Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Un showroom en région parisienne pour SMART Technologies

    Un showroom en région parisienne pour SMART Technologies

    051020114e8c14666c59bLe site accueille sur un étage complet un showroom européen présentant les solutions SMART dédiées au secteur de l’éducation et à l’entreprise. Il intègre également un centre de formation européen à destination des clients et des revendeurs.

    Cet espace innovant de près de 1 000 m2 a pour vocation de présenter en avant-première aux visiteurs français et européens les dernières technologies matérielles et logicielles SMART, nouvellement lancées sur le marché mondial ou issues des «custom solutions», un département qui créé des solutions sur-mesure pour répondre aux besoins spécifiques des clients.

    Le showroom intègre également un «Executive Briefing Center» dédié à l’accompagnement des utilisateurs, issus du monde de l’éducation ou de l’entreprise, dans la prise en main des solutions interactives et collaboratives SMART. Ce centre permet aux clients de mieux percevoir les bénéfices des solutions SMART en environnement scolaire ou professionnel. Il les aide également  à anticiper leurs besoins en termes matériels et logiciels, et permet d’aborder des ressources telles que les contenus, la formation, et le support.

    «L’ouverture de ce nouveau site est un signe fort de notre développement et de notre ambition de croissance en France et sur toute la zone EMEA» déclare Richard Ramos, Directeur Général de SMART Technologies France.

    «Ce site est une vitrine de nos technologies et de notre expertise, pour aider nos clients des secteurs de l’éducation et de l’entreprise à comprendre et à implémenter nos solutions de la manière la plus efficace possible en fonction de leurs besoins particuliers».

    A propos de SMART Technologies :

    SMART Technologies Inc. est l’un des leaders mondiaux des solutions collaboratives qui contribue à transformer la façon de travailler et d’apprendre à travers le monde. Nous pensons que le travail collaboratif et l’interactivité doivent être simples. Spécialisés dans les Tableaux Numériques Interactifs, cela fait plus de 20 ans de recherche et développement que SMART Technologies agit dans le domaine collaboratif au service d’une gamme de solutions simples et intégrées, qui libèrent les utilisateurs de leurs bureaux et de leurs ordinateurs pour rendre le travail collaboratif et l’apprentissage avec les ressources numériques plus naturels.

  • Création du Digital Campus, seule méthode d’enseignement en réseau

    Création du Digital Campus, seule méthode d’enseignement en réseau

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    Bénéficiant d’un réseau d’écoles et de nombreuses filières, les écoles du Campus de Bissy Bordeaux bénéficient de nouvelles infrastructures, et viennent d’enrichir leur offre en accueillant en 2010 ESGC&F (Ecole Supérieure de Gestion, Commerce et Finance) devenant ainsi l’une des 4 villes françaises (hors Paris) à accueillir les cursus du pôle national ESG.

    Actualité rentrée 2011 : le Hub Digital Campus

    Dans le cadre de cette dynamique de développement, Philippe Schoda, le nouveau directeur, a souhaité créer un lien commun entre les formations et disciplines enseignées par les trois écoles.

    « L’Aquitaine et Bordeaux attirent de plus en plus d’entreprises, de sièges de grands groupes et tissent leur toile internationale. Nous avons souhaité accompagner l’évolution évidente des métiers du numérique en créant une nouvelle méthode d’enseignement : le Digital Campus« .

    De cette volonté vient de naître une nouvelle méthode d’enseignement en réseau, nommée Digital Campus, dont le développement a été confié à Eva Garraud.

    « Le Digital Campus n’est pas une nouvelle école, mais il s’agit là de la création d’une nouvelle méthode d’enseignement en réseau. Nous n’avons pas de concurrence directe et le Digital Campus est réellement novateur. Il existe des formations en e-commerce et des formations en informatique, mais aucune d’entre elles n’adopte une formule transversale telle que la propose Digital Campus », déclare Eva Garraud.

    Trois écoles, une méthode d’enseignement mettant en relation formations et disciplines transverses dispensées sur le Campus de Bissy, «Commerce Marketing» à [ESGC&F], «Multimédia» à ÉCRAN et «Informatique» à ESARC Evolution, la méthode Digital Campus invite les étudiants de ces écoles à travailler sur des projets communs pour se former aux métiers du numérique.
    Le Hub : les membres du réseau Digital Campus Enrichissant l’offre des trois écoles de Bordeaux-Mérignac, le Digital Campus forme un Hub international réunissant d’autres établissements européens : l’IESA multimédia Paris, le Pôle ESG Paris, le Griffith College de Dublin, Toulouse, etc.

    Toujours plus de formations certifiées par l’État…

    A partir de la rentrée 2012, un tronc commun sera proposé aux étudiants voulant intégrer le Digital Campus. Ils pourront ensuite choisir leur spécialité et s’orienter soit vers la formation «e-business», soit «Chef de projet multimédia»soit «Chef de projet informatique». Chacune de ces formations est certifiée par l’État, conférant à la méthode Digital Campus une solide assise pédagogique.

    Plus d’infos sur Digital Campus

  • eInstruction met le MobiView à la disposition des IEN

    eInstruction met le MobiView à la disposition des IEN

    eInstruction remercie d’ailleurs le Ministère de l’Éducation nationale et les IEN-Tice de leur disponibilité pendant l’université d’été de Ludovia.

    031020114e89b4cc5201bLes MobiView ont été remis aux IEN-Tice présents à l’issue d’une présentation de ses différentes fonctionnalités et en association avec des boîtiers de réponse.

    Le MobiView offre les mêmes fonctionnalités qu’un tableau interactif fixe. Associé à un vidéoprojecteur, il transforme toutes les salles en classes interactives. Parce que le MobiView est portable, il donne à l’enseignant une grande mobilité dans sa classe et la possibilité de passer d’une pédagogie frontale à une pédagogie individualisée ou collaborative.

    Son écran tactile LCD couleur permet de piloter toutes les activités de la classe à distance et, éventuellement, de se passer d’un tableau interactif fixe ou au contraire d’en renforcer l’interactivité.
    Pour faciliter la préparation des cours, le logiciel Workspace est livré avec chaque MobiView.

    Plus d’infos : www.einstruction.fr

    Regardez nos tutoriels en ligne : www.youtube.com/user/TVeInstruction ou www.dailymotion.com/TVeInstruction

  • Informatique scolaire à l’école primaire

    Il montre la complexité d’un rôle spécifique créé par l’Éducation nationale, attribué à des enseignants experts, à des fins de diffusion des pratiques des technologies éducatives chez les enseignants et les élèves.

    Sans régime administratif véritablement stabilisé et agissant selon des configurations multiples, ces acteurs constituent aujourd’hui une communauté de pratiques singulière mobilisée par un double projet, institutionnel et professionnel que reflète les échanges issus de leur liste de discussion depuis plus d’une dizaine d’années.

    D’une part ils ont un projet individuel et collectif de diffusion des pratiques instrumentées : c’est un engagement militant constituant le moteur central de leur activité et les engageant dans une production collaborative et mutualisée de ressources particulièrement adaptées aux contraintes de terrain.

    D’autre part, ils sont animés par un projet professionnel permanent de légitimation d’une expertise revendiquée. Ce projet doit aboutir à une définition institutionnelle pérenne et homogène de leur rôle, ce qui paraît entrer en contradiction avec la labilité et l’instabilité du champ des technologies en éducation où croisent de multiples enjeux.

    Ainsi, une enquête auprès de 350 individus doublée d’une étude des messages de leur liste de discussion permet d’identifier les formes d’un discours depuis la fin des années 1990. S’y expriment intérêts et valeurs, controverses et consensus dans les deux registres de leur activité discursive. Leur identité professionnelle se construit en tension entre deux figures : celle du pair-expert légitimé par son expertise pédagogique et celle de l’auxiliaire de prescription, au service d’une institution qui ne peut se passer de son appui technique.

    La communauté de pratiques des ATICE s’engage dans un projet de professionnalisation passant par la négociation de leur expertise en valeur d’échange statutaire, bien que ce point ne fasse pas entièrement consensus.

    En arrière plan de cette étude se dessinent les enjeux du champ des technologies en éducation. De nombreux acteurs gravitent: institution éducative, collectivités, constructeurs, communautés de pratiques d’enseignants autour d’enjeux parfois divergents.

    Ce livre s’adresse donc aux cadres de l’éducation, aux formateurs, aux enseignants auxquels il rend intelligible un champ de pratiques complexe en proie à des évolutions importantes, mais dans lequel rebouclent des processus et des discours déjà connus.

    Il s’adresse également aux chercheurs en sciences de l’éducation, en sociologie ainsi qu’en sciences de l’information et de la communication en constituant un apport à la réflexion sur le développement de professionnalités spécifiques à l’institution éducative française.

    Il participe à la continuité des travaux récents engagés dans l’étude des réseaux, collectifs et communautés de pratiques professionnelles qui utilisent aujourd’hui régulièrement les technologies liées à internet comme vecteur de communication.

    Plus d’infos sur l’auteur :
    François VILLEMONTEIX a été successivement enseignant, formateur, inspecteur de l’Éducation nationale et conseiller TICE adjoint du recteur de Créteil. Il est aujourd’hui maître de conférences en sciences de l’éducation à l’université de Cergy-Pontoise et chercheur au laboratoire École, Mutations, Apprentissages (ÉMA).

    Ouvrage disponible sur www.editions-harmattan.fr

  • Bilan sur l’expérimentation autour du TNI pour l’Académie de Créteil

    Démarrée en février 2011, l’expérimentation a donné lieu à de nombreux retours de la part des enseignants formés à l’usage des solutions DYMO/Mimio.

    D’un point de vue matériel, ils apprécient principalement la souplesse et l’adaptabilité de la solution à l’environnement de classe déjà en place et le nomadisme de la barre de capture qui permet de transformer n’importe quelle surface de travail en tableau interactif.

    Ils notent que parmi les solutions déjà expérimentées au sein de l’Académie de Créteil, les responsables TICE et les enseignants qui ont mis en œuvre la solution considèrent que l’installation est la plus rapide et la plus simple à réaliser.

    Quant au logiciel MimioStudio, ils soulignent notamment sa simplicité et son intuitivité de façon globale.

    Concernant la formation, les supports pédagogiques proposés, l’un pour l’école élémentaire, l’autre pour les collèges, ont été jugés parfaitement adaptés à leurs attentes. Enfin, la qualité du support technique assuré après la formation a fait l’unanimité des participants. Elle a apporté une réelle mise en confiance de l’usage des outils.

    Pour mémoire, le projet d’expérimentation consiste, à partir d’outils numériques (individuels et collectifs) de la gamme DYMO/Mimio, à participer à la déclinaison de solutions numériques du point de vue pédagogique, matériel et didactique pour favoriser l’égalité des pratiques, la réussite des élèves et le développement de l’école numérique.

    Le pôle numérique de l’Académie de Créteil, opérateur de la stratégie académique de Monsieur le Recteur de l’Académie de Créteil, a pour objectif de développer et accompagner le développement des usages pédagogiques des TICE (Technologies de l’information et de la communication pour l’Éducation), dans lequel s’inscrit le projet d’expérimentation.

    Plus précisément, le projet vise à tester et valider les solutions numériques de DYMO/Mimio dans une approche d’évaluation des usages pédagogiques des produits dans la classe. Il a également pour ambition de créer des supports de formation et de former une communauté d’enseignants testeurs pour utiliser les solutions matérielles et le logiciel MimioStudio (Windows/Mac/Linux), fourni avec les matériels de la gamme MimioClassroom.

    Le contexte

    Afin de soutenir le projet, DYMO/Mimio s’est engagé à doter l’Académie de Créteil en matériels nécessaires à la réalisation du projet et à accompagner les enseignants dans la prise en main des outils. Les solutions mises à la disposition de l’Académie permettent d’équiper trente lieux d’éducation ou de formation, dont sept écoles par département.

    DYMO/Mimio assure également la formation initiale des formateurs aux matériels et au logiciel liés à la réalisation du projet et aide les établissements scolaires demandeurs, à la prise en main de la solution, soit en formation en mode présentiel dans l’établissement, soit à l’aide de dispositifs d’apprentissage à distance (Webséminaire et Quicklearn proposant des modules de formation en ligne).

    Par ailleurs, DYMO/Mimio prend en charge l’accompagnement des actions du projet à travers l’organisation de bilans d’étapes à la mise en place et au cours de l’évaluation du projet.

    De son côté, le pôle numérique de l’Académie de Créteil s’est engagé à créer une collection de MédiaFiches afin d’accompagner la formation des enseignants aux technologies numériques dans les établissements scolaires.

    Elles sont disponibles en accès libre depuis le mois de juin 2011 à l’adresse mediafiches.ac-creteil.fr

    Selon François Villemonteix, ex-conseiller TICE adjoint au rectorat de Créteil et initiateur du projet d’expérimentation, «les médiasFICHES apportent le complément indispensable à la formation et au support assurés par DYMO/Mimio. Elles ne se limitent pas à des modes d’emploi du fabricant, mais sont corrélées à des scénarios et des pratiques pédagogiques. C’est l’ensemble de cette articulation qui constitue l’accompagnement indispensable à l’adoption de ces technologies dans l’enseignement».

  • Grâce au wikiLF, participez à l’enrichissement de la langue française

    Donner accès à un vocabulaire français clair et précis est un service rendu à chaque citoyen pour améliorer sa compréhension des réalités contemporaines.

    Les ressources numériques permettent désormais d’associer les internautes à l’élaboration de ce vocabulaire et plus généralement à l’adaptation de notre langue aux réalités contemporaines, dont dépend largement la diffusion du français dans le monde.

    En quoi consiste le travail d’enrichissement du français ?

    Dans la vie courante, nous assistons chaque jour à l’émergence spontanée de nouveaux mots. Véhiculés par les journalistes, les publicitaires, les artistes, les communautés professionnelles, ils connaissent des fortunes diverses : certains durent le temps d’une mode, d’autres s’implantent durablement.

    Dans de nombreux domaines professionnels (santé, environnement, technologies numériques…) des experts sont chargés de proposer des termes répondant à des besoins d’expression très spécifiques. Travaillant au sein de commissions spécialisées de terminologie et de néologie, ils proposent chaque année de nouveaux termes, qui après adoption de la Commission générale de terminologie et de néologie et approbation de l’Académie française, sont publiés au Journal officiel et versés sur une base de données publique.

    Ces commissions, au nombre de 18, se réunissent régulièrement dans les différents ministères. Elles ont pour mission d’élaborer le vocabulaire spécifique aux domaines qu’elles recouvrent : économie, affaires étrangères, droit, culture, éducation, sport, agriculture, automobile, chimie, ingénierie nucléaire, défense, transport, santé…

    Parmi les experts présents dans ces commissions, on trouve surtout des professionnels (médecins, magistrats, diplomates, ingénieurs, biologistes, informaticiens…) assistés de spécialistes de la langue (terminologues, linguistes, traducteurs, enseignants). Ensemble ils animent le dispositif interministériel d’enrichissement de la langue française.

    L’élaboration de nouveaux termes nécessite un soin particulier. Pour chaque domaine, il faut repérer des besoins de langage nouveaux, comparer les termes existants, évaluer leur possibilité d’adaptation aux réalités nouvelles, et le cas échéant, décider la création de néologismes.

    Cette démarche suppose de la part des terminologues et des experts une observation fine des pratiques langagières mais aussi des évolutions sociales, économiques, scientifiques, culturelles, technologiques dont elles témoignent.

    Pourquoi associer les internautes à l’évolution de notre langue ?

    La langue évolue sans cesse. Étroitement liée aux activités des hommes, elle se fait l’écho des évolutions du monde contemporain. Si ces évolutions semblent souvent planétaires, les mots qui les désignent ne peuvent l’être en une langue unique, sous peine de porter atteinte à la diversité culturelle qui caractérise nos sociétés.

    Si la langue anglaise gagne du terrain dans le monde (elle procède souvent par agrégation ou dérivation de mots et s’adapte aux situations : talk­show, speed­dating, e­book, autant de mots qui se diffusent à toute allure…), elle ne peut à elle seule incarner la variété des formes de pensées et des points de vue sur le monde. Il importe donc de continuer à forger dans sa langue d’origine, en l’occurrence le français, les idées et mots de demain.

    En conséquence, pour certains termes spécialisés mais susceptibles de s’implanter dans l’usage courant, il paraît nécessaire de recueillir une diversité de propositions de nature à éclairer le travail des commissions de terminologie.

    Un outil nouveau et simple : le wikiLF !

    Grâce à l’internet, le wikilf se donne pour objectif de faire bénéficier la langue française de la diversité des expériences, des savoirs et des expertises dont les internautes sont dépositaires.

    En s’inscrivant comme contributeur ponctuel ou régulier, de manière libre et anonyme, chacun peut soumettre ses contributions à la communauté des internautes ainsi qu’aux experts, débattre des propositions d’autres internautes et commenter les options proposées par les commissions pour tel ou tel terme.

    La soumission d’un terme, accompagné de sa définition, est possible dès lors que ce terme ne se trouve pas déjà dans la base terminologique FranceTerme. Dans le cas d’un terme déjà traité et publié au Journal officiel, le contributeur est redirigé vers la base FranceTerme.

    Il pourra profiter de ce petit détour pour découvrir l’un des 6 000 termes publiés depuis l’origine du dispositif d’enrichissement de la langue française !

    Quels que soient vos domaines d’intérêt, vos contributions sont vivement attendues. Pour cela rien de plus simple : rendez­vous sur le site (wikilf.culture.fr) et cliquez sur « S’inscrire » en indiquant le mot de passe de votre choix. Celui­ci sera gardé en mémoire et vous permettra d’ouvrir un compte personnel. Grâce à ce compte, vous pourrez suivre sur la page « membres » l’historique de vos contributions ainsi que les commentaires qu’elles auront suscités.

    Sur le wikiLF, vous pourrez :
    −    donner votre avis sur le choix d’un nouveau terme pour désigner une notion en français
    −    proposer un terme avec sa définition
    −    indiquer votre préférence par un vote entre plusieurs termes proposés pour une même notion
    −    faire des commentaires sur les contributions, les avis et les suggestions.

    Plus d’infos :
    dès à présent, mettez vos connaissances et votre imagination au service de la langue française en vous connectant au site wikilf.culture.fr.

  • Usage du TNI dans une classe de CP

    Usage du TNI dans une classe de CP

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    La découverte du TNI

    A la suite d’une animation pédagogique proposée par Eddy Maréchal, le conseiller pédagogique de la circonscription, Isabelle Boivineau, qui n’avait jusqu’alors jamais eu l’occasion d’utiliser un TNI, s’est portée volontaire pour expérimenter cet outil dans sa classe. eInstruction lui a aussi proposé une formation pour lui permettre de prendre en main le TNI et le logiciel Workspace.

    L’enthousiasme d’Isabelle Boivineau est perceptible : «Le côté interactif est ce qui donne au TNI cet aspect magique, c’est ce qui permet de donner une autre dimension à des séances d’apprentissage.

    Projeter des documents numérisés, c’est bien, mais pouvoir écrire dessus, annoter, compléter, enregistrer, changer au gré des difficultés de la classe ou des élèves la présentation, les exercices, différencier un travail en direct avec toutes les possibilités qui s’offrent à nous grâce à l’ordinateur…

    C’est enfin pouvoir s’offrir la joie de présenter des séquences pédagogiques avec les moyens technologiques actuels ! Enfin une école d’aujourd’hui avec des outils d’aujourd’hui : des outils qui ressemblent aux élèves».

    Et il est certain que les élèves baignent aujourd’hui dans les nouvelles technologies (écrans hyper présents dans leur quotidien : télévisions, consoles de jeux, publicités interactives, etc.). Ils n’ont aucune peine à s’habituer à ce nouvel outil, ils en repèrent rapidement les commandes et s’en servent de manière intuitive.

    Le TNI est également un biais, un outil entre l’enseignant et les élèves.

    Il permet à l’enseignant de différencier sa pédagogie, de multiplier ses ressources.

    «En tant qu’enseignante, je peux dire qu’il est mon partenaire, mon assistant pédagogique, le médiateur entre mes élèves, les apprentissages et moi.

    Il n’est pas magique, il est réel, il réalise tout ce que mon imagination a pu construire autour des outils dont il dispose. Je l’ai rêvé, il le fait».

    Le TNI offre une variété de supports de travail infinie. Il autorise la création et l’adaptation de chaque idée et de chaque développement de cours. Le tableau est un outil quotidien, il peut servir pour et dans toutes les matières.

    Les apports du TNI

    Un des premiers éléments que souligne Isabelle Boivineau est le gain d’autonomie des élèves.

    En effet, le tableau permet de travailler en groupe, de faire des ateliers. Les élèves apprennent à gérer leur activité, à prendre des initiatives.

    Ensuite, il offre la possibilité aux élèves de travailler sur n’importe quel document numérisé. Les documents interactifs captent l’attention des élèves et permettent de varier les situations d’apprentissage.

    Les élèves aiment visiblement utiliser cet outil de travail qui comprend un aspect ludique et permet de les faire réfléchir et réagir en direct sur la leçon du jour.

    Le statut de l’erreur est un autre élément intéressant que le TNI permet de changer. Les élèves peuvent faire et refaire un exercice jusqu’à ce qu’ils trouvent la solution. Le tableau reste net et propre et les élèves sont fiers de leur travail.

    Mais on peut aussi conserver la trace écrite de l’erreur et l’analyser avec les élèves. On réfléchit alors sur les causes de l’erreur, on ne la stigmatise pas.

    Plus d’infos sur cette expérimentation : retrouvez le blog de l’école Pasteur d’Ermont et tous les produits eInstruction sur www.einstruction.fr

  • Des jeunes d’Issy installent une classe numérique à Dapaong, au Togo

    Bel exemple de solidarité numérique : huit jeunes d’Issy-les-Moulineaux ont participé, l’été dernier, à un voyage solidaire à Dapaong, ville jumelle du Togo, pour y installer une classe numérique.

    Une initiative menée dans le cadre du programme Sankoré d’éducation numérique pour tous en Afrique, qui s’inscrit dans la contribution française au partenariat franco-britannique destiné à atteindre les objectifs du Millenium en matière d’éducation sur le continent africain.

    Grâce à cette initiative, les jeunes Isséens ont permis aux enseignants de l’école primaire Bodjopal de Dapaong  d’utiliser un Tableau Numérique Interactif (TNI) et d’accompagner leurs cours de ressources numériques éducatives (exercices interactifs, illustrations, vidéos…) de très grande qualité pédagogique.

    Cette école, située dans le centre de Dapaong, accueille 1 230 élèves, répartis dans 24 classes. Dès cette rentrée scolaire, les enseignants locaux peuvent mettre à profit cet outil avec leurs élèves afin d’améliorer leurs conditions d’apprentissage.

    A noter qu’ils ont été spécialement formés par les jeunes à la création de contenus, ce qui leur permettra d’adapter leurs propres ressources et de les échanger !

    La ville d’Issy-les-Moulineaux est encore une fois pionnière puisqu’elle est l’une des premières en France à s’engager dans ce projet.

    Elle continuera à apporter tout son soutien pour développer encore le programme Sankoré afin d’accompagner l’éducation des jeunes générations de Dapaong et tenter ainsi de réduire, à son niveau, la fracture numérique mondiale.

    Pour André Santini, Député-maire d’Issy-les-Moulineaux, il s’agit «d’offrir aux enseignants togolais de Dapaong, les meilleurs outils et contenus éducatifs que nos enfants utilisent à Issy-les-Moulineaux».

    Le programme Sankoré, l’éducation en partage

    A l’heure où la transmission des connaissances se transforme avec le mariage du numérique et de l’éducation, il devient possible d’équiper des classes numériques à faible coût. Les ressources éducatives les plus élaborées peuvent être partagées gratuitement. En accompagnant cette révolution, le programme Sankoré d’éducation numérique pour tous contribue à répondre aux défis de l’éducation de masse en Afrique.

    Plus d’infos : www.sankore.org / www.educationnumeriquepourtous.com

  • Voyage au pays des mots : Le Petit Robert 2012 disponible sur iPad

    Qui n’a jamais consulté le célèbre dictionnaire Le Petit Robert ?

    Depuis 1967, le célèbre linguiste Alain Rey et toute une équipe de lexicographes présentent dans Le Petit Robert une description inégalée de la langue française dans ses évolutions les plus récentes.

    L’intégralité d’un dictionnaire accessible depuis votre iPad

    Le Petit Robert, la référence indispensable pour mieux écrire et s’exprimer en français, paraît dans un nouveau format de lecture. L’application, spécialement conçue pour l’iPad (téléchargeable sur l’App Store) permet d’accéder à l’intégralité du dictionnaire millésimé 2012 (2 838 pages).

    Vous pourrez découvrir tous les mots et sens nouveaux qui ont fait leur entrée cette année dans la nouvelle édition : cougar, cousinade, mentaliste, niqab, scrapbooking,  café gourmand, naufragés du ciel…

    La nouvelle application Le Petit Robert permet au lecteur d’associer la puissance du numérique à l’excellence des dictionnaires Le Robert : interface conviviale et fonctionnalités intelligentes.

    Le moteur de recherche a également été optimisé pour parfaire la consultation du dictionnaire qui devient plus rapide, efficace et nomade.

    L’affichage est clair et aéré, le lecteur visualise plusieurs mots sur une même page comme dans la version papier pour un confort de lecture maximal et une promenade à l’infini dans toute la richesse de la langue française.

    Deux modes de consultation possibles pour une navigation intuitive et une expérience de lecture exceptionnelle :

    – «Feuilletage» : pour les nostalgiques du papier, ce mode reproduit le geste de feuilletage du papier. Une façon unique et originale de continuer à tourner les pages comme dans un ouvrage papier. Les définitions apparaissent de façon successive, dans l’ordre alphabétique : cela facilite les rapprochements ou les oppositions sur des entrées voisines et favorise le voyage au pays des mots.

    Jusqu’alors réservé aux dictionnaires imprimés, Le Petit Robert 2012 pour iPad est le premier dictionnaire numérique permettant le feuilletage intégral «page par page» et non «mot par mot» de son contenu.

    – «Hypertexte» : pour les habitués de la lecture numérique, le mode hypertexte permet une navigation facile et instantanée d’un bout à l’autre du dictionnaire.

    Pour effectuer une recherche, il suffit d’entrer la totalité ou les premières lettres du mot dans le moteur de recherche. Ensuite, il est possible de naviguer dans l’article détaillé et d’effleurer n’importe quel mot à l’intérieur de cet article pour faire apparaître la définition qui s’y rapporte dans une fenêtre secondaire, sans quitter l’article initial.

    Fort d’un contenu exceptionnel, Le Petit Robert est un outil performant d’aide à l’expression, une source inépuisable pour enrichir son lexique :

    – 60 000 mots, 300 000 sens, 185 000 exemples d’emplois.
    – 15 000 mots composés.
    – 14 000 locutions, expressions et proverbes.
    – 35 000 citations de 1 240 auteurs.
    – 180 000 liens hypertextes vers les synonymes, contraires et homonymes.

    – L’Historique des dernières consultations
    – La Fonction Marque-page permet d’archiver

     Entièrement autonome, l’application ne nécessite aucune connexion Internet une fois installée sur l’iPad.

    Plus d’infos : www.lepetitrobert.fr