Étiquette : tablettes

  • Gutemberg Technology lève 5 millions d’euros

    Gutemberg Technology lève 5 millions d’euros

    gutembergtech_171113Cette levée doit permettre à la start-up française, qui a déjà des bureaux à New York, de se développer sur le marché américain. Gutenberg Technology compte déjà parmi ses clients Pearson, Hachette Book Group et Houghton Mifflin Harcourt.

    L’entreprise est spécialisée dans les technologies de l’éducation. Elle souhaite étendre le champ d’action de sa plateforme dédiée à la production de livres numériques, MyEBookFactory 5.0, à d’autres secteurs de l’édition comme les livres de cuisine, les guides de voyage, la médecine, la formation professionnelle, ou encore les livres d’arts et catalogues d’expositions.

    Dans ce contexte, Gutenberg Technology a récemment conclu avec le Chef et fondateur de l’empire d’hôtellerie et de restauration Alain Ducasse un important contrat qui lui permettra de devenir un des leaders mondiaux du livre de cuisine sur tablettes et smartphones.

    L’entreprise continue d’innover dans le domaine de l’éducation en apportant à MyEBookFactory 5.0 de nouvelles fonctionnalités lui permettant de devenir une véritable MOOC (Massive Online Open Course) factory.

    Gutenberg Technology annonce également son intention d’autonomiser sa filiale LeLivreScolaire, spécialisée dans la création de manuels scolaires interactifs pour tablettes, smartphones et web. Dans cette stratégie, Gutenberg Technology est en recherche avancée de partenariats financiers et stratégiques.

    “Au terme de presque 3 années de Recherche & Développement, nous offrons désormais aux éditeurs un outil incomparable pour leurs éditions numériques“ déclare François-Xavier Hussherr, PDG et fondateur de Gutenberg Technology.

    Notre objectif est de permettre à nos clients de devenir autonomes en matière de production de livres digitaux en 2 à 3 ans.

    Nous avons décidé d’investir dans Gutenberg Technology” déclare Jean-Michel Gabriel, Directeur Général de BNP Paribas Développement, “ parce que nous croyons que le marché de l’éducation va connaître une transformation sans précédent dans les années à venir, au niveau mondial, et que Gutenberg Technology est bien positionnée par la qualité de ses équipes et de ses technologies pour y répondre.”

  • Tablettes à l’école : ce que nous apprend l’expérience des utilisateurs

    Tablettes à l’école : ce que nous apprend l’expérience des utilisateurs

    Si Christine Vaufrey a pris ces deux exemples, c’est pour montrer que les utilisateurs peuvent aussi être mis en avant et jouer un rôle dans la concertation pour la mise en place de tablettes numériques en classes.

    De la création d’un comité d’usagers et de leurs retours aux chercheurs qui suivent le projet,  » le projet Edutablettes86 a adopté une logique résolument en rupture avec la gestion traditionnelles des projets institutionnels « .
    Ce qui ressort de ces comités, c’est que ce sont les usages qui doivent définir les utilisations prises par le projet.

    L’auteure cite d’ailleurs Bruno Devauchelle, enseignant à l’université de Poitiers et chercheur au laboratoire TECHNE spécialisé dans les technologies pour l’enseignement, qui insiste sur la rigidité de l’outil numérique par rapport à un enseignant et qui donne comme exemple :  « la machine ne connaît que “juste“ ou “faux“, alors que l’enseignant sait apprécier une réponse “presque juste“ et la compter finalement comme juste« .

    Un constat : les tablettes ne s’utilisent pas de la même façon dans des environnements différents.

    Pour le projet TED, c’est tout autre chose. Rien que le titre en tête de paragraphe annonce la couleur : « TED : une décision venue d’en haut, mais des utilisateurs qui ont leur mot à dire« . Loin d’être de mauvaise critique, Christine Vaufrey insiste aussi sur le fait que le produit plaît et qu’il en est déjà à sa troisième version, revue et corrigée grâce aux commentaires des utilisateurs!

    Retours d’expérimentations et point de vue à suivre en découvrant l’article de Christine Vaufrey sur Thot Cursus  ici

     

  • Lancement de « Little Croissant »

    Lancement de « Little Croissant »

    LittleCroissantLogo_281013Le tout nouveau site www.littlecroissant.com répond à cette double demande : proposer à prix doux chaque vendredi des offres de jeux, produits culturels et outils d’apprentissage réellement adaptées aux plus jeunes.

    Des éditeurs francophones de talent

    Little Croissant présente chaque vendredi l’offre d’éditeurs francophones Jeunesse de qualité. Le marché des applications pour les enfants, hautement compétitif, est composé de nombreux éditeurs et l’offre francophone a parfois du mal à être repérée parmi les milliers d’applications proposées.

    Tous les éditeurs participants à Little Croissant ont adhéré à la charte de qualité du Crak qui rappelle les règles d’une application adaptée à un jeune public.

    Crak : cercle du numérique Jeunesse

    Little Croissant est lancé par le Crak, le Cercle des éditeurs d’applications pour les Kids, qui rassemble les éditeurs francophones innovants. Ce cercle d’affaires, lancé en mai 2013, vise à rassembler les professionnels du numérique Jeunesse francophone de qualité dans une même communauté. Afin de leur donner une visibilité accrue au niveau national et international mais également pour aider le secteur à échanger et prospérer.

    Le Crak a organisé le 25 septembre avec Gobelins, Cap Digital, le Labo de l’édition, et Microsoft Éducation un grand événement sur les Tablettes à l’école et la quête du contenu (#educrak).

    La Souris Grise

    Le Crak et Little Croissant sont tous deux portés par la société ScreenKids, également éditrice du site média La Souris Grise. Depuis octobre 2010, La Souris Grise repère et conseille en toute indépendance des applications Jeunesse à ses lecteurs, parents et professionnels de l’enseignement ou de la médiation.

    La Souris Grise est le partenaire presse de Little Croissant : ce service répond aux demandes de ses lecteurs, de bénéficier, en plus d’un choix éclairé sur les applications Enfant, d’offres à petits prix mais de qualité.

    Plus d’infos :
    Le site Little Croisssant
    Le site du Crak
    Le site de La Souris Grise

  • L’enseignement avec tablettes : SMD Systems et Crealogic conjuguent leurs compétences

    L’enseignement avec tablettes : SMD Systems et Crealogic conjuguent leurs compétences

    Depuis 1989, SMD Systems développe et installe des solutions multimédias didactiques en milieu éducatif.

    Le haut niveau de qualification de notre équipe, composée de pédagogues, d’ingénieurs et techniciens informaticiens et électroniciens, nous permet d’offrir un panel complet de services opérationnels, du conseil au service après-vente, en passant par la vente, le déploiement, la formation et l’assistance, et de disposer d’un bureau d’études performant ayant déjà donné naissance à plusieurs produits innovants et précurseurs.

    Depuis de nombreuses années, SMD Systems bénéficie de la confiance de partenaires institutionnels (Conseils Généraux, Conseils Régionaux, Municipalités, Communautés de Communes…) sur l’ensemble du territoire français, mais aussi à l’étranger.

    SMD Systems a conçu et développé une solution originale et ergonomique : baLibom tablet.

    baLibom  est une solution mobile d’apprentissage des langues et de baladodiffusion. Avec baLibom, toute salle de classe devient un laboratoire de langues.

     

    La vocation première de Crealogic est le développement d’applications mobiles pour l’enseignement.

    Des spécialistes de la didactique et de jeunes développeurs de talent ont permis la réalisation de solutions performantes résolument orientées vers la pratique pédagogique et l’intégration des NTIC et du multimédia en classe ou en formation.

    TClass+ M est le successeur des laboratoires multimédia traditionnels.

    TClass+ M tire le meilleur parti des capacités des tablettes tactiles en termes de facilité de prise en main et de mobilité. Sa richesse fonctionnelle en fait un outil de premier plan pour l’animation pédagogique  en permettant les échanges, la diffusion, le partage de contenus et la communication entre les acteurs de la Classe ou de la formation tout au long de a session de travail.

    et  réunis dans une solution intégrée ?

    Pourquoi faire ?

    Crealogic_111013Les 2 solutions sont parfaitement complémentaires :
    baLibom, outre l’aspect stockage sécurisé, mobilité, mise en réseau Wifi dédiée et rechargement des batteries, facilite le transfert de fichiers et permet de distribuer en même temps (en une seule opération) des contenus différents sur chaque tablette A ceci s’ajoutent les fonctionnalités de type ‘baladodiffusion’ .

    Tclass+M offre les fonctionnalités de communication et d’orchestration de séance et prolonge ainsi  l’action de baLibom en permettant l’utilisation en classe ou en formation des fichiers et données traitées par baLibom .

    L’intégration des 2 produits dans une seule et même solution permet de proposer une chaine complète dédiée à l’enseignement avec les tablettes tactiles. C’est une véritable réponse aux besoins exprimés par les professionnels aussi bien par rapport au traitement de fichiers qu’à leur intégration dans la pratique didactique basée sur l’emploi des contenus multimédia et l’utilisation des NTIC.

     

    Pour en savoir plus : www.crealogic-tn.fr

     

     

     

     

     

     

     

  • Une séance de classe « double niveau » avec l’ardoise numérique BIC Education

    Une séance de classe « double niveau » avec l’ardoise numérique BIC Education

    Découvrons comment elle optimise un cours de français pour ses deux niveaux, en alliant l’utilisation du numérique aux usages traditionnels.

    « Les élèves étaient très enthousiastes lorsqu’ils ont vu débarquer la station d’ardoises numériques dans la classe », confie Valérie.

    « Et il y en a beaucoup qui, depuis, ont demandé à leurs parents d’avoir une tablette tactile à la maison », ajoute t-elle.

    Un phénomène de mode ?

    Certainement un peu ; mais avec l’ardoise numérique, souvent appelée aussi « tablette », la maîtresse observe une réelle motivation à travailler.

    Elle donne l’exemple d’un enfant en CE1 qui avait toujours des problèmes sur les exercices d’écriture. Depuis qu’il utilise l’ardoise, il peut modifier son travail sans faire de ratures et « rendre un travail propre ».

    « C’est vrai que j’ai noté de réels progrès pour cet enfant au niveau de l’écriture », ajoute t-elle.

    Elle précise aussi qu’il faut savoir mesurer les séances de travail sur l’ardoise.

    « En général, je travaille avec les ardoises pendant une heure maximum ; après, les élèves décrochent ».

    C’est un élément que nous fait remarquer Géry Quenesson, Inspecteur de l’Education Nationale dans la circonscription de Boulogne-sur-Mer. Il travaille notamment avec les enseignants, pour les aider à faire le choix des activités où il paraît judicieux de travailler avec l’ardoise.

    « J’ai demandé aux enseignants de n’utiliser l’ardoise BIC que quand ils notaient une réelle plus-value, un intérêt ou une motivation pour les enfants », souligne t-il.

    L’ardoise numérique perturbe-t-elle la classe ?

    Un nouvel instrument pour le moins distrayant qui arrive en classe ne serait-il pas un facteur de déconcentration ?

    Valérie nous explique que tout est question de discipline instaurée dans la classe dès le début d’année ; et ça ne vaut pas que pour les ardoises !

    « Ils prennent l’ardoise sur leur table comme ils sortent leurs livres ou leurs cahiers ».

    C’est réellement un outil de travail et les élèves savent très bien mettre l’ardoise de côté quand l’enseignante leur en fait la demande.

    D’autant qu’elle souligne, au sujet d’Internet que « le module Internet a été bien pensé car on peut limiter le nombre de « clics » des enfants et prévoir sur quel site ils vont aller ». Aucune chance donc, d’avoir un élève qui va surfer sur Internet toute la journée !

    « Pour nous enseignants, cet aspect est vraiment sécurisant ».

    Un modèle d’enseignement qui favorise la collaboration

    L’enseignante peut suivre les travaux des élèves sur son ordinateur ; elle a accès à l’historique de chacun. Elle a également la possibilité  d’envisager une correction collective autour d’un travail d’un ou plusieurs élèves en projetant au tableau (avec un vidéoprojecteur), « l’ardoise d’un d’entre eux ».

    Elle trouve cette fonctionnalité très pratique car l’élève n’a pas besoin de réécrire au tableau ce qu’il a préparé et « nous pouvons discuter avec toute la classe de ses propositions ».

    « C’est quand même un gain de temps pour nous, et les enfants sont fiers de montrer au tableau ce qu’ils ont fait sur leur ardoise », ajoute Valérie.

    L’auto-évaluation, une fonctionnalité de l’ardoise qui marche bien

    L’ardoise numérique propose plusieurs modules sur lesquels les élèves peuvent s’auto-évaluer. Lorsqu’ils ont terminé un exercice, ils comptabilisent le nombre de points qu’ils ont réalisé. « Ils peuvent ensuite s’entraîner jusqu’à améliorer leur score », précise Valérie.

    « Avec l’ardoise, on peut faire plus d’exercices, des exercices différents et surtout, ce qui les intéresse, c’est de voir s’ils ont des réponses correctes ou pas ».

    Valérie nous explique que ce genre d’évaluation n’était pas possible sans les ardoises, du moins pour obtenir des résultats immédiats ; surtout avec une classe « double » où l’enseignante ramassait les cahiers qu’elle corrigeait ensuite à la maison.

    Valérie gère donc son quotidien de classe entre harmonisation de la durée de travail avec les ardoises et les outils traditionnels, choix cohérents d’activités pour l’usage de la tablette et « jonglage » entre les deux niveaux.

    L’ardoise numérique s’avère d’ailleurs bien adapté au cas de Valérie et à la classe « multi-niveaux » ; elle nous a démontré son côté pratique : pendant qu’elle faisait travailler l’écriture des lettres aux CE1 par une mise en commun au tableau de la production d’un élève, elle a pu laisser les CE2 travailler sur un exercice « à trous », dans lequel ils avaient la possibilité de s’auto-évaluer.

    Valérie, une enseignante convaincue

    Valérie était déjà habituée à aller avec ses élèves en salle informatique ; elle avait donc une forme de « culture numérique », mais cela n’a jamais modifié sa manière d’enseigner ; elle voyait plutôt ce « mouvement » d’une salle à l’autre, comme une contrainte, obligeant chaque élève à prendre avec lui livres et cahiers.

    Avec l’arrivée de l’ardoise, elle note de réels changements dans son propre comportement et dans celui de ses élèves, « c’est un plus pour moi et pour mes élèves » !

    « Quand je dis que l’arrivée des ardoises numériques n’a pas changé ma pédagogie, ça l’a améliorée, ça facilite mon travail dans la classe ».

    Et elle apporte juste une nuance : « on fait beaucoup plus de choses avec l’ardoise en classe ; par contre, cela me demande plus de travail de préparation (…) C’est aussi la première année que je les utilise ; une fois le exercices créés, je pourrai les réutiliser l’année prochaine ».

    Un travail préparatoire dont est bien conscient Géry Quennesson ; mais pour lui, « cet investissement en temps est largement rentabilisé par un outil qui est facile à prendre en main ».

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  • To BYOD or not to BYOD

    To BYOD or not to BYOD

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    Noelen Callaghan, enseignante australienne et formatrice au numérique, at Rooty Hill High School, détaille dans The Australian Teacher Magazine l’arrivée progressive du BYOD en classe.

    Comment utiliser au mieux ses budgets éducation ? Ne plus acheter aux élèves les matériels type ordinateurs portables, tablettes etc, ne permettrait-il pas d’investir cet argent autrement ?

    Nil Sanyas, journaliste, a récemment évoqué le sujet de l’Australie dans son blog et il décrit particulièrement bien la situation.

    L’Australie est un pays développé avec des citoyens multi-équipés. Un programme de 2007 a été mis en place afin d’équiper tous les écoliers âgés entre 9 et 12 ans d’un ordinateur portable, habituant ces derniers mais aussi les écoles à leur utilisation. Ce sont près d’un million de PC portables qui ont été offerts à travers le pays pour un coût total de 2,1 milliars de dollars australiens. Avec les changements politiques récents, l’actuel gouvernement a décidé de stopper le programme et il n’y aura donc pas non plus de renouvellement des machines.

    Un constat qui pourrait être fait en France devant des opérations d’envergure telles que celles menées dans les Landes, les Bouches-du-Rhône, la Corrèze etc. Jusqu’à quand ces collectivités vont-elles pouvoir continuer d’équiper, de renouveler et de maintenir en état les parcs ?

    Ne faut-il pas comme l’Australie, prendre la vague du BYOD ?

    Certes, de nombreux éléments doivent être pris en compte car amener son ordinateur portable, sa tablette ou son smartphone pour l’utiliser à l’école, ce n’est pas si simple.

    Il y a les contraintes du réseau de l’école ou de l’établissement ; il y a les écarts de capacité et de qualité entre les matériels ; et enfin, il y a l’enseignant qui doit s’y retrouver et composer dans ce paysage techniquement nouveau et… peut-être un peu compliqué, il faut l’avouer !

    C’est une réelle nouvelle manière de penser l’éducation. Sommes-nous prêts ?

    Le monde moderne, lui, ne nous attendra pas et nos petits citoyens français auront du mal à se frayer un chemin sans être imprégnés dès le plus jeune âge de cette culture, avec la crainte de faire un peu « tâche » aux côtés d’interlocuteurs internationaux…

    Noelene Callaghan va même encore plus loin : pour elle, le monde dans lequel évoluent nos enfants doit déterminer les compétences qu’ils doivent acquérir à l’école et elle se demande même si toutes ces technologies mobiles qui représentent aujourd’hui leur univers ne vont-elles pas, à l’avenir, être remplacées par une autre « device » qui reste à inventer.

     A lire aussi à ce sujet, « le futur de l’éducation : BYOD en classe ? »

     

  • Kosmos lance sa solution K-d’école en version mobile pour les lycéens de la Région Pays de la Loire

    Kosmos lance sa solution K-d’école en version mobile pour les lycéens de la Région Pays de la Loire

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    En cette rentrée 2013, Kosmos innove une nouvelle fois et confirme sa place de pionnier dans le secteur de l’éducation en mettant à disposition une version mobile d’e-lyco pour les lycées de la Région.

    L’application e-lyco devient ainsi le premier ENT mobile multi-supports à être déployé en France, permettant à terme à plus d’un million d’utilisateurs de la Région Pays de la Loire d’accéder à leur ENT depuis leur appareil mobile.

    Un choix motivé par les habitudes des lycéens

    Afin de faciliter l’accès à son environnement numérique de travail (ENT), la Région Pays de la Loire a souhaité proposer aux lycéens présents sur son territoire, ainsi qu’à leurs parents, professeurs et personnel du secteur éducatif, un accès facilité.

    « Parmi les utilisateurs de la solution e-lyco dans les lycées, une grande majorité est désormais équipée de smartphones. Il nous semblait donc primordial que l’ENT e-lyco bénéficie d’un écho sur l’environnement mobile, avec une interface adaptée et téléchargeable depuis les différentes ‘marketplaces’ » indique Yves NIVELLE, Chargé de mission usages numériques à la Région Pays de la Loire.

    Une innovation majeure pour le monde de l’éducation

    Depuis 2009, Kosmos déploie son ENT K-d’école auprès de 1 800 collèges et lycées en France. Dans les Pays de la Loire, plus de 730 établissements sont concernés, dont 288 lycées publics et privés, en faisant le plus vaste projet d’ENT mis en œuvre à ce jour.

    En cette rentrée 2013, Kosmos se distingue à nouveau en permettant aux lycéens de la Région Pays de la Loire d’être les premiers en France à disposer d’une application mobile de leur ENT e-Lyco. Une innovation d’autant plus significative que la volumétrie d’utilisateurs est conséquente. A terme, plus d’un million de personnes devraient utiliser cette application dans les Pays de la Loire.

    « Ce projet représente une réelle avancée pour le monde de l’éducation. L’utilisation des terminaux mobiles dans la vie quotidienne va en s’accroissant. Il était donc essentiel de pouvoir adapter notre ENT à ces nouveaux usages. La Région Pays de la Loire a été la première à croire en cette innovation et à nous permettre d’y consacrer toute la recherche nécessaire afin de proposer une application hautement sécurisée, ergonomique et accessible par un très grand nombre d’utilisateurs », explique Sylvain THOMAS, Directeur du pôle ENT scolaires chez Kosmos.

    Qui dit application mobile contenant des données privées, dit sécurisation accrue de ces données. Pour ce faire, Kosmos a développé des mécanismes spécifiques, compatibles avec les systèmes déjà en place, et adaptés aux applications mobiles.

    « Nous avons imaginé un dispositif avec un système d’activation et d’authentification par code, avec le niveau de sécurisation que l’on rencontre dans le monde bancaire par exemple » indique Sylvain THOMAS.

    Et tout a été envisagé. En cas de perte ou de vol de l’appareil mobile, un système permet de le désactiver à distance, pour une sécurisation des données à toute épreuve.

    Une collaboration fructueuse entre Kosmos et la Région Pays de la Loire

    Kosmosvisuelcapecran_CP_031013Lycéens, parents et personnel éducatif de la Région Pays de la Loire peuvent donc désormais accéder, en toute sécurité, depuis leur appareil mobile, à la plateforme e-lyco.

    Emploi du temps, cahier de textes, travail à faire ou bien encore actualités des établissements font partie des éléments disponibles depuis l’application.

    « Nous sommes heureux d’être la première Région à offrir à ses lycéens une application mobile ENT.
    L’expertise de Kosmos et la qualité de la collaboration entre nos équipes nous permettent de proposer une application multi-supports fiable, ergonomique et sécurisée à nos utilisateurs» indique Yves NIVELLE.

     

    Cette collaboration autour de la mobilité ne fait que commencer. Depuis la mise à disposition de l’application sur les ‘marketplaces’, le 2 septembre 2013, de nombreux élèves ont déjà fait part de leur satisfaction sur les réseaux sociaux. Ces résultats très encourageants laissent présager de belles perspectives d’avenir pour cette application.

    A propos de la société Kosmos
    Créée en 1998 à Nantes, Kosmos est spécialisée dans la mise en œuvre de solutions numériques pour l’éducation : portails web, e-portfolios, ENT, portails de ressources, solutions mobiles… Elle accompagne les acteurs de l’éducation en intervenant autour de quatre métiers : le conseil, l’intégration, l’infogérance et l’édition logicielle.
    Ses clients :
    30 collectivités 50 universités, grandes écoles et organismes de formation 10 académies 20 organismes de mission de service public.

  • La classe inversée en accompagnement personnalisé en 6ème

    La classe inversée en accompagnement personnalisé en 6ème

    La classe inversée bouleverse ce principe en proposant à l’élève de visionner le cours avant d’arriver en classe. Le lendemain, les élèves échangeront sur ce qu’ils ont vu, feront des exercices ensemble, construiront la leçon. Le professeur plus disponible pourra ainsi aider les élèves en difficulté pendant la phase d’échange et sera un guide lors de la mise en place de la leçon.

    J’applique cette démarche en accompagnement personnalisé en 6ème, décrit Marie Soulié, enseignante au collège Argote d’Orthez dans les Pyrénées Atlantiques.

    Les étapes sont les suivantes:

    Etape 1 : la capsule

    Les élèves visionnent chez eux une capsule vidéo que je dépose sur le site de mon collège.

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    Ils remplissent une fiche qui permet de résumer très simplement le contenu de la capsule et de lister les questions à poser au professeur.

    Etape 2 : la phase d’interaction en classe

    classe_inverseeArgote2Les élèves échangent sur le contenu de la capsule, comparent leur fiche, répondent aux questions. Des exercices sont distribués, ils doivent être réalisés en groupe et à l’oral. Le professeur, libéré de sa prise de parole magistrale, vient en aide aux élèves en difficulté pendant que les autres continuent leur activité.

    La différenciation devient donc réelle.

    Etape 3 : la phase de construction de la notion

    Le professeur rassemble les groupes et rédige au tableau sous la dictée des élèves la leçon. Il peut intervenir lors de cette étape pour recentrer ou préciser un point.

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    Etape 4 : la phase de production

    Les élèves vont pouvoir maintenant restituer leur connaissance au travers d’une production qui peut prendre différentes formes:

    Une capsule vidéo à destination de camarades, un poster explicatif, une carte heuristique, une trace écrite, un podcast…

    En conclusion, cette méthode inversée est parfaitement adaptée à l’accompagnement personnalisé car les élèves sont en petit nombre et peuvent donc travailler en groupe.

    Plus d’infos :
    Retrouvez la classe de Marie en vidéo ici
    Le blog de Marie ici

     

    Comme Marie, vous êtes enseignant et vous souhaitez partager, faire connaître vos pratiques et usages du numérique en classe, écrivez nous ! redaction@ludomag.com
    Nous sommes là pour diffuser vos savoirs-faire.

     

     

  • Mobilité des corps dans l’espace réel ou mobilité dans les espaces numériques  ?

    Mobilité des corps dans l’espace réel ou mobilité dans les espaces numériques ?

    La problématique définie par les organisateurs étaient la suivante : « il y a dix  ans les premiers bricolages [1] arrivaient sur le marché, les ordinateurs et TNI sur roulette étaient invités ! Aujourd’hui, passées les expérimentations, de distribution de portables aux collégiens, les opérations tablettes, le BYOD. Et si la mobilité c’était les MOOC, les univers virtuels ou l’apprentissage à distance ? »

    J’ai choisi de ne pas assoir mon propos en décrivant les avantages réels ou supposés des tablettes numériques, j’ai préféré centrer ma réflexion sur la notion de mobilité pédagogique. Que recouvre le concept de mobilité ? Est-il un concept lié à l’arrivée des technologies numériques ? la mobilité est –elle celle des corps ou celle des espaces ? mobilité des corps, mobilité des ressources, mobilité des outils, mobilité des cloisons dans les établissements scolaires. Il est nécessaire de baliser ces champs.

    Définition

    Avant toute analyse il convient de s’interroger sur le sens des mots utilisés en pédagogie de façon générale [2], sur la mobilité en particulier, sur son étymologie. Il est assez fréquent que nous employions à longueur de billets, d’articles et de discussions des termes sans en cerner parfaitement les contours et les subtilités [3].

    Alors même que nous sommes enclins à envelopper la mobilité dans une gangue positive, l’étymologie nous invite à un peu plus de prudence :

    Dans le dictionnaire étymologique en ligne il est dit :

    « Le Dialoge Grégoire, éd. W. Foerster, p.92, 9); b) 1667 le définit ainsi « inconstance et instabilité » c’est aussi selon Bossuet, Premier sermon pour le dimanche de la quinquagésime, 1 ds Littré Add. 1872) la «facilité à passer d’un état psychologique à un autre» [4].

    Là où la technologie semble vouloir nous parler de libération des méthodes, l’étymologie nous engage à observer avec prudence le propos, nous aurons l’occasion d’interroger la notion d’état psychologique plus avant.

    L’introduction des tablettes et autres solutions mobiles nous fera-t-elle entrer dans l’ère de l’inconstance et de l’instabilité ? Ce n’est certes pas ma conclusion mais il est évident que la question mérite d’être approfondie. J’ai, à propos du temps de travail des enseignants, commencé à poser des jalons [5].

    Historiquement

    La tablette et la mobilité, à juste titre, ont été largement évoquées dans les débats et ont été associées à la nouveauté. Est-ce une évidence ? Ce n’est pas sûr, il suffit pour cela d’interroger l’histoire.

    JPMoiraud_180913La tablette est à la source de notre histoire, les sumériens écrivaient sur des tablettes d’argiles, le musée du Louvre nous donne l’immense joie de pouvoir les admirer. Certes, entre les tablettes contemporaines et les inscriptions sur argile existe un gouffre technologique mais la passerelle de la mobilité est un lien fort. Cela doit nous interroger.

    Je me plais très souvent à citer Alberto Manguel et son livre une histoire de la lecture. Il cite le cas de ce Prince Perse qui avait dressé ses chameaux (transportant ses ouvrages) à se déplacer selon l’ordre alphabétique : « Au Xème siècle, par exemple, le grand vizir de Perse, Abdul Kassem Isma’il, afin de ne pas se séparer durant ses voyages de sa collection de cent dix-sept mille volumes, faisait transporter ceux-ci par une caravane de quatre cents chameaux entraînés à marcher en ordre alphabétique [6]»

    Les moines Irlandais de Kells créaient des mini bibles pour le lecteur itinérant. Les exemples foisonnent car la mobilité et le savoir ont, me semble-t-il toujours été associés.

    De façon plus contemporaine, dans les années soixante, la génération du Baby-boom a appris la poésie, la musique classique grâce à la radio scolaire sous l’ égide de l’OFRATEME [7]. En raison de l’ajum de l’âge de l’obligation scolaire il fallait former en masse des instituteurs et des élèves. La radio scolaire s’est inscrite comme élément technologique fort pour la formation. Une mobilité réelle de savoirs via les ondes.

    La mobilité est donc bien inscrite dans notre histoire de l’enseignement et de l’apprentissage, le numérique lui a donné une tournure sans précédent, nous pouvons apprendre et enseigner « everywhere and anytime ». Le rapport Bardi-Bérard [8], en 2002, a mis en évidence le phénomène de porosité de l’espace éducatif. Nous sommes devenus mobiles, il est de bon ton d’être mobile, la mobilité est devenue une compétence exigée dans les fiches de poste des DRH, le contrat de travail peut prévoir une clause de mobilité [9]

    Mobile certes, mais s’agit-il de la mobilité du corps ou de la mobilité dans les espaces ? il s’agit bien de savoir si la mobilité influe nos pédagogies, si elle la rend plus efficace ?

    Mobilité des corps et mobilité dans les espaces

    La mobilité des corps

    Avec la généralisation des tablettes dans les classes, il est normal d’interroger le concept de mobilité. Il nous est loisible de nous déplacer et d’avoir accès en permanence au savoir, aux ressources pédagogiques. L’ère de l’informatique avait spatialement organisée le corps : un Homme assis devant un écran, lui-même installé sur un bureau.

    JPMoiraud2_180913Le numérique nous fait entrer dans l’ère des écrans multiples et de la mobilité des corps. Nous pouvons nous déplacer avec l’écran (tablettes, smartphones, lunettes),  poser notre corps dans des endroits protéiformes pour accéder aux informations, au savoir. Nous entrons dans un système où apparaît la posture de la consultation multi-écrans.

    Qui ne s’est pas allongé dans son canapé pour regarder la télévision tout en consultant sa tablette ?. Cela favorise-t-il la pédagogie [10] ? Nous sommes entrés résolument dans l’ère de la mobilité exacerbée, les espaces se diluent, le temps s’accélère.

    Cet ensemble de questions nous oblige à penser le corps mobile via divers prismes. Quelle architecture à l’heure de la mobilité, comment place t-on le corps des apprenants et des enseignants dans un environnement contraint par le numérique ?

    Le design social s’est emparé de cette question délicate en formalisant des scénarios [11]. Le corps dans la classe, le corps hors la classe expression de la mobilité est un sujet que nous ne pouvons plus ignorer.

    Cependant qu’elle est la plus-value pédagogique ? Le corps libéré des murs aide-t-il à mieux apprendre ?

    Cette question doit (devra) être menée par les collectivités locales qui ont en charge les bâtiments scolaires. Elles ont à mener une réflexion sur deux axes, les bâtiments à venir et les bâtiments existants.

    Il semble acquis, à l’aune des technologies existantes, que l’acte d’enseignement n’est plus seulement organisé sur le principe de la tragédie grecque (unité de temps et de lieu). Nous devons nous interroger sur la définition contemporaine à donner au concept d’ établissement scolaire.

    D’une certaine façon il faut libérer les corps de l’enceinte classe, le lycée d’Orestad [12] tente de donner des réponses à cette question.

    Dans la mesure où les technologies font voler en éclat les murs de la classe,  déconstruisent, d’une certaine façon, la conception traditionnelle de l’établissement, faut-il tenter de redéfinir ses contours ?

    L’établissement scolaire, à fortiori l’université, est-il uniquement délimité par des murs ? Le corps apprenant est il cantonné à circuler, apprendre dans un espace physique unique ? l’apprentissage en ligne (pour les apprenants et les enseignants) étend l’école à l’espace privé.

    On peut aprendre chez soi, le numérique n’est-il pas en train de professionnaliser l’espace privé en des temps déterminés ? L’espace public dans la sphère privée et la sphère privée dans l’espace public, [13].

    La vraie mobilité n’est-elle pas celle des espaces ? Nous disons fréquemment « accéder à internet », nous pénétrons de nouveaux espaces dans lesquels nous nous mouvons. Nous les nommons ENT, world of warcraft [14], second Life, cyber espace, e. mail …

    La mobilité dans les espaces numériques

    Il devient très difficile d’opposer le réel et le virtuel puisque notre activité sociale s’y exerce alternativement. Le numérique nous permet d’investir d’autres espaces dans lesquels nous circulons, nous nous socialisons [15].

    Je voudrais à ce titre, citer un passage du livre de Milad Doueihi [16] : « après une longue absence, le corps fait donc irruption dans notre environnement numérique. « « On ne peut penser et écrire qu’assis (Gustave Flaubert). – Je te tiens nihiliste ! Être cul de plomb, voilà, par excellence, le péché, contre l’esprit ! Seules les pensées que l’on a en marchant vâlent quelque chose. » Il semble que notre réalité numérique soit plutôt Nietzschéenne, mais au lieu de se promener dans la nature, on se balade dans les espaces urbains, investis par le numérique. C’est précisément ce mouvement continu vers la mobilité qui caractérise l’urbanisme virtuel au cœur de l’humanisme numérique » (Milad Doueihi page 21)

    Je pense que les tablettes et autres solutions mobiles ne sont que des artefacts qui nous ouvrent de nouveaux horizons pour explorer ce «far web [17]».

    Je pose la question (convaincu que je n’ai pas de réponses) : La vraie mobilité ne réside-t-elle pas dans la capacité des enseignants à élaborer des scénarios pédagogiques instrumentant le numérique [18] ?

    La tablette n’est mobile que si elle permet d’explorer les vastes étendues numériques. L’enseignant est un bâtisseur, il norme des espaces, il les agence, il donne à ses élèves une cartographie numérique, il plante des panneaux qui indiquent la direction de la coopération, de la collaboration et peut être de l’intelligence collective. Là est la vraie mobilité, en tout cas j’ai la faiblesse de le croire.

    Ce n’est, me semble t-il qu’à cette condition, que l’on peut commencer à penser la mobilité dans le monde réel.

    Les mondes virtuels qui structurent mes activités sont un bon exemple pour illustrer cette mobilité numérique [19]. Les scénarios qui se construisent  intègrent une réflexion sur le sens à donner aux espaces [20] (exemple, quel sens donner à une ville virtuelle), à la façon dont on se déplace, aux interactions qui s’y exercent. On doit imaginer comment le corps réel s’exprime sous sa forme métaphorisée de l’avatar [21].

    La mobilité en tant qu’objet d’analyse pédagogique doit dépasser le simple slogan fédérateur,  car elle engage des transformations profondes. Elle nous amène à penser le temps et l’espace et ses enjeux de scénarisation [22], à réintroduire des instruments d’interaction comme la voix [23].

    En conclusion de ce début de réflexion, je voudrais souligner le risque à s’engager dans une réflexion uniquement centrée sur un outil, même s’il représente un tournant technologique évident. Être mobile c’est plus une posture intellectuelle, qu’une adaptation à un outil. C’est probablement Stefana Broadbent qui jalonne le mieux ces enjeux pour la pédagogie (même si ce n’est pas son propos central) dans son livre l’intimité au travail [24]

    Nous devons poursuivre cette réflexion, car la mobilité est un enjeu fort pour les années à venir, des concepts émergent comme le BYOD (bring your own device), en fait ne s’agit-il pas plutôt du BYSE ? (Bring Your Space Everywhere)

     


    [3] C’est pour cette raison que j’ai tenté de cerner les  termes de coopération et de collaboration – http://moiraudjp.wordpress.com/2011/06/09/terminologie-cooperatif-collaboratif/

    [4] http://www.cnrtl.fr/lexicographie/mobilité

    [5] Le temps aveugle des enseignants  http://moiraudjp.wordpress.com/2011/07/08/temps-aveugle-des-enseignants/ et la perruque comme métaphore du temps de travail des enseignants http://moiraudjp.wordpress.com/2012/12/19/perruque-inversee/

    [6] Edward G. Browne, A literary historic of Persia, 4 vol. (Londres,  1902-1924)

    [8] Rapport Bardi – Bérard ( 2002) L’école et les réseaux numériques  http://www.epi.asso.fr/revue/docu/d0210b.htm

    [10]Ce qui est en train de se passer, explique-t-il, avec la montée en puissance des systèmes de sur-stimulation, de sur-attention, de sur-information, de sur-investissement, détruit l’appareil psychique de l’enfant et rend impossible le travail éducatif. Car ce dernier – et les pédagogues le savent depuis longtemps – travaille précisément sur le sursis à la réalisation immédiate de la pulsion, pour permettre l’émergence du désir dans la temporalité” in Philippe  Meirieux – “Quelle stratégie pour les militants pédagogiques aujourd’hui ?”  http://meirieu.com/ARTICLES/militants_pedagogiques.pdf

    [11]  La 27ème Région – Mon lycée demain : premiers scénarios – http://blog.la27eregion.fr/Mon-lycee-demain-premiers

    [12] Le lycée d’Orestad, Educavox,  http://www.acteurs-ecoles.fr/contact/le-lycée-d-orestad/

    [13] L’intimité au travail, Stefana Broadbent

    [14] Jean-Paul Moiraud – South Park et les mondes virtuels – http://moiraudjp.wordpress.com/2011/11/16/south-park-et-les-mondes-virtuels/

    [15] Les liaisons numériques –Antonio Casili

    [16] Pour un humanisme numérique, la librairie du XXI siècle, Seuil (2011)

    [18] Les scenarios de pédagogie embarquée (SPE)  – http://eductice.ens-lyon.fr/EducTice/recherche/scenario/spe

    [19] Le tutorat dans les monde virtuels Jean-Paul Moiraud et Jacques Rodet – http:// tutvirt.blogspot.com

    [21] Tutorat immersif et avatar – Jean-Paul Moiraud et Jacques Rodet – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/01/08/e-learning-temps-et-espace-elements-de-reflexion-pour-une-scenarisaion-operationnelle/

    [22] Temps et espace pour une scénarisation opérationnelle – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/01/08/e-learning-temps-et-espace-elements-de-reflexion-pour-une-scenarisaion-operationnelle/

    [23] Le numérique, la reconquête de la voix, la reconquête de l’espace – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/04/04/le-numerique-la-reconquete-de-la-voix-la-reconquete-de-lespace/

    [24] Sefana Broadbent – l’intimité au travail, la vie privée et les communications personnelles dans l’entreprise , éditions FYP (2011). Voir notamment page 152 l’école.