Étiquette : collège

  • Le « tout ENT » pour un principal de collège, c’est quoi ?

    Le « tout ENT » pour un principal de collège, c’est quoi ?

     

     Il s’agit de gérer administrativement et pédagogiquement le collège.

    Cela se concrétise par plusieurs actions et notamment, depuis cette année, « les élèves n’ont plus de carnet de liaison et tout se fait par SMS ou par internet », explique Laurent Abécassis.

    Pour lui, le « tout ENT » facilite le fonctionnement pour les usagers, « c’est moins contraignant et il n’y a plus qu’un seul outil ». Ce principal sait de quoi il parle car avant le « tout ENT », il a connu la période où la communication se faisait à la fois via l’ENT et via le carnet de liaison et tout le monde s’y perdait.

    Il avoue que la charge de travail pour la Vie scolaire est plus importante car « ces personnels doivent collecter toutes les remarques faites par informatique et en faire une synthèse ; c’est aussi le CPE qui génère les SMS envoyés aux parents ».

    A chaque fois qu’un élève n’a pas fait ses devoirs ou a eu un souci de comportement par exemple, l’enseignant l’inscrit sur informatique pour que la Vie scolaire en ait connaissance et le diffuse automatiquement aux parents par SMS.

    « Trop d’ENT » ne conduit-il pas à une forme de « flicage » ?

    Il faut dire que ce sont toujours les mêmes parents qui reçoivent les SMS tandis que d’autres n’en reçoivent jamais, ironise Laurent Abécassis.

     

  • En classe radio avec les élèves de 5ème du collège Argote d’Orthez

    En classe radio avec les élèves de 5ème du collège Argote d’Orthez

    Dès le matin, des élèves de 5e encadrés par deux de leurs enseignants, Agnès Carillo et Joël Beney, ont assisté à la plénière, réaliser des interviews et reportages qu’ils ont diffuser en public lors de l’émission spéciale à 16h00.

    Ce fut aussi l’occasion de découvrir en détail ce dispositif pédagogique très porteur.

    La webradio, un outil complet pour l’apprentissage

    Accompagnées par le CLEMI (Centre de Liaison pour l’Education aux Medias et à l’Information), les webradios scolaires se développent un peu partout. Celle d’Argote a été créée à la rentrée 2013.

    Les intérêts pédagogiques sont importants. Selon le CLEMI, « la radio conjugue le travail sur les différents modes d’expression que sont l’oralité et l’écriture avec celui des techniques de création, de production et de diffusion en ligne».

    Toutes les matières enseignées en classe peuvent être exploitées. « Tous les enseignants et tous les élèves travaillent ensemble pour réaliser une émission hebdomadaire à partir des apprentissages en classe et des envies des élèves », explique Agnès Carillo, enseignante en mathématiques et pilote du projet à Argote.

    Cette expérience leur donne de l’aisance à l’oral, de l’assurance et dégage une image valorisante auprès du reste du collège et de l’extérieur.

    A Argote, l’émission est diffusée chaque vendredi en début d’après-midi. Les élèves sont tour à tour animateur, chroniqueur, technicien, reporter. Chacun assume une part de responsabilité pour que tout soit prêt à temps. Les collégiens sont attentivement écoutés par leurs camarades réunis dans la salle polyvalente de l’établissement.

    L’émission est, évidemment, accessible par tous via le site internet du collège Argote

    Plus d’infos :
    Réécouter l’émission spéciale EIDOS 64
    Retrouvez sur le site du CLEMI la liste des établissements engagés et l’actualité des webradios.

     

  • En classe avec le LabDisc

    En classe avec le LabDisc

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    Dans un article publié sur le site du collège de Sèvres, les élèves ont utilisé un LabDisc pour mesurer la quantité de CO2 dans l’air expiré.

    Dans la partie « Le fonctionnement de l’organisme », un chapitre est consacré à la respiration, notamment la différence entre la composition de l’air inspiré et de l’air expiré.

    Classiquement on démontre que l’expiration contient plus de CO2 que l’inspiration grâce au réactif du CO2 : l’eau de chaux.

    Ici, l’objectif est de réaliser une expérience assistée par ordinateur (ExAO).

    Le LabDisc permet de réaliser une expérience de manière simple et performante.
    Dans cet exemple, le capteur de ph du LabDisc a été utilisé en liaison avec une tablette. Les données capturées apparaissent en temps réels et ainsi les élèves peuvent « voir le graphique prendre vie au tableau » en direct.

    L’utilisation du dispositif d’ExAO a l’avantage de tracer une courbe en direct : Variation du PH en fonction du temps et d’obtenir un tableau de valeur.
    La diminution du Ph représente l’augmentation de CO2 dans l’eau du flacon.

    Les élèves voient directement le graphique prendre « vie » au tableau. L’utilisation du PH permet aussi de montrer que pour mesurer certains phénomènes, on peut utiliser des moyens indirects.
    On peut réinvestir des méthodes de travail comme le commentaire de courbe et la réalisation d’un compte-rendu.

    Pour aller plus loin :
    On pourrait imaginer des groupes de 4 élèves pour développer l’aspect interactif. Une séance pourrait s’organiser autour de la comparaison des résultats des deux types d’expériences « PH-CO2 et Eau de chaux-CO2 ».

    Plus d’infos : voir la vidéo ici
    Easytis, distributeur spécialisé pour l’éducation, propose des solutions innovantes et connectées,  autour des tablettes en classe.

    Découvrez la gamme de produits GLOBISENS ici.
    Ainsi que des vidéos d’usages des LabDiscs sur la chaîne YouTube de Globisens
    Retrouvez les solutions connectées et mobiles sur le site d’EASYTIS: www.easytis.com et sur les réseaux sociaux ! (Facebook, Twitter, Linkedin…)

  • La ressource numérique NIPIB, une vraie révolution pour l’enseignement des SVT de la 6ème à la terminale

    La ressource numérique NIPIB, une vraie révolution pour l’enseignement des SVT de la 6ème à la terminale

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    Historique du projet : deux années de recherche et d’expérimentation avant le lancement du produit en janvier 2015

    Légende images ci-dessus : Coupe de moelle épinière humaine à différents niveaux de zoom

    Cela fait plus de deux ans que 10 établissements de l’académie de Nancy-Metz ont expérimenté NIPIB, dans des classes où les enseignants faisaient partie des « producteurs », du noyau dur de la conception pour l’aboutissement de NIPIB. Rejoints par 10 autres il y a 18 mois, les établissements qui expérimentent sont aujourd’hui au nombre de 20, moitié collèges et moitié lycées.

    On est à la veille de la généralisation.

    « La mission des enseignants qui sont entrés dans la boucle après les 18 mois était de tester le produit et de faire des retours critiques sur les usages en classe, y compris des retours d’élèves », expliquent Stéphanie et Elodie.

    Le produit a évolué au fil des mois, ce qui a contribué à son amélioration constante ; pour exemple, « le visionneur n’est plus le même que celui que nous avions il y a 18 mois ; c’est surtout l’enrichissement des fonctionnalités», précise Stéphanie.

    Contenu de NIPIB : une variété d’images virtuelles des programmes de la 6ème à la terminale

    NIPIB couvre l’ensemble des thèmes scientifiques abordés de la 6ème à la terminale ; les images ont donc été sélectionnées en fonction des programmes scolaires. Toutes les images sont intégrées sur une plateforme en ligne donc accessibles en classe mais également en dehors de la classe. Enfin, aux images s’associe tout un accompagnement scientifique :

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    Extrait d’une fiche scientifique en Biologie végétale : feuille d’Oyat
    – des explications scientifiques de l’image rédigées par des universitaires,
    – des explications à la fois techniques sur la conception de la ressource, de la numérisation de la lame microscopique à l’image disponible
    – des propositions de mise en œuvre pédagogique pour utiliser la ressource en classe

    NIPIB, des ressources en SVT réalisées en étroite concertation avec les gens de terrain : les enseignants.

    1ère étape : nécessité de lister les besoins

    Elodie et Stéphanie ont eu un rôle à jouer dans l’élaboration de NIPIB et pas des moindres. Faisant parties du noyau d’enseignants retenus dès le départ pour la conception, elles ont eu à lister, en partant d’une « feuille blanche », tous leurs besoins en « lames » par niveau et par thème.

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    Un exemple d’acarien pour étudier la faune du sol au collège (technique de macrozoom)

    Ce travail de listage a été réalisé à partir des BO et en étroite collaboration avec les universitaires de Lorraine ; ces derniers proposant des images innovantes pour illustrer certaines notions scientifiques.

    « Pour ce qui est de la sélection des images dans NIPIB, cela nous a permis de comprendre qu’il y a des choses réalisables et d’autres non comme le muscle avant et après effort et d’avoir une certaine pertinence par rapport aux supports que nous proposons à nos élèves », soulignent-elles.

    2ème étape : un vrai travail de collaboration entre enseignants et chercheurs

    En fonction des besoins que les enseignants avaient listés, les différents laboratoires de l’Université de Lorraine venaient proposer les lames numérisées (dont la numérisation prenait parfois jusqu’à une semaine !) et les enseignants avaient à faire leurs choix afin de répondre aux besoins pédagogiques.

    3ème étape : réalisation des fiches pédagogiques en rapport avec les lames numérisées

    Les enseignants ont réalisé les fiches pédagogiques, pour une grande part, des images proposées. Chaque fiche correspond à une séance (cela peut être une évaluation) qui comporte une proposition d’activité, des documents à destination des élèves et souvent, une production élève « pour que les collègues qui découvrent NIPIB aient une idée de ce que les élèves peuvent faire avec ce type de ressources », décrit Stéphanie et « montrer les potentialités du Viewer pour sélectionner une zone d’intérêt, annoter, mesurer, faire des comparaisons etc, repérer via des coordonnées pour les mises en commun», ajoute t-elle.

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    Mesure et légende de grains de pollen : étamine de lys

    En tant qu’actrices sur la réalisation de la ressource NIPIB, Stéphanie et Elodie se sont mis à la place des enseignants qui allaient découvrir ce nouveau produit.

    D’autres réflexions se sont portées sur les contenus à mettre à disposition aux élèves.
    Actuellement, ils peuvent facilement accéder à NIPIB via l’ENT sans réauthentification et ont accès aux images avec un titre allégé, aux fiches scientifiques mais n’ont pas accès aux fiches techniques ni pédagogiques, par exemple. Cette question des droits des élèves va encore évoluer dans les mois à venir.

    « On pourrait imaginer à l’avenir que l’intégration soit encore plus fine et se faire selon des choix précis de l’enseignant ; par exemple, l’élève est en phase de projet, je lui donne accès aux fiches scientifiques ou, il est en contexte d’évaluation donc je bloque l’accès aux fiches scientifiques », explique Stéphanie.

    Apports de NIPIB pour l’enseignement des SVT : diversité, qualité et disponibilité

    La diversité, un des premiers intérêts de la ressource NIPIB

    « Par exemple, pour certains thèmes comme la biologie humaine, nous n’avons pas de lames de tissus humains, notamment pathologiques , disponibles dans nos laboratoires », explique tout simplement Stéphanie.

    La banque de ressources NIPIB propose de nombreuses lames permettant aux élèves de naviguer aussi dans des tissus et cela est plus pertinent que des images figées sur support papier.

    La qualité de la ressource, un autre atout incontestable de NIPIB

    Comme l’expliquent Stéphanie et Elodie, les microscopes dans les établissements ne sont pas toujours en bon état et pas toujours suffisamment perfectionnés pour pouvoir réaliser certaines observations.

    « Avec les microscopes que nous avons en collège, il y a même certaines lames que nous ne pouvons pas du tout observer, où tout se trouve agglutiné et donc illisible », ajoute Elodie.

    La disponibilité permanente de la ressource numérique, un autre point fort de NIPIB

    L’observation qui peut être faite sous microscope dans la classe n’a lieu qu’à un moment donné pendant le cours. Avec le numérique, l’observation peut se faire à n’importe quel moment, à n’importe quel endroit.

    «Un élève qui est absent peut tout à fait travailler sur une lame de la même manière à la maison que ce que nous avons réalisé en classe ; il en est de même pour les révisions : les élèves ont toujours accès à la ressource ».

    Enfin, avec NIPIB, une exploitation pédagogique plus intéressante

    « Avec le Viewer, il est possible de visualiser deux lames en même temps ; par exemple, une lame de tissu humain sain et le même tissu humain atteint d’une pathologie », décrit Elodie.

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    Peau humaine pathologique et normale

    Stéphanie ajoute qu’avoir deux microscopes en classe est souvent mission impossible et que même si c’était le cas, l’élève ne pourrait pas regarder les deux lames simultanément et « le grossissement et la qualité des lames ne sont pas forcément identiques entre les deux observations ».

    Avec NIPIB, l’exploitation pédagogique est vraiment plus pertinente

    Adieu microscopes et autres appareils sur les tables en SVT ?

    L’utilisation de NIPIB n’amène pas non plus à mettre les microscopes « au placard » car, comme le précise Stéphanie, « les SVT sont des sciences expérimentales, le réel est notre sujet d’étude privilégié ; les élèves réalisent et réaliseront encore des préparations microscopiques ».

    La ressource numérique est un excellent complément « qui permet d’aller plus loin » ; c’est ainsi que résumeraient Elodie et Stéphanie au sujet de l’arrivée de NIPIB dans leurs classes, avant même de voir naître de futures critiques et d’alimenter le débat sur « le numérique fait des miracles et peut tout remplacer » !

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    Roche andésite en lumière polarisé et lumière polarisée analysée

    Côté élèves, l’appropriation de l’outil s’est faite tout naturellement ; il n’a pas été nécessaire de les former très longtemps, juste de leur annoncer qu’il y avait une nouvelle ressource disponible sur l’ENT.
    Les lycéens, qui travaillent beaucoup en autonomie, notamment pour les TPE, sont amenés à utiliser la ressource souvent et NIPIB est d’ailleurs entré dans les ressources, comme le constate Stéphanie.

    La semaine dernière, alors que je n’avais pas pensé utiliser NIPIB pour ma séance, je me suis aperçue qu’un binôme d’élèves réalisaient des recherches sur NIPIB spontanément.

    NIPIB, une ressource accueillie dans l’académie de Nancy-Metz à quasi l’unanimité

    «  Tous les enseignants qui ont vu la démonstration sont convaincus car les images sont vraiment extraordinaires », témoignent Elodie et Stéphanie.

    Aujourd’hui, elles ont le sentiment d’un véritable engouement pour la ressource NIPIB et n’ont pas constaté la présence de personnes réfractaires. Elle ressente même une certaine impatience chez certains enseignants à qui on a promis l’arrivée de NIPIB prochainement, la ressource sera disponible pour tous les enseignants de SVT et tous les élèves de l’académie de Nancy-Metz à partir de janvier 2015.

    Le seul bémol temporaire qui est évoqué par nos deux enseignantes serait la connexion internet Haut-Débit qui est nécessaire pour utiliser la ressource de manière optimale ; en zone rurale, comme c’est le cas pour Stéphanie, elle n’a toutefois pas de problème à utiliser 10 ordinateurs en classe, connectés à NIPIB ; les moyens mis en œuvre par les différentes collectivités territoriales de l’académie pour équiper chaque établissement en fibre optique devraient, à court terme, effacer toute problématique à ce niveau-là.

    Plus d’infos :
    voir aussi la démo NIPIB version longue sur Youtube

    A propos d’ITOP :Itop_logo_221214

    ITOP éducation occupe une position clé dans le panorama de l’éducation. Présente depuis plus de dix ans sur ce secteur, elle produit une offre complète de logiciels innovants qui couvre tous les besoins des établissements scolaires, de la maternelle au lycée. Plus de quatre millions d’utilisateurs échangent au travers des Environnements Numériques de Travail ou accèdent aux ressources pédagogiques multidisciplinaires ITOP éducation et gèrent notes et absences grâce au module de vie scolaire Educ-Horus. Sur plus de quinze projets ENT en généralisation, ITOP éducation offre également ses services d’accompagnement, formation, hébergement et support. Pour développer les nouveaux usages et conduire une stratégie d’innovation volontariste, plus de 20% du chiffre d’affaires sont consacrés chaque année à la recherche et au développement. Depuis 2012, Hervé Borredon, PDG d’ITOP est élu président de l’Afinef, Association Française des Industriels du Numérique pour l’Education et la Formation. Cette nouvelle entité fédère et structure l’ensemble de la filière numérique éducative et assure l’interface entre industriels et institutionnels. www.itop.fr et www.afinef.net

     

  • Table multitouch, expérimentation au collège

    Table multitouch, expérimentation au collège

    [callout]Les équipes accueilleront les visiteurs sur leur stand (B 16) pour leur présenter leur projet d’expérimentation d’une « Table Multitouch au collège ».[/callout]

    Une démonstration de l’utilisation de la table tactile  avec des élèves de 5e aura lieu le jeudi 27 novembre, de 11 h à 12 h 15, dans l’espace Démotice.

    CanopeLyontablemultitouch_241114Dans le cadre de la politique ”Faire entrer l’école dans l’ère du numérique” mise en place par le Ministère de l’Education nationale, un partenariat fort s’est engagé entre le Département du Rhône, le centre Erasme et Canopé académie de Lyon pour permettre l’entrée  d’une table tactile au collège… la table multitouch.

    Menée depuis janvier 2014, à l’initiative du centre Erasme (Département du Rhône) et de Canopé académie de Lyon, l’expérimentation repose sur un matériel –la table tactile Mosaïque- et un logiciel opensource–Museotouch-,  tous deux développés par Biin, agence de création lyonnaise.

    Deux collèges, collège du Val d’Argent à Sainte Foy l’Argentière et Collège Georges Charpak à Brindas, se sont prêtés à l’expérimentation qui a pour but de transposer un dispositif conçu pour les musées à des usages pédagogiques, en situation de classe. Trois enseignants et deux documentalistes se sont mobilisés pour concevoir des scénarios et les tester en classe.

    Le bilan de l’expérimentation fait apparaître que :
    –    la table multitouch peut servir de support à l’acquisition de plusieurs compétences du socle commun et est appréciée par les élèves et les enseignants.
    –    L’expérimentation a permis de documenter les conditions d’identifier des évolutions fonctionnelles du logiciel.
    –     La méthodologie de production a permis la réalisation de cinq scénarios remarquables :
    o    figures géométriques,
    o    enquête résistance,
    o    expressions françaises et mythologie
    o    retour vers le futur,
    o    qui se ressemble, s’assemble.

    Tous les partenaires du projet se sont engagés dans sa poursuite à partir de septembre 2014.

  • De nouvelles pratiques pédagogiques pour le collège Jean-Jaurès d’Albi à l’aide de tablettes Windows 8

    De nouvelles pratiques pédagogiques pour le collège Jean-Jaurès d’Albi à l’aide de tablettes Windows 8

    PUBLI – REDACTIONNEL

    [callout]A la clé : une nouvelle façon d’enseigner pour les professeurs, plus interactive et plus collaborative ; et une ouverture vers leur avenir post-collège pour des élèves trop heureux de troquer livres et cahiers contre un ordinateur flambant neuf.[/callout]

    « Il y a, à Jean-Jaurès, une véritable culture de l’innovation et de l’expérimentation. Nous avons la chance d’avoir une équipe pédagogique très impliquée dans la vie du collège, qui essaie sans cesse de nouvelles choses », souligne Jean-Pierre Crochet, le principal du collège.

    De fait, à la rentrée 2012, les élèves de la classe de 6ème 2 et leurs enseignants ont chacun reçu une tablette tactile Windows 8 comme support de cours. Ainsi, en cours d’Anglais, les élèves peuvent écouter des extraits sonores des textes affichés à l’écran et améliorer ainsi leur accent et leur prononciation.

    En éducation musicale, c’est avec Windows Movie Maker qu’ils apprennent à manipuler les sons et à les synchroniser avec les images. En mathématiques, GeoGebra permet d’explorer la géométrie affine en manipulant différents objets géométriques dans un plan… Dans chaque classe, le professeur peut projeter l’écran de sa tablette sur le tableau interactif via un vidéoprojecteur Wi-Fi et il peut à tout instant basculer vers l’écran d’un enfant.

    Plusieurs raisons ont poussé le collège Jean Jaurès vers des tablettes Windows 8. Tout d’abord,

    « il était important à nos yeux qu’il y ait une continuité pédagogique. 99% des enfants utilisent Windows à la maison, le collège est doté d’un réseau informatique sous Windows … Il était donc naturel de nous tourner vers des tablettes Windows 8 », précise David Arderiu, professeur de technologie et référent numérique

    Le nombre et la richesse des applications et des contenus pédagogiques disponibles ont également joué, tout comme la présence d’un véritable clavier détachable qui permet d’utiliser la tablette soit via son interface tactile, avec le doigt ou le stylet fourni, soit comme un ordinateur, avec le clavier.

    Pour l’heure, si les enseignants ne voient en la tablette que des avantages, les enfants – et leurs parents ! – l’ont également très rapidement adoptée. « Des fois, on est en avance sur les autres classes parce qu’avec la tablette, tout va plus vite », s’amuse Férouze. Et tous de s’accorder sur l’importance de maîtriser dès maintenant les outils qu’ils retrouveront plus tard dans leur vie étudiante puis professionnelle.

    Une opinion que partage Jean-Pierre Crochet : « la salle de classe traditionnelle, accueillant 30 élèves face à un enseignant, nous semble derrière nous. Ce sont de nouveaux citoyens que nous devons former, avec des outils qu’ils retrouveront dans le monde du travail, et avec une organisation et une hiérarchie qui sont en train de se modifier de manière considérable », conclut-il.

    En résumé

    Problématique

    Doter les élèves dès la 6ème d’un outil numérique afin de redéfinir leur relation à l’enseignement et les ancrer dans le monde moderne.

    Bénéfices

    • Une adoption immédiate des élèves et des enseignants
    • Plus de motivation de la part des élèves
    • La satisfaction des parents

    Plus d’infos : Retrouvez tous les retours d’usages tablettes et Windows8 en vidéo sur la playlist Educ ici.

  • Les tablettes, un vrai « plus » pour l’organisation d’un débat en classe

    Les tablettes, un vrai « plus » pour l’organisation d’un débat en classe

    [callout]Organiser un débat en classe n’est plus une activité hors du commun mais elle reste relativement peu fréquente dans une salle de classe. Les compétences mobilisées sont pourtant nombreuses : apporter la contradiction et la multiplicité des points de vue, travailler la prise de parole, écouter les arguments des autres élèves et s’en servir pour répondre, respecter la parole de l’autre etc.[/callout]

    NicolasBertos
    Je n’ai pas attendu d’avoir des tablettes tactiles en classe pour organiser ce type d’activité mais, une fois de plus elles ont permis une transformation de ma manière de concevoir cette séquence et un engagement approfondi des élèves lors de celle-ci. Le descriptif porte sur une séquence (4h environ : 1h, 2h, 1h) de 4ème en éducation civique (mais elle est transférable à d’autres niveaux et d’autres matières).

    Etape 1 : Préparation du débat.

    Les élèves ont à leur disposition un corpus documentaire d’environ 30 documents. Ils doivent en lire au moins 4. Mon but ici est de diversifier les approches afin qu’ils n’aient pas tous le même point de vue. Je propose une problématique volontairement simpliste afin que les élèves prennent partie dans un sens ou dans l’autre. Lors de ma séquence la problématique était la suivante : « La géolocalisation, progrès indispensable ou menace pour nos libertés ? « .

    Ici, l’outil tablette apporte bien entendu la possibilité de multiplier les documents disponibles (l’année précédente, je photocopiais) et de varier leur nature (texte, vidéo, témoignages recueillis par les élèves etc).

    Etape 2 : les rôles de chacun.

    Chaque rôle a sa fiche d’objectifs. Ici, celle des participants.
    On procède ensuite à la répartition des rôles durant le débat. Les tablettes apportent un avantage immédiat : nous allons pouvoir filmer le débat.
    – Le président du débat et son adjoint répartiront la parole, veilleront à ce que tous les participants s’expriment etc.
    – Les participants sont assis dans deux camps opposés. Lorsque les participants sont trop nombreux le débat ne fonctionne pas : certains élèves ne prennent pas la parole, d’autres sont frustrés car ils la voudraient mais attendent leur tour trop longtemps.
    – Les scientifiques sont chargés dans un coin de la classe, d’apporter des précisions sur ce qui est en train de se dire : chiffres, pourcentages etc que j’ai mis à leur disposition.
    Les années précédentes j’étais obligé de « fabriquer » des rôles qui se sont révélés, au final, peu intéressants : Gardiens du temps, de l’expression, du vocabulaire etc.

    Lors de cette étape, les tablettes apportent plusieurs atouts très concrets.

    Tout d’abord, elles me permettent de diversifier les rôles des élèves en ajoutant deux groupes supplémentaires : les journalistes (chargés de l’introduction et de la conclusion du débat) et les cameramans: chargés de filmer le débat, l’introduction et la conclusion. C’est un rôle assez technique car il faut pouvoir se déplacer dans les rangées, prendre correctement le son etc.

    Mais surtout, elles me permettent de demander aux élèves (scientifiques, participants) de produire eux-même des documents (à partir de leur livre, des cours, des documents distribués): croquis, carte, courbes ou camemberts par exemple. Ces documents serviront ensuite comme arguments lors du débat.

    Les préparatifs : sélectionner les documents pour en produire de nouveaux

    Etape 3 : le débat.

    La disposition de la salle de classe est réorganisée, les groupes se réunissent pour préparer leurs arguments et le débat peut commencer. Je dois avouer que la première réalisation fut hasardeuse : prise de son trop aléatoire, angles de vidéos ridicules (filmer de dos quelqu’un qui parle…), prises de vidéo tremblotantes etc. Cependant, ces erreurs m’ont semblé constructives :

    – Après les avoir montrées aux autres classes, elles n’ont pas été reproduites. Une fois de plus les tablettes permettent un ancrage visuel de l’erreur chez les élèves et sont donc un instrument efficace pour modifier sa perception.
    – Elles ont pu me permettre de sensibiliser les élèves sur les conditions de travail des journalistes (par exemple en situation de filmer un conflit).

    Lors du débat (environ 30 min), les participants qui le souhaitent peuvent se servir des documents (fournis ou préparés) disponibles sur la tablette. Les scientifiques ont obligation de produire un document. Les journalistes ont présenté le débat (filmés à part) en exposant les enjeux principaux. A mon signal, 5 minutes avant la fin, ils s’éclipsent et proposent leur conclusion (ici aussi, filmés à part).

    Etape 4 : l’après débat: montage et visionnage.

    Les années précédentes, cette partie n’était pas possible. Je présentais rapidement mes conclusions puis nous passions à autre chose.

    Avec les tablettes, la séance acquiert une dimension supplémentaire : le retour sur le débat.

    Malheureusement, après avoir essayé de le réaliser en classe par les cameramans, j’ai du me résoudre à produire moi-même le montage vidéo le niveau de complexité étant trop élevé et trop chronophage. Malgré cela, le montage est une activité qui intéresse de nombreux adolescents : certains d’entre eux sont familiers des logiciels les plus courants, d’autres possèdent leurs chaînes YouTube (vidéos Go pro de BMX par exemple).
    Plusieurs groupes d’élèves se sont impliqués dans cette étape, venant même travailler entre midi et 14h, même si au final, les conditions techniques n’aidant pas, j’ai réalisé la plupart des films.

    Le visionnage permet par contre à la classe de revenir « à froid » sur le fond et la forme de ce qui a été dit. Les élèves peuvent se voir, comprendre leurs tics de langage, le non respect des consignes ou les prises de paroles bien argumentées. Ce visionnage m’a paru essentiel et la plus-value pédagogique est tangible.

    Les possibilités pour exploiter davantage cette vidéo sont multiples : on peut, par exemple, imaginer une réutilisation dans le cadre d’un cours avec une autre classe ou isoler certains passages pour aider les élèves à travailler certains points rarement travaillés en classe (diction, clarté de l’expression, prise en compte de l’interlocuteur etc).

    En conclusion, il me semble que les tablettes ne sont pas indispensables à l’organisation d’un débat en classe. Mais comme dans d’autres exemples que j’ai déjà donné dans mes retours d’expériences en classe, elles apportent une dimension supplémentaire aux apprentissages et renouvellent en profondeur les pratiques. Leur utilisation fluide et multiforme et leur mobilité permettent leur insertion naturelle dans le processus vivant et réactif que représente un débat.

    Une fois de plus les élèves ont intégré cet outil au delà de mes espérances et de mes suggestions : demande de vidéoprojection des documents créés, demande de pouvoir s’en servir en tant que support durant le débat, prise de photo et collages de documents du manuel etc.

    Enfin, grâce à l’ensemble de cette utilisation (discussion collective grâce à la vidéo, travail de groupe), l’erreur est perçue comme constructive et rattachée au processus d’apprentissage et non comme un échec isolé de celui-ci.

    Lors de l’organisation du deuxième débat de l’année (environ 1 mois plus tard) les élèves avaient très largement intégré l’ensemble des remarques. Les échanges n’en furent que plus clairs, plus riches et constructifs.

    Un aspect très positif et particulièrement motivant découle de l’augmentation du nombre des rôles grâce aux tablettes (cameraman et journalistes). En effet, puisque certains élèves refusaient généralement de participer au débat ils ont trouvé dans ces responsabilités une tâche plus à leur convenance. Par ailleurs, après avoir été « derrière la caméra« , plusieurs d’entre eux ont regretté de ne pas avoir pu participer au débat et auraient voulu intervenir au fil de la discussion… Ils se sont donc portés volontaires lors du second !

    Plus d’infos :
    Le blog de Nicolas : http://theraphproject.blogspot.fr/

  • Le Grand plan e-éducation passera par les tablettes !

    Le Grand plan e-éducation passera par les tablettes !

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    Nous allons lancer, avec le gouvernement de Manuel Valls et la Ministre de l’Education, Najat Vallaud-Belkacem, un grand plan pour le Numérique, pour que, de l’école au lycée, le numérique soit partout à l’horizon 2017.

    Ce grand plan doit démarrer par des « expériences au collège et à l’école » ; la première brique de ce programme d’envergure sera d’apprendre le codage pendant les temps périscolaires (et donc utiliser le temps des nouveaux rythmes scolaires) et ce, dès la rentrée 2015-2016.

    La deuxième brique se concrétise par l’équipement de tous les collégiens de 5ème pour la rentrée 2016-2017. La justification du choix des élèves de 5ème peut se faire par le fait que, depuis la loi d’orientation (qui sera effective à la rentrée 2016), la classe de 5ème est la première d’un nouveau cycle, la 6ème étant intégrée dans un cycle commun avec le CM2.

    Pour cette deuxième brique, il prévoit quelques collèges « testeurs » dès la rentrée 2015. Par la mise en place d’expérimentations dès l’année prochaine, il répond sans doute aux inquiétudes des industriels – dont nous parlions début octobre dans LudoMag – de voir ce plan ne démarrer qu’en 2016, devant les difficultés financières qu’ils rencontrent depuis les arrêts successifs de plans nationaux qui ont mis à mal tout le secteur (environ -40% de chiffre d’affaires en 2013).

    Il assure que la mise en place des ces deux premières « briques« se fera en concertation, dès janvier 2015, avec les enseignants, les parents d’élèves, les éditeurs scolaires, les industriels et les élus locaux  ; une concertation qui devrait durer environ un mois « voire deux, si cela est nécessaire« , souligne t-il.

    Côté budget, il affirme avoir l’argent nécessaire pour ces mises en place : « ce plan rentre dans le budget de l’Education Nationale, budget qui a été préservé« , rappelle t-il ; mais à la question du montant, il ne répond pas franchement et évoque aussi les fonds des investissements d’avenir. Rappelons que le plan « e-éducation » s’insère dans les « 34 plans de la nouvelle France industrielle », présentés pour la première fois en septembre 2013 et validés dans le courant de juillet.

    D’après ce que nous avons récolté comme informations dans divers supports, l’Etat mettrait tous les moyens pour assurer ce qu’on pourrait appeler « l’enveloppe autour du noyau », considérant que la tablette est le noyau ; à savoir :

    – les infrastructures réseaux et très haut débit pour que tous les collégiens des classes de 5ème puissent « surfer » sur internet et travailler en ligne (voir Note*, en base de page)

    – la formation des enseignants, mais cela suppose qu’ils soient » impliqués« , comme le décrit le Président

    – l’implication des éditeurs scolaires pour que tout le programme dans toutes les disciplines soit en ligne sur les « dites » tablettes

    Pour que cela fonctionne, il faut que les enseignants soient pleinement impliqués ; si nous nous contentons de distribuer du matériel, cela apparaîtra comme un gadget, comme une « offrande » avant un rendez-vous électoral, ce plan ne marchera pas.

    Le Président ne semble pas manquer de lucidité quant à l’échec possible d’un tel plan ; les aspects budgétaires, quand à eux, n’apparaissent pas comme une contrainte (voir note ** en bas de page) ; la formation des enseignants est prévue dans l’agenda : agenda, avouons-le, un peu « serré » (la rentrée 2016, c’est pas demain, mais c’est après-demain) et enfin la concertation avec les industriels du secteur et notamment avec les éditeurs scolaires est elle aussi programmée ; de ce côté-là, il faut avouer qu’il y a quand même du boulot pour réussir à mettre tous les manuels de 5ème sur tablettes.

    Le Conseil National du Numérique qui a travaillé pendant de longs mois pour rédiger son rapport et ses recommandations n’avait pourtant pas envisagé cette « piste » puisque, rappelons-le, sa proposition numéro un était enseigner la « pensée informatique pour mieux comprendre le monde numérique qui nous entoure et être pleinement un citoyen actif dans la société », qui se caractérise notamment par la mise en place d’un enseignement de l’informatique et d’un bac « humanités numériques« .

    Des divergences notoires risquent donc de ralentir ce bel élan d’enthousiasme du gouvernement d’aller (enfin?) vers le numérique à l’Ecole. Affaire à suivre dans les prochaines mois, notamment dès janvier avec la concertation.

    Plus d’infos :
    Vous souhaitez écouter l’allocution de François Hollande et la partie qui concerne le numérique à l’Ecole, c’est sur cette vidéo, à la minute 1h30 – 1h35.

    Notes de la rédaction

    Note * : Connexion notamment aux ENT, encore un autre vaste chantier qui a été déployé et qu’il faudrait mettre à profit sur ces nouveaux outils, à condition qu’ils fonctionnent sur les « dites » tablettes ;  la fibre optique sera donc absolument indispensable pour raccorder les établissement au Très haut Débit, pour un bon fonctionnement en classe et les établissements devront disposer d’un réseau local réellement adapté pour que les salles puissent être raccordées et enfin que les routeurs WIFI puissent accepter des sessions d’une 30taine d’élèves en simultané dans un même cours  ! Opération simple sur le papier, moins évident quand on est sur le terrain…la plupart du temps, ça ne fonctionne pas bien avec les serveurs d’authentification installés dans la plupart des établissements.

    Note ** : En matière de budget, si l’idée est d’équiper tous les 5èmes en tablettes avec un peu de contenu, la rédaction de Ludomag s’est prêtée à petit exercice de calcul mental. 800 000 élèves de 5èmes pour un budget tablette de 500/600 euros par élève  (un minimum avec les ressources, housses qui vont accompagner cet investissement,…) cela ferait un budget d’un demi milliard d’euros soit 500 millions d’euros, est-ce bien réaliste ?

  • L’APMEP s’associe à TI pour former les enseignants en ligne

    L’APMEP s’associe à TI pour former les enseignants en ligne

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    Plusieurs formations sur les calculatrices graphiques pour le lycée et les calculatrices formelles ont déjà eu lieu, autour de thèmes variés comme la programmation, l’algorithmique ou les probabilités. Les formations, d’une durée d’une heure à une heure trente sont assurées par des enseignants formateurs du réseau T3 qui utilisent la technologie au quotidien avec tous les élèves.

    Les formations en ligne sont accessibles à tous et nécessitent uniquement un ordinateur et une connexion internet. La formation se suit à distance et un temps de questions/réponses est généralement prévu à la fin de la formation.

    En téléchargeant gratuitement le logiciel émulateur compagnon de la calculatrice appelé TI-Smartview, les participants peuvent ainsi s’entrainer aux manipulations de la calculatrice même s’ils ne disposent pas de la machine avec eux.

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    Les formations proposées par l’APMEP s’adressent aussi bien aux enseignants en poste qu’aux étudiants préparant le CAPES avec des formations spécifiques sur la technologie Nspire comprenant une première approche des principales fonctionnalités de la calculatrice ainsi que l’illustration de cette technologie au travers de différents exercices pour le CAPES.

    Plusieurs formations auront lieu jusqu’à la fin de l’année

    •    13 novembre de 19h à 20h30 :
    « Découverte de la TI-Nspire pour le CAPES »
    •    14 novembre de 18h30 à 19h30 :
    « Les statistiques et probabilités avec la calculatrice TI-Collège plus »
    •    21 novembre de 18h30 à 19h30 :
    « Découverte de la TI-Primaire Plus pour le cycle 3»
    •    10 décembre de 18h30 à 20h :
    « La TI-82 Plus et ses applications pour le lycée»
    •    11 décembre de 18h30 à 20h :
    « Découverte de la TI-Nspire CX CAS pour les BTS »
    •    12 décembre de 20h à 21h :
    « Découverte de la TI-Primaire Plus pour le cycle 3 »

    Plus d’infos :
    Informations pratiques : Les inscriptions sont généralement ouvertes 15 jours avant le début de la formation jusqu’à 30 minutes avant le début de la formation.
    Plus d’informations sur le site internet de Texas Instruments : www.education.ti.com
    Inscriptions sur le site de l’APMEP : www.apmep.fr

    A propos de Texas Instruments
    La Division  « Education Technology » de Texas Instruments, propose des solutions matérielles et logicielles innovantes pour l’apprentissage des mathématiques et des sciences. Les produits scolaires et les services de TI sont conçus depuis 20 ans en collaboration avec des enseignants chercheurs et des enseignants formateurs français du « réseau T3 » de façon à répondre parfaitement aux besoins spécifiques d’une utilisation en et hors classe.