Étiquette : mathématiques

  • ThoughtBox : une approche ludique des maths !

    ThoughtBox : une approche ludique des maths !

    ThoughtBox_090513
    Créée en 2011, la société ThoughtBox est aujourd’hui reconnue dans le domaine des logiciels éducatifs, sa première application ayant figuré dans la catégorie « Le meilleur de l’app store en 2012 ». Ses applications  sont  conçues sur le principe du  « Gameful Learning » (apprentissage par le jeu). Ce concept permet aux enfants d’apprendre à travers le jeu et l’expérimentation.

    Ainsi, les nouveaux jeux éducatifs « Numerosity : Jouons avec les Additions ! »  et  « Numerosity : Jouons avec les Soustractions ! » aident  les enfants à partir de 6 ans à comprendre et à appliquer les règles des mathématiques tout en leur permettant de s’amuser et d’utiliser leur imagination.

    C’est en compagnie du chien Skruff à l’allure rebelle, que l’enfant va  pouvoir jongler avec les chiffres et changer leur position. Grâce à une interface intuitive, il pourra expérimenter à son propre rythme et se rendre compte par lui-même des interactions que les nombres peuvent avoir entre eux, en les manipulant sur l’écran de l’iPad.
    Et tout simplement, l’enfant va à la découverte de concepts mathématiques.

    Il y a ainsi 20 niveaux à la difficulté progressive à débloquer. La progression de l’enfant est visualisée non seulement avec le nombre de points et de pièces qu’ils gagnent mais aussi par un ‘code-couleur‘. A la fin du jeu, un certificat est disponible pour féliciter l’enfant de son résultat.
    Il pourra aussi défier ses amis, grâce à la possibilité de créer plusieurs profils.

    Plus d’infos :
    Pour jouer et apprendre avec Skruff, rendez-vous sur iTunes « Numerosity : Jouons avec les Additions ! » et «  Numerosity : Jouons avec les Soustractions ! »

  • La nouvelle TI Collège Plus en version Solaire avec un programme de découverte personnalisé

    La nouvelle TI Collège Plus en version Solaire avec un programme de découverte personnalisé

    TI-College_Plus_Solar_120313.620Spécialement conçue pour les programmes scolaires du collège, elle est dotée d’un écran 5 lignes avec écriture naturelle des fractions, racines carrées et pi. Grâce à ses touches et menus totalement en français, les fonctions essentielles en accès direct (trigonométrie, statistiques…), la résolution de systèmes d’équations à 2 inconnues (x et y) et la simplification des racines carrées et fractions latines, la nouvelle TI-Collège Plus Solaire est idéale pour le collège ! Enfin le panneau solaire intégré permet de réduire la consommation d’énergie liée à son utilisation fréquente.

    Vous êtes enseignants ? Venez découvrir la TI-Collège Plus Solaire et les ressources pédagogiques associées lors d’une formation gratuite, organisée dans votre région et animée par un enseignant formateur du réseau national T3*.
    Au programme :
    •    Présentation de la calculatrice TI-Collège Plus Solaire et de son logiciel TI-Smartview,
    •    Exemples d’activités permettant une prise en main rapide de la calculatrice
    •    Exemples concrets d’activités intégrant le socle commun,

    Plus d’infos :
    Un programme d’aide à l’équipement réservé à votre établissement scolaire est également disponible ici.
    Pour plus de détails et pour vous inscrire,connectez-vous vitesur : www.univers-ti-college.fr

    En attendant la formation, n’hésitez pas à vous familiarisez avec le produit en téléchargeant gratuitement la version d’évaluation de 90 jours de l’émulateur sur: www.education.ti.com/france/smartview-college

    *T3 signifie « Teachers Teaching with Technologies », un réseau d’enseignants et de formateurs en mathématiques et en sciences qui enseignent avec les nouvelles technologies et qui partagent avec d’autres enseignants leur savoir et leurs expériences pédagogiques.

  • Des exercices de maths pour les étudiants, corrigés et filmés

    Des exercices de maths pour les étudiants, corrigés et filmés

    111020125076cd21556ffLes 6000 sources d’entraînement sont disponibles pour les enseignants qui souhaitent constituer leur propre base de données pédagogique.

    Depuis deux ans, sont postées régulièrement des vidéos d’exercices corrigés, en complément du support écrit. Depuis six mois, les internautes peuvent visionner des parties de cours filmées : la présentation s’apparente à celle de la météo télévisée ; un professeur éclaire des séquences du programme, le cours défile en fond d’écran. Le polycopié du cours, plus détaillé, reste un complément indispensable.

    À ce jour, Exo7 répond à une demande forte estudiantine et connaît un vrai succès médiatique : 500 000 vidéos vues, plus de 1000 abonnés. Ce service est entièrement gratuit pour les usagers, il est soutenu par un partenariat Lille 1 – Unisciel et les ressources sont sous licence libre.

    Plus d’infos :
    un lien vers le site ici

    Démonstration et cours en images ici

  • L’aventure du théorème de Fermat pour enseigner l’histoire-géo et les maths

    Philippe Caracchioli et Stéphane Clément, professeurs d’histoire-géographie de mathématiques et Interlocuteurs Académiques Tice pour leurs disciplines ont fait le choix de mettre les élèves en situations d’enquêteurs autour d’une des plus célèbres énigmes mathématiques. C’est ce qu’ils présenteront lors d’un atelier FabCamp (création de ressources numériques) lors de l’Université d’été de Ludovia.

    En 1637 le mathématicien Pierre de Fermat indique en marge de son exemplaire de l’Arithmétique de Diophante qu’il a trouvé une « merveilleuse démonstration » à une proposition de celui-ci… mais n’en donne pas les termes. Durant presque 350 ans la recherche de celle-ci a passionné le monde des mathématiciens, l’écho en parvenant même aux oreilles de nombreux profanes. Résolu en 1994 par l’anglais Andrew Wiles, l’affaire garde une part de mystère, Fermat ne possédant pas à son époque les outils mathématiques très complexes utilisés par Wiles. Ces faits s’étendent déjà sur un temps long mais cette lente construction intellectuelle  sur la théorie des nombres remonte en fait bien plus loin : à Pythagore de Samos et sans doute aux Babyloniens il y a presque 4000 ans.

    Il y avait donc là, dans cette aventure intellectuelle, une opportunité précieuse, l’occasion d’un voyage épistémologique propre :
    – à rapprocher nos disciplines et faire percevoir aux élèves l’intérêt des apports croisés
    – au sein même de l’histoire à « décloisonner » les époques par l’étude d’un thème transversal.

    Travaillant pour le gouvernement mondial en 2060, à la direction de la propriété intellectuelle et des brevets du Ministère de l’économie, les élèves reçoivent la mission suivante :
    « Dans le cadre de la loi sur la brevetabilité totale des créations de l’esprit humain décrétée en 2050 le gouvernement mondial (loué soit-il) a décidé de passer à l’étape des théorèmes mathématiques. La WIA a reçu une mission générale d’établissement des ayants-droit. Deux familles réclament la paternité du dernier théorème de Fermat. La famille Wiles (Etat fédéré du Royaume-Uni) et la famille Diophante (Etat fédéré de Grèce) .Vous devrez donc déterminer qui est le propriétaire du dernier théorème de Fermat. »

    S’ensuit une enquête Internet qui permet aux élèves de voyager dans le temps et l’espace en travaillant les outils mathématiques, spatiaux et temporels mis en jeux…

  • Un jeu pour réussir son apprentissage de l’algèbre

    Un jeu pour réussir son apprentissage de l'algèbre

    Après un an de recherche, de développement et de tests intensifs dans des collèges en France et en Norvège, WE WANT TO KNOW révolutionne le marché en sortant la première version d’une application ludique d’apprentissage de l’algèbre qui marque une nouvelle ère dans la conception des jeux numériques éducatifs.

    Là où l’industrie propose pour l’essentiel des quiz, la jeune société propose des mécanismes novateurs et simples qui facilitent un réel transfert de connaissance. Elle privilégie l’apprentissage par la découverte plutôt que par la communication d’instructions.

    WE WANT TO KNOW choisit de travailler sur une nouvelle pédagogie adaptée au numérique plutôt que de proposer une nième application basée sur la validation des acquis ou simple transposition du contenu d’un manuel scolaire dans un univers numérique.

    DragonBox, le premier jeu de WE WANT TO KNOW, aide à la compréhension des bases de l’algèbre par la manipulation d’objets qui composent une équation sans pour autant utiliser les méthodes traditionnelles enseignées dans la littérature pédagogique. Malgré la complexité du sujet traité, ce jeu reste très simple d’utilisation et garantit un rapide transfert de connaissances.

    Bien qu’accessible à tous, il s’adresse tout particulièrement aux enfants de 8 – 14 ans.

    Règles du jeu
    Le but du jeu consiste à trouver la formule la plus digeste pour nourrir des dragons enfermés dans des boîtes. Le joueur doit manipuler des cartes et chercher à isoler la boîte d’un côté ou de l’autre du plateau de jeu. Il parcourra ainsi plusieurs mondes proposant des défis différents. Sans le savoir, le joueur, par son propre raisonnement, apprendra à résoudre des équations algébriques simples.

    WE WANT TO KNOW prévoit de développer des applications similaires pour couvrir tout le programme de mathématiques – niveau collège et lycée – avant de s’attaquer à la physique puis à la chimie.

    Plus d’infos : dragonboxapp.com

  • Dynamiser l’enseignement des sciences avec la classe interactive

    Dynamiser l’enseignement des sciences avec la classe interactive

    210320124f6a143e9b94e
    La classe interactive TI-Navigator est un système qui permet de relier les calculatrices TI-Nspire CX des élèves à l’ordinateur de l’enseignant via un module Wifi. En utilisant le logiciel compagnon, le professeur peut envoyer des activités sur les calculatrices et visualiser en temps réel aussi bien l’ensemble des calculatrices connectées que celle d’un élève en particulier et, si l’ordinateur est branché à un vidéo projecteur, un élève peut présenter à tous son travail. Le logiciel permet en outre d’envoyer des questions ou QCM à l’ensemble de la classe en même temps, et de récupérer et analyser les résultats, enregistrés dans un portfolio.

    Selon Lydia Misset, enseignante en mathématiques au Lycée Descartes d’Antony, «le système TI-NavigatorTM permet de savoir très vite qui travaille dans le groupe et surtout qui a des difficultés, et d’apporter une aide efficace aux élèves car on peut voir les manipulations qu’ils effectuent, sans être obligé de se pencher sur la machine des élèves. Ces derniers sont aussi beaucoup plus concentrés sur leur travail».

    Principaux enseignements de l’étude :

    Un système simple à utiliser et pratique pour les élèves

    77,5% des élèves interrogés estiment que le système TI-Navigator est facile à utiliser. Parmi eux, 100% des élèves de première S et 83,9% des élèves de classe de terminale S confirment cet avis. 92% pensent que recevoir des fichiers à tout moment et simplement sur leur calculatrice est important.

    Une meilleure compréhension des élèves

    84,9% des élèves interrogés estiment que le système de QCM instantané permet de tester la compréhension des mathématiques et des sciences. 82% des élèves pensent qu’il est positif pour eux de pouvoir comparer leurs résultats avec ceux dela classe lorsque le professeur montre tous les écrans des calculatrices avec le vidéo projecteur. 78,8% vérifient mieux leurs connaissances et apprennent à utiliser la TI-NspireTM CX et 56% pensent avoir progressé en mathématiques grâce à l’utilisation de la classe interactive TI-NavigatorTM.

    Un plus grand intérêt des élèves pour les mathématiques

    66,5% sont plus intéressés par ce qu’ils font en classe
    62,3% sont plus motivés
    53,9% participent plus volontiers en classe

    Un équipement mutualisable

    Pas de salle spécifique à réserver
    Pas de changement d’emploi du temps
    Pas de maintenance informatique
    Mise en route rapide
    Utilisable en Mathématiques et en sciences

    A propos du réseau d’enseignants T3
    T3 signifie «
    Teachers Teaching with Technologies », des enseignants qui enseignent avec les nouvelles technologies et qui partagent avec d’autres enseignants leur savoir et leurs expériences pédagogiques. Le groupe T3 France, constitué d’enseignants et de formateurs en mathématiques et en sciences organise des formations pour les enseignants, participe à l’élaboration des produits et écrit des cahiers d’initiation et des fiches d’activités pour aider les professeurs à intégrer les calculatrices et les interfaces d’acquisition de données dans leur enseignement.

    Texas Instruments présentera la classe numérique TI-Nspire Navigator pendant les rencontres de l’Orme sur le stand de son partenaire Ordisys.
    Des exemplaires du rapport sur « La classe numérique mobile pour l’enseignement des mathématiques et des sciences » seront également disponibles sur place.

    Télécharger le rapport d’expérimentation (au format PDF)

  • Evaluation interactive sur les probabilités

    Evaluation interactive sur les probabilités


    Une enseignante convaincue par les TICE, qui donne clairement son point de vue sur ce qui peut encore freiner leur développement au lycée.

    «L’utilisation du TNI et des boîtiers permet de rythmer le cours». Cette phrase résume tout à fait l’ambiance du cours dispensé par Karine Sermanson sur l’introduction au chapitre sur les probabilités en classe de 1ère S. Face à des élèves attentifs mais dont l’attention commence à vaciller en ce milieu d’après-midi, rien de tel pour Karine que d’user de ses nouveaux outils, pour rendre son enseignement plus attractif.

    Déroulement de la séance

    Elle commence par un échange oral pour raviver les connaissances sur le thème : rappel du vocabulaire, proposition d’exemples d’expériences aléatoires… Puis une partie expérimentale, avec des simulations sur tableur à l’aide du TNI, permettant d’expliciter le lien entre statistiques et probabilités, de conjecturer le principe de la loi des grands nombres, de donner du sens à la notion de probabilité.

    Enfin, elle propose un QCM en guise d’évaluation diagnostique de début de chapitre, avec les boîtiers d’évaluation.  Tous les élèves sont sollicités, de façon informelle. La gestion instantanée des résultats permet à Karine de détecter rapidement les compétences acquises et celles qu’il lui faudra reprendre plus longuement.

    «En quelques minutes, je peux sonder la classe sur des questions pas trop difficiles de connaissances antérieures et repérer très rapidement les points sur lesquels il faudra revenir dans le chapitre (…), tout en ayant la souplesse de ne pas toujours afficher le nom (…)», déclare t-elle

    Au delà des atouts et de l’interactivité qu’offrent ces outils, Karine Sermanson tient à mettre l’accent sur certains points qui peuvent, selon elle, freiner le développement des TICE.

    Un apprentissage pas à pas

    Le point qui est souvent soulevé quand on parle de numérique en éducation est le sentiment de quelque chose d’insurmontable pour certains enseignants. D’après Karine, il faut démystifier les outils numériques ; son conseil : une méthode progressive ! Pour apprendre à utiliser le TNI, par exemple, «je conseillerais de s’en servir d’abord comme vidéoprojecteur puis comme tableau blanc pour ensuite explorer petit à petit les fonctionnalités qu’offre cet outil».

    Mais une fois explorer, comment les enseignants font-ils leur «training» ?

    Un «training» impossible

    A cette question, Karine nous répond : «le souci pour l’enseignant lorsqu’il veut prendre en main le logiciel et le TNI, c’est qu’il ne dispose à priori que de ses heures de cours face aux élèves pour s’entraîner»

    Dans son lycée, Karine nous avoue ne pas avoir de salle disponible pour s’exercer, car le matériel installé est utilisé à son maximum. «Il ne reste que très peu de créneaux, souvent hors des heures de cours, qui offrent la possibilité de s’auto-former».
    Arriver devant ses élèves sans être sûr de soi, cela peut être un facteur rebutant pour plus d’un enseignant …

    L’équipement obligatoire pour les programmes de sciences

    «En sciences, les programmes officiels ont tellement intégré dans leur contenu l’utilisation des TICE que si on veut l’enseigner, il faut un équipement suffisant».

    Karine Sermanson ne se voit plus enseigner sans les outils numériques que sont le TNI, les boîtiers dévaluation et depuis peu, le manuel numérique. Elle avoue se demander comment certains de ses collègues parviennent à faire cours sur la base des nouveaux programmes à des classes entières, sans disposer de ce matériel.

    Elle va même jusqu’à dire que «cela risque de mettre les élèves en difficultés car ils seront, sur le peu de temps où ils sont devant un ordinateur, confrontés à la découverte de manipulations (…)» .

    Pour Karine, l’utilisation du TNI facilite la mise en œuvre des nouveaux programmes de mathématiques au lycée. «C’est, entre autres, en observant la pratique de l’enseignant au tableau que les élèves apprennent à situer  et  intégrer l’usage  des  outils  informatiques  dans  une  démarche scientifique».

    Une démonstration efficiente de l’usage des TICE en mathématiques et une enseignante militante : des encouragements pour les collectivités qui hésiteraient encore à investir ?

    Plus d’infos : www.prometheanplanet.com/fr
    Le matériel utilisé par Karine Sermanson dans le reportage est un TNI ActivBoard 378 de Promethean et les boîtiers ActivExpression.

  • Comment rendre interactif un cours sur les fonctions

    Comment rendre interactif un cours sur les fonctions

    L’émulateur de calculatrice, le logiciel de calculs formels, le tableur… autant d’outils qui permettent à Karine de rendre la discipline plus «expérimentale», plus en adéquation avec les nouveaux programmes de mathématiques qu’elle doit enseigner.

    Le TNI permet une meilleure préparation au travail individuel

    Les nouveaux programmes imposent une manipulation des élèves de certains logiciels de mathématiques. Le TNI permet alors de faire une première approche collective, ce qui facilite ensuite le travail de chaque élève lorsqu’il se retrouve seul face à un ordinateur.

    Un gain de temps sur le travail en classe

    Par exemple, pour l’utilisation des calculatrices, l’émulateur de calculatrice prévu par le logiciel du TNI permet à l’enseignant d’expliquer en même temps à la classe entière quelle fonctionnalité rechercher sans avoir besoin de passer voir chaque élève.

    «Sur le TNI, par un simple clic, j’affiche l’émulateur de calculatrice. Je montre alors à la classe comment accéder aux différentes commandes, je réponds aux questions des élèves sur le fonctionnement de l’outil. Le gain de temps offert par la visualisation collective est réinvesti dans l’interprétation mathématique des réponses fournies par la calculatrice», souligne Karine Sermanson.

    Le logiciel de calcul formel permet d’obtenir une valeur exacte d’une équation ; outil qui présente un double intérêt pour Karine.
    «Grâce au logiciel de calcul formel, je récupère les solutions exactes de l’équation résolue graphiquement à la calculatrice. Je peux ainsi sensibiliser la classe à l’intérêt mathématique et à la complémentarité des outils utilisés».

    Avec le TNI, tout se crée, rien ne se perd !

    La correction d’un exercice au tableau numérique offre la possibilité d’avoir en permanence les questions sous les yeux, de compléter au fur et à mesure les réponses et de pouvoir à chaque instant revenir sur ce qui a été fait précédemment, «ce qui s’avère important dans ce cours pour bien comprendre les relations entre les fonctions associées, leurs tableaux de variations et leurs courbes représentatives», ajoute Karine Sermanson.

    Pour réaliser les graphiques, c’est aussi très pratique avec le TNI, «Le repère étant déjà tracé, l’élève au tableau peut rapidement placer les points remarquables de chaque courbe et en obtenir une ébauche assez précise, propre et rigoureuse».
    Et ce qui réjouit Karine mais aussi ses élèves, c’est la possibilité de pouvoir revenir à tout moment sur un élément du cours car sur le TNI, rien ne s’efface !

    Quelle charge pour l’enseignant ?

    Une fois que l’enseignant a le TNI bien en main, Karine Sermanson nous avoue que sa charge de travail n’est pas plus importante qu’avant. Pour son cours sur les fonctions de référence, «la préparation du paperboard ne m’a demandé que quelques minutes, le temps d’insérer les captures des différentes questions de l’exercice, une grille pour faciliter le tracé des courbes et les liens vers un émulateur de calculatrice et vers un logiciel de calcul formel».

    Des élèves déjà conquis par les TICE, à l’affût de chaque nouveauté

    Pour les élèves, le TNI est un objet qui fait partie du décor de la salle de classe puisqu’ils l’utilisent depuis le collège, essentiellement en cours de sciences.  Il faut dire que le lycée Anatole de Monzie de Bazas, qui compte environ 700 élèves est assez bien doté en matériel (12 TNI ActivBoard Promethean sont en place), ce qui laisse la possibilité aux élèves et aux enseignants de se familiariser avec le matériel tout au long de leur scolarité.

    Malgré une certaine «habitude» à voir leurs professeurs de sciences l’utiliser, les élèves portent un intérêt certain à ce matériel dernière génération d’autant plus maintenant, avec l’arrivée du manuel numérique : finie la corvée de porter les livres, ils retrouvent le contenu du manuel sur le TNI.

    Une complémentarité des deux outils évidente qui donne un atout supplémentaire à l’utilisation du numérique dans cette discipline.

    Plus d’infos : www.prometheanplanet.com/fr
    Le matériel utilisé par Karine Sermanson dans le reportage est un TNI ActivBoard 378 de Promethean

  • un site de maths gratuit et innovant pour les lycéens

    un site de maths gratuit et innovant pour les lycéens

    040120124f042b501afee
    Knayer a pour ambition d’offrir à tous les lycéens un soutien gratuit, efficace et régulier en mathématiques, matière la plus sélective des parcours scolaires.

    Julien Cohen-Solal, fondateur de Knayer et passionné de mathématiques les a enseigné sous la forme de cours particuliers pendant plusieurs années à des élèves de lycée et de classes préparatoires aux grandes écoles. Et c’est de là que lui est venu l’idée : «J’ai ainsi pu constater que de nombreux lycéens exprimaient le besoin d’un soutien régulier dans leur travail personnel. Les cours particuliers étant réservés à une minorité, ce soutien passe nécessairement par la mise à disposition de matériaux parascolaires adaptés (livres, logiciels interactifs, vidéos…)».

    Accessible depuis la rentrée 2011, plusieurs milliers de lycéens ont d’ores et déjà adopté Knayer comme support privilégié au cours de cette phase de test. Mais attention, en aucun cas Knayer se substitue à l’enseignement dispensé par le professeur ; le site se positionne avant tout en complément des cours dispensés au lycée.

    «Pour rendre ce soutien plus interactif, les élèves peuvent y poser leurs questions sur un exercice ou une leçon précise. Ils obtiennent une réponse détaillée très rapidement. Mais l’objectif de départ est de fournir des contenus décrivant le cheminement de résolution en détail, répondant ainsi en amont à l’essentiel des interrogations des élèves», ajoute Julien Cohen-Solal.

    Sur le marché déjà concurrentiel du soutien scolaire Knayer se positionne avec ses atouts :
    •    la qualité pédagogique de son contenu. Chaque exercice est corrigé en détail, de manière à faire apparaître toutes les étapes de la réflexion. Il se conclut systématiquement par un résumé des astuces et méthodes de résolution utilisées.
    •    il couvre de manière exhaustive l’ensemble des notions des programmes de lycée.
    •    l’interface est intuitive, permettant d’accéder facilement à un cours ou des exercices traitant d’un point précis, à l’aide des rubriques par niveau et des chapitres, ainsi que par les tags.
    •    Enfin, Knayer offre un accès gratuit à tout son contenu, sans inscription requise.

    L’aspect gratuit est en effet intéressant. Julien Cohen-Solal nous confie que cela était dans ses priorités : «le projet Knayer défend un modèle de société où la connaissance et l’éducation sont gratuitement accessibles à tous. C’est pourquoi Knayer a vocation à mettre à disposition de tous le meilleur contenu, sans barrière financière. L’enjeu est donc de ne pas faire payer l’utilisateur final (l’élève), mais de financer la croissance du site par le biais d’autres acteurs, privés et/ou publics».

    Quelques témoignages d’utilisateurs du site :

    « j’ai enfin compris ces équations si particulières : mon seul commentaire sera donc merci !!! », Terminale S, Nanterre
    « merci beaucoup, grâce à vous j’aime l’arithmétique maintenant, merci; vous avez tellement bien expliqué, merci », Terminale S, Périgny
    « Super cours bien détaillé à recommander !!« , Seconde, Beaurainville

    Fort de ces premiers résultats encourageants, l’équipe de Knayer se mobilise maintenant pour étendre son périmètre à l’ensemble des matières des programmes scolaires.

    Plus d’infos :
    www.knayer.com

    Plus d’infos sur Le fondateur :
    Julien Cohen-Solal est l’auteur des exercices, des corrections, des méthodes, des astuces et de l’ensemble des contenus publiés sur Knayer.

    Fraîchement diplômé d’HEC, après un Bac S spécialité mathématiques et deux ans de classe préparatoire (voie S), il a dispensé, pendant cinq ans, des cours particuliers de mathématiques à des élèves de collège, de lycée (S & ES) et de classes préparatoires.
    Major (20/20) à l’épreuve de mathématiques du Bac S (2003) et à l’ensemble des épreuves de mathématiques des concours (2005) d’entrée aux grandes écoles de commerce (HEC, ESCP-EAP, EM LYON, AUDENCIA, EDHEC, ECRICOME), il souhaite aujourd’hui partager ses méthodes d’apprentissage.