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  • Et si l’enseignant innovant était un concept utile pour … ne pas innover ?

    Et si l’enseignant innovant était un concept utile pour … ne pas innover ?

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    N’est-il pas désormais un concept dépassé ? Il a été utile, nécessaire et indispensable pour passer du 1.0 au 2.0, le pionnier a eu une fonction sociale mais la modernité s’est installée, instillée, développée.

    L’innovant s’est épuisé, il lui arrive même de se démobiliser, de douter.

    Peut-on aujourd’hui se contenter de  n’avoir que des enseignants innovants, isolés, atomisés, sympathiques curiosités du monde enseignant ? Ce serait vrai si le système éducatif se réduisait au seul monde enseignant ; or nous savons tous que le système est complexe. Il est difficile de parler d’éducation, d’enseignement et d’apprentissage sans évoquer les apprenants, les chefs d’établissement, les corps d’inspections, les administrations, la recherche, les syndicats, les parents d’élèves,  j’en oublie certainement.

    L’enseignant innovant est un concept dépassé. Il nous faut maintenant penser l’innovation comme un instrument global. C’est ici que se justifie mon titre car mettre la focale sur l’enseignement innovant permet, à bien des égards de conserver le système en l’état. En détournant le regard sur un « objet » que j’ose qualifier d’anecdotique (que mes collègues innovants m’excusent par avance de la violence voulue du terme anecdotique). Seul, l’enseignant innovant s’épuise, il se coupe petit à petit de son milieu, se marginalise car il avance au sein d’un système qui stagne.

    Comme dans toute greffe il faut que le corps accepte la greffon faute de quoi c’est le rejet qui s’impose.

    En glorifiant l’enseignant innovant on lui rend un mauvais service et on rend un mauvais service à l’institution. Nous nous trompons depuis des années, nous focalisons notre attention sur quelques individus quand c’est le système qu’il faut analyser. L’enseignant innovant est mort, que vive la structure innovante.

    Si l’on veut innover, alors regardons où sont les équipes innovantes, celles qui savent collaborer, travailler de concert, savent intégrer l’interdisciplinarité comme vecteur de la réussite. Ne plus regarder son voisin de classe, son pair d’amphithéâtre comme un étrange étranger mais comme un allié précieux.

    Si  l’on veut innover, alors regardons où sont les chefs d’établissements  innovants, ceux qui acceptent de prendre le risque de modifier les habitudes, les usages confortablement acceptés pour être tranquilles ; le chef d’établissement global, expérimentateur qui ose le dialogue horizontal en complément du nécessaire hiérarchique.

    Si l’on veut innover alors regardons où sont les IEN / IPR innovants, ceux qui osent valoriser le savoir académique comme la compétence acquise et développée ; savoir encourager l’innovation sans qu’elle se fasse au prix d’un renoncement salarial.

    Si l’on veut innover, regardons quelles sont les positions syndicales qui permettraient d’avancer dans le sens de l’innovation sociale.

    Si l’on veut être innovant regardons du côté des collectivités locales qui engagent des politiques innovantes en osant imaginer des établissements adaptés aux modes collaboratifs et coopératifs.

    Savoir intégrer la technologie pédagogique au-delà de l’acte d’investissement simple dans le registre du dialogue ordonnateur / comptable.

    Si l’on veut être innovant regardons du côté des modifications structurelles qui pourraient être envisagées.

    L’innovation pourrait tangenter vers la reconnaissance d’un temps numérique effectif dans les services, vers la reconnaissance d’un espace recomposé qui reconnaîtrait, à côté des espaces réels, les espaces numériques ; vers la reconnaissance des efforts engagés et des compétences acquises par les acteurs éducatifs.

    Si l’on veut innover faisons en sorte que le continuum lycée université soit aussi une réalité pour les enseignants.

    Osons donc penser l’innovation comme la préoccupation de chacun, à tout instant ; l’innovation oui mais pas seulement pour les enseignants.

    Et si on en discutait plus avant ?

    Plus d’infos : retrouvez tous les billets de JP Moiraud dans notre rubrique « Entre ingénieur et bricoleur, un espace à investir chez les enseignants » et sur son blog

  • Les musées de la Ville de Paris lancent une plateforme dédiée aux jeunes publics

    Les musées de la Ville de Paris lancent une plateforme dédiée aux jeunes publics

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    MUSÉOSPHÈRE propose des visites virtuelles dans les collections permanentes des musées.

    Cinq salles par établissement, accessibles en visite 360°, peuvent ainsi être parcourues par les enfants, en autonomie ou avec l’assistance d’un animateur. Des mascottes de couleurs les guident à travers les musées en leur indiquant des thématiques aussi variées que les animaux et la nature, la fabrication des œuvres, la mode ou encore les petits secrets des grands personnages qui ont marqué l’histoire des collections.

    Pour chaque musée, une trentaine d’œuvres sont approfondies grâce à des notices conçues spécialement pour ce jeune public. Cet outil aide ainsi les enfants à s’approprier les lieux en se familiarisant avec l’univers des musées et à préparer une visite.

    MISSION ZIGOMAR est un jeu qui permet d’explorer des œuvres de l’ensemble des musées de manière plus récréative à travers des  aventures animées.

    Elles mettent en scène de jeunes héros, Gaby l’aventurière, Hugo le rêveur et Selim l’intellectuel féru de nouvelles technologies, qui doivent empêcher l’affreux Zigomar de confisquer aux enfants les œuvres des musées. Au fil des énigmes, les jeunes internautes se familiarisent avec des œuvres des collections permanentes et des notions générales évoquées à travers de grandes thématiques de l’art (portrait, monstres et dragons, écriture…)

    Enfin, « Paris Musées Juniors » regroupe, musée par musée, les différents documents pédagogiques disponibles pour les enfants et les enseignants (adultes et autres accompagnateurs) sous format vidéos, pdf ou par lien externe.
    Ces outils ont également été mis à disposition des écoles parisiennes dans le cadre des activités prévues les mardi et vendredi suite à l’aménagement des rythmes éducatifs.

  • Pour faire entrer l’école dans l’ère du numérique, l’éducation nationale se dote d’une Direction du Numérique pour l’Education (DNE)

    Pour faire entrer l’école dans l’ère du numérique, l’éducation nationale se dote d’une Direction du Numérique pour l’Education (DNE)

    Ecolenumerique_171213Élément clé de la refondation de l’École, la diffusion des usages du numérique dans l’enseignement constitue un puissant levier de modernisation, d’innovation pédagogique et de démocratisation du système scolaire. Elle est également un formidable outil d’inclusion des enfants en situation de handicap.

    La DNE, dont la mise en place a été confiée à Catherine Becchetti-Bizot, inspectrice générale de l’éducation nationale, a pour mission de mettre en synergie tous les acteurs du numérique éducatif avec les systèmes d’information du ministère.

    Une attention particulière sera portée aux services déconcentrés qui représentent un important réseau de compétences, d’expertises et de savoir-faire pour relayer la stratégie numérique sur l’ensemble du territoire.

    La DNE comprendra un « Service du développement du numérique éducatif » et un « Service des technologies et des systèmes d’information » dont l’étroite collaboration permettra de traiter à la fois des enjeux pédagogiques du numérique, du développement de nouveaux contenus et services en ligne de qualité, des infrastructures et des conditions techniques et de sécurité permettant la réussite des projets. La direction est par ailleurs dotée d’une compétence générale en matière de pilotage et de mise en œuvre des systèmes d’information.

    Pour accompagner le déploiement de la stratégie numérique du ministère, une structure d’incubation de projets numériques, « le Numérilab‘ », est également créée au sein de la direction. Elle vise à mutualiser les initiatives autour de grands projets innovants et à assurer leur valorisation.

    La création de cette direction va ainsi permettre d’accélérer la stratégie pour faire entrer l’école dans l’ère du numérique.
    5 nouveaux services sont d’ores et déjà à la disposition des enseignants et des élèves du premier et du second degré :

    • D’Col, un service d’accompagnement interactif personnalisé pour les élèves de 6ème de l’éducation prioritaire
    • English for schools, une offre d’exercices et de vidéos pédagogiques pour les 8-11 ans, accessible en ligne pour un apprentissage ludique et facilité de l’anglais en classe et à la maison
    • ÉduThèque, un portail destiné aux enseignants du 1er et du 2nd degré qui permet d’accéder gratuitement à des ressources proposées par les grands établissements publics scientifiques et culturels pour un usage pédagogique
    • Les Fondamentaux, films d’animation pour comprendre, de façon ludique, les notions fondamentales liées à l’apprentissage du français, des mathématiques, des sciences, etc.
    • Le dispositif de formation continue tutorée et interactive M@gistère, spécifiquement conçu pour les enseignants du 1er degré.

    Selon l’article 11 du décret du 17 février 2014 qui crée la DNE, les missions suivantes lui seront attribuées :

    Article 11
    Direction du numérique pour l’éducation :

    La direction du numérique pour l’éducation est une direction commune au secrétariat général et à la direction générale de l’enseignement scolaire.
    I. – La direction du numérique pour l’éducation assure la mise en place et le déploiement du service public du numérique éducatif.
    Elle définit la politique de développement des ressources, des contenus et des services numériques pour répondre aux besoins de la communauté éducative. Elle crée les conditions d’un déploiement cohérent de ces ressources, et en assure la valorisation et la diffusion.
    Elle assure une fonction d’impulsion, d’expertise et d’appui aux grands projets structurants du numérique éducatif.
    Elle prépare les orientations stratégiques et les éléments de programmation en matière de numérique éducatif et de systèmes d’information.
    Elle conduit la politique partenariale avec les acteurs publics et privés de la filière numérique.
    Elle assure une fonction de veille, de prospective et de communication dans le domaine du numérique éducatif et de l’innovation.
    Elle anime les réseaux pédagogiques, accompagne les pratiques, valorise les innovations dans le domaine du numérique.
    Elle conçoit, dans le cadre des objectifs fixés par la direction générale de l’enseignement scolaire, les dispositifs de formation initiale et continue des enseignants au numérique et par le numérique.
    Elle assure la coordination et l’animation des pôles académiques chargés de mettre en place la stratégie numérique dans les académies.
    Elle coordonne le volet numérique de l’activité des opérateurs de l’enseignement scolaire, en lien avec la direction générale de l’enseignement scolaire et la direction des affaires financières, et définit les orientations stratégiques dans ce domaine.

    II. – La direction du numérique pour l’éducation dispose d’une compétence générale en matière de pilotage et de mise en œuvre des systèmes d’information. A ce titre, elle représente les ministères auprès des structures interministérielles en charge des systèmes d’information et de communication.
    Pour le ministère de l’éducation nationale, elle assure le cadrage opérationnel, technique et juridique des projets numériques et pilote les relations avec les partenaires concernés.
    Elle assure la maîtrise d’ouvrage, la mise en œuvre et la maintenance de l’infrastructure technique adaptée à ces projets.
    Elle conçoit, met en œuvre et assure la maintenance des systèmes d’information et de communication.
    Elle élabore, en lien avec les maîtrises d’ouvrage, le schéma stratégique des systèmes d’informations et des télécommunications, et conduit sa mise en œuvre opérationnelle.
    Elle assure la maîtrise d’œuvre des projets informatiques et numériques et en propose la programmation budgétaire.
    Elle assure une mission de contrôle de gestion dans le domaine du numérique pour l’éducation.
    Pour le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, la direction du numérique pour l’éducation participe, avec les directions en charge de la maîtrise d’ouvrage, à l’élaboration du schéma stratégique des systèmes d’informations et des télécommunications. Elle peut assurer la maîtrise d’œuvre des projets et la maintenance des infrastructures techniques définis dans ce cadre.

    Plus d’infos sur « Faire entrer l’école dans l’ère du numérique » : www.education.gouv.fr/ecole-numerique

    Source : www.education.gouv.fr

  • Barcamp “Enfance et Numérique” : les points clés pour favoriser la créativité

    Barcamp “Enfance et Numérique” : les points clés pour favoriser la créativité

    Une thématique qui nous est chère et qui nous permettait de mettre à profit les ateliers d’initiation à la créativité que nous avons développés. Pour nous accompagner : Carole Maurage, facilitatrice de créativité… et de bonne humeur !

    Cet évènement avait pour objectif de dégager les grands enjeux autour du thème « Enfance & numérique » à travers plusieurs étapes créatives par lesquelles sont passés les groupes de participants. Voici quelques ingrédients favorisant la créativité dans ce type de rencontres…

    Un lieu stimulant

    Un lieu « agitateur d’idées ». C’est sans nul doute un surnom approprié pour la Cantine de Toulouse. Des murs de post-it, des écrans dispersés, des sièges confortables, des paperboards… et surtout des professionnels ouverts et accueillants, prêts à partir entre deux projets dans des débats enflammés autour d’un café.

    Le lieu dispose d’une salle de conférence modulable qui s’est avérée parfaite pour accueillir la quarantaine de participants. Six tables y ont été disposées, composant ainsi un ensemble de petits espaces où étaient traitées les diverses thématiques du barcamp. Sur ces tables : des feutres, des feuilles, des bonbons, de la peinture à doigts… Des chaises avaient aussi été installées au vu de la durée de la rencontre, mais pour un court atelier de créativité, il est plus recommandé de laisser les gens debout, pour plus de dynamisme.

    Des individus aux collectifs

    Parmi la quarantaine d’inscrits au barcamp, nous retrouvions : des enseignants, des créateurs de serious games, des doctorants en SHS, des webdeveloppeurs… Répartis par huit ou neuf autour d’une table, ils se sont découverts et ont travaillé ensemble à l’élaboration de scénarios.

    Step 1 : Afin de faciliter leurs échanges, un petit moment de « brise-glace » leur a été proposé en début d’atelier : par deux, chacun devait raconter un souvenir marquant avec un enfant tandis que l’autre dessinait l’histoire sur un papier. Chacun se découvrait ainsi et affichait fièrement le dessin réalisé par son complice. Ces moments de détente collective sont importants pour démarrer des séances de créativité.
    Durant nos initiations, nous utilisons généralement des petits jeux très connus tels que le Pictionnary.

    Des ateliers de créativité faisant la part belle au dessin

    Pour ses ateliers de créativité, le barcamp s’appuyait énormément sur le dessin.

    Step 2 :
    Les participants étaient invités à dessiner en groupe un monde numérique idéal pour l’enfant.

    Step 3 : À partir de ce travail collectif, chaque barcampeur devait proposer trois thématiques qu’il souhaitait aborder. Certains ont proposé « le lien social », d’autres « l’identité », d’autres encore « les usages »…

    Step 4 : Chaque groupe votait alors pour un thème qui serait ensuite exploré. Les sujets choisis, les groupes pouvaient se reformer en fonction des envies de chacun.

    Step 5 : Venait alors le grand moment exploratoire, direction 2020 où les participants étaient projetés. Leur mission : dessiner une planche de BD de 6 cases représentant la journée type d’un enfant dans ce futur où le numérique est – ou n’est plus. Le dessin – associé à l’hémisphère droit du cerveau, source de créativité – permettait ainsi de stimuler les idées.

    Step 6 : Lorsqu’ils avaient terminé leur œuvre, les participants revenaient en 2014 pour peser le positif et le négatif de la situation actuelle. De cet aller-retour, de cette stimulation, ont pu être dégagés divers enjeux du thème « enfance & numérique » en poussant les participants à sortir de leur cadre habituel.

    La dimension ludique est souvent utilisée afin de « diverger », stimuler la créativité et aborder le problème autrement. De notre côté, nous utilisons notamment la méthode des lunettes : je mets mes lunettes du futur, mes lunettes d’un chanteur de rock, de Batman… on voit ainsi la vie autrement !

    Des animateurs pour accompagner et relancer

    Nous étions 4 animateurs, circulant à travers la salle pour rassurer, redynamiser les groupes et clarifier les échanges. En début de séance, il est très important d’explicité les « règles du jeu » : éviter le jugement négatif, oser le farfelu, écouter et rebondir… ainsi que les objectifs : dégager les grands enjeux de la thématique afin de pouvoir, lors d’une prochaine rencontre, sortir de vraies solutions.

    Coups d’œil réguliers au chronomètre : il faut bien timer les étapes de créativité et encadrer les séances. L’animateur doit aussi veiller à l’équité du temps de parole et éviter tout jugement entre les participants. Pour que les participants repèrent bien les animateurs, on peut aussi se munir de badges de rôles : coach, maître du temps, centre de ressources…

    Et SURTOUT : toujours refaire les stocks de café et de bonbons !

    Des temps et des détentes

    Le barcamp à proprement parler se déroulait de 15h à 18h, avec une succession de phases créatives. Trois heures à brainstormer, ça peut vite fatiguer ! Il est donc important de couper le tout avec une pause. Chacune des phases ayant son importance, ces heures n’étaient pas de trop pour bien dégager les problématiques essentielles.
    Faute de temps, nous n’avons pu ajouter une phase de « réveil de groupe », souvent nécessaire en fin de journée lorsque l’énergie décline. Par exemple : lancer un jeu de mime ou proposer aux participants d’éclater des ballons. Efficace !

    Une animation… également en ligne

    Outre l’animation des ateliers, il y a avait aussi celle en ligne grâce à Twitter. Une semaine avant l’évènement, le hashtag #ENnum était lancé, proposant à tous les intéressés de lancer leurs problématiques sur « Enfance & numérique ». Le jour J, trois étudiants, Alexandre, Jérémie et Vincent, accompagnés de Coline de la Cantine, étaient venus prêter main-forte pour livetweeter et faire le relais entre les twitteurs et les barcampeurs.

    Mais ce n’est pas tout… l’agence Aestetype avait travaillé avec la Mêlée pour mettre en place un super outil d’affichage de tweets : sur chaque table des groupes, un écran diffusait les tweets associés à leur hashtag dédié (#ENnumt1 par exemple pour le groupe 1). Ainsi, ils pouvaient suivre les échanges les concernant, tandis que le grand écran de la salle diffusait le flux global. L’affichage pouvait se faire après modération, grâce à une application mobile très simple d’utilisation. Vraiment pratique pour la valorisation des contributions en ligne !

    Un évènement peut en cacher un autre… voire deux !

    Il arrive parfois qu’après un barcamp, on se dise : et maintenant ?! Nous avons dégagé plusieurs grands enjeux du thème. Qu’en fait-on ?

    La bonne surprise, c’est que cet évènement fait partie d’une série de rencontres créatives menant vers des solutions concrètes. Cette méthode MyneedMysolution© imaginée par Carole passe par trois phases : un premier barcamp pour dégager les besoins ; un atelier de créativité avec les parties prenantes pour définir les défis liés à ces besoins ; et enfin un « marathon de l’innovation » où des équipes pluridisciplinaires vont tenter de développer des solutions innovantes en 48h.

    Nous n’en sommes donc qu’au début d’une belle aventure ! Ce qui a beaucoup plu aux participants, ravis de participer à ce parcours de l’innovation. Pour l’instant, les prochaines dates ne sont pas encore fixées, mais tout devrait avoir lieu dans les 6 prochains mois.

    Une équipe hétéroclite

    Enfin, si cet évènement nous a autant plu, c’est aussi parce qu’il a été co-construit par une super équipe : des personnes aux horizons variés, qui n’avaient jamais travaillé ensemble, réunies et investies autour d’un beau projet. Des membres de la Mêlée numérique, de Berger Levrault, d’Ever Midi-Pyrénées, d’Aestetype, des étudiants… et nous ! Guidés par Carole qui a imaginé l’animation de l’évènement, nous avons pu échanger idées et conseils. Un évènement qui, dans sa construction, a mêlé les envies et ressentis de chacun. Certains ont partagé leur savoir-faire en matière d’évènementiel, d’autres en facilitation, d’autres encore en animation de communautés.
    De belles rencontres… c’est aussi ça un barcamp…

    À suivre…

    Plus d’infos : A retrouver sur science-animation

  • Ecole Numérique : un label de campagne pour chaque candidat aux municipales

    Ecole Numérique : un label de campagne pour chaque candidat aux municipales

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    Inscrire l’Ecole Numérique dans son programme : c’est le moment !

    En cette période de pré-campagne électorale, le cabinet AMO-TICE en partenariat avec la société INTEL, incite les candidats à s’engager pour l’Ecole Numérique dans leur commune et à inscrire ce projet dans leur programme électorale.

    L’objectif de cette initiative est avant tout de faire prendre conscience aux futurs élus de l’importance des outils numériques dans leur politique de réussite éducative, et de les entrainer à réfléchir dés le départ à des usages pérennes et évolutifs, au-delà de l’acquisition des équipements et des infrastructures.

    L’actualité liée à la préparation de la réforme des rythmes scolaires dans les communes constitue également un des arguments mis en avant auprès des candidats pour motiver leur engagement, car les outils numériques représentent un formidable levier de continuité éducative et logistique ainsi qu’une source de contenus efficients.

    Autre point, et non des moindres, présenté aux candidats au moment des restrictions budgétaires : repenser les frais de fonctionnement dédiés aux écoles. Au-delà des choix d’investissement qu’il suppose, le numérique, peut à cet effet, être une solution intéressante puisqu’il permet également de réduire le coût des frais d’intervenants extérieurs tant en langue que pour les projets pédagogiques culturels.

    Une charte méthodologique pour éviter le gâchis d’argent public

    Il est ainsi mis à disposition des candidats aux élections municipales sur la page www.amotice.com/lecole-numerique-elus-engagez-vous :
    Amotice2_110214– une brochure éditée par INTEL consacrée aux bénéfices du numérique à l’école pour les élèves, les enseignants et le périscolaire mais aussi à ses atouts dans la gestion d’une politique éducative.
    – une charte méthodologique rédigée par le Cabinet AMO-TICE, engageant les futurs élus à orienter leurs investissements vers des usages efficients et pérennes, et éviter tout gâchis d’argent public.

    En gage de l’adoption de la charte, AMO-TICE enverra en retour aux candidats, le logo du « Label » à télécharger pour l’ensemble de leurs supports de communication.

    La commune devient aujourd’hui un acteur incontournable dans la réussite d’un projet d’école numérique, en partenariat avec l’Éducation Nationale, tant dans les choix et la mise à disposition des équipements et infrastructures adaptés, qu’à leur bon fonctionnement et au développement des usages.

    C’est pourquoi la charte méthodologique en 4 points propose aux candidats d’inscrire dans leur programme l’engagement suivant :

    « Pour favoriser la réussite éducative de nos enfants, et lutter contre l’échec scolaire,  je m’engage à mettre à disposition des enseignants et des élèves des outils numériques et des infrastructures adaptées à leurs besoins, et aux contraintes techniques et informatiques de mes écoles.

    . Par concertation avec les acteurs impliqués (directeurs des écoles, enseignants, services de l’Education Nationale, animateurs périscolaires, services de la ville concernés, parents) dans le projet afin d’évaluer ensemble leurs attentes, besoins et contraintes.

    . A travers la définition de scénarii d’équipements, les infrastructures, les besoins de formation et les conditions de maintenance pour une continuité de service, adaptée au projet éducatif.

    . Signer une convention entre ma commune et l’Education Nationale afin que chacun participe activement à la mise en œuvre du projet et s’engage à évaluer régulièrement les usages, les progrès et les évolutions nécessaires à apporter chaque année.

    . Valoriser les enseignants utilisateurs du numérique au sein de ma commune, afin de motiver leur implication sur le long terme et d’encourager le développement des usages sur l’ensemble des écoles.

    Et vous, projetez-vous d’inscrire l’Ecole Numérique dans votre programme électorale ?  Si vous avez des questions à cet effet,  n’hésitez pas à nous en faire part sur notre blog afin que nous vous apportions des réponses adaptées.

     

     

  • Les enseignants : une force de proposition pour avancer dans l’ère du numérique ?

    Les enseignants : une force de proposition pour avancer dans l’ère du numérique ?

    MartialP_110214L’orientation prise autour de la confiance sans faille aux éditeurs classiques, transformant à grand peine le marché classique du papier, en le justifiant par un cartable numérique tout en un, ne délivrait au final, qu’une vision simpliste au regard d’un potentiel accru.

    J’en tiens pour preuves toutes les expérimentations pluridisciplinaires que nous trouvons autour de l’utilisation de l’image que permettent les tablettes.

    A ce titre, voulant répondre à un projet d’équipement, j’ai trouvé chez mes collègues 2 types de réponse:
    « on pourra y mettre nos cours, documents, et autres supports » ou « c’est intéressant pour pouvoir prendre des images et des vidéos »

    Oui ! mais pas seulement…

    Tout d’abord, ne pas négliger le fort potentiel et la maîtrise technique de certains enseignants/développeurs, ayant intégré les usages innovants et en particulier le numérique, depuis de nombreuses années dans leur pédagogie. Ils possèdent en eux, l’ensemble des qualités que ne peuvent offrir, ou alors de manière incomplète, les ténors de l’industrie.

    La différence tient en l’observation quotidienne de l’évolution de leur métier : un moyen de réagir en temps réel et une adaptabilité toute particulière. Mais surtout en une capacité à identifier les besoins, à les interroger et y répondre avec une infinie précision, même si parfois la tâche s’avère juste ponctuelle, locale et surtout difficile.

    Cet aspect très professionnel, s’appelle les “règles métiers”. Un ensemble de détails qui sont un atout pour le professeur, un écueil[1] pour les développeurs.

    C’est pourquoi j’insiste sur ce potentiel conséquent que possède l’éducation nationale en son sein et que le projet “faire entrer l’école dans l’ère du numérique” semble oublier alors même que je l’aurais renommé “faire avancer l’école dans l’ère du numérique” !

    Je pense qu’il est important de prendre les devants et que, même avec des moyens qui peuvent sembler dérisoires, il est possible d’être force de proposition dans un domaine où il devient urgent d’être efficace.

    Je pose la question à partir d’un concept simple : cessons de nous poser le problème comme étant celui de la ressource, mais plutôt celui du besoin !

    La ressource est omniprésente, partout. A un point tel qu’aujourd’hui, on ne la diffuse que très difficilement, car elle se livre une concurrence impitoyable en fonction des supports (papier, CD-ROM, tablette, internet). Et il apparaît évident qu’on y ajoute chaque instant des contraintes d’utilisation supplémentaires. A sujet similaire, éditeur différent.

    Mes vielles éditions de Molière ne sont plus adaptées à celles d’aujourd’hui, et pourtant cela reste du Molière !

    Je me permettrai une réflexion plus longue sur cet aspect qui inquiète, alors que Google devient le précepteur incontournable de nos élèves et que nous luttons contre…

    Et de revenir sur mon sujet principal : l’énergie des enseignants, et le potentiel des enseignants/développeurs !

    En Essonne, une initiative d’abord locale, s’étend à l’ensemble du territoire, sur la base d’une idée simple. Une idée qui dénonce l’accès aux ressources sur un aspect fondamental qu’est la “facilité”.

    Un collège[2] impulse un moyen différent d’accéder aux contenus : partir de la liste de ce qui est essentiel à retenir d’un cycle de 4 ans au collège. Idée simple, mais qui comporte quelques restrictions que les professionnels doivent intégrer, professeurs ou éditeurs. L’application, « MonCollege« [3],a pour ambition d’intégrer l’ensemble de ces contenus de base dans toutes les disciplines[4], de manière progressive et collaborative, et de les rendre accessibles gratuitement, hors-ligne (et c’est important, car la connexion a un coût pour les élèves).

    Le coeur de cette construction tient à une présentation épurée où l’information est essentielle, facilement assimilable et correspondrait à la connaissance de l’approche des contenus, non pas par le professeur, mais par l’élève, premier concerné.

    Après plusieurs semaines, il semble bien que l’aspect technique du développement ne soit pas l’obstacle le plus conséquent, mais bien cette réflexion nécessaire de l’adulte pour offrir des formations intégrant la notion de BYOD[5] que nous détournons en UYOD (use your own device) pour donner à l’objet technique une fonction éducative de chaque instant.

    Le pari est de présenter le contenu pédagogique comme étant un contenu ludique. De proposer une consultation en amont des éléments ou évènements importants et de rejoindre le concept de “classe inversée” cher à Marcel Lebrun[6]. De montrer que le numérique tient une place dans le quotidien, tant au niveau du multimédia commercial que dans l’utile éducatif.

    « MonCollege » redonne aux enseignants la place importante qu’ils occupent dans les transformations actuelles, là où beaucoup d’entre eux ne se sentent pas concernés ou dépassés par ce qui est en train de changer. Il n’est pas rare de voir s’opposer des arguments comme “de toutes façons, ils [les élèves] sont meilleurs que moi, je n’y connais rien”, alors que le débat d’aujourd’hui n’est plus sur la forme, mais sur le fond, et qu’il apparait comme évident que ces mêmes enseignants n’ont rien à craindre du numérique pédagogique, car c’est par eux que passera la validité des savoirs retenus.

    La question est posée. Ne serait-il pas nécessaire d’utiliser enfin les compétences de nos enseignants, à commencer par ceux qui sont en capacité de développer ce genre d’idées, et bien d’autres, pour donner corps à “des apprentissages par et au numérique” ? Question de fond il me semble !

    Notes :


    [1] doit-on répondre à toutes les attentes, sachant que si ce n’est pas fait, le support risque d’être abandonné ?

    [2] Collège Les Pyramides à Evry

    [3] disponible aujourd’hui sur Google PLAYSTORE uniquement, mais prochainement sur APPSTORE

    [4] aujourd’hui: mathématiques, sciences physiques, histoire, anglais de manière incomplète

    [5] de l’anglais “Bring your own device”, où l’élève utilise en classe son propre périphérique (smartphone, tablette,…)

    [6] Marcel Lebrun, docteur en Sciences, est  actuellement  professeur en technologies de l’éducation et conseiller pédagogique à l’Institut de Pédagogie universitaire et des Multimédias (IPM) de l’UCL (Université catholique de Louvain à  Louvain-la-Neuve, Belgique)

     

  • Le WIFI est-il sans risques pour notre santé ? Le Canada répond Oui

    Le WIFI est-il sans risques pour notre santé ? Le Canada répond Oui

    La vidéo ci-contre – en anglais, pardonnez-nous pour les lecteurs non anglicistes- datant de 2010, tient à démontrer que des recherches approfondies ont été menées et que le WIFI n’est pas dangereux :
    –  les ondes diffusées par le WIFI se situent sur une échelle inférieure à d’autres ondes qui sont présentes dans notre quotidien (ex le micro-onde) ;
    – leur niveau est d’ailleurs inférieur au seuil de tolérance établi au Canada, lui-même correspondant au seuil de tolérance de la majorité des pays du monde.

    D’un autre côté, des associations canadiennes dénoncent ces recherches qu’elles qualifient comme « une tromperie et une aberration« , pointant le fait que les industriels et les gouvernements se réfèrent à des normes jugées obsolètes. De plus, ils argumentent sur la durée d’exposition des enfants en classe et la vulnérabilité plus importante du jeune public par rapport à ce phénomène (plus d’infos ici).

    En France, Fleur Pellerin déclarait en mars 2013 ne pas s’alarmer sur le Wi-Fi mais sur les ondes émises par les téléphones mobiles. La ministre annonçait le lancement d’une grande campagne de prévention incitant les utilisateurs de portables à utiliser leur kit main libre ou oreillettes Bluetooth. L’organisation mondiale de la santé (OMS) considère les téléphones portables comme cancérogènes depuis mai 2011.

    Argument qui est largement controversé et à prendre avec modération puisque dans une enquête datant d’août 2012, une monographie (étude qui se veut exhaustive sur un sujet précis) de l’OMS classait les ondes des téléphones portables dans le groupe « 2B », interprété totalement différemment selon les commentateurs.

    En tout état de cause, le groupe 2 de la classification des champs électromagnétiques comprend les agents dont la cancérogénicité n’est pas parfaitement démontrée.

    ci-dessous une capture d’écran de l’article en question à lire aussi ici page 77 :

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  • Le SCÉREN-CNDP-CRDP devient « Canopé », le réseau de création et d’accompagnement pédagogiques

    Le SCÉREN-CNDP-CRDP devient « Canopé », le réseau de création et d’accompagnement pédagogiques

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    Cette visite était également l’occasion de dévoiler la nouvelle identité du réseau et d’inaugurer le nouveau lieu de création et d’accompagnement pédagogiques.

    Ces espaces vont être déployés dans les territoires pour mieux accompagner les enseignants dans l’évolution de leurs pratiques pédagogiques, en particulier celles induites par le numérique. Le ministre a également lancé le chantier de la restructuration organisationnelle du réseau pour en permettre la modernisation.

    La refondation du réseau repose sur une transformation de son offre éditoriale, numérique, de services …

    Une offre éditoriale rénovée

    Pour répondre aux besoins des enseignants, accroître la lisibilité de l’offre existante et à venir, un vaste travail de refonte éditoriale a été mené. L’édition transmédia est le nouveau modèle développé par le réseau. Le principe est de concevoir, d’éditer et de diffuser des ressources multiformats adaptées à chacun des canaux de diffusion disponibles (print, web, mobile, TV), complémentaires les unes des autres, et répondant aux besoins de la communauté éducative à travers trois univers éditoriaux : éclairer, maîtriser, agir.

    Une offre numérique restructurée

    La refonte de l’offre numérique a pour objectif d’améliorer l’accès aux ressources éditées, la navigation des internautes sur les offres numériques du réseau, afin de faciliter la recherche et l’utilisation de ces ressources pédagogiques. Ainsi, un nouveau site web et une librairie en ligne, fondés sur un principe de mutualisation des contenus gratuits et payants dans une plateforme unique, seront lancés en avril 2014.

    Une nouvelle offre de service au plus près des territoires : les ateliers Canopé, lieux de création et d’accompagnement pédagogiques

    Pour créer des ressources pédagogiques, la proximité avec les enseignants, les établissements scolaires, les Écoles supérieures du professorat et de l’éducation (Éspé) est une des clés afin de faire entrer l’école dans l’ère du numérique.

    Le réseau revisite son offre de services et sa relation avec la communauté éducative. Il transforme ses lieux de proximité en « ateliers Canopé », des espaces de créativité, de collaboration, d’expérimentation et de formation, pour accompagner les nouvelles pratiques pédagogiques et particulièrement celles induites par le numérique. La refondation du réseau passe par le renforcement des liens avec ces partenaires : rectorats, collectivités territoriales, ESPE, associations et parents d’élèves, notamment dans le domaine du numérique éducatif.

    Le nom du réseau change

    Canopé, le nouveau nom du réseau, créé une identité unique, faisant disparaître l’ensemble des acronymes existants – un nom évoquant un écosystème riche basé sur la diversité et l’adaptabilité, un lieu foisonnant et stimulant d’expérimentation et d’échanges.

    Un nom qui évoque la vitalité, la spontanéité, la complémentarité. Nouveaux outils pédagogiques, nouvelles approches, nouveaux supports, nouvelles attentes des enseignants, des parents et des élèves… Le réseau produit un grand nombre de contenus et de services sous des formes toujours plus diverses et interconnectées : c’est une « canopée pédagogique » dont l’action et les productions sont créatrices de richesse et de futurs.

    Source : service presse du CNDP

    Pour en savoir plus : www.reseau-canope.fr

  • ITOP éducation remporte quatre appels d’offre

    ITOP éducation remporte quatre appels d’offre

    Le département de l’Oise (60) a choisi de poursuivre sa collaboration avec la solution NetCollège sur une soixantaine d’établissements, en confiant l’intégralité de la gestion du projet à ITOP éducation.

    Le Conseil Général des Hauts-de-Seine (92), dans le cadre de son projet ENC 92, a également choisi de confier à ITOP éducation la totalité de l’infogérance de la solution ENT HdS basée sur NetCollège et Educ-Horus  …

    Ces deux projets confirment la capacité d’ITOP éducation et la confiance des clients en l’éditeur pour la prise en charge globale des projets, en s’affranchissant d’intégrateurs extérieurs.

    Deux nouveaux marchés

    Les rectorats de Strasbourg et de Clermont-Ferrand ont choisi de changer de solution et de collaborer avec ITOP éducation pour équiper l’ensemble de leurs collèges et lycées avec les ENT NetCollège, NetLycée et la solution de vie scolaire Educ-Horus.

    ITOP éducation sera aux côtés de ces deux régions pour la gestion de leur transition et l’accompagnement des utilisateurs au changement.

    Au total dans ces deux régions pionnières en matière d’ENT depuis 2006, ce sont 420 établissements qui utiliseront désormais les solutions ITOP éducation.

    « Ce sont deux très belles satisfactions, qui en plus succèdent aux victoires de 2013 : ITOP éducation, lauréate du concours PME Bougeons-Nous et NetEcole, qui a reçu le Prix de l’Innovation du Salon des Maires », se réjouit Hervé Borredon, Président du Groupe ITOP.

    À propos d’ITOP éducation

    ITOP éducation occupe une position clé dans le panorama de l’éducation. Présente depuis plus de dix ans sur ce secteur, elle produit une offre complète de logiciels innovants qui couvre tous les besoins des établissements scolaires, de la maternelle au lycée. Plus de quatre millions d’utilisateurs échangent au travers des Environnements Numériques de Travail ou accèdent aux ressources pédagogiques multidisciplinaires ITOP éducation et gèrent notes et absences grâce au module de vie scolaire Educ-Horus.

    Sur plus de quinze projets ENT en généralisation, ITOP éducation offre également ses services d’accompagnement, formation, hébergement et support. Pour développer les nouveaux usages et conduire une stratégie d’innovation volontariste, plus de 20% du chiffre d’affaires sont consacrés chaque année à la recherche et au développement. Depuis 2012, Hervé Borredon, PDG d’ITOP est élu président de l’Afinef, Association Française des Industriels du Numérique pour l’Education et la Formation. Cette nouvelle entité fédère et structure l’ensemble de la filière numérique éducative et assure l’interface entre industriels et institutionnels.

    Deux sites : www.itop.fr et www.afinef.net