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  • Editis acquiert l’éditeur de « jeux sérieux » Daesign

    Fort d’une vingtaine de collaborateurs expérimentés et talentueux, Daesign s’appuie sur un puissant moteur de simulation de dialogues humains. Elle propose, outre des réponses sur mesure aux demandes de ses clients, un catalogue étendu de jeux dans les domaines de la vente, du management et de la gestion des risques.

    Elle développe des dispositifs pédagogiques innovants intégrant numérique et présentiel. Daesign compte parmi sa clientèle les plus grandes entreprises françaises.

    Catherine Lucet, Présidente des Éditions Nathan et Directeur du Pôle Éducation et Référence d’Editis, se dit « ravie d’accueillir un nouvel éditeur qui partage notre passion de transmettre et notre goût de l’innovation pédagogique. »

    Jean-Noël Portugal, Directeur général de Daesign, souligne que « Daesign va pouvoir accélérer son développement sur un marché en rapide évolution, où créativité et qualité de l’offre sont clés. »

    De son côté, Guillaume Vicaire, Directeur général d’Editis, affirme que « cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’Editis de développement de la formation professionnelle et d’accélération de sa transition numérique. »

  • 5ème édition pour le Salon des séjours linguistiques et des voyages scolaires

    Ce salon est axé sur la qualité des séjours et la sécurité des futurs participants, puisqu’il est organisé par le label de qualité du secteur : « L’Office national de garantie des séjours linguistiques et éducatifs » (www.loffice.org).

    Les parents, les étudiants et les enseignants sont de plus en plus demandeurs de garanties, c’est pourquoi L’Office organise ce rendez-vous annuel avec le soutien des ministères chargés de l’éducation et de la jeunesse, de la commission européenne, et avec la Mairie de Paris.

    Tous les exposants au salon ont été rigoureusement sélectionnés par L’Office, ils sont labellisés « Contrat Qualité » et contrôlés.

    Les temps forts du salon :

    – 10 conférences thématiques : choisir le bon séjour, jobs et stages en entreprise à l’étranger, scolarité à l’étranger, les tests de langues etc.
    – un grand jeu concours : 800 € à gagner sur un séjour linguistique/éducatif
    – un test de langues en ligne pour connaître son niveau de langues avant de rencontrer les exposants

    Plus d’infos : www.salon-office.com

  • Le label « Grande Ecole du Numérique » pour plus de 20 formations WebForce3

    Avec plus de 20 centres affiliés bénéficiant de ce label, WebForce3 s’affirme comme un réseau fortement engagé au sein de la Grande Ecole.

    La mission de la Grande Ecole est claire : permettre à des jeunes, des personnes sans diplôme ou à la recherche d’un emploi, de se former aux nouvelles technologies – via des formations courtes et adaptées – et de trouver un emploi. Quant aux objectifs chiffrés, il s’agit de former 10 000 élèves dans ce cadre d’ici fin 2017, au travers de 200 formations avec un budget de 10 millions d’euros.

    WebForce3 propose depuis plus de deux ans une formation très opérationnelle et intensive (3 mois et demi / 35 heures par semaine) au métier de développeur-intégrateur web en phase avec les attentes des entreprises et du marché actuel. Cette approche de formation professionnelle innovante – rendue accessible à des publics fragiles et donnant des compétences très recherchées aujourd’hui et à l’avenir – est la marque de fabrique de WebForce3 au sein de la Grande Ecole du Numérique.

    Le réseau d’écoles WebForce3 a été distingué par le Label de la façon suivante :

    •    14 écoles WebForce3, dont :
    Paris : 6 classes réparties dans l’ancien hôpital Saint-Vincent de Paul et au sein de l’incubateur Le Cargo ;
    Bordeaux avec la Philomathique ;
    Piennes (Lorraine) avec NumericALL ;
    Louviers (Normandie) avec la CCI de l’Eure ;
    Le Perray-en-Yvelines ;
    Lille avec Formachance ;
    DOM-TOM : 7 écoles avec Métamorphoses Outremer (dont les deux premières ouvriront à La Réunion et à La Martinique).

    •    L’association LePoleS, avec au moins 6 chantiers d’insertion au cœur de quartiers populaires de Pierrefitte-sur-Seine, Chelles, Poissy, Gonesse, Évry et des agglomérations Est Ensemble et Seine Amont. WebForce3 assurera dans ce cadre les trois mois et demi de formation centrée sur l’apprentissage des techniques de développement-intégration web.

    Les fonds obtenus via ce Label seront majoritairement destinés au financement des élèves ne disposant pas d’autres aides. WebForce3 met en effet en place à l’échelle nationale un dispositif de soutiens aux candidats les plus défavorisés (accompagnement, bourses d’études, etc.) qui permettra à davantage d’entre eux de bénéficier de ses formations au web.

    Pour Alain Assouline, Président de WebForce3, « ce Label représente une étape clé – après la certification des formations WebForce3 par la CNCP en novembre dernier – dans la reconnaissance de la qualité de notre modèle, tant en termes pédagogiques que par la priorité donnée à l’employabilité. Nous faisons tout pour préparer ces jeunes à un métier d’avenir en répondant aux besoins réels des entreprises. »

    Les perspectives de développement de WebForce3 en 2016

    Fort de ses premiers succès en France et au Luxembourg, WebForce3 accélère son déploiement avec pour objectif 25 écoles en activité d’ici fin 2016. Outre les projets déjà labellisés, les écoles de Nanterre et Hirson (Picardie), WebForce3 entend ainsi ouvrir dès les prochains mois des écoles dans les villes de Marseille, Toulouse, Auxerre et Lyon.

    Mars 2016 verra aussi l’ouverture d’une deuxième école en Europe, à Viladecans dans la banlieue de Barcelone, alors que plusieurs projets sont à l’étude notamment en Afrique.

  • EPS et classe inversée, il fallait y penser !

    EPS et classe inversée, il fallait y penser !

    A ses débuts, Julien Andriot n’était pas convaincu ; il pratiquait la classe inversée en utilisant des méthodes classiques comme, par exemple, proposer des vidéos à ses élèves avant le cours, où il « essayait de leur donner envie de venir au cours et fournissait quelques astuces ».

    Il n’était pas du tout persuadé des bénéfices de son nouveau fonctionnement pour sa discipline, l’EPS, où l’apprentissage est basé sur des compétences « moteur » et où « il n’y a pas à intellectualiser le moteur ».

    Jusqu’au jour où, en début d’année scolaire, il tombe sur une interview d’Héloïse Dufour, Présidente de l’association « Inversons la classe ! » et c’est pour lui « une révélation ».

    Elle explique que la classe inversée, c’est mettre en autonomie des élèves sur des tâches cognitives simples pour passer plus de temps sur des tâches complexes.

    « Finalement, l’enseignant peut arriver à se multiplier autant de fois qu’il en a besoin ; il y a 30 élèves dans sa classe : il peut se démultiplier 30 fois grâce au numérique, grâce à la vidéo et grâce à la classe inversée ».

    Julien Andriot explique dans la vidéo ci-contre comment il procède concrètement avec ses élèves de 6ème dans son quotidien en classe inversée : le matériel dont il dispose, soit deux tablettes, la réalisation de vidéos accessibles sur ces tablettes grâce à un QR code mais aussi la réalisation de vidéos par les élèves eux-même pendant le temps de cours etc.

    Au départ, Julien Andriot avait pour ambition de « juste » changer son enseignement. « Aujourd’hui, je prends de plus en plus de plaisir dans mon métier, dans l’accompagnement et la différentiation avec mes élèves ».

    Merci à Julien pour son témoignage ! Si vous aussi, vous voulez vous mettre à la classe inversée, « c’est possible et réalisable pour tout le monde et facilement », comme le conclut Julien Andriot dans son interview.

    Vous pouvez profiter de la semaine de la classe inversée, « CLISE 2016 » qui a lieu du 25 au 29 janvier dans toute la France et ailleurs. Pour plus d’infos, rendez-vous ici.

    Dans l’académie de Toulouse, n’hésitez pas à entrer en contact avec Julien Andriot  via sa messagerie académique : julien.andriot@ac-toulouse.fr

     

     

     

     

     

     

     

  • 150 000 collégiens dyslexiques peuvent désormais accéder à des manuels scolaires adaptés à leurs besoins

    Une nouvelle fonctionnalité plébiscitée par les enseignants

    Activable en un simple clic, cette fonctionnalité s’applique à l’ensemble des manuels scolaires qui s’affichent alors dans la police OpenDyslexic, réputée pour faciliter la lecture aux dyslexiques. Cette police, open source et gratuite, rejoint les valeurs portées par l’éditeur, qui publie déjà ses manuels scolaires sous licence libre. L’activation de la fonctionnalité triple également l’espace entre les mots et double les interlignes pour aider les élèves dyslexiques dans leur lecture.

    « Nous avons appliqué les premières recommandations de nos travaux concertés avec le Ministère de l’Education Nationale sur ces sujets. D’autres fonctionnalités suivront pour aller encore plus loin dans l’aide aux dyslexiques, mais les premiers retours de nos utilisateurs sont déjà très positifs », déclare Raphaël Taieb, cofondateur du Livrescolaire.fr.

    « C’était une demande forte des professeurs de notre communauté, confrontés au quotidien à des supports pédagogiques inadaptés aux besoins de leurs élèves dyslexiques. Nous avons un engagement fort pour la réduction des inégalités face à l’apprentissage. L’accès libre et gratuit à nos manuels scolaires sur Internet, couplé à ce type de fonctionnalités, sont autant de pas importants dans cette direction. Et nous avons beaucoup d’autres idées en cours de développement pour la rentrée 2016. »

    « Ce qui nous a demandé le plus de travail, c’est la généralisation de ces innovations à l’échelle des 20 manuels, 2 500 pages, 10 000 documents et 15 000 exercices que comporte notre site », rapporte Jonathan Banon, directeur innovation du Livrescolaire.fr.

    « L’aide aux élèves dyslexiques, comme à d’autres élèves ayant des besoins spécifiques (élèves malvoyants ou aveugles, élèves dyspraxiques, etc.) est un axe important de notre développement. Le numérique est un formidable levier d’innovation pour aider ces élèves. »

  • Faut-il éloigner les enfants des tablettes ?

    Faut-il éloigner les enfants des tablettes ?

    Par Laure Deschamps, Fondatrice de ScreenKids – La Souris Grise

    La technologie nous entoure, nous rassure, nous met en lien, cristallise nos relations et nos émotions. Les enfants, avant même leurs premiers pas, font usage des écrans avec leur entourage : ils regardent des photos de famille avec leurs parents, ils observent et participent aux jeux numériques de leurs frères et sœurs et ils imitent les pratiques digitales de leurs Papi, Mamie, cousins, oncles et tantes.

    Peut-on interdire les enfants d’écrans et de tablettes ? Si l’on observe la réalité quotidienne de la famille, c’est un souhait farfelu.

    De l’organisation de la vie quotidienne à la gestion des vacances, des devoirs scolaires au suivi des activités culturelles ou sportives, des échanges avec les parents éloignés aux SMS complices de tous les jours, les relations passent par les multiples écrans qui peuplent le foyer. Dont la tablette, reine des écrans des plus jeunes avant l’équipement en premier téléphone portable.

    C’est un fait, une réalité, un constat … et une superbe opportunité culturelle. Car utiliser les écrans en famille avec intelligence et parcimonie est à la portée de tous. Derrière les critiques et inquiétudes exprimées autour des écrans se cache la vraie question, celle des usages et des contenus.

    Et même un très jeune enfant, de moins de 6 ans, peut apprendre et jouer sereinement avec une tablette, de temps à autre, en complément de ses autres activités.

    Il faut simplement qu’il ait accès à des contenus pertinents, réellement adaptés à son âge, doux en rythme, beaux en graphisme.

    Des activités numériques qui respectent le rythme de l’enfance et qui laissent libre cours à l’imagination. Des jeux de société digitaux à partager en famille. Des applications intelligentes pour accompagner la scolarité sans transformer la maison en seconde école.

    Ces contenus, ces pratiques, cette profusion de créativité, restent inconnus des familles. Les parents d’aujourd’hui ont besoin d’aide pour gérer les multiples écrans, pour moduler les usages en fonction des âges et pour choisir des contenus adaptés. Ils sont en quête d’accompagnement, de conseils, d’idées dans un monde que nous avons voulu interconnecté, en mouvement perpétuel et en quête de performance technologique.

    Ne transformons pas la tablette en une télé aplatie et inactive.

    Plutôt que d’éloigner les enfants des tablettes, aidons les parents à les utiliser comme des vecteurs de culture, de voyages imaginaires et d’apprentissages.

    A propos de La Souris Grise :

    La Souris Grise est éditée par ScreenKids, l’expert des contenus numériques pour enfants. Cette jeune société parisienne, bien connue des professionnels culture jeunesse, organise formations et événementiels dans toute la France. Sa fondatrice, Laure Deschamps, l’auteure du livre, se passionne pour l’espace d’invention infini ouvert par le numérique et la diffusion de cette culture créative et innovante.

  • Breathe Up, la première solution qui indique la mesure personnalisée de la qualité de l’air en fonction de l’activité

    Breathe Up, la première solution qui indique la mesure personnalisée de la qualité de l’air en fonction de l’activité

    Son plus ? A partir d’une analyse précise de la quantité et de la qualité d’air respiré, l’application Breathe Up livre à son utilisateur des informations sur son exposition aux polluants ainsi qu’un ensemble de conseils personnalisés pour respirer au quotidien un air plus sain.

    Breathe Up : un concept inédit pour adapter ses comportements et éviter la pollution

    Breatheup_appFruit de la collaboration entre des experts de la qualité de l’air et des spécialistes de la physiologie humaine, Breathe Up est une application connectée à un écosystème numérique (capteurs personnels, capteurs collectivités, Cloud, mesure de l’activité), qui permet d’indiquer en temps réel, avec une précision inégalée, quels sont les polluants contenus dans l’air respiré. Les données collectées sont ensuite croisées avec les informations relatives au profil de l’utilisateur et à son activité (déplacement en voiture, à pied, à vélo ou encore pratique d’une activité sportive, etc…).

    Le but ? Déterminer les impacts de la pollution de l’air sur l’organisme de manière individuelle, à chaque instant en fonction de son activité, pour guider l’utilisateur vers un comportement plus adapté. Une solution simple et pratique pour protéger les plus fragiles (enfants, asthmatiques, seniors), guider les sportifs vers de meilleures performances ou tout simplement pour ne plus subir la pollution et respirer un air plus sain.

    Breathe Up : la seule solution qui s’adapte à chaque physiologie

    Premier concept entièrement personnalisable de mesure de la qualité de l’air respiré, Breathe Up est la seule application qui tient compte de la physiologie de l’utilisateur et qui lui propose de réelles solutions ! Quel que soit le profil utilisateur (famille, sportif, urbain, senior, personne à fragilité respiratoire), ses objectifs (amélioration du confort, de la santé, des performances sportives) et sa localisation (parc, centre-ville, lieu de travail, domicile…), Breathe Up apporte les informations les plus pertinentes pour réduire son exposition aux polluants et indique l’itinéraire ou le moment à privilégier pour faire une balade en famille ou pour pratiquer une activité sportive dans les meilleures conditions et améliorer ses performances.

  • ENC Hauts-de-Seine : 40% d’augmentation par rapport à l’année dernière

    La communauté scolaire a pu évoluer vers des usages quotidiens et intensifier les usages pédagogiques du numérique avec plus de transparence et de convivialité, grâce à la mise en place de l’ENT.

    Les accès du territoire des Hauts-de-Seine restent largement au dessus des moyennes nationales. L’ENT du Conseil départemental des Hauts-de-Seine est jugé comme le plus mature des projets ENT au plan national par la Caisse des Dépôts, en charge du dispositif national de mesure d’audience des ENT. Par ailleurs, le 28 octobre dernier, l’Environnement Numérique des Collèges Hauts-de-Seine (ENC Hauts-de-Seine), dont fait partie l’ENT, a été labellisé « Prix Territorial La Gazette – GMF ».

    Les collèges des Hauts-de-Seine ont pris le virage du numérique éducatif avec le programme ENC Hauts-de-Seine, mis en place par le Département en concertation avec les partenaires académiques. L’ENT est devenu un outil incontournable pour ses utilisateurs.

    Ce dispositif permet une nouvelle organisation de la gestion de la vie scolaire, des contacts avec les familles, des contenus pédagogiques. Les parents ont accès à la vie scolaire de leurs enfants (emplois du temps, notes, cahiers de textes…) et aux actualités de leur établissement. Ils peuvent également effectuer certaines démarches administratives (inscription et paiement de la cantine).

    Pour les enseignants et les élèves, il existe plusieurs possibilités de travail collaboratif de façon dématérialisée : ramassage de copies, accès à des ressources pédagogiques…
    Source : département des Hauts-de-Seine

  • Le Conseil Départemental recycle ses ordinateurs pour les collégiens

    Depuis 2013, 530 ordinateurs ont déjà été offerts à des collégiens.

    Afin de contribuer à réduire la fracture numérique et de permettre à une majorité d’élèves de retrouver, à leur domicile, le même environnement informatique que dans leur collège, le Département a décidé d’offrir 200 postes informatiques reconditionnés.

    Ajoutés aux 530 remis depuis 2013, cela portera à 730 le nombre total de collégiens qui ont bénéficié d’un ordinateur.

    Les principaux des collèges ont proposé ces ordinateurs aux familles de collégiens les plus modestes, bénéficiaires de bourses, et intéressées par le don du Conseil départemental. Ce matériel est également offert à certains collégiens porteurs de handicap issus des Unités Localisées pour l’Inclusion Scolaire (ULIS).

    Ces ordinateurs, qui ne sont plus utilisés par le Conseil départemental, ont été reconditionnés par des personnes handicapées psychiques ou en insertion de la société ECODAIR.

    L’Environnement numérique des Collèges (ENC Hauts-de-Seine) est un programme mis en place, depuis 2009 par le Conseil départemental, en partenariat avec l’Education Nationale, qui permet aux collégiens d’accéder à un matériel performant (un ordinateur par salle, des tableaux numériques dans plusieurs classes, des vidéo projecteurs interactifs, des imprimantes 3D…) et d’avoir accès à un Espace Numérique de Travail (ENT), outil d’échange entre le monde enseignant, le collégien et sa famille.