Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Lancement du PSD de Leyio : avril 2009

    Unique en son genre, cet objet communiquant ouvre de nouveaux horizons en permettant à l’utilisateur de stocker et partager leurs contenus numériques favoris en mode « offline », de manière conviviale, gratuite et en totale liberté. Cette semaine, Leyio nous dévoile en détails les caractéristiques de ce nouveau bijou de technologie.

    Simplicité de connexion et de transfert
    Que l’utilisateur soit équipé d’un Mac ou d’un PC, l’ordinateur reconnaît automatiquement le Leyio. Pas d’installation complexe, il fonctionne en « plug and play » comme un périphérique externe. Très pratique, le Leyio utilise la technique du glisser-déposer (« drag and drop ») pour échanger avec l’ordinateur, d’un sens ou dans l’autre. Dans le ventre du Leyio, une mémoire flash de 16GO, largement suffisante pour stocker et partager ses contenus numériques favoris.

    Un accès pratique et ultra sécurisé
    A part vous, personne d’autre ne peut accéder à votre Leyio. Ici, inutile de taper votre code PIN à chaque mise en veille pour vous identifier, un capteur d’empreinte (le « fingerprint touch control ») reconnaît votre empreinte digitale au passage de votre doigt : un moyen beaucoup plus rapide et sécurisé d’accéder à vos contenus, dont certains peuvent être très confidentiels.

    La société Atrua, qui conçoit le « fingerprint touch control », a opté pour une méthode de reconnaissance d’empreinte digitale (‘Minutia Matching’), notamment utilisée dans le domaine de la biométrie. Le « fingerprint touch control » de Leyio est le plus petit du monde et permettra une identification du doigt, même par temps humide ou froid.

    Une navigation très intuitive dans huit univers numériques
    LEYO

    La navigation du Leyio est simple, intuitive et conviviale…là encore grâce au « Fingerprint » qui joue aussi ce rôle. L’utilisateur navigue dans les huit univers contenant toute sa vie numérique : photos, vidéos, musique, liens web, cartes de visite, avatars, documents (fichiers Word, Excel, Powerpoint, PDF, etc.). Un ami vous transfère un fichier ? Il s’ajoute automatiquement dans la boîte de réception « Inbox » du Leyio, neuvième icône de navigation. L’utilisateur a tout loisir par la suite de transférer ces fichiers vers son ordinateur pour en lire le contenu.

    La navigation dans le Leyio s’apparente à celle d’un explorateur classique : l’avantage est de pouvoir sélectionner quels fichiers vous souhaitez partager, sans montrer à qui que ce soit l’ensemble de vos contenus. Un nouveau gage de confidentialité.

    Leyio, objet de partage universel
    Leyio permet de partager dans la rue, en mode « offline » et avec n’importe quelle clé USB, ordinateur et évidemment… avec un autre Leyio.

    – Avec une clé USB : c’est ce qui fait l’universalité du Leyio. Il dispose d’un port USB qui lui permet de partager avec tout le monde, à tout moment et n’importe où. Insérez la clé USB dans le Leyio et son contenu s’affiche alors immédiatement sur l’écran, en mode partage. Envoyer la vidéo de votre mariage ? Cela vous prendra environ 20 secondes (pour un fichier de 200 Mo).

    – Entre deux Leyios : c’est évidemment la façon de partager la plus « fun ». Après une séquence d’appairage très simple (appui long sur le bouton central du Leyio, environ 2 sec.), les objets peuvent échanger à distance ! Comment ? En effectuant un simple geste (le « flick ») que l’on pourrait apparenter au lancer de carte du croupier à une table de jeux. Leyio dispose effectivement d’un accéléromètre 3 axes qui détecte le mouvement et déclenche le transfert.

    Mais la force du Leyio, c’est la vitesse de transmission : vous êtes au restaurant, discutez de vos vacances et souhaitez envoyer les 100 photos prises en Tunisie vers le Leyio de votre meilleur ami ? Un geste et 5 secondes plus tard, l’album est transféré. A cette vitesse, l’envoi d’une carte de visite ou d’un lien web dans un cadre plus professionnel devient instantané. La technologie utilisée ? L’UWB (Ultra Wide Band) qui, sur le Leyio, atteint une vitesse de transfert d’environ 10 Mo/s (beaucoup plus rapide que le Wi-Fi) et ne nécessite aucun abonnement ni aucun point d’accès quelconque.

    – Avec un ordinateur : Le Leyio peut évidemment partager avec un ordinateur, et ce de plusieurs façons. Via le câble USB fourni (reconnaissance immédiate sans installation préalable), mais aussi grâce à une mini-clé USB de 2 Go (appelée « navette ») insérée dans le Leyio et que l’on peut détacher. Pratique si vous n’avez pas le câble avec vous…

    Renforcer les liens avec sa communauté
    Outre le partage de contenus, le Leyio permettra d’agrandir et renforcer les liens avec sa communauté. Au fur et à mesure de ses rencontres, le possesseur du Leyio pourra envoyer son avatar (Facebook, Myspace…) préféré à un nouvel ami, un ancien collègue ou une rencontre prometteuse. Au regard des multiples invitations reçues chaque jour sur sa boite mail (pour certains, cela s’apparente à du « spam »), « devenir ami » avec Leyio prend tout son sens : un contact naturel, convivial et authentique.

    A l’heure ou nos vies « virtuelle » et « réelle » se confondent, le Leyio fait le lien entre ses deux mondes en une expérience inédite et très humaine : le partage numérique « dans l’instant » ou «en live». Avec le Leyio, on partage bien plus que du contenu.

  • Com6 et e-Citiz unissent leurs expertises en faveur de l’accessibilité du web aux handicapés

    Une démarche ancienne

    Les deux entreprises partageaient déjà une dizaine de dossiers en commun et par cet accord vont  mutualiser officiellement leurs savoirs faire respectifs en matière d’e-administration et de construction de site.

    Com6 et e-Citiz se sont ainsi rendues compte de la complémentarité de leurs solutions informatiques et de leur avance en matière d’accessibilité des solutions au plus grand nombre, dont les populations à handicap – mal ou non voyants.

    Techniquement ce partenariat s’exprime par la réunion des solutions Anan6 (Com6) et e-Citiz (Groupe Genitech) qui permettent la mise en ligne de solutions « nativement accessibles ». Les plateformes ont-été construites afin de garantir l’accessibilité par construction, pré-requis indispensable au développement de solutions viables pour le plus grand nombre, dont les populations à handicap – mal ou non voyants.

    L’accessibilité du Web aux populations à handicap : un enjeu d’intérêt public et national

    On constate un important retard européen et en particulier français en matière d’accessibilité du Web aux handicapés.

    En février 2005 la loi sur le handicap (sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées) est votée. Elle aborde un certain nombre de thèmes dont celui de l’accessibilité qui oblige tous les établissements recevant du public à se mettre en conformité (par exemple mettre en place des rampes d’accès). Les décrets d’application seront encore discutés ce mois de février et devraient rentrer en vigueur d’ici juin 2009 sous la pression des institutions européennes.

    Dans le cadre de cette mise en conformité, les standards d’accessibilité français vont devoir être complétés afin de rejoindre de la norme Internationale. E-Citiz et Com6 avaient choisi d’être ouverts à la norme internationale (WAI) dans la construction de leur offre – ce qui n’est pas le cas des trois quarts des SSII du marché français.

    Comme l’indique Grégoire Aubry de la société Com6  « La solution packagée proposée par e-Citiz et Com6 peut donc intéresser un grand nombre de communes et d’établissements publics. Le site de la ville de Béthune, qui sera livré fin mars, est un bon exemple de cette collaboration ».

    Déjà très présents sur les projets informatiques du domaine public, le groupement met en commun ses compétences sur ce dossier afin de proposer un site centrer davantage sur l’usager et sur les services rendus en ligne.

  • L’apport de la téléphonie mobile aux Services à la personne

    Le Ministère de l’Economie, de l’industrie et de l’emploi via la Direction générale des entreprises (Direction générale de la compétitivité, de l’industrie et des services – DGCIS depuis janvier 2009), a lancé en 2008, en partenariat avec l’Agence nationale des services à la personne (ANSP), un appel à projets « Services à la personne – innover pour développer l’offre de services ». Après une étude détaillée de plus de 180 dossiers, Prylos, jeune entreprise innovante spécialiste des applications mobiles pour les professionnels et le grand public, a été l’un des premiers dossiers retenus pour son projet : «  L’apport de la téléphonie mobile au secteur des services à la personne ».

    L’innovation technologique et la professionnalisation sont au cœur des priorités de l’Agence pour 2009. Le projet de Prylos, visant à utiliser une application du téléphone portable comme outil permettant aux professionnels de mieux se structurer et de sécuriser leurs services aux particuliers a ainsi rencontré l’unanimité.

    La solution, intitulée Y-Dom, est une application mobile dédiée aux producteurs de services à la personne,leur offrant une solution pour mieux gérer le planning des interventions et contrôler leur bon
    déroulement. Cette solution rend également possible la suppression des papiers, processus lourd et onéreux, et qui plus est, améliore significativement la qualité globale du service ainsi que son efficience.

    Y-Dom peut aussi être un outil de traçabilité et de contrôle de la bonne utilisation de l’Allocation personnalisée d’Autonomie, aide d’Etat pour les personnes en perte d’autonomie de plus de 60 ans.

    Prylos a articulé le lancement de son projet ASAP en 2 temps :

    1- Une première phase opérationnelle pour tester et améliorer l’offre avec une mise en place du système Y-Dom auprès de 235 intervenants du secteur.
    2- Une seconde phase prospective au cours de laquelle, Prylos étudiera de nouvelles pistes pour développer des services mobiles complémentaires et innovants, comme la dématérialisation du moyen de paiement (Chèque emploi service universel), la formation des intervenants, ou encore l’optimisation de la gestion des interventions.

    Le projet réunit 17 partenaires représentatifs du secteur : producteurs (publics et privés, de toute taille et géographie, avec des profils d’intervenants et des métiers variés), enseignes, financeurs (conseils
    généraux), fédérations et opérateur mobile. (Références disponibles sur demande).

  • Succès de la première expérience de salle virtuelle : 3 200 internautes ont assisté au concert des trois baudets sur paris.fr

    3200 internautes se sont connectés pour assister au spectacle de Cécile Hercule, jeune et talentueuse artiste de la chanson française qui se produisait pour la première fois sur cette scène prestigieuse. Une façon originale de démultiplier l’impact de cette soirée organisée dans cette salle de 250 places.

    Un chat couplé à la retransmission du concert a permis aux internautes en ligne d’échanger leurs impressions en direct, leurs commentaires, leurs traits d’humour.
    Du virtuel au réel, l’un d’eux après avoir visionné le spectacle en ligne et participé au chat, s’est ensuite déplacé pour rencontrer artistes et spectateurs et finir la soirée autour du bar des trois baudets.

    Julien Bassouls, directeur des trois baudets, terminait son discours d’inauguration en disant « il ne fallait pas me donner une salle de spectacle, maintenant il va tout le temps s’y passer
    des trucs
    ». Il est très heureux d’avoir pu filmer ce premier concert de Cécile Hercule, « il faut créer des archives autour de la chanson, aujourd’hui on a pas de vidéo de Baudelaire et
    c’est vraiment dommage. Dans 100 ans, on regardera Cécile Hercule à ses débuts avec étonnement
    ».

    Un extrait de la retransmission est consultable sur :
    http://www.dailymotion.com/mairiedeparis/video/x8c2xb_cecile-hercule-aux-trois-baudets_creation et le concert sera très prochainement accessible sur paris.fr TV.

    Cette expérience a été rendue possible grâce à l’implication d’AF 83, une start up parisienne située dans le quartier Numérique (Paris, 2e) et au soutien de SFR, partenaire de l’opération.

    La Ville souhaite réitérer cette initiative et offrir de nouvelles façons de goûter à la culture parisienne, en permettant à tous les publics d’y accéder de façon originale.

  • NVIDIA Tegra du multimédia HD sur mobile à bas coût

    NVIDIA Corporation (Nasdaq :NVDA), l’inventeur du processeur graphique, présente aujourd’hui une nouvelle plate-forme basée sur NVIDIA Tegra 600, ordinateur-sur-une-puce qui permet aux terminaux internet mobiles HD (MID) d’être toujours disponibles et toujours connectés et de fonctionner plusieurs jours sans recharger la batterie.

    Cette plate-forme permettra aux OEM de construire et mettre rapidement sur le marché des terminaux que les opérateurs télécoms pourront proposer à 99 $ — avec une connexion haut débit et tout le contenu HD disponible sur le Web au service du public.

    « Les terminaux internet mobiles ont évolué pour apporter les performances et les connexions dont ont besoin les consommateurs dans leur vie quotidienne », a déclaré Michael Rayfield, general manager de la division mobile chez NVIDIA. « Jusqu’à présent, les consommateurs pouvaient s’acheter un autre « gadget » avec des fonctionnalités limitées ou bien un PC qui n’est pas toujours disponible. Une machine équipée de Tegra associe le meilleur des deux mondes. »

    Le Tegra MID propose :
    De lire des vidéo en 720p et 1080p
    D’être utilisée pendant des jours sans être rechargé
    D’avoir une connexion Wi-Fi et 3G
    De prendre en charge du matériel optimisé pour les applications Web 2.0 et disposer d’un véritable environnement internet digne d’un PC de bureau
    D’avoir une solution logicielle complète avec Microsoft Windows CE, les visionneuses d’applications, le navigateur Internet, UI framework (pour naviguer dans les objets de l’interface), BSP (board support package), kit SDK, client Web mail, etc.

    « La nouvelle génération d’appareils intelligents, connectés et orientés services est centrée autour des applications multimédia riches et des fonctionnalités améliorées », a déclaré Mukund Ghangurge, Directeur des produits grand public chez Microsoft Corp. «Nous sommes ravis de collaborer avec NVIDIA pour développer une plate-forme qui permet aux OEM de mettre ces nouveaux appareils rapidement sur le marché».

    De plus, NVIDIA s’est associée à ST-Ericsson pour ajouter la fonction de communication 3G dans cette nouvelle plate-forme, pour être simplement connecté avec le monde entier.

    « ST-Ericcson et NVIDIA ont développé une mise en œuvre Microsoft Windows Embedded CE en utilisant ST-Ericsson U335 et NVIDIA Tegra et qui est prête à l’emploi par les clients pour développer leurs produits », a déclaré Jörgen Lantto, Chief Technology Officer de ST-Ericsson. « Cette solution tire parti de notre technologie modem U335, testée et éprouvée et avec NVIDIA, nous allons porter les performances multimédia dans une autre dimension. »

    ICD, un des principaux ODM, a annoncé son soutien à cette nouvelle gamme d’appareils équipés de cette nouvelle plate-forme.

    « ICD pense depuis longtemps qu’une nouvelle génération de terminaux connectés innovants devrait émerger. La conception de ces appareils autour de la plate-forme Tegra permettra aux opérateurs de disposer d’un niveau incroyable de fonctionnalités à des prix aux alentours de 99$ », a déclaré David Hayes, Président et CEO de ICD.

    Par ailleurs, NVIDIA annonce collaborer étroitement avec Google et Open Handset Alliance pour déployer Android, pile logicielle ouverte pour téléphones portables, sur les processeurs « ordinateurs-sur-une-puce » Tegra. En prenant en charge Android, les fabricants et les opérateurs peuvent désormais facilement utiliser un processeur Tegra pour fabriquer des téléphones portables avec des fonctions avancées s’appuyant sur le contenu web et Internet et des services comme les mashups mobiles et les applications de localisation.

    « Nous accueillons favorablement la prise en charge d’Android sur Tegra par NVIDIA et nous nous attendons à ce que plusieurs autres appareils Android viennent par la suite », a déclaré Andry Rubin, directeur des plates-formes mobiles chez Google.

  • Première mondiale : Immersion présente CubTile : l’innovation 3D au bout des doigts !

    Immersion CubTile

    Immersion, leader français de l’innovation et de l’intégration de solutions de réalité virtuelle et de visualisation, présente CubTile, une technologie de pointe, en première mondiale.
    D’une taille restreinte (25x21x21), CubTile est le premier outil tactile multi-faces et multipoints adapté à la réalité virtuelle, intuitif et à la portée de n’importe quel utilisateur. Le CubTile est une réelle innovation qui tire parti des avantages des tables tactiles et les dépasse même en offrant une manipulation intuitive des projets numériques 3D.

    Comme son nom l’indique, il s’agit d’un objet cubique qui capte  les ombres des doigts, sur toutes ses faces. L’information est transmise à un ordinateur où des algorithmes de calcul traduisent les données gestuelles en actions  sur chacune des faces du cube.

    Conçu pour un usage intuitif – les gestes utilisés pour l’interaction sont ceux que toute personne effectuerait lors de la manipulation d’un objet – CubTile permet de manipuler facilement, selon les 6 degrés de liberté, des contenus 3D, quelle que soit leur complexité. A titre d’exemple, on peut tout à fait naviguer dans sa prochaine maison ou manipuler le prototype d’une future automobile, puisque l’outil permet d’appréhender l’apparence et les volumes : dans ses usages industriels, CubTile est un véritable outil d’aide à la décision.

    Les utilisateurs potentiels de CubTile sont légion car l’outil est adapté à de nombreux corps de métiers : architectes, designers, urbanistes, ergonomes, visiteurs de musée et acquéreurs de voiture !

    Offrant de nouvelles méthodes d’interaction et de visualisation, les applications de CubTile sont infinies, de multiples combinaisons sont possibles, car CubTile permet aussi d’intégrer des applications comme Google Earth™.

    Issu de la R&D d’Immersion, CubTile s’est inscrit dans le projet européen Open Interface et est actuellement appliqué au domaine muséal au travers du projet ANR Care.

  • LOUVRE-DNP MUSEUM LAB les technologies du futur misent en oeuvre pour la beauté de l’Art !

    DNP-LOUVRE

    DNP est une des plus importantes imprimeries du monde avec 12 Milliards d’Euros de chiffre d’affaires. A l’origine simple imprimeur, elle a su se diversifier dans toutes les technologies et supports d’impression, du papier, au métal en passant par la préparation des circuits imprimés pour l’industrie informatique, DNP a souhaité par son action au MUSEUM LAB montrer le savoir-faire nippon à matière d’impression et d’utilisation des nouvelles technologies numériques.

    Né d’une alliance des savoir-faire du musée du Louvre et de la société Dai Nippon Printing, Louvre – DNP Museum Lab est un espace de réflexion privilégié sur les outils de médiation muséographique. Chaque nouvelle présentation introduit des dispositifs multimédias inédits

    L’entreprise a mis en place un show-room regroupant une exposition prototype intégrant toutes les technologies multimédia qu’un musée d’art peut mettre en place pour assurer la médiation d’une œuvre.

    Au programme, la traçabilité du visiteur, l’interactivité, le questionnement, la création numérique par le visiteur, son équipement de lecteurs multimédia, de tickets d’entrée interactifs qui lui permettent, en sortie de visite de récupérer des créations liées à l’oeuvre effectuées lors de sa visite…

    Le circuit de visite est réellement interactif au MUSEUM LAB (l’exposition lors de notre visite était : « Van Hoogstraten, Les Pantoufles, la place du spectateur réinventée »), la muséographie est enrichie  d’outils permettant au visiteur de découvrir les oeuvres (une seule en test en occurrence au museum lab) de manière pédagogique. Une visite alternant compréhension de l’oeuvre, histoire de l’oeuvre et de l’artiste, appréhension des détails, grâce au traitement informatisé de l’oeuvre, approche des détails, questionnaire et quizz interactif pour rendre la visite ludique et pour finir réalité augmenté avec personnage de cartoon qui apparait comme guide sur un lecteur vidéo multimédia qui présente à destination des petits mais aussi des grands les détails techniques.

    Une visite réellement captivante, qui promet un futur «numérique» aux musées et aux oeuvres

    Plus d’information sur le laboratoire et ses expositions effectuées en partenariat avec le Louvre : www.museumlab.jp/francais/

    Source : Compte rendu de mission, deuxième jours de voyage d’étude au Japon organisé par Transinnova, Virtual Tech 3 «Digital Japan» du 12 au 21 janvier 2009, Tokyo – Osaka – Kyoto

  • Alioscopy équipe les plus grands aéroports chinois d’écrans 3D relief sans lunettes

    alioscopy
    La première installation a d’ores et déjà été effectuée dans l’aéroport de Shenzen où 9 écrans Alioscopy  permettent aux voyageurs de visionner des spots publicitaires en relief sans lunette. Une seconde installation sera inaugurée le 15 Mars prochain à l’aéroport de Guangzhou (Canton) où 29 écrans relief seront disposés dans les différents halls.

    La société Air Media, qui détient et gère le principal réseau d’affichage dynamique dans les aéroports en Chine (plus de 2.000 écrans installés) est partie intégrante du projet. Air Media va intégrer les écrans Alioscopy dans son offre et commercialiser des espaces publicitaires relief auprès de ses annonceurs. L’offre intègre également des prestations de création de contenus et de support afin de permettre aux annonceurs chinois  de créer des spots en relief.

    L’objectif de l’accord est d’équiper à terme les 30 plus grands aéroports chinois, avec un marché potentiel compris entre 500 et 1000 écrans relief.

    Ce contrat représente la première installation d’envergure d’écrans relief auto stéréoscopiques dans des aéroports dans le monde, couplée à une véritable offre d’achat d’espaces et de support à destination des annonceurs.

    Alioscopy réaffirme ainsi son leadership sur le marché de l’affichage relief sans lunettes, tant au niveau de la qualité de son offre que du caractère novateur des applications mises en œuvre par ses clients.

    Alioscopy : la seule technologie relief naturelle

    Le relief est une sensation produite par le cerveau, à partir d’une vision différenciée de l’œil gauche et de l’œil droit (vision stéréoscopique). C’est pourquoi le cinéma en relief par exemple, utilise des lunettes spéciales qui permettent à chaque œil de ne voir que l’image qui lui est destinée.

    La technologie mise en œuvre par Alioscopy sur ses écrans permet de s’affranchir des lunettes. Elle consiste à mélanger non plus 2 mais 8 images. Un composant optique, appelé réseau lenticulaire, est positionné très précisément sur l’écran. Les microlentilles de ce réseau agissent comme des loupes, qui agrandissent l’un des 8 points de vue de l’image, différent selon l’angle sous lequel on se place. Les deux yeux ne regardant pas l’image sous le même angle perçoivent chacun une image distincte, permettant au cerveau de restituer un parfaite sensation de relief. C’est en quelque sorte l’écran qui porte les lunettes au lieu du spectateur.

    En outre, les réseaux lenticulaires offrent l’avantage de restituer toute la luminosité de l’écran. Leur extrême finesse les rend invisibles aux spectateurs. Ils n’altèrent cependant pas l’affichage d’images plates, ce qui rend les écrans Alioscopy compatibles avec tous les contenus existants.

    Résultat : la technologie Alioscopy se caractérise par une image d’une grande netteté, et une amplitude exceptionnelle du relief simulé, généralement équivalente en profondeur à la diagonale de l’écran. Un écran de 42″ permettra ainsi de représenter une scène d’un mètre de profondeur, voire bien davantage avec certains contenus adaptés, qui peuvent jaillir à 2 mètres au devant de l’écran, ou s’enfoncer de 3 mètres en arrière.

    De l’avis de ceux qui ont pu comparer le ‘rendu’ des différentes solutions, Alioscopy est la seule technologie relief ‘naturelle’, suffisamment performante pour se faire oublier. Les spectateurs se laissent prendre par la magie de l’image et se concentrent alors sur le message visuel.

    Alioscopy propose aujourd’hui des écrans  de 24″ et 42″.

  • Demolition Derby Racing : Les mauvais conducteurs sont sur mobile !

    GLU DEMOLITION DERBY

    Pour survivre à ce carnage routier, personnalisez votre bolide pour améliorer ses performances ou récupérez des bonus destructeurs à envoyer sur vos adversaires.
    Tiendrez-vous le choc ? Le système de collisions, ainsi qu’un suivi des dégâts précis et détaillé, vous informe de l’état de santé de votre bolide en temps réel.

    Oubliez le code de la route pour imposer le vôtre à coup de pare-choc !

    Caractéristiques :
    •    Endommagez les voitures adverses sur circuit dans des courses diaboliques ou dans des arènes surchauffées !
    •    Un système de collisions et de casse précis et détaillé.
    •    Un max d’explosions, de feu et de fumée !
    •    De nombreux bonus (booster nitro, bouclier…) sont à votre disposition pour éliminer les concurrents.
    •    Personnalisez et améliorez les performances de votre bolide !

    Source : Glu par email