Étiquette : TNI

  • Quelques conseils de survie pour le professeur avec un tableau numérique

    Quelques conseils de survie pour le professeur avec un tableau numérique

    Man frustrated with his laptop computer on white backround

    [info]1. Est-ce que vous essayez de comprendre le problème et de continuer votre présentation en numérique
    2. Est-ce que vous abandonnez ? vous passez à un autre sujet, ou vous retournez à un mode de présentation plus traditionnel.
    Dans le cas numéro 1 vous prenez le risque de transformer votre présentation en séance de test, au détriment de la matière présentée.
    Dans le cas numéro 2 vous perdez le bénéfice de la présentation numérique.[/info]

    Vous allez de façon bien naturelle blâmer l’ordinateur, et vous avez beau jeu puisque ce dernier ne peut guère répondre… Néanmoins il faut savoir qu’en 2015 un ordinateur ne plante presque plus « par lui-même ». Ceux qui ont connu Windows 3.1 il y a une vingtaine d’années ont expérimenté les plantages systèmes fréquents, aujourd’hui c’est plutôt rare, même très rare….

    Alors, quel est le coupable ? C’est le plus souvent un comportement imprévu de l’ordinateur ou du tableau numérique interactif, une situation face à laquelle vous ne savez pas comment réagir.
    Pour vous aider, voici quelques conseils pour vous aider à mieux maîtriser un environnement TNI

    Conseil 1 : Connaissez votre zone de confort et progressez pas à pas

    C’est l’essence même de l’apprentissage de l’informatique, il y a toujours un ensemble de choses que l’on maitrise et un ensemble de choses que l’on ne maitrise pas ; et l’on progresse en faisant des essais/erreurs.
    Avoir expérimenté une fois ne suffit pas pour le montrer en public : il vaut mieux l’avoir fait 5 fois et plus.

    Pour appliquer ce dernier conseil, il faut
    • passer du temps en dehors du temps de présentation à réaliser des essais « à blanc » ;
    • ne pas hésiter à repousser le moment ou vous allez utiliser quelque-chose de nouveau, ne présentez en public que ce que vous connaissez sur « le bout des doigts ».

    Conseil 2 : Maîtrisez votre environnement TBI
    Une installation de TBI fait intervenir de nombreux composants, il suffit parfois d’un léger changement pour que l’ensemble ne fonctionne plus.

    Voici quelques causes possibles de dysfonctionnement d’un TNI :
    • le défaut de charge ou les piles du stylet
    • Un changement d’ordinateur
    • Un changement d’un câble (USB pour l’interactivité ou câble video)
    • Un changement de la place du port USB connecté pour l’interactivité
    • Un changement de la définition de l’ordinateur
    • L’installation d’un nouveau programme (qui n’est pas nécessairement lié au TNI)
    • (….)

    Concernant le stylet, il se recharge sur batteries, assurez-vous laisser le TBI branché pour que ce dernier se charge régulièrement la nuit, si votre stylet fonctionne sur piles, ayez toujours à disposition un jeu de piles neuves.
    En ayant un ordinateur dédié au TNI, réservé à cet usage et qui ne change pas de place, on limite les risques de dysfonctionnement ; on s’assure ainsi que l’on dispose à tout moment d’un système prêt à l’emploi.

    Conseil 3 : Evitez les systèmes sans fil
    Maintenant tout peut devenir sans fil,
    • la liaison ordinateur-réseau (wifi)
    • la liaison ordinateur-écran (clef HDMI)
    • la liaison ordinateur-clavier
    • la liaison ordinateur-souris
    • ….
    Bien entendu toute liaison sans fil apporte un agrément d’utilisation, mais dans la mesure du possible, les liaisons sont à éviter, car elles peuvent créer des latences et sont souvent moins fiables.
    Plus que l’agrément d’utilisation, le professeur doit rechercher avant tout la fiabilité, au moment de l’installation de votre TBI, demandez du « filaire ».

    Conseil 4 : Paramétrer les mises à jour Windows une fois par semaine
    Voilà une situation que vous souhaiterez éviter :
    Vous avez une présentation bien huilée, et vous arrivez une dizaine de minutes en avance, et en allumant votre ordinateur, vous faites 1 ou 2 tests et le comportement de votre ordinateur n’est pas satisfaisant, vous lancer un redémarrage de Windows et … l’application des mises à jour Windows se met en marche, et ne vous laisse pas la main pendant 20 minutes…
    Sachez que par défaut Windows s’autorise à mettre à jour votre système tous les jours ; il est conseillé de mettre cette mise à jour toutes les semaines et à un moment ou cela ne risque pas de vous interrompre pendant une démonstration.

    misesajour

    Conseil 5 : Enlever l’économiseur d’écran et désactivez le mode économie d’énergie
    Si vous laissez ces options par défaut, vous êtes obligés de revenir régulièrement à votre clavier pour réveiller votre ordinateur qui se met en sommeil après un certain temps d’inactivité, c’est une situation ennuyeuse pour le présentateur, c’est un point que l’on peut facilement gérer depuis l’économiseur d’écran ;

    eco-ecran

    Conseil 6: limiter tous rappels de mise à jour
    De nombreux programmes vont, quand on les installe par défaut, régulièrement chercher des mises à jour « en tache de fond »
    Quand vous travaillez seul sur votre ordinateur, la gêne est minime, mais lorsque votre ordinateur annonce au milieu d’une de vos explications « la base de données de votre antivirus a été mise à jour », ou bien « une nouvelle version de Java est disponible », cela peut être déstabilisant.

    Voici nos conseils :
    Mettez votre antivirus en mode silencieux
    Enlever les mises à jour automatiques des programmes suivants :
    • Acrobat reader
    • Flash Player
    • Mozilla Firefox
    • Les pilotes d’imprimantes
    • Java
    • …

    [info]En conclusion, on pourra relativiser l’expression « conseil de survie », elle est certainement un peu racoleuse ; elle fait principalement écho à la montée d’adrénaline que vous avez peut-être connue en tant que professeur devant faire face à l’imprévu. On peut rectifier en disant qu’il s’agit plus de conseils de gestion maitrisée de l’environnement technique, le professeur doit être « en situation de contrôle de ses outils » pour que toute son énergie soit concentrée sur l’approche pédagogique.[/info]

    Cet article a été rédigé par un responsable support technique de chez tbi-direct.fr, distributeur spécialisé en solutions interactives (écran tactile interactif, TBI fixe et mobile, vidéoprojecteur interactif) : http://www.tbi-direct.fr/ecran-tactile.html

     

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  • La Turquie investit dans l’éducation numérique

    La Turquie investit dans l’éducation numérique

    fatih_projet
    Avec ces chiffres qui font tourner la tête, la Turquie a choisi de frapper un grand coup pour « doper » son système éducatif, jugé peu performant, et donner à tous les mêmes chances de réussir à l’école. Pour y parvenir, elle a tout misé sur le tableau numérique interactif, les nouvelles technologies, les fameux TICE (Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement), qui investissent les classes du monde entier.

    Fathi, un projet d’envergure nationale

    Ce nom, Fathi, en dit déjà long sur l’ambition du projet. En effet, il fait écho au Sultan Mehmet, encore appelé Fatih le Conquérant qui, en 1453, conquit Constantinople (l’actuelle Istanbul), et initia de profonds changements en Europe, les prémices de l’époque moderne selon certains historiens…

    Entrer dans une nouvelle ère de modernité… Telle est justement l’idée maîtresse du projet Fatih. Lancé en 2012, il s’inscrit dans une démarche globale de réforme de l’éducation turque, voulue par le premier ministre du pays, R.T Erdogan. Prévu pour une durée de 3 à 5 ans, il vise à doter tous les établissements publics du pays (primaires et secondaires) en TNI. Quant aux élèves et professeurs, ils devraient tous recevoir gratuitement une tablette numérique chargée de contenus pédagogiques ciblés, pour remplacer les manuels scolaires (et alléger les cartables !). Des formations sont également prévues pour les enseignants, afin qu’ils apprennent à utiliser efficacement ces nouveaux outils mis à leur disposition.

    L’avancée du projet TNI et son impact réel

    Peu d’informations évoquent la progression significative du projet. On sait juste qu’en 2013, 10.000 écrans numériques étaient installés dans 300 établissements et plus de 62000 tablettes distribuées. A ce jour, le projet se poursuit, mais il semble encore loin de son terme, programmé initialement en 2015.

    Côté impact sur l’enseignement et les apprentissages, là encore, les annonces ne sont pas nombreuses. Un rapport (2013) a toutefois permis de dresser un premier bilan…

    D’une manière générale, l’étude a montré que l’attitude dans les classes avait changé : augmentation de l’attention des élèves, meilleure participation, échanges élèves/professeurs favorisés et montée du travail collaboratif. Preuve que l’intérêt est déjà au rendez-vous.

    Parallèlement, quelques limites ont été soulevées. Elles visent principalement les formations des enseignants, jugées insuffisantes pour une maîtrise profitable des TICE. Par ailleurs, les contenus pédagogiques proposés avec les tablettes et TBI présentent des faiblesses. Enfin, comment parler d’égalité des chances quand les élèves n’ayant pas d’accès Internet chez eux se trouvent dans l’impossibilité d’utiliser leur tablette à la maison ? Autant de points que les détracteurs du projet avaient redoutés.

    Quel avenir pour le projet Fatih

    Certes, le projet a fait grand bruit, ne serait-ce que par les formidables perspectives de marché qu’il ouvre dans le domaine des nouvelles technologies dédiées à l’enseignement. Toutefois, il ne faudrait pas oublier l’enjeu premier : faire progresser qualitativement l’enseignement en Turquie.

    Investir massivement dans des dispositifs interactifs, certes, mais au niveau du projet Fatih, ce qui importe plus que les matériels, c’est ce qu’ils contiennent (ressources pédagogiques, logiciels de gestion de classe) et comment ils vont être utilisés pour en tirer une réelle valeur ajoutée (formations et suivi des utilisateurs). Sur ce plan, il semblait persister des lacunes en 2013.

    Le déploiement n’étant visiblement pas terminé, des améliorations peuvent encore intervenir. Et finalement, ce monumental projet Fatih servira peut-être d’exemple à d’autres nations en quête d’un nouvel élan pour leur système éducatif et désireuses de rattraper leur retard en termes de TICE.

  • L’usage du TNI en classe pour faciliter le travail de l’enseignant

    L’usage du TNI en classe pour faciliter le travail de l’enseignant

    Repousser les limites du matériellement possible

    Entre révolution et évolution, rupture et continuité, l’introduction d’un TNI dans une salle de classe constitue sans doute un moyen à privilégier pour faire entrer l’école dans l’ère du numérique, c’est aussi, avant tout, le moyen donné à l’enseignant de s’affranchir de bon nombre de contraintes dans la préparation de supports au travail collectif, de repousser les limites du matériellement possible, au bénéfice de son enseignement et de ses élèves…

    D’emblée, le tableau numérique et son logiciel apportent une réalité autre, des réponses nouvelles dans l’usage d’un tableau :

    • la surface et l’affichage sont virtuels…et potentiellement permanents…On peut dupliquer, enregistrer, rappeler un contenu, une trace d’activité… On n’efface plus le tableau définitivement…un affichage ne remplace plus l’autre…Le travail effectué par l’enseignant dans le cadre de la préparation du tableau est désormais durable, c’est un investissement…
    • les outils numériques mis à disposition pour tracer des objets (lignes, formes géométriques…), les attributs disponibles (couleurs, épaisseur des tracés, remplissage…), les possibilités de manipulation (positionnement, agrandissement, rotation, recopie, regroupement)…sont facilitateurs…Pour l’enseignant, tout ce qui est nécessaire à la préparation de son support est à portée de main…

    Simplifier sa préparation de classe

    Les perspectives ici offertes favorisent le retour du tableau au statut de référence collective ; les moyens existants pour réaliser les documents individuels que l’on photocopie sont transférés au tableau… Les tracés deviennent faciles…

    Ainsi, quel que soit le niveau d’enseignement, quel que soit le champ disciplinaire, est-il désormais aisé de réaliser des modèles d’écriture, des quadrillages pour des activités de mathématiques (tableaux à double entrée, repérages et déplacements, symétrie axiale, pavages et mesures d’aires…), des tableaux et repères pour le traitement de l’information et la production de graphiques… Les situations qui nécessitaient jusqu’alors des constructions parfois compliquées et des préparations souvent chronophages ne sont plus à redouter…

    ecran_fonction ecran_lignes
    ecran_symetrie ecran_tableau_double_entree

    ecran_grilleLignes et quadrillages peuvent être obtenus de plusieurs façons différentes :

    • un utilisant les outils graphiques proposés (lignes, formes géométriques…) et les possibilités d’alignement et d’assemblage
    • en affichant en arrière-plan la grille prévue pour le positionnement des objets sur la page
    • en réalisant un copier/coller d’un extrait d’une feuille de calcul réalisée au moyen d’un tableur (c.f. ci-contre)

    Mémoire collective conservée

    Quelle que soit la démarche suivie, à l’issue de la séance de travail, lignes, quadrillages, repères orthonormés, frises, tableaux, cartes, schémas…portées musicales… ne disparaissent jamais tout à fait… Sauvegardés, archivés, les fonds réalisés restent toujours disponibles pour un nouvel usage… pour servir tels quels ou bien pour être adaptés, revisités. A cet effet, certains logiciels accompagnant les tableaux numériques mettent à disposition de l’utilisateur une bibliothèque personnalisable. C’est ici que les éléments susceptibles d’être fréquemment utilisés gagneront à être rangés de façon privilégiée.

    Si l’utilisateur a la faculté d’enregistrer le contenu du tableau, le support, en amont de l’activité, en vue d’une utilisation ultérieure, il peut également en effectuer une copie en aval, à l’issue de l’activité menée en classe, et l’exploiter… Sauvegardée sous forme d’image, la trace du travail collectif pourra ainsi être archivée afin de tenir lieu de témoignage, de référence pour la classe. Elle pourra également être diffusée… Utilisée pour accompagner un résumé, la trace écrite de la séance… plus qu’une illustration, ce sera pour certains élèves une évocation plus signifiante que celle des mots… Mise en ligne sur un Espace Numérique de Travail…communiquée… elle contribuera à la liaison familles-école…

    C’est dès les situations les plus ordinaires que le tableau numérique interactif prend toute sa mesure…un outil pour faire autrement…mieux…davantage…tout simplement…

     

    *La société tbi-direct.fr (www.tbi-direct.fr) conseille les écoles et distribue des TNI adaptés au monde de l’enseignement.

    Voir les tutoriels vidéos des formateurs TICE.

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  • “School in the cloud” : une nouvelle manière d’apprendre

    “School in the cloud” : une nouvelle manière d’apprendre

    kinder benutzen tablet-pc im unterricht

    Tandis que le gouvernement relance son « grand plan numérique pour l’école« , lequel devrait finalement voir le jour en 2016/2017, en attendant, les établissements prennent des initiatives. Ainsi, en plus d’ordinateurs, certains se sont dotés de tablettes numériques ou encore d’un tableau blanc interactif.

    L’idée étant d’amener leurs élèves à devenir en partie acteurs de leurs apprentissages, par le biais d’outils qu’ils manient avec virtuosité et qui les motivent à participer de manière active, tous ensemble. Evidemment, il est essentiel que ces outils « high-tech » puissent délivrer un contenu adapté.

    Dans cette perspective, on pense à Internet. Cependant, si cette source est une mine indéniable d’informations, ces dernières ne sont pas toujours pertinentes. On perd ainsi du temps à trier, mais surtout, on risque de tomber sur du contenu parasite et inapproprié au public visé.

    C’est pourquoi certains professeurs outre atlantique privilégient désormais la solution « cloud », très en vogue, qui présente des avantages certains (sécurité, disponibilité, centralisation de l’information, pertinence, confort d’utilisation…) et s’avère être un excellent moyen de stimuler le travail de groupe.

    Le cloud ou « nuage »… De quoi s’agit-il exactement ?

    C’est l’équivalent de Dropbox, un environnement de stockage sécurisé géré par une ou plusieurs applications, auquel on accède depuis n’importe où, n’importe quand, gratuitement ou éventuellement sur abonnement, via Internet.

    Les contenus sont enrichis en mode collaboratif : documents, photos, vidéos, présentations, cours, animations, applications…sont échangés et partagé. Des communautés se créent par exemple entre professeurs d’une même matière. C’est l’esprit du web et des réseaux sociaux appliqué à l’école, l’intelligence collective au service de la pédagogie.

    Appliqué au domaine de l’éducation, un espace cloud s’apparente donc à un « micro réseau-social », une plateforme communautaire où les acteurs (professeurs, élèves) vont à la fois chercher et déposer du contenu pertinent, très ciblé, sur une ou plusieurs matières du programme.

    L’expérience « School in the cloud »

    Dans certains pays en voie de développement où le manque d’enseignants est criant, des initiatives misant sur le cloud ont permis ponctuellement de pallier les carences. C’est notamment le cas en Inde, avec le projet « School in the cloud« . Des petits groupes d’enfants, sous la responsabilité d’un adulte non enseignant, communiquent à distance, via Skype, avec une sorte de « professeur numérique« , basé n’importe où dans le monde et appelé « granny », lequel les amène de manière ludique à se poser une question sur un sujet bien précis. Vient ensuite le moment où les élèves doivent ensemble construire leur réponse, en consultant les différents sites ciblés proposés par le programme « School in the cloud« .

    L’adulte n’intervient alors que pour les motiver. Le principe est en effet de les laisser autonomes dans leur façon de traiter l’information, de mettre en commun leurs avis et de trouver une solution unique. Au final, plus que le résultat, c’est la manière d’y parvenir ensemble qui compte, puisqu’elle doit leur permettre d’acquérir des connaissances par eux-mêmes, sans le recours d’un professeur.

    L’intérêt du travail collaboratif

    En France, l’expérience « School in the cloud » est menée dans quelques établissements, avec comme ambition, non pas de remplacer des enseignants manquants, mais bien de tirer bénéfice du travail de groupe.

    Ce dernier est en effet un élément essentiel de la « pédagogie active » qui a désormais pris le pas sur la traditionnelle « pédagogie frontale » où l’enfant était « passif » fasse à son professeur. Ainsi, en plus de permettre aux élèves d’apprendre par eux-mêmes, le fait de travailler ensemble sur un projet ou sujet commun, les amène à faire l’expérience de la socialisation, de l’autonomie et de la maîtrise des TICE.

    A son niveau, le « cloud » participe à ce développement du sentiment collectif, par son côté stimulant, d’autant plus si on l’associe aux nouvelles technologies interactives, comme le vidéoprojecteur interactif, dont les fonctionnalités avancées donnent un relief supplémentaire aux contenus diffusés. Vous pouvez trouver toutes les informations sur les solutions interactives sur le site tbi-direct.fr.

    Source : http://www.consoglobe.com/collaboratif-ecole-cg
    https://www.theschoolinthecloud.org/

    Crédit photo : FOTOLIA

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  • Le TBI pour une pédagogie interactive

    Le TBI pour une pédagogie interactive

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    Un point de vue issu du témoignage d’une enseignante qui utilise le tableau blanc interactifen réponse à l’article « TNI ou VPI, comment faire son choix ? ».

    Les TBI : apports et contraintes

    une technologie nouvelle à maîtriser

    L’arrivée des TBI dans le monde de l’éducation est un événement important mais dans les faits, l’apparition d’une technologie nouvelle pose souvent quelques problèmes.

    Il faut d’abord souligner que le TBI coûte cher ! Il représente un réel investissement, ce qui peut souvent freiner voire bloquer son apparition dans certaines écoles.

    De plus, une grande partie du personnel enseignant se retrouve démunie face à cet outil ! Comment l’utiliser efficacement ? De quelle manière le mettre réellement à profit en exploitant toutes ses possibilités ? Il existe un réel manque de formation et la majorité des enseignants devra se former seule, au contact de l’outil ou avec le soutien de collègues plus expérimentés.

    Cependant, une fois que l’enseignant le maîtrise et qu’il parvient à le mettre efficacement en place au quotidien, le TBI se révèle être un outil précieux permettant un vrai gain de temps, une meilleure dynamique dans l’assimilation des savoirs, plus d’interactivité, de motivation…

    Un enseignement dynamique

    Les TBI permettent à l’enseignant de modifier ses pratiques. Il gagne d’abord du temps en classe : les devoirs à noter, les leçons à copier, les images à afficher… Tout est préparé en amont, il n’y a plus qu’à afficher au TBI ! Le temps de présence de l’enseignant peut alors être dédié réellement au soutien et à l’accompagnement des élèves.

    Ces nouvelles technologies apportent plus de dynamisme dans une classe. Les élèves ne sont plus tête baissée sur un support individuel, ils regardent tous ensemble dans la même direction. Les textes, les images s’affichent, sont déplacés, modifiés.

    Le support est en mouvement : il maintient l’attention et l’intérêt.

    Lors d’un exercice, la classe peut observer les étapes, participer à l’élaboration, venir modifier. Le support n’est pas figé, les erreurs ne sont pas inscrites définitivement, l’enseignant peut intégrer les remarques, les corrections… Autant d’aspects bénéfiques pour la motivation de chacun.

    Les TBI : quels bénéfices pour l’élève ?

    Ludique, créatif, interactif

    Le manque de motivation est un problème dans le quotidien de la classe. L’arrivée en classe d’un TBI apporte quelques solutions.

    L’interactivité entre l’enseignant et les élèves, mais aussi entre élèves amène ces derniers à être plus réactifs, plus impliqués. Les TBI permettent par exemple un support privilégié pour exposer un travail de recherches en groupe : les élèves peuvent y insérer des textes, des images, du sons, ou même des extraits vidéos… Ils sont alors bien plus investis dans leur présentation, et l’auditoire dans son écoute !

    Cela favorise le dialogue entre pairs, le débat, l’argumentation. Le travail collectif trouve un nouvel essor, gagne en efficacité.

    Un autre aspect du TBI le rend particulièrement ludique pour les élèves : le lien étroit qu’il entretient avec les TICE. Il permet à la classe de s’ouvrir plus facilement aux technologies numériques et d’effectuer par la même occasion un travail sur les traitements de texte, la recherche internet, la sélection d’informations… Autant de savoirs à intégrer dans le cursus scolaire des élèves.

    Être acteur pour mieux apprendre

    Ce dynamisme et ces interactions favorisés par les TBI rendent les élèves acteurs. En plus d’une meilleure écoute, d’une plus grande concentration, ils font preuve d’un investissement accru dans l’apprentissage.

    En agissant directement avec le TBI, ils comprennent mieux, assimilent mieux. Sont alors favorisés tous les processus entrant dans l’assimilation d’une notion : l’intérêt, l’écoute active, la mise en application, l’entraînement, la facilité de mémorisation…

    L’élève ne subit plus l’exposé magistral du professeur, il est actif, réactif, impliqué et investi, pour une plus grande efficacité et de meilleurs apprentissages au quotidien.

    Plus d’infos sur TBI Direct : www.tbi-direct.fr

    Source et crédit photo : TBI Direct

  • TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    [callout]Elus, que choisir ? Entre TNI ou VPI pour votre école numérique ?[/callout]

    Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    Dans la jungle des offres des industriels, étudions aujourd’hui deux équipements incontournables pour construire ou développer votre école numérique. Des outils très appréciés des enseignants ! Il s’agit du tableau numérique interactif (TNI) et du vidéoprojecteur interactif (VPI). Quelle différence ? Quels avantages ? Quelle efficience ?

    Dressons un état des lieux pour mieux vous aider à comprendre, puis à choisir en fonction de vos contraintes et des spécificités de vos écoles. Le « meilleur choix » ? Celui adapté à vos spécificités (configuration et niveaux des classes, budget, etc.).

    De quoi parle t-on ?

    Amotice2_181114Quelle que soit la solution choisie, le principe d’une solution interactive est de projeter sur un tableau numérique (TNI) ou sur un tableau blanc type Véléda ou toute surface blanche murale (VPI), l’image de l’écran d’ordinateur. L’enseignant pilote avec son doigt ou un stylet donc l’ordinateur depuis l’écran de projection et navigue  sur son écran comme si c’était un énorme tapis de souris. Son doigt ou le stylet ? Le pointeur de cette souris.

    TNI ou VPI : à l’enseignant d’intégrer à son cours des supports numériques, tels que des vidéos, des photos, du texte ou pages internet, etc. sur lesquels les enfants peuvent interagir.
    Plus précisément :

    OLYMPUS DIGITAL CAMERALe TNI, Tableau Numérique Interactif, associe un tableau numérique, tactile ou pas, à un vidéoprojecteur, relié à l’ordinateur.

    Le VPI, Vidéoprojecteur Interactif, lui, ne nécessite pas de tableau spécifique et peut donc être utilisé avec un tableau blanc traditionnel, type véléda en place ou tout mur blanc mat disponible. Le vidéoprojecteur rend les surfaces murales intelligentes en créant l’interactivité grâce à une caméra à infrarouge intégrée au vidéoprojecteur. C’est une excellente alternative pour les classes très encombrées et les salles petites et où il faut mutualiser les surfaces murales.

    Pourquoi intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles ?

    Intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles, c’est contribuer à rendre pour les enfants les séances plus vivantes, interactives et motivantes.

    Amotice3_181114Depuis 10 ans que cet outil est utilisé dans certaines écoles, on constate une meilleure attention des élèves, mieux canalisés grâce à des parcours pédagogiques collaboratifs que les enseignants mettent en œuvre. Ces séances favorisent l’épanouissement le développement de la créativité des élèves et leurs implications scolaires.
    Les solutions interactives permettent ainsi de favoriser le travail collaboratif et de faciliter les interventions simultanées à plusieurs, sur le tableau.

    Le premier critère à prendre en compte est lié à la politique de la ville, la place que doit prendre le numérique dans votre projet éducatif territorial et au budget que vous  souhaitez y consacrer.

    Mais un VPI ou TNI par école n’est-il pas suffisant ? Ce qui bien sûr réduirait considérablement vos investissements.

    En salle informatique ? Non ! Placer un tableau dans une salle polyvalente, c’est s’assurer que l’argent investi sera purement et simplement gâché.

    Car les solutions interactives ne sont en réalité réellement utilisées que dans les classes car les enseignants se les approprient.

    TNI Mobile* ou portable* donc mutualisable entre les classes? Là aussi, en primaire, non! D’expérience, les enseignants des petites classes ne prennent pas le temps, après l’enthousiasme du début, d’installer, paramétrer et l’équipement reste dans la salle initial ou dans le placard.

    Amotice4_181114Le deuxième critère : le prix, qui constitue l’un des principaux éléments qui fait la différence. Basiquement, un VPI affiche un prix moins élevé qu’un TNI.  Mais aujourd’hui les constructeurs de TNI  baissent leurs offres basiques qui, à l’honneur hier, font place à nouvelles technologies, toujours plus performantes.

    La question donc : les enseignants de votre circonscription ont-ils besoin du dernier cri ? Pas forcément, ou seulement si cela vient répondre à une des raisons de non-usages de leurs collègues.
    Attention !  N’oubliez pas de calculer l’ensemble des coûts inhérents à l’installation d’un VPI : si vos salles sont principalement équipées de tableaux à craies, vous devrez inévitablement compter les coûts de leurs désinstallations, l’achat de tableaux blancs type Véléda, ainsi que la désinstallation d’éventuels luminaires placés généralement en haut des tableaux à craies et qui gênent la fixation des vidéoprojecteurs.

    Le troisième critère essentiel relève de la configuration des classes :

    Où mettre donc le tableau numérique interactif ?

    Amotice5_181114Selon le matériel et l’infrastructure électrique et de câblage qui ne doivent pas être éloignés, déjà en place dans les classes, VPI ou TNI s’imposeront naturellement ; d’où l’importance d’effectuer un audit initial pour étudier leurs futurs emplacements dans les classes.

    Aussi, de part la définition même d’un TNI ou d’un VPI, la place consacrée au TNI sera plus importante que celle d’un VPI, qui peut, en un même lieu, servir de solutions interactives et de tableau effaçable à sec.

    Dans tous les cas, pas de craie à côté d’un vidéoprojecteur ! Si vous optez pour un TNI, celui-ci devra être placé à côté du tableau traditionnel ou sur le mur adjacent pour faciliter la gestion des élèves.

    Attention !  En postulat de départ, gardez en tête que l’enseignant a l’habitude d’utiliser son tableau à craie ou Véléda, et dans une large majorité des cas il continuera à rechercher cet usage.

    Quatrième critère : les logiciels.

    Vérifiez s’il existe d’autres tableaux dans l’école. Pourquoi ? L’homogénéité entre les différents modèles de tableaux permet de pallier les problèmes de compatibilité de logiciels et de leur mise à jour.

    Chaque marque de TNI a son logiciel, ce qui pose le problème de l’interopérabilité des logiciels.  Leur avantage est lié à une interface particulièrement étudiée pour le primaire : certains permettent également aux enseignants d’échanger leurs pratiques et leurs ressources sur des plateformes dédiées.
    Pour les VPI, des logiciels gratuits tels que Workspace ou Sankoré peuvent être utilisés.  Notons que, pour ce dernier, le réseau Canopé dans les académies (ex CRDP) a développé une large palette de ressources, qui permettront aux enseignants d’optimiser les usages du VPI ou du TNI et d’échanger sur leurs pratiques.

    Et vous, quelle solution interactive TNI ou VPI est-elle la plus adaptée à vos salles de classes et à votre budget ? Avez-vous effectué un audit des infrastructures et équipements de vos classes ? Quelles conclusions en avez-vous déduit ? Partagez-les avec nous !

  • +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

    +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

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    Devons-nous nous réjouir de ce résultat ?
    Toute évaluation allant dans un sens positif de la pratique du numérique à l’Ecole est bonne à prendre. Détaillons en quelques points ce qui a vraiment changé entre 2012 et 2014.

    Equipement personnel de l’enseignant : de plus en plus équipés et de plus en plus en outils mobiles

    Alors que la plupart des enseignants se tournent vers des appareils personnels mobiles (ordinateurs portables, tablettes, liseuses ou Smartphones) pour leur usage à la maison et en établissement, seuls 1% des enseignants déclarent n’avoir aucun outil informatique à domicile.

    La dotation par l’établissement ou la collectivité stagne ou décroit, souligne le rapport.

    En classe, les enseignants utilisent plus le numérique

    L’usage d’un ordinateur « enseignant » et d’un matériel de vidéo projection semble être passé dans les us et coutumes de la majorité des enseignants interrogés et ils admettent que l’accès à ces outils est facilité.

    Seuls 31% d’entre eux déclarent utiliser un matériel interactif (TNI ou vidéoprojecteur) ; pour les autres, une partie d’entre eux affirme que l’accès à ces matériels serait trop compliqué ou l’autre partie avoue n’avoir jamais utilisé ce type d’équipement.

    La ressource numérique : un des points noirs des usages du numérique en classe.

    Alors que certains déclarent ne pas avoir connaissance des ressources numériques disponibles, d’autres affirment que les enseignants en sciences humaines, sociales, de sciences et de production disposent de plus de ressources que les « littéraires » ; d’autre part, les lycées semblent un peu mieux dotés que les collèges.

    « Les exploitations plus novatrices du numérique, autres que la préparation des cours (56%), le renseignement du cahier de textes numérique (62%), la saisie des notes et/ou des absences (61%), le montage de séquences en classe sans manipulation des TIC par les élèves (35%), restent très faibles ou anecdotiques, voire inexistantes pour une très large majorité lorsqu’il s’agit par exemple de faire communiquer les élèves entre eux en dehors ou dans la classe ».

    Pourtant, collaboration, partage, coopération et échanges ne sont-ils pas les maîtres mots des débats, colloques et séminaires en tout genre lorsqu’il est question de numérique dans l’éducation ? Ces valeurs, que tous plébiscitent et annoncent comme « facilitées » par le numérique, ne sont, à priori, pas encore entrées dans l’enseignement « classique » ; est-ce faute de matériel suffisant ?

    Le volet « communication avec le numérique« , pourtant n°1 dans notre société à tous les niveaux, n’a pas « matché » non plus avec l’Ecole puisqu’il ressort que « des doutes persistent sur les apports dans la communication avec les parents » ; sous-entendu : il ne ressort pas clairement que le numérique ait joué un rôle déterminant, à ce jour, pour instaurer une meilleure communication en dehors des murs de l’établissement.

    Le numérique, profitable aux enseignants mais des freins à une pratique plus régulière subsistent

    Pour terminer sur une note positive, l’enquête dit aussi :

    plus de 90% des enseignants jugent le numérique profitable à leur enseignement.

    La volonté est donc bien là ; oui mais voilà, il y a encore les fameux « freins » que tout le monde connaît, qui ralentit leur course, à savoir : l’accès à internet et ses débits encore insuffisants (pour 42% des enseignants, c’est le facteur bloquant à l’usage du numérique) ; l’anticipation comme par exemple la réservation de matériel ou de salles fait aussi partie des freins pour 38% d’entre eux.

    « Arrêt sur image » sur la salle informatique, qui fait encore « la une » dans nos établissements.

    Comment se fait-il qu’on évoque encore cette question de la réservation de « salle informatique » ? Pourtant, nous sommes actuellement dans une logique de mobilité (sous-entendu un appareil mobile par élève) en classe et hors la classe, pour tenter de casser le modèle « tragique » de l’enseignement actuel comme le décrit Daniel Peraya, professeur en technologies de l’éducation à l’Université de Genève (TECFA), en référence aux règles de la tragédie classique à savoir une unité de lieu, une unité de temps, une unité d’action.

    Effectivement, la salle informatique a encore sa place car elle en dit long sur plusieurs années d’investissement des collectivités à qui il est recommandé, pour ne pas dire demandé, aujourd’hui de changer de modèle. Patience, le numérique est bien entrain « d’entrer » dans l’Ecole, du moins au collège et au lycée, et les enseignants sont de plus en plus convaincus, en référence à cette dernière enquête.

    Auteur : Aurélie Julien

    Source des passages cités : article issu de eduscol.education.fr avec accès à l’enquête.

     

     

  • le TNI, un outil en trois dimensions dans l’espace et le temps, à s’approprier

    le TNI, un outil en trois dimensions dans l’espace et le temps, à s’approprier

    atelier TNI Menvielle

    S’approprier l’outil

    Les revendeurs de matériel fournissent des logiciels « clef en main » qui orientent la pédagogie. Or, il semble que le TNI doive répondre à un besoin éducatif de l’élève, et non créer un nouveau besoin.

    Il s’agira donc de prendre le temps pour élaborer le « vocabulaire » et la « grammaire » inhérents à cet outil.

    Dans cet objectif là, quels peuvent être les avantages et les opportunités d’apprentissages qu’offre le TNI ?

    Le TNI un outils à 3 dimensions

    Le TNI renvoie, par ses caractéristiques d’écran numérique, à une grande partie des supports d’informations que fréquentent les élèves, aujourd’hui en dehors de la classe. Il est donc important de donner aux élèves les clefs de la compréhension de cette technologie usuelle d’information et de communication en la pratiquant en classe.

    L’atout principal du TNI est qu’il possède une propriété  hypertextuelle. C’est à dire une structure en 3 dimensions dans l’espace et dans le temps : en effet, il permet de superposer plusieurs « tableaux » sur sa seule surface, avec tout ce que cela implique comme profondeur dans les possibilités.

    Les « mutli-couches » sont des calques transparents qui se superposent sur l’écran et qui peuvent être travaillés simultanément. Ces « couches » permettent sur un même écran, de visualiser les différentes étapes de la réflexion et de construire une nouvelle compétence à partir d’un document initial.

    Par exemple, la construction du plan en géographie : lewebpedagogique.com

    La profondeur de l’écran est aussi composé par le «multi-pages ». Ce sont des tableaux projetés successivement. Ils ont valeur de traces dans le temps des différentes étapes de la construction d’une notion complexe.

    Dans le même sens, le TNI permet de garder les « tableaux-brouillon » en mémoire et de les reprendre pour les modifier à volonté : l’enregistrement sous des noms différents permet en effet de revenir sur des travaux antérieurs et de conserver les différentes strates de reprises et d’amélioration. Ces traces en « brouillon » du cheminement de la classe avec les erreurs et les découvertes sont essentielles pour certains élèves à la construction de leur savoir.

    En classe garder la trace de l’élaboration du sens de la division sur 2 ans : lewebpedagogique.com

    Le TNI est généralement aussi connecté au réseau web, ce qui peut permettre d’aménager une lecture hypertextuelle. Cette fréquentation en classe de la lecture connectée permet aux élèves une meilleure compréhension de cette navigation dans les contenus projetés sur des écrans.

    Un exemple, « la chasse au fautes » où pour pouvoir corriger, chaque faute d’orthographe sera reliée à une leçon en ligne : lewebpedagogique.com

    Voir la bio de Sébastien Menvielle sur Ludovia 2014

    Voir le programme des ateliers ExplorCamps de Ludovia 2014 ici

  • EIDOS 64, le forum des pratiques numériques pour l’éducation

    EIDOS 64, le forum des pratiques numériques pour l’éducation

    Eidos64_forumnumerique_070113

    Dans cette perspective, le Conseil général, en partenariat avec l’Education nationale, organise la journée du numérique 64 qui se déroulera

    le mercredi 15 janvier 2014 à Mourenx sur le thème : « Ouvertures : apprendre autrement avec/sans/par/malgré le numérique ? »

    Pour sa 6ème édition, la journée du numérique change de nom : elle devient EIDOS64, le forum des
    pratiques numériques pour l’éducation.

    Son esprit reste le même : favoriser les échanges et les partages entre les chercheurs et les enseignants de terrain, entre les enseignants du département et d’ailleurs, dans l’académie, en France ou en Europe, et enfin de la maternelle au supérieur.

    EIDOS64, le 15 janvier 2014 à Mourenx, c’est :
    – une journée dédiée aux usages du numérique pour l’éducation pour tous les acteurs de l’éducation organisée par le Département des Pyrénées-Atlantiques en partenariat avec l’Education nationale
    – un thème portant sur le rôle et la pertinence du numérique pour l’éducation
    – plus de 60 intervenants
    – plus de 400 enseignants attendus (de la maternelle à l’université)

    Pour la première fois cette année, des ateliers pour les collectivités territoriales, animés par des responsables nationaux.

    Un programme complet et varié

    Matinée à la salle Louis Blazy : conférence et table ronde (accueil café dès 9 heures)
    déjeuner au collège Pierre Bourdieu
    Après-midi de 14 h à 17 h, 48 ateliers d’échanges de pratiques

    Plus d’infos : Une adresse pour les informations, programme détaillé et inscriptions : www.eidos64.fr