Étiquette : enseignement

  • La robotique, un véritable outil pédagogique pour les sciences

    La robotique, un véritable outil pédagogique pour les sciences

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    Chez Génération Robots, « nous pensons que la robotique constitue un support d’apprentissage permettant de tracer un lien tout au long du parcours de l’apprenant, du collège jusqu’aux études supérieures. La robotique a cela de particulier qu’elle permet de concrétiser de nombreuses compétences illustrant par la même la progressivité et la complexité d’un projet innovant« , déclare Jérôme Laplace, Directeur.

    Les avantages de la robotique en tant que support pédagogique

    Parmi les nombreux avantages, on pourra citer :

    ● Sans doute l’une des premières raisons mise en avant par les enseignants: la robotique intéresse les jeunes ! Le simple fait de présenter le robot mobilise tout de suite l’attention et souvent fascine même les plus réticents à l’apprentissage des sciences et des techniques.

    ● Le projet robotique favorise le travail en équipe et la communication et même, dans les cas les plus avancés, il permet une première sensibilisation à la gestion de projets.

    ● Via la robotique, les élèves se frottent à la réalisation d’un projet dans le monde réel et apprennent ainsi son caractère complexe : l’environnement du robot pose des problèmes variés, les capteurs sont imprécis et il peut y avoir des problèmes inattendus comme des obstacles ou des moteurs qui chauffent ! Il s’agit d’une bonne formation à la résolution de problèmes et un bon exemple de passage de la théorie à la pratique.

    ● Comme nous l’avons souligné plus haut, la robotique est par essence multidisciplinaire.

    ● De plus en plus de kits robotiques éducatifs sont disponibles et surtout, de plus en plus de documentations, d’exemples et de didacticiels sont publiés.

    ● La robotique associée à l’intelligence artificielle est vue par certains comme l’une des trois grandes révolutions technologiques majeures de ce siècle avec les nanotechnologies et les biotechnologies. Enseigner les sciences et la technologie en s’appuyant sur la robotique, c’est faire le pari de l’avenir, le pari de l’innovation technologique.

    ● Enfin, comme toutes les grandes révolutions technologiques, la robotique pose des problèmes d’éthiques qu’il est intéressant d’aborder avec les élèves.

    Tous ces points peuvent être résumés dans les qualités suivantes : la robotique est innovante, amusante, motivante et épanouissante et il s’agit donc d’un support de choix pour les projets pédagogiques.

    Génération Robots s’implique dans ce domaine bien particulier de la robotique pour l’éducation

    Depuis sa création en 2008 par Jérôme Laplace, Génération Robots propose le meilleur de ces kits robotiques pour l’éducation. La spécificité de Génération Robots est d’ailleurs de proposer un éventail de gammes adapté aux différents niveaux d’étude et pour chaque gamme, de proposer un large choix de capteurs et d’accessoires afin de pouvoir laisser toute liberté aux enseignants de construire le support de leur choix.

    Ainsi, le kit robotique Lego Mindstorms NXT ou bien le Scribbler 2 sont-ils des robots tout à fait adaptés au niveau collège. Ces robots programmables grâce à des interface graphiques par simples glisser-déposer ne nécessitent que la logique et la réflexion comme préalable pour programmer un robot de suivi de ligne au sol ou un robot mobile qui va éviter les obstacles en toute autonomie.

    Au lycée, l’enseignant de physique se tournera plutôt vers les robots de la gamme Parallax comme le Boe-Bot ou le Sumobot qui font une large place à l’électronique de base, sans soudure et qui illustrent les phénomènes électriques et électroniques présentés au Lycée.

    Au contraire, les robots de la gamme Vex Robotics vont plutôt mettre l’accent sur la mécanique, sur les forces où l’on pourra mettre à profit la structure en aluminium des robots, robuste et légère ainsi que les différents moteurs, poulies et engrenages, constituant ainsi un support pédagogique de choix pour ces matières.

    Enfin, toujours au Lycée, on pourra retrouver le robot Lego Minstorms NXT avec sa palette très impressionnante de capteurs et accessoires où l’emphase est ici mis sur la programmation, la logique et l’algorithmique. Les élèves n’ayant pas le niveau suffisant pour programmer les robots Lego en langage C pourront tirer avantage du langage graphique fourni avec le kit Lego.

    Quel que soit le niveau, des projets transverses pourront être réalisés comme un robot mobile d’extérieur tirant son énergie de panneaux solaires.

    Au delà du niveau Lycée, des robots plus complexes et plus précis sont proposés. On citera le robot Eddie, base roulante embarquant un PC portable et supportant un capteur Microsoft Kinect. D’autres robots sont très populaires en université et école d’ingénieurs : les robots Khepera, les E-puck et le tout dernier de la famille des robots Suisses, le kilobot, robot miniature permettant de travailler sur la robotique collaborative aussi appelée robotique en essaim.

    Les enseignements de robotique, de traitement d’image et d’intelligence artificielle tireront aisément un grand bénéfice de ces supports haut de gamme. Ces mêmes robots sont utilisés dans de nombreux laboratoires de recherche dans le monde entier. Il est donc pertinent au niveau éducatif d’utiliser les mêmes plateformes que celles que les élèves diplômés et se destinant à la recherche pourront trouver dans les laboratoires de recherche qui vont les accueillir.

    Au delà du simple catalogue de produits robotiques

    Les équipes de Génération Robots ont compris que promouvoir la robotique pédagogique ne consiste pas seulement à proposer un catalogue de produits adaptés et sélectionnés même s’il s’agit d’un préalable obligé.

    Génération Robots est une TPE, constituée par des passionnés et pour faire vivre cette passion, l’équipe a conçu en 2010 un manuel d’apprentissage de la programmation graphique des robots Lego, en français, conçu pour les débutants en programmation qui n’ont aucune compétence en programmation ou en robotique. Ce livre, commercialisé sur le site de Génération Robots est apparu comme une nécessité suite aux nombreux échanges que nous avons eu avec les enseignants de tout niveau. En effet, se préparer à explorer un domaine scientifique nécessite de connaître le fonctionnement de base des outils utilisés.

    « Notre implication dans l’organisation et la diffusion des savoir-faire en robotique personnelle pour l’éducation va croissant. En 2012, Génération Robots publiera le second tome du manuel de programmation Lego et, plus que tout, va lancer une plate-forme de diffusion et d’échange de cours, TP, plans et exemples de programmes robotiques, accessible gratuitement à tous. Là encore, Génération Robots répond à un besoin exprimé par ses clients et s’engage pour favoriser la diffusion de la robotique dans le milieu éducatif« .

    Plus d’infos :
    Pour en savoir plus sur Génération Robots et sur la plate-forme d’échange de cours et didacticiels de robotique pédagogique, rendez-vous sur www.generationrobots.com

  • GED : Perceptive Software propose sa solution de gestion de contenu en «déploiement à la demande»

    Perceptive Software offre aux entreprises une solution de GED qui répond à leurs besoins métiers et s’adapte à leurs contraintes financières, quels que soient leur structure et leur secteur d’activités.

    Perceptive Software, éditeur mondial de solutions de gestion de contenu d’entreprise (ECM) et de gestion des processus métiers (BPM), présente les options de déploiement de son offre, adaptées à l’organisation et aux contraintes financières des entreprises.

    Des solutions adaptées aux contraintes techniques et financières des entreprises
    En concentrant ses développements sur les besoins métiers spécifiques de ses clients et leurs attentes en termes d’efficacité et de rentabilité, Perceptive Software développe des solutions de GED flexibles, évolutives et performantes.

    D’une part, la technologie exclusive et brevetée « Learn Mode » de Perceptive Software permet une intégration rapide et un déploiement en toute transparence au sein de l’organisation sans développement spécifique et sans intervenir sur le SI. Et ce, pour tous les logiciels et applications métiers utilisés.

    D’autre part, la «prise en main» intuitive, quel que soit le niveau de compétence de l’utilisateur, rend la solution ImageNow immédiatement opérationnelle.

    Cette approche et cette compréhension des besoins des entreprises ne se limitent pas aux fonctionnalités. Cela détermine également la façon dont Perceptive Software propose aux entreprises de déployer ses solutions en fonction de leur organisation et de leurs secteurs d’activités.

    Un choix économique pertinent
    Perceptive Software propose quatre solutions de déploiement qui s’adaptent à l’organisation ainsi qu’au contexte budgétaire et financier de l’entreprise.

    Le SaaS (en cloud privé ou public) est l’offre la moins coûteuse, particulièrement destinée aux entreprises dont la taille et la structure ne justifient pas le choix d’une solution globale.

    – Abonnement à la carte (mensuel, trimestriel ou annuel) pour accéder aux solutions Perceptive Software.
    – Système et infrastructure associée pris en charge par Perceptive Software dans son centre de données sécurisé.

    L’abonnement
    – Abonnement à la carte (mensuel, trimestriel ou annuel) pour accéder aux solutions Perceptive Software.
    – Système et infrastructure associée gérés et exploités par l’entreprise sur son site.

    L’hébergement
    – Achat d’une licence perpétuelle pour les solutions Perceptive Software.
    – Système et infrastructure associée pris en charge par Perceptive Software dans son centre de données sécurisé.

    L’offre traditionnelle
    – Achat d’une licence perpétuelle pour les solutions Perceptive Software.
    – Prise en charge de la globalité des offres Perceptive Software
    – Système et infrastructure associée gérés et exploités par l’entreprise sur son site.

    Un investissement pérenne, sécurisé et évolutif
    Utilisé dans le cadre de l’offre de SaaS et d’hébergement, le centre de données sécurisé souligne la valeur-ajoutée apportée par le déploiement à la demande Perceptive Software :

    – Pas d’investissement important à concrétiser pour bénéficier d’une infrastructure et d’un système performants
    – Suppression des coûts de déploiement et de maintenance
    – Bénéfice des dernières mises à jour, sans investissement supplémentaire, s’adaptant à l’évolution de l’entreprise
    – Réseau fiable et ultra performant, répondant aux dernières normes, supervisé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an.

    A propos de Perceptive Software
    Perceptive Software, division autonome et indépendante de Lexmark International, développe et édite des logiciels de gestion de contenu d’entreprise (ECM), de gestion des processus métiers (BPM) qui offrent aux entreprises une gestion simplifiée de l’intégralité du cycle de vie de leurs documents et informations stratégiques, renforçant leur efficacité opérationnelle. De nombreuses entreprises dans plus de 30 pays font confiance à Perceptive Software pour simplifier leur processus métier grâce à des solutions d’ECM et de BPM rentables, avec un impact immédiat et durable.

    www.perceptivesoftware.fr

  • DYMO/Mimio valorise le E-Learning.

    DYMO/Mimio présente une approche spécifique du E-Learning fondée sur sa solution TNI interactive mobile.

    Employée au CNAM depuis plusieurs années par Alain Cazes, maître de conférence honoraire, la solution proposée autour des outils DYMO/Mimio, met en lumière une approche complémentaire du présentiel par une numérisation (appelée mode capture) du processus opéré en amphithéâtres, salle de classe ou de travaux dirigés, aussi bien pour le discours de l’enseignant que pour ses écrits au tableau classique.

    Ainsi, l’enregistrement numérique du cours réel, récupéré à travers un serveur, une solution de stockage en ligne (FTP par exemple) ou encore via une clé USB, offre aux élèves présents et a fortiori aux absents, le moyen de revoir la séance dans son intégralité et à son rythme. En outre, lorsque la salle de cours dispose d’une connexion Internet haut débit, le cours numérisé peut-être reproduit à distance et en temps réel pour des étudiants situés dans un autre lieu. Dans ce cas, et à la différence d’une Web conférence, les étudiants éloignés bénéficient également de l’interactivité inhérente à la solution TNI.  Dans ce cadre, l’E-Learning est vu comme une extension du cours traditionnel, où l’enseignant est au centre du dispositif qui peut, le cas échéant, intégrer des jeux sérieux, voire des modules de cours préfabriqués.

    Face au défi rencontré par l’université en termes de surpopulation des amphithéâtres et des difficultés dues à l’éloignement des étudiants, la solution E-Learning construite autour des outils DYMO/Mimio, offre une réelle alternative souple et simple à mettre en œuvre. En effet, seule la solution TNI mobile de DYMO/Mimio est capable de s’adapter à n’importe quel contexte, sans infrastructure particulière à mettre en place. En effet, l’enseignant doit simplement fixer la barre de capture au bord de n’importe quel tableau classique (blanc, vert ou noir*), la relier au micro-ordinateur par une connexion sans-fil, lui-même raccordé au vidéoprojecteur. En mode E-Learning intégral, l’enseignant devra ajouter une Web-caméra et un microphone pour que son cours soit filmé. Ces accessoires sont proposés en option avec le Studio de cours nomade ou fixe intégrant la technologie DYMO/Mimio (voir sur le site : http://www.cimn-conseil.fr).

    Alain Cazes précise : « Bien que l’E-Learning représente un mode d’enseignement introduit depuis plus de 10 ans, sa définition demeure encore incertaine. Le contenu appliqué à cette appellation fait appel à de nombreuses interprétations : enregistrement et recopie audiovisuelle d’un cours traditionnel effectué en salle de classe, modules de cours conçus spécifiquement pour la mise en ligne (avec ou sans enseignant), tutoriels spécifiques pour des logiciels bureautiques… Or, l’expérience acquise au cours de cette dernière décennie montre que le transfert du savoir, notamment en milieu scolaire et universitaire, ne peut s’affranchir de la présence effective de l’enseignant face à ses élèves. »

    Il ajoute : « A cet égard, la solution DYMO/Mimio permet de proposer une approche du E-Learning qui valorise le rôle de l’enseignant tout en lui donnant les moyens d’introduire de la pédagogie interactive. »

    * Solution proposée par le partenaire DYMO/Mimio en France, Athena Global Services et SYSVAD l’intégrateur de cette solution

    Pour en savoir plus sur DYMO/Mimio, vous pouvez vous connecter :  www.mimio.dymo.com. Vous pouvez également suivre DYMO/Mimio sur Twitter @ MimioTechnology et via Facebook.

    À propos de DYMO/Mimio
    Fondée en 1997 par des chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology), la société Mimio a été créée dans l’objectif de concevoir des outils technologiques qui améliorent le transfert du savoir dans le cadre de l’éducation et de la formation. En associant le principe de la pédagogie interactive aux innovations introduites par le numérique, DYMO/Mimio se distingue par ses solutions destinées à offrir aux enseignants les moyens simples de mieux capter l’attention des élèves et de faciliter les processus cognitifs.

    À propos de Newell Rubbermaid Global Business and Technology Solutions
    DYMO est l’une des marques majeures du portefeuille d’activités de Newell Rubbermaid Global Business Technology Solutions. Dans un contexte économique exacerbé, DYMO concentre son énergie pour apporter au monde enseignant des solutions technologiques innovantes et faciles à mettre en œuvre, pour partager, gérer et organiser l’information avec efficacité.

  • L’e-école du spectateur pour des étudiants de l’IUFM de Foix

    L’e-école du spectateur pour des étudiants de l’IUFM de Foix

    Les constats sur la réflexion à apporter dans le cadre de leur enseignement :

    Les étudiants et la fréquentations des oeuvres culturelles en général :
    +++ la musique, la micro vidéo
    + le cinéma, les séries TV (le film)
    – la littérature, les arts vivants (théâtre, danse, cirque)
    – – : l’art contemporain, les musées

    Conséquences sur le département de l’Ariège ou surlignage de quelques enjeux :
    – Faibles fréquentations des lieux de cultures en dehors des orientations de prédilections
    – Faible connaissance des lieux et acteurs cultures sur le département
    –> un usage réduit pour de futurs pratiques professionnelles (enseignants ou autres)

    Les constats sur les usages du numérique mobile en général :
    ++ utilisations des réseaux sociaux (échange de “bon plan”, récit de vie, clavardage, égo-promotion, …)
    + profil de digital natives, mais …
    –  faible diversité des ressources numériques utilisés
    – – conscience faible d’une identité numérique en train de se construire

    Conséquences sur le département ou surlignage de quelques enjeux :
    –> accompagner les usages, les amener dans de nouveaux terrains (celui de la culture et des blogs)
    –> digital humanities

    En intégrant les remarques précédentes il est proposé aux étudiants de participer avec des outils numériques aux “dégustations de saison” organisées par la scène nationale de Foix (www.lestive.com). Leur participation est envisagée sous l’angle de la contribution.

    Le principe est relativement simple, au dispositif organisé par l’Estive, l’équipe de l’IUFM et les étudiants rajoute une “enveloppe communicante” par le biais de 2 réseaux sociaux (facebook et twitter). Sur le côté pratique, cela veut dire qu’en plus du public habituel, un second groupe constitué de 6 à 10 étudiants sera présent dans le lieu des dégustations et à l’aide de machines (ordinateurs, tablettes ou smartphone) fabriquera du micromessage en direct.

    Ces micromessages pourront renvoyés à des ressources web associées aux artistes ou aux produits proposés (vidéos, textes, images, blogs…) ou pourront exprimer ce qui se passe en direct (microjournalisme) et le partager via le réseau social.

    Ce dispositif permet donc au final :
    – d’exposer à des personnes non présentes ce qui se passe (–> il se passe des choses en Ariège !)
    – de conserver quelques microtraces de ces moments (–> école du spectateur avec une mémoire)
    – d’enrichir la dégustation par des médias associés (–> vers une réalité augmentée)
    – de mettre les étudiants dans un posture distincte de celle de spectateur traditionnel (–> interroger son regard, le partager, contribuer, exercer une nouvelle responsabilité)

    Les conditions de réussite du projet
    Il apparait évident que des moments de préparations sont nécessaires en amont de la performance microjournalistique.

    Maitrise de la réalisation de micromessage : (IUFM)
    – entrainement et questionnement sur la fabrication de ces micromessages
    – connaissance et appropriation des logiciels (les grains fin de Facebook, les interfaces liées à Twitter …)

    Se documenter en amont : (IUFM et Estive)
    sur les univers et les travaux des artistes récus
    sur la connaissance des dispositifs et d’écritures théâtrales
    se questionner sur le regard du spectateur

    @Ludomag était présent pour suivre et participer à l’expérience sur twitter le mardi 6 décembre de 19H00 à 21h00. Tous les tweets sont à retrouver sur le fil #degustationsFoix

  • Tablettes numériques en classe, un objet personnel utilisé en collectivité

    Tablettes numériques en classe, un objet personnel utilisé en collectivité

    Attrayantes par le système simplifié qu’elles embarquent, pratiques car légères et facilement mises en œuvre, leur utilisation en classe implique, comme tout autre investissement informatique, quelques précautions d’usage : risque de casse, vols, stockage dans un lieu sécurisé.

    Dans le cas de la Corrèze, où 6000 tablettes ont été confiées nominativement aux élèves, (prêtés par convention puis offertes quand ils quittent le collège), le risque de vol est jugé relativement limité car tous les élèves ont été doté «nominativement». Les élèves y font donc beaucoup plus attention, en prennent soin car c’est leur bien.

    «L’organisation et l’utilisation des usages et des possibilités personnelles font que les appareils ont été bien appropriés et sont traités avec beaucoup de respect. C’est ça qui fait qu’il n’ y a pas de problèmes de sécurisation», «ils ne se piquent pas leur trousse entre eux», nous précise Pierre Mathieu, Directeur du CDDP de la Corrèze.

    Pour ce qui est des protections contre les chocs, les tablettes ont été livrées avec une coque spécifique. De ce fait, on compte très peu de casse sur le volume, soit environ 0,6% du total mis à disposition.

    L’exemple du département du Rhône où 33 iPads ont été distribués dans un collège pour équiper une classe complète, pourra nourrir notre réflexion sur les précautions prises pour sécuriser ce type de matériel. Distribuées en début de cours et rendus en fin de cours, elles sont ensuite stockées dans un lieu sécurisé ou l’enseignant peut mettre en charge entre deux utilisations.

    «En tant que département, ces questions de sécurisation et de vol se sont posées. Nous avons acheté des coques pour protéger les iPads, mais pour l’instant, sur toute l’expérimentation, soit une dizaine de collèges concernés, nous n’avons jamais rencontré de problèmes» avoue Christophe Monnet, directeur adjoint du centre Erasme, la mission d’innovation numérique du département du Rhône.

    Dans le cas de l’expérience du département du Rhône, les enseignants ont préféré avoir un lieu où stocker le matériel et les brancher sur les chargeurs. La tablette n’étant pas nominative, on attribue à l’élève qui l’utilise un numéro qui lui est destiné ; chaque fois qu’il ’utilise la tablette, il doit reprendre le même numéro. Le jour où la tablette sort de l’établissement, on sait ainsi à qui on a donné la tablette.

    Ces deux exemples pourraient faire penser que les industriels et établissements ont apportés les solutions ou procédures nécessaires de sécurisation pour ce type d’équipements, même si les responsables de projet peuvent parfois être critiques.

    «Les réponses des industriels sont très à la traîne de ce qui est la vraie pratique dans les établissements», juge Christophe Monnet. «Aujourd’hui, on a des très beaux chariots pour les tablettes par exemple, mais si c’est un établissement à étage, cela n’est pas forcément judicieux. A notre échelle on fait de « l’artisanat numérique« ».

    Pourtant, les industriels proposent des offres techniques pour la sécurisation des tablettes : antivols, coques spécifiques,…

    Forts de leur expériences dans les milieux industriels, bancaires ou même dans les hôpitaux, ils ont mis au point des technologies dans ces secteurs qui commencent sérieusement à se déployer dans les établissements scolaires, notamment aux Etats-Unis où l’utilisation des tablettes est déjà largement expérimentée pour remplacer les manuels scolaires.

    «L’équipement des bibliothèques ou CDI en outils de protection pour tablettes est au point et pléthorique ; coques antivol, kiosques pour utilisation de tablettes en CDI, etc.», comme nous le précise Ludovic Lévèque de la société NELEA spécialisée dans les systèmes antivols et importateur exclusif des produits Maclocks. (Cf : http://www.elockstore.com)

    Mais les établissements se concentrent aujourd’hui essentiellement à l’objet «pédagogique» tablette, la gestion des parcs et sa conservation viendra plus tard dans les priorités, même si quelques cas de vols de tablettes ont eu lieu en Belgique il y a quelques mois.

    «Nous réfléchissons aux usages en premier, pour le moment, nous n’avons pas été confrontés à des vols, plutôt moins qu’à l’époque où l’on prêtait des ordinateurs portables, mais peut être que cela pourrait survenir à la longue», ajoute Christophe Monnet.

    Une chose est sûre aujourd’hui, élèves et enseignants apprécient de travailler sur tablette numérique en classe, avec en contexte un produit culturel à la mode qui révolutionne les usages. Le problème de la sécurisation ne ressort pas comme problématique dans les comités de pilotage des projets d’expérimentation, l’avenir nous dira si la tablette deviendra la calculette d’hier, objet commun et banalisé utilisé par tous les collégiens…

  • Nouvelle version de TOOLBAC

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    – Tous les contenus réactualisés
    – Sont intégrés de nombreux nouveaux podcasts dans toutes les disciplines !
    – L’interface utilisateur est plus ergonomique
    – Un espace personnel permet de mettre en ligne ses propres fiches à partir de www.wapeduc.net et de les étudier sur son Iphone
    – On trouve de nombreux nouveaux Quizz pour s’auto-évaluer.
    – Les conseils WapEduc/ToolBac pour l’orientation et la santé sont devenus cultes …

    Et si on possède un autre téléphone portable que l’IPHONE, tout cela fonctionne parfaitement en entrant l’URL : http://wapeduc.mobi

    Plus d’infos : http://wapeduc.net

  • Hachette lance des applications iphone pour réviser le BAC

    Hachette lance des applications iphone pour réviser le BAC

    Ecrites par des enseignants et éditées par Hachette Education, un des leaders du parascolaire, les 2 applications se déclinent dans 6 matières : Philosophie (Tles L/ES/S), Français (1ères L/ES/S), Histoire (Tles L/ES/S), Géographie (Tles L/ES/S), SES (Tle ES), SVT (Tle S).

    Révise BAC : 6 matières à réviser en QCM
    Les 6 applications proposent environ 500 questions par matière sous forme de QCM.

    Une explication de cours s’affiche avec le corrigé, permettant de bien comprendre la bonne réponse, pour mieux la mémoriser.

    Vous pouvez réviser les sujets de votre choix ou bien vous tester en lançant un «défi» en temps limité. Tous vos résultats sont notés et les derniers scores sont enregistrés. Vous pouvez diffuser vos résultats par mail ou sur Facebook.

    En plus : des résumés de cours pour chaque chapitre; un suivi personnalisé de vos révisions ; une présentation animée de vos scores.

    Flash BAC : 6 matières à réviser en Fiches de cours
    Les 6 applications contiennent des fiches de synthèse de cours (y compris des cartes, schémas et tableaux) pour comprendre et mémoriser en quelques minutes tout le programme du Bac.
    Avec les applications «Flash BAC», vous aurez le bac en poche !

    En plus : des définitions de mots accessibles dans les fiches d’un simple toucher ; un lexique dynamique ; des renvois actifs entre les fiches ; des conseils de lecture pour aller plus loin ; des conseils pratiques sur les épreuves pour les aborder sereinement ; un code astucieux par fiche pour voir d’un seul coup d’œil les fiches acquises et celles qui restent à réviser.

    Disponibles dans le itunes store

  • Clim’Way, un serious game sur le développement durable

    Clim’Way, un serious game sur le développement durable


    Clim’Way, l’exposition virtuelle de Cap Sciences, permet une sensibilisation au développement durable et plus particulièrement au changement climatique et aux modes de vie éco-responsables. Elle offre un panorama quasi exhaustif des nombreuses questions qui lient intimement le changement climatique aux activités humaines. Dans des paysages virtuels très riches graphiquement, le visiteur se promène à la ville, à la campagne, en montagne ou en bord de mer. A partir des objets de l’environnement (voiture, maison individuelle, usine, centrale énergétique…) il a accès à plus de 300 documents : textes, vidéos, interviews, schémas, graphiques, animations…

    En accès libre sur Internet depuis le 22 mai 2008, cette exposition interactive, innovante et très complète est devenue depuis, un outil pédagogique de référence. En effet, aujourd’hui, Clim’Way a été complété par un jeu interactif… Désormais vous avez la possibilité de mettre en application tout ce que vous avez pu apprendre ! L’environnement de départ est le même mais vous devrez le faire évoluer sur 50 ans. Le joueur agit sur l’environnement, en tant que citoyen, collectivité ou entreprise, sur différents aspects de notre société. Le but est non seulement de réduire les émissions de gaz à effet de serre de Clim’Way, pour minimiser l’impact de nos activités sur le climat, mais également de s’adapter à l’inévitable changement climatique en cours.

    Les actions du joueur constituent son plan climat. Il peut ensuite mettre en ligne et le comparer avec ceux réalisés par d’autres joueurs. Réussirez-vous à diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre pour respecter les directives de la communauté internationale? Saurez-vous réduire les consommations d’énergie à un niveau satisfaisant et développer les énergies renouvelables ?

    Les participants des 9 collèges de Lot et Garonne investis dans le jeu-concours doivent comprendre comment peut se mettre en place une telle mesure et comment atteindre les objectifs fixés : réduction des gaz à effet de serre, baisse des consommations d’énergie, développement des énergies renouvelables, adaptation à de nouvelles conditions climatiques…Au total, plus de 200 élèves ont tenté de réaliser la ville la plus durable !

    A propos du déroulement du serious game :
    Aujourd’hui à Clim’Way, les modes de transport favoris sont la voiture et le camion, les bâtiments sont mal isolés, les industries polluent, l’agriculture est intensive, les déchets sont mal collectés, etc. ! Si à l’heure actuelle les activités humaines de Clim’Way émettent énormément de gaz à effet de serre et consomment beaucoup trop d’énergie (surtout des énergies fossiles !), votre mission sera d’améliorer cet environnement. Pour y parvenir, vous aurez 50 tours de jeu, représentant 50 années. N’oubliez pas non plus d’adapter Clim’Way aux effets des changements climatiques. Préparez vous à résister à des canicules, des incendies de forêts, de nouvelles maladies animales, etc. Pour réaliser votre mission vous disposerez d’un panel de près de 250 actions. A vous d’utiliser judicieusement les points pouvoirs publics, entreprises et citoyens pour lancer les actions adéquates. Elles constitueront votre plan climat pour Clim’Way.

    Plus d’infos : climway.cap-sciences

  • Former au E-learning, former en E-learning

    Les Journées du E-learning est un colloque international annuel rassemblant des spécialistes d’horizons et disciplines différents autour de la thématique de l’enseignement par Internet.

    Le colloque de cette année, pour sa 6ème édition à Lyon, a pour thème «Former au E-learning, former en E-learning». Dans la lignée des éditions précédentes, ce colloque s’intéresse à tous les aspects de la question du E-learning en matière de formation, en adoptant un axe d’étude qui est désormais primordial et essentiel : l’encadrement et l’efficacité des dispositifs en E-learning.

    Le colloque propose ainsi une approche organisée autour de 2 axes majeurs :

    • l’encadrement des savoirs et des compétences afin de maîtriser le processus de E-learning ;
    • les conditions et les modalités d’un E-learning efficace.

    Les points forts de cette édition :

    • Doit-on protéger ses droits d’auteurs ?

    A l’heure du tout numérique, le choix du modèle juridique de protection des œuvres s’impose comme un préalable à toute action de formation par Internet.
    Intervenant : Christian Le Stanc, professeur à l’Université de Montpellier 1 et avocat spécialisé en propriété intellectuelle.

    • Plagiat : la formation par la prévention

    Le recours à la fonctionnalité «copier-coller» comporte un risque juridique important : la contrefaçon. Mais au-delà de la sanction, il est primordial de sensibiliser les apprenants au respect de la propriété intellectuelle et ainsi prévenir ces actes délictueux.
    Intervenant : Michelle Bergadaà, Professeur de marketing et communication à l’Université de Genève.

    • Maitriser sa E-réputation

    A l’heure de la société de l’information, pour «exister», il est nécessaire d’être présent sur ce média. Maîtriser son E-réputation devient donc un enjeu majeur.
    Intervenant : Nicolas Bermond, consultant social Networking.

    Cette année, parallèlement à la conférence plénière, des Ateliers-formation sont proposés aux participants, privilégiant une approche pragmatique et opérationnelle. Ils s’organisent autour de 4 parcours : juridique, E-réputation, formateurs, formation professionnelle.

    Plus d’infos sur le programme : www.journees-elearning.com