Catégorie : MANIFESTATIONS

  • iLearning Forum Paris 2013

    iLearning Forum Paris 2013

    ILearning Forum Paris 2013, l’événement n°1 en France dédié à l’usage des technologies au service l’apprentissage individuel et organisationnel annonce sa prochaine édition les 12 et 13 février 2013 à l’Espace Champerret, Paris.

    iLearning Forum Paris 2013 ouvrira ainsi ses portes les 12 et 13 février 2013 à l’Espace Champerret, Porte de Champerret à Paris, en accueillant des professionnels du monde entier. Avec plus de 40 pays représentés, iLearning Forum 2013 propose un espace de salon facile d’accès en confirmant sa présence à l’Espace Champerret et en optant pour le Hall A, plus grand et spacieux, faisant ainsi place au nombre croissant d’exposants et aux quelques 5000 visiteurs attendus.
    iLearning Forum Paris 2013 confirme ainsi être l’évènement de référence au niveau européen le plus important en France dans le domaine des technologies au service de l’apprentissage tout au long de la vie. Pour mémoire, en 2012 iLearning Forum a réuni 35 exposants internationaux, 42 intervenants de renom et plus de 4000 visiteurs.
    Comme chaque année, l’accès au salon et aux conférences est totalement gratuit.
     
    La grande nouveauté de l’édition 2013
    Pour sa 13ème édition iLearning Forum Paris 2013, accueille le Salon Talent Management, organisé par Myrhline.com, en créant ensemble un événement RH unique : Total Talent 2013, pour offrir aux professionnels des Ressources Humaines un parcours thématique RH unique.
    Talent Management 2013 a pour vocation d’offrir aux visiteurs tout ce qui se fait de mieux en matière de gestion des talents, afin de rencontrer les experts, de la gestion des compétences, GPEC, des carrières, des plans de succession, du recrutement et de la mobilité.
    Pour plus d’informations : www.talentmanagement2013.com

     Les dernières actualités de l’édition 2013
    De nombreux exposants ont déjà confirmé leur présence comme entre autres nos sponsors e-doceo, Speexx, MindOnsite, CornerstoneOnDemand, Symetrix, Tell Me More et Certpoint, mais aussi des exposants très attendus comme HR Valley, In Octavo, ITycom, Eduperformance, Speedernet, Vodeclic et bien d’autres encore.
    Organisés lors des précédentes éditions et fortement plébiscités par les visiteurs comme par les exposants, les ateliers gratuits seront le lieu de toutes les démonstrations et des présentations des dernières nouveautés internationales en matière d’e-learning.

    Parmi les thèmes qui seront mis en avant lors des conférences il faut noter :
    • l’état de l’art des Learning Management Systems (LMS) et leur convergence avec les outils RH
    • l’avenir du e-learning dans les PME
    • le Rapid Learning
    • les JeuxSérieux
    • le Mobile learning
    • le Tutorat en ligne
    • e e-learning sur Mesure
    • la création et gestion de contenu
    • de nombreux cas d’études en entreprises privées et publiques.
    En 2013, 2 ateliers pratiques seront également proposés aux visiteurs, toujours en accès libre, dans la Salle VIP du salon :
    • Le Mardi 12 Février de 14h à 18h : un premier atelier sur le e-learning et la formation mixte pour l’apprentissage des langues
    • Le Mercredi 13 Février de 13h30 à 17h30 : un second atelier dédié aux nouvelles technologies d’apprentissage dans l’éducation
    Un programme détaillé sera disponible sur le site du salon en janvier 2013.
  • 8e Congrès des Régions de France 18 et 19 octobre à Lyon

    JEUDI 18 OCTOBRE

    09h00 Inauguration de l’espace Régions et Partenaires par les présidents de Région.
    09h15 Ouverture du congrès.
    Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes, Alain Even, président des CESER de France, Alain Rousset, président de l’Association des Régions de France et de la Région Aquitaine.
    10h00 – Table ronde n°1 : Innovation et compétitivité, vers une nouvelle croissance

    Angelica Schwall-Düren, ministre de la Rhénanie du Nord-Westphalie pour les Affaires fédérales, l’Europe et les Médias,
    Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, Jean-Louis Beffa, président d’honneur de Saint-Gobain, Pierre-Henri Bigeard, président du pôle de compétitivité Axelera (Rhône-Alpes)
    Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la Banque européenne d’investissement (BEI)
    Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations
    Laurence Laigo secrétaire nationale de la Confédération française démocratique du travail
    Jean-François Roubaud, président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises
    Jean Therme, directeur du Commissariat à l’énergie atomique de Grenoble et directeur de la recherche technologique du CEA
    Patrick Viveret, sociologue

    14h30 : Discours de Jean-Pierre Bel, président du Sénat

    15h15 : Table ronde 2 – Vers un service public régional de l’orientation, de la formation et de l’emploi

    Marie-Guite Dufay, présidente Région Franche-Comté,
    François Bonneau, président Région Centre,
    Catherine Barbaroux, présidente de l’Association pour le droit à l’initiative économique,
    Jean Bassères, directeur général de Pôle emploi Nicolas Bouzou, directeur d’Asteres,
    Christine Erhel, professeure à Paris 1,
    Thierry Lepaon, président du groupe CGT au Conseil économique social et environnemental,
    Luc Paboeuf, président du conseil économique, social et environnemental d’Aquitaine.

    16h30 : Table ronde 3 – L’agriculture et l’agroalimentaire, piliers de l’équilibre et de la croissance des territoires.

    René Souchon, président de la Région Auvergne,
    Xavier Beulin, président de la Fédération nationale des syndicats, d’exploitants agricoles,
    Jean-René Buisson, président de l’Association nationale des industries alimentaires,
    Philippe Collin, porte-parole de la Confédération paysanne,
    Hervé Guyomard, directeur scientifique à l’Institut national de la recherche agronomique,
    Philippe Mangin, président de Coop de France,
    Guy Vasseur, président de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture.

    16h30 : Table ronde 4 – Les territoires, clés de la transition énergétique.

    Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône- Alpes,
    Pierre Ducret, président de la CDC climat,
    François Loos, président de l’Ademe,
    Philippe Pelletier, directeur du Plan Bâtiment Grenelle,
    Thierry Salomon, président de Négawatt,

    VENDREDI 19 OCTOBRE 

    09h45 : Table ronde 5 – Décentralisation : l’heure des Régions.

    Alain Rousset, président de l’ARF, président de la région Aquitaine,
    Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale,
    Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre.

    Témoignage : Eric Giuilly, acteur de la réforme de 1982, président de Clai.

    11h00 : Discours de clôture de Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique

    Plus d’infos : cliquez ici pour s’inscrire.

  • Outils mobiles et tactiles en éducation : première journée scientifique

    Un double objectif est visé, selon François Villemonteix, Maître de conférences à l’Université de Cergy-Pontoise et directeur adjoint de l’IUFM de Cergy, à l’initiative de cette opération. « Il s’agit avant tout de créer un espace d’échange multidisciplinaire entre les chercheurs engagés dans l’analyse de faits éducatifs liés à l’implantation, l’appropriation et l’utilisation de supports numériques mobiles et nomades, de répertorier les équipes mobilisées et de constituer une cartographie des recherches en cours ou déjà achevées. Il s’agit aussi de proposer des problématiques propres à l’utilisation de ce type de support technique, de repérer les questions vives qui en découlent et d’échanger autour des méthodologies mobilisées« .

    Les contributions présentées s’inscrivent dans plusieurs champs de recherche  : sciences de l’éducation, sciences de l’information et de la communication, psychologie ergonomique, informatique, sociologie. Elles insistent tout particulièrement sur des considérations méthodologiques : nature et origine des corpus étudiés, méthodes de traitement et d’analyse des données collectées.

    La diffusion importante de ces objets dans la sphère sociale amène les acteurs institutionnels de l’éducation à s’interroger sur la pertinence de leur introduction dans les établissements scolaires à des fins d’enseignement et d’apprentissage. Les premières expériences apportent quelques éléments sur les écueils et problèmes posés aux organisations : logistique, accessibilité et dissémination des ressources, interopérabilité, sécurisation, réglementation, formation. Une table ronde, qui réunira des représentants des collectivités, des opérateurs et des chercheurs permettra en fin de journée d’évoquer les attentes des acteurs en termes de recherche et d’innovation.

    Cette journée reçoit l’aide de la Fondation de l’université Cergy-Pontoise 

    Plus d’infos :
    Contacts :
    Sofiane Issaadi sofiane.issaadi@u-cergy.fr
    Sylvain Genevois : sylvain.genevois@u-cergy.fr
    François Villemonteix : francois.villemonteix@u-cergy.fr

    Liens vers le programme : www.u-cergy.fr/

  • Vincent Peillon précise les pistes du Ministère en matière de numérique à l’Université d’été de Ludovia

    L’École numérique, la nouvelle frontière

    Monsieur le Président du Conseil général de l’Ariège, Cher Augustin,
    Madame la Vice Présidente  de la région Midi-Pyrénées, qui  représente d’ailleurs l’Association des Régions de France,
    Monsieur le Maire d’Ax-les-Thermes,
    Monsieur le Président  de l’Association des Départements de France, Cher Claudy,
    Madame la Présidente de l’ANDEV,
    Mesdames, Messieurs,
    Je voudrais d’abord m’excuser auprès de vous de ne pas pouvoir être physiquement parmi vous aujourd’hui, et en particulier ce soir, mais la préparation de la rentrée scolaire me contraint à rester à Paris.
    J’aurais aimé passer un moment avec vous parce que j’ai besoin de votre réflexion, et parce que je sais qu’au-delà de la qualité des interventions dans ce genre de réunion, et en particulier celle que vous organisez pour la 9ème année consécutive, les contacts informels, les échanges en dehors même des tables rondes sont aussi importants pour la formation du jugement, pour l’information quant aux expérimentations qui existent, que les échanges formels.
    Je voudrais vous dire l’importance que j’accorde au sujet qui est le vôtre. Le Président de la République, vous le savez, a décidé de faire de l’École la priorité de son quinquennat, et nous a confié une tâche difficile mais importante pour nos enfants, pour nos élèves, pour l’avenir du pays : celle de refonder l’École de la république.

    On ne peut pas refonder l’École de la République et faire la République du 21ème siècle si nous ne prenons pas en compte pleinement, volontairement, efficacement la dimension nouvelle introduite par le numérique dans notre culture et dans notre civilisation.

    De très nombreux secteurs de la société sont évidemment modifiés par le numérique et ils le seront encore plus demain, tout particulièrement par l’internet. Ils ne peuvent donc pas rester à la porte de l’École.
    Il nous revient donc de repenser l’École d’aujourd’hui et de penser évidemment celle de demain. Préparer les jeunes, travailleurs de demain, citoyens de demain, hommes et femmes complets de demain, à la société dans laquelle ils vont vivre, qui est considérablement modifiée et qui peut être considérablement améliorée, du point de vue même des valeurs républicaines, par le numérique et par l’internet.
    Il appartient donc à l’école de se saisir pleinement de cette révolution, dont je considère qu’elle est aussi importante que la révolution du livre ou la révolution industrielle.

    Imaginons une École qui en resterait à la révolution précédente. Elle passerait à coté de son temps et elle marquerait le déclin de notre civilisation. Nous le savons déjà – et vous en êtes d’ailleurs les acteurs depuis de nombreuses années –, les enseignants, les élèves, les chefs d’établissement, les parents d’élèves ont la possibilité de communiquer via des environnements numériques de travail. On peut dématérialiser, on le fait d’ailleurs déjà pour une partie des relations et des apprentissages. Notre École n’est plus définie uniquement par l’enceinte matérielle qui est la sienne. L’acte III de la décentralisation, et je sais que vous l’avez évoqué dans vos tables rondes, permettra de mieux articuler l’action des collectivités locales, qui est éminente et tout à fait essentielle, et celle de l’Etat, qui parfois pêche.

    Nous avons besoin que le numérique trouve toute sa place dans ce projet de refondation,.

    C’est pourquoi, vous le savez, nous avons décidé de consacrer un pan très important de la concertation sur la refondation de l’École à la question d’une grande ambition pour le numérique. Nous ne voulons pas ajouter un plan de plus : il n’y en a eu trop, trop petits, avec des effets insuffisants. Nous voulons vraiment inscrire cette ambition au cœur de la refondation.
    C’est pourquoi nous travaillons à l’élaboration d’une stratégie ministérielle en matière d’e-éducation et de numérique à l’École.

    C’est pourquoi nous inclurons dans la formation des enseignants, à travers les Écoles supérieures du professorat et de l’éducation, une formation substantielle à l’usage pédagogique du numérique et de l’internet, qui fait souvent défaut aujourd’hui. La présence, très nombreuse parmi vous, des inspecteurs et des inspectrices de l’éducation nationale montre l’importance qu’ils accordent eux-mêmes à ces questions.
    Cette formation devra s’appuyer sur la recherche. Elle est indispensable et elle devra être mieux soutenue.
    Nous devons aussi, la France, prendre toute notre place au niveau international dans la création de contenus et d’e-services. Nous voyons bien qu’il y a des financements qui ont été prévus pour cela. Il y a beaucoup d’innovations, d’ingéniosité, de recherche en France.

    20 millions d’euros seront alloués à un certain nombre de projets innovants dans le cadre des investissements d’avenir dans les semaines qui viennent. C’est bien, mais ce n’est pas assez, et il faudra faire davantage.

    Nous portons le grand projet de faire naître, à côté des initiatives du secteur privé – elles sont déjà nombreuses – une nouvelle offre de services publics numériques éducatifs, qui soit une composante à part entière du service public d’enseignement et puisse bénéficier aux élèves. Je pense, notamment – on en parle assez – à un service public de soutien scolaire en ligne.
    Je pense aussi que le Ministère de l’éducation nationale doit mettre à la disposition des enseignants des services, une plateforme qui leur permettront d’échanger et de mutualiser beaucoup plus aisément qu’aujourd’hui leurs productions, leurs innovations pédagogiques.

    On doit aussi être capable d’organiser et de distribuer aux élèves et aux enseignants les productions pédagogiques qui émanent du service public, comme nous devons être capables de mettre en ligne les sujets et les corrigés des examens et des concours. Bien entendu, pour que tout cela se fasse – et ce sera notre programme de travail de l’année qui vient –, il faut poursuivre et sans doute intensifier, dans un souci, aussi, de justice territoriale et de cohésion, l’équipement des établissements scolaires et leur bonne connexion à l’internet, car c’est un facteur essentiel de diffusion du numérique à l’École.
    Le message que je veux vous adresser, en vous félicitant pour votre initiative, en me réjouissant du succès qu’elle rencontre année après année et qui s’amplifie, c’est que le numérique à l’École est pour nous une nouvelle frontière. Il nous revient aujourd’hui, c’est en tout cas l’engagement que je prends et la responsabilité que je souhaite, d’inscrire la devise de la République, présente sur le fronton de toutes nos écoles, dans les territoires numériques éducatifs du 21ème siècle.

    C’est un beau projet pour notre pays, c’est un beau projet pour nos enfants.
    En vous remerciant de votre engagement, en souhaitant pouvoir poursuivre avec vous, je vous souhaite une université d’été enrichissante et une excellente année scolaire à tous.

  • Aix-Marseille et Nice à l’honneur de Ludovia 2012

    Aix-Marseille et Nice à l’honneur de Ludovia 2012

    Academie de Nice

    A l’ère du numérique, la facilité avec laquelle on accède à l’information et aux savoirs nécessite de développer de nouvelles compétences chez les élèves et de nouvelles pratiques professionnelles chez les enseignants. La généralisation des outils et des ressources numériques dans les établissements scolaires, pour tous les acteurs de l’éducation, permet aujourd’hui d’inscrire véritablement les usages dans l’école du XXIème siècle.

    Pour impulser et accompagner les usages numériques, l’académie d’Aix-Marseille s’appuie sur ses partenaires des collectivités territoriales (Région, départements, villes) et un réseau d’acteurs pour mutualiser les ressources et les compétences et assurer la cohérence des actions engagées : le CRDP par l’intermédiaire de l’observatoire des ressources en multimédia éducatif (ORME), les inspecteurs, les chefs d’établissements et les services académiques.

    «Dans ce cadre, le pôle TICE et les « points AC@R » (structures académiques qui réunissent techniciens et animateurs pédagogiques au plus près des établissements), coordonnent et mettent en synergie les différentes missions. Des enseignants ressources animent des dispositifs de réflexion qui débouchent sur des actions concrètes.
    Ainsi la réalisation de parcours de formation à destination des élèves, le développement accompagné des usages des tableaux numériques interactifs (TNI) et des plateformes de travail collaboratif, sont des initiatives qui ont pu être réalisées grâce à cette synergie.
    »

    Les expérimentations conduites : manuels numériques, baladodiffusion, culture numérique, e-classes, jeux sérieux, s’attachent à questionner des ressources et des outils centrés sur l’individualisation qui place tous les élèves acteurs de leurs apprentissages. Les aspects juridiques et un usage responsable du numérique font également partie des priorités de l’académie.

    Le projet « objectif DUNE », pour lequel l’académie a été retenue dans la première vague d’appel à projet par le Ministère de l’Éducation nationale, a mis l’accent sur deux objectifs : l’intégration du numérique aux pratiques usuelles afin de développer les compétences des élèves et de favoriser la personnalisation de leurs parcours, et l’amélioration de la communication entre les différents membres de la communauté éducative, en généralisant la mise en place d’ENT. Le projet d’académie 2011-2014 comprend ces deux objectifs et assure la cohérence d’ensemble, notamment en reliant fortement le premier degré et le second degré. Des outils communs de pilotage et d’évaluation ont été mis en place pour suivre l’avancée du projet.

    «C’est dans un esprit de partage et de mutualisation que l’académie d’Aix-Marseille a accepté l’invitation de l’université d’été Ludovia, aux côtés de chercheurs et d’autres acteurs du système éducatif afin d’apporter une contribution aux évolutions de notre école.» précise Bernard Dubreuil.

    «L’usage du numérique dans la société est aujourd’hui incontournable. Alors que les jeunes utilisent de manière ordinaire ces moyens pour communiquer, échanger, partager, il appartient à l’école  de les accompagner à l’usage et de les préparer à intégrer une société qui vit à l’ère du numérique.  Par ailleurs, si le numérique constitue un objectif d’enseignement, c’est aussi  un moyen qui offre la possibilité d’améliorer l’efficacité des enseignements, la communication entre les partenaires et l’accès aux sources de connaissance et de savoir.» précise Claire Lovisi, Recteur de l’Académie de Nice

    Conscient des enjeux, l’académie de Nice est historiquement engagé dans le développement des usages du numérique dès l’école. Cet engagement s’appuie sur des partenariats avec les collectivités, l’action des responsables académiques et des acteurs de terrain.  Il mobilise autour d’un pôle numérique différents moyens académiques Mission Académique TICE, , le CRDP et le CLEMI.


    Le partenariat avec les collectivités a permis de mettre en place les outils et les moyens dans les établissements scolaires qui offrent la possibilité aux enseignants et aux élèves d’utiliser le numérique, d’accéder à internet de nombreux points. Il aboutit aujourd’hui à une offre de services organisés autour d’espaces numériques de travail. Enfin, les collectivités mettent également à disposition des établissements des ressources numériques.
    La politique de développement des usages est organisée en déclinaison du projet académique. Elle s’applique dès l’école. Elle invite à innover en classe avec le numérique. Elle s’attache à  accompagner les établissements et les équipes pédagogiques pour les usages. Elle propose et structure les formations à destination des enseignants. Le réseau  des MAI pour le 1° degré  et de la MATICE constitué de 250 professeurs pour le second degré ont notamment la charge de mettre en œuvre les actions.

    Les moyens et les organisations ainsi  déployés permettent aujourd’hui de disposer d’espace numérique de travail dans plus de 50 % des établissements de l’académie. Tous les collèges des Alpes maritimes disposent d’un ENT avec plus de 700 000 connexions par mois. Nous avons sur le premier degré déployé des ENT sur quatre circonscriptions pour 126 écoles. La généralisation des ENT est engagée sur les lycées et les collèges du Var. L’usage des T.B.I.,  de la baladodiffusion, des espaces collaboratifs se banalise.  Enfin, sous ces conditions favorables, l’académie procède à des expérimentations : d’usage des manuels numérique au travers des ENT en 2010, d’utilisation des tablettes numériques cette année avec un champ d’expérimentation très large pour 200 tablettes déployées sur des écoles, des collèges et des lycées, mais aussi auprès d’élèves au profil particulier. Dans cette dynamique nous souhaitons l’année prochaine apprécier l’intérêt des jeux sérieux et la pertinence de l’usage des SmartPhones.

    «L’académie de Nice est particulièrement heureuse de participer en qualité de partenaire à cette université d’été de la e-éducation et des applications multimédia ludiques et pédagogiques. Le thème proposé cette année : « le plaisir d’apprendre et d’enseigner avec le numérique » offre la possibilité de témoigner et de partager sur un objectif qui demeure au cœur de nos préoccupations.» ajoute Claire Lovisi. 

  • iLearning Forum annoncent la nouvelle édition de Total Talent 2013

    iLearning Forum annoncent la nouvelle édition de Total Talent 2013

    Pour sa 13ème édition iLearning Forum Paris, accueille le Salon Talent Management organisé par Myrhline.com, en créant ensemble un événement RH unique : Total Talent 2013, l’évènement n°1 de l’année pour les professionnels des Ressources Humaines et de la Formation en France et dans la francophonie

    iLearning Forum

    Le rendez-vous incontournable du e-learning en France annonce son édition 2013 sur le Hall A de l’Espace Champerret, à Paris. iLearning Forum Paris est le plus grand salon francophone dans le monde du eLearning, et la seule exposition et conférence dédiée au eLearning en France. En 2013 le salon s’agrandit sur le Hall A de l’Espace Champerret pour un espace d’exposition encore plus grand et une salle de conférence pouvant accueillir 300 personnes.

    Pour mémoire, en 2012 iLearning Forum a réuni 35 exposants internationaux, 42 intervenants de renom et plus de 4000 visiteurs.

    Pour plus d’informations : www.ilearningforum.org 

    Salon Talent Management

    Le salon événementiel du management des talents en France Hall A – Espace Champerret – Paris.

    Talent Management 2013 a pour vocation d’offrir aux visiteurs tout ce qui se fait de mieux en matière de gestion des talents, afin de rencontrer les experts, de la gestion des compétences, GPEC, des carrières, des plans de succession, du recrutement et de la mobilité.

    Talent Management s’appuie sur le iLearning Forum Paris et vient compléter son expertise pour offrir aux professionnels des Ressources Humaines un parcours thématique RH unique.

    Pour plus d’informations : www.talentmanagement2013.com

     A propos d’iLearning Forum
    iLearning Forum est l’organisateur de plusieurs salons et conférences en Europe (Paris, Marseille, Moscou) et dans le Monde (Hong Kong, Bahrain, Vienne, Amsterdam, Dubaï) consacrés aux technologies de l’apprentissage pour le monde de l’éducation et de l’entreprise. Reprenant la suite d’eLearn Expo créé en 2000 à Paris, iLearning forum a pour objectif de réunir dans un environnement favorable à la réflexion et au « réseautage », les acteurs des technologies de l’apprentissage et les professionnels de l’éducation, de la formation et du développement des ressources humaines.

    Pour en savoir plus : www.ilearningforum.org

    Cliquez pour voir la vidéo du salon 

  • La mise en place d’un ENT dans le premier degré

    La mise en place d’un ENT dans le premier degré

    220620124fe416f65c13d
    Elle abordera le cadre général de cette mise en place en apportant quelques données chiffrées sur le projet DUNE dans l’académie d’Aix Marseille. Elle évoquera aussi la mise en place du partenariat entre les collectivités territoriales et l’Education Nationale et le rôle  qu’elle a joué en tant qu’IEN TICE dans cette démarche.

    Les implications pédagogiques
    Quelques thèmes pourront être exploités,  avec possibilité d’illustration avec de petites vidéos filmées dans des classes impliquées dans le projet DUNE, en particulier sur le projet ENT ville de Marseille.

    A travers la première année de mise en place, quelques problématiques pourront être abordées sous forme de retours d’usage (deux expériences dans le département des Bouches du Rhône : Marseille et La Ciotat, respectivement utilisation de BENEYLU school et Ecolweb).

    Les questions soulevées dans cette intervention seront les suivantes :
    –    quels sont les apports de l’ENT dans l’acquisition des fondamentaux scolaires, dans l’acquisition du B2i ? quelles fonctionnalités utiliser ?
    –    les inquiétudes et les attentes par rapport à la mise en place et les retours du terrain
    –    quelle communication avec les familles ?, l’apprentissage est-il davantage partagé ?

  • Ouverture officielle de l’appel à conférenciers du salon Game Connection Europe 2012

    Ouverture officielle de l’appel à conférenciers du salon Game Connection Europe 2012

    Animez une conférence à l’occasion de la Game Connection Europe organisée à Paris les 28, 29 et 30 Novembre 2012.

    Fort du succès des 50 conférences professionnelles et des masterclasses organisées en 2011, la prochaine édition de la Game Connection Europe s’étoffe d’un programme encore plus poussé pour servir tous les acteurs du jeu vidéo.

    Cette année,  en complément des approches développement, services et business traitées chaque année, le salon consacrera une partie de ses thématiques au Marketing.

    Tous les acteurs professionnels du jeu vidéo sont donc invités à déposer leur proposition d’intervention sans attendre.

    Dépôt des propositions avant le 16 juillet 2012 : www.game-connection.com

    La  Game Connection appelle tous les spécialistes du développement, de l’édition, de la distribution ou de la sous traitance à  partager leur expertise avec le public lors de sessions de conférences prévues sur 3 jours. Le programme de cette nouvelle édition s’intéressera à toutes les plateformes de jeux (PC, consoles, online, mobile et nouvelles plateformes) et inclura l’ensemble des acteurs de l’industrie (développement, services, business et, pour la première fois cette année, marketing).

    Chaque intervenant pourra bénéficier d’une formidable visibilité auprès des professionnels du secteur, de frais pris en charges ainsi que de versement d’honoraires pour les animateurs de masterclasses.

    Soumettez vos propositions pour une conférence ou une masterclasse avant le 16 juillet 2012, et apportez une véritable contribution pour accroître la notoriété et l’expertise de notre secteur à la Game Connection Europe

    Cliquez ici pour déposer votre candidature.

  • La tablette numérique, nouvelle ardoise de l’élève ?

    La tablette numérique, nouvelle ardoise de l’élève ?

    tabletteFlornoy
    En effet, elle a rassemblé, outre les membres de l’Education nationale, des collectivités territoriales, des industriels et des éditeurs. La vidéo de Jean-Michel Blanquer (Directeur général de l’Enseignement scolaire) a ouvert le congrès. Ce dernier a rappelé les deux piliers de l’éducation : le tableau noir et le manuel scolaire.

    Ensuite, Jean-Yves Capul (Sous-directeur des technologies de l’information et de la communication pour l’Education – DGESCO) s’est interrogé sur le numérique à l’école à travers différentes questions : est-ce de l’éducation aux médias ? Cela doit-il passer par la validation des compétences telles que nous les trouvons dans des processus certificatifs comme le B2I (Brevet Informatique et Internet) ? Est-ce apprendre à programmer ? Est-ce un véritable enseignement ? Les outils numériques permettent-ils l’écriture ? Pour le sous-directeur des technologies de l’information et de la communication, ces appareils doivent surtout contribuer à l’autonomie des élèves. Ils doivent aussi être des outils de création pédagogique.

    Jean-Louis Durpaire (Inspecteur général de l’Education nationale – Groupes EVS Etablissement et Vie Scolaire) a été le grand témoin de ces deux journées à Nice et a fait une courte introduction. Il a rappelé que la tablette numérique donne de la structure au contenu en apportant du plaisir aux apprentissages et à l’enseignement. Jean-Marc Merriaux (Directeur général du SCEREN-CNDP) a ajouté que l’ordinateur « fixe » a été utilisé pendant 15 ans dans les établissements scolaires et qu’il fallait maintenant intégrer, dans les pratiques pédagogiques, la mobilité procurée par internet et ses outils.

    Après les allocutions d’ouverture, la problématique du colloque a été présentée par Catherine Becchetti-Bizot (Inspecteur général de l’Education nationale – Groupes des Lettres). Elle s’est interrogée sur les usages des supports numérisés ainsi que sur les évolutions des modalités d’apprentissage. Elle a rappelé la « migration » de l’espace social vers la classe de ces nouveaux supports qui entrainent de nouveaux gestes et de nouvelles postures. Ces outils sont-ils porteurs d’innovation et de progrès ou sont-ils des objets de régression ?

    C’est à partir d’une réflexion collective entre chercheurs, partenaires culturels, praticiens et éditeurs que nous devons apporter des réponses à ces problématiques. C’est aussi en fonction des conclusions tirées de différentes expérimentations que nous pouvons entrevoir ce nouveau « paysage » scolaire. Pour Catherine Becchetti-Bizot, la seule démarche possible est d’expérimenter pour éviter toute forme de « fétichisme » de l’objet. Nous devons nous recentrer sur les finalités éducatives : individualisation des apprentissages ? Possibilité de pratiques collaboratives ? Accès à la culture ? Autonomie de l’élève ?… Ces appareils suscitent de nombreuses interrogations quant aux usages possibles dans le monde scolaire.

    La tablette peut se révéler un formidable outil pour des élèves à besoins particuliers comme certaines expérimentations l’ont montré dans l’académie de Nice. La tablette possède des caractéristiques intéressantes : son format, un « écran qui ne fait pas écran », des facilités de prise en main, de nombreuses fonctionnalités,… Elle peut être utilisée dans les séquences à condition que « l’outil ne surdétermine pas l’acte pédagogique sinon le sens n’apparaîtra pas aux élèves ». D’après l’inspectrice générale des lettres, la tablette peut s’avérer plus appropriée à certaines applications, mais elle doit dans tous les cas se « plier » aux objectifs pédagogiques des professeurs.

    Pierre Mœglin (Laboratoire des sciences de l’information et de la communication – Université de Paris XIII) a enchaîné par une communication sur le thème : « Un changement de paradigme pour l’école ? ». Dans un premier temps, il s’est interrogé sur le processus de diffusion des innovations. Assiste-t-on, avec l’introduction des tablettes numériques à un renouvellement paradigmatique ? Telle est la problématique de Pierre Mœglin. Pour lui, l’ardoise numérique assure une triple fonction d’intermédiation. Elle permet d’une part de canaliser et de filtrer face à l’immensité des contenus hétérogènes. D’autre part, elle constitue un « point d’ancrage » de la production des élèves. Enfin, elle est par nature un objet impliquant la réflexion. Il en déduit une relation directe entre la technologie et les apprentissages.

    L’après midi du 5 avril, nous avons eu un rapport sur les expérimentations des académies de Nice, de Grenoble et du département de la Corrèze. Pierre Mathieu (Directeur du CDDP de Corrèze) nous a décrit « son » déploiement. Il ne s’agit pas d’une expérimentation mais d’une dotation de tous les élèves scolarisés en tablettes numériques ou micro ordinateurs portables. Cette véritable généralisation nécessite un accompagnement important.

    Nous avons abordé par la suite les problèmes d’ergonomie cognitive avec Thierry Baccino (Professeur de psychologie cognitive à l’Université de Paris VIII). Il s’agit, avec l’usage de ces appareils, de réfléchir aux interfaces, aux moyens de communication entre l’homme et la machine. Il définit trois critères d’analyse : l’efficacité dans la réalisation des objectifs, l’efficience dans la mesure du temps, pour pouvoir être efficace et la satisfaction après utilisation, pour apprécier un bon usage. La manipulation des ardoises numériques implique certains changements, nous pouvons noter une grande mobilité dans l’utilisation, une posture différente du corps, une interface tactile qui change notre manière d’écrire, de lire et de consulter les informations disponibles sur la tablette. Les impacts constatés sur les apprentissages, sont en particulier une grande motivation, une meilleure attention, une réelle autonomie dans le travail pour les élèves et une activité qui apparait plus concrète.

    Le difficile problème de la numérisation des manuels scolaires a été abordé par Sylvie Marcé (Présidente – Directrice générale des Editions Belin – Présidente du Groupe des Editeurs scolaires et Vice-présidente du Syndicat national de l’édition). Elle nous a rappelé que la tablette était un nouveau support possible pour les manuels. En tant qu’éditrice d’une grande maison, elle a observé la montée en puissance de l’usage des manuels numériques dans les salles de classe grâce, notamment, à l’utilisation des TNI (Tableau Numérique Interactif) ou du matériel de vidéo projection. Les principales fonctionnalités ont été développées pour les professeurs qui peuvent ainsi plus facilement personnaliser et animer leurs cours. Via un compte unique, l’enseignant conserve son manuel numérique qu’il adapte au fil du temps. Des développements futurs pourront porter sur les interactions possibles entre professeur et élève autour du manuel numérique mais aussi créer un espace de travail personnalisable par l’élève qui sera à la fois « livre de référence, cahier d’exercice et outil de travail ».

    Au cours de la table ronde animée par Evelyne Bévort (Directrice déléguée du CLEMI – Centre de Liaison de l’Enseignement et des Médias d’Information) : « Tablettes et lieux de cultures, musées, bibliothèques, universités », Jérôme Kalfon  nous a présenté le cas des bibliothèques universitaires (B.U.). L’enseignement supérieur a cette caractéristique de regrouper une pluralité de sources d’information sur une multitude de supports, sources qui sont diffusées par l’intermédiaire de différents modes. On constate une stabilité de la consultation du « papier » et un « passage de l’imprimé à l’imprimante » pour certains documents très adaptés, comme les articles de périodiques.

    En ce qui concerne les livres numériques, le développement est beaucoup plus lent. On peut l’expliquer par la multiplicité des modes de diffusion, par la difficulté de trouver des ressources numériques, notamment pour les ouvrages dont la parution est récente, par les problèmes de gestion des abonnements,… Parallèlement à cela, Jérôme Kalfon (Directeur du service commun de la documentation de l’université Paris Descartes) s’est interrogé sur la définition de la bibliothèque numérique. On peut retenir quelques avantages : l’absence d’étagères, de conservation sur place des documents, de serveurs appartenant à l’institution. De plus, les droits sur le long terme peuvent être remis en question. Donc, pour le directeur de la documentation de Paris Descartes, une bibliothèque numérique peut se résumer à des contrats de licences.

    De nombreux ateliers ont ponctué ces deux jours et beaucoup d’expérimentations fort intéressantes ont été présentées. Nous invitons les lecteurs à se reporter aux actes du colloque qui sont disponibles en ligne.

    Néanmoins, on peut citer différentes disciplines qui ont été mises à l’honneur : les arts plastiques qui mettent en avant le patrimoine local ; l’éducation physique qui donne aux élèves la possibilité de s’auto évaluer ; les langues vivantes qui renouvellent les échanges notamment avec le pays transfrontalier, l’Italie ; les jeux sérieux qui permettent d’apprendre de façon ludique. Les tablettes peuvent aussi donner une nouvelle « jeunesse » aux langues anciennes comme le latin et bien sûr être utilisée au CDI.
    Ce compte rendu ne se veut pas exhaustif, il est un complément des informations que vous trouverez sur le site internet.

    C’est Jean-Louis Durpaire, grand témoin de ces deux journées qui a clôturé ce congrès organisé à Nice. Son intervention a débuté par un bref historique rappelant l’équipement de trois classes en 1991.

    Dix ans plus tard, en 2001, deux niveaux (quatrième et troisième) furent équipés. Actuellement, un peu plus de dix mille tablettes sont utilisées dans de nombreuses expérimentations. Nous constatons une seule généralisation pour un département (la Corrèze). La tablette présente de nombreux avantages (accès à internet, simplicité, ergonomie, autonomie, faible encombrement, individualisation,…) qui peuvent paradoxalement se révéler des inconvénients ou des sources de problèmes (difficulté d’accès au réseau, vol, appareils multifonctions, jeux, applications payantes, prix d’achat, influence du marketing,…). Faut-il pour autant ne pas les utiliser à l’école ? Une autre question se pose concernant les ressources. En effet, l’inspecteur général ayant rappelé la « force historique » des manuels scolaires dans l’Education nationale. Seront-ils toujours pertinents dans les classes face à « l’explosion » des documents numériques ? Et in fine, qui payera l’addition des appareils avec les connexions, les applications, les ressources,… ?

    C’est pourquoi J.-L. Durpaire a émis l’idée de la création d’un consortium ou d’une coopérative d’achats pour faire face à un marché en plein essor. Il s’est interrogé aussi sur la finalité de l’utilisation des tablettes. Sont-elles des sources de progrès  ? Ne doit-on pas utiliser ce que les élèves possèdent déjà ? Beaucoup d’interrogations ont été formulées par ce grand témoin et des pistes d’exploration, de réflexion ont été également proposées. Les tablettes peuvent être des outils d’accès à la culture permettant de créer du lien social entre élèves et enseignants et être utilisées à la fois à l’école mais aussi à la maison. C’est à un changement de paradigme technologique que nous assistons et nous devons repenser les conditions de formation. Les Centres de Connaissances et de Culture  seront, peut-être, le lieu de ce nouveau départ…

    Les valeurs qui sont les nôtres devront perdurer, et en particulier, la laïcité, la neutralité mais aussi la « probité intellectuelle ». Il est aussi nécessaire de former, à la culture de l’information , les collégiens et les lycéens. Les outils nomades doivent « nous conduire à repenser les conditions de formation des élèves ».

    Pour avoir une vision exhaustive sur le colloque : www.ecriture-technologie.fr. Vous aurez tous les détails : les intervenants, les vidéos, publications, bibliographie, commentaires,…

    Retrouvez le travail de Philippe Chavernac sur supercdi.free.fr/tablettes