Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Un nouvel outil au service des apprentissages numériques

    Un nouvel outil au service des apprentissages numériques

    230520124fbcace4a4e7f«Je manie les nombres» dispose de plusieurs avantages :
    Il est destiné au travail en autonomie des élèves guidés par l’enseignant
    Il offre une grande souplesse d’utilisation
    Et s’inscrit dans la perspective de parcours et d’apprentissages individualisés

    Une séance d’utilisation a été tournée dans la classe de CP de Mme Christelle Prévost, professeur des écoles, maître formateur à l’école Jean Errard de Bar-le-Duc (Avril 2011) avec utilisation d’un TBI Duaboard eInstruction.

    A l’origine, film d’accompagnement d’un outil édité par le CRDP de Lorraine, le projet est vite devenu la réalisation d’un support de formation sur les usages du TNI et du numérique en général en classe, combiné à l’apprentissage de la numération.

    Un film court, exploitable dans une séquence de formation pour des étudiants, des enseignants stagiaires, des enseignants en formation continue.
    Un film qui pose des questions, qui nécessite des interprétations, qui permet des lectures très diversifiées des activités en classe.
    Un film qui traite de la différenciation pédagogique

    Plus d’infos :
    Retrouver la vidéo là : www.cndp.fr/crdp-nancy-metz

  • Et si le numérique à l’école était économiquement accessible, utile et simple à mettre en oeuvre ?

    Pour mémoire, le Tableau Numérique Interactif (appelé aussi TBI – Tableau Blanc Interactif) est la combinaison d’un micro‐ordinateur, d’un vidéoprojecteur, d’une surface de projection (écran, tableau ou surface murale) et d’un système de capture (ou d’enregistrement), le tout orchestré par un logiciel de présentation et d’interaction piloté par l’enseignant. DYMO/Mimio a donc choisi avec son partenaire CINQRO d’homologuer quatre solutions groupées qui simplifient le choix des responsables achats en répondant parfaitement à des besoins concrets.

    Ainsi chaque école peut choisir sa solution en fonction de son existant (matériels déjà présents, tels que vidéoprojecteurs ou tableaux blancs classiques).

    Comme le souligne, Alain Cazes, ancien directeur du Ceante (Centre d’études et d’applications des nouvelles technologies éducatives) au Cnam et actuellement professeur dans un collège de la région nantaise, la solution TNI de DYMO/Mimio qu’il utilise pour sa classe, s’installe en quelques minutes. À ce titre, la simplicité de mise en oeuvre de l’outil bouscule tous les préjugés. Il suffit de repérer une prise de courant pour brancher l’ensemble des composants (micro‐ordinateur et vidéoprojecteur) et de placer la barre de capture sur un mur blanc de la salle ou sur un tableau blanc déjà présent.

    Cette barre de capture est chargée d’enregistrer tous les écrits et dessins effectués manuellement par l’enseignant ou l’élève. Les stylos particuliers employés pour cette opération peuvent accueillir aussi bien des feutres de couleur que des craies standard afin de permettre la capture, aussi bien sur un tableau blanc que sur les tableaux verts ou noirs classiques (solution proposée par CINQRO, le partenaire DYMO/Mimio en France). Puis l’enseignant effectue le calibrage sur la zone projetée avec son stylet et il ne reste plus qu’à lancer le scénario du cours avec le logiciel MimioStudio.

    La solution DYMO/Mimio s’affranchit du support en s’adaptant à l’existant. Elle n’est donc pas liée à un tableau blanc spécialisé pour opérer.

    Le TNI est au cœur du processus d’apprentissage.

    À travers ce simple exemple, DYMO/Mimio démontre que le TNI en classe est à la fois simple à mettre en œuvre et que son usage est prioritaire, en termes pédagogiques, par rapport à tout autre introduction généralisée du numérique à l’école. En effet, tous les choix qui privilégient la création d’un Espace Numérique de Travail (ENT) pour mettre à la disposition de la communauté éducative (enseignants, élèves, parents et personnels de l’établissement scolaire) des services numériques ne favorisent pas intrinsèquement l’apprentissage. Ils apportent un ensemble de moyens et de services indiscutablement pratiques et utiles, mais ne modifient en rien le processus d’acquisition des connaissances.
    …/.
    En revanche, l’usage d’un Tableau Numérique Interactif employé en classe, offre de réelles possibilités de rendre le processus cognitif plus attractif et efficace comme en témoignent de nombreux retours d’expérience (cf articles à droite).

  • Un nouveau compte Twitter pour s’amuser avec l’orthographe

    Un nouveau compte Twitter pour s’amuser avec l’orthographe

    220520124fbb87ef21134@1fauteparjour propose ainsi aux utilisateurs de Twitter de chasser quotidiennement et définitivement une faute d’orthographe de leur univers. Bien sûr, l’abonnement à @1fauteparjour est gratuit.

    Une faute à 9 heures
    Tous les jours à 9 heures, @1fauteparjour publie une phrase illustrant l’actualité de manière décalée, rédigée par Bruno Dewaele, esprit libre, professeur agrégé de lettres modernes et champion du monde
    d’orthographe. Le problème ? Cette phrase comporte une faute ; l’utilisateur de Twitter saura-t-il la déceler ? Loin de la dictée de Pivot, le niveau de langage reste accessible, et les fautes sont choisies parmi
    celles émaillant le quotidien des internautes.

    Une correction à 14 heures
    Le jour même, à 14 heures, @1fauteparjour publie la phrase correctement rédigée (sans la faute !), avec un lien donnant accès à son explication permettant de ne plus commettre cette erreur.

    Une demi-journée de suspense
    Les utilisateurs de Twitter ont donc cinq heures pour découvrir la faute, la corriger, la commenter, la partager… à partir d’une phrase de Bruno Dewaele proposant un regard décalé sur l’actualité.

    À 14 heures, tout est joué !

    «L’orthographe est une chose trop sérieuse pour ne pas la considérer comme un formidable espace de jeu dans lequel se promener au moins une fois par jour», dit Bruno Dewaele, véritable plume d’1 faute par
    jour.

    Cette initiative est lancée par le Projet Voltaire, n° 1 de la remise à niveau en orthographe avec plus de 650 000 utilisateurs, dont Bruno Dewaele est un éminent expert.
    «Rechercher une faute dans une phrase est une gymnastique aux multiples bénéfices», explique Pascal

    Hostachy, cofondateur du Projet Voltaire. «Cela incite à la relecture (fondamentale pour ses propres écrits),dédramatise la faute, aiguise le regard et favorise la mémorisation de la règle associée à la faute. On parle
    alors d’acquisition d’automatismes
    »

    Plus d’infos :
    Abonnez-vous gratuitement au compte Twitter @1fauteparjour à l’adresse suivante : twitter.com/1fauteparjour
    Toutes les informations sur www.projet-voltaire.fr

    A propos de Bruno Dewaele :
    Champion du monde d’orthographe (titre délivré à l’ONU, à l’occasion du fameux concours rassemblant 108 pays), professeur agrégé de lettres modernes au Lycée des Flandres d’Hazebrouck ; chroniqueur de langue à La Voix du Nord.

  • Enseigner à l’heure du numérique

    Enseigner à l’heure du numérique

    210520124fba055a3a88eLa conférence a été conçue et mise en œuvre avec la collaboration avec Caroline Jouneau-Sion. Elle a permis l’intervention à distance de François Jourde, enseignant à l’Ecole Européenne de Bruxelles, Clément Martin, ingénieur et «Edu’Hackeur» des Nouveaux Etudiants et Steve Wheeler, professeur à l’Université de Plymouth, UK.

    Malgré la configuration du cours (269  étudiants dans un amphithéâtre) la conception de la conférence visait à :
    –    rendre un cours magistral interactif ;
    –    montrer à de futurs enseignants les opportunités et les défis de l’enseignement avec le numérique.

    Afin de permettre aux étudiants d’intervenir avant le cours et de participer pendant le cours un blog (http://enseigner2point0.wordpress.com/) et un fil Twitter (#ticeens) ont été mis à leur disposition. En effet, Eric Sanchez souhaitait que les échanges puissent anticiper la conférence et se poursuivre après, pour rompre avec le côté frontal du cours magistral.

    De plus, un autre moyen pour introduire de l’interactivité dans l’amphithéâtre pendant la conférence a été introduit : les étudiants ont dû répondre à des questions avec des boîtiers de réponse eInstruction. Avec 269 boîtiers connectés, les réponses ont fusé et le panel a été suffisamment large pour dégager des tendances.

    Passée la première réaction des étudiants qui entraient dans l’amphithéâtre (« On passe le code ? »), la prise en main des boîtiers s’est effectuée rapidement et, tout au long de la conférence, différents types de questions leur ont été posées :
    –    des questions à choix multiple comme «quels sont les réseaux sociaux que les étudiants consultent lorsqu’ils sont en amphi»? ou une demande d’évaluation de la conférence.
    –    Des questions de type «brainstorming» : «Donnez un mot qui vous vient à l’esprit quand on évoque les liens entre numérique & éducation». Grâce aux boîtiers de réponse CPS Pulse, il est en effet possible de saisir des textes courts. Les multiples réponses envoyées peuvent alors être affichées immédiatement et discutées ou analysées plus tard.

    Les réponses en temps réel et l’affichage des résultats permettent à la fois d’avoir facilement un panorama des réponses et d’initier une discussion.

    L’interaction avec l’amphithéâtre s’est également faite par le biais de Skype avec les 3 intervenants prévus : François Jourde, Clément Martin et Steve Wheeler. Qui donnaient chacun leur point de vue sur l’introduction du numérique en classe, dans différents environnements éducatifs.

    Par ailleurs, grâce à Twitter, les étudiants ont pu questionner leurs interlocuteurs, soumettre des idées en direct ou donner leur réponse au défi que leur a été proposé. «Trouvez une approximation du périmètre de la France en 1813 utilisant un argument purement mathématique et exprimez votre réponse dans une langue étrangère et sous une forme littéraire de genre poétique (sauf poésie en prose)». Ce défi avait pour but faire travailler les étudiants de manière collaborative, en interdisciplinarité.

    En fin de conférence, un temps était réservé aux questions et, utilisant Twitter, un étudiant a demandé quelle était la pertinence de former des élèves à des technologies qui seront vite obsolètes.
    L’intérêt de cette conférence a été justement de bien montrer qu’il s’agit non de former aux technologies mais à leurs usages.
    Et Eric Sanchez de conclure avec ces mots : «les technologies RENFORCENT l’importance du rôle de l’enseignant».

    Plus d’infos sur les intervenants
    Eric Sanchez : Maître de conférences à l’Institut Français de l’Education (Ecole Normale Supérieure de Lyon), il dirige l’équipe EducTice-S2HEP. Il est également professeur associé à l’Université de Sherbrooke, Qc (Canada). Il conduit des travaux dans le domaine des usages des technologies pour l’éducation : simulation, modélisation et jeux sérieux.

    Caroline Jouneau-Sion : Enseignante en Histoire-Géographie (et donc éducation civique) depuis 12 ans, Caroline est partie d’une réflexion sur les outils numériques dans ses classes pour aboutir à une réflexion sur les changements pédagogiques induits par ces outils. Parce qu’on réfléchit mieux à plusieurs, elle a adhéré à plusieurs associations professionnelles : le CRAP-Cahiers Pédagogiques, les Clionautes, et dernièrement e.l@b Laboratoire – Education – Numérique. Professeure associée à  l’INRP depuis 2007, elle travaille désormais à mi-temps à l’IFé dans l’équipe EducTice.

    Steve Wheeler : Steve Wheeler is Associate Professor of Learning Technologies at Plymouth University, in South West England. Originally trained as a psychologist, he has spent his entire career working in media, technology and learning, predominantly in nurse education (NHS 1981-1995) and teacher education and training (1976-1981 and 1995-present). He is now in the Faculty of Health, Education and Society.
    More about Steve

    François Jourde : Enseignant agrégé de philosophie (depuis 1995), actuellement en poste à l’Ecole européenne Bruxelles I en Belgique, après avoir été en poste à Lille de 2001 à 2009, où j’ai aussi donné un cours de psycho-sociologie de la communication. Il s’efforce d’enseigner une matière académiquement exigeante en élaborant des dispositifs pédagogiques stimulants, notamment par l’usage des outils numériques et sociaux.
    “Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire” : il entend articuler cette injonction de Diderot à la nécessité d’éduquer les élèves à un usage éclairé des outils et des réseaux numériques.

    Clément Martin : Jeune ingénieur diplômé et actuellement étudiant acteur au cours Simon, Clément est un Edu’Hackeur. Cela fait maintenant un an qu’il est impliqué dans le mouvement des Nouveaux Étudiants et qu’il organise et anime des événements pour favoriser les mutations en termes d’éducation.

     

  • « uneStar Français CE1 » pour les enfants du primaire

    « uneStar Français CE1 » pour les enfants du primaire

    210520124fb9fa074ec56Vanessa Gallais, mère au foyer avec 3 enfants (de 8, 6 et 4 ans – 2 garçons et une fille) a décidé de créer ses propres applications pour iPhones, iPods Touch et iPads pour ses enfants. Au départ, l’idée est partie de faire travailler de manière intensive le français à son fils Alexandre de 8 ans, au niveau du CE1. Après avoir mis au jour « uneStar Français CE1 », elle a ensuite sortie « uneStar Français CP ».

    Les applications uneStar sont basées sur des séries de questions progressives en difficulté pour tester les connaissances acquises. Les leçons sont claires et précises et permettent donc d’aborder en toute confiance les séries d’exercices. Chaque série de questions comporte plusieurs types de questions, soit un simple fait à marquer Vrai ou Faux, soit des réponses à choix unique ou multiple ou soit des réponses écrites.

    Les enfants sont très bien récompensés à la fin de chaque série par de nombreux niveaux de récompenses sont disponibles. Les différentes récompenses comprennent des médailles, des étoiles et des coupes en Bronze, Argent et en Or. L’application permet clairement de suivre sa progression via toutes les séries avec le score courant et les scores obtenus. Les parents peuvent ainsi facilement suivre les progrès et tests effectués le jour même ou à la semaine.

    L’application uneStar enregistre les mauvaises réponses de votre enfant et crée automatiquement de nouvelles séries de questions à partir de ces mauvaises réponses! En fait, l’application enregistre les mauvaises réponses par date donc il est facile après que votre enfant est joué / révisé de lui demander à la fin de la journée de refaire ses mauvaises réponses pour être sur d’une compréhension complète des leçons abordées. Cette fonctionnalité est majeure dans les révisions qu’effectue votre enfant.

    L’application permet d’enregistrer plusieurs enfants, parents/adultes ou élèves; cette application n’est donc pas à utilisateur unique. Ainsi une famille nombreuse peut avoir tous ces joueurs sur la même machine. Egalement, un professeur pourra suivre sa classe entière d’élèves sur une seule même machine.

    « uneStar Français CE1 »
    La première application de uneStar «uneStar Français CE1» est forte de plus de 200 leçons et 2,500 questions, cette application va occuper longuement votre enfant, votre classe ou vous-même en révisant le programme du CE1 en s’amusant et cela en fait une application star de sa catégorie.
    •    UneStar Français CE1 comporte de nombreux exercices sur la lecture (e.g. sur l’ordre alphabétique, syllabes, consonnes et voyelles, etc.), le vocabulaire (e.g. les contraires, les mots étiquettes, les synonymes, les homonymes, etc.), les sons (tous les sons i.e. a, e i, o , u, b et p, d et t, etc.), la grammaire (e.g. le nom, le sujet , le verbe, les pronoms, les accords, l’adjectif qualificatif, etc.) , la conjugaison (e.g. passé présent et futur, verbes avoir et être, etc.), les différentes écritures d’un même son et beaucoup plus.
    •    Il y a avec cette version quelques bonus complets pour tester également vos compétences sur votre Anglais ou encore les drapeaux et capitales des pays du monde pour un niveau de connaissance CE1. L’application uneStar Français CE1 est également accompagnée en version limitée d’une version pour les mathématiques.

    « uneStar Français CP ».
    •    L’application uneStar Français CP est pour les enfants de 6 à 7 ans désireux de réviser et de se tester intensément en s’amusant sur le programme de CP.
    •    Fort de plus de 150 leçons et 1,500 questions, l’application uneStar Français CP va occuper longuement votre enfant, votre classe ou vous-même en révisant le programme du CP en s’amusant et cela en fait une application star de sa catégorie.
    •    UneStar Français CP comporte de nombreux exercices imagés sur la lecture, le vocabulaire, les sons, la grammaire et beaucoup plus.
    •    Il y a avec cette version quelques bonus complets pour tester également vos compétences sur les drapeaux, les animaux sauvages, les races de chiens et les oiseaux pour un niveau de connaissance CP.

    Ces applications remportent un vif succès, à en juger les quelques témoignages de parents : « L’application tant attendue ! Enfin une application ludique et très bien faite pour mon garçon qui ne jouera plus à A$gry B*rds mais révisera ses leçons dans les salles d’attente« , par Isabelle K
    « Excellent même pour une rentrée en CE2. Mon fils rentre au CE2 et cette application est parfaite pour une révision complète du programme de français du CE1« , par Lexi G.

    Plus d’infos :
    Lien vers l’AppStore : itunes.com/apps/vanessagallais
    Application : uneStar Français CE1
    Application : uneStar Français CP

  • SMART Notebook compatible pour iPad

    Le logiciel SMART Notebook est la solution idéale pour créer et dispenser des cours, comme le prouve son utilisation en classe par plus de 6 millions d’enseignants, avec plus de 40 millions d’élèves dans 175 pays.

    Grâce à l’application SMART Notebook installée sur leur iPad, les élèves peuvent se servir de nombreux outils logiciels généralement utilisés sur le tableau numérique interactif SMART Board. Ils peuvent ouvrir un fichier SMART Notebook depuis un e-mail ou un site Web de partage de fichiers, puis écrire, effacer et ajouter du texte, ou encore déplacer des objets et insérer des images. En outre, les élèves peuvent utiliser la galerie photo de l’iPad et insérer des images dans les pages SMART Notebook.

    Ces fonctions donnent la possibilité aux élèves de revoir des cours et d’effectuer les exercices sur l’iPad pour ensuite les enregistrer et les renvoyer par e-mail à l’enseignant pour  évaluation. Le travail de l’élève peut également être affiché sur un tableau numérique interactif SMART Board pour le partager avec toute la classe en diffusant en streaming le contenu de l’iPad grâce à la technologie AirPlay et un boîtier Apple TV.

    En utilisant l’application SMART Notebook pour iPad, les élèves et les enseignants gardent le cap et gagnent du temps en travaillant sur les mêmes supports à la fois sur des écrans interactifs et l’iPad à l’école ou à la maison.

    «SMART Notebook est toujours le logiciel préféré des enseignants désireux d’apporter plus d’interactivité à leurs cours», a déclaré Linda Thomas, Vice-présidente Produits, SMART Technologies. «L’application SMART Notebook pour iPad permet aux élèves et aux enseignants de profiter de nombreuses fonctions logicielles SMART Notebook en tout lieu, pour un apprentissage et une implication au-delà de la salle de classe».

    Pour plus d’informations sur l’application SMART Notebook pour iPad, rendez-vous sur smarttech.com/notebook.

  • Le championnat départemental d’orthographe à l’heure du numérique à Alençon

    Le championnat départemental d’orthographe à l’heure du numérique à Alençon

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    Comme l’an dernier, une centaine d’élèves de 4ème et 3ème de 17 collèges de l’Orne qui ont passé les quart et demi-finales se sont présentés pour une épreuve en deux parties :
    –    Une dictée qui est immédiatement corrigée par des enseignants présents ;
    –    Et un quizz, qui pour la première fois cette année s’est passé avec des boîtiers de réponse et le logiciel Flow !

    Les boîtiers de réponse CPS Pulse ont été distribués aux élèves de manière nominative, rendant le quizz interactif.

    Sous la diction du texte d’Albert Cohen, les plumes remplissent les feuilles qui sont ramassées pour être corrigées dans une autre salle, pendant que démarre la correction sur l’écran.

    Après la présentation des quelques pièges de la dictée, les élèves concentrés écoutent les rapides explications de prise en main du boîtier de réponse.
    Le quizz peut commencer. 12 questions se succèdent portant à la fois sur l’orthographe et sur la langue et littérature françaises. Chaque question posée donne lieu à un choix d’une seule solution parmi les 3 réponses proposées. L’affichage des numéros des participants permet d’identifier les personnes qui tardent à répondre.

    Le questionnaire se termine et les élèves peuvent faire une pause avec un goûter servi hors de la salle.

    À la pause, quelques élèves livrent leurs impressions sur l’épreuve. Beaucoup ont, semble-t-il, manqué de temps de relecture pour la dictée mais aucun ne l’a trouvée excessivement difficile. Les questions posées lors du quizz étaient pour la plupart en lien avec le programme de français suivi en classe.

    Pour Clémence, une des finalistes du quizz et pour Clotilde et Juliette, du collège Foch (l’Aigle), l’utilisation des boîtiers est simple ; elles trouvent cela très bien et pratique et les verraient bien dans le cadre d’un cours. De plus, cela fait des économies de papier, précisent-elles.

    Chayma, Perrine et Alexandre avouent avoir eu peur de potentiels bugs et du retour au papier, mais ont trouvé rassurant de voir les numéros et les pourcentages de réponse s’afficher. S’ils avaient cette technologie au collège, ce serait «super plus moderne», innovant. Un des avantages soulignés est le fait de pouvoir participer sans prendre la parole devant tout le monde.

    Les élèves reviennent dans l’amphithéâtre et le championnat se termine avec une explication des réponses du quizz, et enfin la remise des prix offerts par Ouest France, la librairie Le Passage et le Crédit Agricole.

    Félicitations au gagnant Max Ferrier, du collège François Truffaut d’Alençon, ainsi qu’aux autres gagnants et participants et aux organisateurs pour s’être lancés dans cette aventure, et rendez-vous est pris pour l’année prochaine.

    Plus d’infos :
    Retrouvez la dictée dans l’article de Ouest France

    Toutes les solutions eInstruction, boîtiers de réponse et le logiciel Flow! sur eInstruction.fr

     

  • L’ENT, un travail d’équipe

    L’ENT, un travail d’équipe

    «Vous voyez, je peux constater quelle a été la fréquentation sur toute la semaine ; par exemple sur mardi, je vois qu’il y a eu 3000 pages vues», déclare Pascale Petitjean, Principale du Collège Daniel Argote d’Orthez lorsqu’elle aborde le sujet du nouveau module de vie scolaire Scolastance que son équipe a adopté depuis la dernière rentrée.

    Un tableau de bord du vécu de l’élève

    En tant que chef d’établissement, elle trouve très pratique de pouvoir accéder depuis son ordinateur à plusieurs données d’ordre administratives ou pédagogiques sur la vie de l’élève à un instant donné, sans avoir recours à un de ses collaborateurs. «C’est un concentré de toutes les données (notes, absences…), un véritable tableau de bord du vécu de l’élève à l’instant T», ajoute t-elle.

    Ce lieu commun à tous mais en accès unique (chaque membre de la communauté éducative a son propre code qui lui donne un accès limité à ce qui le concerne directement), est aussi un espace qui simplifie la vie de Joël Beney, enseignant d’anglais. Pour lui, pas de doute, l’ENT lui permet un gain de temps sur chaque séquence de cours.

    Avec l’ENT, tout le monde gagne du temps

    L’appel qui se faisait auparavant sur papier, sans parler du dérangement que cela occasionnait lorsque les surveillants venaient chercher les «billets» en pleine séance, est maintenant réglé en quelques secondes et Joël Beney sait instantanément sur son ordinateur quel élève va être absent et pourquoi. Avant, «j’étais inondé de papiers ; aujourd’hui, tout se trouve au même endroit et je peux vérifier les choses très rapidement ; le gain de temps et d’efficacité en plein cours est indéniable. En gros, les papiers, on ne les lit jamais».

    Après l’appel, il  fait venir un élève sur l’ordinateur de la classe pour rechercher, sur l’ENT, l’Agenda à la date du jour. L’élève a directement accès au document de travail pour la séance, visible par tous sur le Tableau Numérique Interactif. En effet, notre enseignant convaincu utilise beaucoup la fonction «cahier de textes». Il y dépose, à chaque heure de cours, les devoirs à effectuer et très souvent une «trace» du travail réalisé en classe (sous format PDF, par exemple).
    Avec l’ENT et la mise en ligne de toutes ces données, plus d’excuses pour les élèves d’avoir oublié de faire leur travail ; même s’ils n’ont pas le temps de noter quelque chose, ils peuvent retrouver en se connectant avec leur propre mot de passe, à la maison ou sur un ordinateur de la salle informatique, le travail que Joël Beney leur a donné.

    Quant à Lucien Nozzi, Principal Adjoint, il s’occupe, entre autres, de saisir les notes des élèves dans l’ordinateur et avec ce nouveau module de vie scolaire, sa tâche est largement simplifiée, comme il nous l’indique, «tout se fait pratiquement tout seul et c’est pour moi un très gros gain de temps».
    Il utilise également l’ENT pour informer les parents sur toutes les actions qui sont proposées aux élèves  sur la fonction «agenda».
    Il souligne qu’au début, les parents se connectaient à l’ENT par curiosité ; désormais, ils regardent tous les jours et c’est un vrai média qui se crée entre les personnels du collège mais aussi les personnes extérieurs comme les parents.

    Gain de temps également pour le personnel de la Vie Scolaire. Avec l’ENT c’est instantané, «avant, le surveillants devaient passer toutes les heures dans les salles de classe pour récupérer les billets d’absence», précise Stéphanie Orré, Conseillère Principale d’Education. «Le soir, nous devions vérifier la concordance des absences entres les billets et les cahiers». Tout ce travail n’est plus à faire.

    Et autre avantage, les parents ont accès en temps réel aux données de leur enfant, comme les absences, heure par heure.
    Pour Stéphanie Orré,le «plus» de ce module par rapport au logiciel utilisé avant est que les absences sont maintenant gérées heure par heure ; avant, c’était jour par jour.

    Elle indique enfin que les motifs d’absence peuvent être notifiés par les parents directement sur l’ENT mais doivent également être envoyés par courrier (pour le cas où un enfant aurait récupéré le code de ses parents, précise la CPE !).

    Le numérique, via la brique Vie scolaire de l’ENT, est bel et bien entré dans les mœurs de chaque membre de la communauté éducative du collège Argote d’Orthez. L’ordinateur en classe associé au Tableau Numérique Interactif sont deux  outils qui se révèlent complémentaires à l’utilisation de l’ENT, comme l’a démontré notre enseignant d’anglais.

    Zoom sur l’action du Conseil Général des Pyrénées Atlantiques avec Dominique Provot, Chargée de mission e-éducation à l’Agence Départementale du Numérique dont le principal objectif est le développement des usages numériques sur le territoire.

    Le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, qui gère 49 collèges publics et  33 collèges privés développe une politique e-éducation sur plusieurs plans. Cela passe par la mise en réseaux très haut débit des établissements et l’amélioration du réseau interne dans chaque collège. Le CG 64 a également largement contribué à la fourniture en matériels numériques complétée par des dotations sur appels à projets (baladeurs MP3, TNI,…) ; aujourd’hui, il s’oriente vers la contractualisation avec les établissements, ce qui permet à chacun de choisir de manière cohérente le type de matériel en fonction de  son projet.

    La mise en place d’un réseau d’ATI (Agents Techniciens Informatiques) est engagée depuis peu, pour répondre à la problématique de la maintenance : une personne ressource  sera présente dans chaque collège !

    Sans oublier l’ENT Argos64 (déclinaison de l’ENT Argos du Rectorat de Bordeaux) ! Son élément essentiel est le module pédagogique Ilias, utilisé depuis plusieurs années. Argos64 vient donc de s’enrichir de la brique vie scolaire d’Infostance, expérimentée avec succès dans trois établissements du département depuis la rentrée et proposée à tous les établissements désireux de l’utiliser à la prochaine rentrée.

    Remerciements : au Collège Daniel Argote et son équipe, Mme Pascale Petitjean, Principal, M. Lucien Nozzi, Principal Adjoint, Mme Stéphanie Orré, CPE et M. Joël Beney, enseignant d’anglais. Ainsi que Mme Domnique Provot, représentante de l’Agence Départementale du Numérique.

  • Steve Jobs,du visionnaire de génie au dernier clic

    Transplanté dans la Silicon Valley, en pleine ébullition technologique, Steve en fait son terrain de jeu. Son arène. C’est dans ce lieu mythique qu’il puise les rudiments de son art : auprès de Paul, son père adoptif, qui lui apprend les rudiments d’électronique mais aussi des voisins, branchés informatique, qui le confirment dans ses choix. C’est aussi là où il rencontre “Woz”, ce bidouilleur génial avec lequel il fondera Apple.

    Steve Jobs ne crée pas… il habille, il améliore ce qui était encore à l’état d’ébauche et en fait une success story renversante. Son génie de visionnaire se résume tout entier dans cette projection. Il transforme l’utile en indispensable. L’élitisme en universel.

    Revers de la médaille, ses fêlures d’enfance ont divisé la personnalité de Jobs. Charismatique aux réactions totalement imprévisibles : passant du rire aux larmes sans transition, de la gentillesse à l’indifférence avec ses proches, de la complicité à de terribles accès colère avec ses collaborateurs : il n’a pas de mode d’emploi. Fou furieux pour certains, bipolaire pour d’autres, il se qualifie lui-même de sale c… et va même jusqu’à décerner un prix à ceux qui ont eu l’audace de le contredire. Moralité, il se fait virer de l’entreprise qu’il a créée et où il fera un retour triomphal dix ans plus tard.

    En attendant sa revanche, Steve Jobs profite de cette éviction pour renouer avec sa famille naturelle. Créer une autre société. Rebondir en achetant des studios de cinéma. S’acoquiner avec Disney.

    Son retour chez Apple marque l’apogée de ce destin exceptionnel. Pourtant, malgré une lutte, féroce mais désordonnée, le crabe aura le dernier mot.

    Gageons, toutefois, que ce dernier clic n’est que le premier clap d’un nouveau départ. Steve Jobs a un autre défi à relever. En effet, si la transcommunication n’en est encore qu’à ses balbutiements, lui seul est capable de mettre au point, demain, l’appareil futuriste qui nous permettra de recevoir ses messages… en direct de l’au-delà.

    L’auteur, Stéphane Ribes, journaliste à Opera Mundi, a rencontré Steve Jobs à Paris. Il était alors rédacteur en chef de deux revues du groupe Disney. Ils se sont liés d’amitié et c’est après son éviction d’Apple que Steve Jobs a fait appel à lui pour participer en tant que scénariste, au script des films réalisés par Pixar.

    Plus d’infos : www.editions-collectionprivee.fr