La vidéo ci-contre – en anglais, pardonnez-nous pour les lecteurs non anglicistes- datant de 2010, tient à démontrer que des recherches approfondies ont été menées et que le WIFI n’est pas dangereux :
– les ondes diffusées par le WIFI se situent sur une échelle inférieure à d’autres ondes qui sont présentes dans notre quotidien (ex le micro-onde) ;
– leur niveau est d’ailleurs inférieur au seuil de tolérance établi au Canada, lui-même correspondant au seuil de tolérance de la majorité des pays du monde.
D’un autre côté, des associations canadiennes dénoncent ces recherches qu’elles qualifient comme « une tromperie et une aberration« , pointant le fait que les industriels et les gouvernements se réfèrent à des normes jugées obsolètes. De plus, ils argumentent sur la durée d’exposition des enfants en classe et la vulnérabilité plus importante du jeune public par rapport à ce phénomène (plus d’infos ici).
En France, Fleur Pellerin déclarait en mars 2013 ne pas s’alarmer sur le Wi-Fi mais sur les ondes émises par les téléphones mobiles. La ministre annonçait le lancement d’une grande campagne de prévention incitant les utilisateurs de portables à utiliser leur kit main libre ou oreillettes Bluetooth. L’organisation mondiale de la santé (OMS) considère les téléphones portables comme cancérogènes depuis mai 2011.
Argument qui est largement controversé et à prendre avec modération puisque dans une enquête datant d’août 2012, une monographie (étude qui se veut exhaustive sur un sujet précis) de l’OMS classait les ondes des téléphones portables dans le groupe « 2B », interprété totalement différemment selon les commentateurs.
En tout état de cause, le groupe 2 de la classification des champs électromagnétiques comprend les agents dont la cancérogénicité n’est pas parfaitement démontrée.
ci-dessous une capture d’écran de l’article en question à lire aussi ici page 77 :
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