Étiquette : Écoles SUP

  • L’EPITA, acteur majeur contre la cybercriminalité

    L’EPITA, acteur majeur contre la cybercriminalité

    Pour cette nouvelle édition du FIC, Forum International de la Cybersécurité, les 24 et 25 janvier 2017,  le challenge organisé par l’EPITA a rencontré un franc succès. L’épreuve a rassemblé deux fois plus de candidats par rapport à l’an passé, soit plus de 30 équipes participantes comptant 150 profils étudiants ou professionnels.

    Au Forum International de la Cybersécurité, le challenge EPITA a réuni plus de 150 participants !

    Passionnés par les métiers liés au forensic (investigations numériques) et à la lutte informatique défensive, tous s’étaient donné rendez-vous pour participer au plus important challenge de France en la matière.

    Cette réussite marque non seulement le plein essor du marché de la cybersécurité mais aussi l’engagement fort de l’école dans cet univers en constante évolution, à la recherche perpétuelle de nouveaux talents qui feront de demain un monde plus sûr.

    Ce 25 janvier, les concurrents avaient pour objectif de résoudre en 4 heures un maximum d’exercices d’analyse forensic dans douze thématiques différentes (virologie, outils de production, Android, Tor, DDOS, phishing, etc.). Ces exercices ont été développés par les étudiants de la Majeure SRS de l’EPITA dans le cadre de leur projet de fin d’année.

    Chargés de concevoir, préparer des scénarios et réaliser les attaques en laboratoire, puis d’en extraire des faisceaux d’indice afin de concevoir un challenge d’analyse post-mortem, les étudiants ont pu compter sur l’accompagnement du capitaine de réserve (RC) Sébastien Bombal, responsable de la Majeure, et de Pierre-Olivier Mercier (EPITA promo 2014), ingénieur R&D à Qarnot Computing et enseignant auprès des EPITéens.

    Cette année le 1er prix a été remis à l’équipe Claranet, composée de Maxence Dunnewind, Christopher Amiaud et James Allardice. En haut du podium, elle a su résoudre un maximum des challenges d’investigations numériques lors du FIC.

  • #Twittconte, et si les personnages de contes étaient sur Twitter ?

    #Twittconte, et si les personnages de contes étaient sur Twitter ?

    Par Régis Forgione et Bruno Mallet
    Twittconte_150116

    Comment interagissent-ils entre-eux ? Que (se) racontent-ils ?  Comment vivent-ils l’histoire “de l’intérieur” ?

    C’est à ce type de questionnement que se frottent les élèves quand ils élaborent un Twittconte. L’argument du projet tient en une phrase : et si les personnages de contes traditionnels avaient un smartphone et un compte Twitter ?

    Une histoire en temps réel et en direct sur Twitter

    Il s’agit de de faire (ré)écrire un conte en adoptant le point de vue des personnages, en se mettant littéralement dans leur peau via leur compte Twitter, et en les faisant dialoguer à plusieurs voix.  Avec une contrainte qui donne tout son sel au projet :

    l’histoire se déroule en temps réel et en direct sur Twitter, le tout concentré sur un ou deux jours.

    Les personnages étant répartis entre différentes classes, leurs réactions ne sont pas connues à l’avance. Ainsi le conte « s’élabore, se modèle et se remodèle en même temps qu’il se transmet »*.

    Le format contraint (140 caractères) et social (interactif) de Twitter est bien adapté à cette forme d’oralité-écrite du conte traditionnel.

    Même si la structure du conte original est plus ou moins respectée, répondre au commentaire imprévu d’un personnage demande une certaine dose d’adaptativité et de créativité de la part des élèves. Le résultat est d’autant plus riche et surprenant que la phase préparatoire d’écriture a été développée.

    En effet, la plupart des tweets sont écrits en amont et disposés sur une Timeline pour le jour de publication. Plus les élèves auront fait leurs gammes, plus ils seront à l’aise pour improviser sur le thème le jour J, à la manière d’une improvisation théâtrale.

    Au final, il s’écrit une oeuvre collective à plusieurs classes, qui mêle écriture réfléchie et instantanéité.  L’année dernière nos classes de @CM1_Fenez77 et @CM2_CHAPELLE ont réalisé le premier Twittconte à lire ici Le Petit Chaperon Rouge.  Et le mois dernier l’aventure a repris en réécrivant  Petit Poucet !

    Derrière le rideau

    TwittconteHP_150116La publication sur Twitter constitue le “chef d’oeuvre” des élèves mais elle n’est que la partie visible de l’iceberg. Outre les séances de travail sur l’orthographe, la grammaire et la rédaction, c’est un projet de plusieurs semaines qui demande de :

    – lire des contes (de typologies et d’origines diverses)
    – en tirer les invariants et composantes (les personnages, la quête, les adjuvants…)
    – comprendre le schéma narratif et comment il s’applique
    – s’approprier finement le conte qui sera le support du #Twittconte (en lire différentes versions, des versions détournées…)
    – apprendre à adopter le point de vue d’un personnage
    – réfléchir aux interactions (possibles ou pas) entre les personnages
    – envisager différentes pistes d’écriture (réajustements et enrichissements)
    – réfléchir et intégrer les codes d’écriture d’aujourd’hui (usage des balises Twitter ou des  émoticones par exemple…)

    À ce propos, Twittconte intègre cette année les projets Savanturiers pour se mettre en relation avec un chercheur en littéracie afin d’en élargir et renforcer les fondements didactiques.

    Twittconte comporte également un large volet arts visuels. Les élèves ont fait des sorties en forêt pour repérer des lieux et y photographier certaines scènes. D’autres, ne pouvant quitter l’école ont appris à rechercher des photos sur Internet. Ils ont également apporté des objets et arrangé des décors pour reconstituer des scènes d’intérieur, à la manière d’une pièce de théâtre.

    Vous aussi devenez Twittconteur !

    Pour faciliter l’intégration du projet #Twittconte par les collègues nous prenons en charge des aspects techniques (création des comptes Twitter des personnages, mise en relation des twittclasses, profils illustrés des personnages…). Le cadre est assez souple pour que chacun puisse s’en emparer et l’enrichir, des maternelles aux collégiens.

    Pourquoi pas un Twittconte en maternelle via dictée à l’adulte ?

    L’idéal serait qu’au fur et à mesure se dessine un univers, que les comptes Twitter des personnages puissent servir à d’autres classes d’année en année.  On peut supposer que les psychologies des personnages soient très différentes selon le niveau de la classe qui se cache derrière…

    D’ailleurs il y a quelques jours les classes d’Aurélie Letellier et Marie-Andrée Kacimi (@cm2d_laclasse et @ADMCE2) ont écrit un nouvelle version du Chaperon Rouge bien différent de la première ! Pourquoi pas imaginer des détournements et des croisements de contes par la suite : quand le Chaperon Rouge rencontre Hansel et Gretel…

    Sans trop en dévoiler on nous chuchote à l’oreille que Yannick Choulet @quiritcurie et Sandrine Descombes @cm2clachapelle préparent un Twittconte dont les profils des personnages ont été concoctés par le dessinateur de presse et illustrateur de jeunesse Christian Creseveur, restez à l’écoute !

    Plus d’infos :
    Pour participer au projet #Twittconte faites-vous connaître via le document de participation Twittconte.
    Et n’hésitez pas à vous abonner à @Twitt_contes pour être informé des prochaines productions.

    *André Jolles, Formes simples, Seuil

     

                                

     

  • Un prix Territoria d’Or récompense la Ville d’Elancourt pour son école numérique

    Un prix Territoria d’Or récompense la Ville d’Elancourt pour son école numérique

    Jean-Michel FOURGOUS, Maire d’Elancourt, a reçu mercredi 23 novembre 2016, le prix Territoria d’Or pour son école numérique.

    Docteur en psychologie sociale, Jean-Michel FOURGOUS a beaucoup travaillé, comme chercheur au CNRS et à l’Education nationale, sur l’amélioration de la pédagogie et la lutte contre l’échec scolaire. Il est l’auteur de deux rapports parlementaires sur le numérique à l’école.

    Le prestigieux prix Territoria d’Or vient récompenser les résultats de plus dix années de réflexion et de travail au service de l’innovation et du développement du numérique à l’école.

    Le Maire d’Elancourt, Jean-Michel FOURGOUS, a fait il y a 10 ans un pari visionnaire et audacieux : lutter contre l’échec scolaire grâce au numérique.

    « Alors qu’on les pensait inconciliables, j’ai voulu allié l’école et l’innovation. Notre expérience numérique a démontré à quel point les deux sont, au contraire, parfaitement complémentaires. », déclare Jean-Michel FOURGOUS.

    Cette politique éducative est devenue la priorité de la Ville d’Elancourt. Nous voulions bâtir une école du futur qui lutte concrètement contre les inégalités et qui remette tous nos élèves sur le chemin de la réussite scolaire.

    [info]Aujourd’hui, l’école numérique à Elancourt, c’est :
    2500 tablettes numériques, de la maternelle au collège
    100 % des classes équipées en tableaux numériques
    50 robots (Nao et Thymio) pour apprendre à programmer
    700 élèves bénéficient de visio-conférences en anglais[/info]

    La culture numérique des enfants d’Elancourt est bien supérieure à la moyenne nationale. Cette appropriation et cette maîtrise de l’outil numérique sont une véritable chance qui facilitera leur intégration dans le monde professionnel de demain.

    La Ville d’Elancourt poursuit sans relâche sa politique numérique pionnière au service de l’excellence dans nos écoles. Cette politique volontariste a fait d’Elancourt un véritable laboratoire pour l’Education nationale.

    « Nous pouvons être fiers de ce prix Territoria d’Or 2016, 23ème récompense au palmarès d’Elancourt. »

     Source : ville d’Elancourt

  • Journée Portes Ouvertes samedi 03 déc : bien choisir son école, c’est aussi la rencontrer !

    Journée Portes Ouvertes samedi 03 déc : bien choisir son école, c’est aussi la rencontrer !

    Futurs étudiants et parents, profitez de notre Journée Portes Ouvertes sur le Campus Descartes pour rencontrer et échanger avec des enseignants-chercheurs, le personnel administratif et les étudiants de ESIEE Paris*. Cette journée est l’occasion de découvrir les enseignements, le métier d’ingénieur, la salle de réalité virtuelle et les locaux à l’architecture futuriste.

    Vous aurez aussi l’occasion de voir le système de capteurs développé par ESIEE Paris, le laboratoire ESYCOM et la société Bodycap pour la mesure de l’onde de pouls, qui est parti pour la Station Spatiale Internationale (ISS) en octobre 2016. Ces capteurs seront utilisés par l’astronaute Thomas Pesquet.

    Au programme de la JPO :

    Visites guidées du bâtiment et des laboratoires (informatique, salle de réalité virtuelle, systèmes embarqués, systèmes électroniques…) avec les élèves. Démonstrations techniques par les enseignants-chercheurs.

    Informations sur les filières, le premier cycle, les échanges à l’international, renseignements pratiques sur les procédures d’admission, le logement, les bourses…

    Découverte de la vie associative, des débouchés avec des anciens élèves et des entreprises partenaires.
    Une présentation générale aura lieu en début de chaque heure.

    L’école propose un cursus intégré en 5 ans directement après le bac ou l’entrée en cycle ingénieur pour 3 ans après un bac+2.

    En cycle ingénieur, ESIEE Paris offre 8 filières classiques :
    Informatique – Systèmes d’information – Data et réseaux – Systèmes embarqués – Systèmes électroniques – Génie industriel – Biotechnologies et e-santé – Energie.

    Ainsi que 4 filières en apprentissage :
    Réseaux et sécurité – Informatique et applications – Systèmes embarqués – Génie industriel.

    Plus d’infos :
    Samedi 3 décembre 2016 de 13 h à 18 h
    Campus Descartes

  • AB3DLabs lance l’application qui vous emmène de la 2D à la 3D à l’impression 3D

    AB3DLabs lance l’application qui vous emmène de la 2D à la 3D à l’impression 3D

    A l’occasion du salon Educatec-Educatice 2016, Ludomag a reçu sur son stand Khalaid Ali, de la société ABLabs.

    AB3DLabs ne doit pas être la seule à croire que la modélisation et l’impression 3D vont fleurir dans la culture dominante et que des outils accessibles pour la masse vont apparaitre. Aujourd’hui, ce n’est plus une pensée mais une réalité !

    AB3Dlabs a brisé la complexité de la technologie 3D pour la rendre à la portée d’un enfant de 4 ans. La créativité n’est désormais plus réservée aux experts, mais elle est à la portée de tout un chacun.

    Pour utiliser ce logiciel, il n’existe aucun prérequis. Il est possible de laisser libre court à son imagination dès la première utilisation. Le potentiel éducatif de ce logiciel est extraordinaire, en ce sens qu’il permet d’enseigner de manière ludique la notion de 3D.

    Observez cet enfant de 4 ans qui modélise une pièce de son jouet de train en utilisant AB3DBasic.

    Notre logiciel développé avec un nouveau langage peut être installé sur tous les appareils Windows, Android, iOS ou OS X.

    L’atout majeur de notre produit est la création d’une application sur smartphone, qui permet à l’instant où vous avez une idée, de l’ouvrir et après 5 minutes d’apprentissage vous êtes opérationnels pour libérer votre créativité et modéliser. Après avoir laissé votre créativité s’exprimer, il vous suffira d’un clic pour lancer l’impression de votre conception.

    En plus du logiciel, nous avons développé une plateforme éducative SimEdu qui accompagne les tous petits ainsi que les adultes, afin de leur permettre d’évoluer et d’acquérir les compétences nécessaires pour faire des formes de plus en plus complexes.

    Diverses écoles à travers le monde souhaitent concevoir un programme d’études autour de l’impression 3D et la conception 3D avec FabLabs, malheureusement ils sont confrontés à des logiciels 3D trop complexes. AB3Dlabs offre maintenant une plateforme éducative pour tous et a déjà compilé son premier module de cours d’éducation pour les trois premières années de l’école primaire.

    Plus d’infos :
    n’hésitez pas à aller sur www.AB3dlabs.com, ou nous contacter sur edu@ab3dlabs.com. Ne perdez plus de temps et venez libérer votre imagination avec nous.

  • « Bouge ta cl@sse ! »

    « Bouge ta cl@sse ! »

    Le projet « Bouge ta cl@sse ! » initié conjointement par la Ville d’Elancourt, la Délégation au Numérique Educatif de l’Académie de Versailles et la circonscription d’Elancourt, se déploie dès cette rentrée scolaire dans six écoles élémentaires de la Ville et complète ainsi le dispositif numérique qui affiche d’ores et déjà un bilan positif.

    Ces espaces pédagogiques innovants, imaginés par les enseignants, repensent totalement l’ergonomie des salles de classe avec l’utilisation des outils pédagogiques numériques déployés depuis 10 ans à Elancourt, ville pilote de l’école numérique.

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    Grâce à « Bouge ta cl@sse ! », des espaces adaptés et flexibles permettent ainsi aux enfants d’apprendre autrement : Pédagogie individualisée grâce aux 2400 tablettes numériques, espaces dédiés pour apprendre à coder sur robots dès la maternelle, sciences collaboratives grâce au TNI, visio-conférence en anglais en petits groupes.

    Ces classes du 21ème siècle ouvrent de nouvelles voies pour une meilleure assimilation des savoirs et optimise les outils numériques utilisés depuis de nombreuses années à Elancourt.

    Apprendre debout, allongé, assis au sol est désormais possible grâce à un environnement scolaire totalement repensé grâce à de nouvelles pratiques pédagogiques.

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    Complété par l’ENT déployé dans toutes les écoles et notre dispositif de soutien scolaire en ligne embarqué sur les tablettes, cet écosystème place les petits élancourtois au cœur d’un environnement stimulant et adapté pour réussir dans les meilleures conditions.

     

     

     

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  • Un séminaire d’une journée dédié aux collectivités locales à Ludovia#13

    Un séminaire d’une journée dédié aux collectivités locales à Ludovia#13

    Au cours des quatre jours de l’université d’été de Ludovia#13, et pour sa 8ème édition, un séminaire sur « L’établissement du XXIème siècle et numérique », étudié et validé avec les collectivités locales , aura lieu le mercredi 24 août à Ax-les-thermes

    Problématique du séminaire 2016

    Le numérique est utilisé depuis de nombreuses années dans les établissements scolaires dans tous les niveaux. La pratique est plus ou moins évoluée selon les établissements : Dans tous les cas, les collectivités ont répondu présent, pour la plupart, en matière d’équipement, de réseaux et d’adaptation aux besoins des enseignants et des programmes successifs initiés par le Ministère de l’éducation Nationale.

    Le dernier Plan Numérique et les appels à projets imposent une autre dimension : dans certains cas la réponse aux besoins ne doit plus se contenter d’être une réponse partielle qui s’adresse à un nombre restreint d’élèves et d’enseignants dans l’établissement, mais une réponse devant couvrir les besoins de tous les enseignants ou d’un niveau entier (la 5ème en outre) sur l’établissement. Quel impact sur les réseaux, la gestion et la maintenance des parcs de machines, les achats, le choix et les propositions durables apportées par la collectivité. Quid de la gestion des compétences ?

    Dans ce contexte, la ruralité, les zones de montagne et l’isolement géographiques des établissement sont aussi au cœur des problématiques liées au numérique ; ces établissements et avec elles les collectivités peuvent-elles répondre aux enjeux de généralisation et de massification des usages ? Quelles contraintes ? Quelles organisation et initiatives peuvent-elles mette en œuvre pour assurer un service équitable de l’éducation sur son territoire ?

    Ce séminaire qui aura pour vocation pour sa 8ème édition de réunir collectivités et établissements ayant déjà expérimenté le numérique dans leurs établissements du premier degré aux lycées se déroulera sur 2 journées en 3 sessions qui permettront par des analyses approfondies d’études de cas de mesurer quelles solutions, méthodes ont été mises en œuvre pour gérer la massification des besoins.

    Nota : Chaque session débute par une table ronde, elle est ensuite suivie de 1 ou 2 études de cas sur des territoires ou un établissement particulier.

    Des intervenants de qualité et d’horizons variés

    Du lycée de Font-Romeu avec le sujet du « numérique et sportifs de haut niveau », en passant par l’organisme le SMICA en Aveyron ou par la présence de la Région Nouvelle Aquitaine ou encore le déploiement de tablettes dans les collèges ariégeois, ce sont plusieurs témoignages et études de cas qui vont animer le débat et les réflexions des participants.

    L’animation de cette journée sera animée par Serge Pouts-Lajus du cabinet « Education & Territoires », avec le concours de Ludomag.com.

    Plus d’infos  : rendez-vous sur le programme en ligne

    Crédit photo : Dessin réalisé par CIRE

     

  • « 1, 2, 3… codez ! » Un guide pédagogique pour enseigner la science informatique

    « 1, 2, 3… codez ! » Un guide pédagogique pour enseigner la science informatique

    La Fondation La main à la pâte lance son nouveau projet pédagogique « 1, 2, 3… codez ! ». Cet ambitieux projet vise à initier élèves et enseignants à la science informatique, de la maternelle à la classe de 6e.

    Développé avec l’aide de la communauté scientifique, en particulier Inria, il constitue la première progression pédagogique « clés en mains » disponible pour préparer les professeurs des écoles à l’entrée de la science informatique dans les programmes scolaires en septembre 2016.

    « 1, 2, 3… codez ! » s’appuie sur un guide pédagogique publié aux éditions Le Pommier, qui sera diffusé gratuitement à 10 000 enseignants.

    COUV_123CodezComment préparer les enfants au monde numérique qui les entoure ? Comment les aider à ne plus être simples consommateurs d’outils utilisés comme des « boîtes noires » dont ils ignorent tout du fonctionnement ? Pour devenir acteur du numérique, il est nécessaire de s’approprier les concepts d’algorithme, de langage informatique, ou encore de traitement d’information. Ces notions sont propres à l’informatique en tant que science qui, loin de se résumer à la programmation, a son histoire, ses méthodes et ses savoirs.

    Pour aider les professeurs dans cet enseignement qui entre dans les programmes à la prochaine rentrée, la Fondation La main à la pâte a conçu ce guide pédagogique « clés en mains », c’est-à-dire suffisamment détaillé pour être abordable par tout enseignant, qu’il soit familier ou non avec l’informatique.

    Le guide propose à la fois des activités branchées (nécessitant un ordinateur, une tablette ou un robot) introduisant les bases de la programmation, et des activités débranchées (informatique sans ordinateur) permettant d’aborder des concepts de base de la science informatique (algorithme, langage, information…). Les progressions proposées pour chaque niveau scolaire sont facilement modulables selon que la classe possède du matériel informatique ou non.

     

    Comme tous les projets pédagogique de la Fondation La main à la pâte, « 1, 2, 3… codez ! » met en avant l’activité des élèves par le questionnement, l’expérimentation, l’observation, le tâtonnement, le débat. Testé dans une trentaine de classes, ce projet pluridisciplinaire a été conçu avec l’appui de la communauté scientifique, en particulier Inria.

    Le projet bénéficie également du partenariat de France-IOI, de Class’Code, des Investissements d’avenir, de Google, de Microsoft, de l’EPFL et de Mobsya. Grâce à leur soutien, la Fondation propose un ensemble d’outils pédagogiques, et en particulier le guide du professeur « 1, 2, 3… codez ! » diffusé gratuitement aux 10 000 premiers enseignants qui en feront la demande sur www.123codez.fr .

    Ce site permet d’accéder à l’intégralité de la progression pédagogique et à des exercices d’application en ligne ainsi qu’à un espace d’échange entre professeurs.

    S’adressant aux classes de la maternelle à la 6e (du cycle 1 à cycle 3), le projet pédagogique « 1, 2, 3… codez ! » sera décliné spécifiquement pour le collège en 2017, de la 5e à la 3e (cycle 4).

  • La communauté d’Agglomération Sud Sainte Baume innove avec le numérique dans les écoles !

    La communauté d’Agglomération Sud Sainte Baume innove avec le numérique dans les écoles !

    [callout]Sud Sainte Baume est la 1ère intercommunalité de la Région à développer un projet d’une telle envergure ! Elle a d’ailleurs été nominée lors de la septième édition du trophée des technologies éducatives 2015.[/callout]

    En effet, Après avoir lancé l’ambitieux projet d’équiper les écoles de Sanary-sur-Mer en classe numérique, le docteur Ferdinand BERNHARD a souhaité impulser cette dynamique sur l’ensemble du territoire de la communauté d’agglomération Sud Sainte Baume qu’il préside.

    Une seule priorité : l’éducation.

    Le Président et l’ensemble des Vice-Présidents, ont souhaité intégrer dans toutes les écoles élémentaires des communes membres : des Tableaux Numériques Interactifs, des tablettes tactiles et des ordinateurs portables.
    Le projet a été mené en étroite collaboration avec les communes du territoire, la société titulaire du marché Ordisys, l’Education Nationale et la Direction Diocésaine.

    Dans un très court délai, l’ensemble des écoles a été câblé afin d’apporter du réseau dans chaque classe, un système de filtrage et une sécurisation des locaux. La communauté d’agglomération a ensuite pris en charge l’installation des TNI et des tablettes, le paramétrage de tous ces outils numériques et l’accompagnement pédagogique des enseignants.

    L’ensemble des professeurs a bénéficié de 85 jours de formation, en supplément d’un accompagnement pédagogique sur le long terme.

    Désormais, 16 écoles élémentaires publiques et 2 écoles élémentaires privées bénéficient de cet équipement haut de gamme, qui fait le bonheur de 3 277 élèves.

    Sudsaintebaume2_090516Les 18 écoles sont équipées d’un matériel numérique dernière génération :

    – 1 tableau Numérique Interactif par classe (137 TNI)

    – 1 tablette par élève et enseignant (3 414 tablettes)

    – 35 applications pédagogiques par niveau de classe

    – 1 ordinateur portable par enseignant (137 ordinateurs)

    – 1 accompagnement personnalisé pour les enseignants tout au long de l’année

    L’objectif est d’accroître le taux de réussite des élèves de classes élémentaires, grâce à un outil motivant et un enseignement adapté.

    Sudsaintebaume3_090516Tous les enfants de l’intercommunalité auront accès rapidement aux connaissances grâce à ces outils de dernière technologie.

    L’avis de Pascal Mathieu , enseignant à l’école de la Vernette : « Au départ, ce n’était pas vraiment ma tasse de thé, mais aujourd’hui je ne pourrais plus revenir aux anciens tableaux, le TNI offre mille possibilités, c’est comme un couteau suisse, on peut tout faire, c’est un support fascinant pour les apprentissages« . Et d’expliquer: « L’utilisation des tablettes permet de rendre le savoir plus facile d’accès et permet de minimiser le statut de l’erreur car on peut revenir en arrière. Les élèves ont plus confiance en eux« .