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  • Forum de recrutement virtuel des Ingénieurs  en Informatique de Lille du 12 au 19 octobre

    Forum de recrutement virtuel des Ingénieurs en Informatique de Lille du 12 au 19 octobre

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    Pendant une semaine, les étudiants pourront échanger avec les recruteurs de chez Atéos, Beijaflore, Chanel, CGI, LVMH, Modis, Orange, Solucom ….

    Pour participer ? Dès maintenant, et avant le 12 octobre : Inscrivez-vous ici : https://www.seekube.com/forums/362/telecom-lille-universite-lille-1

    Remplissez votre profil en moins de 10 min avec un maximum d’informations, consultez les profils des entreprises qui participent et demandez à les rencontrer, sélectionnez et postulez pour les offres qui vous intéressent.

    Dès le 12 octobre, commencez à échanger en ligne !

    Décrochez des RDV téléphoniques avec des recruteurs, échangez avec les recruteurs, assistez à des vidéo-conférences

    A propos de Télécom Lille

    Télécom Lille est une grande école d’ingénieurs du numérique placée sous la double tutelle de L’Institut Mines-Télécom et de l’Université de Lille. Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieur, elle accueille 750 étudiants et diplôme chaque année 150 Ingénieurs en Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication (télécoms, informatique & réseaux, internet & multimédia, communications mobiles, management de projets, systèmes d’information).

    Télécom Lille est accessible aux bacheliers S (formation initiale en 5 ans, dont 2 ans de stages et projets en entreprises), aux classes préparatoires scientifiques (cycle ingénieur de 3 ans), aux Bac+2 (formation par apprentissage en 3 ans) et aux professionnels en activité (formation continue de 16 à 30 mois), pour un même diplôme.

    Installée sur 9000 m2 au cœur du campus de l’université Lille 1, Télécom Lille développe plusieurs axes de recherche dans les domaines de l’informatique, des réseaux et des communications.

  • L’école d’ingénieurs CESI s’implante à Lille sur le campus de SKEMA

    Cette nouvelle implantation en métropole lilloise, la 25ème sur le territoire national, témoigne de la volonté du CESI, Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, de répondre aux besoins exprimés par les partenaires socio-économiques de l’ensemble de la région

    Nord-Pas-de-Calais. Ces deux cycles préparatoires de 2 ans viennent compléter l’offre de formation du CESI déjà dispensée sur Arras où le Groupe est implanté depuis près de 50 ans.

    Deux cycles préparatoires pour révéler les talents

    Ces deux cycles préparatoires sont destinés aux bacheliers des filières scientifiques et technologiques. Accessibles au moment des choix d’orientation, ils permettent ensuite d’intégrer l’école d’ingénieurs CESI, soit en formation généraliste (ei.cesi), soit en spécialité informatique (exia.cesi).

    Pendant deux ans, les étudiants vont bénéficier d’un accompagnement individualisé optimisant leurs chances de réussite. Une pédagogie active est également mise en place à l’image de celle que l’on retrouve dans les cycles d’ingénieurs CESI. L’objectif est de rendre les étudiants acteurs de leur formation.

    Au cœur des tissus économiques des territoires, le CESI entretient des liens constants avec les entreprises. Il prépare, par le biais de son école d’ingénieurs, à des métiers qui recrutent dans les domaines du numérique, de l’industrie et des services. Il participe également au développement des compétences en région. Les cycles préparatoires ouverts à Lille en sont une parfaite illustration, dans la continuité de ce que fait déjà le CESI en Nord-Pas-de-Calais.

    A propos du CESI
    Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, le CESI a toujours privilégié une présence locale forte. Il compte 25 établissements en France, organisés en 6 directions régionales dont la Direction Régionale Nord-Ouest.

    Dans le Nord-Pas-de-Calais, le CESI développe à Arras ses activités dans le cadre de son école d’ingénieurs (formations généralistes ou spécialité informatique), de son école supérieure des métiers (école 100% alternance) et de son organisme de formation professionnelle (offres inter-entreprises ou intra-entreprise).
    Il vient d’ouvrir à Lille deux cycles préparatoires : un cycle option Innovation Technologique et un cycle spécialité Informatique.
     
    Au niveau national, le CESI forme chaque année plus de 20 000 ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maitrise pour près de 6 000 entreprises. L’école d’ingénieurs CESI fait partie du Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle CESI qui accueille chaque année en France plus de 5 000 élèves ingénieurs dont plus des 2/3 en apprentissage.
    Pour plus d’informations, connectez-vous à www.cesi.fr
     
    A propos de SKEMA Business School
    Avec plus de 6 700 étudiants et 32 000 diplômés, SKEMA Business School est une école globale qui, par sa recherche, ses programmes d’enseignement, sa structure multi sites internationale forme et éduque les talents dont ont besoin les entreprises du XXIe siècle. L’école est présente sur 6 sites : 3 en France (Lille, Sophia-Antipolis, Paris), 1 en Chine (Suzhou), 1 aux Etats- Unis (Raleigh) et 1 au Brésil (Belo Horizonte). SKEMA est accréditée EQUIS et AACSB. www.skema-bs.fr

  • L’école maternelle pour apprendre : quels savoirs, choix et gestes professionnels ?

    L’école maternelle pour apprendre : quels savoirs, choix et gestes professionnels ?

    Vous pourrez assister à des conférences sur des sujets aussi variés que « Accueillir chaque enfant pour qu’il devienne élève. De l’enfant à l’élève : questions en maternelle » (Anne-Marie Jovenet), « L’école maternelle, porte de la découverte du monde » (Marcel Rufo) ou encore « Tablettes, smartphone et développement Pratiques familiales, pratiques scolaires : continuités, ruptures » (Bruno Devauchelle)

    Aujourd’hui, le numérique trouve sa place en maternelle, avec l’utilisation de TNI, vidéo projecteur au sol, de tablettes et de petits robots tels que le BeeBot !

    Easytis_240615Les classes maternelles de Clichy la Garenne nous ont ouvert leurs portes à l’occasion de la Fête du Numérique et nous avons pu voir les élèves de grande section de l’école Victor Hugo prendre en main le TNI lors d’une leçon d’anglais.

    Ils écoutent en anglais le monstre se décrivant et doivent alors déplacer les éléments décrits (« nose », « mouth » « eyes ») et les colorer ensuite.

    « My Monster has green eyes ». Les élèves vérifient ensuite en bas à gauche en bougeant le carré noir qu’ils ont bien recréé le monstre décrit. Ils se grondent entre eux en cas d’erreur et montrent une facilité certaine à manier les différents outils du TNI.

     

     

    Une autre classe de grande section de l’école Victor Hugo revenant de classe de mer nous a fait la démonstration d’utilisation du robot BeeBot.

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    La maîtresse a dessiné un tapis avec un fond marin sur lequel sont disposés différents animaux (crustacés etc) que les élèves ont découvert lors de la classe de mer. L’abeille « Bibi » a perdu son doudou, elle va rendre visite aux différents animaux du tapis pour trouver des indices lui permettant de le retrouver. Le bernard-l’ermite lui dit d’aller voir la Moule.

    Que faut-il faire pour aller voir la moule ? Se déplacer de 2 cases en avant.

    Comment fait-on pour avancer ? « bah on appuie sur le bouton, on lui dit où il faut aller » répond un élève ! Assez simple dit comme ça, l’anticipation du déplacement dans l’espace ne l’est pas tant que ça pour tous les élèves !

    Certains comptent les déplacements sur leurs doigts, mettent leur main sur le parcours, se contorsionnent pour suivre le chemin de l’abeille… Ouf, Bibi a retrouvé son doudou !

    Apprentissage du vocabulaire, débuts de programmation algorithmique, simplicité de mise en œuvre et d’utilisation, la BeeBot sera présente à l’AGEEM pour vous faire la présentation de ses atouts.

    Plus d’infos :
    Easytis, distributeur spécialisé pour l’éducation, propose des solutions mobiles, innovantes et connectées.
    Plus d’infos sur le congrès :
    http://www.ageem.fr/1255

    Découvrez BeeBot et d’autres solutions pour les maternelles dans le catalogue en ligne Les Tice Faciles : http://fr.calameo.com/read/003858570839fccd6937a
    Retrouvez les solutions connectées et mobiles sur le site d’EASYTIS: www.easytis.com et sur les réseaux sociaux ! (Facebook, Twitter, Linkedin…)

     

  • Création du Fablab « Fabric’ INSA »

    Création du Fablab « Fabric’ INSA »

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    Dans une école d’ingénieurs, un FabLab est devenu aussi utile qu’une bibliothèque. La bibliothèque est le lieu des savoirs, le FabLab est l’endroit où l’on peut acquérir des savoir- faire.

    C’est ainsi que Baptiste Bonnaud, le vice-président étudiant de Fabric’INSA, résume la céation du FabLab.

    Le fablab de l’INSA Toulouse « Fabric’ INSA » a été inauguré le jeudi 9 avril, lors d’une journée dédiée à l’innovation.

    Cet atelier de fabrication et de prototypage rapide est un lieu d’échange et de collaboration géré par une association 1901, dont le bureau est constitué par des étudiants et personnels INSA. Il permettra aux étudiants, aux personnels et à des partenaires industriels de l’institut de réaliser leurs projets en exprimant leurs idées innovantes et leur créativité.

    Fabric’INSA est un espace de 120m2, avec 60m2 dédié au prototypage, au co-working et à la détente ; le reste est dédié à la mécanique.

    Ouvert au public (les jeudis après-midi et en soirée du lundi au mercredi), le lieu est équipé de quatre imprimantes 3D, d’une fraiseuse à commande numérique, de toute une série de capteurs/actionneurs ainsi que de modules électroniques permettant de construire des objets communicants.

    Outre l’accueil du public en semaine, des évènements thématiques seront organisés, comme des rencontres « recherche et innovation », des hackatons, des ateliers, des formations express, comme par exemple à l’utilisation d’une imprimante 3D.

    L’équipement du FabLab a été financé grâce au mécénat des entreprises et des particuliers de la Fondation INSA Toulouse.

    Ce projet entre dans les dispositifs d’accompagnement de l’innovation et d’encouragement à l’entrepreneuriat, priorités pédagogiques de l’INSA Toulouse et soutenues par la Fondation.

    Plus d’informations : www.fabric-insa.fr

  • Le projet « Puissance 3 », associe l’ESAG Penninghen, l’ISEP et Stanford

    Le projet « Puissance 3 », associe l’ESAG Penninghen, l’ISEP et Stanford

    Le travail interdisciplinaire, un incontournable dans le monde des technologies

     

    Le paysage technologique et les objets qui le constituent ainsi que le contexte professionnel afférent sont devenus d’une complexité galopante.

    Ainsi, les nouvelles générations d’ingénieurs, de designers et de marketeurs doivent savoir travailler ensemble, depuis la conception jusqu’à la réalisation et la mise sur le marché de ces objets hautement technologiques, ce qui pose bon nombre de défis au niveau des interfaces des métiers avec leurs caractéristiques et leurs langages propres.

    L’objectif de « Puissance» est d’agir en amont afin de faciliter la tâche de futurs cadre à relever ces défis :

    il s’agit de rapprocher des élèves issus de trois droits domaines bien spécifiques dans le cadre de leurs formations en constituant des équipes mixtes travaillant sur des projets collaboratifs innovants dans le domaine du numérique.

    Tout en développant les compétences propres à la formation d’ingénieurs ISEP (mêlant technicité, innovation et créativité) et en les faisant partager aux autres membres des équipes mixtes, les élèves ISEPiens développent aussi des aptitudes transverses cruciales pour leurs futures carrières d’ingénieurs du numérique. En effet, ils apprennent à travailler en mode projet dans un contexte structurellement comparable à celui vécu dans les entreprises, à être à l’écoute de l’expertise des autres élèves ainsi que de leurs contraintes, et à établir collectivement un langage commun pour gérer la complexité des objets numériques.

    Puissance 3 : trois expertises au profit de la conception et de la réalisation d’un objet numérique

     

    Les équipes sont formées d’élèves provenant des trois écoles associées.
    Il est d’abord demandé à tous les participants d’exposer l’ensemble des « idées » qu’ils ont pu imaginer ; ensuite séance tenante une sélection est faite ; enfin les équipes se lancent dans le travail avec des projets arrêtés. Au sein des équipes, chaque partie apporte au projet des connaissances et des savoir faire pointus afin de réaliser le produit (ISEP), de rendre son design « esthétiquement » viable (ESAG Penninghen) et d’en assurer la bonne dimension marketing internationale non sans participer à la réalisation technique (Stanford).

    Puissance3, c’est donc l’occasion pour les élèves de démontrer leur capacité à travailler en équipe en faisant preuve d’ouverture d’esprit, de créativité et de capacité d’adaptation.

    Ils bénéficient tout au long de ce semestre d’apports théoriques et pratiques sur le design numérique (dispensés à l’ESAG Penninghen) mais aussi sur la création d’entreprise (dispensés à l’ISEP) avec la perspective pour les équipes les plus entreprenantes de créer la leur et d’être reçues dans l’incubateur partenaires d’Arts et Métiers ParisTech.

    En outre, plusieurs états d’avancement sont organisés par les tuteurs suivant les équipes afin d’assurer la bonne évolution des travaux. Au final, les projets sont présentés devant un jury d’experts pour évaluation.

    Citons quelques projets novateurs : le concept de « bureau connecté intelligent » et de « banc public à énergie solaire » en 2015 ; le « robot assistant d’usagers handicapés de la SNCF » en 2014 et le « miroir intelligent » en 2013.

    « Offrir à des talents différents la possibilité d’œuvrer dans un champ ouvert de créativité et d’innovation technologique demeure l’objectif principal de « Puissance». C’est un moyen des plus efficaces pour préparer des ingénieurs compétents aptes à bien façonner le paysage numérique », Dieudonné Aboud, Directeur de l’enseignement à l’ISEP

    « Dans notre société en pleine mutation, le programme original « Puissance3 » prend pour leviers de réflexion l’innovation technologique, l’esprit d’entreprendre et la synergie du travail en groupe. Ce projet apporte à tous nos élèves, futurs dirigeants créatifs, une expérience unique dans la construction de leur avenir professionnel »,  Gérard Vallin Directeur adjoint de l’ESAG Penninghen, école supérieure de design d’art graphique et d’architecture intérieure.

    « La vraie découverte d’une culture ne passe pas uniquement par un changement d’horizon. Elle peut se produire surtout en travaillant avec autrui et en adoptant son regard. Le projet « Puissance3 » représente un véritable échange entre Américains et Français, entre designers et ingénieurs, tous voués à créer ensemble un objet innovateur pour la société de demain. Il s’agit d’une opportunité rare et précieuse pour les élèves de nos trois institutions », Estelle Halevi  Directrice du programme « Stanford in Paris » de l’Université américaine Stanford.

     

     

     

  • Grandes écoles : mettez toutes les chances de votre côté pour réussir avec Texas Instruments et OpenClassrooms

    Grandes écoles : mettez toutes les chances de votre côté pour réussir avec Texas Instruments et OpenClassrooms

    [callout]D’une durée de 4 semaines, cette formation en ligne certifiante est présentée par Boris Hanus, professeur agrégé en mathématiques enseignant depuis plusieurs année en lycée, DUT et école d’ingénieurs. Elle sera disponible à partir du 24 février 2015.[/callout]

    « Chaque année, le nombre d’étudiants présentant les concours des plus grandes écoles d’ingénieurs augmente alors que le nombre de places disponibles reste limité à moins d’une dizaine de milliers, » raconte Boris Hanus. « Texas Instruments a souhaité donner un coup de pouce à tous ceux qui commencent déjà à préparer les tests d’entrée en proposant une formation en ligne accessible à tous sur sa calculatrice la plus utilisée par les étudiants de classes préparatoires. »

    Réussir les concours d’école d’ingénieurs avec sa calculatrice TI-Nspire CX CAS

    À qui s’adresse ce cours ?

    À tous les étudiants en classe prépa de toutes sections (MPSI, PCSI, BCPST, TSI) ou aux personnes ayant le niveau de 2e année de classes prépa en mathématiques.

    Au programme :

    • TI5_3010114Prendre en main sa calculatrice Texas Instruments TI-Nspire CX CAS
    • Maîtriser l’analyse graphique, la programmation et les matrices
    • Résoudre des équations différentielles et intégration
    • Poursuivre la programmation : arithmétique, Cholesky et calcul avec des nombres complexes

    Les sujets utilisés sont extraits des sites des Concours communs de Polytechnique et de Centrale Supélec

    « Aujourd’hui, les utilisateurs qui investissent dans un équipement haut de gamme, tel qu’une calculatrice graphique formelle, souhaitent l’utiliser à bon escient pour réussir leur concours à l’aide d’outils d’entraînement complémentaires. C’est en quoi le principe du MOOC proposé par OpenClassrooms a retenu l’attention de Texas Instruments qui nous a choisis pour sa réalisation, » explique Pierre Dubuc, co-fondateur d’OpenClassrooms.

    À propos de Texas Instruments
    La Division  « Education Technology » de Texas Instruments, propose des solutions matérielles et logicielles innovantes pour l’apprentissage des mathématiques et des sciences. Les produits scolaires et les services de TI sont conçus depuis 20 ans en collaboration avec des enseignants chercheurs et des enseignants formateurs français du « réseau T3 » de façon à répondre parfaitement aux besoins spécifiques d’une utilisation en et hors classe. De plus amples informations sont disponibles sur http://education.ti.com/france

    À propos d’OpenClassrooms
    Créée en 2013, OpenClassrooms développe et anime une plateforme de cours en ligne gratuite, accessible et ouverte dont la vocation est de favoriser l’éducation pour tous, la collaboration, l’échange et le partage des connaissances. Imaginée en 1999 par Mathieu Nebra et Pierre Dubuc, OpenClassrooms est devenue en quelques années la référence en matière d’e-Education et la première plateforme de cours en ligne en Europe.

    En partenariat avec des écoles, des universités, des entreprises, et l’ensemble de sa communauté de plus de 900 000 membres, OpenClassrooms réunit chaque mois sur son site plus de 2,5 millions d’étudiants et propose 1000 cours en ligne. Une partie de ces cours est désormais éditée sous la forme de MOOC (Massive Open Online Courses) relayée par les services Premium et Premium Plus. Les étudiants peuvent ainsi accéder en illimité à des cours certifiants, télécharger des vidéos et des eBooks, apprendre à leur rythme, sans limite de temps, et bénéficier d’un suivi avec des professeurs particuliers en visioconférence.

    Réussir les concours d’école d’ingénieurs avec sa calculatrice TI-Nspire // Teaser from OpenClassrooms on Vimeo.

  • Lancement du projet REMIE : Ressources et Environnement Multi-éditeurs Innovants pour les Ecoles

    Lancement du projet REMIE : Ressources et Environnement Multi-éditeurs Innovants pour les Ecoles

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    Un projet Coopératif

    REMIE est un projet coopératif sur 2 ans, porté par la société ITOP éducation, chef de file du projet et coordonnateur. Il est fondé sur les expertises pédagogiques et technologiques complémentaires de 6 partenaires:

    3 PME, spécialistes du numérique éducatif et du 1er degré :
    les Editions Jocatop et Génération 5, leaders sur le marché du numérique pour le 1er degré
    – ITOP éducation, éditeur de contenus numériques et leader sur le marché des ENT

    et des chercheurs et pédagogues

    – le CRDP de Versailles au sein du réseau Canopé, expert en matière d’indexation de ressources numériques,
    – l’IRI, Institut de recherche et d’innovation, à la pointe des recherches en technologies videéo et annotation collaborative
    – I3M, Information Milieux Médias Médiations, laboratoire de l’Université de Nice-Sophia Antipolis (UNSA) et de l’Université de Toulon (UTLN), expert en matière d’analyses des usages des dispositifs numériques et des changements organisationnels liés aux TIC.

    Ce projet intégrera dés le départ une très forte composante « usages », sous forme d’expertise dans un premier temps, puis d’expérimentations terrain

    en partenariat avec les Académies de Nice et Nancy-Metz, la ville de Nîmes, l’inspection d’Annecy Est et avec les enseignants de nombreux établissements scolaires, écoles et collèges.

    L’association de contenus innovants et de classeurs numériques

    Le projet REMIE vise à améliorer les apprentissages des élèves et à faciliter le travail pédagogique des enseignants, grâce à la conception et réalisation d’un démonstrateur composé de 3 ensembles de contenus numériques innovants associés à des services d’indexation et de gestion de classeurs numériques adaptés aux usages du primaire.

    L’enseignant peut créer des classeurs numériques « maître« , dans lesquels il sélectionne et organise contenus innovants existants, et contenus personnels.

    À partir de ses classeurs maître, il distribue directement dans les classeurs numériques élève, de façon personnalisée ou collective, activités multimédias, documents et travaux, résumés de leçon, enregistrements audio, etc.

    Chaque élève dispose ainsi de classeurs personnalisés, dans lesquels il retrouve et utilise au quotidien, ressources communes et ressources qui lui sont propres.

    Les contenus présenteront tous une structure granulaire leur permettant d’être exploités en fonction des besoins de la classe ou des élèves. Les contenus seront des ensembles complets qui permettront :

    1) En lecture, de travailler dans la continuité la conscience graphophonologique au CP (et remédiation au-delà), en s’appuyant sur des mises en situations animées, des micro-vidéos de découverte et répétition des phonèmes, l’enregistrement sonore, et la reconnaissance de l’écriture manuscrite.

    2) En français, de travailler la maîtrise de la langue (oral, lecture, écriture, compréhension, structure de la langue) au cycle de consolidation, en s’appuyant sur l’usage de courts-métrages et d’outils d’annotation collaborative de films, pour créer des situations de réflexion et de créations collaboratives et coopératives.

    3) En mathématiques, de travailler du CP au CM2, sur les notions de grandeurs et mesures, grâce à des situations de recherche et de réflexion couplées à des outils de production et d’édition de ressources qui exploitent le potentiel des nouveaux supports (tablettes numériques et TNI).

    Les services se présentent sous forme d’une plateforme numérique multi-supports conçue pour le primaire avec :

    . des services pédagogiques sous forme de classeurs numériques (classeur de préparation du maître, des classeurs élèves), couplés à un portail de ressources éditoriales granulaires multi éditeurs, et intégrant éditeur collaboratif, services de gestion de parcours personnalisés et de suivi de résultats.

    . Des services techniques se chargeant de façon standardisée, de la sécurisation des accès et de l’intégration à tout ENT conforme au SDET.

    . Des services aux éditeurs prenant en charge la gestion de leurs ressources granulaires multimédias indexées sur les programmes officiels, les formalités administratives et techniques de gestion d’utilisateurs, et le stockage et traitement de données.

    Au-delà de l’amplification des usages, REMIE, projet fédérateur, participera à la structuration de la filière du numérique éducatif, en intégrant à terme des contenus granulaires de tout éditeur de ressources, interopérable avec tous les ENT respectant le SDET et sur tout support (tablette ou TNI).

    A propos d’ITOP éducation :

    ITOP éducation occupe une position clé dans le panorama de l’éducation. Présente depuis plus de dix ans sur ce secteur, elle produit une offre complète de logiciels innovants qui couvre tous les besoins des établissements scolaires, de la maternelle au lycée. Plus de quatre millions d’utilisateurs échangent au travers des Environnements Numériques de Travail
    ou accèdent aux ressources pédagogiques multidisciplinaires ITOP éducation et gèrent notes et absences grâce au module de vie scolaire Educ-Horus. Sur plus de quinze projets ENT en généralisation, ITOP éducation offre également ses services d’accompagnement, formation, hébergement et support. Pour développer les nouveaux usages et conduire une stratégie d’innovation volontariste, plus de 20% du chiffre d’affaires sont consacrés chaque année à la recherche et au développement.
    Depuis 2012, Hervé Borredon, PDG d’ITOP est élu président de l’Afinef, Association Française des Industriels du Numérique pour l’Education et la Formation. Cette nouvelle entité fédère et structure l’ensemble de la filière numérique éducative et assure l’interface entre industriels et institutionnels. www.itop.fr  www.afinef.net

     

     

  • Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

    Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

     Par Marie-France Bodiguian du Cabinet AMO-TICE

    Après les 6 conseils de la partie 1 pour optimiser l’internet existant de vos écoles, voici 6 nouvelles pistes pour augmenter les débits  : 6 astuces ou technologies à étudier selon deux cas de figures.

    Exemples de quelques technologies de montée en débit :

    1. Doublez vos abonnements Adsl

    Amotice1_061014Si vous disposez déjà d’un bon débit Adsl, et que vous souhaitez améliorer simplement votre capacité de transfert, doublez vos abonnements Adsl, donc votre source d’arrivée internet. Comment ? Sur 2 fils, donc 2 flux ! Une solution particulièrement pertinente pour faciliter par exemple la visualisation d’une vidéo sur plusieurs postes, particulièrement gourmande en flux* de transfert simultané. Toutefois, cette solution n’améliorera pas le débit d’un flux* unique si votre débit initial est insuffisant.

    Le petit plus technique : Vous faites ici passer 2 flux dans 2 fils distincts, appelé  « doublement de liens », qui par ailleurs vous offrira un surcroit de sécurité. Vous aurez besoin d’un routeur, permettant plusieurs raccordements appelés « multiwan ». Un tel routeur vous permet en outre de raccorder plusieurs sources différentes internet (Adsl + fibre + 4G par exemple) et ainsi d’accroître votre débit.

    2. Complétez avec la 3G ou 4G

    Des clés 3G ou 4G peuvent venir compléter l’Adsl, mais… c’est souvent une alternative individuelle, avec un rayonnement peu fiable. Cette solution ne sera intéressante que dans les zones déjà bien desservies en débit internet. Pour cela, vous pouvez équiper vos écoles de petits routeurs wifi, appelés domino, munis de cartes SIM avec lesquels plusieurs appareils pourront être connectés via le wifi du domino pour utiliser la connexion 3G de la carte SIM.

    Ce n’est donc pas la technologie idéale pour booster le débit internet de vos écoles mais un complément ponctuel selon l’implantation des antennes sur votre territoire…
    Zoom sur le rayonnement 3G ou 4G dans votre collectivité avec www.cartoradio.fr

    3. Osez le Satellite !

    Amotice2_061014L’accès haut-débit par satellite n’est pas soumis aux contraintes d’éligibilité Adsl et a l’avantage de couvrir l’intégralité d’un territoire. . Cette technologie, souvent subventionnée par la plupart des conseils régionaux et conseils généraux, est généralement soumis à une tarification au volume de données. Elle fournit des volumes de données compris entre 10 et 100 Mgbits et nécessite la location ou l’achat d’un kit de connexion (une parabole, un modem et câbles coaxiaux), d’une valeur d’environ de 400 € et un abonnement mensuel (environ 40 €).  Pour en savoir plus, vous pouvez comparer les offres auprès des opérateurs existants (Alsatis, Nordnet, Wibox, etc.)

    D’ici la fin de l’année 2014, 9 000 écoles du primaire et du secondaire bénéficieront du haut débit, dans le cadre du Plan France Très Haut Débit.

    On ne peut que mettre en avant l’efficacité de cette technologie, mais attention… même en haut débit le temps de latence d’une connexion reste un peu plus long que celui connu sur ADSL, pour des raisons de liaisons satellitaires évidentes ! (de l’ordre de 600 millisecondes).

    4. Pensez au WiMax

    Amotice3_061014Vous connaissez ? Le WiMAX utilise les ondes radio, comme celles utilisées pour le téléphone portable. Les usages sédentaires et mobiles sont donc possibles sans installation supplémentaire.

    Pour connecter vos écoles en en haut débit grâce au WiMAX, vous devez être proche d’une antenne émettrice. Après avoir effectué un test d’éligibilité auprès de l’un des opérateurs du marché (ici par exemple : www.wibox.fr ou www.ariase.com et avoir souscrit à une offre, un installateur agréé pourra garantir une installation de qualité pour bénéficier du meilleur signal en fonction de votre situation.

    C’est une technologie encore peu utilisée mais également à étudier !

    Autre possibilité, construire un réseau Très Haut Débit pérenne :

    5. Créez votre Réseau Municipal Mutualisé

    À l’occasion de travaux d’infrastructures municipaux (que vous déployez seul ou dans le cadre d’une communauté de communes), vous pouvez faire passer de la fibre optique entre les bâtiments. L’avantage ? Vous pouvez héberger plusieurs réseaux virtuels sur le même « fil ». Il devient alors possible de mutualiser les coûts en alimentant en haut débit les divers bâtiments municipaux (réseau interne municipal), des structures publiques/privées (cinémas, salles de spectacles, gymnases, etc.), ou en proposant des accès (via un opérateur obligatoire) pour une distribution privative (TPE, Artisans, etc.).

    Amotice4_061014Un Réseau Municipale Mutualisé peut constituer une véritable colonne vertébrale de l’aménagement de votre territoire.

    Ici, un maillage de technologie pour des connexions haut débit pour tous, dont les écoles !

    6. Fibre optique : Êtes-vous intégrés à un Réseau d’Initiative Publique ?

    Si votre emplacement géographique est dense, et donc commercialement intéressant pour les opérateurs, vous êtes sûrement éligible à la fibre optique des opérateurs. Dans ce cas, vous êtes un privilégié ! Quittez cette page, nous nous retrouverons sur un autre sujet ! Des débits entre 100 à 250Mbps à la source permettent une utilisation presque sans limites du numérique. De quoi faire rêver !

    Sinon rapprochez-vous, si possible de votre département, qui, dans le cadre d’un Réseau d’Initiative Publique, a peut-être mis en place un projet pérenne de fibre optique pour effectuer des travaux et résorber les zones d’ombre d’ADSL. Vous intégrerez ainsi un groupement de commandes pour la réalisation de plusieurs Nœuds de Raccordement d’Abonnés et leurs liens de collecte optique. C’est l’expérience vécue par le regroupement de Communautés de communes du Pays de Caux-Maritime.

    Amotice5_061014Une technologie qui a permet d’obtenir des coûts réduits et de mutualiser le financement !

    De nouvelles solutions pour raccorder vos écoles vers de meilleurs débits internet vous sont à présent offertes. Il s’agit là de quelques propositions non exhaustives. À vous maintenant d’adapter votre stratégie en fonction des possibilités qu’offre votre territoire et aux besoins et usages des enseignants.

  • Débit internet : 12 clés pour booster vos écoles ?

    Débit internet : 12 clés pour booster vos écoles ?

    Partie 1, Par Marie-France Bodiguian, directrice du Cabinet AMOTICE

    1. Faites un test de débit internet

    Amotice_THDconseils2_260914Avant tout, connaissez-vous le débit internet dans vos écoles ? Il vous est indispensable comme valeur de référence. Ainsi, selon la vitesse réelle de connexion, vous pourrez si elle est satisfaisante, proposer des évolutions d’usages , ou dans le cas contraire envisager une autre stratégie pour mieux raccorder vos écoles.
    Pour cela rendez-vous sur des sites spécialisés tel que www.speedtest.netou www.test-debit.fr

    2. Évaluez les besoins des enseignants 

    Votre objectif : déterminer le débit nécessaire.  Quelles sont les activités que les enseignants souhaitent faire avec leurs élèves sur le web ? Des recherches sur des sites, des exercices sur des logiciels pédagogiques, ou encore visionner des vidéos sur youtube ?

    Vous l’aurez compris, entre la visioconférence et de simples recherches sur le web, ou des vidéos, les flux internet font le grand écart ! Alors mieux vaut connaître les  besoins pour ensuite s’intéresser au débit nécessaire.

    3. Estimez le nombre de flux vidéos utilisé en simultané

    Amotice_THDconseils3en350large_260914Un flux vers 20 ordinateurs pour regarder une vidéo ne demande pas le même débit que 20 ordinateurs connectés à cette même vidéo de façon isolée. Plus il y a d’appareils connectés et plus vous perdez en flux ! C’est comme à la maison : si plusieurs appareils nécessitent en même temps une connexion (jeu en ligne, vidéo en streaming, etc.), attendez-vous à perdre en débit.

    4. Ouvrez le dialogue avec l’Éducation nationale

    Afin d’optimiser les flux internet en place et ne pas perdre en débit, proposez à votre partenaire, l’Education Nationale de suggérer aux enseignants de réorganiser leurs usages. Peuvent-ils procéder à des chargements préalables des vidéos par exemple ?

    Dans ce cas, il leur suffira de déployer les contenus en local grâce à des outils de synchronisations pour ne pas trop saturer le réseau. Ils peuvent également intégrer leurs données sur une clé USB, pour ensuite les copier sur un duplicateur USB ou un serveur local. Cela évitera ainsi que chaque écolier travaille sur la même application. Ce type de méthode a déjà fait ses preuves dans plusieurs communes pourtant correctement desservie.

    5. Vérifiez le débit disponible sur votre territoire

    Comment ? Facile ! Rendez vous sur le site de l’Observatoire France Très Haut Débit  de la Mission Très Haut Débit et laissez-vous guider.
    E
    ntrez le nom de votre collectivité, vous visualisez instantanément votre couverture filaire Internet. Grâce à des filtres, vous pouvez également être renseigné sur les technologies disponibles (DSL, fibre, etc.). Il est même possible de visualiser la carte en deux dimensions, plan ou satellite.
    Cela vous évitera de calculer la distance réelle entre vos écoles et votre centre de raccordement internet. Plus vos écoles sont éloignées du centre de raccordement internet de l’opérateur historique France Télécom, plus le débit maximal est limité.
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    6. Réalisez un test d’éligibilité

    Pour faire évoluer votre raccordement internet à vos écoles, vous aurez besoin de connaître les technologies disponibles dans votre commune  haut-débit (ADSL, WiMax) comme du très haut-débit (Fibre optique, FTTH) Pour cela, il vous suffit avec votre numéro de téléphone et vos coordonnées postales de vous rendre sur un site tel que www.degrouptest.com ou www.ariase.com et le tour est jouer.

    Et voilà ! Vous venez de découvrir les 6 premiers conseils pour ne plus naviguer à l’aveuglette ! Vous allez pouvoir ensuite adapter votre stratégie en fonction de ces premiers enseignements.

    À vous de jouer ! À suivre, 6 conseils et pistes pour développer votre débit internet et le raccordement de vos écoles

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