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  • 155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

    155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

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    Cambridge English YLE : un test diplômant spécialement adapté aux enfants

    Une cinquantaine de centres d’examens en France proposent de passer les diplômes de Cambridge English Language assessment qui permettent de certifier un niveau d’anglais. Parmi eux, une vingtaine offre le Cambridge English Young Learners (YLE), une série de trois tests amusants spécialement conçus pour les enfants de 7 à 12 ans.

    Cette année, plus de 4000 enfants en France ont passé ce test, dont 155 en Lorraine par l’intermédiaire de l’association Pop English, dont les animateurs enseignent dans les locaux de l’association et dans les écoles primaires. Après avoir réussi le premier niveau du test (niveau Starters), les enfants se prépareront en 1 à 3 ans à la validation du second niveau.

    « Un petit examen d’anglais nous semble essentiel pour encourager l’enfant dans son apprentissage dès son jeune âge. Il permet de prendre conscience de ses capacités et c’est une motivation pour s’améliorer en anglais et passer au niveau suérieur », indique Cécile Loyer, responsable marketing et communication de Cambridge English Language Assessment.

    « Par exemple, un enfant entrant en 6ème pourra se sentir rassuré si au travers d’un véritable examen, il a déjà obtenu le niveau intermédiaire du Cambridge YLE correspondant au niveau A1 du CECR (Cadre Européen Commun de Référence pour les langues), attendu pour l’entrée au collège. »

    Et de poursuivre, au sujet des dernières études sur l’apprentissage des langues chez les jeunes enfants : « Il faut profiter de l’âge de l’école primaire pour rendre l’anglais familier de nos enfants. D’une part, l’ouverture à une autre langue leur permet paradoxalement de mieux connaître le français, et d’autre part, après 10 ans il est souvent devenu trop tard pour apprendre l’anglais car l’oreille n’est plus capable d’entendre les phonèmes spécifiques à cette langue
    Les jeunes Lorrains « speak good English » grâce à Pop English !

    « Pop English en Lorraine est agréé Centre d’examen Cambridge YLE depuis 2 ans. Nous sommes ravis que sur nos 2500 élèves, une bonne centaine passe déjà ce test avec succès » indique sa déléguée régionale Laëtitia Herfeld-Puissegur.

    « Il est très important que les enfants puissent montrer à leurs parents qu’ils progressent. Nous veillons tout particulièrement à ce que l’examen soit vécu par les enfants comme une expérience positive. Les examinateurs du Cambridge YLE sont bienveillants et prennent en compte que les progrès réalisés par l’enfant

    Cette année, le nombre d’enfants présentés au test Cambridge YLE par Pop English devrait sensiblement augmenter, d’autant que l’Association intervient maintenant pour des animations autour de l’anglais auprès des mairies ayant opté pour le changement des rythmes scolaires.

    A propos de Cambridge English Language Assessment

  • Pourquoi les français sont-ils nuls en anglais ?

    Pourquoi les français sont-ils nuls en anglais ?

    Pilipop1Pour cela, nous avons rassemblé nos connaissances sur le sujet en s’appuyant sur des études comme la récente enquête européenne sur les langues réalisée en Juin 2012.

    Nous avons ensuite illustré cela sous la forme d’une infographie qui compare la France avec la Suède, pays n°1 de la maîtrise de l’anglais.

    Quelques informations intéressantes tirées de l’infographie

     

     

     

     

     

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    – La pédagogie suédoise se focalise sur la pratique de l’oral et cela, dès l’enfance

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    – Le niveau de la France vient en partie de la mauvaise formation des enseignants qui, pour certains, ne reçoivent que 9 heures de formation en anglais !

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    – À 15 ans, seulement 14% des Français ont une bonne maîtrise de l’anglais contre 82% des suédois
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    – Les suédois sont 92% à préférer regarder un film en VO contre 20% pour les français

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    Cette infographie est bien sûr une occasion de rappeler qu’il est indispensable de commencer l’anglais le plus tôt possible en se focalisant sur les compétences orales. C’est la méthodologie que nous utilisons chez Pili Pop !

    Qu’est-ce que Pili Pop ?

    Pili Pop est une méthode ludique et motivante permettant aux enfants de 6 à 10 ans d’apprendre l’anglais en s’exprimant à voix haute ! L’application, disponible sur iPhone et iPad, met les enfants à l’aise face à l’anglais en combinant jeux amusants et reconnaissance vocale de pointe. Pili Pop a été téléchargée plus de 60 000 fois dans 37 pays différents et a permis aux enfants d’apprendre plus de 2 millions de mots en anglais !

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  • Les atouts « cachés » du dictionnaire électronique : révélations d’un enseignant

    Les atouts « cachés » du dictionnaire électronique : révélations d’un enseignant

    Le dictionnaire électronique : l’outil de référence

    Au début de l’expérimentation, Jean-Grégoire a débuté l’aventure en « défrichant ». Le dictionnaire électronique apparaît aux premiers abords, pour celui qui ne le connaît pas, comme un « simple » dictionnaire ; mais notre enseignant s’est vite rendu compte qu’il pouvait facilement dépasser ce stade.

    « L’idée que tout le monde se fait d’un dictionnaire est bien enracinée, c’est une roue de secours ; lorsqu’on bloque sur un mot, on va toujours chercher dans le dictionnaire ».

    L’intérêt du dictionnaire électronique est de pouvoir chercher la traduction d’un mot français en anglais, par exemple, mais aussi d’aller compléter cette recherche dans un dictionnaire monolingue.

    Après trois ans d’utilisation, c’est désormais LE support privilégié de cet enseignant pour faire travailler ses élèves, tout en précisant qu’en classes prépa, « il n’y a pas vraiment de manuels » et que le dictionnaire électronique occupe aussi cette fonction.

    Un objet multifonctions

    C’est pour l’outil riche en contenus que Jean-Grégoire a choisi d’utiliser le dictionnaire électronique mais pas seulement. Comme il l’explique, il a bien d’autres fonctions intéressantes :

    « Il y a un moteur de recherche qui est spécifique à l’objet lui-même qui permet des recherches par arborescence, des recherches multi-dictionnaires, des recherches sur le sens du mot mais aussi de l’emploi du mot dans des locutions (…) ».

    Comme l’indique cet enseignant, l’outil permet une recherche à la fois extrêmement fine et large.

    Une invitation à la réflexion et à la collaboration en classe

    Autour de l’objet se crée une émulation de classe, nous explique t-il. Allant au-delà de la traduction, les élèves peuvent trouver, pour un seul mot, plusieurs sources fiables qui se complètent et confronter alors leurs recherches. C’est un bon moyen d’ouvrir des débats de classe, de faire confronter les idées.

    «  L’outil n’est donc plus une roue de secours mais un moteur qui crée une dynamique de classe », conclut Jean-Grégoire. « Il aide à réfléchir ».

    De la collaboration active entre enseignants autour de l’objet numérique

    Les collègues de Jean-Grégoire sont désormais équipés en dictionnaires électroniques pour leurs élèves et, même si les pratiques ne sont pas toutes similaires, chacun ayant sa propre manière de s’approprier l’outil, Jean-Grégoire se réjouit de pouvoir partager son expérience.

    A l’avenir, des expérimentations d’usages vont être faites en commun, entre plusieurs classes, ce qui démontre encore une fois tout l’intérêt de l’apport du numérique.

    « Quand je parle d’explorer cet inconscient collectif, l’arrière plan culturel qui nourrit le langage, c’est pour moi un continent à explorer et on ne peut pas le faire tout seul ; à plusieurs, cela permet à chacun d’apporter sa pierre à l’édifice », confie Jean-Grégoire.

    Côté élèves, le dictionnaire électronique est une évidence !

    Comme le souligne cet enseignant, tout objet numérique qui arrive en classe est accueilli à bras ouvert par les élèves ; pas besoin non plus de notice d’utilisation, « en une heure ils ont compris comment ça fonctionne ».

    Et sur le concept « le prof ne sait pas tout », Jean-Grégoire voit bien qu’en l’espace d’une semaine, ses élèves réalisent des choses que lui-même n’a pas encore découvert ! Et il avoue « humblement », « ils m’apprennent des choses aussi », un échange à double sens particulièrement apprécié.

    Devenir autonomes pour un meilleur apprentissage

    Avec un dictionnaire entre les mains, les élèves sont donc « détenteurs du savoir ». On se demande donc : « mais alors, que vont-ils apprendre ? » C’est bien là tout l’enjeu de Jean-Grégoire et de ses collègues : faire réfléchir les élèves sur ce qu’ils vont faire de ce savoir.

    Leur faire gagner en autonomie, voilà la réponse de notre enseignant.

    Il donne l’exemple des listes de vocabulaire à apprendre. Il a tout simplement exclu cette méthode de son enseignement et, plutôt que de distribuer des listes, il les fait créer aux élèves eux-mêmes.

    « Certains vont proposer une liste de 25 mots et d’autres plus de 100. Peu importe le chiffre exact, ce qui compte c’est que c’est adaptable en fonction du niveau de l’élève, de ce qu’il perçoit du dictionnaire ».

    Et il ajoute « on apprend jamais aussi bien que lorsqu’on a soi-même fixé les limites de ce que l’on doit apprendre ».

    Plus d’infos :

    Voir aussi la sujet : « Le dictionnaire électronique : la machine à rêver », ici

     

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  • Les appli éducatives « Apprends Avec », désormais sur Android

    Les appli éducatives « Apprends Avec », désormais sur Android

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    Les applications « Apprends Avec » ont reçu des millions de téléchargements sur iOS, des critiques excellentes de la presse et des notes constantes de 4/5 étoiles des utilisateurs.

    «Nous sommes ravis d’apporter nos applications pour enfants et surtout notre technologie et notre expertise basée sur l’apprentissage par le jeu sur les tablettes Android et de rendre ce programme éducatif accessible à un plus large public de parents et d’enfants », explique Pierre Le Lann, co-manager de Tribal Nova.

    « Apprends Avec » est un programme multi-matières unique en son genre, basé sur l’apprentissage par le jeu et développé pour les enfants âgés de 3 à 6 ans. Basé sur le programme d’enseignement de maternelle et conçu avec l’aide de pédagogues et d’éducateurs spécialisés, la gamme d’applications pour enfants prouve que des jeux peuvent être à la fois amusants et réellement éducatifs.

    Le programme « Apprends Avec » suit en temps réel le taux de réussite de l’enfant et ajuste le niveau de difficulté des jeux afin de s’adapter aux besoins d’apprentissage de chaque enfant en maths, lecture et écriture, sciences et langage. Les parents peuvent suivre les progrès de leur enfant dans chaque application, ainsi que par alertes emails, et les comparer avec les résultats d’autres enfants du même âge.

    Le programme propose également un parcours d’apprentissage personnalisé pour chaque enfant ainsi qu’un système très motivant de récompenses afin d’encourager l’enfant à réussir.

    La gamme d’applications éducatives pour les enfants « Apprends Avec » peut-être trouvée sur le Google Play Store à play.google.com.

    Les applications disponibles sont :
    –    Alphabet et mots! Jeux enfants
    –    Nombres & additions! Jeu Maths
    –    Grammaire et vocabulaire! Jeux
    –    Jeu de créativité pour enfants
    –    Compter et additionner! Maths
    –    Les saisons ! Jeux enfants
    –    Les animaux ! Jeux enfants

  • Le screencasting comme outil d’apprentissage

    Le screencasting comme outil d’apprentissage

    Ludovia_LambertLes élèves qui rencontrent des  difficultés de compréhension ou qui ont été malades ont régulièrement besoin d’aide. Certains parents paient des cours particuliers à leurs enfants, mais tous n’ont pas cette possibilité.  Le screencasting, permet de répondre en partie à cette problématique.

    Apport du numérique/présentation de la technique 

    Dans le cadre du cours de sciences je crée des screencasts pour aider mes élèves dans leur préparation de bilan ou pour préparer des examens.

    Concrètement je fais l’acquisition vidéo de mon écran avec un logiciel pendant que la webcam enregistre mes explications sur la résolution d’un problème de physique. L‘ensemble des screencasts est disponible pour les élèves sur une plateforme d’e-learning, un website ou via iTunes. Les élèves peuvent à loisir revoir les explications et certains parents l’utilisent pour expliquer à leurs enfants.

    https://itunes.apple.com/podcast/physique-podcast/id490492948

    Relation avec le thème 

    promesse du numérique en éducation, le screencasting permet d’aider les élèves et les parents, mais également le professeur, via des vidéos spéciales. Le screencast proposé est une vidéo de l’écran qui contient une incrustation de la webcam qui filme le professeur en train d’expliquer le problème en physique.

    Synthèse et apport du retour d’expériences en classe

    Actuellement avant un « bilan », les élèves me demandent si j’ai crée des screencasts…

    Le screencasting offre bon nombre d’avantages aussi bien pour le professeur que pour les élèves. La vidéo est plus pratique que les images pour l’explication des problèmes. Le screencast permet une flexibilité et un confort d’apprentissage en permettant des pauses dans la vidéo et de revoir à volonté un passage difficile. Le professeur gagne du temps en évitant de répéter plusieurs fois la même explication.

    Le screencasting offre la possibilité de passer au modèle de la “classe inversée”, où les élèves reçoivent des cours sous forme de ressources en ligne (en général des vidéos) qu’ils vont pouvoir regarder chez eux à la place des devoirs, et ce qui était auparavant fait à la maison est désormais fait en classe, d’où l’idée de classe “inversée”.

     Voir le programme général de l’Université d’été LUDOVIA 2013 ici

  • Comment l’usage pédagogique de la tablette numérique renforce-t-il les compétences des élèves ?

    Comment l’usage pédagogique de la tablette numérique renforce-t-il les compétences des élèves ?

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    À l’heure où la société se fait envahir par le numérique, je m’interroge sur la place qu’il doit, ou devrait occuper dans l’enseignement. Le B2i, qui avait fait son apparition dans un B.O en 2001, puis l’apparition du socle commun de compétences en 2005, impulsaient déjà cette nouvelle orientation. Récemment, M. Vincent Peillon, Ministre de l’éducation nationale, a clairement affiché sa volonté de « faire entrer l’école dans l’ère du numérique ».

    On comprend parfaitement qu’une fracture numérique entre l’École et la société doit être évitée : l’École doit s’adapter et évoluer dans ce sens. D’ailleurs, il existe de fortes attentes de la part des enseignants, des élèves, et même des parents, en matière de numérique interactif. Il est clair que les avantages de certains outils sont indéniables : ils permettent d’améliorer l’efficacité des enseignements, de mieux les personnaliser et l’interactivité des cours est une source supplémentaire de motivation pour les élèves.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée

    L’académie de Toulouse a mis en place en 2011/2012 deux expérimentations d’utilisation de tablettes numériques dans deux le second degré : une avec des tablettes sous Android et une autre avec des tablettes Apple, des Ipad2. Pour compléter ces expérimentations, elle a donc lancé pour l’année en cours, une troisième expérimentation sous Windows 8 afin d’avoir une vision globale de l’ensemble (IOS, Android et Windows 8) et d’identifier les possibilités et les limites des trois principaux systèmes dans l’enseignement.

    Plusieurs expérimentations sont en cours sur les tablettes dans toute la France mais aussi outre-Atlantique. Il s’agit d’un outil multimédia nomade qui offre une multitude de possibilités. Sa facilité de prise en main et ses nombreuses fonctionnalités réduisent les freins technologiques que l’on pourrait rencontrer lors de son utilisation. Le côté tactile permet de prolonger le geste jusqu’à l’écran ce qui réduit la distance humain/machine. Les élèves peuvent l’utiliser à l’extérieur et ainsi enrichir leurs productions à l’aide de photos, vidéos, podcasts…

    Relation avec le thème de l’édition 

    Imaginaires du numérique, session V mobilité et nomadisme : l’utilisation des tablettes en situation pédagogique offre de nombreux avantages par rapport à l’utilisation d’un ordinateur. La mobilité et la facilité d’utilisation de la tablette, son autonomie, en font un outil mieux adapté à la classe, que ce soit dans l’enceinte du lycée, du collège, de l’école, sur le terrain lors de sorties pédagogiques ou encore à la maison pour le travail personnel.
    Synthèse et apport du retour d’expérience en classe 

    Toutes les personnes concernées par cette expérimentation tablettes sont en grande majorité satisfaites ou très satisfaites de cet outil (élèves, parents et professeurs).

    Du point de vue des élèves, ces pratiques n’engendrent  pratiquement que des retours positifs. Ils sont entourés depuis leur naissance par le numérique et ces changements de supports et de modes d’apprentissage, ne semblent pas les effrayer, au  contraire. Les parents sont confiants et considèrent la tablette comme un outil moderne qui offre les moyens d’apprendre différemment avec son temps.

    Du point de vue des enseignants, l’utilisation de ces nouveaux outils remet en question tout ou partie de leur manière d’enseigner. Ils sont tout de même une grande majorité à penser que l’usage des tablettes a une influence positive sur les apprentissages. Mais, lorsque l’on constate que plus les enseignants se sentent à l’aise avec cet outil, plus les élèves apprécient l’usage en classe, il semble primordial de ne pas négliger la formation et l’accompagnement des enseignants.

    Voir le programme général de l’Université d’été LUDOVIA 2013 ici

  • Le dictionnaire électronique : la machine à rêver

    Le dictionnaire électronique : la machine à rêver

    L’enseignement contemporain des langues vivantes en Europe est profondément enraciné dans la réflexion dont témoigne le CECRL. Ce texte de référence a renforcé l’idée d’un apprentissage de la langue comme outil de communication et posé les bases d’une pédagogie « actionnelle » par la réalisation de « tâches ».

    Au fil du cursus scolaire, celles-ci se complexifient et font de plus en plus appel à une langue nuancée et authentique, c’est à dire fidèle à son modèle, mais aussi spontanée et personnelle.  Comment accompagner les élèves pour qu’ils parviennent à s’affranchir du modèle culturel de leur langue maternelle, qu’ils dépassent la pratique par imitation et accèdent à une autonomie leur permettant de recevoir autant que de produire un véritable « discours » en langue vivante étrangère ?

    Par ses fonctionnalités autant que par la fiabilité et la richesse de ses contenus le dictionnaire électronique est indéniablement un outil permettant d’apporter des réponses à ces questions.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée

    Le dictionnaire électronique est un outil numérique doté de fonctions de recherche avancées inspirée de la navigation sur le web (entrée alphabétique, parcours par arborescence, liens hypertextes, consultation de l’historique de recherche et création de listes de ‘favoris’). Combinant versions bilingues et monolingues, il est sécurisant pour les élèves et d’un recours précieux pour l’enseignant.

    C’est un outil pédagogique permettant de développer en classe de vraies stratégies d’accès au sens, de déclencher une prise de parole argumentée, en continu comme en interaction, de recenser à la source, d’organiser et d’apprendre au fil du cours un glossaire personnalisé, afin de conjuguer compréhension et réception, expression et construction, subjectivité et réflexion, communication et signification.

    Relation avec le thème de l’édition 2013

    Tout discours, qu’il soit écrit, oral, pictural, puise son sens profond dans un substrat « intertextuel » qu’on appelle souvent « inconscient collectif » ou encore « culture ».
    Plus qu’un ouvrage de référence, le dictionnaire est surtout une machine à rêver, comme l’écrivait Roland Barthes, un outil pour accéder à cet imaginaire hérité et se l’approprier. L’emploi de sa version électronique en cours de langues vivantes étrangères ouvre des perspectives pédagogiques infiniment passionnantes dont je me propose de donner une illustration très concrète sur la base d’un support écrit très bref (type Haïku) ou d’une image (travail niveau B1/B2)

    Synthèse et apport du retour d’expérience en classe

    L’utilisation ciblée, régulière et raisonnée du dictionnaire électronique, en particulier monolingue, en cours de langue favorise rigueur méthodologique et prise de distance vis-à-vis de la langue première.

    L’enrichissement des savoirs est d’autant plus net qu’il est adaptable et personnalisé : chacun se constitue son propre glossaire en fonction de sa compréhension des documents sources.

    L’exploration collective et individuelle de ces documents au moyen du dictionnaire est incitation à la confrontation des subjectivités mais aussi à la réflexion et à l’argumentation.

    Enfin la confrontation à un texte, au sens large de « discours », perçu comme intertexte (cf. Barthes « tout texte est un tissu nouveau de citations révolues ») induit un rapport nouveau au sens, un nouveau regard sur le lien signifiant/signifié.
     

     

     

  • Jouez avec les maths avec Numerosity

    Jouez avec les maths avec Numerosity

    Elle s’adresse aux enfants de 7 à 10 ans.  L’application encourage la créativité et l’imagination dans le cadre de l’apprentissage des mathématiques.

    Numerosity utilise des mécanismes de jeu incitant les enfants à découvrir par eux-mêmes les règles et les principes des mathématiques.  L’application encourage les enfants à jouer avec les chiffres, d’observer les résultats de leurs actions et enfin d’apprendre de la rétroaction immédiate.  Cela leur permet de progresser dans le jeu et d’apprendre à leur propre rythme.  Numerosity permet l’expérimentation, l’exploration, et place entre les mains des enfants leur propre apprentissage.

    Grâce à Numerosity, ThoughtBox démontre que que la technologie peut également être au service de l’éducation des enfants.

    Vers l’âge de douze ans, les élèves décident s’ils aiment ou détestent les maths, l’apprentissage des mathématiques devient une lutte par la suite. Il est l’objectif de ThoughtBox de rendre les enfants amoureux des maths avant ce point-ci.  Avec Numerosity, les mathématiques ne sont désormais plus une corvée mais un réel plaisir.

    Plus d’infos :
    ThoughtBox a déjà obtenu de nombreux prix et subventions.  Il s’agit notamment du Programme NDRC ‘Launchpad’, la compétition ‘Blueface Buisness Elavator 2012’, l’occasion de travailler à l’Académie ‘WAYRA’, en plus Numerosity vient de remporter deux prix à la cérémonie ‘Appys’ : la meilleure application éducative et le meilleur jeu, sans compter le prix ‘People’s Choice’ à la cérémonie ‘Beta Dublin’ et L’App Store ‘Best in 2012’.
    Cristina Luminea est le PDG de ThoughtBox, elle est passionnée par l’éducation et les mathématiques.

    Sur numerosity : wwww.numerosity.net

  • les «Orthochansons» viennent de sortir !

    les «Orthochansons» viennent de sortir !

    De formation littéraire (licence de lettres et Sciences-po), amoureux du français, auteur édité, et spécialiste reconnu de l’écriture multimédia au service de la pédagogie, il a voulu cumuler l’ensemble de ses expériences personnelles et professionnelles dans ce projet.

    Il s’agit d’un programme multimédia téléchargeable, qui s’appuie sur une approche pédagogique extrêmement nouvelle et ludique.
    Ce programme n’a pas pour ambition d’être exhaustif, mais «tout simplement» de balayer les fautes les plus courantes, et ceci dans la bonne humeur et avec le sourire !

    Il présente 25 «Orthochansons» soutenues par des animations pédagogiques, prolongées par des karaoké, par la présentation un simple des règles à découvrir de façon active, et par des exercices interactifs.
    Avec un rap, un rock, un tango, une rumba, une salsa, etc., etc., et avec beaucoup de jazz, l’ensemble est garanti pas triste !

    Une méthode en quatre temps

    Découvrir et comprendre…
    Chaque « Orthochanson » est soulignée d’une animation pédagogique.

    Mémoriser…
    Chaque « Orthochanson » est prolongée par un karaoké.

    Approfondir...
    Chaque « Orthochanson » est détaillée par l’étude active de la règle, ou des règles concernées.

    Appliquer…
    Chaque « Orthochanson » est immédiatement mise en application grâce à des exercices interactifs avec scores.

    Lancé il y a peu, il rencontre le succès auprès du public dans le monde entier (il y a des connexions enregistrées de Tokyo à Los Angeles, de Pékin à Moscou !). À l’étranger, il séduit les enseignants et les établissements d’enseignement spécialisé dans le «français langue étrangère».
    Il n’est pas destiné uniquement aux jeunes, mais également aux adultes (il y a même, d’ailleurs, un tarif spécial de 20 € pour les demandeurs d’emploi !).

    M. Denis Lamontagne, responsable de Toth Cursus, a qualifié les «Orthochansons» de «bombe pédagogique» ! Une référence !

    Plus d’infos :
    Il existe une version de présentation et de test gratuit : www.Orthochansons.fr
    Sur ce même site, il est possible de le commander, pour le télécharger en entier sur sa propre machine avec utilisation illimitée.
    « Le Blog Orthographique » : www.orthochansons.fr/blog