Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Partenariat ITOP éducation / Nobatek

    ITOP éducation annonce la signature d’un partenariat de distribution avec l’association Nobatek. 

    A cette occasion, ITOP éducation et Nobatek lancent le logiciel « NEST version pédagogique » pour l’enseignement des sciences et technologies de l’industrie et du développement durable. (STI2D)

    « NEST version pédagogique » est un logiciel innovant, destiné prioritairement aux élèves du lycée, 1ere et terminale de la série STI2D, spécialité « Architecture et Construction »  pour une sensibilisation et une formation sur l’impact environnemental des écoquartiers.

    Le logiciel a été conçu avec le concours de l’Inspection Pédagogique Régionale de l’académie de Montpellier, avec des enseignants et en relation étroite avec les milieux de la recherche à partir des méthodes appliquées par les professionnels de l’aménagement : architectes, bureaux d’études…

    Il propose une approche graphique et ergonomique favorisant  « analyse et action » et « théorie et confrontation avec le réel » pour un apprentissage  des indicateurs du développement durable dans l’aménagement du territoire, de l’initiation à la réalisation d’un projet.

    « NEST version pédagogique » a été sélectionné sur le catalogue chèque ressources (CCR) du plan numérique du ministère de l’Éducation nationale. Le CD-ROM est disponible en version 15 postes ou établissement.

    En savoir plus : www.itopstore.com
    Plus d’infos : www.itopeducation.fr

  • ECITV- 1ère Ecole d’Internet et de Télévision

    ECITV- 1ère Ecole d’Internet et de Télévision

    ECITV- 1ère Ecole d'Internet et de Télévision

    UNE REPONSE A LA DEMANDE DU MARCHE

    L’ECITV a accueilli ses premiers étudiants en septembre 2012 et leur propose d’acquérir une double compétence, répondant directement à une demande croissante des entreprises. « Nous assistons depuis quelques années à la convergence de ces deux médias. La complémentarité entre internet et la télévision est évidente. Il est indispensable pour une entreprise d’apporter du contenu audiovisuel à son site internet et, pour une chaîne de télévision, d’être présente sur internet. La vocation de l’ECITV est de former des managers maîtrisant les aspects techniques de ces 2 secteurs à savoir ceux liés au web, au journalisme, au marketing, à la communication et à l’audiovisuel afin de répondre aux besoins des entreprises qui souhaitent recruter des profils polyvalents.» précise Pierre AZOULAY, le président de l’ECITV.

    UNE OFFRE UNIQUE

    Aujourd’hui, l’ECITV est la seule formation post-bac, en 5 ans, permettant aux jeunes de se former à la fois aux métiers du web et de la télévision. Le cursus, qui propose l’alternance dès la 3ème année, permet également de construire un parcours à la carte. Ce fort lien avec l’entreprise pendant la formation, permet ainsi aux jeunes diplômés de s’insérer rapidement dans un secteur dynamique, qui offre de nombreux débouchés.

    Formés les trois premières années aux problématiques communes du numérique et de l’audiovisuel, les étudiants choisissent en 4ème année une spécialisation « digital marketing et e-business » ou « télévision et webmédia ». Les professeurs sont en grande majorité des professionnels de ces 2 secteurs, qui forment les étudiants à partir de cas réels et les mettent en situation concrète. Ludovic PLACE, Directeur de la Chaîne de Télévision MCE (partenaire de l’ECITV) et intervenant, indique que « le temps de quelques jours, le groupe devient une rédaction et fonctionne comme une unité de production…Chacun a une mission à remplir et un timing à respecter. Les meilleurs projets(reportages, émissions ou chroniques télévisuelles…) sont valorisés par une diffusion sur l’antenne nationale de MCE.

    A l’issue de leurs 5 années d’études à l’ECITV, les étudiants sortent avec un diplôme Bac+5, certifié et reconnu par l’Etat de niveau 1 et une véritable expérience professionnelle dans le secteur qu’ils souhaitent intégrer.

    www.ecitv.fr

    ECITV – 21 rue Erard – 75012 PARIS

    A propos du réseau GES
    Le réseau GES compte près de 3 500 étudiants,dont 2500 en alternance, et 2 500 entreprises partenaires. Il possède 6 campus à Paris, 15 MBA spécialisés et 12 titres certifiés et reconnus par l’Etat niveau 1 ou 2. Les étudiants bénéficient également d’une cellule « relations entreprises », d’un centre de recherche appliquée et de laboratoires (CISCO, APPLE, Microsoft, Réseaux et sécurité et Développement 3D et jeux vidéo…).

  • « Je vous ai compris », une expérience visuelle numérique et narrative inédite

    « Je vous ai compris », une expérience visuelle numérique et narrative inédite

    « Je vous ai compris », une expérience visuelle numérique et narrative inédite

    Pour devenir une œuvre nouvelle sur la tablette, le réalisateur Frank Chiche s’est éloigné du procédé filmique classique pour offrir à l’utilisateur une histoire alliant le cinéma, la BD et l’univers du jeu vidéo pour le rendu graphique.

    Alger, Avril 1961. Alors que le putsch des Généraux fait trembler le gouvernement de Gaulle, cinq jeunes s’apprêtent à affronter leur destin. Tous aiment leur pays, mais chacun à sa manière…

    Un travail scénaristique propre à l’e-BD a été réalisé afin de proposer un principe narratif multiple où l’action ne se déroule plus dans un seul cadre ou sur un plan unique comme le film, mais à travers différentes cases, où les scènes s’additionnent les unes aux autres selon un fonctionnement séquentiel avec des cases qui prennent vie.

    Enrichie de nombreuses notes historiques, l’e-BD permet à l’utilisateur de mieux comprendre les actions et sentiments des protagonistes en les situant dans une période historique précise et en révélant des évènements de leur passé.

     L’originalité plastique et technique

    La thématique de l’œuvre, son ancrage historique et géographique, la gravité des évènements réels et fictionnels qu’elle met en scène ont conduit à rechercher pour l’image une forme de «réalisme stylisé» apte à soutenir le souffle de la narration. Hybride et d’un nouveau genre, “Je vous ai compris“ mêle l’animation 2D et 3D aux prises de vues réelles. Le film tire son originalité d’une partie du travail graphique qui fut réalisé sur le tournage en traitant spécialement les comédiens et les décors et auquel s’ajoute des effets spéciaux.

    Le jeu des acteurs ayant adapté leurs postures, démarches et dialogues à l’univers de la BD rappelle également les images et procédés graphiques utilisés dans les jeux vidéo.

    Une œuvre interactive.

    Au fur et à mesure du déroulement de l’histoire, des marqueurs apparaissent à l’écran lorsque des informations complémentaires sont disponibles et offrent un éclairage sur l’un des protagonistes ou sur la période.

    L’accès se fait par action de l’utilisateur. Ces repères historiques prennent la forme de documents d’archives et offrent un regard complémentaire sur l’histoire racontée. Les différents éléments qui composent ces repères peuvent être explorés et compris indépendamment les uns des autres. Ils se présentent sous forme de développements connexes au contenu principal.

     Disponibilité

    D’une durée de 25’ environ, l’application « Je vous ai compris – épisode n°1 », est disponible gratuitement en français sur l’App Store et le 15 février sur Google Play.

    Les épisodes 2 & 3 seront disponibles fin février 2013 au prix de 3,99 €.

    Pour télécharger Je vous ai compris sur l’App Store.
    Pour visionner des extraits de « Je vous ai compris ».

    Réalisateur : Frank Chiche Auteurs : Frank Chiche et Georges Fleury / Musique originale : Rachid Taha Producteur : Laurent Thiry Coproduction Magnificat Films/ Arte France/Pictanova/Emilune Productions

  • Nouvelle solution SMART Table 442i : une source d’inspiration pour l’apprentissage collaboratif

    Nouvelle solution SMART Table 442i : une source d’inspiration pour l’apprentissage collaboratif

    Nouvelle solution SMART Table® 442i : une source d'inspiration pour l'apprentissage collaboratif

    Dévoilée officiellement lors du BETT (British Education Technology Conference), la solution SMART Table présente une surface multipoint à 360 degrés attrayante, ainsi qu’un écran LCD haute définition (1080p) de 106,68 cm (42 pouces) aux couleurs éclatantes. Avec la solution SMART Table, jusqu’à huit élèves peuvent interagir simultanément et travailler ensemble à la réalisation d’objectifs pédagogiques communs.

    La plateforme communautaire d’échange de ressources pédagogiques en ligne SMART Exchange™, maintes fois primée, met à la disposition des enseignants plus de 1 500 packs d’activités prêts à l’emploi. Ces derniers peuvent également créer leur propre contenu pédagogique à l’aide de la boîte à outils SMART Table incluse. Grâce à SMART Notebook, logiciel d’apprentissage collaboratif plusieurs fois récompensé (fourni avec la solution SMART Table), les professeurs peuvent également importer des ressources pédagogiques prêtes à l’emploi et autres contenus multimédias 3D.

    La SMART Table, robuste et adaptée aux salles de classe les plus dynamiques, est maintenue par un socle anti-basculement. Elle permet ainsi à tous les élèves, y compris ceux en fauteuil roulant, de prendre activement part aux discussions et activités collaboratives en petits groupes, et ce en toute simplicité. Dans la mesure où elle propose plusieurs ports USB, la solution SMART Table s’intègre parfaitement aux autres technologies de la salle de classe, notamment la SMART Document Camera capable d’enregistrer et d’afficher en direct des images, des vidéos et des contenus 3D. Le logiciel de gestion de la classe SMART Sync (également inclus) permet aux enseignants de passer aisément des activités en petits groupes à l’apprentissage en classe, en partageant le contenu de SMART Table sur un écran interactif SMARTBoard®. Pour en savoir plus sur le centre d’apprentissage collaboratif SMART Table 442i, consultez le site smarttech.com/table.

    Pour Warren Barkley, directeur du développement technologique chez SMART Technologies, « Le centre d’apprentissage collaboratif SMART Table donne un nouveau visage à la salle de classe en aidant les enseignants à créer un environnement pédagogique stimulant. Nous avons toujours autant à cœur de développer des produits novateurs qui encouragent la collaboration entre les élèves et améliorent les résultats scolaires. »

    Fonctionnalités

    Fonctionnalité multipoint en simultané : huit élèves peuvent travailler en même temps pour les besoins d’un cours. Grâce à la prise en charge des commandes tactiles, il est également possible de zoomer sur un objet, le faire pivoter ou encore le lancer.

    Jeu complet de ressources et contenus : plus de 1 500 packs d’activités prêts à l’emploi peuvent être téléchargés gratuitement sur  la plateforme communautaire d’échanges de ressources pédagogiques en ligne SMART Exchange. Les enseignants peuvent développer de nouvelles activités avec la boîte à outils SMART Table et importer du contenu dans les fichiers SMART Notebook.

    Écran haute définition : écran LCD 1080p de 106,68 cm (42 pouces) sans ombre ni reflet.

    Conception robuste : socle résistant anti-basculement pouvant supporter 100 kilos et surface étanche.

    Intégration des produits SMART : le logiciel SMART Sync inclus permet aux enseignants de partager le contenu de SMART Table sur un écran interactif SMART Board. Il leur est également possible de connecter une SMART Document Camera pour enregistrer et afficher des images et des vidéos.

    Système sonore intégré : quatre sorties casque disponibles et haut-parleurs incorporés au tableau, avec contrôle individuel du volume.

    Simplicité d’installation : tout juste 30 minutes entre le déballage et l’utilisation du produit.

    Conception mobile : système conçu pour passer par la plupart des portes. Des roulettes sont disponibles en option.

    Respect de la conception universelle de l’apprentissage (UDL) : s’adapte aux élèves présentant des besoins spécifiques et procure aux enseignants de nombreuses possibilités d’interaction avec le contenu pédagogique, facilitant ainsi la compréhension.

    Wi-Fi intégré : les enseignants peuvent se connecter directement à SMART Exchange ou au réseau de leur académie.

  • BYOD, la tendance en entreprises se confirme…

    « Le rapport de cette année montre que le BYOD continue sa progression, et que les entreprises n’ayant pas planifié sa prise en charge ne représentent qu’une faible minorité diminuant rapidement au sein de notre clientèle», déclare John Herrema, Vice-président Senior en charge de la Stratégie de Good Technology.

    « Nous ne sommes aucunement surpris par ces résultats, qui confirment le contenu de nos échanges permanents avec nos clients nous expliquant comment le BYOD a augmenté la productivité, la collaboration et la compétitivité au sein de leurs entreprises à des niveaux sans précédent. Nous constatons également l’ampleur mondiale que prend ce phénomène, et les faits montrent que même nos clients les plus imposants, les plus conscients de l’importance de la sécurité, et ayant le plus réglementé leurs pratiques peuvent adopter le BYOD en toute tranquillité à partir du moment où ils ont mis en place les politiques et solutions adéquates afin de protéger leurs applications et données. »

    Comme pour sa première édition, ce deuxième rapport de Good concernant le BYOD montre comment la « consumérisation de l’IT » pousse les départements informatiques à développer des politiques permettant à l’entreprise de réglementer l’utilisation et de garantir la sécurité des informations auxquelles ses employés accèdent sur leurs appareils personnels. Le rapport de cette année révèle plus particulièrement qu’une proportion croissante d’entreprises du monde entier adoptent le BYOD en toute sérénité afin de réduire leurs coûts et d’accroître la productivité de leurs employés, en leur permettant d’utiliser les appareils de leur choix et de tirer parti de leurs applications mobiles de référence pour travailler plus intelligemment.

    « Il est évident que le BYOD est pris en charge par une très grande proportion d’entreprises, car cette tendance donne aux employés le choix d’utiliser les appareils leur permettant d’être le plus productif », explique Chris Hazelton, Directeur de Recherche sur les Mobile et Réseaux sans fil chez 451 Research. « La prise en charge et le contrôle des appareils sont aujourd’hui les objectifs majeurs, mais le prochain défi pour les départements des responsables des systèmes d’information sera de parvenir à approvisionner et à sécuriser de larges volumes d’applications et de données d’entreprises au sein de déploiements BYOD. »

    Parmi les principaux résultats du rapport Good sur le BYOD en 2012 :

    · Le BYOD de plus en plus populaire en entreprise : le pourcentage d’entreprises prenant officiellement en charge cette pratique est passé de 72 à 76 %. Plus particulièrement, le pourcentage d’entreprises ne prévoyant pas de prendre en charge cette pratique a diminué de 9 à 5 %.

    · Le BYOD étend sa portée dans le monde : les entreprises sont en train d’évoluer d’une adoption réservée aux États-Unis à la mise en œuvre de pratiques de BYOD dans d’autres pays, voire dans plusieurs pays d’un seul coup.

    · Les très grandes entreprises sont les plus actives sur cette tendance : 75 % des entreprises prenant en charge les appareils personnels sur le lieu de travail possèdent 2 000 employés (voire davantage), et 46 % en comptent 10 000 (voire davantage).

    · Les préoccupations en matière de conformité aux lois et à la sécurité n’entravent pas l’adoption du BYOD : les industries des services financiers/d’assurance/de santé restent parmi les domaines les plus en avance quant à la prise en charge du BYOD. En outre, le rapport de cette année révèle l’adoption croissante de programmes de BYOD au sein du gouvernement.

    · Les employés restent prêts à payer pour avoir le choix : 50 % des entreprises ayant mis en œuvre le BYOD exigent que les coûts soient pris en charge par les employés, qui, pour leur part, acceptent plus que volontiers une telle offre de la part de leurs employeurs !

    Plus d’infos :
    Le rapport intégral est consultable ici

  • Des cours particuliers par vidéo-bulle


    Les cours sont donnés par vidéos-bulles, ce qui fait qu’il est possible d’apprendre ou d’enseigner depuis chez soi : vous n’aurez besoin que d’une connexion Internet.

    Sur LearningShelter, les cours sont donnés par vidéo-bulle, c’est-à-dire en direct et par webcam. Plus précisément, la vidéo-bulle est un outil de visioconférence développé par Google, qui dispose de fonctionnalités avancées, très utiles pour un usage pédagogique. Il est notamment possible de prendre des notes ou d’éditer un document à deux ainsi que de partager son écran.

    A partir de là, le fonctionnement de LearningShelter est assez simple : les mentors décrivent le cours qu’ils proposent, fixent librement le prix auquel ils souhaitent être payés et disposent d’un calendrier pour indiquer leurs disponibilités. Si un élève est intéressé, il prend rendez-vous avec lui en deux clics et, le cas échéant, le paie en ligne par carte bancaire. Dix minutes avant le cours, une URL est envoyée au mentor et à l’élève pour qu’ils se retrouvent sur une vidéo-bulle.

    Restaurer la relation mentors/apprenants

    LearningShelter veut restaurer la relation mentor/apprenant, qui a disparu des salles de classe. Dans l’Odyssée, Mentor est l’ami d’Ulysse qui guide son fils, Télémaque, à travers la Grèce et le prépare à gouverner l’Ithaque. Aujourd’hui encore, les meilleurs professeurs que nous avons eus connaissaient nos prénoms.  Mais cette relation individualisée professeur/élève est trop rare à l’Ecole et tend à s’effacer.

    Sur LearningShelter, il ne s’agit ainsi pas d’initiation ou de découverte : le mentor est là pour dispenser un cours entièrement personnalisé, guider l’apprenant sur le long terme et lui faire acquérir une véritable autonomie sur la matière.

    Cette vision répond à l’expérience directe des trois co-fondateurs. Etudiants dans le supérieur à Paris, les cours particuliers étaient pour eux un moyen simple et valorisant de financer leurs études. Pour eux, le constat est clair : on n’apprend jamais mieux que lorsqu’on a la chance de pouvoir être confronté à quelqu’un. Ce quelqu’un n’a pas forcément besoin d’être diplômé : il ne s’agit pas de remplacer le professeur, mais de lui apporter un complément stimulant.

    En un mot, l’interaction est la clef. Pour les fondateurs de LearningShelter, c’est ce que n’ont pas su développer les pionniers de l’éducation en ligne (KahnAcademy, Udemy, OpenYale…). Sur CodeAcademy, par exemple, vous pouvez apprendre à coder. Mais, vous ne pouvez pas montrer votre code à un autre, investiguer un domaine en particulier, ni travailler sur un projet qui vous tient vraiment à cœur.

    Cette interaction, ce sont les mentors qui vont l’apporter sur LearningShelter. Ils sont là pour poser des questions à l’élève, lui faire faire des exercices, l’aider à comprendre ses erreurs et à faire des liens dans la multitude d’éléments théoriques qu’il a appris.

    Inspiré du modèle de l’enseignement Peer to Peer, le mentor n’a pas besoin de diplômes d’enseignant. Il passe à un élève le savoir qu’il a lui-même appris quelques années avant. La plupart du temps, il s’agit d’étudiants qui maîtrisent une matière dont ils ont fait l’apprentissage récemment. Ils connaissent les difficultés de leurs élèves pour les avoir surmontées eux-mêmes.

    Révolutionner les cours particuliers

    Aujourd’hui, les processus de mise en relation entre un « professeur » et un « élève » existent. LearningShelter veut rompre avec ce modèle :

    • déjà parce que le rôle des mentors ne se limitent pas au soutien scolaire. Les mentors sont là pour guider les élèves dans leurs études ou dans leur apprentissage, les écouter, leur donner du travail en amont et en aval…

    • de plus, on peut apprendre beaucoup de chose sur LearningShelter. Sur le modèle de l’Open University, vous pouvez choisir ce que vous voulez étudier, depuis chez vous, quel que soit votre diplôme ou votre cursus : le webdesign, la programmation informatique, monter son entreprise, le montage vidéo…

    • ensuite parce que les cours s’opèrent par vidéo-bulle, autrement dit on peut donner ou prendre un cours en tout lieu, avec une personne habitant à l’autre bout de la France, mais en étant sûr qu’il y a une place pour l’interaction et la discussion.

    • enfin, parce que les élèves choisissent leur mentor, sur la base des informations disponibles sur LearningShelter (biographie des mentors, profils linkedin, facebook, twitter, description de leurs cours…)

    Pour le moment, les cours peuvent porter sur trois grandes catégories de savoir : matières académiques (mathématiques, économie, langue étrangère…), arts créatifs (Photoshop, Illustrator…) et technologie (apprendre à coder une page web, à organiser une campagne facebook…).

    Lancé il y a deux semaines, LearningShelter compte déjà une trentaine de mentors. Parmi les classes les plus populaires comptent « Construire sa startup : de l’idée à la version beta« , « Coder son premier site Internet« , « Réussir l’épreuve de maths aux concours HEC« , « La maîtrise de photoshop pour tous« .