Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • « Fais moi un signe » : l’apprentissage de la langue des signes via une borne numérique collaborative

    « Fais moi un signe » : l’apprentissage de la langue des signes via une borne numérique collaborative

    Nous avons découvert FM1SIGN pour « Fais moi un signe » lors du Campus e-éducation, C2E 2017 à Poitiers, pendant le salon Technoscientifique de l’Edutainment qui a eu lieu à Cobalt le mercredi 04 octobre.

    Une borne collaborative pour apprendre la langue des signes, il fallait y penser !

    FM1SIGN_TEASER from Collectif Or NOrmes on Vimeo.

    FM1SIGN est un projet destiné à l’initiation à la LSF ; Un jeu de signes et de mots pour découvrir ce language signé.

  • COBALT, un Tiers-Lieu dédié à l’écosystème numérique au centre de Poitiers

    COBALT, un Tiers-Lieu dédié à l’écosystème numérique au centre de Poitiers

    COBALT est un Tiers-Lieu dédié à l’écosystème numérique que nous avons découvert lors du Campus e-éducation, C2E 2017, à Poitiers du 02 au 06 octobre dernier.

    Découvrez le lieu et sa philosophie dans la vidéo ci-contre.

     

    Plus d’infos : www.cobaltpoitiers.fr
    Twitter @cobaltpoitiers

     

  • Lancement de l’accélérateur éphémère EdTech au C2E Poitiers

    Lancement de l’accélérateur éphémère EdTech au C2E Poitiers

    Lancement de l’accélérateur éphémère EdTech lors du C2E Poitiers, Campus e-éducation, le jeudi 05 octobre.

    A voir aussi : Le Label FrenchTech, 1 an après…

  • ITOP éducation et BnF-Partenariats

    ITOP éducation et BnF-Partenariats

    ITOP éducation signe un partenariat avec BnF-Partenariats, filiale de la Bibliothèque nationale de France, pour distribuer le site média des archives de presse de la BnF : Retro News.

    Les fonctionnalités éducatives et sociales du site RetroNews offrent aux enseignants la possibilité d’innover dans l’approche pédagogique de l’enseignement de l’histoire, de la littérature, des sciences, de l’art… RetroNews propose plus de 120 dossiers pédagogiques rédigés par des professeurs de l’Education nationale sur une sélection d’évènements historiques depuis la Révolution française. Chaque dossier est composé de trois volets : une mise en récit de l’évènement vu à travers la presse, une revue de presse de l’évènement et un ensemble de ressources complémentaires (iconographies, vidéos, notices biographiques).

    Ce partenariat permet aux utilisateurs des solutions numériques d’ITOP éducation d’accéder d’une manière simple à une centaine de titres de presse d’information généraliste publiés entre 1631 et 1945, ainsi que la possibilité de créer des dossiers, les partager, les commenter via des outils spécifiques dédiés aux enseignants.

    À propos de BnF-Partenariats ?

    Afin d’accélérer le rythme de la numérisation de ses collections et d’en favoriser la valorisation dans le paysage numérique culturel, la Bibliothèque nationale de France a créé en 2012 une filiale, BnF-Partenariats. Celle-ci permet, depuis sa création, en partenariat avec des entreprises du marché numérique, de numériser une partie des collections de la BnF : livres anciens, collections phonographiques et collections de presse notamment. BnF-Partenariats développe également de nouveaux produits, des services culturels et des offres innovantes sur le marché numérique. Elle a ainsi créé le site RetroNews, qui permet d’accéder à plusieurs millions d’articles issus des principaux titres d’informations nationales, régionales, locales et coloniales publiés entre 1631 et 1945, et à une production éditoriale élaborée chaque jour autour de ces ressources.

    À propos d’ITOP éducation

    Reconnu surdoué de la croissance 2017 par les Échos, ITOP éducation est le leader Français des solutions logicielles globales pour l’e-éducation.

    4,5 millions de Français ont un compte utilisateurs ITOP éducation et utilisent nos solutions pour suivre la scolarité de leurs enfants, évaluer les élèves, gérer les absences et les emplois du temps, partager des documents, et réaliser des projets pédagogiques numériques.

    ITOP éducation travaille en collaboration avec les écoles depuis 2003 afin de développer les meilleurs outils pédagogiques en ligne pour les enseignants et les élèves, en investissant chaque année 25 % de son chiffre d’affaires en R & D.

  • Game of edu : forum de la culture numérique, ce mercredi 04 octobre à l’Atelier Canopé de Lille

    Game of edu : forum de la culture numérique, ce mercredi 04 octobre à l’Atelier Canopé de Lille

    L’Atelier Canopé de Lille vous propose un salon d’un nouveau genre. Entre mini-conférences et ateliers, salon d’exposition et lieux d’immersion, Game of Edu est l’occasion de repenser le numérique dans toutes ses dimensions culturelles, au-delà des simples usages. Un univers à explorer sous toutes ses facettes, chez soi et en classe !

    ATELIERS PRATIQUES et MASTER CLASSES
    (Apprenez en vous amusant)
    Concevez des ouvrages numériques, lancez votre impression 3D en direct, collaborez entre tablettes et tableau…

    MINI-CONFÉRENCES
    (La culture numérique est-elle réservée aux geek ?)
    Michel Guillou, Julian Alvarez  et François Lamoureux vous attendent pour échanger sur la culture numérique, la place du jeu dans la pédagogie et les liens puissants entre musique et numérique.

    ESCAPE GAME
    Venez résoudre douze énigmes numériques en utilisant les compétences de chacun et en favorisant l’intelligence collective.

     EXPOSANTS
    Amazon, Dagoma, Microsoft, Easytis, Tralalere… vous présentent les dernières innovations technologiques.

     ESPACE FAB-LAB
    Imaginez, concevez et fabriquez avec le numérique.

    Un salon ouvert à tous !

    Plus d’infos : http://bit.ly/gameofedu
    Contact : 03 59 03 12 00
    contact.atelier59@reseau-canope.fr

  • La prérentrée de Jean-Michel Blanquer au lycée Jean-Pierre Vernant de Sèvres

    La prérentrée de Jean-Michel Blanquer au lycée Jean-Pierre Vernant de Sèvres

    Jean-Michel BLANQUER, ministre de l’Éducation nationale, accompagné du secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, Benjamin GRIVEAUX a effectué sa pré-rentrée scolaire au lycée Jean-Pierre VERNANT de Sèvres . Il a d’abord ouvert en présence de Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile de France et de Daniel FILATRE recteur de l’académie de Versailles, la séance de travail avec l’ensemble des quelques 190 enseignants et des personnels de cet établissement qui accueille près de 2000 élèves dans 67 divisions dont 450 en post-bac.

    Puis il a participé à une table ronde portant “sur le rôle des sections internationales des lycées pour le renforcement de l’attractivité de la France” à laquelle participaient des enseignants des sections internationales qui font avec le pôle musique et le pôle Arts appliqués une des caractéristiques de ce lycée .

    Une attractivité que le gouvernement souhaite développer dans le contexte du Brexit qui place nombre de capitales européennes en situation de forte concurrence pour attirer les grands groupes installés à Londres.

     

    Les sections internationales du lycée Jean Pierre Vernant

    Les sections internationales ouvertes dans les lycées publics français permettent à des élèves français ou étrangers bilingues scolarisés en seconde, première et terminale de se destiner au baccalauréat L, ES et S qui intègre l’option internationale (le bac OIB ). Pour l’obtenir, les lycéens passent toutes les épreuves correspondant à leur série, à l’exception de la langue étrangère de la section et de l’histoire-géographie qui font l’objet d’épreuves spécifiques, à l’écrit et à l’oral. Pour les sections chinoises, une épreuve spécifique de mathématiques remplace l’épreuve d’histoire-géographie.

    Le contenu de ces épreuves et le programme correspondant sont arrêtés conjointement par les autorités pédagogiques françaises et étrangères.

    Durant leur scolarité les cours de LV1 et d’Histoire géographie sont en effet remplacés par un enseignement en Langue et Littérature, Histoire et Géographie en langue étrangère. Cet enseignement est géré dans certaines Sections Internationales directement par les pays étrangers partenaires, d’autres par l’Education nationale française, d’autres enfin par des Associations agréées.

    C’est le cas à Sèvres où pour les quelques 350 élèves des sections anglaises et allemandes, ces enseignements spécifiques sont assurés par des natifs professionnels, diplômés dans leur pays de naissance, recrutés sous contrat de droit privé par une association, SIS, les Sections Internationales de Sèvres, régie par la loi 1901 et dont les membres sont les parents inscrits. Par convention avec le lycée Jean Pierre Vernant, cette association inscrit et accompagne, en impliquant les parents, les lycéens amenés à passer plusieurs diplômes : IGCSE pour les anglophones, DSD pour les germanophones, et l‘OIB à la fin de la terminale bien sûr. L’association qui rémunère au total 54 enseignants perçoit des frais annuels de scolarité des familles ( 2838€ pour le lycée )

    Créée en 1960, les SIS comptent aujourd’hui environ 1300 élèves de la maternelle à la terminale, 2/3 en section anglophone et 1/3 en section germanophone. Dans le primaire comme au collège les élèves sont dans des classes françaises et suivent le programme scolaire français auquel s’ajoutent des enseignements spécifiques en section internationale anglophone ou germanophone. Avec le lycée Vernant, six établissements sont concernés, répartis sur Sèvres, Chaville, et Boulogne Billancourt. L’enseignement de langue, littérature et histoire géographie en langue étrangère représent 6 heures au primaire, au collège et en seconde, 8 heures en première et terminale.

    Des sections internationales marquées par la création du CIEP

    Le Centre International d’Etudes Pédagogiques de Sèvres est intimement lié à l’histoire du lycée de Sèvres devenu lycée Jean Pierre Vernant. Cela est rappelé sur le site de l’établissement.

    Le lycée de Sèvres est fondé en 1920 comme école d’application de l’Ecole Normale Supérieure de jeunes filles, puis le bâtiment est occupé par les allemands pendant la guerre“. Les « sévriennes » n’y reviendront pas à la libération.

    En 1945, Gustave MONOD, le Directeur de l’Enseignement de second degré y crée le Centre Internationale d’Etudes Pédagogiques. Le lycée est alors étroitement lié au lieu d’enseignement et d’expérimentation des méthodes nouvelles, qui accueille des enseignants du monde entier. Il est d’abord dit expérimental, puis dans les années 1950 devient un Lycée-Pilote.

    Par les méthodes dites « actives », le principe posé est celui de la participation de l’individu à sa propre formation.

    L’élève y devient « le centre de la classe » et toutes les disciplines se voient reconnaître une égale importance. L’étude du milieu tient une place importante et l’enfant est préparé activement à sa vie de citoyen.Soixante ans plus tard, le Lycée Jean‐Pierre Vernant assume toujours ce double héritage :

    . ouverture à l’international : Sections Internationales, mais aussi jumelages et appariements nombreux, tradition et projets d’ouverture sur l’Europe, formation en commerce international et carte des langues élargies.

    . respect du parcours des élèves : le lycée permet à des élèves de profils et de talents différents de s’épanouir et de construire leur projet personnel grâce à une très grande palette de formation.

    De nouvelles sections internationales en projet

    La Région va doubler le nombre de places dans les sections internationales des lycées franciliens d’ici à 2020. Après l’ouverture à cette rentrée scolaire du lycée international de l‘Est Parisien à Noisy le Grand qui accueillera en 2019 quelques 1200 élèves dont 300 internes dans cinq sections internationales ( chinois, arabe, brésilien, anglais, américain ), Valérie Pécresse , la présidente de la région Ile de France a annoncé l’ouverture de trois nouveaux lycées internationaux : à Courbevoie (92) en 2018, Saclay (91) en 2021 et Vincennes (94) en 2022 et précise :

    « Nous portons le projet d’une Région bilingue et multilingue ouverte sur le monde. Dans toutes ces sections, les demandes sont très importantes et supérieures à l’offre. Ces sections sont très attractives et extrêmement sélectives. Il faut créer plus de places. Nous voulons, dans une stratégie commune avec l’État, accélérer le développement de ces classes et développer l’offre du privé sous contrat en Île-de-France » .

    Jean Michel Blanquer compte, quant à lui, créer des sections internationales dans des lycées existants.

  • Université numérique d’automne

    Université numérique d’automne

    L’université numérique d’automne est le rendez-vous éducatif de la rentrée. Elle se tient le 4 octobre 2017 à Dijon. Journée d’échanges et de formation, elle réunit l’ensemble de la communauté éducative (enseignants, élus, professionnels, parents d’élèves, etc.). Cette année, elle s’adresse à tous de la maternelle à l’université.

    L’UNA, journée dédiée au numérique éducatif

    Au travers de conférences, d’ateliers de restitution des usages, d’un bar à tweets ou du salon des éditeurs et du numérique éducatif, elle met en avant tous les acteurs du numérique au service de la réussite des élèves. Cet événement est co-organisé par Réseau Canopé, le rectorat de Dijon et la DSDEN de la Côte-d’Or. Réponse au développement croissant de nouveaux enjeux liés aux nouvelles technologies, elle traduit la volonté de développer les usages pédagogiques du numérique dans l’enseignement, quel que soit le niveau ou la matière.

    Fort de ses 2 200 participants en 2016, le programme s’étoffe cette année afin de mieux répondre aux questions d’actualités de l’éducation.

    Le e-gymn@se

    Nouveauté de cette édition, le e-gymn@se, ou gymnase numérique, se déroule toute la journée. Cette initiative inédite met l’éducation physique et sportive à l’honneur. Véritable lieu consacré au sport avec piste d’athlétisme, terrain de badminton et mur d’escalade, ce gymnase propose d’explorer l’EPS 2.0. Des professeurs animent des ateliers de pratiques avec des classes en action. Le numérique peut venir enrichir l’enseignement d’une activité sportive et ces ateliers d’échanges le démontrent.

    Loin d’être antinomiques, EPS et numérique sont complémentaires et ce gymnase numérique en est la preuve.

    Il présente les usages liés aux différentes disciplines et un forum complète les ateliers afin d’apporter à chacun les réponses à ses questions.

    L’espace robotique


    En miroir de cet espace de pratique, humains et robots cohabitent. L’espace robotique aborde, quant à lui, la question de l’apprentissage du codage à l’école. Tout au long de la journée, les médiateurs de Réseau Canopé présentent des animations courtes autour du codage de robots. De la maternelle au collège, les pratiques sont multiples, les activités ludiques et créatives. Impression 3D, programmation de robots, création de jeux vidéos, tous ces défis sont à la portée des élèves. Ils découvrent le codage comme un jeu. Une classe expérimentera, sur l’espace de 10h à 11h30, ces différentes pratiques. Les activités sont toutes mises en situation afin d’être au plus près des réalités des enseignants.

    Conférence inversée

    Invités cette année à l’UNA, Christophe Batier et Marcel Lebrun ont répondu présents. La classe inversée appliquée à la conférence ? Et pourquoi pas ! Cette inversion donne aux participants « l’occasion de la vivre ». Cette causerie sur le thème « Humanité numérique ou numérisée ? » propose d’immerger le spectateur dans la conférence. Les mots clefs #confinversee et #UNA2017 permettent aux participants de préparer la conférence en posant leurs questions en amont sur twitter. Ces derniers pourront interagir de la même manière en direct. Cette conférence se construira au fur et à mesure et sera retransmise en direct sur le web. Nouveauté pour cette année, un robot de téléprésence, guidé par des professeurs nivernais présents à l’Atelier Canopé 58 – Nevers, leur permettra de suivre cette heure et demie d’échanges.

    Retrouver le programme de la journée : http://una.ac-dijon.fr/

    #UNA2017

  • Orange et l’AUF s’engagent pour développer le numérique éducatif en Afrique et au Moyen Orient

    Orange et l’AUF s’engagent pour développer le numérique éducatif en Afrique et au Moyen Orient

    L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et Orange ont signé récemment un accord-cadre de partenariat pour renforcer leurs actions communes de recherche et développement dans l’éducation et les technologies de l’information en Afrique et au Moyen-Orient.

    Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde présent dans près de 30 pays. Parmi ces zones d’intervention, Orange soutient particulièrement l’innovation locale et collaborative en zone Afrique et Moyen-Orient en favorisant une approche impliquant divers acteurs (ONG, gouvernements, start-up, partenaires techniques et financiers, filiales Orange locales, acteurs de la société civile, etc.), de la mise en place d’expérimentations ambitieuses à leurs passages à l’échelle.

    L’AUF positionne la francophonie universitaire comme une force collective au service du développement global des sociétés et souhaite travailler avec des opérateurs du développement économique et social, publics et privés.

    L’AUF et Orange ont déjà travaillé ensemble à Madagascar en 2012-2013 dans le cadre d’une expérimentation d’utilisation de la téléphonie mobile dans un dispositif de formation des enseignants. Depuis 2015, les deux institutions sont par ailleurs partenaires pour la mise en oeuvre de trois projets de formation continue des enseignants du primaire et du collège à Madagascar, au Mali et au Niger.

    Ce nouvel accord-cadre permettra aux deux institutions de développer des actions communes, notamment dans les domaines suivants :

    • l’expérimentation et l’industrialisation de projets mobilisant le numérique (éducation, enseignement supérieur, professionnel) en sollicitant des partenariats financiers ;
    • l’analyse socio-économique des TICs (enquête, Big Data) ;
    • le développement et l’expérimentation de solutions off line de type « box » pour l’accès à l’éducation et plus largement à la culture scientifique, notamment pour le programme IDNEUF, les MOOCs et l’accès aux ressources pédagogiques pour les enseignants du primaire ;
    • l’utilisation du mobile learning en éducation avec notamment l’usage de la plateforme M-Tew/Messaging pro développée et appartenant à Orange ;
    • le développement des MOOCs ;
    • l’appui au développement d’une filière d’enseignement pour le service après-vente des solutions solaires et des tablettes et smartphones à mener en partenariat avec des universités intéressées ;
    • l’énergie et les télécommunications (équipements en solution solaire et satellite pour des infrastructures isolées, notamment en milieu rural, avec extension de la couverture réseau) ;
    • le paiement mobile, la technologie liée au Bloc Chain (pour la certification et l’authentification des diplômes).

     

    Pour en savoir plus sur l’Agence universitaire de la Francophonie : www.auf.org

  • APB, un bon produit qui a dysfonctionné. Pourquoi ?

    APB, un bon produit qui a dysfonctionné. Pourquoi ?

    Lors de la conférence de presse organisée par le syndicat des personnels de Direction de l’Education Nationale , Philippe TOURNIER, son secrétaire général, a évoqué plusieurs questions d’actualité : la suppression des contrats aidés, l’interdiction des portables dans les Écoles et les Collèges, la rentrée scolaire en musique et bien sûr les affectations des bacheliers dans l’enseignement supérieur.

    Sur ce dernier point le secrétaire général du SNPDEN a fait l’éloge d’APB .

    C’est à l’origine, a-t-il précisé, un produit horizontal qui a été construit par l’enseignement supérieur pour les seules classe préparatoires aux Grandes Ecoles pour éviter qu’il y ait des élèves sans place et des places vacantes. Ce produit partenarial était dirigé par un comité de pilotage qui fonctionnait sur le principe du consensus. Le produit a très bien marché (pour l’affectation post bac ) . Il faut remarquer que techniquement et pour une fois c’est même à notre connaissance le seul produit informatique national qui fonctionne et dont personne ne se plaint. Il a quand même réussi le tour de force de réunir dans un cadre unique, des procédures complètement différentes, des tas de gens qui n’avaient pas le même calendrier, toujours sur le principe du consensus et qui, on le dit, a considérablement assaini et moralisé l’entrée dans l’enseignement supérieur.

    Mais alors pourquoi un tel dysfonctionnement cette année ? Explications dans la vidéo ci-contre.