Catégorie : OUVRAGES

  • Scratch pour les Kids

    Scratch pour les Kids

    On apprend l’anglais, le chinois, il faut apprendre à coder.

    Une phrase d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique.

    Eyrolles_scratch_110315Fort de sa réputation d’éditeur de référence en informatique, il était légitime que les éditions Eyrolles lancent cette collection « Pour les Kids » dont les ouvrages d’initiation à la programmation s’adressent aux jeunes lecteurs de 8 ans et plus (et à leurs parents !).

    Avec une approche très visuelle et colorée, ces livres ludiques mêlent code, puzzle, jeux et bandes dessinées.

    Nos jeunes lecteurs apprendront non seulement à créer leurs propres jeux, à écrire des programmes informatiques, mais aussi et surtout à penser de façon créative, à bien raisonner, et à travailler en équipe. Des compétences essentielles pour s’épanouir dans le monde d’aujourd’hui.

    Ce premier livre, « Scratch pour les Kids« , ludique et accessible explique aux enfants les bases de la programmation (variables, boucles, tests…) avec l’aide de Scratch, logiciel libre et gratuit.

     

     

     

     

    D’approche très visuelle, fonctionnant par assemblage de briques de couleur, cet outil éducatif a déjà séduit des millions de débutants en programmation dans le monde. Avec cet ouvrage, les enfants seront amenés à réaliser différents projets, inspirés des classiques jeux d’arcade, afin de développer leurs aptitudes à raisonner, innover et travailler en équipe.

    Plus d’infos :

    ce livre est donné à partir de 8 ans

    Pour consulter un extrait : http://bit.ly/extraitscratchkids

  • du labo à l’école : science et apprentissage

    du labo à l’école : science et apprentissage

    Ce livre tente d’expliquer les difficultés des élèves dans l’apprentissage des sciences et réfléchit à la manière de les dépasser, en favorisant une meilleure compréhension des contenus et de la nature de la science. Il nous informe des découvertes les plus récentes de la recherche en neurosciences sur les différentes stratégies pour enseigner les sciences.

    Ce faisant, l’ouvrage souligne les liens étroits qu’entretiennent science et éducation. Il nous permet ainsi de prendre conscience que, même si nous possédons en nous une capacité naturelle à faire de la science, la science est une conquête : acquérir des connaissances scientifiques et apprendre à faire de la science implique que nous nous donnions les moyens de dépasser nos limites… tout aussi naturelles que notre penchant à connaître le monde.

    Sans une structure éducative dédiée, la science avancée ne pourrait exister. Science et éducation partagent le même avenir…

    Un ouvrage de référence, très complet, illustré de nombreuses expériences menées par les chercheurs en neurosciences, en laboratoire et en classe. Une réflexion originale qui instaure un dialogue productif entre sciences cognitives et pédagogie.

    A propos de l’auteur :
    Philosophe de formation, depuis sa thèse, Elena Pasquinelli s’intéresse plus particulièrement aux sciences de la cognition et du cerveau.
    Après avoir travaillé sur les illusions et leurs applications dans le domaine des technologies (robotique) et des médias (cinéma, jeux vidéo, réalité virtuelle…), elle s’est intéressée à l’éducation et à la manière dont les connaissances produites par la recherche peuvent permettre d’améliorer les pratiques, notamment, mais pas exclusivement, dans le cadre de l’éducation aux sciences.

    Elle est l’un des auteurs de Les écrans, le cerveau et l’enfant (Le Pommier, 2012) et a participé à l’élaboration du rapport de l’Académie des sciences consacré au numérique, L’Enfant et les écrans (Le Pommier, 2012).

  • L’élu(e) face au numérique

    L’élu(e) face au numérique

    Alors que le numérique irrigue tous nos usages et nos pratiques, l’attention reste focalisée sur le risque de fracture numérique de notre société susceptible de toucher les populations dites « éloignées » (seniors, ruraux…).

    [callout]Mais une autre fracture persiste : celle qui touche la grande majorité des élus et des décideurs politiques, décidément peu sensibles à ces sujets, le numérique étant resté trop longtemps pour ces derniers un sujet technique, voire ludique, alors qu’il est à l’origine d’une révolution sociétale.[/callout]

    Pascaleluciani_portait_260115Ainsi, l’émergence des politiques d’open data, les nouvelles attentes des citoyens, le renouvellement des modèles économiques liés au numérique et leurs risques associés n’ont pas été suffisamment appréhendés par l’ensemble des représentants politiques.

    Il s’agit de proposer, grâce à l’expérience de l’auteure et à son recul sur ces questions, une nouvelle vision du numérique au coeur de la cité afin qu’il devienne un enjeu transversal de l’action publique locale en l’intégrant dans toutes les politiques publiques (citoyenneté, culture, éducation, économie, environnement, santé et handicap, sécurité, action sociale et solidarité, tourisme, emploi, urbanisme et transports, voirie, parcs et stationnement).

    De nombreux témoignages et des retours d’expériences réussies jalonnent l’ouvrage.

    La première partie, « un pour tous », représente le début d’Internet, le Web 1.0 : plus vite, plus loin, plus nombreux. En un mot, un individu, une entreprise, une organisation peut toucher plus de monde plus rapidement et plus loin que par le passé grâce à Internet.

    Nous étions donc entrés dans l’âge des NTIC (nouvelles technologies de l’Information et de la Communication) et le mode “top down“.

    La deuxième partie, « tous pour un », représente le Web 2.0, lequel n’est pas une technologie nouvelle mais une utilisation nouvelle de cette technologie qui institutionnalise un mode d’échanges ascendant de tous les individus vers un autre individu, une entreprise, une administration.

    C’est l’âge des TIC (technologies de l’information et de la communication) qui, en perdant leur qualificatif de « nouvelles », deviennent plus accessibles et offrent le “bottom-up“.

    Avec le « tous pour tous », sont associés le “top-down“ et le “bottom-up“ reliant le descendant et l’ascendant, tel un sablier dont le goulot d’étranglement serait le dirigeant, l’entreprise, l’organisation, qui ne devient alors que l’intermédiaire, la plateforme d’échanges entre ces flux ascendants et descendants partant des individus pour rejoindre les individus.

    Nous sommes actuellement entrés dans cet âge, l’âge du numérique, rendu possible par l’accessibilité d’un plus grand nombre aux usages nouveaux

    et qui entraîne de profondes évolutions de nos échanges, et pas seulement en matière d’information, mais aussi en matière économique ainsi que dans les domaines de l’entraide et des services. Cet âge actuel revisite la proximité et notre citoyenneté.

    Plus d’infos:
    Vous procurer l’ouvrage sur boutique.berger-levrault.fr

    Pascaleluciani_ouvrage_260115

  • Internet à l’école, lancez-vous !

    Internet à l’école, lancez-vous !

    A travers des astuces et des exemples concrets d’activités, cet ouvrage, sur un ton complice et déculpabilisant, fait le lien entre la réalité du terrain et les bénéfices à enseigner connecté. Il démontre aux enseignants qu’ils possèdent bien souvent assez de connaissances sur le web et de matériel pour relever maintenant le défi du numérique ! Et ce, dans une pratique quotidienne, naturelle et indissociable de leur enseignement.

    Le premier chapitre permet aux enseignants d’y voir clair sur leurs envies et affinités avec le web (notamment grâce à un test psycho) mais aussi sur leurs possibilités de formation et le matériel.

    Les autres parties détaillent des usages possibles (réseaux sociaux, blogs, espaces numériques de travail (ENT), vidéos) tout en explicitant les activités proposées et en guidant les enseignants pour s’y mettre. Les compétences mises en œuvre et les intérêts de ces pratiques numériques y sont analysés : faire des élèves des internautes responsables, améliorer leurs compétences à l’écrit, motiver leurs apprentissages…

    Des encadrés pratiques, des fiches de préparation ainsi que des documents types apportent des réponses précises aux questions des enseignants concernant les aspects administratifs, légaux et techniques du web en classe (droit à l’image, charte d’utilisation des réseaux sociaux, demande d’équipement …). Et aussi : un glossaire et une sitographie qui permettent aux plus débutants de se lancer !

    Des interviews d’enseignants ponctuent le guide d’expériences inspirantes.

    Véritable mode d’emploi d’Internet à l’école et plaidoyer pour un usage rationnel des nouvelles technologies en classe, cet ouvrage concret et ludique s’adresse autant aux professeurs des écoles peu familiers du web qu’aux utilisateurs déjà convaincus.

    Au sujet des Auteurs :

    Katrin Acou-Bouaziz, journaliste spécialisée sur la famille a publié plusieurs guides pratiques (notamment aux éditions First et Fleurus).

    Alexandre Acou, professeur des écoles, est initiateur de twittclasses à Paris. Défenseur du numérique à l’école, formateur au CLEMI, il a participé à des conférences sur l’utilisation du numérique à l’école.

    En vente sur : editions-retz.com – parution 22 Janvier 2015

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  • Préparer sa classe en quelques clics

    Préparer sa classe en quelques clics

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    Cet ouvrage fournit ainsi une méthodologie d’usage associée à une application innovante, PREP’CLASSE, disponible en ligne.

    La première partie de ce  « guide » dresse un panorama des différentes pratiques des enseignants et leurs difficultés dans la préparation de la classe.

    La deuxième partie énonce  les principes méthodologiques pour la conception des séquences.

    La dernière partie présente l’application PREP’CLASSE.

    Cette application permet de concevoir efficacement des séquences et des séances pour tous les cycles de l’école primaire.

    Les contenus d’enseignement, les compétences et les connaissances attendues ainsi que les repères de progression étant préenregistrés, elle permet de se concentrer sur la définition des objectifs d’apprentissage, les modalités de travail, la différenciation…, gestes professionnels fondamentaux du métier d’enseignant. Son actualisation sera systématiquement assurée en fonction de l’évolution des programmes.

    En plus d’un gain de temps significatif, l’usage de cet outil numérique permet au professeur des écoles :
    •    d’établir un cahier journal hebdomadaire et de programmer ses séquences sur l’année scolaire ;
    •    de sauvegarder et d’organiser ces dernières en ligne dans une bibliothèque personnelle ;
    •    d’exporter ses fiches de préparation au format pdf ;
    •    de partager ses séquences (et les ressources qui leur sont liées) avec d’autres utilisateurs ;
    •    de bénéficier d’un forum permettant d’échanger sur ses pratiques.

    A propos des auteurs :
    Éric Segouin, professeur des écoles, puis conseiller pédagogique et IEN depuis 2002, est à l’origine de nombreux outils visant à favoriser l’expertise professionnelle des enseignants.
    Denis Bascans professeur des écoles et chargé de mission TICE est l’auteur de plusieurs applications informatiques visant à aider les enseignants à mieux percevoir les progrès et acquis des élèves.

  • Apprendre avec le numérique, mythes et réalités

    Apprendre avec le numérique, mythes et réalités

    [callout]« On est plus motivé quand on apprend avec le numérique », « Le numérique favorise l’autonomie des apprenants »,
    « Les élèves savent utiliser efficacement le numérique car c’est de leur génération »,…[/callout]

    Tricot_ouvrage_191114

    Autant d’affirmations que l’on entend régulièrement. Mais s’appuient-elles sur des résultats d’études sérieuses ?

    Les  auteurs Franck Amadieu et André Tricot, spécialistes des usages éducatifs du numérique, ont voulu avec cet ouvrage de synthèse, apporter quelques réponses et permettre un débat trop souvent occulté sur les vertus du numérique à l’école.

    Ainsi, ils passent au crible 11 mythes autour des TICE, qu’ils analysent en quatre temps :
    • présentation du mythe : développement des attentes et des arguments généralement avancés justifiant ces attentes ;
    • rapide bilan des travaux scientifiques examinant ce mythe ;
    • présentation concrète de plusieurs études pertinentes illustrant la réalité des TICE en lien avec le mythe, pour aider à la compréhension des apports et des limites des TICE ;
    • conclusion sur ce qu’il faut savoir pour la mise en œuvre dans la classe.

    En fin d’ouvrage, les auteurs dressent un bilan général, plaidoyer pour une utilisation raisonnée du numérique en classe.

    Note de la rédaction au sujet de l’ouvrage :

    Les auteurs emploient à juste titre le terme de « mythes » pour désigner toutes les idées qui sont véhiculées autour du numérique comme facteur « aidant » aux apprentissages. Non pas qu’ils souhaitent à tout prix démontrer que les outils numériques ne sont pas positifs, mais plutôt mettre en lumière, en s’appuyant sur divers études et travaux de recherche  (d’ailleurs qu’ils définissent comme plus ou moins fiables pour certains), que l’équation parfaite « technologie = performance et motivation » n’est pas si simple à démontrer.

    Ainsi, « alors que les serious games semblent avoir un effet très limité voire nul sur les motivations des apprenants, dans certaines situations, ils amélioreraient l’apprentissage » ou encore que « les supports mobiles et tactiles peuvent être perçus par les apprenants comme plus utiles et plus efficaces sans pour autant apporter de plus-value dans les apprentissages (paradoxe préférence/performance)« .

    Comme dénominateur commun, les auteurs mettent en avant l’absolue nécessité du scénario pédagogique comme « élément central des apprentissages scolaires « .

    L’idée de l’autonomie de l’élève, de l’apprenant, est aussi abordée dans ce livre. Et nous pourrions la résumer par : « les élèves sont-ils compétents pour être autonomes » ?
    Comme l’apprenant n’est peut-être pas en mesure d’avoir la culture suffisante pour savoir se servir d’un outil numérique à des fins d’apprentissage, saura t-il s’organiser pour apprendre seul ? Les auteurs parlent d’autonomie comme une compétence « pré-requise » et non comme une compétence qui s’acquiert avec l’utilisation du numérique.

    Du chapitre 4 au chapitre 7, il est question de « numérique qui permet un apprentissage plus actif », de « vidéos et informations dynamiques qui favorisent l’apprentissage » et de « numérique qui permet d’adapter les enseignements aux élèves« . En illustrant leur propos d’exemples concrets, les auteurs nous apportent les nuances qui vous aideront, peut-être, à comprendre pourquoi rien n’est systématique quand on parle de numérique.

    Une note plus engageante concernant « ce numérique » ira en faveur des technologies adaptées aux particularités des élèves dans le domaine des handicaps et des troubles dont André Tricot et Franck Amadieu avouent constater des résultats très encourageants, sous réserve que les acteurs (enseignants et élèves) maîtrisent ces technologies.

    Enfin, il est question, en fin d’ouvrage de lecture numérique. Tout comme il est expliqué dans les chapitres précédents que l’utilisateur du numérique a besoin de certaines compétences pour ne pas « sombrer » dans un usage passif, la lecture numérique peut tout à fait utiliser les compétences de lecture traditionnelle ;  la condition : que le lecteur sache faire le « tri » des informations qui lui sont utiles et donc avoir ce que les auteurs appellent les compétences ou « litteracies« .

    Ces « digital natives » (autre mythe abordé) ont-ils cette « litteracy » ? André Tricot et Franck Amadieu s’appuient sur les travaux de Sue Bennett en 2008 qui affirme qu’ »utiliser le concept de digital natives pour caractériser un effet de génération relève peut-être plus de la panique morale des intellectuels de la génération précédente, qui se se sentent dépassés, que d’autre chose« . En d’autres termes, même s’il  est vrai que les enfants qui ont grandi avec le numérique savent l’utiliser, « apprendre à l’école repose sur d’autres tâches spécifiques, peu influencées par la maîtrise des objets numériques ».

    A la fin de l’ouvrage, les auteurs rappellent la différence notable entre apprentissage et enseignement ; une différence qu’il faut, d’après eux,  garder à l’esprit car c’est là que se justifie clairement la présence de l’Ecole et de ses enseignants, au cas où vous penseriez encore que le numérique puisse remplacer cette institution…

    Nous citerons, pour terminer, le titre de la conclusion qui en dit long : « il ne suffit pas d’avoir toutes les ressources à portée de clic ».
    Bonne lecture !

    Plus d’infos :
    vous procurer l’ouvrage : www.editions-retz.com

     

  • Parution d’un livre sur les meilleures applications pour les enfants

    Parution d’un livre sur les meilleures applications pour les enfants

    Sourisgrise_livremeilleuresapplis_061114Postulat de moustaches

    Le livre ”Les meilleures applications pour les enfants 2015” est issu du travail de veille mené depuis 4 ans par le magazine en ligne La Souris Grise, www.souris-grise.fr. Il propose une sélection de 120 applications belles et intelligentes, créatives et innovantes.

    La Souris Grise se développe sur son « postulat de moustaches » : proposons aux enfants, de fait entourés d’écrans, des contenus culturels adaptés à leurs âges et à leurs thématiques d’apprentissage.

    Les applications sélectionnées avec soin et passées au crible de huit critères de qualité, sont critiquées librement. Les lecteurs retrouveront, au sein du livre, la ligne éditoriale positive du magazine en ligne – qui se concentre sur les produits culturels Jeunesse pertinents, graphiques et originaux.

    Coeurs de gruyère

    Les meilleures applications pour les enfants 2015” contient dix rubriques : Eveil, Jeux pour les plus de 3 ans, Jeux pour les plus de 6 ans, Histoires du soir, Nouvelles lectures, Créativité, Maths et logique, Sciences et Nature, Outils scolaires et Ovnis merveilleux.

    Chaque application y est chroniquée avec des indications d’âge, de format (Apple, Android, Windows 8) et de prix. Les coups de cœur de Souris – des applications particulièrement étonnantes – sont signalées par un logo en forme de cœur de gruyère.

    Recettes et connexions

    Un petit guide, Ecrans et enfants, Recettes de famille, complète l’ouvrage afin de donner aux parents des pistes pour une utilisation sereine et partagée du numérique à la maison.
    Par ailleurs, pour assurer une information toujours à jour à ses lecteurs, ”Les meilleures applications pour les enfants 2015”contient des QR Codes qui renvoient, pour chaque application chroniquée, vers la critique parue online.

    Slow screen

    Cet ouvrage se fait le chantre de l’artisanat et de l’innovation numérique présentant des contenus numériques culturels de grande qualité le plus souvent méconnus des familles. Alors même que la thématique de l’éveil et de l’éducation fait partie des activités phares pratiquées par les enfants à la maison d’aprés une étude Souris Grise menée sur 800 foyers équipées (parution mi novembre).

    Le numérique n’est ni une anecdote ni un effet de mode et tous les enfants du monde ont le droit de devenir des citoyens numériques avertis.

    La Souris Grise soutient à l’occasion de la sortie de ce livre, une école pour orphelins du Malawi, Jacaranda : 10% des revenus de l’ouvrage seront reservés à la fondation Jacaranda pour aider au développement de la salle informatique.

    Plus d’infos : ”Les meilleures applications pour les enfants 2015”est disponible à la vente dans la librairie Souris Grise. Et en cours de référencement en librairies.

     

  • Éducation aux médias et à l’information :  un « kit pédagogique » de Génération 5

    Éducation aux médias et à l’information : un « kit pédagogique » de Génération 5

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    Destiné aux professeurs de collège et notamment aux professeurs documentalistes, il peut également être utilisé au lycée pour aborder ou reprendre certaines notions.

    • Il donne des pistes et propose des situations précises d’enseignement dans lesquelles le numérique, même contextualisé dans une discipline scolaire, peut être un objet d’enseignement à part entière.
    • Il s’appuie sur les pratiques informationnelles et numériques des élèves, afin de donner du sens aux situations d’apprentissage et de permettre la transférabilité des connaissances, des capacités et compétences acquises dans la vie citoyenne des élèves.

    Trois grands thèmes sont développés en 34 séances :

    – Connaître et comprendre Internet et le Web.

    – S’informer et informer sur le Web.

    – Participer, protéger, partager : des choix de société ?

    Les auteurs sont Aline Bousquet, Marion Carbillet, Hélène Mulot et Marie Nallathamby, professeurs documentalistes. La Préface est de Divina Frau-Meigs, directrice du CLEMI.

    Plus d’infos :
    Des extraits sont consultables
    sur le site de Génération 5.

     

     

  • MOOC. L’apprentissage à l’épreuve du numérique

    MOOC. L’apprentissage à l’épreuve du numérique

    [callout]Auteur : Clément Lhommeau[/callout]

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    Présentation de l’éditeur

    Pour beaucoup – universités, entreprises, institutions –, il s’agit d’une innovation de rupture et du grand retour de la pédagogie, comme si les MOOC pouvaient redéfinir à eux seuls le destin de l’enseignement.

    Est-ce le début de « la fin des amphis » ?

    Cet ouvrage analyse avec rigueur tous les aspects et enjeux des MOOC ainsi que leur influence sur la pédagogie et l’apprentissage. Il étudie leurs racines techniques et idéologiques, dresse le panorama de ce qu’ils prétendent révolutionner. Il explique leurs spécificités, leur modèle économique, les modalités de leur succès, et montre qu’ils sont l’avant-garde d’une profonde transformation de l’enseignement par le numérique.

    « Le livre de Clément Lhommeau apporte une contribution pertinente et claire au sujet des MOOC pour l’avenir de l’éducation nationale et de la formation qu’ils représentent. » Nathalie Silbert, Les Échos

    « Alors que tout le monde veut son Mooc, Clément Lhommeau aborde la question qui fait peur : Qu’avons-nous fait ? L’Éducation s’uniformisera-t-elle après s’être mondialisée ? Comment pouvons-nous influencer ce nouveau mode d’apprentissage qui semble aussi universel que massif ? La standardisation du savoir et donc de la pensée nous guette-t-elle ? Encore un sujet digne de l’attention de l’humanité. Vaste, mais passionnant programme. » Olivier Arriat, Le Figaro

    Biographie de l’auteur :

    Diplômé de l’École des hautes études en sciences de l’information et de la communication (CELSA), Clément Lhommeau a réalisé un travail de recherche sur les Massive Open Online Courses (MOOC). Passionné par les questions d’éducation, il est aujourd’hui directeur marketing d’une start-up dans le milieu de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle, et écrit régulièrement sur ces thématiques pour la presse.

    Source : FYP Éditions