Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Plus une seule photo de classe, mais tout un album !

    Plus une seule photo de classe, mais tout un album !

    Les petits assis et les plus grands derrières, c’est le fameux moment de la photo de classe ! Le résultat : des sourires gênés et des yeux souvent fermés… Avec l’aide de 1Year1Book, cette année vous pourriez proposer à vos élèves de réaliser collectivement leur yearbook. Une alternative aussi plus représentative pour les parents compte-tenu des nombreux évènements et projets qui composent l’année scolaire.

    La création d’une alternative à la photo de classe traditionnelle

    Trois amis d’enfance, Romain Hill, Hubert Dalstein et Cédric Brogard ont créé 1Year1Book avec une envie commune, celle de garder un souvenir de leurs années étudiantes. C’est en s’inspirant des yearbooks américains qu’ils ont imaginé un modèle novateur et interactif. 1Year1Book met à disposition de toute une communauté une plateforme privative et collaborative pour qu’elle puisse créer ensemble l’album photo de son année.

    Aujourd’hui constituée de 20 personnes, l’équipe 1Year1Book accompagne depuis sept ans de nombreux collèges et lycées. Une plateforme adaptée à chaque public qui a séduit également des Grandes Écoles, des universités, des associations et même des entreprises !

    Une plateforme simple et collaborative

    Avec une plateforme très accessible et intuitive, les élèves centralisent leurs photos, textes et commentaires. Ils auront la possibilité de mettre en page le contenu avec un large choix de couvertures et de trames intérieur.

    Le contenu du Yearbook varie selon la ligne directrice du projet et laisse une grande place à leur créativité. Apparaissent généralement l’équipe pédagogique, un trombinoscope ou photo de groupe, des photos prises lors de voyages, sorties culturelles, activités scolaires, etc. …

    Un projet pédagogique et encadré

    Les élèves peuvent ainsi personnaliser la mise en page et le contenu mais ils restent tout de même encadrés tout au long de l’année.

    Ils sont accompagnés par un référant interne, le plus souvent un enseignant ou le CPE. Ils sont également aidés par une chargée de suivi et une graphiste de l’équipe 1Year1Book afin de construire et harmoniser leur album.

    Véritable projet pédagogique, la création d’un yearbook peut s’inscrire dans le cadre d’un EPI pour les élèves de 3ème. Un projet qui leur permet à la fois de prendre la main sur des outils d’édition numérique et de développer leur sens créatif. Acteurs du projet, les élèves sont amenés à travailler ensemble pendant plusieurs mois et à être en contact avec des professionnels afin de les responsabiliser.

    Les équipes créatives s’agrandissent chez 1Year1Book et ne cessent de repenser et d’améliorer les fonctionnalités de ses plateformes pour offrir la meilleure expérience utilisateur en terme de contenus.

    Plus d’infos :

    Pour mettre en place le projet, 1Year1Book vous donne rendez-vous sur le site Internet www.1year1book.com.

    Vous trouverez ci-dessous plusieurs liens de liseuses numériques pour découvrir nos produits :

    Lycée:  http://demo.1year1book.com

    Collège:  http://demo.1year1book.com

    Elémentaire:  http://demo.1year1book.com/yearbooks

    Institutionnel:  http://demo.1year1book.com/yearbooks

     

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  • Easyprof : outil auteur pour la création de contenus e-learning

    Easyprof : outil auteur pour la création de contenus e-learning

    ITANOVA est une entreprise spécialisée dans le développement de projets basés sur des contenus digitaux pour la Formation en ligne au sein de l’entreprise et dans le domaine de l’éducation. Son champ d’action se situe dans tous les cœurs de métiers et les domaines éducatifs à l’échelle internationale.

    Son logiciel d’auteur EasyProf pour la création de contenus multimédia sur internet/Intranet, représente l’un des produits du marché international combinant le mieux facilité et puissance : en quelques clics on peut créer d’efficaces contenus multimédias pour la formation, ainsi toute personne ne possédant pas de connaissances informatiques peut facilement créer des cours de e-learning.

    ITANOVA est le résultat du rachat des actifs de l’entreprise espagnole ITACA, qui avait à l’origine créé le logiciel EasyProf, ITANOVA l’a récupéré en augmentant sa projection internationale et en renforçant les projets de futur (réalité virtuelle, autoadaptativité).

    • Solutions globales de eLearning basées sur EasyProf (depuis la conception et l’édition des contenus jusqu’à leur installation dans des plateformes LMS (Learning Management Systems)
    • Edition de Templates (Modèles) et services de formation et d’accompagnement dans l’Edition de contenus avec EasyProf
    • Contenus sur étagère personnalisés grâce à EasyProf en fonction des besoins et spécificités de chaque entreprise.

    que vous retrouvez dans le graphique ci-dessous.

     

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  • Aratice : salles de classes collaboratives et interactives

    Aratice : salles de classes collaboratives et interactives

    Présentation de la gamme complète de salles de classes collaboratives proposées par la société Aratice. Interview réalisée dans le cadre du salon educatec-Educatice.

     

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  • Loin le stress des examens avec TestWe !

    Loin le stress des examens avec TestWe !

    TestWe propose aux institutions de l’Education et de la Formation, une solution d’examen offline sécurisée adaptée aux besoins des administrations et surtout de la réussite de l’apprenant.

    ENFIN UNE SOLUTION OFFLINE, 100% SECURISEE

    TestWe a développé une solution pédagogique d’e-Evaluation sécurisée et offline, qui s’adresse à tous les établissements d’enseignement, de formation ou encore aux universités d’entreprises.

    Conçu pour tous types d’évaluation, TestWe offre la possibilité de créer des QCM, QRC, quiz, rédactions, textes à trou… Les instructeurs peuvent désormais corriger directement les copies sur la plateforme.

    COMMENT CA FONCTIONNE ?

    Solution deux en un :

    1. Plateforme online

    D’un côté la plateforme web dédiée aux professeurs et examinateurs permet la création, la gestion et la correction des évaluations. Elle est accessible depuis n’importe quel navigateur ou outil, sans installation.

    1. Logiciel offline

    De l’autre, le logiciel destiné aux apprenants leur permettant de présenter leurs évaluations dans un environnement anti-fraude et offline (non dépendant du réseau Internet), depuis leur ordinateur ou tablette personnelle et ce, partout dans le monde.

    FACILITER LA VIE DES INSTRUCTEURS ET CELLE DES APPRENANTS

    TestWe simplifie le processus d’évaluation et offre une solution 100% dématérialisée : suppression de la reprographie et de la logistique, plus de perte des copies, de problème de connexion à Internet, ni d’attente pour la remise des résultats aux candidats. Au delà d’une solution sécurisée, un outil simple à utiliser !

    TestWe rationalise l’ensemble du processus d’examen : de la création à la correction en passant par la transmission des résultats.

    Afin de satisfaire les exigences de ses clients comme les écoles de commerce, nous les accompagnons également dans le respect des processus de systèmes d’accréditation AACSB et AMBA ou encore le système de notation ECTS.

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.testwe.eu

     

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    Charles Zhu – Co-fondateur et CTO de TestWe

    Clément Régnier – Co-fondateur et CEO de TestWe

     

    Partant du constat que les établissements de l’enseignement n’étaient pas adaptés aux technologies du 21ème siècle, surtout les processus d’évaluation, Clément Régnier et Charles Zhu ont créé la start-up TestWe. Les méthodes d’enseignement ont évolué, pourtant les évaluations des examens sont restées quasi-exclusivement sur papier.

     

  • itslearning, la solution pédagogique norvégienne qui dépoussière les ENT français

    itslearning, la solution pédagogique norvégienne qui dépoussière les ENT français

    Fondé en 1999, itslearning est un Espace Numérique de Travail (ENT) pédagogique pour les établissements scolaires, de la maternelle au supérieur. itslearning propose une plateforme numérique permettant de moderniser l’enseignement traditionnel et de le recentrer sur les besoins des élèves.

    Depuis son implantation en France en 2007, itslearning a équipé plus de 15000 classes. La France est devenue le 5e plus grand utilisateur de la solution sur les 27 pays où elle est déployée.

    Itslearning, l’ascension d’un ENT

    Créée en 1998 sur les bancs de l’Université de Bergen en Norvège par 4 étudiants, c’est à partir de 2004 que l’entreprise se développe à l’International via un canal de revendeurs. Aujourd’hui, itslearning AS a ouvert 9 filiales dans le monde et sa solution est utilisée dans près de 27 pays. Particulièrement impliquée dans la digitalisation des établissements scolaires et des méthodes d’apprentissage, itslearning se hisse dans le top 3 des plus grands éditeurs d’ENT en France.

    En 2013 et 2015, itslearning rachète Skoleintra et Fronter, ses principaux concurrents européens, devenant ainsi le leader européen des plateformes d’apprentissage numériques.

    Présence d’itslearning dans le Monde

    Contribuer à relever les défis de l’enseignement français

    Aujourd’hui, le secteur éducatif français est confronté à deux défis majeurs :

    – assurer un enseignement plus égalitaire,

    – intégrer le numérique dans les pratiques pédagogiques.

    En proposant d’intégrer des services, des activités, des contenus pédagogiques et des outils numériques dans une plateforme spécifique à l’éducation, itslearning offre une véritable réponse à ces deux défis.

    Les membres de la communauté éducative, élèves, enseignants, parents et personnes administratives, accèdent à une plateforme sécurisée sur internet, et pourtant ouverte sur le monde digital actuel.

    Une solution, des usages

    Parmi les cas d’usage, l’ENT itslearning est utilisé pour :

    – réduire les inégalités en facilitant l’individualisation de l’enseignement,

    – motiver les élèves et les rendre acteurs de leur apprentissage,

    – enseigner et apprendre de manière dynamique sur tablette et mobile,

    – renforcer le lien avec les familles,

    – mettre en place une pédagogie active,

    – développer les nouveaux usages numériques en classe et hors classe,

    – assurer la digitalisation des établissements scolaires et de leurs communautés.

    itslearning en chiffres

    – 7 millions d’utilisateurs dans le monde

    – Plus de 15 000 classes françaises utilisatrices

    – 42 millions d’euros de C.A en 2016 : +37% de C.A vs 2015

    – 291 collaborateurs

    Défis pour l’année scolaire à venir

    Au printemps 2017, itslearning surprend le monde de l’éducation en lançant une application permettant d’enseigner et d’apprendre 100% sur mobiles et tablettes (iOS et Android).

    Depuis, itslearning s’est lancée dans un grand chantier de renouvellement de l’expérience utilisateur. L’objectif est clair : rendre la solution utilisable immédiatement, même sans formation.

    L’un des freins majeurs à l’utilisation des nouvelles technologies dans l’éducation est justement lié à ce manque de formation. Pour les instances, il a toujours été compliqué et coûteux de former l’ensemble des enseignants répartis sur le territoire.

    Consciente que la meilleure solution est celle qui est utilisée, itslearning investit dans la R&D depuis de nombreuses années. Chasse aux clics superflus, intuitivité, scénarios de prise en main, convivialité, tels sont les éléments qui constituent ce vaste projet. La première avancée sera déployée dès la rentrée scolaire 2017 avec

    une ergonomie revue et corrigée, ainsi que des scénarios d’accueil des nouveaux utilisateurs.

     

    A propos d’itslearning

    Créée il y a 19 ans, itslearning est l’un des principaux éditeurs d’ENT en France. Plateforme pédagogique et intuitive pour les établissements primaires, secondaires et supérieurs, utilisée par 7 millions de personnes dans le monde et par plus de 15 000 classes françaises. itslearning a réalisé un chiffre d’affaires de 42 millions d’euros en 2016 soit +37% de C.A vs 2015.

    www.itslearning.com

     

     

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  • 19e édition du Salon européen de l’éducation du 15 au 19 novembre

    19e édition du Salon européen de l’éducation du 15 au 19 novembre

    Le Salon professionnel de l’éducation avec Educatec-Educatice – du 15 au 17 novembre. Pour cette nouvelle édition, Educatec-Educatice, devenu le « salon professionnel de l’innovation éducative », multiplie les espaces de réflexion, de démonstration et d’échanges ouverts aux parties prenantes de l’école pour penser l’école de demain.

    C’est dans ce cadre que la Ligue de l’enseignement s’est associée à Educatec-Educatice en proposant des « grands rendez-vous », articulés autour des trois grands défis que pose le numérique à l’éducation :

    dans quelle mesure le numérique permet-il la personnalisation des apprentissages ? Permet-il de changer la forme scolaire ? Favorise-t-il la coopération et la co-construction des savoirs ?

    Pour y répondre, 3 journées alternant controverses, présentations de pratiques innovantes et ateliers de formation, introduites par les Keynotes de Franck Amadieu, du laboratoire Cognition, Langues, Langage, Ergonomie du CNRS (Mercredi 15 novembre), de Catherine Becchetti-Bizot, inspectrice générale de l’Éducation nationale (Jeudi 16 novembre), et de François Taddei, ingénieur généticien, directeur du Centre de recherches interdisciplinaires (Vendredi 17 novembre).

    Le Salon de l’orientation des jeunes – du 17 au 19 novembre

    Le Salon de l’orientation des jeunes met à l’honneur l’esprit d’entreprendre.

    –  Lancement de la plateforme Kangae.fr : entreprendre, de l’idée à l’action
    16 partenaires reconnus dans leurs domaines d’intervention – Onisep, AFE (Agence France Entrepreneur), l’Etudiant, Association Nationale des Groupements de Créateurs, Crea IUT, Demain TV, Moovjee, Agefos PME, Cerfrance, Paris&Co, Union des Couveuses, Pépite France/FNEGE, AVISE, Crédit Mutuel, CIC, Banque Populaire – se sont associés pour créer le 1er site dédié à l’entrepreneuriat pour les 15 à 25 ans : Kangae.fr. Cette plateforme gratuite, lancée sur le Salon, mettra à la disposition des jeunes les ressources nécessaires à la conduite de leurs démarches entrepreneuriales, associatives ou de micro-projets éducatifs.

    –  Une émission en direct sur YouTube consacrée à l’esprit d’entreprendre
    Parce que l’esprit d’entreprendre se nourrit d’expériences diverses, la Ligue de l’enseignement accueillera sur son espace le plateau de la chaîne YouTube Accropolis pour une série d’émissions diffusées en live, qui permettront de valoriser les multiples facettes de l’entreprenariat. De nombreux invités se succèderont pour raconter les expériences et les moments-clés de leur parcours qui ont développé leur esprit d’entreprendre.

    –  Un Village de la robotique pour faire ses premiers pas dans le monde des robots
    Conçu par la Ligue de l’enseignement en partenariat avec Innorobo, la Fédération Française de Robotique et la Fédération Française des Clusters robotiques, le village de la robotique sera l’espace incontournable pour découvrir cette voie, s’y projeter et y vivre des expériences. Quels emplois et quelles compétences pour demain ? Comment apprendre à coder et programmer son premier robot ? Ecoles, acteurs industriels ou encore éducatifs, tous les acteurs réunis sur le village apporteront des réponses à ces questions.

    Depuis 18 ans, le Salon européen de l’éducation constitue le rendez-vous annuel des professionnels de l’éducation et de centaines de milliers de jeunes qui viennent réfléchir à leur orientation. Cet événement de la Ligue de l’enseignement, qui se tient du 15 au 19 novembre à Paris Expo Porte de Versailles, rassemble le Salon professionnel de l’éducation (Educatec-Educatice) et un Salon de l’orientation des jeunes (L’Etudiant, l’Aventure des métiers et le Salon de l’orientation de l’ONISEP).

    Source : Ligue de l’Enseignement

     

    Plus d’infos sur le salon Educatec-Educatice : www.educatec-educatice.com

  • François MULLER : une conception globale pour l’École, mais une action locale

    François MULLER : une conception globale pour l’École, mais une action locale

    Au lendemain de la rentrée scolaire François MULLER quittait la centrale du ministère de l’éducation nationale où il exerçait depuis six ans les fonctions de chef de projet au département Recherche et Développement Innovation et Expérimentation de la DGESCO, pour rejoindre la Ligue de l’Enseignement au poste de Directeur Education et culture, nouvellement créé.

    Bien connu des acteurs de terrain, en particulier celles et ceux qui, chaque année, participent aux journées de l’innovation qu’il a, avec ses équipes, initiées, cet agrégé d’histoire, ancien normalien est un peu celui qui aura, certes avec d’autres, révélé la « richesse créatrice des enseignants qui transforment l’école par leur pratique. »

    Depuis une vingtaine d’année « au service des équipes sur le terrain à Paris et ailleurs » il s’évertue a prôner le partage et l’Innovation. Le lancement du réseau social des professionnels de l’éducation consacré à l’Innovation RESPIRE en janvier 2012 ( qui a donné naissance à VIAEDUC ) constitue une initiative originale et surtout porteuse de véritable production par l’échange , le partage, la mutualisation. Mais le fil rouge reste « des enseignants qui apprennent ce sont des élèves qui réussissent » titre d’un ouvrage qu’il écrit et publie en avril dernier aux éditions ESF sciences humaines.

    Le processus recherché, c’est comment des équipes d’enseignants plus larges peuvent être plus sensibles au travail qu’ils font , plus intelligents sur les effets qu’ils produisent sur leurs élèves et de façon durable .

    Aujourd’hui pour François Muller, « l’école bouge et se transforme par ses acteurs , par ses élèves , par ses profs . Elle est d’une intelligence quotidienne et pragmatique qui renforce son expertise . Mais encore faut il d’abord la voir, la connaître avant de la reconnaître ».

    Quand on est a Paris dans les ministères on peut voir de très loin les choses et même on ne les voit pas d’une certaine manière .

    « Il faut rendre visibles les choses invisibles mais pourtant puissantes » !

    Et c’est par l’action locale que cette connaissance s’affine et permet aux acteurs d’adapter les réponses à des situations d’une très grande diversité. Il faut avoir pour l’éducation, dit-il , comme c’est le cas pour le développement durable, ”une conception globale (autour du développement professionnel des équipes), mais une action locale ».

    Il reste donc encore beaucoup à faire !

    Alors pourquoi quitter la centrale ?

    « Ce passage vers la Ligue de l’enseignement ne doit pas être perçu comme une rupture mais plutôt comme un épisode d’une série longue » affirme François MULLER.

    « Mon travail à la Ligue s’inscrit dans la continuité mais de manière plus agile et plus locale ».

     

    La Ligue de l’enseignement, qui regroupe plus de 30 000 associations est un des premiers acteurs de l’école, un de ses premiers partenaires . « Il entend redevenir le laboratoire , l’aiguillon d’une école plus juste , plus efficace pour ses élèves et plus accueillante pour tout le monde. »

    Avec l’expertise des acteurs de terrain il s’agit de renforcer la capacité d’accompagnement , d’appui aux écoles dans tous les territoires; et faire en sorte que l’éducation soit meilleure pour tous les jeunes.

    Avec plus d’éducation, mieux d’éducation, formelle et informelle.

    L’étape suivante pour l’Ecole : les territoires apprenants ?

    Le rapport Vers une société apprenante, établi par François TADDEI, Catherine BECCHETTI -BIZOT et Guillaume HOUZEL s’appuie sur les résultats de la recherche en sciences cognitives, pour affirmer que “nous pouvons tous développer nos apprentissages en cherchant, en nous questionnant, en expérimentant, en nous appuyant sur les progrès des technologies et des connaissances, sur ce que d’autres ont fait ainsi que sur un réseau de pairs et de mentors.”

    “Dans une organisation apprenante, écrivent-ils, tous les membres apprennent les uns des autres, les innovations et les apprentissages des uns facilitant ceux des autres…Cette communication transversale permet l’émergence de dynamiques favorisant l’innovation, l’intelligence collective et l’adaptation permanente. »

    Ils proposent ainsi de créer dans la classe des écosystèmes apprenants, où les enfants sont invités à la coopération entre pairs et où l’on crée du mentorat entre apprenants.

    Développer un établissement apprenant c’est faciliter et encourager la créativité des enseignants , c’est accompagner leur développement professionnel et les inviter à mettre en œuvre des projets adossés à la Recherche.

    Pour François MULLER, parler aujourd’hui pour l’Ecole, de territoire apprenant, c’est un peu la contre culture de celle de l’éducation nationale, très centraliste et très jacobine.”

    Car dans ce même temps, la France va vers plus de régionalisation, plus de territorialisation. Elles se girondise !

    Les nouvelles régions , les collectivités territoriales entendent avoir un mot à dire sur l’Ecole et travailler plus en dialogue qu’en application avec le ministère de l’Education Nationale. Ce dernier doit être aujourd’hui plus accompagnant et plus à l’écoute des territoires pour essayer de rendre le meilleur service public.

    Et, loin des discours sur la déliquescence scolaire, il s’agit aussi de dire les « bonnes nouvelles sur l’Ecole » , comme l’écrit Emmanuel Vaillant, en valorisant les milliers d’enseignants et de chefs d’établissements qui imaginent, expérimentent et renouvellent leurs manières de faire classe et donnent envie aux élèves d’apprendre .

    Les collectifs enseignants changent l’équation scolaire

    Dans le rapport remis au ministre , publié par le Café Pédagogique, “Repenser la forme scolaire à l’heure du numérique”, Catherine BECCHETTI BIZOT, IGEN mais première directrice de la DNE, explore les nouvelles manières d’apprendre et d’enseigner que de nombreux enseignants sur le terrain inventent et mettent en place “pour répondre aux besoins et difficultés de leurs élèves ».

    Prenant l’exemple de la classe inversée et du rôle de l’association Inversons la Classe! dans la diffusion de cette pratique pédagogique, l’Inspectrice générale note combien cela « génère un élan constructif viral des enseignants et restaure le plaisir d’enseigner. » et ajoute

    En matière d’innovation, on sait combien l’injonction et l’imposition par le haut peuvent être inefficaces et même avoir des effets contreproductifs. Expérimenter, innover et créer de nouvelles méthodes pédagogiques nécessite une approche contextualisée, impliquant étroitement les acteurs de terrain et prenant en compte prioritairement leurs interrogations, leurs besoins et leurs attentes.

    Comme ILC!, les collectifs qui sont apparus se distinguent de leurs prédécesseurs essentiellement disciplinaires . Les réseaux sociaux facilitent l’expression au point qu’ils se transforment en « salle des professeurs » pour l’échange et la formation entre pairs et en « buffet de restaurant » ou l’on trouve pléthore de ressources et ou chaque enseignant peut faire son marché !


    Je vois les collectifs enseignants comme autant de manifestations très dynamiques, très émergentes de processus de développement professionnels des enseignants, affirme François MULLER qui ajoute : le développement professionnel, c’est comment on apprend de son expérience en passant par la communication par autrui et donc d’une certaine façon c’est « aller voir chez les autres si j’y suis » .

    En se fédérant autour d’objets ou de questions professionnelles on va changer des variables de l’équation scolaire qui étaient données comme invariantes, comme le temps, l’espace voire même les contenus ou la composition du groupe apprenant.

    On expérimente une déformalisation de l’école en la rendant plus informelle.

    Mais si ces enseignants « se bougent », c’est pour se focaliser plus fortement sur les apprentissages que sur l’enseignement : ce n’est plus :

    « je vais faire mon programme »; c’est « qu’apprennent-ils ? »

    La mission de François MULLER à la Ligue c’est bien l’identification de ces processus, leur accompagnement, leur étayage par des apports scientifiques voire internationaux et puis être ce laboratoire au service de l’éducation et des élèves.

  • REFER, Rendez-Vous des Ecoles Francophones en Réseau en 2018

    REFER, Rendez-Vous des Ecoles Francophones en Réseau en 2018

    Le Rendez-vous des écoles francophones en réseau (REFER) était présent à Ludovia#14 pour y créer de nouveaux liens, y rencontrer des éducateurs avec lesquels ils favoriseront la mise en réseau d’expertises, toutes disciplines et niveaux confondus et réfléchiront à la place de l’école face au défis posés par le numérique.

    La 5ème édition de cette célébration de l’éducation numérique francophone aura lieu les 22 et 23 mars 2018 durant la Semaine de la langue française et de la francophonie.

    « Agis en ton lieu, pense avec le monde » cette citation d’Édouard Glissant, écrivain, poète et philosophe martiniquais assoit le thème de cette année : école et apprentissage : des réseaux et des liens. « Nous sommes dans une ère de transformations … où … chacun peut … aujourd’hui devenir lui-même média . . . Dans quelle mesure la culture numérique dessine-t-elle les contours d’une société apprenante ? Cette édition 2018 est une invitation à dissiper la défiance, la peur, la résignation afin de faire vivre ensemble un écosystème tourné vers la confiance, la reliance et l’espoir d’un monde meilleur. »

    Projets de classe et concours, édition 2018

    Ces arbres qui nous entourent.
    Ce projet collaboratif, conçu par Olivier Morin et Martin St-Hilaire de l’Académie Ste-Thérèse, propose aux élèves de réfléchir, ainsi que d’apprendre à rechercher et communiquer des informations dans un but de protection de l’environnement. Les classes participantes se partageront les fiches informatives qu’elles auront réalisées. On peut s’inscrire jusqu’à la fin novembre 2017. Jean-Pierre Dufresne, conseiller pédagogique à l’Académie Ste-Thérèse au Québec est responsable du projet.

    L’ordre social
    Ce projet collaboratif a été conçu et réalisé par Chantal Rivard du Collège Beaubois (Pierrefonds, QUÉBEC) pour des classes de 1re et 2e secondaire en Univers social.  Ce projet veut faire réfléchir les élèves sur l’importance et la nécessité de se doter de lois et règlements pour vivre en société. Le projet, ouvert à toutes les classes du secondaire (du collège), se déroule à partir du 6 novembre et les inscriptions sont ouvertes. La responsable du projet : Chantal Rivard, Conseillère pédagogique TIC, Collège Beaubois, Pierrefonds, Québec

    Cuisinez avec « classes »
    Le projet #recettesEER est un projet collaboratif pour les classes du préscolaire et du primaire de toute la francophonie. Ce projet veut mener les jeunes élèves à réfléchir aux conditions d’une saine alimentation. Après l’inscription, les élèves choisissent une recette qu’ils vont expérimenter en classe et participeront à la production d’un livre de recettes collaboratif numérique dont le lancement aura lieu à l’occasion du REFER le 22 mars 2018. Inscriptions du 20 novembre au 20 décembre 2017. Déroulement du projet du 8 janvier au 23 février 2018. Karine Godin-Tremblay, de l’École Au Millénaire, Commission scolaire des Rives-du-Saguenay (QUÉBEC) est responsable du projet.

    Sciences pour tous : projet de vulgarisation scientifique
    Ce projet a pour intention de réinventer la transmission des savoirs à l’ère du numérique. Les classes qui participent à ce projet choisissent un sujet scientifique qu’elles étudient. Ces classes publient les résultats de leur recherche sur une plate-forme commune. Chaque classe est invitée à réagir sur les différentes productions. La date limite des inscriptions est le 19 janvier 2018. Le projet se déroule du 4 décembre 2017 au 16 février 2018. L’ensemble des productions seront disponibles lors des 48 heures du REFER.

    Les enfants de la paix
    Le projet #DéfiALPHA est un projet collaboratif pour les classes du préscolaire et du primaire de toute la francophonie. Après inscription, les classes participantes, de la maternelle à la 4e année, seront jumelées de façon à ce qu’une classe d’élèves plus jeunes collabore avec des élèves de niveau supérieur. Ainsi, les plus petits trouveront des mots débutant par la lettre qui leur a été assignée, pour ensuite les envoyer à leur classe-miroir sur Twitter en utilisant le mot-clic #DéfiALPHA et dans un document collaboratif. Les plus grands composeront une courte histoire avec ces mots, sur le thème de l’amitié et de la paix dans le monde puis l’enregistreront sur ePub. Finalement, la réalisation des illustrations sera confiée aux plus petits. Les inscriptions sont malheureusement terminées, le projet ayant atteint le nombre maximal de classe qui peuvent participer. Les responsables du projet sont : Nathalie Laroche, enseignante au 1er cycle, École du Ruisseau, Gatineau (QUÉBEC) et Brigitte Léonard, enseignante au 2e cycle, École Tournesol, Mont-Tremblant (QUÉBEC).

    Va’a où l’air te porte
    Ce projet propose de créer un pont entre le passé et le présent, entre l’ailleurs et l’ici grâce au célèbre poème de Joachim du Bellay, «Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage.» Les élèves pourront échanger entre classes leurs idées en utilisant le mot-clic #AirREFER sur la plate-forme Twitter pour communiquer entre eux leur compréhension du poème. Les élèves adapteront le texte de Du Bellay à la manière de Ridan, c’est-à-dire en y ajoutant un refrain ou un ou deux couplets de leur cru avec des repères culturels de leur pays ou encore en traduisant dans leur langue d’origine des parties du texte. Les inscriptions sont ouvertes et les classes peuvent participer jusqu’à la fin janvier 2018.

    Concours de twittérature, édition 2018
    Ce concours se lie aux activités organisées dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie en reprenant les mots proposés par Dis-moi dix mots.
    Il se déroule du premier au 28 février, 16h00, heure de Québec. Les inscriptions sont à venir.

    Lumière sur les sciences
    Pour y participer, les élèves devront produire, en équipe de deux ou trois élèves, une capsule vidéo de vulgarisation scientifique d’une durée comprise entre 2 et 4 minutes.
    L’inscription est ouverte jusqu’au 22 décembre et le concours prend fin le 23 février 2018.

    Les Foyers 2018

    Devenez partenaire ou exposant du REFER  http://www.refer-edu.org/devenez-exposant-2018/ ou contactez Mme Nathalie Couzon (418)809-4332
    info@refer-edu.org

    Foyer de la Suisse – Institut International de Lancy
    Madame Caroline Duret
    cduret@iilgeneve.ch
    @cduret
    @iilancy

    Foyer du Québec – CS de Montréal
    Mme Cathy-Anne Boiteau
    École Louis-Joseph-Papineau
    ljpapineau@csdm.qc.ca

    Foyer du Maroc – Maison des Sciences de Fès
    Mr Hamid Tebbane
    @HTebbane
    CECA « Oum Aymane (ex- Collège Beni Mrine)
    @MplesciencesFES

    Le comité d’organisation 2018

    Marius Bourgeoys, conférencier et consultant en éducation, membre du conseil d’administration du REFER, Canada
    Nathalie Couzon. Présidente-directrice générale du REFER, Canada
    Caroline Duret, professeure de lettres, membre du conseil d, administration du REFER et coordonnatrice du foyer du REFER à l’Institut International de Lancy, Genève, Suisse
    Marie-Josée Harnois, conseillère pédagogique à la Commission scolaire des Bois-Francs et membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    François Guité, de PédagoSoft, et Relief (francoisguite.com), membre du conseil d’administration et du comité de la thématique du REFER, Canada
    Michel Guillou, citoyen numérique www.culture-numerique.fr et An@e/Educavox, membre du comité de la thématique du REFER, France
    Jean Desjardins, conseiller technopédagogique au Collège Sainte-Anne à Lachine, Membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    Marie-Andrée Ouimet, conseillère pédagogique en technopédagogie avec l’équipe TacTIC du CFORP, formatrice et innovatrice certifiée Google pour l’éducation, co-leader du GEG Ontario et directrice des affaires francophones pour l’équipe EdTechTeam Canada, Membre du comité de la thématique et de la programmation du REFER, Canada
    David Raymond, conseiller pédagogique au numérique, mission DANE au vice-rectorat, Tahiti, Polynésie Française, membre du comité de la thématique du REFER 2018 et responsable du projet Va’a où l’air te porte, France
    Hamid Tebbane, professeur normalien, co-fondateur du FabLab pédagogique de Fès  « la main à la pâte », membre du comité de la thématique du REFER 2018 et coordonnateur du foyer du REFER au Maroc (Maison des sciences de Fès), Maroc
    Lise Ouellet, éducatrice retraitée, membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    Maude Lamoureux, conseillère pédagogique RÉCIT (Réseau, Éducation, Collaboration, Innovation, Technologie) pour la Fédération des établissements d’enseignement privés du Québec, Membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    Nicolas Le Luherne, dirige les Ateliers Canopé de Beauce, membre du comité de la thématique et du comité de la programmation du REFER, France
    Solange Racine, accompagne les éducateurs dans l’École en réseau (ÉER) pour améliorer les apprentissages des élèves par les technologies, membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    Amy Tran, enseignante d’informatique et de mathématiques au Collège Beaubois, membre du comité de la thématique du REFER, Canada
    Delphine Barbirati, cheffe de service « Formations et services » pour un centre national de formations à distance, membre du comité de la thématique du REFER, France
    François Jourde, enseigne la philosophie et coordonne l’orientation scolaire et professionnelle à l’École Européenne Bruxelles 1, Membre du comité de la thématique et du comité de la programmation du REFER, Belgique
    Jean-Pierre Dufresne, Conseiller pédagogique en technopédagogie (primaire & secondaire) à l’Académie Ste-Thérèse et expert de contenus à Cadre21, membre du comité de programmation du REFER 2018 et responsable du projet pédagogique, Ces arbres qui nous entourent, Canada
    Karine Godin-Tremblay, enseigne Au Millénaire, un concept d’école novateur et ouvert sur le monde, situé à La Baie (commission scolaire des Rives-du-Saguenay), Créatrice et responsable du projet pédagogique Cuisinez avec «classes.» Canada
    Nathalie Laroche, Ambassadrice certifiée iClasse, enseigne à la Commission scolaire Au-Coeur-des-Vallées à Gatineau au 1er cycle du primaire, Créatrice et responsable du projet Les enfants de la paix., Canada

     

    Si vous voulez en savoir davantage sur le REFER :
    ● Visitez le site Web : http://refer-edu.org
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  • « La nouvelle classe » d’UNOWHY, un condensé d’innovations technologiques au service de la pédagogie.

    « La nouvelle classe » d’UNOWHY, un condensé d’innovations technologiques au service de la pédagogie.

    La société UNOWHY a profité de son installation dans de nouveaux locaux parisiens, pour aménager “un lieu des nouvelles pratiques qui mettent le numérique au service de la pédagogie et de l’apprentissage”. Le design de cette “nouvelle classe” est pensé “pour s’adapter à chaque scénario pédagogique”. La société a créé en 2009 Qooq, la première tablette tactile française pour la cuisine est bien connue du monde de l’éducation par le projet TED (tablette pour une éducation digitale) lancé en 2012.

    Via un consortium regroupant le Conseil Général de Saône et Loire, l’académie de Dijon, Editis (Nathan, Bordas, le Robert), l’Université de Poitiers (Techné) et Logosapience, spécialiste des logiciels scolaires interactifs, Unowhy a obtenu un financement du PIA (programme d’investissement d’avenir) et expérimenté en Saône et Loire une offre digitale associant une tablette dédiée, une interface logicielle interactive et un hub de ressources multimédias adaptées.

    L’originalité de cet écosysteme insiste Jean Yves Hepp, fondateur de la société, c’est bien la sécurité des données personnelles des élèves qui, grâce “au partenariat avec Worldline, sont hébergées en France, ce qui est gage d’assurance“. Fabriquée dans les usines du groupe à Montceau les Mines la tablette et son environnement ont été expérimentées dans des classes avec le concours des enseignants.

    Pour Jean Yves Hepp, « les GAFAM se servent de l’école pour conquérir leurs futurs consommateurs. Il est important d’avoir une réponse organisée au niveau de l’Europe pour préserver nos chances d’exister dans ce futur numérique. Notre ambition, c’est justement de donner les outils aux acteurs européens pour créer leur propre devenir, leurs propres solutions, leur propre souveraineté et leur libre arbitre dans les choix numériques qui vont être faits. Nous avons en Europe notre propre volonté d’exister tels que nous existons depuis si longtemps . Il va falloir l’inventer à travers le numérique. Ce n’est pas les américains qui l’inventeront pour nous.”

    Les collectivité territoriales comme les enseignants trouveront dans cette classe les solutions proposées par des entreprises de la « Ed Tech« , mais aussi en termes d’architecture modulaire et de mobilier dont on sait que la flexibilité facilite le côte à côte. Les technologies sont évidemment présentes comme les outils d’apprentissage du code avec ou sans écrans, l’utilisation de robots permettant à des élèves malades ou handicapés de participer virtuellement à la classe, un vidéoprojecteur permettant de projeter sur une très grande surface de mur ou un mini vidéoprojecteur individuel, un thermomètre , un microscope, un pHmètre … numériques.

    Pour Jean-Yves Hepp, l’école est là “pour que tous les enfants aient leur chances dans ce futur monde numérique.”