façon ludique de vous initier à une matière complexe – le droit social- qui régit vos rapports avec votre employeur ou futur employeur.

    Plus d’informations sur www.fgmm-cfdt.fr

  • Les e-virtuoses à Valenciennes, 30 et 31 mai 2011

    La 3ème édition des e-virtuoses, conférence internationale dédiée aux Serious Games organisée par la CCI Nord de France, se tiendra les 30 et 31 mai 2011 à Valenciennes.

    La CCI Nord de France est heureuse et fière d’annoncer la signature d’un partenariat avec la prestigieuse manifestation américaine Games For Change permettant ainsi la création de Games for Change Europe Festival au sein des e-virtuoses 2011.

    Donneurs d’ordre, commanditaires, investisseurs, studios de développement, chercheurs, responsables de pôles de compétitivité sont cordialement invités à participer à une conférence unique en Europe et à accéder à un programme d’une densité et d’une qualité exceptionnelles.

    Au programme, des summits et des masterclasses de haut niveau, organisés métier par métier, secteur par secteur, pour trouver des réponses précises et concrètes à vos préoccupations spécifiques.

    La participation à la conférence est gratuite, le nombre de places étant limité, inscrivez-vous dès maintenant sur  :

    www.e-virtuoses.net

  • KTM ADVANCE lance le « Business simulator »

    KTM ADVANCE présente «Business Simulator», sa nouvelle gamme de Serious Game. L’objectif de ce jeu est d’améliorer la performance des managers en charge de la gestion de business unit.

    Cette nouvelle solution marque la première étape d’une offre complète de Serious Games qui couvrira les problématiques stratégiques de formation pour les entreprises : développement durable, stratégie de la relation client, intégration des nouveaux entrants, valorisation de la marque, process and workflow…

    Pour Valérie Boudier, Directrice Générale de KTM ADVANCE et docteur en sciences cognitives : « ces solutions répondent à une demande clairement exprimée par les managers en charge d’unités de production: gagner de l’expérience opérationnelle et améliorer ses performances en s’exerçant à la stratégie de gestion sur un simulateur d’activité« .

    Business Simulator est un dispositif d’entraînement aux outils de pilotage d’une unité (USP-Unit Steering Program). Basé sur une simulation des systèmes d’information du client (KPI, tableaux de bord, outils de pilotage, bases de données,…), il permet aux managers de s’exercer en toute confiance à la gestion d’unités opérationnelles et de développer les bons réflexes professionnels de prise de décision.

    Grâce à la compression de temps que permet le simulateur, l’apprenant vit une année d’activités en quelques heures d’entraînement.

    Du point de vue du formateur, le système inaugure un nouvel outil de suivi personnalisé en mettant à disposition un interpréteur de performance intégré qui permet d’évaluer l’atteinte des objectifs pédagogiques.

    En présentiel ou à distance, Business Simulator est une solution qui permet de gagner en productivité grâce à une expérience professionnelle.
    Pour comprendre comment fonctionne Business Simulator, suivre ce lien :
    http://www.ktm-advance.com/business_simulator_presentation.php

    A propos de KTM Advance :

    KTM Advance, acteur majeur du e-learning en Europe, réunit les découvertes les plus récentes des sciences cognitives et les technologies du jeu vidéo pour créer des dispositifs interactifs d’apprentissage motivants dans des univers graphiques scénarisés.
    Expert des problématiques de formation complexes, KTM Advance est une entreprise indépendante de plus de 80 collaborateurs, établie à Paris, Strasbourg, Londres, Francfort et New York. Ses équipes d’ingénieurs pédagogiques, game designers, graphistes, développeurs travaillent de concert pour concevoir des solutions innovantes adaptées aux besoins de formation et pour suivre leur mise en place.
    http://www.ktm-advance.com

  • Simlinx, architecte serious game, lance un appel à prestataires

    La société Simlinx, spécialisée dans le conseil et l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage pour les projets Serious Games, recherche les talents des prestataires en gamedesign, développement, graphisme, animation et sonorisation, pour répondre toujours plus efficacement aux besoins des donneurs d’ordre.

    Créée en 2009, Simlinx s’est vite imposée comme le leader français de son domaine en travaillant pour des sociétés prestigieuses comme Areva, EDF, Alstom, Valinox, ERDF, Destination Plasturgie, Suez Environnement, Interfora-Ifaip, le GNFA, …

    Dans le cadre de son activité, Simlinx aide les grands donneurs d’ordre à formaliser leurs besoins et trouver les prestataires multimédia les mieux adaptés au développement des projets Serious Games.

    C’est pourquoi Simlinx organise aujourd’hui un appel à prestataires, qui va lui permettre de mieux connaitre les spécialités des prestataires qu’elle sera amenée à contacter pour ses prochaines consultations.

    «Une des forces de Simlinx est de proposer à nos clients, des prestataires sérieux et compétents capables de réaliser leurs projets Serious Games conformément à leurs exigences. L’enjeu de l’appel à prestataires est pour nous  de mieux répondre aux attentes des grands donneurs d’ordres. Pour les prestataires, il est clairement de pouvoir être consultés pour les prochains marchés gérés par Simlinx» a déclaré Christophe Michoud, gérant de Simlinx.

    Retrouvez les actualités de Simlinx sur : www.simlinx.com

  • L’ebook ne signera pas la fin du livre papier

    Après la musique et le cinéma, le livre entre à son tour dans la révolution numérique. Les nouveaux accès et la multiplication des objets numériques tendent à accélérer la démocratisation de la culture ; ainsi des livres qui ne touchaient qu’un public restreint en version papier sont plébiscités par de nouveaux publics une fois dématérialisés.
    Au-delà de la diminution de l’empreinte carbone – non négligeable, l’édition numérique abolit les frontières entre les lecteurs tout en se libérant des contraintes intrinsèques à la gestion du livre papier (gestion des invendus, du réassortiment et des stocks, etc.) ; et aussi les frontières techniques en permettant de produire des ouvrages plus riches incluant par exemple du son ou des contenus audiovisuels.

    Pour autant, le livre numérique ne signera pas la fin du livre papier. La sortie du livre, Arca – La prophétie du trône de gloire de Béatrice Thony aux éditions Chemins de tr@verse, est une belle démonstration des possibilités du livre numérique : un polar historique et numérique en 60 épisodes, que le lecteur pourra, selon ses préférences, recevoir ces 60 épisodes de manière : quotidienne, hebdomadaire, ou même en une seule fois.

    Le livre joue la carte Internet, réseaux sociaux et communauté. Il sera en effet enrichi d’un «blog compagnon» donnant accès au fil de la lecture à des documents historiques, des croquis ou des images permettant au lecteur curieux d’approfondir le sujet.

    Il y découvrira également d’autres facettes du héros François Cazaud et des autres personnages d’Arca. Ils s’exprimeront tous librement au fil des épisodes. Le blog offrira ainsi un autre angle de lecture, donnera aux lecteurs une mine d’informations supplémentaires permettant de mieux connaitre les périodes historiques traversées, les personnages, leurs points de vue, leurs analyses mais aussi d’échanger avec eux !

    Pour les livres papier, une complémentarité :
    A l’heure de l’ultra mobilité, des tablettes et l’été approchant, l’option «livre numérique» arrive à point nommé et permet d’emporter partout plusieurs livres dans ses bagages.

    A propos de Bouquineo.fr & Chemins de tr@verse :
    Chemins de tr@verse est une maison d’édition numérique spécialisée dans l’édition et la commercialisation de contenu sous format numérique, lisible sur des supports spécialisés aussi bien que sur un ordinateur ou même parfois sur un téléphone portable. Bouquineo.fr est une marque de Chemins de tr@verse qui propose une large gamme de livres numériques : littérature, éducation, savoirs, culture et loisirs, jeunesse.

    Aujourd’hui, Bouquineo.fr et Chemins de tr@verse proposent leurs ouvrages numériques en impression à la demande, leur but étant de stimuler l’appétit de lecture grâce à ces nouveaux modes de consommation, en allant bien au-delà de la simple transposition des contenus.