Catégorie : Écoles SUP

  • Le web 2.0 pour aider les étudiants à comprendre les enjeux de leur formation

    Le web 2.0 pour aider les étudiants à comprendre les enjeux de leur formation

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    Le marché professionnel de l’ostéopathie est en danger : en 2012, plus de 3 000 étudiants vont devoir faire leur preuve au côté des 7 000 ostéopathes déjà actifs, soit une augmentation de 43% de professionnels ! Les raisons de ce constat, un trop plein d’écoles en ostéopathie (70% des écoles au niveau mondial sont en France) qui promettent des salaires faramineux à des étudiants souvent trop peu ou mal informés.

    C’est pourquoi l’UFOF a souhaité conquérir le web 2.0 pour sensibiliser les étudiants aux enjeux de leur profession, leur fournir une nouvelle source d’information sur l’ostéopathie et rassembler la communauté d’«Étudiants en Ostéopathie».

    « Étudiants en Ostéopathie » est une plateforme reposant sur les médias sociaux :

    – Avec pour élément central le blog communautaire Étudiants en Ostéopathie ; outre des informations rédigées par l’équipe du blog, les étudiants et professionnels ostéopathes pourront eux-mêmes proposer leurs articles et créer leur propre blog,
    -Soutenu par une présence sur les principaux réseaux sociaux – page Facebook, compte Twitter et chaîne YouTube.

    Par ce dispositif web, l’UFOF souhaite fournir aux étudiants tous les outils nécessaires à l’animation et au développement de leur communauté.

    Pour accompagner le lancement de ce dispositif web, l’UFOF a souhaité valoriser son message au travers d’une série-animée sous forme de bande-annonce, visible sur les plateformes d’hébergement vidéo. L’histoire : trois amis qui, suite à une rencontre mystérieuse (avec A.T Still, fondateur de l’ostéopathie en guest star), voient leurs mains dotées de pouvoir et s’en vont combattre l’injustice.

    Une métaphore de l’étudiant en ostéopathie qui apprend à guérir seulement par le toucher pour intégrer un jour la ligue des «professionnels ostéopathes». La comparaison va plus loin, tout comme Batman ou Spiderman qui cherchent à se faire accepter par la société, ces jeunes étudiants vont également devoir se battre pour la reconnaissance et le respect de leur métier.

    Dès lors l’ambition d’Étudiants en Ostéopathie est grande : fédérer une communauté d’étudiants et de professionnels afin de faire entendre encore plus fort leur voix et leurs revendications sur le devenir de leur profession d’ostéopathe.

    Plus d’infos :
    Le blog Étudiants en Ostéopathie : www.osteo-etudiants.fr
    La page Facebook Étudiants en Ostéopathie : www.facebook.com/osteoetudiants
    Le compte Twitter Étudiants en Ostéo : www.twitter.com/osteoetudiants

     

  • Création du Digital Campus, seule méthode d’enseignement en réseau

    Création du Digital Campus, seule méthode d’enseignement en réseau

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    Bénéficiant d’un réseau d’écoles et de nombreuses filières, les écoles du Campus de Bissy Bordeaux bénéficient de nouvelles infrastructures, et viennent d’enrichir leur offre en accueillant en 2010 ESGC&F (Ecole Supérieure de Gestion, Commerce et Finance) devenant ainsi l’une des 4 villes françaises (hors Paris) à accueillir les cursus du pôle national ESG.

    Actualité rentrée 2011 : le Hub Digital Campus

    Dans le cadre de cette dynamique de développement, Philippe Schoda, le nouveau directeur, a souhaité créer un lien commun entre les formations et disciplines enseignées par les trois écoles.

    « L’Aquitaine et Bordeaux attirent de plus en plus d’entreprises, de sièges de grands groupes et tissent leur toile internationale. Nous avons souhaité accompagner l’évolution évidente des métiers du numérique en créant une nouvelle méthode d’enseignement : le Digital Campus« .

    De cette volonté vient de naître une nouvelle méthode d’enseignement en réseau, nommée Digital Campus, dont le développement a été confié à Eva Garraud.

    « Le Digital Campus n’est pas une nouvelle école, mais il s’agit là de la création d’une nouvelle méthode d’enseignement en réseau. Nous n’avons pas de concurrence directe et le Digital Campus est réellement novateur. Il existe des formations en e-commerce et des formations en informatique, mais aucune d’entre elles n’adopte une formule transversale telle que la propose Digital Campus », déclare Eva Garraud.

    Trois écoles, une méthode d’enseignement mettant en relation formations et disciplines transverses dispensées sur le Campus de Bissy, «Commerce Marketing» à [ESGC&F], «Multimédia» à ÉCRAN et «Informatique» à ESARC Evolution, la méthode Digital Campus invite les étudiants de ces écoles à travailler sur des projets communs pour se former aux métiers du numérique.
    Le Hub : les membres du réseau Digital Campus Enrichissant l’offre des trois écoles de Bordeaux-Mérignac, le Digital Campus forme un Hub international réunissant d’autres établissements européens : l’IESA multimédia Paris, le Pôle ESG Paris, le Griffith College de Dublin, Toulouse, etc.

    Toujours plus de formations certifiées par l’État…

    A partir de la rentrée 2012, un tronc commun sera proposé aux étudiants voulant intégrer le Digital Campus. Ils pourront ensuite choisir leur spécialité et s’orienter soit vers la formation «e-business», soit «Chef de projet multimédia»soit «Chef de projet informatique». Chacune de ces formations est certifiée par l’État, conférant à la méthode Digital Campus une solide assise pédagogique.

    Plus d’infos sur Digital Campus

  • Expérimentation des serious games de Daesign à l’ESC Chambéry

    Expérimentation des serious games de Daesign à l’ESC Chambéry

    230620114e084dc67ce14L’ESC Chambéry a passé un accord de partenariat avec Daesign, en contrepartie du prêt de quatre jeux : Les 7 comportements d’achat, Entretien Annuel d’évaluation, Gestion de projet et Le savoir vivre en entreprise.

    L’école s’est engagée à faire un bilan sur la manière dont les enseignants se sont appropriés ces outils afin de détecter les modifications nécessaires pour adapter ces jeux au monde académique.

    Il s’agissait aussi pour l’ESC Chambéry de mettre au point les bonnes pratiques d’utilisation des serious games afin d’en tirer les enseignements nécessaires à un déploiement plus global.

    Après une présentation par l’éditeur de son catalogue de serious games disponibles, des enseignants volontaires se sont engagés à utiliser les jeux dans leur cours en contrepartie de leur participation au bilan de l’expérimentation.

    Huit enseignants de l’ESC Chambéry ont utilisé les jeux dans cinq situations d’usages : solo en présentiel (un étudiant par ordinateur en salle informatique), solo à distance (accès libre au jeu à distance sur une période limitée dans le temps), groupe en présentiel (un groupe de 2 à 4 étudiants par ordinateur en salle informatique), démonstration devant une classe (le professeur utilise le serious game pour illustrer son cours).

    Au total ce sont 300 étudiants qui ont utilisé les serious games de Daesign. A l’issue de l’expérimentation, toutes les parties prenantes impliquées dans le déploiement et l’utilisation des serious games ont été interrogées : les enseignants, les étudiants, le service informatique, la planification et la direction académique.

    Le bilan de cette première année d’utilisation des serious games de Daesign fait ressortir quelques points clefs pour favoriser l’insertion de ces jeux dans les pratiques pédagogiques et l’acceptation par les étudiants.

    – Il est nécessaire de légitimer l’utilisation des jeux auprès des étudiants qui ont un rapport au jeu dans un cadre du loisir et n’adhèrent pas automatiquement à l’utilisation de jeux vidéo dans un cours.

    – Le travail effectué dans le jeu doit être systématiquement évalué, même quand le jeu ne prévoit pas de dispositif de contrôle des acquis.

    – L’accès à distance nécessite de renforcer les acquis par un débriefing en groupe et en présentiel. En cas d’accès à distance, il est préférable de créer de la rareté en limitant les périodes d’accès au jeu afin que les étudiants réalisent le travail dans le temps de jeu imparti et éviter ainsi la procrastination.

    – En ce qui concerne les enseignants, ils ont besoin d’un guide d’utilisation spécifique qui explique les principales composantes de la simulation pour répondre plus facilement aux questions des étudiants.
    -Sur un plan institutionnel, il est nécessaire d’inscrire l’utilisation des serious games dans la durée pour assurer aux enseignants une pérennisation de leur investissement en temps. De même qu’il est primordial d’impliquer dès le départ le service informatique et la planification des salles pour accompagner les efforts logistiques supplémentaires provoqués par le déploiement des serious games.

    En définitive, l’ESC Chambéry envisage d’amplifier l’utilisation des serious games dans ses programmes.Elle projette d’aménager une salle dédiée à l’utilisation de serious games en groupe et de mettre au point une procédure de test afin de proposer un nouveau service aux éditeurs qui souhaiteraient affiner leurs jeux avec une vraie mise en situation.

    Plus d’infos sur l’ESC Chambéry : www.esc-chambery.com

  • Ecole d’ingénieurs de Bretagne-Sud : Pose de la première pierre

    Ecole d’ingénieurs de Bretagne-Sud : Pose de la première pierre

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    Située au cœur du campus universitaire de l’Université de Bretagne-Sud de Lorient, boulevard Flandres-Dunkerque, l’ENSIBS confortera l’implantation des filières scientifiques dans l’agglomération lorientaise et étoffera le site de Saint-Maudé qui comprend déjà une filière universitaire en sciences et sciences de l’ingénieur ainsi qu’un centre de recherche. A terme, le bâtiment devrait accueillir plus de trois cents étudiants.

    Cette nouvelle entité de l’ensemble universitaire a été conçue par l’architecte urbaniste Nicolas Michelin et son équipe. Sur 6 000 m², le bâtiment «se donnera à voir» grâce à sa forme emblématique. Ses gradins végétalisés marqueront l’entrée au cœur de l’école. De part et d’autre, deux grands escaliers vitrés dévoileront les circulations internes à l’établissement. Enfin, la toiture couronnée d’une cheminée de ventilation confèrera une silhouette singulière à l’ensemble. L’architecture sobre alliera de grands pans de bois et des cassettes d’aluminium et marquera une douceur volumétrique par le jeu des terrasses arborées accueillant la vie étudiante.

    Un bâtiment exemplaire et innovant

    Cap l’Orient agglomération, maître d’ouvrage de l’opération, a souhaité réaliser un bâtiment intégrant de nombreuses innovations en matière de développement durable. La construction en gradins vers le Sud va permettre d’exploiter le soleil de façon optimale, notamment par le biais de panneaux photovoltaïques amorphes (adaptés au climat local) et d’apports solaires maîtrisés (brises soleil).

    Les besoins thermiques seront optimisés par une isolation thermique renforcée (Bâtiment basse consommation – BBC). Un équipement de pilotage permettra une gestion fine des besoins énergétiques, local par local.
    Un système de récupération de l’eau de pluie créera un bassin de rétention participant au cadre général du parvis et façonnera un plan d’eau au pied du bâtiment pour rafraîchir l’école en période de saison chaude. Cette récupération des eaux de pluie permettra par ailleurs d’assurer les besoins en arrosage des plantes disposées sur les terrasses en gradins et une partie des besoins sanitaires.

    La construction de cet équipement majeur est réalisée sous maîtrise d’ouvrage de Cap l’Orient agglomération pour le compte de l’Etat. Inscrit au Contrat de plan Etat-Région (2007-2013), l’investissement porte sur un montant global de 14,3 millions (hors équipement) réparti entre l’Europe (29%), l’Etat (23%), Cap l’Orient agglomération (20%), le Département du Morbihan (20%) et la Région Bretagne (8%).

    L’Université de Bretagne-Sud (UBS), répartie sur les campus de Lorient, Vannes et Pontivy, poursuit sa croissance et son développement avec le soutien de Cap l’Orient agglomération.

    Elle accueille désormais 8 509 étudiants dont 4 590 à Lorient. Pluridisciplinaire, elle offre aux étudiants un vaste choix de formations dans les domaines des lettres, du droit, de l’économie de gestion et des sciences. Grâce à l’éventail complet de formations «professionalisantes» proposées, l’UBS obtient de très bons résultats : 85% des étudiants en licence et masters professionnels trouvent un emploi correspondant à leur formation dans les 18 mois suivants l’obtention de leur diplôme.

    Depuis 1995, Cap l’Orient agglomération soutient fortement le développement de l’UBS et facilite le rapprochement entre les différents acteurs du territoire avec une volonté forte de l’intégrer au développement local. Dernièrement, dans le cadre de sa participation au financement du «campus numérique» de l’Université européenne de Bretagne, le site de Lorient s’est vu doter de l’une des trois salles bretonnes de télé-présence «immersive». Un outil innovant qui permet de pratiquer l’enseignement et la recherche à distance. La livraison de l’ENSIBS en 2012 constituera une nouvelle étape majeure dans la vie de l’université.

  • Des tablettes PC dans l’enseignement supérieur

    L’Ecole Centrale de Nantes qui accueille plus de 1800 étudiants a pour vocation de former des ingénieurs généralistes de haut niveau scientifique et technique, entrepreneurs et innovateurs. Depuis 2004, l’Ecole Centrale de Nantes a développé une politique d’appropriation par les enseignants et les étudiants des technologies de l’information et de la communication (TIC), mais aussi de développement de l’autonomie (25 pour cent du total de la formation) et du raisonnement à partir de cas faisant le plus souvent appel aux TIC.

    Et en 2008, elle a été lauréate du prix HP «Technology for Teaching» sur un projet visant à développer l’usage des Tablettes PC pour les enseignants comme les étudiants. Le projet s’articule autour du fait que les systèmes les complexes peuvent mettre à profit les outils les plus simples. Et ses principaux objectifs sont d’améliorer l’autonomie et l’engagement des étudiants, en développant les usages des Tablettes PC par les élèves, mais aussi par les enseignants en modifiant certaines habitudes pédagogiques.

    Une technologie nomade et performante

    Pour Morgan Magnin et Guillaume Moreau, maîtres de conférences : «les tablettes PC nous sont apparues comme des outils adaptés pour améliorer l’implication des étudiants et soutenir les efforts pédagogiques des enseignants Car elles permettent d’augmenter l’autonomie de leurs utilisateurs vis-à-vis des technologies». En effet, de par la complète couverture WiFi sur le campus, les étudiants peuvent choisir les ressources numériques mises à leur disposition et s’approprier des connaissances, seul ou en groupe, dans le cadre de travaux confiés par les enseignants.

    Le but est de personnaliser la formation, de l’adapter au rythme de chaque élève et d’améliorer son appropriation. De plus, les tablettes PC constituent un support matériel sur lequel s’appuient les étudiants pour préparer à moindre coût des supports de présentation orale : réalisation de croquis, compilation de documents récupérés depuis Internet ou support numérique avec annotations personnelles et manuscrites….

    Côté professeur, les tablettes PC se sont rapidement révélées une aide précieuse pour pallier par exemple, au problème de visibilité des écrits sur un tableau traditionnel. Couplé avec un vidéoprojecteur, elles permettent de gérer l’équivalent d’un tableau blanc interactif. L’enseignant peut donc assurer son cours manuscrit, comme à l’accoutumée, mais sur une surface tactile plutôt que sur un tableau. Avec ce système, il est facile de revenir en arrière pour reprendre le détail d’une démonstration, compléter une explication ou répondre aux questions d’un élève. Il est également possible de distribuer le cours par courrier électronique.

    Sans oublier un important levier pour l’amélioration de l’enseignement : la réduction des délais entre la remise de travaux des élèves comme des comptes-rendus ou des examens, et leur correction. Dans un environnement pédagogique où la quasi-totalité des ressources et des travaux demandés est au format électronique, il devient aisé de recevoir un rapport numérisé, de l’annoter au fil de sa lecture et de le renvoyer immédiatement, par email, aux élèves concernés. Ce qui est le cas à l’Ecole Centrale de Nantes et qui permet d’économiser plus de 4000 feuilles de papier pour le seul cours d’algorithmique et de programmation dispensé en première année.

    Un outil adaptable à d’autres univers

    «Dès le début de l’expérimentation, plusieurs étudiants nous ont signifié leur souhait d’utiliser les tablettes PC sous Linux», précisent Morgan Magnin et Guillaume Moreau. De ce fait, 30 pour cent des élèves ont préféré ce système d’exploitation, malgré les difficultés d’installations dues aux composants matériels non standard. Ce qui a engendré un formidable engouement au sein de l’Ecole pour pallier à ces problèmes et relever le défi.

    Plusieurs projets en interne ont été lancés avec pour résultat global, une très forte amélioration aujourd’hui de l’environnement Linux sur les tablettes PC, et un pont entre OpenOffice.org et le monde de l’enseignement. Ce qui a profité également à toute la communauté Open Source de la planète grâce à la mise en place d’un blog qui compile tous les retours d’expérience.

    Les facteurs de succès

    Comme tout nouveau projet dans une entreprise, le monde de l’enseignement doit respecter les mêmes règles. La réussite manifeste des tablettes PC à l’Ecole Centrale de Nantes s’est appuyée sur 4 grands principes.

    – La première est la disponibilité d’une infrastructure numérique solide avec du WiFi sur tout le campus, une plateforme pédagogique électronique accessible, des vidéoprojecteurs dans les amphithéâtres
    – La seconde est la communication basée sur le Web, les réseaux sociaux, des vidéos et dans ce cas précis, sur un blog spécifique afin que le projet prenne de l’ampleur.
    – La motivation est la troisième clé. En identifiant les personnes réceptives à la démarche en 2008 qui sont devenus des vecteurs de promotion, les deux maîtres de conférences qui ont lancé le projet, sont aujourd’hui de plus en plus sollicités par de nouveaux enseignants et élèves.
    – Enfin, le quatrième point consiste à surmonter les obstacles et dans le cas des tablettes PC, il s’agit de montrer que l’outil n’est pas un ordinateur de plus en insistant par exemple sur les avantages du tactile, et notamment sur les possibilités qu’offre la combinaison de l’analogique et du numérique.

    «Il va de soi que le déploiement d’un tel dispositif requiert, de la part des animateurs, une attention de tous les instants, particulièrement dans les premiers mois. Il convient de répondre rapidement et efficacement aux questions des intervenants. Autrement dit, la réussite du projet dépend de la qualité du support proposé, tant sur les aspects techniques que de maîtrise du contenu. Enfin, qui dit obstacles, dit solution pour les surmonter. Il convient de consigner les difficultés rencontrées et, quand c’est possible, de proposer une solution sur un espace public. D’où l’importance – déjà soulignée dans cet article – du blog pour garder trace de l’ensemble des expérimentations menées», concluent Morgan Magnin et Guillaume Moreau.

    A propos du dispositif tablettes à l’Ecole Centrale de Nantes :
    Chargée de former des ingénieurs de haut niveau dans les TIC, l’Ecole Centrale de Nantes souhaitait démontrer les atouts des tablettes PC aussi bien pour les étudiants que les professeurs, dans une démarche de pédagogie active. En 2004, l’Ecole Centrale de Nantes décide de déployer une politique d’appropriation par les enseignants et les étudiants des technologies de l’Information et de la Communication (TIC) au service de l’Enseignement. Quatre ans plus tard, elle met en place un projet qui vise à développer les usages des tablettes PC par les élèves et les professeurs en modifiant les habitudes pédagogiques.

    • Possibilité de relier les tablettes PC à des vidéoprojecteurs dans les amphithéâtres permettant une meilleure visibilité des informations.
    • Amélioration de l’environnement Open Source sur les tablettes PC par les étudiants.
    • Connexion simple au réseau WiFi du Campus pour les échanges électroniques entre étudiants et professeurs et entre les utilisateurs et le système d’information.
    Les bénéfices de ce dispositif :
    Prise de notes manuscrites, homogénéité des échanges, appropriation facile des tablettes PC, motivation soutenue des élèves et des professeurs, meilleure pédagogie.

  • Un Master dédié aux nouvelles applications du jeu vidéo

    A partir de septembre 2011, cette formation de spécialisation délivrera un diplôme du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) accréditée par la Conférence des grandes écoles. Elle se veut novatrice : son ambition est de former des spécialistes des medias interactifs qui maîtrisent le multi-support, l’aspect communautaire et les mécanismes ludiques, au cœur de la communication de demain.

    Architecte systèmes interactifs (lead développeur), concepteur et designer d’univers interactifs (Lead Artist), concepteur en narration interactive (game designer/designer d’interactivité) sont autant de postes qu’ils pourront occuper à l’issue de la formation.

    L’objectif de cette formation est de permettre aux 25 candidats qui seront retenus – après sélection sur dossiers, tests et entretiens oraux – d’acquérir les compétences suivantes :
    – dans un module commun : la conception, narration interactive, story telling, game design et mise en scène
    – dans un module de spécialisation pour les graphistes : la conception d’univers originaux adaptés à des scénarios interactifs et aux nouveaux supports, la maîtrise des outils graphiques (2D, 3D, vidéo) en tenant compte des contraintes du temps réel
    – dans un module de spécialisation pour les programmeurs : la programmation de l’image et de l’animation, utilisant des moteurs de jeux.

    Le cursus prévoit également un projet de fin d’études. Par équipe de 5, les stagiaires devront concevoir une application ludique multi supports (ex : TV + mobile + web), proposant une expérience interactive «riche» destiné au grand public. Elle s’appuiera sur les dynamiques communautaires type réseaux sociaux.

    Au cours d’un stage de 5 mois, les étudiants pourront se plonger dans le monde professionnel (les studios de développement, les éditeurs de jeux vidéos, l’audiovisuel/médias, les agences interactives/ de communication, la téléphonie et le web, la publicité).

    Pour en savoir plus : www.enjmin.fr et www.cnam.fr
    Les candidats peuvent retirer les demandes d’inscriptions à partir du 16 mai. Un sujet à traiter leur sera confié et devra être rendu le 16 juin. Puis, les candidats dont les dossiers auront été retenus passeront du 5 au 8 juillet des épreuves écrites et orales aux GOBELINS, l’Ecole de l’image, à Paris.

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    EPITA

     

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    –        des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    –        le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    –        l’hôpital Broca,
    –        des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    – le formulaire en français
    – le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l’EPITA est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    L’EPITA (l’école d’ingénieurs en informatique, membre de IONIS Education Group) lance un appel à projets auprès des entreprises et institutions qui souhaitent innover sur les thèmes de la mobilité et du cloud computing.

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    – des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    – le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    – l’hôpital Broca,
    – des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    le formulaire en français
    le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l‘EPITA
    est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.

  • L’IIM devient l’institut de l’internet et du multimedia

    L’Institut
 International
 du
 Multimédia 
du
 Pôle 
Universitaire
 Léonard
 de
 Vinci,
 change
 de
 nom 
et 
devient
:
«
l’Institut
 de
 l’Internet
 et
 du
 Multimédia ».
 L’IIM
 affirme
 ainsi
 son
 positionnement
 afin
 de
 mieux
 refléter
 son
 offre
 pédagogique.
 Il
 entend
 également
 promouvoir
 le
 développement
 de
 son
 périmètre 
de 
formation
 aux 
métiers 
de 
l’Internet,
 du 
multimédia
 et 
plus 
largement
 du
 numérique.

    Fort
 de
 quinze
 années 
d’existence, 
le
 temps
 est
 venu 
pour 
l’IIM
 de
 porter,
 sous
 un
 terme
 moins
 générique,
 le
 nom 
qui
 reflète 
le 
mieux 
son
 offre
 pédagogique 
et 
la 
spécificité 
de
 ses
 formations.
 Aujourd’hui,
 sans
 rien
 perdre 
de 
son 
identité,
    c’est 
dans 
une
 approche
 globale, 
stratégique 
et
 cohérente que 
l’Institut
 place
 le 
mot 
Internet
 au
 cœur
 de
 sa
 marque
 !
    Retour
 sur 
le
 parcours
 d’une
 école
 pionnière
 :
 depuis
 1996, 
date 
de
 sa
 création, 
l’IIM
 a
 vu 
se 
transformer 
profondément
 l’internet,
 notamment
 en
 terme
 de
 professionnalisation
 et
 de
 prise
 en
 compte
 de
 son
 évolution
 (le
 premier
 navigateur
 Web 
est 
apparu 
en 
1993 
!).

    Initiés 
à 
la 
révolution 
de 
l’internet 
et 
à 
son
 formidable 
impact
 sur 
l’économie, 
les
 fondateurs
 de 
l’IIM,
 Monika
 SIEJKA
 et 
Claude 
VOGEL,
 ont
 su 
adapter 
et 
développer
 en 
permanence 
le 
périmètre 
de 
formation 
de 
leur
 école
 et
 concevoir 
une 
offre 
innovante 
intégrant
 les 
sciences 
et 
technologies 
les 
plus 
récentes.

    Véritable
 référence
 de
 son
 secteur,
 l’IIM
 forme,
 avec
 succès,
 de
 nombreux
 étudiants
 aux
 nouveaux
 métiers
 engendrés
 par
 l’univers
 du
 Web.
 Son 
titre 
de
 «
Chef 
de
 projet 
multimédia »
 est 
reconnu
 par 
l’Etat.

    Plus d’infos sur : www.iim.fr