Étiquette : TNI

  • Accompagner les éditeurs et les enseignants pour créer des ressources pédagogiques numériques

    Première en France : 13 éditeurs ont présenté leurs contenus numériques pour TNI SMART Board sur le stand SMART Technologies à Educatice

    Conscient des enjeux de la création de contenus numériques pour les acteurs de l’édition, SMART Technologies accompagne déjà une trentaine d’éditeurs en France dans leurs projets de production et de commercialisation de ressources pédagogiques numériques et d’applications pédagogiques interactives.

    A l’occasion du salon Educatice, SMART Technologies propose un théâtre de démonstration inédit, dédié à la présentation, par les éditeurs eux-mêmes, de leurs contenus les plus emblématiques, pour des disciplines telles que les langues (dont le français langue étrangère), les mathématiques, les sciences, l’Histoire ou encore la lecture. Etaient présents : Bayard, Boîte à Livres, Edumedia, JOCATOP, Hatier, Jolicours, Nathan, Éditions Maison des langues, InteractiFLE, TV5 Monde, SED / CRDP de Rennes, Cabrilog et Madeve.

    Le « SMART Ecosystem Network », outil privilégié des éditeurs pour créer des ressources numériques

    Ces partenariats sont facilités par le « SMART Ecosystem Network », un outil dédié aux éditeurs, qui leur fournit des guides et une assistance technique pour les aider à créer des applications et des contenus de qualité sous le logiciel SMART Notebook. L’éditeur peut ensuite commercialiser ses ressources via son propre catalogue de contenus numériques, ou via SMART Exchange, la plateforme communautaire de SMART Technologies.

    Un système d’accréditation lui permet également de bénéficier d’avantages personnalisés en fonction du nombre de ressources accréditées créées, comme des kits de développement d’application, ou des accès privilégiés à des logiciels SMART.

    À noter que SMART, dans le cadre du SMART Ecosystem Network propose aussi des outils de développement comme des SDK (Software Development Kit) ou un plugin permettant de créer directement des contenus au format SMART Notebook dans Adobe inDesign.

    A ce jour, près de 400 éditeurs dans le monde ont intégré le « SMART Ecosystem Network », et l’outil permet de créer environ 1 000 ressources et applications nouvelles par an.

    SMART Exchange, plateforme communautaire d’échange de ressources pédagogiques

    Ouvert à la communauté éducative française depuis début 2009, SMART Exchange,  est un espace communautaire qui favorise les échanges entre enseignants et facilite la création et la mutualisation de ressources pédagogiques créées sous SMART Notebook.

    En se connectant sur ce site dédié, les enseignants ont accès à deux espaces :
    ·    Un espace pour télécharger des ressources pédagogiques et également partager leurs propres contenus pour les mettre à disposition des autres enseignants,
    ·    Un espace dédié à la discussion à travers des forums, pour échanger sur leurs expériences d’enseignement.

    Chaque membre de la communauté peut reprendre, pour son propre usage, les documents mis en ligne par d’autres enseignants et mutualiser son savoir-faire et ses expériences éducatives, quels que soient sa matière et son niveau.

    Plébiscité par plus de 1,2 millions d’utilisateurs inscrits à travers le monde, SMART Exchange propose aujourd’hui plus de  60 000 ressources pédagogiques, dont plus de 2 700 en français.

    SMART Exchange dispose également d’un espace réservé aux éditeurs, pour qu’ils mettent à disposition des enseignants leurs ressources accréditées sous SMART Notebook, soit gratuitement, soit dans une logique commerciale, afin de s’appuyer sur la communauté SMART Exchange pour promouvoir leur catalogue de ressources payantes.

    « Avec plus de 40 millions d’utilisateurs dans le monde, SMART Notebook est aujourd’hui devenu le standard de fait pour la création de ressources pédagogiques numériques. Pour accompagner cette dynamique, chez SMART Technologies, nous nous attachons à créer un écosystème vertueux avec les enseignants et les éditeurs, pour mettre les contenus au cœur du dispositif technologique. Nous sommes convaincus que cette démarche est essentielle pour transformer l’apprentissage et remotiver nos élèves à l’heure où les enseignants assistent chaque jour à une baisse de la participation et de la motivation des élèves, que nous avons baptisé chez SMART la « tragédie du désengagement » explique Richard Ramos, Directeur Général de SMART Technologies en France.

    « Nous estimons que notre rôle est de lutter avec l’ensemble de la communauté éducative, contre cette situation, et il existe aujourd’hui des solutions tout à fait adaptées pour y remédier ».

  • Enseignants et pratiques numériques sur une pente ascendante ?

    PROFETIC

    Matériels : encore des efforts à faire ?
    Malgré une légère progression des dotations en ordinateurs fixes ou portables à destination des enseignants, ceux-ci souffrent toujours d’un faible équipement. Avec l’arrivée des nouveaux matériels plus compacts (tablettes, smartphones…), le taux d’équipement progresse mais ces outils sont presque toujours financés par les enseignants sur leurs fonds propres.

    Alors que les matériels type vidéoprojecteurs et TNI progressent de manière significative, les enseignants pointent du doigt une moindre facilité pour les élèves d’accéder à des ordinateurs.

    Le numérique utilisé par les enseignants pour la démonstration et non la co-construction
    Les pratiques numériques des enseignants sont toujours en majorité pour leur usage professionnel (préparation des cours, par exemple).
    La manipulation par les élèves des usages numériques est très restreinte ; les enseignants ne franchissent pas encore le cap, soit pour des raisons d’infrastructures insuffisantes dans leur classe, soit à cause du nombre trop important d’élèves par cours.
    La part d’entre eux incriminant le manque de formation reste importante (32% pensent que la formation aux TICE est inexistante) mais connaît une légère baisse par rapport à l’année précédente.

    Il faut souligner que 87% des interrogés déclarent se former en autonomie !

    Le numérique suscite beaucoup d’intérêt
    Facteur encourageant, 9 enseignants sur 10 sont convaincus de l’intérêt des TIC pour leur enseignement, « pour diversifier les pratiques, préparer les cours et les rendre plus attractifs ».
    En majorité, ils jugent l’utilisation des TIC insuffisante mais constate une évolution.

    Plus d’infos sur la réalisation de l’enquête
    Elle a été menée via un questionnaire web auprès d’un échantillon de 6000 enseignants, répartis dans toutes les académies, représentatifs des disciplines, âge et sexe de cette population.


    L’échantillon cette année comportait 1 000 enseignants supplémentaires par rapport à l’enquête 2011 afin de corriger le nombre d’enseignants écartés de l’échantillon car n’utilisant pas leur messagerie académique. Les résultats du sondage s’appuient sur le retour des questionnaires de 3270 répondants, soit un taux de réponse de 58%.

    Retrouvez les résultats de l’enquête ici

  • La première école de référence en France pour les solutions SMART

    SMART Technologies, fournisseur incontournable en matière de solutions collaboratives, a désigné l’International School of Paris (ISP) comme la première école de référence en France pour ses solutions. L’école a été choisie en raison de son usage exemplaire des produits SMART, notamment les tableaux interactifs SMART Board et le logiciel d’apprentissage collaboratif SMART Notebook.

    Implantée sur deux campus à Paris, l’ISP est la seule école anglophone en France à proposer les trois programmes du baccalauréat international. L’école compte près de 700 élèves représentant plus de 60 nationalités différentes et quelques 50 langues. Elle les accueille de la maternelle au bac, soit de 3 à 18 ans. Au sein de l’ISP, 46 classes sont d’ores et déjà équipées de tableaux interactifs SMART Board. D’ici la rentrée prochaine, les quatre classes restantes bénéficieront également de tableaux interactifs et d’une SMART Table, le centre d’apprentissage interactif de SMART, qui fera son arrivée pour les classes de primaire.

    « Si nous avons choisi d’installer des tableaux interactifs SMART Board dans nos salles de classe, c’est parce que nous avons constaté qu’ils apportent un réel « plus » à l’enseignement et à l’apprentissage », explique Paul Tagg, Directeur informatique de l’International School of Paris. « Nous avons tout particulièrement été séduits par le logiciel SMART Notebook. Il permet en effet aux enseignants de préparer des supports de cours depuis n’importe où, mais aussi de créer des contenus qui encouragent l’interactivité entre les élèves et le cours. Les séances sont ainsi plus attractives et plus riches ».

    Richard Ramos, Directeur Général France de SMART Technologies France, s’est félicité de l’intégration de l’ISP au programme d’établissements de référence SMART Showcase School : « La désignation de notre première école de référence SMART en France est la suite logique de l’important développement de nos produits dans le pays. De plus en plus d’écoles améliorent les résultats de leurs élèves en faisant appel à nos solutions pédagogiques. En choisissant l’International School of Paris, nous saluons son investissement dans le domaine de l’enseignement numérique et nous en faisons un exemple susceptible d’encourager d’autres établissements à adopter ces technologies innovantes ».

    « Chez Motiv’Solutions, nous sommes très heureux d’accompagner l’ISP depuis 2008 dans l’intégration des tableaux interactifs SMART Board au sein de l’école. L’adoption des technologies interactives à l’ISP a été possible grâce au dynamisme et à la motivation de l’ensemble des équipes pédagogiques. A l’ère du numérique, il est indispensable pour nous de proposer des solutions en adéquation avec les outils que nous utilisons tous de manière quotidienne » témoigne Guillaume Chatagnon, Directeur Général de Motiv’Solutions. « En devenant la première Showcase School en France, l’ISP prouve une nouvelle fois sa volonté de toujours innover dans la pédagogie ».

    Plus d’infos :
    Pour en savoir plus sur le programme SMART Showcase Schools, rendez-vous sur smarttech.com/showcaseschools.

  • SMART dévoile son écran plat interactif pour l’éducation

    Il intègre SMART Notebook, logiciel d’apprentissage collaboratif plusieurs fois primé et permet d’accéder à SMART Exchange, plate forme communautaire de partages de contenus en ligne, sur laquelle les enseignants peuvent se connecter, partager et télécharger quelques 60 000 ressources numériques. Grâce à la gamme exhaustive d’écrans interactifs SMART, les enseignants disposent de toute la flexibilité nécessaire pour répondre aux besoins spécifiques de leurs classes. Ces espaces d’apprentissage les aident à stimuler la participation des élèves et à améliorer les résultats pédagogiques.

    Le SMART Board 8055i est le premier écran interactif à inclure la détection de présence. Il décèle automatiquement les mouvements des utilisateurs et s’allume ou s’éteint automatiquement, permettant ainsi, de réaliser une économie d’énergie et d’améliorer la durée de vie de l’écran. Les écrans plats interactifs SMART Board série 8000 associent des fonctions collaboratives à des images de haute qualité. Pourvu de la technologie DViT (Digital Vision Touch), l’écran 8055i optimise l’utilisation tactile multipoints via des interactions libres, des manipulations tactiles et la reconnaissance d’objets, pour que l’apprentissage devienne véritablement collaboratif.

    Avec le SMART Board 8055i, l’interaction va encore plus loin, puisque les utilisateurs peuvent sélectionner des objets simultanément, les déplacer et écrire dessus. SMART envisage très prochainement la commercialisation d’écrans plats interactifs SMART Board série 8000 de plus grande taille, pour proposer aux acteurs de l’éducation une gamme d’écrans plus étendue pour l’enseignement, l’apprentissage et la collaboration. Pour plus d’informations sur l’écran SMART Board 8055i, rendez-vous sur le site smarttech.com/8000series.

    « L’introduction de cet écran plat interactif pour l’éducation vient enrichir notre gamme de solutions, et offre davantage de flexibilité et de choix lors de l’achat d’équipement scolaire collaboratif », commente Linda Thomas, vice-présidente en charge des produits, SMART Technologies. « Au sein de SMART Technologies, nous travaillons sans relâche à améliorer nos solutions technologiques et à mettre au point des moyens de favoriser la collaboration en classe et d’améliorer l’enseignement comme l’apprentissage. »

    Fonctionnalités 
    Écran tactile de qualité commerciale : écran de haute définition et de qualité commerciale (139,7 cm/55″) reposant sur la technologique DViT (Digital Vision Touch). Ses capacités tactiles sont exceptionnelles et ses images nettes et lumineuses stimulent la participation des élèves aux cours. Son verre renforcé anti-reflet, résistant aux rayures réduit l’usure due aux frottements et élimine les reflets.

    Commandes tactiles naturelles : l’écran reconnaît les commandes tactiles multipoints, telles que la navigation entre les pages et l’affichage en panoramique, ainsi que le déplacement d’objets notamment pour les lancer, les faire pivoter ou zoomer dessus. Il prend en charge les commandes tactiles proposées par les systèmes d’exploitation Microsoft® Windows® XP, Microsoft Windows 7 et Mac OS X Snow Leopard.

    Reconnaissance des objets : l’écran détermine si un utilisateur se sert de son doigt, d’un stylet ou d’un effaceur. Les utilisateurs peuvent écrire avec un crayon, effacer avec la paume de la main et déplacer des objets avec le doigt sans devoir appuyer sur des boutons, accéder à des menus à l’écran ou reposer les outils dans le plumier.

    Encre SMART Ink : cette fonctionnalité permet d’ajouter des notes sur les cours, de les enregistrer en tant que fichier SMART Notebook, et de transformer des notes manuscrites en « objet texte » pouvant être manipulés.

    Détection de présence : les capteurs répondent automatiquement aux mouvements qu’ils détectent, ainsi l’écran plat interactif s’allume et reste en mode actif lorsqu’une personne se trouve à proximité et s’éteint en l’absence de mouvement de l’utilisateur.

    Plus d’infos sur : smarttech.com/fr.

  • Le TNI, la «perle» de Joyeuse

    Une variété et une diversité de profils : voilà ce qui caractérise les élèves de Jean Marc. Pour certains, des échecs successifs à l’école ont profondément entaché leur confiance en eux ; à cela s’ajoute souvent un contexte familial difficile. L’arrivée du TNI dans la classe de Jean Marc n’a pas « révolutionné » sa manière d’enseigner mais sur certains aspects, « ça l’a changé ». Et pour ces enfants, le TNI a fait des merveilles.

    «Un des gros intérêt de l’outil informatique et donc du TNI est de pouvoir distancier le regard de l’adulte pour l’enfant», souligne Jean-Marc. L’élève peut recommencer autant de fois qu’il le souhaite, il peut réussir ou non, il n’y a pas de sanction.
    «Tous les enfants qui arrivent dans ma classe ont un manque évident de confiance en eux et le principal travail avant toute chose, c’est de restaurer leur estime de soi», poursuit Jean-Marc, pour nous faire comprendre que leur faire utiliser le TNI ne fait pas partie des priorités de départ. «La confiance en soi, elle revient grâce à l’outil numérique mais pas seulement ; l’ambiance de la classe est aussi très importante».

    Le TNI pour retrouver l’estime de soi

    «Avec le TNI, les enfants sont beaucoup plus concentrés car l’écran capte leur attention», explique Jean-Marc quand il détaille les atouts que le TNI procure pour l’apprentissage de ses élèves.
    Outre la concentration, le TNI offre à ces enfants une possibilité d’oublier leur handicap. Jean Marc nous donne l’exemple de Clémence, cette petite fille dyspraxique, que nous avons vu à l’œuvre sur un exercice de grammaire. Elle utilise l’outil «projecteur» pour centrer son attention sur la phrase, ce qui lui permet de travailler sur des phases plus longues alors qu’elle ne pouvait plus travailler sur papier ; ou encore la création d’objets géométriques sur le TNI qui lui a permis de montrer les possibilités et les connaissances qu’elle avait dans ce domaine, ce qui était impossible sur un autre support (elle ne parvient pas à tracer une figure géométrique, sans passer par cette interface…).

    Pour les élèves en difficulté et en perte d’estime de soi, le fait que le logiciel, qui possède une reconnaissance de caractères performante, parvienne à reconnaître les mots qu’ils écrivent avec le stylet (ou les doigts, ou… les autres instruments !), leur prouve qu’ils ne sont pas si mauvais scripteurs qu’ils le pensent. L’utilisation de l’encre numérique, lors des activités de graphie et d’écriture, possède aussi un énorme avantage. Les retours en arrière, l’utilisation de la gomme et le fait que « l’objet » ainsi créé puisse être manipulé amène les enfants au plaisir de cette création.

    Avec le TNI, le «tactile» est utilisé sous toutes ses formes

    Le côté tactile du TNI plaît énormément et facilite l’usage aux enfants. Ils ont même créé leurs propres instruments «très innovants» et ne se sont pas contentés du simple stylet. A l’origine, Jean Marc nous raconte que par une journée d’hiver où la classe était surchauffée, les enfants transpiraient beaucoup et le doigt ne glissait pas bien sur le tableau. Un d’eux a donc eu l’idée d’utiliser son ongle, puis a été fabriquée la «boule» (une boule de Noël dans une chaussette) et enfin «l’allumette», un bâton entouré de feutrine qui permet aux plus petits d’accéder en haut de l’écran. Eprouvant ce jour-là une certaine gêne à utiliser l’outil, les enfants se sont donc adaptés en créant eux-mêmes leurs propres instruments pour «leur TNI».
    «Ces élèves ont l’habitude de trouver des solutions face aux difficultés», nous confie Jean-Marc.

    Les «experts» à Joyeuse

    A l’école de Joyeuse, il n’y a pas de TNI dans toutes les classes ; seul Jean-Marc et un autre collègue bénéficient d’un TNI installé dans la classe. C’est pourquoi Jean-Marc a souhaité en faire profiter tous les enfants de l’école par la mise en place d’un tutorat dans les autres classes. Les élèves de la CLIS, en tant «qu’experts» ont en charge un travail de préparation (par exemple , la création de ressources) qu’ils vont ensuite exposer devant les autres élèves. Cette mission, très valorisante, les aide également dans l’objectif de Jean-Marc de leur faire retrouver la confiance.

    Ce rôle d’expert va au-delà des murs de l’école et est aussi très important aux yeux des familles. Confrontés à leurs limites, Jean-Marc nous explique que ces enfants ont souvent été surprotégés par leurs parents. Le fait de voir leurs enfants en tant «qu’experts» auprès des autres classes a eu des effets immédiats et même inattendus dans les familles. Pour exemple, certaines d’entre elles ont investi dans des ordinateurs pour que les enfants profitent, à la maison, des bénéfices que leur apporte le numérique.

    Le TNI, pas une mode, une utilité !

    «Dans chacune de mes préparations de classe, je positionne ou non le TNI ; et si je l’intègre, je me pose la question de savoir ce qu’il va m’apporter de plus que le reste. Je vais donc travailler sur le «plus» que l’outil va amener». Notre enseignant avoue avoir passé beaucoup de temps au début pour s’approprier l’outil et le logiciel. «Mais si je continue, c’est que je suis convaincu que c’est efficace»!

    Jean-Marc est proche de la retraite et il a vu passer toutes les nouveautés en terme d’outils informatiques. Mais pour lui, pas question de «mode». Avec le recul, il sait être lucide par rapport à l’utilisation du TNI et il ne le prévoit dans son cours que quand il le juge utile.
    En revanche, son utilisation n’est pas toujours «programmée». Il peut arriver d’en avoir besoin au cours d’une séance en classe pour rechercher quelque chose sur internet, par exemple. «C’est d’ailleurs les enfants qui vont instinctivement le demander», précise Jean-Marc.

    Après la phase d’appropriation, certes chronophage, l’outil donne entière satisfaction à Jean Marc : pour son plaisir d’enseigner, il lui apporte beaucoup de souplesse. Pour lui, la condition pour profiter pleinement de l’outil est de l’avoir dans sa classe et il croit peu à des solutions mobiles qui se baladent de classe en classe ou à une salle dédiée qu’il faudrait réserver, ce qui enlèverait tout le charme d’une utilisation spontanée.

    Une relation privilégiée existe entre le TNI et ces enfants ; nous avons compris que grâce à cet objet «affectif», leur apprentissage à l’école ne serait plus pareil… Ils apprennent mieux, plus vite et sont désormais en confiance. Et même s’il n’est pas le seul responsable de ce bien-être, le TNI semble y contribuer largement, au travers de la classe, de l’école et au-delà ; une belle expérience de vie à l’école de Joyeuse en faveur des outils numériques.

  • l’Établi Numérique, un mobilier interactif pour les enfants de 3 à 6 ans

    l’Établi Numérique, un mobilier interactif pour les enfants de 3 à 6 ans

    ETABLI NUMERIQUEL’Etabli Numérique sera présentée à la Maison des Petits du 104 le samedi 16 juin de 11h-12h : atelier pour parents et enfants 3/6 ans. Au cœur du Centquatre, la Maison des Petits offre aux jeunes enfants et à leur famille un espace de rencontre et de création. À l’occasion de Futur en Seine 2012, la Maison des Petits invite Le Cube à présenter son prototype « Etabli Numérique », un mobilier interactif et créatif pour les 3-6 ans. À travers cet atelier, les enfants (et les parents) pourront ainsi participer à un cadavre exquis numérique autour d’œuvres d’artistes célèbres.

    Un mobiler connecté pour les enfants
    Conçu comme un meuble interactif mobile pour des usages multiples et enrichi de fonctionnalités propres au numérique, l’Etabli Numérique est à la fois un outil pédagogique, un support de création et une plateforme de contenus adaptés à un jeune public (3-6 ans). Il s’adresse principalement aux établissements scolaires maternels.

    Les enjeux numériques de l’Education
    L’éducation, la connaissance, l’expérience au sens large sont des enjeux majeurs. Il est temps d’appréhender les démarches d’apprentissage avec des moyens contemporains. Notre défi est d’imaginer le design de la connaissance et de l’expérience. L’Etabli Numérique tel que nous l’imaginons est un lieu de création, d’expérimentation et de production.

    L’école doit aujourd’hui appréhender de nouveaux paradigmes et éduquer à la culture des nouveaux médias (culture technique, culture artistique, culture iconographique) afin de former des individus responsables, autonomes et aptes à décoder le monde qui nous entoure.??? C’est pourquoi, il est nécessaire de faire évoluer les méthodes et les outils de la connaissance et de réfléchir à la spécificité des moyens numériques sur l’apprentissage, la transmission du savoir et leur adaptation à une société de plus en plus performante et complexe à percevoir.

    C’est à partir de ce constat que le projet Etabli Numérique a vu le jour. Alors que de nombreux lycées et écoles primaires ou élémentaires s’équipent aujourd’hui en tableaux numériques interactifs, les écoles maternelles restent encore en marge de cette mutation. En effet, aucune offre spécifique n’existe à ce jour qui réponde aux besoins des plus jeunes.

    L’Etabli Numérique répond à cette demande en proposant un nouvel outil innovant à la fois dans ses fonctionnalités, ses contenus, son design ainsi que dans l’accompagnement proposé aux enseignants pour une meilleure appropriation.

    L’Etabli Numérique a ainsi pour ambition de devenir l’un des équipements numériques de référence pour les enfants de 3 à 6 ans dans un contexte éducatif.

    Un dispositif mobile à équipement technologique embarqué
    Conçu pour être un meuble mobile, l’Etabli est monté sur un plateau à roulettes. Son corps en bois est composé d’un ensemble de compartiments pouvant accueillir les différents outils nécessaires à la réalisation des activités sur le principe d’un établi classique.

    La surface principale est interactive et dispose d’un système de captation de mouvements à l’instar d’un tableau blanc interactif. Il est possible de projeter le rendu sur un mur ou bien directement sur le plan de travail du meuble. Le projecteur peut être embarqué sur l’Etabli ; l’Etabli peut être également relié à un équipement déjà existant dans la salle de classe. La connectique y est la plus complète possible afin d’assurer l’autonomie et de permettre l’évolution future du produit (prise électrique, Ethernet, sortie son, écran, USB etc). L’enseignant doit pouvoir non seulement s’approprier l’outil mais également y ajouter son propre contenu.

    Une plateforme de ressources
    L’Etabli Numérique est accompagné d’une plateforme Internet qui propose des contenus spécifiques à destination des utilisateurs. Parmi ces ressources, sont proposées des fiches d’activités exclusives pour l’Etabli autour du graphisme, des mathématiques, du langage, des arts plastiques… Ces fiches peuvent être ensuite personnalisées par l’enseignant. Elles ont été développées en prenant en compte des pratiques pédagogiques déjà existantes au sein des classes tout en permettant aux enseignants d’explorer de nouveaux scénarios pédagogiques.

    La plateforme propose également des fiches d’initiation à l’utilisation de l’Etabli, notamment sur ses différentes fonctionnalités numériques, afin d’accompagner au mieux les enseignants vers la prise en main de  cet outil. Cette plateforme recense enfin une sélection de contenus éditeurs à utiliser en classe directement via l’Etabli. A terme, la plateforme ressources a vocation à s’enrichir de nouvelles activités imaginées par les enseignants eux-mêmes.

    Un « lieu » d’échange et de dialogue connecté
    La démarche solidaire de l’Etabli Numérique s’inscrit dans l’ADN même de cette proposition : promouvoir l’apprentissage collaboratif des jeunes écoliers en créant un espace physique privilégié dans la classe. Les enfants sont encouragés à travailler sur des projets et de manière collective, permettant ainsi dès leur plus jeune âge de développer ces capacités essentielles dans notre environnement contemporain.

    Par ailleurs, l’Etabli ne se présente pas comme un outil de plus à acquérir qui rendrait obsolète les autres investissements réalisés dans l’école. Bien au contraire, il est prévu que l’enseignant puisse connecter l’Etabli à tous les outils déjà existants.
    La grande mobilité du meuble permet également des projets entre plusieurs classes. Contrairement au tableau blanc interactif, ce n’est pas une salle que nous équipons, mais une communauté, qu’elle soit à l’échelle d’une classe ou d’une école entière. En rayonnant ainsi dans l’école, l’établi devient un outil d’échange et de dialogue.

  • Parts de marché des produits d’affichage interactifs en 2011

    ·   45 % de part de marché mondiale
    ·   65,9 % de part de marché en Amérique du Nord
    ·   43,4 % de part de marché en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (EMEA)

    Selon le cabinet d’études indépendant Futuresource Consulting, qui analyse les ventes d’écrans interactifs depuis 12 ans, la part de marché de SMART représentait plus de deux fois celle de son concurrent le plus proche.

    En comparaison avec 2010, SMART a progressé sur ce segment à la fois en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, dans la zone EMEA et en Asie-Pacifique (APAC). Sa part de marché est particulièrement forte en Amérique du Nord avec 64 % aux États-Unis et 88 % au Canada. SMART était également le premier fournisseur d’écrans interactifs dans de nombreux de pays, tels que le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Espagne, la Russie, tous les pays nordiques, l’Australie, l’Afrique du Sud et l’Arabie Saoudite.Futuresource Consulting rapporte qu’il a été livré près de 857 000 écrans interactifs dans le monde en 2011.

    Selon les prévisions, ce chiffre devrait atteindre 965 000 en 2012, soit une augmentation de 12,6 %, avec une croissance attendue principalement dans les régions EMEA et APAC. Même si l’enseignement reste un marché offrant de formidables opportunités, ces chiffres reflètent aussi une utilisation accrue de la part des entreprises. Le rapport indique que plus de 4,4 millions d’écrans interactifs sont actuellement installés dans le monde et que ce chiffre devrait presque doubler pour atteindre 8,4 millions dans les cinq ans à venir.

    «Les gouvernements du monde entier continuent d’investir dans les technologies destinées à l’enseignement en reconnaissant leur capacité à renforcer le travail collaboratif et favoriser la participation, tandis que les entreprises profitent aussi des avantages qu’offrent les produits interactifs dans leurs espaces de réunion», souligne Patrick Lelorieux, Vice président et General Manager, EMEA.

    «SMART assoit sa domination sur le marché des écrans interactifs et l’améliore dans de nombreux pays grâce à ses solutions collaboratives tant pédagogiques que professionnelles, à la fois innovantes et faciles à utiliser, ce qui place l’entreprise en position idéale pour répondre à la demande mondiale croissante en produits interactifs».

    «La demande en solutions collaboratives innovantes est également très forte en France ; une dynamique qui concerne notamment le marché des entreprises pour lequel nous avons de grandes ambitions pour les années à venir», précise Richard Ramos, Directeur Général de SMART Technologies en France.

  • Et si le numérique à l’école était économiquement accessible, utile et simple à mettre en oeuvre ?

    Pour mémoire, le Tableau Numérique Interactif (appelé aussi TBI – Tableau Blanc Interactif) est la combinaison d’un micro‐ordinateur, d’un vidéoprojecteur, d’une surface de projection (écran, tableau ou surface murale) et d’un système de capture (ou d’enregistrement), le tout orchestré par un logiciel de présentation et d’interaction piloté par l’enseignant. DYMO/Mimio a donc choisi avec son partenaire CINQRO d’homologuer quatre solutions groupées qui simplifient le choix des responsables achats en répondant parfaitement à des besoins concrets.

    Ainsi chaque école peut choisir sa solution en fonction de son existant (matériels déjà présents, tels que vidéoprojecteurs ou tableaux blancs classiques).

    Comme le souligne, Alain Cazes, ancien directeur du Ceante (Centre d’études et d’applications des nouvelles technologies éducatives) au Cnam et actuellement professeur dans un collège de la région nantaise, la solution TNI de DYMO/Mimio qu’il utilise pour sa classe, s’installe en quelques minutes. À ce titre, la simplicité de mise en oeuvre de l’outil bouscule tous les préjugés. Il suffit de repérer une prise de courant pour brancher l’ensemble des composants (micro‐ordinateur et vidéoprojecteur) et de placer la barre de capture sur un mur blanc de la salle ou sur un tableau blanc déjà présent.

    Cette barre de capture est chargée d’enregistrer tous les écrits et dessins effectués manuellement par l’enseignant ou l’élève. Les stylos particuliers employés pour cette opération peuvent accueillir aussi bien des feutres de couleur que des craies standard afin de permettre la capture, aussi bien sur un tableau blanc que sur les tableaux verts ou noirs classiques (solution proposée par CINQRO, le partenaire DYMO/Mimio en France). Puis l’enseignant effectue le calibrage sur la zone projetée avec son stylet et il ne reste plus qu’à lancer le scénario du cours avec le logiciel MimioStudio.

    La solution DYMO/Mimio s’affranchit du support en s’adaptant à l’existant. Elle n’est donc pas liée à un tableau blanc spécialisé pour opérer.

    Le TNI est au cœur du processus d’apprentissage.

    À travers ce simple exemple, DYMO/Mimio démontre que le TNI en classe est à la fois simple à mettre en œuvre et que son usage est prioritaire, en termes pédagogiques, par rapport à tout autre introduction généralisée du numérique à l’école. En effet, tous les choix qui privilégient la création d’un Espace Numérique de Travail (ENT) pour mettre à la disposition de la communauté éducative (enseignants, élèves, parents et personnels de l’établissement scolaire) des services numériques ne favorisent pas intrinsèquement l’apprentissage. Ils apportent un ensemble de moyens et de services indiscutablement pratiques et utiles, mais ne modifient en rien le processus d’acquisition des connaissances.
    …/.
    En revanche, l’usage d’un Tableau Numérique Interactif employé en classe, offre de réelles possibilités de rendre le processus cognitif plus attractif et efficace comme en témoignent de nombreux retours d’expérience (cf articles à droite).

  • Passer d’une évaluation-sanction à une évaluation formative

    Passer d’une évaluation-sanction à une évaluation formative

    évaluation
    Aujourd’hui, les élèves et les étudiants sont évalués par des notes qui valident leurs connaissances et non pas la progression de leurs compétences. Il est important que l’élève sache où il en est de ses apprentissages. Il est aussi important de l’impliquer dans ses progrès afin qu’il retrouve confiance en lui.

    Grâce aux outils numériques (TNI, logiciels, boitiers de vote, e-portfolio), cette évaluation formative peut s’effectuer de manière efficace, tout le long d’une année scolaire et même d’un cycle. En effet, les élèves peuvent savoir s’ils ont compris tel ou tel cours et mesurer leur marge de progression de façon régulière. Et ceci, sans le regard parfois accusateur des autres. Ainsi l’élève retrouve l’estime de soi.

    Les enseignants peuvent, de leur côté, vérifier quels élèves ont bien assimilé le cours et les connaissances, accru leurs compétences, et détecter ceux qui seraient en difficulté. De plus, les avantages de cette évaluation formative sont nombreux : la notion de sanction disparaissant, cette nouvelle forme d’évaluation (re)donne confiance aux élèves, développe chez eux des renforcements positifs. Elle donne aux enseignants les moyens d’ajuster leurs enseignements aux capacités de chaque élève.

    L’évaluation formative est la plus appropriée à un enseignement différencié . Il faut donc lui donner plus de place, notamment en incitant à produire des logiciels d’auto-évaluation et en généralisant les e-portfolio qui restent à l’état expérimental en France.

    Selon l’OCDE, cette évaluation formative représente l’évaluation la mieux adaptée pour développer les compétences et les apprentissages, même si l’on sait que les parents restent, en France, attachés aux notes (évaluation sommative). Jean-Michel Fourgous plaide dans son rapport, pour une généralisation de cette évaluation formative, du primaire au secondaire.

    Plus d’infos :
    Le rapport complet sur le site internet de la mission Fourgous : www.missionfourgous-tice.fr