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  • Lancement du Collectif Code Junior : la Culture Code se fera ensemble

    Lancement du Collectif Code Junior : la Culture Code se fera ensemble

    Tralalere_clubcodage_070414Ce collectif a pour vocation de fédérer les acteurs indépendants qui croient que s’initier à la Culture Code est important pour que nos enfants ne soient pas uniquement des consommateurs digitaux mais deviennent des citoyens numériques éclairés, créatifs, inventifs.

    Cette Culture Code s’inscrit à la croisée d’une éducation aux medias et à l’information, d’une culture scientifique et technique, et d’une démarche de création… et de plaisir.

    Le Collectif Code Junior a la particularité de réunir des structures impliquées venues d’horizons divers, qui « font » la Culture Code sur le terrain et initient les enfants, dans le domaine du périscolaire.

    Tralalere_clubcodage2_070414Nos objectifs

    • Être un espace d’échange et de débat entre les acteurs du secteur, favoriser les synergies entre acteurs et dispositifs (en matière d’éducation aux médias et à l’information, de médiation scientifique, d’espaces d’expérimentation et création, etc.)
      Autant d’idées nouvelles, autant de questionnements et de rencontres …
    • Démocratiser et faire connaître la Culture Code, afin qu’elle ne soit plus le privilège d’un microcosme mais soit accessible à tous ceux qu’elle intéresse.
      La fracture culturelle mérite aussi d’être combattue côté code
    • Favoriser la création et le déploiement d’initiatives, projets et programmes d’envergure,  en sollicitant les appuis politiques et financiers.
      Pas de miracle, sans ces appuis, cette démocratisation ne pourra voir le jour.
    • Participer à  l’émergence d’une French Tech Code, et à son rayonnement à l’international.
      Qui a dit que la culture du code devait être uniquement anglo-saxonne ?
    • Créer dans les mois à venir un portail qui permette aux familles comme aux institutions de savoir ce qui se fait et ce qui se passe en France à travers les actions de ses membres.
      Compliqué de s’y retrouver de nos jours…

     

    Trallalere_clubcodage2_070414Vous êtes invités

    Le  Collectif, coordonné par Tralalere, est ouvert à toutes les structures et personnes qui souhaitent participer à l’aventure naissante d’une Culture Code pour les enfants en France.

     

     

     

    Les membres du collectif 

    –     Bibliothèques Sans Frontières (BSF) www.bibliosansfrontieres.org est l’une des principales ONG qui œuvrent pour l’accès au savoir, à l’information et à l’éducation dans le monde francophone.

    Les Voyageurs du Code est un projet de sensibilisation et de formation du grand public à la programmation informatique. A partir d’avril 2014, un projet pilote sera lancé à Montreuil en lien avec le réseau des bibliothèques, avec le soutien de la fondation d’entreprise Hi-Media. A l’aide d’outils adaptés en Français, en particulier la plateforme Codecademy dont BSF est le partenaire en France, des ateliers de découverte et de formation animés par un réseau de médiateurs volontaires seront proposés, dans de nombreuses structures publiques et associatives de la ville. Ce projet sera étendu à l’ensemble du territoire français dès la fin de l’année 2014.

    –     Collectif enjeux e-médias : www.enjeuxemedias.org

    Le collectif réunit les Ceméa, la FCPE, les Francas, la Ligue de l’Enseignement. Il entend notamment défendre le droit des citoyens à une information de qualité, pluraliste et indépendante, promouvoir l’éducation aux médias, à l’information et au numérique, pour tous les enfants et les jeunes, et défendre les intérêts des éducateurs et des parents afin de disposer des moyens pour mettre en œuvre cette nécessaire éducation aux médias, à l’information et au numérique.

    –     Gilles Babinet : c’est lors des réunions des Digital Champions qu’il a en premier lieu entendu parler des initiatives de code pour les enfants (Linda -digitale champion finlandaise- avait lancé une initiative de ce type dans son pays ; l’ancienne digital champion du UK -Martha Lane Fox-  est aussi impliquée dans ce type d’initiative avec kids Codding). Gilles avait initié la traduction de Codecademy en français, Bibliothèque Sans Frontières a pris le relais. Il a tôt plaidé pour qu’on envisage des initiatives à grande échelle à ce sujet, au niveau politique et dans des conférences.

    –     L’association Forum Education Science Culture (FESC) : http://fesc.asso.fr

    L’association Forum Education Science Culture (FESC) est basée à Saint Gratien dans le Val d’Oise depuis 1980. Aujourd’hui, la mission de l’association est de promouvoir la créativité numérique sous toutes ses formes. Montage Photo & Vidéo numérique pour les séniors et pour les juniors : construction et programmation de robots LEGO Mindstorms ou de jeux vidéos.

    –     Magic Makers : magicmakers.fr/blog

    C’est devenir l’inventeur de ses propres jeux grâce à l’ordinateur. Dès 8 ans, les enfants s’amusent à coder des histoires interactives, des jeux vidéo et des objets connectés. Grâce à une méthode pédagogique basée sur l’expérimentation et le partage, ils acquièrent des compétences indispensables au 21ème siècle et passent du rôle de spectateur à celui de créateur. Les premiers ateliers ont démarré à la rentrée 2013 sur Paris (raconté sur le blog magicmakers.fr/blog), ils seront suivis à la rentrée 2014 par une offre d’ateliers hebdomadaires et des stages extrascolaires. Des ateliers périscolaires subventionnés en partenariat avec l’association Graine de Partage viendront compléter l’offre.

    –     Kids Coding Club (www.kidscodingclub.org) est l’activité d’éducation au numérique de l’association des Compagnons du Dev, fondée en 2013 dans l’objectif d’offrir les clés du monde numérique. Au-delà de l’appropriation d’outils, Kids Coding Club accompagne les citoyens à devenir artisans du numérique pour leur ouvrir de nouvelles voies d’accès vers l’éducation, l’emploi, la culture et le lien social. Il propose des ateliers d’initiation à la programmation, à la robotique, à l’impression 3D et aux objets connectés, pour les 8-14 ans, sous forme d’invitations hebdomadaires récurrentes, de stages péri-scolaires et d’ateliers pilotes dans les écoles. En mars 2014, 150 enfants étaient accueillis lors des ateliers et événements. Kids Coding Club bénéficie du soutien de Microsoft.

    –     Programatoo : apprendre à programmer (contact : Audrey Neveu et Aline Paponaud)

    Programatoo, initiative créée en février 2012 par deux développeuses de Sfeir, et supportée par cette entreprise, a pour objectifs : faire avancer la connaissance de la programmation pour que ce métier soit mieux connu et considéré par les générations futures, et améliorer la connaissance des outils et technologies utilisés par tous. Programatoo propose des ateliers pour enfants et des formations pour adultes avec une intervention chaque lundi au centre de loisirs de l’Etang de Nanterre auprès des enfants de 8 à 10 ans.

    COORDINATEUR

    –        Tralalere : www.tralalere.com

    A l’initiative du Collectif Code Junior, Tralalere produit des ressources numériques éducatives depuis 2000. La société mène depuis 2007 des programmes d’éducation média pour les jeunes et de leurs médiateurs éducatifs déployés dans toute la France. Tralalere est en cours de développement d’un projet ambitieux de plateforme de modules pour initier les enfants au code : code-decode. Le premier module en cours, un jeu pour apprendre à coder : Gleamcode.

    Opérateur de programmes nationaux fédérant de nombreux acteurs (comme www.internetsanscrainte.fr), animateur de portails de ressources éducatifs, Tralalere met à disposition du collectif son savoir-faire en coordination et animation de réseaux professionnels.

     

  • Le numérique : simple et efficace ?

    Le numérique : simple et efficace ?

    Une démarche de diffusion…

    Si on y regarde de près, sur le terrain des buts à atteindre, la connaissance précise des objectifs à se fixer et des étapes à franchir impose une conception méticuleuse des outils de régulation.

    Cette conception induit la possibilité d’une régulation rapide et efficace en temps réel.
    Ce dispositif a longtemps été valorisé, et le demeure, sur le terrain des applications ‘ouvertes‘ permettant à l’utilisateur de pouvoir y apporter les corrections nécessaires ou interventions souhaitées très rapidement.Ce concept fait les beaux jours des suites bureautiques (et en particulier les tableurs) ou, phénomènes encore récents, des livres à construire (type ibook, diaporama ou didapage), objets de création à partager que ce soit entre concepteurs ou du concepteur vers l’utilisateur.Ce mécanisme d’échange a produit de nombreux outils des plus simples aux très évolués qui ont impulsé un mouvement conséquent qui met en évidence une problématique réelle liée à la logique de son utilisation. On peut dire aujourd’hui que le numérique ne rencontre que peu d’obstacle à son utilisation de fond, mais par contre, se heurte assez souvent à l’écueil de la forme.Dans un précédent article, je mettais en avant la valeur de l’enseignant/développeur. Il apparaît incontournable de considérer ce propos comme allant au-delà d’une manifestation corporatiste qui renvoie dos à dos les éditeurs et les utilisateurs, et il s’agit bien de revenir sur cette notion de fond déterminante pour la valeur d’un outil. Un fond qui se construit sur l’idée et l’expérience.

    MartialP3_310314Des outils classiques aux outils numériques…

    J’ai un exemple très précis que j’utilise très souvent et dont je souhaite à nouveau me servir. Le relevé d’une performance temps : le chronomètre.Outil indispensable du professeur d’EPS, il symbolise aussi très certainement ce que peut être l’outil de base dans une discipline.Ce chronomètre, outil ‘classique‘ est devenu avec la technologie tactile un outil ‘numérique‘.
    Nous partons d’un usage simple, facile d’accès, y compris pour nos élèves, que nous passons de sa forme basique (un boîtier, 3 boutons, pour une somme modique) à une forme élaborée (un écran tactile, pour une somme plus conséquente). Sur le fond, il n’y a pas grand chose à avancer. On lance une activité de chronométrage, on valide des temps… Sur la forme, il apparaît plus compliqué de valoriser l’usage du numérique pour un coût bien supérieur et en considérant simplement la saisie de temps de course.Hors, la plus-value issue de ces actes simples s’attache à la manière dont est pensé l’application sur le support technique qui lui est attribué. Comment rester simple tout en offrant un service supplémentaire et de qualité aux utilisateurs, dont l’objectif principal demeure la mise en évidence du progrès, la valorisation des apprentissages et l’atteinte des meilleurs résultats ?
    Tout d’abord, bien penser que l’on ne peut pas tout demander au numérique. Son utilisation demeure, comme à beaucoup d’occasions, un acte ponctuel dont la vocation est de valoriser l’instant par la possibilité d’avoir une connaissance plus approfondie du résultat.
    L’acte pédagogique premier n’est pas d’offrir un résultat traité, mais bien de mettre en avant la réponse à des consignes, orientées par des buts et ponctuant l’atteinte progressive d’objectifs. De ce fait, la complexification permanente des outils n’est pas une mesure de l’évolution de ces mêmes outils, mais une complexification de l’utilisation qui finira par se transformer en abandon, pour ne pas dire rejet !MartialP_310314Une application faisant tout à ‘ma‘ place aurait en effet dévastateur sur l’image de ce qu’est apprendre, la position de l’enseignant et la valeur de l’essai/erreur avec une interaction humaine.
    L’association par la suite, d’information d’un nouveau genre (dans l’exemple la vitesse, l’amélioration par rapport à la performance précédente, l’atteinte de la meilleure performance) apportera le plus nécessaire à la valorisation de l’action et à la relation privilégiée à l’outil qui accumule des capacités qu’il est difficile d’avoir pour un enseignant en dehors d’une organisation méticuleuse mais ‘chronophage‘ !
    Très concrètement, je vous invite à aller faire le tour des différents Market pour y relever, dans cet exemple très précis, l’ensemble des applications gratuites et payantes qui se proposent de rendre ce service. Et la mission qui vous incombe est de pouvoir relier en un temps record (celui que vous impose la participation optimale de chaque élève lors d’une séance de pratique) la performance à celui qui l’a réalisé tout en lui permettant d’avoir accès à un bilan immédiat à la fin du cours ainsi qu’en rentrant chez lui.
    Et pour corser le tout, permettre de diffuser cette information dans le temps, de l’uniformiser dans une équipe éducative, car il me semble important d’offrir une formation de qualité à l’ensemble des élèves d’un établissement et pas seulement à quelques groupes par manque de formation et de moyens.
    Pour arriver à cela, il apparaît que la mise en place de telles séances doit être intuitive. Tirées des problématiques de terrain, des contraintes du quotidien et de la connaissance des moyens en place, un nombre restreint d’applications peuvent prétendre répondre à ces aspects, tout en gardant une fonction simple, ponctuelle et peu contraignante.La prise en compte minutieuse des manipulations nécessaires à l’organisation d’une séquence de prise de performance, de la création des groupes et des épreuves à l’apprentissage des manipulations à effectuer pour chronométrer, permet d’optimiser la valeur du numérique et renforce le côté performant de l’information supplémentaire décrit précédemment.
    Plus qu’une formation devenue nécessaire face à la multiplication des propositions d’application, d’usages et d’expérimentations, la structure des produits proposés par les développeurs revêt une importance capitale dans le choix d’entrer dans le numérique comme celui d’y poursuivre et y avancer.
    MartialP2_310314N’oublions pas que les outils passent de l’enseignant à l’élève. Si ce n’est pas le cas, ils doivent y passer obligatoirement. Pour arriver à ce que cet acte de confiance et de responsabilisation se fasse, il faut bien que chacun, à son tour puisse maîtriser dans sa quasi totalité l’application utilisée pour la fonction à laquelle il la destine et que cette application, ponctuellement, accomplisse ce à quoi on la destine… simplement…

    Les contraintes du changement…

    Par rapport à ce que nous connaissions des fichiers que nous échangions, et que nous échangeons encore, l’arrivée des tablettes et de nouvelles technologies ont considérablement réduit les utilisations tout en offrant malgré tout une vision très encourageante des avancées.La nécessaire adaptation à la mobilité s’est faite au travers de l’apparition d’outils d’un nouveau genre, fermant de manière évidente l’accès à des modifications personnelles, mais ouvrant l’usage à des publics variés, développant de ce fait une nouvelle pédagogie, numérique et résolument évolutive.L’école avance dans l’ère du numérique. Et ce ne sont pas les propositions les plus technologiques qui en sont la cause, mais bien les idées les plus adaptées, souvent simples, mais répondant de manière précise à des préoccupations précises.A cette place encore, nous trouvons les principaux intéressés. Eux-mêmes sous la pression de leur public quotidien.

    Il s’agit bien des enseignants et de leur capacité à juger de l’efficacité de ce qui leur est proposé au regard des résultats qu’ils recherchent, non pas pour que la technologie les remplace, mais bien pour qu’elle les épaule. Et simplement.
  • Des eaux et débats : le nouvel épisode de L@-KOLOK.com

    Des eaux et débats : le nouvel épisode de L@-KOLOK.com

    Lakolok_140314Voir l’épisode ici
    L@-KOLOK.com est une web-fiction interactive et pédagogique libre d’accès, destinée principalement aux jeunes de 14 à 20 ans, qui aborde de manière ludique et humoristique des thématiques responsables et citoyennes.

    Mettant en scène le quotidien de quatre jeunes en colocation, cette web-fiction « dont on est le héros » propose des arrêts sur image qui permettent à l’internaute de choisir la suite d’une scène.

    Chaque épisode est construit autour d’un sujet de société particulier ; l’alimentation, l’énergie, la consommation responsable. Le premier épisode « Popote Chef » a été lancé en novembre 2012.
    La mise en ligne du quatrième volet de L@-KOLOK.com, sur le thème de l’EAU, a lieu le 10 mars 2014.

    Le pitch de l’épisode « Des eaux et débats »

    Panique chez les Koloks : le robinet de la cuisine fuit, l’évier est bouché et Sofian est en plein déménagement. Emma, elle, est déjà au Costa Rica. Restent Romain et Marilou pour résoudre le problème… mais l’une passe son temps sur Skype et l’autre n’est pas réputé pour son sens du bricolage !

    Heureusement, comme toujours chez les Koloks, les énergies finissent par se conjuguer : même les bras encombrés de cartons, Sofian déborde de théories, Emma l’écolo propulse ses conseils de l’autre bout de la planète et Romain, assisté de Marilou, improvise une improbable maquette sur le cycle de l’eau. Et c’est ainsi qu’au passage, on en apprend beaucoup sur le cycle de l’eau domestique.

    Sensibiliser sur la gestion et les ressources en EAU

    Ce nouvel épisode permet d’aborder quatre grands thèmes ; la production d’une eau de qualité, le cycle de l’eau domestique, la gestion de l’eau et enfin la consommation d’eau et le gaspillage.

    Comme pour les autres volets de la web-fiction, l’épisode est en lien avec des vidéos « Paroles d’expert » qui viennent approfondir et renforcer la découverte de la thématique.

    Elles ont été réalisées grâce au partenariat technique de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME) et de l’Agence de l’Eau Seine Normandie.

     

    Episode réalisé avec le soutien de la Région Ile-de-France et Eau de Paris

    LA KOLOK : un dispositif transmédia :

    Concept pédagogique innovant, le « transmédia » est une nouvelle forme de narration permettant de raconter une même histoire sur plusieurs supports (vidéo interactive, réseaux sociaux, jeu de société, jeu en réalité alternée, podcasts, etc.). Grâce au potentiel des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, l’internaute est invité à agir directement sur le déroulement de l’histoire, en naviguant sur les différents supports et en dialoguant avec les personnages sur les réseaux sociaux.

  • Printemps du Numérique : à suivre en direct sur LudoMag !

    Printemps du Numérique : à suivre en direct sur LudoMag !

    Le Printemps du Numérique, 3ème édition, ouvrira ses portes au Grand Palais de Lille les 18, 19 et 20 mars prochains.

    Les inscriptions affichent complet !

    Néanmoins, si vous souhaitez profiter des nombreux intervenants présents à cette occasion et suivre l’évènement à distance, LudoMag vous propose, la retransmission en direct, d’un panel varié de personnalités jouant un rôle majeur dans cet évènement sur l’école numérique.

    Référez-vous au programme ci-dessous et rendez-vous dès mardi 18 mars sur notre chaîne Youtube LUDOVIA MAGAZINE, onglet Playlist « Printemps du Numérique Lille ». ou rendez vous sur cette page, toutes les vidéos des intervenants seront visibles ci-dessous.

    Pour les plus chanceux qui sont déjà inscrits, l’appli du Printemps est sortie ! Téléchargez-la avant d’y aller , elle est disponible pour les téléphones mobiles, tous formats ! Android, W, et sur l’apple Store ! Elle est bien sûr gratuite.

    Printempsnumerique_Appli_130314Dispo sur Google Play ou Apple Store

     

    Pour plus d’infos sur le programmedepartementeducation.enseignement-catholique.fr/ecolenumeriquepourtous

     

    Suivre le Printemps du Numérique sur twitter :

    @CoordTice et #Printempsdunumerique

     

     

    Programme du « Direct » LudoMag TV

    Retrouvez notre « playlist » de tous les intervenants sur la chaîne YouTube Ludovia Magazine

    Mardi 18 mars

    Horaire Intervenant Sujet
    14h00 Marcel Lebrun Classe inversée et MOOCs
    14h20
    14h30 Yannick Potier la téléréalité au service des apprentissages
    14h50
    15h20 Serge Tisseron Apprivoiser les écrans
    15h30 Bénédicte Dubois numérique et besoins éducatifs particuliers
    16h20 Claude Berruer, adjoint au secrétaire général Pourquoi le Printemps du Numérique
    16h40 Michel Perrinel intégration de la réalité augmentée dans les apprentissages
    17h00 Jean-Roch Masson Apprendre à lire et à écrire avec twitter

     

    Mercredi 19 mars

    Horaire

    Intervenant

    Sujet

    09h30 Pascal Bihoué (trophée) quel bilan pour la pratique de la classe inversée
    10h15 Benoît Skouratko Des sites pour enseigner
    10h40 Eric Viennot les nouvelles formes dʼécriture et le transmédia
    12h00 Anne Lechene BIC Education, Elèves et outils nomades

     

    Horaire

    Intervenant

    Sujet

    14h20 Jean Pierre Gallerand auteur de 40 jeux sérieux pour les svt
    14h40 Benjamin Lévy musique et numérique
    15h15 Elie Maroun illetrisme et numérique
    15h20 Vanessa Lalo décodage de la pratique du « e-sport »
     15h30  Olivia Assemat (trophée)  la création de votre jeu sur Ulysse

     

    Horaire

    Intervenant

    Sujet

    15h40 Alain Lahrant apprentissage à distance
    16h00
    16H10 Jean-Luc Velay, CNRS Articulation de la culture de l’écran avec la culture de l’écrit
    16h40 Le frère Thierry lʼapplication Théobule
    17h00  Alan Yvon pratiques d’écritures numériques

    Jeudi 20 mars

    Horaire

    Intervenant

    Sujet

    08h40 Pascal Balmand, secrétaire général
    09h00 Julian Alvarez et Sylvain Haudegond Edugames
    09h20 Jean Philippe Barthe projet écriture à plusieurs mains
    09h40 Marie-Odile Plançon sur le jeu des 3 figures
    10h00 Valéry Auchère sur la fracture numérique
    10h10 Jérôme Gaillard Animer un territoire

     

  • Google veut se rapprocher du monde de l’enseignement

    Google veut se rapprocher du monde de l’enseignement

    Google_Renaissance_240214En investissant dans Renaissance Learning, Google via le fond « Google Capital », prend une nouvelle orientation ; c’est un grand pas vers l’éducation ; jusqu’à présent, Google Capital, ayant pour vocation d’accompagner les sociétés dans leur croissance, s’était concentré sur Lending Club (finance participative) et Survey Monkey (sondage en ligne).

    Renaissance Learning n’est pas le « premier venu » en matière d’outils pour enseigner. L’entreprise propose des services cloud pour enseigner mais aussi pour évaluer les élèves et compte actuellement pas moins de 20 millions d’étudiants et d’enseignants qui utilisent ses solutions à travers le monde.

    « All over the world, technology has opened new doors for students to learn both in the classroom and at home. For many educators, the question is not whether to embrace new technology, but how to embrace technology in a way that makes teachers’ lives easier and meaningfully boosts student achievement, » said Gene Frantz of Google
    Capital. « Renaissance Learning is at the forefront of this educational movement, and their ability to use data to support effective teaching and drive student growth is unparalleled ».

    Google Education compte déjà plusieurs services et applications utilisés par la communauté éducative comme Google Calendar, Gmail, Google Docs etc. Par cette acquisition, on imagine que sa stratégie serait de rendre compatible ses propres outils à ceux développés par Renaissance Learning, pour construire une offre dédiée aux enseignants et à leurs élèves… Affaire à suivre.

    Avec cette levée de fonds, la valorisation de Renaissance Learning, qui fait partie du groupe britannique Permira, approcherait le milliard de dollars.
  • Marcel Lebrun :  quelles pédagogies pour quels apprentissages à l’ère numérique ?

    Marcel Lebrun : quelles pédagogies pour quels apprentissages à l’ère numérique ?

    MLebrun_MOOC_180214Marcel Lebrun nous renvoie au démarrage des technologies avec l’invention de l’écriture  :

    « Le dieu Theuth, inventeur de l’écriture, dit au roi d’Égypte : « Voici l’invention qui procurera aux Égyptiens plus de savoir et de mémoire : pour la mémoire et le savoir j’ai trouvé le remède [pharmakon] qu’il faut » – Et le roi répliqua : « Dieu très industrieux, autre est l’homme qui se montre capable d’inventer un art, autre celui qui peut discerner la part de préjudice et celle d’avantage qu’il procure à ses utilisateurs. Père des caractères de l’écriture, tu es en train, par complaisance, de leur attribuer un pouvoir contraire à celui qu’ils ont. Conduisant ceux qui les connaîtront à négliger d’exercer leur mémoire, c’est l’oubli qu’ils introduiront dans leurs âmes : faisant confiance à l’écrit, c’est du dehors en recourant à des signes étrangers, et non du dedans, par leurs ressources propres, qu’ils se ressouviendront ; ce n’est donc pas pour la mémoire mais pour le ressouvenir que tu as trouvé un remède. » Platon, Phèdre, 274e-275a

    Il nous conduit ensuite vers ce qu’il appelle le « principe de cohérence« , outils-objectifs-méthodes. Puis nous donne quelques définitions de ce qu’est Apprendre, « apprendre et enseigner » ou encore « enseigner et apprendre« . Et il s’en réfère à une discussion entre Michel Serres et Bernard Stiegler sur le « pourquoi nous n’apprenons plus comme avant« , à découvrir ici.

    Mise en lumière de la génération « C » et de la génération « Y » pour en arriver progressivement à la formation, au e-learning et aux ressources puis au débarquement des MOOCs ; « il y a MOOCs et MOOCs »… en passant par les Flipped Classrooms.

    Toute une réflexion à découvrir ici :

    ou en vidéo ici


    Plus d’infos sur l’auteur :

    Marcel Lebrun Institut de Pédagogie universitaire et des Multimédias IPM Université Catholique de Louvain UCL marcel.lebrun@uclouvain.be Blog de M@rcel : http://bit.ly/Blogdemarcel Twitter id : @mlebrun2 Scoop.it : http://www.scoop.it/u/marcel-lebrun

  • Promouvoir et développer une offre francophone de Cours en Ligne Ouverts et Massifs

    Promouvoir et développer une offre francophone de Cours en Ligne Ouverts et Massifs

    AUF_MOOC_170214La convention de partenariat qui lie l’Agence universitaire de la Francophonie au Ministère français de l’Enseignement supérieur et de la Recherche depuis le lundi 27 janvier 2014, fait écho à la 17ème action de l’agenda numérique établi par le Ministère pour développer le numérique dans l’enseignement supérieur et la recherche française.

     

     

    Elle prévoit le déploiement d’actions spécifiques à destination de la Francophonie. L’AUF et le MESR s’entendent pour :
    – promouvoir la diffusion de l’offre française et francophone à travers leurs réseaux et sites Internet respectifs ;
    – faciliter les partenariats publics-privés pour développer l’offre de CLOMs ;
    – mettre en relation les établissements d’enseignement supérieur français et les établissements francophones du Sud pour conclure des partenariats permettant de construire des CLOMs ;
    – participer conjointement à l’élaboration d’une démarche qualité pour les CLOMs, notamment en matière d’organisation, de suivi pédagogique, de certification et de modèle économique.

    L’échange de compétences entre le MESR et l’AUF se traduit aussi par des actions communes telles que l’organisation des certifications proposées par les établissements français. De même, un CLOM destiné à former les enseignants pour la conception de cours en ligne est financé conjointement.

    L’AUF mobilisera ses campus numériques francophones (CNF ®) pour relayer l’offre française de CLOMs. L’Agence a également lancé début novembre 2013 un appel à projets destiné à ses membres du Sud pour la conception de CLOMs et de formations à distance. Il s’agit, là aussi, d’enrichir l’offre francophone en la matière.

    Ce partenariat confirme l’engagement de l’Agence universitaire de la Francophonie dans la modernisation des universités par le numérique éducatif.

    « L’AUF, qui entend partager ses compétences dans le domaine du numérique, collaborera activement avec le MESR. Car les CLOMs représentent un défi primordial pour l’université française et le monde universitaire francophone. L’Agence, vecteur de diffusion du savoir en langue française, contribue au rayonnement international de la communauté universitaire francophone, dans un contexte où l’on présente souvent l’anglais comme la seule langue de coopération », explique Bernard Cerquiglini, Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie.

  • Nouveau look pour Maskott.com !

    Nouveau look pour Maskott.com !

    Maskott_200114Maskott vous apporte une solution globale incluant l’ensemble des équipements multimédia nécessaires à votre projet : serveurs, ordinateurs individuels, tablettes numériques, classes mobiles, baladodiffusion, tableaux interactifs, infrastructures réseau, logiciels supports et logiciels pédagogiques …

    En cette rentrée 2014, Maskott revisite son site Internet, retrouvez :
    –        Tactice : l’offre tablettes numériques pour les écoles primaires Orange-Maskott  avec un bouquet de contenu en partenariat avec BrainPop, Edupad, MyBlee
    –        Tactileo : le projet APE2 (Appel à Projet E-Education du MEN) sur le tactile dans la classe, répondez à nos questionnaires ou devenez établissement testeur
    –        Edustart : l’offre tablettes et ordinateurs portables pour les Etudiants et les Enseignants Samsung-Maskott
    –        La classe immersive : développement de logiciels Maskott sur table tactile avec objets tangibles, sol interactif…
    –        Les offres matériels/logiciels Maskott : tablettes numériques, tableaux interactifs, tables tactiles, développement d’applications sur mesure…

    Et suivez l’actualité de Maskott sur les réseaux sociaux : Maskott_reseausociaux_200114
    www.linkedin.com, fr.viadeo.com, twitter.com, www.facebook.com

  • 8 millions d’euros pour les MOOCs !

    8 millions d’euros pour les MOOCs !


    Ouverture de la plateforme FUN – France… par fr-universite-numerique
    C’était une volonté de Geneviève Fioraso, la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de développer les MOOCs en France.

    Depuis le 16 janvier, les étudiants, mais également les lycéens, les salariés, toutes les personnes désireuses d’apprendre et de se former, pourront suivre gratuitement, à leur rythme, des cours du Cnam, de l’École Centrale Paris, de l’École Polytechnique, de l’Institut Mines-Télécom, de SciencesPo., de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3, de l’Université Montpellier 2, de l’Université Panthéon-Assas – Paris II, de l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, du Centre Virchow-Villermé (collaboration entre Sorbonne Paris Cité et Université La Charité à Berlin), et prochainement les cours de mathématiques de Cédric Villani.

    Ces cours portent donc actuellement sur six thématiques : management, juridique, numérique et technologie, relations internationales, sciences et enfin sciences humaines et sociales.

    Alors que l’offre mondiale de formations en ligne est en plein essor, cette plateforme expérimentale vise à héberger les MOOCs proposés par les établissements d’enseignement supérieur français afin de permettre à tous les publics d’accéder à des cours variés et de qualité où qu’ils soient dans le monde.

    Le lancement de cette plateforme France Université Numérique est une des 18 actions de l’Agenda du numérique, présenté le 2 octobre 2013 dernier par Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche.

    Plus d’infos :
    Toutes les infos sur www.france-universite-numerique.fr