Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Opération «MÉTÉO à l’École» : appel à candidatures 2015-2016

    Opération «MÉTÉO à l’École» : appel à candidatures 2015-2016

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    Le projet installe et anime un réseau de stations météorologiques à vocation éducative dans des collèges et des lycées répartis sur le territoire français.

    Dans la continuité de la dynamique des phases d’équipement précédentes, et dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), « Sciences à l’École » engage une nouvelle phase d’équipement.

    Un appel à candidatures est ouvert du 2 novembre 2015 au 15 janvier 2016. 25 stations météorologiques seront mises à disposition des équipes pédagogiques sélectionnées qui pourront ainsi mener, dans leur établissement, des projets liés à la météorologie.

    Plus d’infos :

    Site internet : http://www.meteoalecole.org/meteo-a-l-ecole/rejoindre-meteo-a-l-ecole
    Contact : mathieu.rajchenbach@obspm.fr

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  • Gamixlab : le premier lab consacré au serious gaming

    Gamixlab : le premier lab consacré au serious gaming

    Cette structure accueille dès à présent des enseignants, des étudiants et des chercheurs afin de mener des projets transdisciplinaires dans le domaine du serious gaming et de la formation par le jeu.

    L’objectif principal est de co-concevoir des dispositifs d’apprentissage à bas coûts grâce au détournement de jeux du commerce grand public.

    Nous vous invitons à visiter le site internet du Gamixlab mais aussi à nous rejoindre afin de participer à cette aventure : http://gamixlab.com,
    contact@gamixlab.com.

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  • Mission Monteil : évaluer et irriguer les pratiques numériques dans l’École

    Mission Monteil : évaluer et irriguer les pratiques numériques dans l’École

    « Originellement, la Mission Monteil consistait à créer un dispositif d’animation et d’impulsion autour du numérique à l’école et irriguer autour de l’école dans les territoires académiques ».

    La première démarche fut de mobiliser les cadres de l’Education Nationale pour aider à une prise de conscience, celle « que nous sommes entrain de changer de paradigme au sein de cette société numérique ».
    Une société numérique qui bouleverse le monde du travail, de la santé « et nécessairement le monde de l’Education ».

    L’objectif de la Mission Monteil est bien « d’entrer en action » et non de rédiger un « nième » rapport, comme le précise Jean-Marc Monteil tout en soulignant qu’il a lu la plupart de ces rapports et qu’il y en a eu d’excellents.

    Durant cette première phase, les équipes de la Mission Monteil sont allées sur le terrain pour réunir les cadres sous l’autorité des recteurs des académies ; cadres de l’enseignement mais aussi des collectivités territoriales et représentants économiques ainsi que des personnes du monde de la recherche et des universités.

    « Nous avons décidé de réaliser dans un premier temps un tour de France pour répondre à cet objectif de dynamisation ;»

    même si les gens sont déjà engagés, culturellement, il faut étendre les choses dans un processus de nature épidémiologique.

    A chaque déplacement, la Mission Monteil parvenait à regrouper de 400 à 500 personnes, « ce qui fait qu’aujourd’hui, nous avons touché 3000 à 4000 personnes qui constituent l’encadrement de l’Education Nationale ».

    Pourquoi avoir choisi de « toucher » en premier les inspections ?

    « Les inspections sont des cadres mobiles », comme l’explique Jean-Marc Monteil, « ce qui permet d’irriguer plus facilement un territoire ».

    Comme il l’a précisé au sujet des rapports nombreux qui existent sur le numérique, l’idée de la Mission n’est pas non plus de rédiger des circulaires de cadrage.
    Le constat est fait que les usages sont de plus en plus nombreux avec de plus en plus de relais médiatiques.

    « On parle beaucoup de numérique sauf qu’il subsiste une question de fond qui est :

    est-ce que cette évolution technologique permanente se traduit par une efficacité des apprentissages, par une amélioration de la situation scolaire, par la réduction de l’échec, par l’accès au plus grand nombre à l’information etc.

    Des questions qui sont posées mais qui restent encore sans réponses car, pour Jean-Marc Monteil, nous ne disposons pas d’évaluation, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle internationale.

    « Donc une de nos ambitions, c’est de qualifier un certain nombre de pratiques, mais pas par une évaluation traditionnelle ».
    Jean-Marc Monteil tient particulièrement à s’appuyer sur une méthodologie scientifique, « pour s’installer dans des dispositifs de comparaison pour répondre à un certain nombre de questions et y répondre à partir d’un positionnement scientifique ».

    « La pratique du numérique modifie les comportements et cette modification des comportements ne peut pas être sans conséquences », conclut Jean-Marc Monteil dans cette première partie.

    Découvrez dans le prochain épisode les explications de Jean-Marc Monteil sur l’approche de la Mission, qui est celle de placer l’école au sein de la société numérique et non de faire entrer le numérique de manière radicale par la porte de la classe… A suivre…

  • Déconstruire la désinformation et les théories conspirationnistes

    Déconstruire la désinformation et les théories conspirationnistes

    Article par Brigitte Pierrat, source eduscol.education.fr

    Apprendre à vérifier l’information

    L’éducation aux médias et à l’information met l’accent sur la capacité des élèves à analyser l’information et la source dont elle émane. Le projet de programme pour le cycle 4 cite comme première compétence de l’EMI « Une connaissance critique de l’environnement informationnel et documentaire du XXIème siècle. »

    Au niveau de l’information, le ministère de l’intérieur a trois comptes twitter qu’il convient de suivre pour éviter tout développement d’une rumeur @prefpolice , @Place_Beauvau et @PNationale

    Pour le premier degré, la vidéo Vinz et Lou « La vérité ne sort pas toujours de la bouche d’internet » permet, sans traiter directement de la rumeur, de lancer le débat avec les élèves sur la manière dont ils vérifient les faits et croisent les informations.

    Le site des Décodeurs du Monde revient sur le principe de vérification des faits que mettent en place les journalistes et que peuvent également faire les élèves dans leur propre pratique.

    Libération publie un article « Toutes les intox qui circulent sur les attentats… et nos conseils pour s’en prémunir » qui donne des exemples de déformations diverses et des conseils pour les repérer.

    Un article d’Ina Global qui permet de lancer le débat sur la place respective des médias « traditionnels » et des réseaux sociaux dans le traitement en direct des attentats.

    Scénario pédagogique Edu’base pour le collège afin de questionner les modes de partage de l’information par les élèves. (voir notre article à propose d’Edu’base)

    France 4 propose une vidéo pour savoir comment « Démasquer les intox en 5 étapes » pour accompagner l’esprit critique des élèves vis-à-vis des informations qu’ils reçoivent.

    France 24 avait également mis en ligne en janvier une vidéo pour montrer la nécessité de vérifier les faits pour éviter de relayer des informations fausses.

    Toujours à l’occasion des attentats de janvier, le Clémi avait réuni un ensemble de ressources sur les méthodes de vérification de l’information.

    Poser la question de sa propre pratique des médias

    La suite à lire sur eduscol.education.fr/cid95488/deconstruire-la-desinformation-et-les-theories-conspirationnistes

  • Smart Pap à Lille : la nouvelle appli de cours particuliers à domicile

    Smart Pap à Lille : la nouvelle appli de cours particuliers à domicile

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    Aucun engagement, aucun frais caché ! Le professeur particulier sur l’application, appelé Pap’, peut intervenir quand l’élève le souhaite, dans l’heure même s’il en a absolument besoin.

    Les cours s’adressent, pour l’instant, aux élèves du CP à la Terminale pour un soutien scolaire dans toutes les matières principales : mathématiques, français, anglais, physique-chimie, ou encore histoire-géographie.

    Que ce soit pour un cours ponctuel, la veille d’un contrôle, ou pour un suivi régulier toute l’année, Smart Pap reste aux côtés de l’élève et assure des prestations de qualité.

    Notre application est d’abord lancée sur Lille, ville étudiante par excellence, puis arrivera en banlieue parisienne et en province.

    Comment vous est venue cette idée ?

    Il fut un temps où, nous aussi, nous avions besoin de soutien scolaire ! Il était alors inconcevable de recourir à une agence de cours particuliers : elles étaient réputées bien trop opaques, chères et contraignantes pour un service dont la qualité variait souvent d’un enseignant à l’autre.

    Une autre option était de chercher son professeur sur une plateforme de petites annonces. Mais attention, alors, à la personne que vous sollicitiez car personne ne contrôlait ses qualifications et antécédents.

    Nous avons donc souhaité surfer sur « l’uberisation » de l’économie en transposant le modèle maintenant connu du « à la demande » pour le soutien scolaire à domicile. Et c’est gagnant-gagnant ! Les enseignants sont en moyenne mieux rémunérés qu’en agence, pour un service moins cher et moins contraignant pour les familles. Le suivi est, lui, d’une qualité égale si ce n’est supérieure !

    Comment ça marche ?

    Smart Pap c’est simple et rapide.

    Votre enfant a une interrogation de maths demain ?

    Depuis votre smartphone, vous accédez à la carte où sont géolocalisés tous les professeurs particuliers autour de vous.

    Vous sélectionnez celui qui vous convient et l’heure qui vous arrange le mieux aujourd’hui, demain ou dans une semaine. Votre professeur particulier arrive à votre domicile et nous nous occupons des formalités administratives.

    Comment sont recrutés vos professeurs et qui sont-ils ?

    SmartPap2_231115Comme dans tous les organismes de cours particuliers, nos professeurs particuliers sont essentiellement des étudiants. Nous exigeons toutefois qu’ils étudient en Bac+3 minimum et dans une filière d’excellence. A Lille, par exemple, de nombreux étudiants brillants de l’EDHEC, Sciences Po ou Centrale sont déjà dans notre réseau d’enseignants !

    Par ailleurs, nous sélectionnons les meilleurs d’entre eux par un test d’évaluation en ligne, pour chaque matière, qu’ils passent avant d’apparaitre sur la carte. Ils bénéficient finalement d’une formation afin d’être assurés que leurs prestations seront irréprochables.

    Les professeurs particuliers qui apparaissent sur la carte sont ceux pour lesquels nous recevons les meilleures évaluations des familles.

    Est-ce que c’est cher ?

    Smart Pap a obtenu l’agrément d’exercice des services à la personne. De ce fait, les parents pourront bénéficier d’une réduction d’impôt de 50% sur la totalité de leurs cours. Et bonne nouvelle ! De manière générale Smart Pap est bien moins chère qu’une agence de cours particuliers classique.

    Le grand défaut des organismes jusque-là connus pour le soutien scolaire était en réalité la multitude de frais qui venaient s’annexer au prix des cours (frais d’inscription, de traitement des dossiers, envois postaux, etc…). Chez Smart Pap, c’est simple, les familles ne payent que le cours, séparé en deux gammes :

    • La classe Prim’s du CP à la 3ème
    • La classe Carré de la 2nde à la Terminale

    En quoi Smart Pap a-t-elle une portée sociale ?

    SmartPap3_231115Nous encourageons la méritocratie ! Nos élèves prennent les cours dont ils ont besoin et quand ils en ont besoin. Être aidé par un élève de grande école devient enfin accessible et les familles ont le pouvoir de choisir : à la fin de chaque cours, libre à elles de renouveler l’opération !

    Avant l’aventure Smart Pap, notre équipe de co-fondateur aidait des jeunes de Seine-Saint-Denis à faire leurs devoirs le soir, en centre social. Beaucoup de ces enfants étaient intelligents et avaient de vraies capacités, toutefois ils n’avaient pas été soutenus quand ils en avaient besoin car les organismes de soutien étaient trop chers et avaient une très mauvaise image.

    Avec Smart Pap, nous luttons pour que tous les élèves, et pas seulement les plus aisés, puissent devenir majors de promo !

    Plus d’infos :
    Comment démarrer avec Smart Pap ?
    Pour vous inscrire, c’est simple : rendez-vous sur smartpap.fr.
    Nous recrutons actuellement tous les professeurs particuliers. Les petits chanceux de Lille peuvent commander en premier leur Pap’ depuis l’application !

  • Numérique à domicile : l’enseignant est-il vraiment prêt ?

    Numérique à domicile : l’enseignant est-il vraiment prêt ?

    L’enseignant a toujours travaillé chez lui pour préparer les cours ou corriger les copies ; les statistiques montrent qu’un enseignant certifié ou agrégé passe entre 15 et 18 heures devant les élèves mais travaille en réalité aux alentours de 40 heures.

    « Ce qui transforme leur métier, c’est l’introduction du numérique ».
    En effet, le numérique permet aux enseignants de travailler de chez eux : ils peuvent, soit suivre une formation en e-learning dans le cadre de la formation continue, soit initier des cours puisque tout le monde s’accorde à dire que les enseignants peuvent aujourd’hui « travailler en classe et hors la classe ».

    Pour cela, ils vont avoir besoin d’une instrumentation numérique à leur domicile et c’est présentement ce qui intéresse Jean-Paul Moiraud.

    Instrumentation numérique du domicile des enseignants : une réalité à prendre en compte.

    Personne ne s’est vraiment posé cette question de savoir si les enseignants étaient prêts pour travailler autrement chez eux avec le numérique ; pourtant, plusieurs paramètres entrent en ligne de compte.

    « Faire entrer le numérique, ce n’est pas le calque du papier ; avec un papier et un stylo, il suffit d’écrire et c’est relativement simple ; avec le numérique, on entre dans l’aire de la complexité ».

    Jean-Paul Moiraud donne l’exemple de l’usage du numérique en classe pour lequel les enseignants ont, en principe, un technicien informatique à leur disposition en cas de problèmes techniques.

    A la maison, il faut que l’enseignant entre dans des stratégies de compréhension de son écosystème technique.

    Les terminaux de réception tels que l’ordinateur, la tablette ou le Smartphone mais aussi la « Box », le fournisseur d’accès à internet, les prises internet sont autant d’éléments techniques à prendre en considération qui constituent l’écosystème technique complexe de l’enseignant à la maison.

    S’investir dans une réflexion technologique : est-ce bien la mission de l’enseignant ?

    Jean-Paul Moiraud n’omet pas de mentionner les différentes solutions qui peuvent aider l’enseignant à installer cet écosystème chez lui mais pointe le fait que l’enseignant va devoir faire un effort de compréhension technologique.
    Or, est-ce vraiment sa mission ? N’est ce pas plutôt de se consacrer à enseigner et faire apprendre ses élèves ?

    Le numérique modifie donc le statut de l’enseignant hors la classe et l’amène vers une « professionnalisation de son espace privé » comme nous le verrons dans le deuxième épisode.

     

  • Plus de numérique dans les cartables pour moins de dépenses publiques?

    Plus de numérique dans les cartables pour moins de dépenses publiques?

    « Les collectivités ont beaucoup investi à la fois sur les réseaux, les équipements et les matériels ; et dans l’esprit des élus, nous avons toujours considéré que c’était un investissement ».

    Les élus pensaient qu’une fois les investissements réalisés, comme cela a été le cas pour les routes ou pour le rail, l’opération serait terminée.

    Or, on se rend compte très vite que nous ne sommes pas sur de l’investissement mais sur des budgets de fonctionnement.

    En effet, le parc de machines nécessite un renouvellement à minima tous les cinq ans et que le budget de fonctionnement ne cesse de croître. Christophe Ramblière avait imaginé qu’au fil des années, les tarifs des matériels baisseraient mais en réalité, « le prix reste le même puisque le matériel augmente en compétences ».

    Nous sommes aujourd’hui sur des demandes de budget des lycées qui sont trois fois supérieur à nos possibilités de financement.

    Pourtant, le numérique interroge sur des sujets récurrents comme le poids du cartable qui pourrait être remplacé par une tablette ou encore que les élèves puissent utiliser leur appareil connecté personnel en classe…

    A ce stade, la collectivité et l’éducation nationale doivent travailler de concert.
    « Nous ne pouvons plus dissocier les deux ; que l’Education Nationale travaille d’un côté et que les collectivités investissent sans connaître les usages ».

    Christophe Ramblière voit dans les ressources numériques, un frein évident au développement des usages et

    les enseignants qui utilisent le numérique aujourd’hui sont ceux qui ont vraiment envie, donc il faut simplifier.

    En ce sens, il n’accuse personne mais pointe néanmoins le sujet délicat des éditeurs qu’il juge encore « frileux » à passer au numérique.

    Pas obligatoirement persuadé que le numérique va révolutionner l’enseignement, même si certaines études prouvent qu’il peut aider à réduire l’échec scolaire, Christophe Ramblière admet néanmoins que « si on parvenait déjà à avoir des ouvrages interactifs, des sacs moins lourds, une tablette par élève avec l’ensemble des données de cours… et si, en plus, on fait du collaboratif, on limite l’échec scolaire et on réduit les dépenses publiques, ce sera déjà tout gagné » !

    Le BYOD, ou « amenez votre propre appareil connecté en classe », est une des réflexions que la région Poitou-Charentes souhaite mener, « même si la mise en application n’est pas pour maintenant », précise t-il.

    « Ensuite, nous verrons pour les préconisations dans chaque établissement ». Demander d’avoir tel ou tel appareil connecté « comme on demande aux élèves d’avoir tel ou tel cahier », tout simplement.

    Sur la question de la capacité financière de chaque famille à pouvoir fournir un outil informatique, la collectivité pourra tout à fait aider celles qui en ont le plus besoin. D’après lui, ce n’est donc pas un argument de contestation qui puisse être recevable.

    Mettre en présence tous les acteurs de l’e-éducation : c’est l’enjeu que Christophe Ramblière insuffle pour pouvoir « booster » le numérique dans les établissements et envisager de nouveaux investissements, peut-être mieux réfléchis. Pour cela, le groupement d’intérêt scientifique a été créé ; il allie des chercheurs et plusieurs acteurs de la région comme le réseau Canopé, le CNAM, le CNED etc.

    Le groupement d’intérêt scientifique va faire travailler conjointement tous ces acteurs afin d’obtenir des ouvrages numériques éducatifs pour l’ensemble de notre région et peut-être demain pour la Grande Région, conclut Christophe Ramblière.

  • Lancement de 100 parcours ENSEIGNO d’EDUCLEVER avec la classe mobile d’ardoises numériques BIC Education

    Lancement de 100 parcours ENSEIGNO d’EDUCLEVER avec la classe mobile d’ardoises numériques BIC Education

    [callout]Issu des ressources ENSEIGNO,  un ensemble de 100 parcours pédagogiques clés en main pour le cycle 3 est maintenant disponible avec la classe mobile d’ardoises numériques BIC Education, pour être utilisé très facilement en classe, même sans connexion Internet ![/callout]

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    Ces 100 parcours couvrent tous les domaines du programme de CE2, CM1 et CM2 : Français, Mathématiques, Histoire, Géographie, Sciences et technologies, et ils intègrent une capsule vidéo pour chaque thématique.

    Avec le logiciel pédagogique BIC Connect, ces supports peuvent être agencés et complétés par l’enseignant pour personnaliser les séquences en fonction de ses besoins et de son contexte : classe inversée, individualisation, remédiation…

    Pour répondre au mieux aux besoins d’apprentissage des écoliers, les équipes se sont appliquées à penser l’ergonomie des ardoises et des parcours pédagogiques proposés. Les exercices interactifs invitent au maniement du stylet embarqué avec la tablette dont l’usage aide à l’acquisition de la langue et à la structuration de la pensée de l’enfant.

    Pour répondre au mieux aux réalités de terrain, l’ensemble des parcours est disponible en mode déconnecté pour un usage sécurisé et facilité.

    Pour répondre au besoin de suivi et d’individualisation des parcours, la fonctionnalité Replay du logiciel BIC Connect permet de conserver et rejouer la trace écrite et de visualiser le parcours de l’élève à tout moment.

    A l’occasion de cet évènement, une offre préférentielle (associant matériel et parcours) est proposée aux collectivités et tous les utilisateurs jusqu’au 31 janvier 2016.

    EDUCLEVER et BIC EDUCATION, sociétés pionnières dans l’innovation pédagogique numérique.

    Educlever et BIC EDUCATION participent activement à la (r)évolution de l’Ecole en créant les outils éducatifs numériques du XXIe siècle. A l’heure des MOOC, des tutorats et vidéos pédagogiques en ligne, et de l’usage des tablettes et classes mobiles  dans les écoles, Educlever et BIC EDUCATION s’inscrivent dans cette formidable dynamique en innovant dans le domaine de « l’adaptative learning« .

  • GGRIMM, une appli qui défie les 7-12 ans sur le terrain de la connaissance

    GGRIMM, une appli qui défie les 7-12 ans sur le terrain de la connaissance

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    GGRIMM vivait tranquillement sur son île quand « l’Œil » est venu le capturer ! Pour le libérer, l’enfant doit répondre correctement à de nombreuses questions et affronter « l’Œil » sur le terrain de la connaissance.

    Il sympathisera avec les amis de GGRIMM (le Crabin, les tortues Nin-chats, le Marmours, le Crapatigre…), partira à la découverte de cinq mondes (la plage, le bois tropical, le volcan…), se verra récompenser de bonus mais devra aussi éviter les pièges (plantes extravagantes, boues gluantes…).

    Avec 4 000 questions et huit niveaux, cette application offre une nouvelle façon d’apprendre autour du jeu.

    Cette application, lancée simultanément en sept langues, permet à Nomad Education de s’ouvrir à l’international.

    Plus d’infos sur : www.nomadeducation.fr

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