Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Majobaventure.fr utilisé en classe de terminale

    Majobaventure.fr utilisé en classe de terminale

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    En effet, il est utilisé depuis peu par Jonathan Kerleau, du Lycée Le Grand Chênois à Montbéliard qui a décidé de découvrir, avec sa classe de Terminale, la gestion des resssources humaines et le droit du travail à travers le jeu « MaJobAvenure ».

    Petit rappel sur le jeu : Imaginez un jeu vidéo, dans lequel vous êtes salarié d’une PME familiale aéronautique (Aérotaf) et êtes confronté à de nombreux problèmes pour lesquels vous devrez faire les bons choix. Pour que votre exploration se passe bien, vous devrez répondre à une série de questions sur la GRH et le droit du travail : conditions de travail, style de leadership, évolution de carrière, rémunération…

    Tout y passe. Et selon votre rapidité et le choix de votre réponse, votre score augmentera ou diminuera ! MaJobAventure est donc un jeu de parcours qui permet de tester vos connaissances sur les droits et devoirs au travail. Il vous faudra franchir les 3 niveaux pour devenir « Champion Job Aventurier » !

    Pour chaque niveau, 5 problématiques liées à la vie au travail sont à traiter. Pour chaque problématique, il vous faudra visionner la scène posant un problème de gestion et choisir la meilleure solution, le plus rapidement possible, pour accumuler le maximum de points !

    Les documents pédagogiques sont téléchargeables sur http://missiontice.ac-besancon.fr/ecogest/spip.php?article484

    L’expérience et la ressource sont également référencées sur Eduscol

    Voir le site Majobaventure et tenter l’expérience : www.majobaventure.fr

  • La tablette tactile, le «doudou numérique» de la classe

    La tablette tactile, le «doudou numérique» de la classe

    La tablette a été choisie comme lien physique entre la classe et les parents. Plus qu’un blog, elle permet une meilleure consultation des travaux de la classe hors de l’école. Facilement transportable et peu encombrante, l’enfant la ramène chez lui avec fierté pour montrer ce qu’il fait à l’école, alors qu’il ne raconterait peut être rien sans l’aide de cet outil «magique».

    La tablette tactile, une composante pédagogique pour les apprentissages

    Philippe Guillem nous explique que l’idée de départ était d’amener la tablette dans la classe pour le travail de l’écrit. Au mois de mars, il constate déjà les progrès.

    «Des automatismes sont en place dans l’emploi des pronoms par exemple ou dans la précision du vocabulaire»(…). «Cet accompagnement permettra à la fin de l’année à chaque élève d’écrire de courts textes en français correct et de penser déjà à l’écrit», argumente Philippe.

    Le travail avec la tablette fait prendre conscience aux enfants qu’un texte écrit peut se transformer, qu’on peut changer les mots et les phrases. Grâce à cet apprentissage, ils seront déjà familiarisés avec l’écrit.
    Ce processus n’est pas nouveau ; habituellement, il est fait sur un cahier papier qui part dans les familles pour être consulté. Philippe a juste eu l’idée de le faire sous format numérique.

    Une autre utilisation de la tablette consiste à mettre en ligne les sorties effectuées par la classe avec des photos et des vidéos. On retrouve également quatre thématiques que sont danse, arts plastiques, poésie et musique qui permettent de stocker toutes les recherches effectuées en classe. Philippe nous montre l’exemple d’une vidéo sur la danse «du Menuet». C’est très pratique lorsqu’il veut apprendre cette danse aux enfants ; il la montre sur la tablette et leur fait ensuite pratiquer en salle de jeu. Une réalisation concrète de leur travail de recherche.

    La tablette tactile, une composante psychologique pour amener l’école dans la famille

    Ce qui est tout aussi important pour Philippe, l’enseignant, c’est que la tablette permet la communication vers la famille. La tablette fait le lien entre la classe, l’enfant et ses parents, c’est le cahier de vie de la classe.
    A cet âge-là, pas facile de raconter à la maison ce qu’on a fait pendant la journée. Philippe nous confie avoir reçu plusieurs parents «se plaignant que leur enfant ne raconte rien».

    Il explique que pour un enfant, il est très difficile de parler de sa journée car il ne sait pas quel détail choisir (doit-il parler de ce qu’il a fait en classe ou est-ce le moment de la journée où il a joué avec son copain qui est important à raconter ?). La tablette facilite la communication et le travail de sélection pour l’enfant. Il pourra donc raconter ce qui tourne autour des sujets retenus par la classe qui apparaissent sur la tablette.

    La tablette tactile, plusieurs atouts en un seul outil

    En dehors du cahier de vie de la classe que les enfants ramènent chez eux en guise de «trophée»,  ils sont amenés à manipuler la tablette pour des travaux de musique, pour des petits jeux le matin à l’accueil ou pour aller chercher des documents faits en classe. Elle a donc d’autres fonctionnalités intéressantes.
    «Ils utilisent la tablette avec une facilité déconcertante, il n’y a pas besoin de mode d’emploi», ajoute l’enseignant.

    C’est un outil technologique d’adulte que l’enfant amène à la maison. «Au départ, c’est l’enfant qui montre à ses parents comment manipuler cet outil (…) Au début de l’année, seuls 2 ou 3 foyers étaient équipés d’une tablette ; maintenant, ça se généralise».

    En termes de sécurité et protection des enfants contre toutes les informations qui circulent sur la toile, la tablette a aussi une mission. Philippe nous raconte qu’un grand frère avait utilisé la tablette pour aller sur internet, lire ses mails… et qu’une fois de retour en classe, Philippe avait accès à tous les sites consultés. Il a donc été nécessaire de clarifier les choses avec les parents et avec les frères et sœurs ! Dès que la tablette sort de l’école, une charte s’applique.

    Pour autant, l’enseignant ne veut pas «brider» l’usage de la tablette, en installant des systèmes de sécurité, car c’est aussi pour lui un moyen d’éduquer, parents et enfants, à l’utilisation d’internet.

    Entre les temps de mise à jour et les vacances, la tablette circule dans les familles 3 à 4 fois dans l’année scolaire, «l’équivalent d’un magazine qui paraît tous les deux mois», précise Philippe.

    Un cahier de liaison «papier» a été mis en place pour recueillir les impressions des parents. ; par les commentaires qu’on peut y lire, la tablette fait l’unanimité. Même les parents plutôt sceptiques face au numérique, voient un intérêt dans ce cahier de vie, car leurs enfants racontent enfin ce qu’ils font à l’école.

    Dans la classe de Philippe Guillem, le numérique est quotidien ; pour exemple, il fait travailler les élèves sur twitter sous forme d’ateliers d’écriture collective ou par deux, qui proposent ensuite un message à toute la classe ; messages qui permettent aussi aux parents, et parfois même aux grands-parents , de suivre, à distance, ce que fait la classe.

    Près de 85% des parents d’élèves de la classe de Philippe se sont inscrits sur ce média social et l’utilisent régulièrement pour suivre les activités réalisées.

    Les petits amènent souvent quelque chose à l’école qui leur permet de se rassurer, un «doudou» ; Philippe considère la tablette comme le «doudou numérique» des enfants.

    Et pour sûr, ils ne sont pas prêts de le lâcher si l’on en juge leur enthousiasme et celui de leurs parents !

  • Une appli pour tablettes tactiles en cours d’EPS

    Une appli pour tablettes tactiles en cours d’EPS

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    Grâce à cet outil, les professeurs vont gérer des matchs en automatisant le décompte des points. L’application permet également de conserver et d’analyser l’ensemble des résultats.
    Les élèves, quant à eux, suivront le match et noteront les points (points “ordinaires”, points “bonus”, etc.) d’une manière beaucoup plus motivante qu’avec les supports « traditionnels » (grilles sur papier).

    Dès la fin du match l’enseignant peut utiliser les données pour effectuer les remédiations nécessaires.

    Une option Tournoi permet de calculer automatiquement les rotations, la gestion des rôles sociaux (arbitrage…) et d’obtenir le classement et les statistiques cumulées dès la fin du tournoi.

    Florian Colombat et Luc Gjurasevic, professeurs d’EPS au collège Le Guillon de Pont-de-Beauvoisin (38), exploitent sous différentes formes la mobilité des tablettes tactiles à propos d’une activité de combat en classe de 6e.Leur expérience est ainsi détaillée sur le site du CNDP.

    « Nous utilisons les tablettes selon plusieurs scénarios », expliquent-ils :

    – Utilisation de l’application « Match & Score » par les élèves afin de tenir le décompte des points de chaque combat.
    – Utilisation de la vidéo par les élèves pour analyser leur propre pratique en fonction de critères précis.
    – Utilisation de la vidéo par l’enseignant afin de mettre en avant des mouvements intéressants.

    « Après un trimestre d’utilisation quotidienne des tablettes tactiles en EPS, nous pouvons déterminer de nombreuses plus-values. La première est un gain d’autonomie remarquable notamment pour une classe de sixième. L’ajout de ces nouvelles technologies apporte également de la motivation supplémentaire et contrairement aux idées reçues, augmente le temps de pratique physique des élèves« .

     

    Retrouvez l’intégralité de leurs témoignages ainsi que la vidéo réalisée par l’Agence Nationale des Usages TICE sur : www.cndp.fr/agence-usages-tice

    Ajoutons que l’application est également éligible à l’actuelle opération “chèque ressources” pour les collèges et lycées concernés par cette opération.

  • Contrôler plus intelligemment le WIFI en classe

    Contrôler plus intelligemment le WIFI en classe

    école numérique«L’idée est née du constat que dans les entreprises et les établissements scolaires, de nombreux appareils électriques restaient allumés dans des moments où ils ne sont pas utilisés, la nuit, le week-end ou durant les vacances scolaires. On s’est donc rendu compte qu’il y avait de véritables économies à faire», explique Eric Sgarroni, concepteur et directeur de Green Priz.

    Idée intéressante dans une période où l’argent ne coule pas à flot dans les caisses des collectivités locales !

    Contrôler plus intelligemment le WIFI

    Autre atout de Green Priz : la possibilité de « contrôler » le temps d’exposition aux ondes WIFI avec ce système innovant. A l’heure où les articles sur les « dangers » du WIFI à l’école se multiplient, la proposition de cette société paraît astucieuse.

    A la fois économique et écologique, « éconologique » pour reprendre le dernier terme à la mode, ce dernier atout vient compléter l’offre de Green Priz.

    Plus d’infos : www.greenpriz.com

  • Un tableau numérique interactif distrayant et collaboratif

    Un tableau numérique interactif distrayant et collaboratif

    180420124f8e6839f0c1aDans le cadre du partenariat conclu entre le pôle numérique de l’académie de Versailles et DYMO/Mimio, l’Ecole élémentaire Le Nôtre (78) a récemment mis en oeuvre un projet d’intégration des TICE (Technologie de l’Information de la communication pour l’enseignement) à travers la solution TNI de DYMO/Mimio.

    M. Messic, directeur de l’École élémentaire Le Nôtre et fer de lance de cette politique en faveur des nouvelles technologies pour l’enseignement, a donc décidé de mettre en place un nouvel outil de travail dans la classe de CE2 fondé sur le tableau numérique interactif. En adoptant cette technologie, M. Messic souhaite que ses élèves utilisent l’outil comme un moyen de découverte et d’apprentissage. L’intégration des TICE dans l’école élémentaire permet également aux enfants âgés de 7 à 10 ans de se familiariser avec des outils modernes et de pouvoir ainsi les préparer à leur utilisation en classes supérieures.

    «Au sein de l’école, nous nous passons la barre Mimio comme un témoin», déclare M. Messic. «En moins de 5 minutes, la barre est installée et prête à l’emploi». Utilisée quotidiennement, la barre MimioTeach aimantée, est appliquée sur le tableau blanc classique et communique à l’ordinateur via une liaison sans fil. Ce dernier est connecté à un vidéo projecteur qui affiche au tableau l’image du logiciel de pilotage. Enfin, le stylet agissant comme une souris, permet de cliquer, d’écrire et de dessiner directement sur le tableau blanc. «L’intérêt de cet outil réside principalement dans sa capacité à pouvoir facilement manipuler les commandes du logiciel», ajoute M. le directeur.

    Le système MimioTeach facilite l’interactivité dans la classe.

    «Cet outil permet d’avoir un véritable confort visuel que nous n’avons pas avec un livre ou une feuille. Les élèves interagissent plus facilement ou peuvent exposer leurs idées clairement à l’ensemble de la classe», précise M. Messic.

    Parmi les nombreux avantages liés à l’utilisation du TNI, on observe principalement une nette amélioration de la participation en classe des élèves. En effet, l’interactivité offerte par la solution DYMO/Mimio a un impact très positif sur la motivation des élèves qui se sentent davantage impliqués. Perçu par les élèves comme attrayant, l’outil a décuplé leur motivation et a renforcé leur intérêt pour le contenu pédagogique. De plus, pour les élèves qui rencontrent des difficultés de compréhension, la barre interactive leur permet de représenter et de matérialiser l’image.

    Enfin, la technologie MimioCapture permet d’enregistrer les notes et les dessins réalisés pendant le cours. «Tous les précieux contenus élaborés pendant la classe sont enregistrés et les élèves peuvent ainsi conserver une trace. À travers cette fonctionnalité, il est plus facile de mesurer le niveau de compréhension de l’élève : repérer ce qui a bien ou mal été acquis ; comprendre pourquoi et essayer d’améliorer l’approche de l’apprentissage», conclut M. Messic.

    Plus d’infos :
    En savoir plus sur DYMO/Mimio

    Voir également la vidéo réalisée par le CRDP de Versailles

  • Des usages variés des boîtiers de réponses

    Des usages variés des boîtiers de réponses

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    Au-delà de l’utilisation bien connue des boîtiers pour l’évaluation (par exemple des interrogations de type QCM), ces machines peuvent être utilisées à tout moment du cours, et de ce fait, permettent d’une part d’amener les élèves à exprimer rapidement et tous ensemble, une réponse à une question donnée, et d’autre part de transmettre immédiatement au professeur les réponses de façon synthétique.

    Le pilotage du logiciel de gestion des boîtiers peut se faire à partir d’une tablette sans fil, ce qui permet au professeur de circuler dans la classe et d’échanger avec les élèves.

    Plusieurs activités ont été proposées aux élèves :

    Interrogation de calcul mental

    Deux questions sont simultanément projetées au tableau (présentation type powerpoint), deux élèves voisins ne répondent pas à la même question. Ils donnent leurs réponses sous forme numérique sur les boîtiers. Les « diapos » sont ponctuées de bruitages, la première consigne est donnée oralement, puis les questions s’enchaînent. L’interrogation ne dure que quelques minutes, la concentration des élèves est maximale, notamment du fait qu’ils sont sollicités sur du calcul mental, et ont peu de temps pour répondre sur les boîtiers ; le boîtier et le tableau sont donc les deux pôles d’attention des élèves. C’est une très bonne activité de début de séance.

    Correction d’un exercice d’application d’une leçon, fait à la maison

    En très peu de temps, les élèves donnent -tous- leurs réponses aux questions, et au fur et à mesure de la correction, à l’aide des graphiques de synthèse des résultats donnés par le logiciel, le professeur peut savoir si la leçon a été comprise par l’ensemble de la classe, et/ou quels points sont à revoir.

    Exercice de recherche, donné sous forme de problème ouvert

    Le texte du problème est projeté au tableau. Il ne s’agit pas d’un exercice d’application du cours, il va falloir mettre en oeuvre une stratégie de recherche.

    Première étape, les élèves sont invités à chercher individuellement, avec tous les moyens à leur disposition : calculatrice, livre, cahier, opérations, schémas,… A la fin de cette période de recherche, ils ont une minute pour se déterminer, et exprimer leur réponse avec le boîtier. Les indécis peuvent être sollicités directement par le professeur, car l’ordinateur permet de savoir en temps réel qui n’a pas répondu.
    L’affichage des résultats permet une première discussion sur le sujet.

    Deuxième étape, les élèves reprennent leur recherche en binômes, puis sont de nouveau sollicités individuellement pour répondre avec les boîtiers.
    Une nouvelle discussion s’engage, qui aboutira à la résolution du problème.

    L’apport des boitiers est ici évident. Les élèves se sont nettement plus impliqués dans la démarche de recherche que lors d’un déroulement plus classique de ce type d’activité. Les élèves timides, ceux qui ne sont pas sûrs d’eux, qui craignent le regard des autres, ont tous répondu, par l’intermédiaire du boîtier, alors qu’ils n’auraient sans doute pas levé la main pour s’exprimer. Et du fait qu’ils étaient obligés de se déterminer, se sont également davantage investis dans la recherche proposée.

    Après une période d’adaptation au matériel (au début les élèves avaient tendance à jouer avec…), les boîtiers ont finalement trouvé leur place dans l’environnement de travail des élèves, comme la calculatrice, la trousse, les livres,…

    Cette expérimentation a été particulièrement appréciée des élèves, qui ont même revendiqué lorsque certaines séances de maths se déroulaient sans boîtiers !

    Témoignage d’Isabelle Perucho, professeure de mathématiques au collège Georges-Pompidou, Orgerus
    Matériel prêté dans le cadre de Créatice par la société eInstruction.

    Source : publié le lundi 2 avril 2012 par le CRDP de Versailles

    Plus d’infos :
    Retrouvez la totalité de l’article, la vidéo et les témoignages des élèves sur www.creatice.ac-versailles.fr

  • Le quai Branly continue de surfer sur la vague numérique

    Le quai Branly continue de surfer sur la vague numérique

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    Google Art Projet : les chefs d’œuvre du musée du quai Branly en un seul clic

    Le Google Art Project propose aux utilisateurs des visites inédites des plus prestigieuses institutions culturelles mondiales. Le musée du quai Branly participe à ce projet ambitieux pour proposer au public une nouvelle offre interactive et faire découvrir ou redécouvrir son architecture, sa scénographie et les chefs-d’œuvre de ses collections.

    Utilisant la technologie Street View (utilisée par Google Map), le projet permet des prises de vue à 360° et une promenade virtuelle et interactive sur le Plateau des Collections. Très facilement et n’importe où dans le monde, les visiteurs du musée peuvent se déplacer librement dans le hall du musée puis dans 9 zones du Plateau des Collections pour découvrir une centaine d’œuvres provenant d’Afrique, de Nouvelle-Calédonie, de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Polynésie, des Amériques du Nord et pré-Colombienne, des Îles Salomon etc.

    Parmi les œuvres documentées, le visiteur peut retrouver une sélection de plusieurs masques issus d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques, d’impressionnantes statues comme la sculpture d’Ah-Puch, dieu de la mort maya, ou la tête d’ancêtre Moai monumentale, des objets rituels océaniens tels que la hache ostensoir kanak ou des gardiens de reliquaire kota du Gabon.

    Les internautes profitent d’une résolution d’images exceptionnelle qui leur permet de découvrir une œuvre dans ses moindres détails, puis ont accès à une fiche détaillée sur une sélection d’œuvres majeures et à des vidéos qui complètent leur visite.

    Le Google Art Project offre ainsi un complément aux autres outils numériques développés par le musée du quai Branly, comme le module «explorer les collections» sur le site internet où plus de 1.500 œuvres sont actuellement accessibles en HD. Cette consultation à distance offre à la fois un premier aperçu des collections avant la visite, un moyen d’enrichir les connaissances du public et permet également aux publics empêchés -touristes éloignés, personnes à mobilité réduite, etc- d’avoir accès aux collections du musée.
    Tête d’ancêtre moai, dans le hall du musée du quai Branly.

    Google Art Project +

    – On démarre : dans le hall du musée avec la tête d’ancêtre moai, le mât totem kaiget, l’installation contemporaine The River de Charles Sandison, et la tour des instruments de musique.
    – On poursuit : au cœur de 9 zones géographiques du Plateau des Collections : l’Afrique, la Nouvelle Calédonie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la Polynésie, les Amériques du Nord    et    pré- Colombienne, les Îles    Salomon et  autour des masques Mélanésiens et Dogon.
    -On profite : de la facilité d’utilisation, de la très haute définition des photos proposées, des notices détaillées et des vidéos pour découvrir masques, sculptures et autres objets rituels issus des collections du musée.

    Le Quai branly est le premier musée national à proposer l’achat du « m-ticket », billet dématérialisé sur iPhone pour l’accès à ses collections permanentes.
    Depuis mai 2010, les utilisateurs de téléphones portables peuvent désormais, grâce à leur mobile, acheter leurs billets en ligne et accéder directement à tous les espaces d’exposition du musée du quai Branly.

    Le « m-ticket » se présente sous la forme d’un code barre unique et infalsifiable, lu à l’entrée du musée grâce au parc de lecteurs de dernière génération dont l’établissement s’est doté.
    Cette solution permet au visiteur d’effectuer l’achat de ses billets quel que soit l’endroit où il se trouve.
    Rapidité, obtention instantanée des billets, souplesse d’utilisation, ce nouveau service permet d’améliorer l’accueil des visiteurs tout en poursuivant l’inscription résolue du musée dans une démarche de développement durable.

    Plus d’infos : www.quaibranly.fr

    publié

  • Révisez le Bac avec une librairie en ligne gratuite

    Révisez le Bac avec une librairie en ligne gratuite

    160420124f8bcc588e7c4 A quelques semaines du baccalauréat, Feedbooks, premier libraire numérique indépendant Français, propose dès maintenant et gratuitement les grands classiques du programme du Bac de Français. Pour faciliter les révisions des élèves, FeedBooks met à disposition également des fiches de lecture payantes, accessibles en un clic à partir de n’importe quel smartphone, tablette ou liseuse électronique.

    Avec FeedBooks, les lycéens peuvent dire STOP aux sacs à dos remplis à ras-bord de dizaines de livres et se plonger dans leurs révisions facilement à tout moment, qu’ils soient dans le métro, dans la cour de récréation, chez eux ou en vacances. Avec FeedBooks, ils possèdent ainsi une assurance supplémentaire de ne pas être victime du syndrome de la feuille blanche le jour J.

    Créée en 2007 à Paris, Feedbooks a contribué à la révolution du livre numérique et s’est imposé en quelques années comme l’une des plateformes majeures de téléchargement de livres au niveau mondial. Sa technologie innovante de distribution de livres électroniques aux formats ouverts, sa présence dans plusieurs pays et son catalogue de plus de 250 000 ouvrages en font un acteur incontournable du marché de la libraire en ligne.
    L’entreprise enregistre aujourd’hui 3,5 millions de téléchargements par mois, dont 500 000 en France.

    Feedbooks peut également se targuer d’avoir remis le libraire au cœur de l’innovation en proposant des avis et conseils, interviews d’auteurs, classifications et développement du catalogue.

  • La place des TIC à l’école

    La place des TIC à l’école

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    Partenaire de l’école numérique depuis de longues années, les actions de Microsoft dans l’éducation reposent sur la mise en place de projets novateurs pour les écoles, d’initiatives pour favoriser l’adoption du numérique et d’actions de réflexion menées avec différentes organisations.

    Parents et élèves : très largement convaincus de l’utilité des TIC à l’école…

    La grande majorité des personnes interrogées – 94% des collégiens, 89% des lycéens et 85% des parents – est convaincue de la nécessité d’utiliser les TIC à l’école. Ils considèrent que leur utilisation a un impact positifen termes d’efficacité – gain de temps, motivation, amélioration de la qualité du travail rendu… Parmi les principales raisons invoquées, l’usage des nouvelles technologies :

    – prépare mieux à la vie professionnelle (80% des parents et des lycéens, 82% des collégiens). Or, si les trois quarts des parents (75%) et une grande majorité des élèves du secondaire (81% des collégiens / 79% des lycéens) se disent globalement satisfaits de l’école, ils ne sont qu’une faible majorité à lui faire confiance pour préparer les élèves à la vie professionnelle (55% des parents et 62% des lycéens) ;

    – permet de gagner du temps (pour près de 90% des collégiens/lycéens et 83% des parents) ou accroître la motivation (pour 86% des collégiens) ;

    – permet de mieux suivre le travail scolaire (80% des collégiens, 81% des lycéens, 79% des parents) ;

    – rend les cours plus vivants et facilite leur compréhension (sentiment principalement partagé par les collégiens –respectivement 85% et 83%- un peu moins par les parents –respectivement 74% et 65%).

    …et déplorant leur rareté dans l’univers scolaire

    Plus de 9 élèves sur 10 considèrent que les TIC devraient être utilisées plus régulièrement durant les cours. En la matière, les collégiens se montrent les plus exigeants : plus de deux tiers d’entre eux (68%) estiment leur utilisation insuffisante – contre 57% pour les lycéens, et près de la moitié souhaite en profiter dans tous les cours – 47% pour les lycéens.

    La rareté des équipements est également soulignée. Ainsi, 86% des collégiens et 84% des lycéens regrettent le manque de matériel dans les salles de classe, et 56% des collégiens et 60% des lycéens le fait que ce matériel ne soit pas en accès libre dans l’établissement.. La vétusté du matériel est, elle, moins citée(38%/34%). Les élèves ayant fait part de leur satisfaction à l’égard de l’équipement TIC insistent d’ailleurs de leur côté sur son bon fonctionnement et sur le fait que les équipements sont récents.

    La maîtrise des TIC, plus que jamais jugée aujourd’hui indispensable pour l’avenir

    95% des parents et des lycéens considèrent que ne pas maîtriser les TIC constituent aujourd’hui un handicap, dont près des deux tiers (63% des lycéens et 60% des parents) qui en sont tout à fait convaincus.
    Dans un monde où les nouvelles technologies sont omniprésentes, l’enjeu est majeur : une proportion significative de collégiens (46%) et de lycéens (44%) a appris à se servir des TIC à l’école. C’est le principal lieu d’apprentissage en dehors du domicile familial, notamment pour les élèves vivant en zone rurale.

    Les parents, ont, de ce point de vue, pris la pleine mesure de l’enjeu et sont prêts à participer au financement du numérique à l’école.
    A noter, parmi les 78% de parents motivés prêts à contribuer, 72% le seraient au financement partiel, avec contribution tierce du collège ou du lycée, et 6% seuls.

    Microsoft, partenaire de l’école numérique

    «Depuis près de trente ans, nous contribuons activement aux côtés de nos partenaires à nourrir la réflexion sur le numérique à l’école. La première question qui se pose n’est pas celle des technologies mais bien celle de la transmission et de l’apprentissage qu’elles permettent. Notre ambition est en effet de mettre le numérique au service de nouveaux usages pour inventer ensemble l’école de demain : plus participative, plus immersive avec un enseignement plus personnalisé pour un apprentissage qui doit redevenir un plaisir. En outre, dans un monde de surabondance de l’information, l’utilisation du numérique en classe contribue à développer un socle de connaissances et de compétences précieux pour les élèves : esprit critique, tri des informations, sens de la collaboration…..», souligne Christophe Desriac, Directeur Education, Microsoft France

    «Parents et élèves voient dans le numérique un moyen de mieux préparer l’avenir professionnel. Les partenariats noués par Microsoft avec des établissements d’enseignement supérieur comprennent d’ailleurs un axe destiné à renforcer l’employabilité des jeunes grâce au numérique», ajoute-t-il.

    Plus d’infos :
    Infographie complète avec les chiffres-clés sur les parents et les TICE téléchargeable ici
    Les résultats de l’étude Ipsos sont disponibles sur demande auprès du service de presse de Microsoft France, Laure Montcel – lauremo@microsoft.com