Étiquette : Écoles SUP

  • Grenoble INP, co-organisateur de la 5ème édition du concours international de robotique « FIRST Tech Challenge » pour les lycéens et collégiens

    Grenoble INP, co-organisateur de la 5ème édition du concours international de robotique « FIRST Tech Challenge » pour les lycéens et collégiens

    [callout]Cette compétition, challenge des équipes d’élèves du secondaire (lycées et collèges) en leur faisant résoudre une problématique par un robot qu’ils devront eux-mêmes imaginer et créer.[/callout]

    GrenobleINP_concoursrobotique

    Ce concours international de robotique est organisé par l’association FIRST (For Inspiration and Recognition of Science and Technology, créée en 1989 pour sensibiliser et impliquer le jeune public dans les sciences et techniques) et sponsorisé en Europe par PTC, société de logiciels de développement de produits.

    Il se déroule partout dans le monde (Etats-Unis, Inde, Singapour Russie, Corée, Espagne, Hollande, Allemagne, …).

    En France, Grenoble INP co-organise l’édition nationale du concours de robotique FIRST Tech Challenge (FTC2016), en partenariat avec la société PTC, la ville de Fontaine, Grenoble-Alpes Métropole, la Région Rhône Alpes et la fondation Grenoble INP.

    La robotique, un secteur d’avenir

    La robotique trouve un très grand nombre d’applications et joue un rôle crucial dans la société actuelle : chaînes de montage dans l’industrie automobile, humanoïde, exploration de planète (Curiosity) ou de comète (comme par exemple, le robot Philae et sa sonde Rosetta qui avait été pilotée par un ancien de Grenoble INP – Phelma), médecine, chirurgie, drone, aide aux personnes ou encore accompagnement social.

    Un projet avec de réelles contraintes d’ingénierie

    En début de projet, toutes les équipes peuvent, si elles le désirent, emprunter auprès de l’organisation du concours le kit matériel requis. Tout au long de l’année, les participants, assistés dans leur démarche par des étudiants et personnels d’écoles de Grenoble INP,  conçoivent, construisent, programment et testent leur robot.

    Un véritable projet pédagogique dans lequel les participants devront respecter des contraintes d’ingénierie bien réelles : cahier des charges et délais à tenir, travail en équipe et en mode projet,…

    Chaque projet est évalué par un jury qui récompense les meilleures équipes avec différents prix, tels que le Prix de la motivation et du Fair Play, le Prix du dossier technique, le Prix de l’Innovation, le Prix du meilleur Design…et selon des critères précis comme par exemple la qualité des figures et légendes, l’ingéniosité des solutions ou encore la fonctionnalité du robot…
    Le Prix du Jury sera décerné à l’équipe qui aura su répondre le mieux  à l’ensemble des critères et Le Prix du Concours sera remis à l’équipe qui aura obtenu le plus de points à l’issue des différents matchs.

    Qu’est-ce qui différencie le FIRST Tech Challenge d’une compétition de robotique « classique » ?

    Ce concours entre dans le cadre des dispositifs « ACE » (Aide Citoyenne aux Études), à l’instar de « Cordée de la réussite« , dont l’objectif est de favoriser l’accès à l’enseignement supérieur de jeunes quel que soit leur milieu socio-culturel, en leur donnant les clés pour s’engager avec succès dans les filières d’excellence.

    Outre une compétition de robotique entre élèves, ce projet est aussi un moyen pour Grenoble INP de faire la promotion des sciences et de l’égalité des chances dans l’accès aux formations d’ingénieur auprès des lycées et collèges. Bien que basé sur le principe ludique d’un concours de robotique, le FIRST Tech Challenge constitue pour les équipes des collèges et lycées, les professeurs encadrant et les tuteurs Grenoble INP, un véritable projet pédagogique.

    La sensibilisation aux sciences auprès du jeune public : enjeu crucial pour Grenoble INP

    On observe aujourd’hui une certaine désaffection pour les sciences auprès des jeunes élèves de collèges ou lycées et ce, malgré un besoin toujours plus fort d’ingénieurs de la part des entreprises. Le monde industriel et celui de la Recherche s’en trouvent ainsi pénalisés avec un appauvrissement de leur recrutement.

    Donner ou redonner le goût des sciences aux plus jeunes est un enjeu majeur tant Grenoble INP que pour l’Industrie et la Recherche.

    Pour recruter les étudiants qui deviendront les ingénieurs et les chercheurs de demain, Grenoble INP s’engage depuis toujours dans des actions envers les établissements du secondaire ayant pour but de sensibiliser les élèves aux métiers et au secteur de l’ingénierie. L’organisation du concours international de robotique FIRST Tech Challenge en est un exemple.

    Grenoble INP a également la volonté d’encourager les vocations féminines pour les carrières scientifiques et technologiques, à travers cette initiative.

    Plus d’infos :
    Chiffres clés en 2016
    20 équipes inscrites – plus de 200 participants
    Venant de la région Rhône Alpes Auvergne : Fontaine, Grenoble, Lyon, Decines (69), Aix-les-Bains, Gières, Portes-les-valences, Isle d’Abeau, Rives, mais aussi de Paris.
    2 arènes depuis 2014 (1 arène de jeu en 2012 et 2013)
    Participation active de plus de 50 bénévoles
     

  • En octobre 2016, ouverture d’une école des métiers du numérique !

    En octobre 2016, ouverture d’une école des métiers du numérique !

    [callout]Elle ouvrira dans les nouveaux locaux d’Image à Ellipsis au cœur du quartier de Ville active à Nîmes. Son leitmotiv : former à l’idée créative, sortir des cadres établis et favoriser l’interdisciplinarité.[/callout]

    EcoleNimes_011416

    La Prépa

    Le but de la classe prépa est d’acquérir les principales compétences graphiques et artistiques, de découvrir le monde des techniques digitales et de la communication visuelle.
    Elle est destinée à développer et à accompagner la singularité de chacun.

    L’ensemble des projets personnels est consigné dans un book de fin d’année, véritable outil de promotion de chaque étudiant. Cette prépa peut déboucher aussi sur une formation sur deux ans en design d’espaces et architecture.

    Le Bachelor (Diplôme bac + 3)

    Le Bachelor est né d’un constat, fruit, entre autre, des multiples rencontres de stagiaires en formation continue : les technologies digitales amplifient les possibilités de communication et modifient par la même les regards des communicants.

    Composé d’un socle général alliant communication, stratégie digitale des entreprises, développement perso, diction, prise de parole et anglais des affaires, ce Bachelor offre la possibilité d’acquérir au fil des 3 années les compétences de :

    . 1ère année : Infographiste print & web (RNCP niveau IV)
    . 2ème année : Webdesigner dévelopeur front-end (RNCP niveau III)
    . 3ème année : Communicant bilingue en communication et stratégies digitales et/ou développeur back-end (RNCP niveau II)

    Chaque année se termine par un stage en entreprise obligatoire.

    Le but étant d’exercer les professions de :
    Chef de projets en communication multi-supports,
    Assistant au directeur artistique,
    Responsable en stratégie de communication digitale,
    Community manager,
    Responsable des réseaux sociaux,
    Responsable de la visibilté d’une marque personnelle (Personal Branding).

    Un diplôme par année, référencé au RNCP

    Afin de sécuriser le parcours, chaque étape annualisée du Bachelor est validée par un titre professionnel reconnu par le ministère de l’éducation nationale et inscrite au Registre national des certifications professionnelles. Ainsi, chaque étudiant peut faire le choix de poursuivre ou non le Bachelor et de rentrer ainsi, à tout moment dans la vie professionnelle.

    L’humain au centre de la formation

    En s’appuyant sur la PNL (programmation neurolinguistique), sur les codes de l’analyse transactionnelle (théorie de la communication interpersonnelle) et sur les arts vivants (scénario, jeux, sérious games, théâtre, impro), chaque étudiant a la possibilité de développer ses comportements de réussite en apprenant à mobiliser ses ressources et à utiliser ses sens.

    Parce que le savoir-être est tout aussi important en entreprise que le savoir, le Bachelor accorde temps et énergie à tous ceux qui souhaitent s’attarder sur leur développement personnel.

    Anglais des affaires

    Cambridge English Language – Centre IDLangue

    Parce qu’avoir de bonnes compétences linguistiques est un facteur clé pour réussir aujourd’hui dans le monde du travail au niveau international, la langue anglaise fait partie intégrante de la formation, de la prépa à la 3e année du Bachelor (certification Bulats).

  • Ingénieurs et codeurs français en force au Championnat Européen Universités et Grandes Ecoles

    Ingénieurs et codeurs français en force au Championnat Européen Universités et Grandes Ecoles

    [callout]Cette deuxième édition du Championnat  Européen des Universités et Grandes Ecoles encourage l’émulation entre campus européens, l’innovation chez les étudiants mais aussi le développement de leurs relations avec le monde du travail et de l’entrepreunariat. Il se dispute en deux temps : la soumission d’idées, projets et startups avant le 22 avril, et une journée compétition géante avec des challenges innovants le 10 mai au Luxembourg pour la finale.[/callout]

    MorpheusCup_230316

    Des participants de tous horizons

    Parmi les campus représentés, on retrouve  aux côtés d’Epitech, Telecom Nancy et Lille, Digital Campus de Bordeaux et International Space University de Strasbourg : HEC Paris, Solvay Brussels, Technische Universität Berlin, EU Business School Barcelona , Università Cattolica del Sacro Cuore – Milan, Université de Luxembourg, Abertay University à Dundee, Macromedia University of Applied Sciences Munich, École polytechnique fédérale de Zurich, mais aussi de nombreux autres cursus variés en niveau et spécialité.

    En 2015, la Warsaw School of Economics avait raflé la cup. Les équipes allemandes, hollandaises, grecques, luxembourgeoises et suisses avaient brillé sur les projets. Les meilleurs performers étaient français, hongrois et polonais. Les compteurs sont remis à zéro pour l’édition 2016.

    Il est possible de participer à l’un et ou l’autre aspect de la compétition. Avec à la clef, 20 awards et 50.000€ en prix et matériel, mais aussi des connections directes employeurs, investisseurs et partenaires.

    Des centaines de projets soumis

    Les projets soumis invitent à repenser de manière libre quelques grands challenges européens du 21ème siècle : Business, Coding, Climat, Culture, Design, Engineering, Education, Fintech, Food, Gaming, Healthcare, Insurtech, legal, Logistics, Mobility, Procurement, Wealth Management, Espace. L’acceptation est large, tout comme le niveau d’élaboration ou d’avancement du projet.

    La description du projet soumis doit être synthétique et tenir en 10 slides.

    Des épreuves live combinant innovation, compétences et expériences

    Les épreuves le jour J sont génériques le matin (en session plénière) sont lancées par des entreprises telles Warner Bros, FC Barcelona, Dupont, Deloitte, NPG, Vodafone, Cargolux, ING, Lombard International, Telindus et de nombreux autres.

    Basées sur l’innovation et l’expérientiel, les épreuves se choisissent l’après midi et représentent des défis sur des compétences clés (business, informatique, ingénierie, marketing, design). Les meilleurs performers sont récompensés également.

    Un jury de stature mondiale

    Les équipes finalistes sont invitées à pitcher devant un jury multidisciplinaire international définissant le meilleur projet européen toutes catégories. Il compte parmi ses membres des personnalités internationales issues de différents horizons, du capital risque au secteur des médias, des références académiques ou caritative, telles Jean-Jacques Dordain, ancien directeur de l’Agence Spatiale Européenne, Chanda Gonzales (Google Lunar XPrize), Taig Khris, triple champion de skate et entrepreneur, Jelena Djokovic, directrice de la Novak Djokovic Fouundation , Olivier Schaack,  Creative de Director Canal +, Paul Helminger, chaiman of the Board de Luxair, Philippe Pouletty, sommité mondiale en biotechnologies  et dirigeant de Truffle Capital , ou encore Vaclav Smil, polymath et auteur préféré de Bill Gates, en provenance de l’Université de Manitoba au Canada.

    Pour plus d’information ou inscriptions :
    Fabien Amoretti, fabien@morpheuscup.com
    Web : http://www.morpheuscup.com
    Twitter : @MorpheusCup
    facebook : https://www.facebook.com/MorpheusCup

  • Monamphi.com, le 1er site de partage de cours entre étudiants

    Monamphi.com, le 1er site de partage de cours entre étudiants

    Le site propose une plateforme de partage de cours totalement unique avec plus de 30 000 cours en accès gratuit !

    monamphicom_220316

    Ce sont les étudiants qui mettent en commun leurs travaux personnels et prises de note. Bientôt les enseignants pourront directement poster leurs cours sur le site.

    On y trouve une grande variété de discipline : des classiques, comme l’éco, la médecine, le droit, l’histoire, la littérature, les mathématiques, la chimie, la physique, la bio…mais aussi des disciplines plus pointues et moins connues : l’ethnologie, l’archéologie, la théorie du sport, l’océanographie ou encore la psychologie de l’enfant…

    A ce jour, Monamphi.com réalise déjà plus de 1,5 millions de pages vues par mois.

    Sa grande spécificité ? Les membres n’y sont pas anonymes. On dit qu’ils sont “certifiés”.  Etudiants et Lycéens doivent charger une attestation scolaire (photo de leur carte d’étudiant ou certificat de scolarité) et renseigner leurs coordonnées… l’affaire d’une minute. Toutes ces informations restent confidentielles et permettent la création d’un statut innovant.

    Résultat : les membres évoluent en toute confiance sur le site.

    Monamphi a l’ambition de “redonner du pouvoir d’achat aux étudiants”. Le site attribue des bourses d’étude ! Les lycéens de terminale peuvent gagner 10 bourses de 2 000 euros en répondant à des quiz de culture générale. La sécurité sociale et mutuelle étudiante, la SMEREP parraine l’opération. De leur côté, les étudiants peuvent tenter de gagner 10 bourses de 5 000 euros en devenant membres actifs du site.

    Concrètement, le site offre aussi de nombreux lots pour les mordus de quizz et de jeux (places de concerts ou de festival, resto gratuits, formation scolaire…). Tous ces lots sont négociés avec des partenaires, comme la SMEREP, Roland Garros, le Sziget Festival, les Déferlantes, le Corso Bibliothèque … ou directement achetés par la société.

    Conclusion : Monamphi, c’est un peu le partenaire loisir et scolaire des étudiants.

    Sans oublier la devise de Monamphi : Partage et Communauté !

    Verbatim

    S., étudiante en Droit à Reims : « En fait Monamphi est juste génial, il y a une véritable entraide et une bonne ambiance avec des étudiants qu’on ne connait même pas. Tout le monde se soutient comme une petite famille. J’adore *-* ».

    M.B., étudiante en psycho à Metz : « Un grand merci aux étudiants en psychologie présents sur MonAmphi qui partagent leurs cours ! J’ai complété mes fiches avec des informations que j’ai pu trouver dans certains cours et je pense qu’une partie de ma réussite ce semestre est grâce à vous.

    Des explications, des exemples plus clairs, des approches/auteurs différents qui m’ont permis d’aller plus loin que ce qui est attendu par les professeurs.

    Et évidemment, un gros gros gros merci à l’équipe MonAmphi qui rend tout cela possible ».

    D.R., étudiant en robotique à Toulouse : « Monamphi sait redonner la vrai valeur de social dans le mot RESEAU SOCIAL ».

    M., étudiante en lettres à Lyon : « C’est un super site où règne la bonne humeur, la solidarité et pas mal d’humour aussi. Tout le monde partage que ce soit les cours, les recettes de cuisine, la musique… En fait, ce site devient vite addictif parce qu’il nous permet de rencontrer beaucoup de personnes de cours d’horizons différents et même de participer à des concours à la clef. On peut y partager nos galère, nos envie et trouver du soutien. C’est rare de voir un site ou un forum sans aucune attitude ou parole négative et ça, c’est vraiment très appréciable ! On forme une grande communauté paisible et ça n’a pas de prix ».

  • #DraftandCraft : festival du #Design et du #Digital

    #DraftandCraft : festival du #Design et du #Digital

    Pendant deux jours, le Festival Draft and Craft offrira la possibilité de participer à des conférences d’experts, des ateliers interactifs et des animations liés aux produits et services de demain. L’initiative comprend deux autres temps forts :

    la réalisation et la mise en ligne d’une web série d’interviews sur le thème du futur et un Boot Camp qui réunira les étudiants d’Audencia et les professionnels autour de l’entrepreneuriat innovant.

    Selon les étudiants organisateurs, « le thème du futur pose beaucoup de questions, notamment sur la place de l’innovation dans notre quotidien, demain. En tant que futurs acteurs de l’innovation, du marketing digital et du design, nous voulons apporter quelques éléments de réponses ». En amont du festival Draft & Craft, une web série de 7 interviews ouvre la réflexion sur le Futur. Disponibles sur les comptes de réseaux sociaux de l’événement, cette web série a permis aux étudiants de poser aux personnes de tout âge et profil des questions telles que : « Qu’est-ce qu’on mangera dans 100 ans ? », « Comment rencontrera-t-on l’âme sœur ? », « Aura-t-on un président fictif ? ». Les premiers épisodes sont déjà en ligne.

    Les jeudi 3 et vendredi 4 mars a lieu le Boot Camp où 100 étudiants aux compétences hybrides des masters Stratégies Marketing à l’Ere Digitale (SMED) et Marketing Design et Création (MDC), encadrés par des « mentors » professionnels, travailleront en équipes sur différentes problématiques apportées par une dizaine de start-up et entreprises partenaires, telles que Bla Bla Car, Dooloo ou Eram.

    Ils seront ainsi amenés à relever les défis auxquels font face tous les projets de création d’entreprise : développer son projet, matérialiser son idée, et la « pitcher ». Des professionnels de divers horizons (designers, entrepreneurs, consultants en innovation, enseignants, business angels) apporteront leur soutien à tous les niveaux, de la construction d’un business model, jusqu’à la conception d’une stratégie de marketing et de communication.

    Partager sa vision du futur : le Festival Draft & Craft donne la parole au grand public

    Les 4 et 5 mars, les nantais sont attendus sur le campus d’Audencia pour participer à des conférences, des démonstrations de produits et services innovants, des ateliers interactifs, dans le cadre d’une réflexion collective autour de 4 grandes thématiques : les loisirs, la santé et le bien-être, la ville du futur et la société de demain.

    Pour l’occasion, les locaux d’Audencia se transforment en village composé de quatre quartiers dédiés à ces quatre thèmes phares.

    Durant ces 2 jours, de nombreuses activités seront proposées aux visiteurs :

    Des conférences et conférences-débats pour comprendre les grands enjeux du futur sur des sujets tels que la médecine de demain, le développement des smart city ou encore les objets connectés.

    Parmi les conférenciers, Alain Damasio, grand auteur de science-fiction, Julien Dossier, fondateur de QuattroLibri ou encore Natacha Robert, Co-fondatrice d’Izicrea.

    Des ateliers interactifs et workshops pour « bricoler » le futur. Différentes sessions sont prévues pendant les 2 jours constituées en groupes de 10 à 20 personnes encadrées par des professionnels et des animateurs.
    Des animations de stand d’entreprises innovantes et des démonstrations de produits dans chacun des quatre quartiers thématiques allant de présentations d’applications mobiles à la dégustation d’insectes.

    Une grande masterclass sur le sujet du rapport aux hommes avec la technologie, animée par une personnalité.

    De quoi Draft & Craft est-il le nom ?

    draftandcraftAudencia_010316Draft & Craft encourage les participants à découvrir et expérimenter les tendances de l’innovation, à imaginer l’avenir (« draft »), à donner vie aux idées originales (« craft ») et partager ainsi des visions inédites du Futur.

    Draft & Craft renvoie à trois domaines : une méthode pédagogique qui stimule la créativité, des projets expérimentaux avec des entreprises et la mise en œuvre de l’une des expertises fortes d’Audencia : l’innovation. La démarche RSE, pilier pédagogique clé d’Audencia est aussi bien présente puisqu’il s’agit, aux côtés de la génération à qui appartiendra l’avenir, d’impliquer la communauté de l’école, ainsi que tous les acteurs de l’innovation dans la co-construction de la société de demain.

    Enfin, la variété des profils des étudiants impliqués et les diverses thématiques proposées mettent l’accent sur les compétences hybrides qu’Audencia Business School souhaite renforcer par le biais de son Alliance avec l’École Centrale de Nantes et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture (ensa Nantes).

    Plus d’infos :
    Draft&Craft online Site internet : http://draft-and-craft.audencia.com/
    Inscriptions gratuites au Festival : http://draft-and-craft.audencia.com/billeterie/
    Facebook : https://www.facebook.com/draftandcraft/
    YouTube : https://www.youtube.com/channel/UC9f4mdlosw-tF4gDMdfpYeA
    Twitter : @DraftAndCraft ; #DraftandCraft

  • Lancement de CLASS’CODE : initier les jeunes aux fondamentaux du numérique

    Lancement de CLASS’CODE : initier les jeunes aux fondamentaux du numérique

    Class’Code a l’ambition d’initier les jeunes de 8 à 14 ans à la pensée informatique en s’appuyant sur un parcours de formation libre et innovant destiné aux professionnels de l’éducation, enseignants et animateurs et aux informaticiens.

    Class’Code sera en place à la rentrée 2016 dans l’Education Nationale.

    L’objectif de Class’Code est de répondre au besoin de formation les professionnels de l’éducation, de leur apporter une compétence nouvelle et l’opportunité d’intervenir aux côtés d’animateurs pour partager leurs métiers liés à l’informatique.

    Il permet également  aux jeunes de comprendre le numérique, le maîtriser et en partager les fondements.

    Le parcours Class’Code pour les intervenants

    La formation Class’Code en ligne est simple d’utilisation, elle comporte 5 modules, sur un MOOC, pour s’initier à la pensée informatique et savoir la transmettre aux jeunes, pour débuter à programmer afin d’intégrer les fondements et les concepts clefs du numérique, et les enjeux sociétaux.

    Ces modules sont couplés à des temps de rencontres entre des professionnels de l’éducation et de l’informatique,
    pour apporter un accompagnement et un partage de bonnes pratiques. Chaque module comprend une dizaine d’heures réparties sur 3 à 4 semaines, permettant d’animer des premiers ateliers de découverte avec les jeunes, dans les temps péri ou extra scolaires : programmation créative, codage de l’information, robotique ludique et enjeux sociétaux liés à l’informatique.

    Class’Code aide les jeunes  à :
    ·         Comprendre le monde numérique dans lequel on vit
    ·         Disposer de nouvelles façons de créer des objets numériques
    ·         Maîtriser les usages, au-delà d’un simple mode d’emploi
    ·         Dépasser les dangers de ce que nous ne comprenons pas dans le numérique
    ·         Découvrir les métiers du numérique de demain

    Une expérience pilote est actuellement conduite en Provence Alpes Côte D’Azur et en Pays de la Loire, avec le soutien de la région.

    Plus d’infos :
    Sites d’information sur Class’Code : https://classcode.fr  et www.assopascaline.fr

    Les partenaires de Class’Code :
    Les mondes scolaires et périscolaires, les milieux industriel et académique, et ceux qui s’intéressent aux aspects techniques
    et sociétaux du numérique, se retrouvent au sein du projet Class’Code pour se former et échanger.

    Ce projet est soutenu par les associations professionnelles de l’informatique et des réseaux d’éducation réunis par la SIF.
    Il est porté par l’INRIA, Institut public de recherche en sciences du numérique. Les start-up Magic Makers
    et Open Classrooms qui en assurent respectivement la direction pédagogique et la production.

    Class’ Code fait partie du plan d’investissement d’avenir opéré par la Caisse des dépôts. Le déploiement sur les territoires s’effectue sous l’impulsion de l’Association « Les Petits Débrouillards », réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science.

  • L’ENT premier degré « ALIENOR » au musée

    L’ENT premier degré « ALIENOR » au musée

    « Lors de l’atelier que j’ai présenté aux côtés d’Elodie Labarrère, Animatrice numérique à la DSDEN Pau Ouest, nous avons présenté un projet pédagogique autour d’une visite du musée national du château de Pau pour montrer qu’il est possible de préparer une visite au château en utilisant l’ENT ».

    Pendant la visite, les enseignants et les élèves prennent des photos et des notes ; de retour en classe, ils déposent les photos sur l’ENT ; « ils peuvent aussi compléter une fiche sur l’histoire des arts avec, par exemple, des informations sur l’auteur ».

    L’objectif est d’écrire un article sur le blog de l’ENT afin que les parents puissent découvrir la sortie culturelle réalisée par leurs enfants.

    Ce stage de formation autour de l’exemple du musée a eu pour but de faire découvrir aux enseignants tous les modules de l’ENT : la messagerie, la médiathèque pour déposer des documents, le blog pour écrire des articles ou encore le mini-site qui permet de créer des pages pour rendre publique certains contenus (pour les parents, les grands-parents qui n’ont pas de code d’accès à l’ENT).

    L’ENT ALIENOR a débuté en 2013 avec une soixantaine d’écoles ; aujourd’hui, 240 écoles l’utilisent sur un total de 500 écoles environ.

    Plus d’infos sur l’ENT ALIENOR :
    sur le site web.ac-bordeaux.fr/dsden64

    Revoir le reportage de Ludomag sur ce sujet

     

     

  • Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    La ville de Poitiers compte 45 écoles dont 24 écoles maternelles et 21 élémentaires soit 6200 élèves ; ces chiffres sont en constante progression.

    « Nous n’avions pas vraiment de plan numérique au départ et nous affichions un léger retard ».

    La ville de Poitiers a donc réagi face à ce retard ; depuis 2010, elle s’est lancée dans un projet éducatif global dans lequel le numérique est intégré.
    En premier lieu, elle a investi dans les Tableaux Numériques Interactifs avec un TNI par école, « aussi parce qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup d’enseignants volontaires, car la formation n’était pas acquise pour eux à ce moment-là ».

    Passée cette première étape de « mise en route », la ville de Poitiers a établi un partenariat avec l’éducation nationale et a réorienté ses choix.

    Il n’était pas question d’investir l’argent public dans du matériel qui ne serait pas utilisé c’est pourquoi nous nous sommes rapprochés tout naturellement de l’éducation nationale.

    Aujourd’hui, tous les enseignants qui souhaitent utiliser le matériel, reçoivent une formation ; et le partenariat va plus loin puisque le réseau Canopé y est aujourd’hui associé pour les contenus, entre autres.

    Malgré la bonne volonté affichée de la ville de Poitiers de « faire entrer le numérique dans leurs écoles », il reste encore un frein au développement, comme l’explique Laurence Vallois-Rouet :

    « Nos écoles ne sont pas encore toutes câblées et nous avons établi un plan pluriannuel pour pallier à cette contrainte d’ordre technique, mais aussi d’ordre financier ». En effet, les installations techniques font partie des investissements les plus importants à réaliser.

    Aujourd’hui, 14 écoles sur 45 sont équipées et le personnel du service éducation assure la maintenance.

    Avec l’objectif de développement que la ville envisage, un nouvel enjeu sera d’embaucher d’autres personnels pour assurer cette maintenance.

    La ville de Poitiers ne s’engage pas de manière passive sur les projets numériques et ses élus ont conscience qu’il faut suivre les évolutions.

    « Aujourd’hui, nous avons fait le choix de mettre à disposition des chariots mobiles dans les écoles élémentaires ; si demain nous sommes sollicités pour mettre des tablettes, nous pourrons l’envisager ».

    Pour suivre ces évolutions, la commune a mis en place un comité de pilotage qui se réunit deux fois par an et qui est composé de la communauté éducative (IEN, parents d’élèves, techniciens informatique et éducation de la ville etc) ; d’autre part, un comité technique se charge d’évaluer dans le temps les dispositifs mis en place par la municipalité.

    Les parents d’élèves ne sont pas oubliés et la mairie reçoit leurs représentants trois fois par an pour évoquer les projets dont le numérique fait partie. Et, au-delà de ces rencontres, la ville de Poitiers a également fait le choix des ENT pour ses écoles « car le lien avec la famille nous paraissait important ».

    La continuité éducative en dehors du temps scolaire est de notre compétence ; et donc permettre à des familles de s’approprier la scolarité de leurs enfants nous semblait essentiel.

    Laurence Vallois-Rouet est bien de ceux qui croient que les jeunes ont des facilités avec le numérique mais pour elle, c’est dans les familles que la fracture numérique est présente.
    « Il faut aussi éduquer les parents à ce qu’est l’outil informatique et ce qu’est le numérique ».

    Dans sa stratégie de développement du numérique dans les écoles, la ville de Poitiers entend bien impliquer l’ensemble de la communauté éducative.

     

  • English for schools lance un concours de classe

    English for schools lance un concours de classe

    englishforschools_concours_271015

    Thématique

    Chaque classe participante devra créer un web-reportage (travail autour de la vidéo) ou un diaporama sonorisé (travail autour de la photo) d’une durée de 1 à 3 minutes, en anglais. Le sujet pourra être la présentation de la classe (un projet spécifique, une organisation particulière, un élément insolite, etc.) ou des élèves (talents artistiques, sportifs, etc.).

    Trois lots viendront récompenser les meilleures réalisations mais aussi les plus originales, en juin 2016, avec notamment un séjour de deux jours au Parc du Futuroscope (premier prix).

    Objectifs pédagogiques

    Le concours est pensé comme un support de cours qui permet d’aborder différents points de grammaire et de communication du niveau A1 de langues vivantes. Il permet notamment aux enseignants de :

    • travailler avec leurs élèves les notions de présentation, de description (« se présenter », « parler de soi », « parler de son environnement quotidien », « décrire un lieu »),
    • mettre en place un projet de classe TICE (dans le cadre de la validation des compétences B2i par exemple),
    • allier arts créatifs, numérique et langues dans un même projet.

    Les ressources mises en ligne sur le site English for Schools permettent d’aborder toutes ces notions.

    Plus d’infos :

    English for Schools est un dispositif en ligne du CNED pour l’apprentissage de l’anglais conçu pour les élèves et les enseignants de primaire. Plus de 20 000 enseignants utilisent déjà ce dispositif depuis son lancement en octobre 2013.

    L’univers Kids offre une approche originale, ludique et interactive faisant appel à des ressources du web anglophones. L’univers Teachers est un espace virtuel de travail et d’échanges pour faciliter la préparation des cours d’anglais avec des critères pédagogiques sur les ressources, des suggestions d’utilisation en classe et des outils de mutualisation des pratiques.
    L’outil Ma Classe permet aux enseignants de choisir, parmi un fond de plus de 600 ressources, la ressource la plus appropriée pour chaque élève, à un moment de sa découverte ou de son apprentissage de l’anglais, et d’individualiser leur enseignement selon les besoins pédagogiques et les intérêts des élèves.

    Liens utiles :