Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Easytis sera présent au 3ème Printemps du numérique à Lille !

    Easytis sera présent au 3ème Printemps du numérique à Lille !

    Easytis_Lille_110314Easytis propose des solutions innovantes et connectées pour le e-learning.

    Venez découvrir les boitiers de réponse Turning Technologies, ou les applications vPads pour tablettes. Utilisés individuellement pour suivre les progrès de l’élève ou en groupe de manière collaborative, pour des QCM ou des réponses plus complètes, les logiciels tels que Flow apportent de réels avantages pédagogiques (participation de tous les élèves, évaluations diagnostiques et formatives, analyse des résultats facilitant la mise en place d’une pédagogie différenciée…etc).

    Vous préparez l’ASSR ? N’hésitez pas à utiliser nos boîtiers de réponse homologués, qui vous permettront de gagner du temps pour faire passer et corriger les épreuves.

    Easytis distribue également la gamme de produits de Numetis, avec notamment l’antenne HDMI NumCast, qui permet, branchée sur un video projecteur ou un téléviseur, de partager l’écran de sa tablette de manière immédiate et sans fil.

    Vous pourrez également essayer le NumCam, visualiseur de grande qualité pouvant être piloté  par une tablette (Android ou iPad).

    D’autres solutions vous attendent sur le stand d’Easytis, venez les découvrir !

    Plus d’infos : www.easytis.com

    Evènement  3ème Printemps du Numérique Lille Grand Palaisa Espace Lille Metropole
    les 18, 19 et 20 mars 2014
    departementeducation.enseignement-catholique.fr/ecolenumeriquepourtous/

     

  • « Gleamcode » : le jeu pour apprendre à coder

    « Gleamcode » : le jeu pour apprendre à coder

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    En complément de nos actions pour « PENSER » le numérique« , nous avons ainsi le plaisir de vous présenter aujourd’hui le premier volet d’un ambitieux projet ayant pour vocation « d’apprendre à FAIRE » le numérique » dès le plus jeune âge.

    Projet auquel nous souhaiterions vous associer : Gleamcode !

    Le kit Gleamcode, c’est quoi ?

    Un kit Arduino, outil ludique permettant aux jeunes (à partir de 7 ans) d’apprendre les bases de la programmation, en créant un objet personnalisable, prétexte à programmer et à créer.

    Un Gleamcode :

    1- Un écran lumineux composé de 256 leds de couleurs (relié à l’ordinateur par cable USB)
    2- Des capteurs de lumière et un accéléromètre
    3- Une application en ligne : l’enfant pourra programmer simplement son Gleamcode afin de créer des images et animations lumineuses simples
    4- Un cable USB relie l’ordinateur à l’écran
    5- Une plateforme pour échanger ses créations

    Aidez-nous à faire de Gleamcode une réalité !

    Gleamcode sera lancé à l’issu d’un financement en mode « Crowdfunding » sur kisskissbankbank.

    Plus d’infos :
    Découvrez le projet ici et aidez-nous à faire de nos enfants les acteurs du numérique de demain.

  • Les musées de la Ville de Paris lancent une plateforme dédiée aux jeunes publics

    Les musées de la Ville de Paris lancent une plateforme dédiée aux jeunes publics

    MuseesvilleParis_210214

    MUSÉOSPHÈRE propose des visites virtuelles dans les collections permanentes des musées.

    Cinq salles par établissement, accessibles en visite 360°, peuvent ainsi être parcourues par les enfants, en autonomie ou avec l’assistance d’un animateur. Des mascottes de couleurs les guident à travers les musées en leur indiquant des thématiques aussi variées que les animaux et la nature, la fabrication des œuvres, la mode ou encore les petits secrets des grands personnages qui ont marqué l’histoire des collections.

    Pour chaque musée, une trentaine d’œuvres sont approfondies grâce à des notices conçues spécialement pour ce jeune public. Cet outil aide ainsi les enfants à s’approprier les lieux en se familiarisant avec l’univers des musées et à préparer une visite.

    MISSION ZIGOMAR est un jeu qui permet d’explorer des œuvres de l’ensemble des musées de manière plus récréative à travers des  aventures animées.

    Elles mettent en scène de jeunes héros, Gaby l’aventurière, Hugo le rêveur et Selim l’intellectuel féru de nouvelles technologies, qui doivent empêcher l’affreux Zigomar de confisquer aux enfants les œuvres des musées. Au fil des énigmes, les jeunes internautes se familiarisent avec des œuvres des collections permanentes et des notions générales évoquées à travers de grandes thématiques de l’art (portrait, monstres et dragons, écriture…)

    Enfin, « Paris Musées Juniors » regroupe, musée par musée, les différents documents pédagogiques disponibles pour les enfants et les enseignants (adultes et autres accompagnateurs) sous format vidéos, pdf ou par lien externe.
    Ces outils ont également été mis à disposition des écoles parisiennes dans le cadre des activités prévues les mardi et vendredi suite à l’aménagement des rythmes éducatifs.

  • Le WIFI est-il sans risques pour notre santé ? Point de vue sur les précautions à prendre

    Le WIFI est-il sans risques pour notre santé ? Point de vue sur les précautions à prendre

    WIFI_pointdevueDominiqueLebourseLe Canada répond Oui.

    Au préalable, j’attire votre attention sur le fait que la vidéo associée à l’article « Le-wifi-est-il-sans-risque-pour-notre-sante-le-canada-repond-oui« , date de 2010.

    Or, si l’on fait un parallèle avec les téléphones portables, on peut considérer que le point de vue des scientifiques et des constructeurs a sensiblement évolué depuis 2010.

    Pourquoi pas concernant le Wifi ? Par ailleurs, il est dit que les fréquences mises en œuvre se situent : « sur une échelle inférieure à d’autres ondes qui sont présentes dans notre quotidien (ex le micro-onde) ».
    Je me permets de préciser que les ondes du wifi sont pulsées à 2,4 GHz et qu’il s’agit bien de micro-ondes ou d’hyperfréquences. Je ne rentrerai pas plus dans les détails techniques en concluant que – tout comme avec les micro-ondes, il faut prendre des précautions.
    Par exemple, on ne reste pas à proximité du micro-onde avec son bébé dans les bras pendant que l’on réchauffe son biberon.

    Qu’en est-il du Wifi dans les écoles ?

    Mon point de vue est technique et non pas scientifique, sachant que je travaille dans une entreprise qui équipe des écoles avec des infrastructures réseau. Nous installons notamment des points d’accès Wifi qui sont effectivement indispensables à l’utilisation des tablettes et autres équipements sans fils.

    Nous avons aussi un rôle de conseil auprès des municipalités qui sollicitent nos services : nous leur confirmons qu’il ne faut pas proscrire le Wifi mais effectivement prendre des précautions.

    Quelles précautions prendre avec le Wifi et que préconisons-nous ?

    . Il faut éviter de déployer des infrastructures 100% Wifi dont on ne maîtriserait pas le niveau d’émission. Là aussi, je ne rentre pas dans la technique, mais il faut comprendre que – soit automatiquement, soit lors de l’installation -, le niveau d’émission des points d’accès Wifi peut être augmenté pour éviter les zones d’ombres et bénéficier d’une bonne couverture de l’ensemble des salles de classe.

    En outre, une entreprise peut être tentée de limiter le nombre de bornes wifi pour augmenter ses chances d’être retenue dans le cadre d’un appel d’offre avec une solution moins-disante financièrement.

    . Il faut limiter l’utilisation d’un point d’accès wifi dans la durée et dans l’espace ; pour ce faire :
    – la borne Wifi doit être installée à l’intérieur de la classe mobile ou de la valise qui embarque les PC portables où les tablettes ;
    – il faut utiliser un modèle de point d’accès sans fil professionnel dont on diminuera au maximum le niveau d’émission ;
    – il faut éteindre le Wifi dès que l’on a terminé la séquence pédagogique collaborative. Petite parenthèse : la majorité des constructeurs propose un bouton pour couper le wifi au même titre que l’on éteint la lumière quand on sort de la salle de classe. Pédagogiquement, il est bon de sensibiliser les élèves au fait que le wifi, tout comme le téléphone portable doivent être utilisés avec précaution.
    – la Classe Mobile – qui contient la (ou les bornes wifi) doit être placée dans la classe à plus d’un mètre des élèves ou de l’enseignant. Un point d’accès au réseau dans chaque salle de classe : un préalable essentiel à l’école numérique.

    Pour bénéficier pleinement d’une Classe Mobile, elle doit être raccordée au réseau informatique de l’école et à Internet. Cela suppose qu’un accès au réseau soit disponible dans la salle de classe et non pas via une infrastructure Wifi globale (cf le point 1).

    Comment faire quand l’établissement n’est pas câblé ?

    Si l’on dispose du budget et que l’on peut supporter ou attendre les travaux nécessaires, il faut câbler le bâtiment et faire l’acquisition des matériels réseaux actifs. Pour limiter le coût du câblage, on pourra profiter d’une éventuelle réhabilitation électrique où la main d’œuvre sera mutualisée sur la pose consécutive de tous les câbles courants fort et faible.

    Si l’on préfère consacrer une part plus importante du budget pour les équipements informatiques et interactifs, des solutions alternatives – performantes et sécurisées – existent qui mettent en œuvre une technologie Courant Porteur professionnelle qui s’adapte aux installations électriques triphasées les plus vétustes.

    A noter que des mesures réalisées par un centre de recherche indépendant ont montrées que le CPL utilise de fréquences comprises entre 1 et 68 MHz (Mega et non Giga Hertz) qui ne sont plus mesurables au-delà de quelques centimètres. En conclusion En termes de risques sanitaires, il y a sans doute plus de risques de jambes cassées à multiplier les câbles RJ45 dans les salles de classe que de risques avérés à utiliser une technologie sans fil comme le Wifi, à condition néanmoins d’observer des précautions nécessaires et suffisantes.

    On ne proscrit donc pas le WiFi mais on prend des précautions et on consulte des entreprises spécialisées qui proposent une infrastructure réseau filaire ou des technologies alternatives plus économiques qui mixent une infrastructure réseau CPL et des points d’accès Wifi.

    Auteur : Dominique LE BOURSE, société Handi-Informatique

  • Les enseignants : une force de proposition pour avancer dans l’ère du numérique ?

    Les enseignants : une force de proposition pour avancer dans l’ère du numérique ?

    MartialP_110214L’orientation prise autour de la confiance sans faille aux éditeurs classiques, transformant à grand peine le marché classique du papier, en le justifiant par un cartable numérique tout en un, ne délivrait au final, qu’une vision simpliste au regard d’un potentiel accru.

    J’en tiens pour preuves toutes les expérimentations pluridisciplinaires que nous trouvons autour de l’utilisation de l’image que permettent les tablettes.

    A ce titre, voulant répondre à un projet d’équipement, j’ai trouvé chez mes collègues 2 types de réponse:
    « on pourra y mettre nos cours, documents, et autres supports » ou « c’est intéressant pour pouvoir prendre des images et des vidéos »

    Oui ! mais pas seulement…

    Tout d’abord, ne pas négliger le fort potentiel et la maîtrise technique de certains enseignants/développeurs, ayant intégré les usages innovants et en particulier le numérique, depuis de nombreuses années dans leur pédagogie. Ils possèdent en eux, l’ensemble des qualités que ne peuvent offrir, ou alors de manière incomplète, les ténors de l’industrie.

    La différence tient en l’observation quotidienne de l’évolution de leur métier : un moyen de réagir en temps réel et une adaptabilité toute particulière. Mais surtout en une capacité à identifier les besoins, à les interroger et y répondre avec une infinie précision, même si parfois la tâche s’avère juste ponctuelle, locale et surtout difficile.

    Cet aspect très professionnel, s’appelle les “règles métiers”. Un ensemble de détails qui sont un atout pour le professeur, un écueil[1] pour les développeurs.

    C’est pourquoi j’insiste sur ce potentiel conséquent que possède l’éducation nationale en son sein et que le projet “faire entrer l’école dans l’ère du numérique” semble oublier alors même que je l’aurais renommé “faire avancer l’école dans l’ère du numérique” !

    Je pense qu’il est important de prendre les devants et que, même avec des moyens qui peuvent sembler dérisoires, il est possible d’être force de proposition dans un domaine où il devient urgent d’être efficace.

    Je pose la question à partir d’un concept simple : cessons de nous poser le problème comme étant celui de la ressource, mais plutôt celui du besoin !

    La ressource est omniprésente, partout. A un point tel qu’aujourd’hui, on ne la diffuse que très difficilement, car elle se livre une concurrence impitoyable en fonction des supports (papier, CD-ROM, tablette, internet). Et il apparaît évident qu’on y ajoute chaque instant des contraintes d’utilisation supplémentaires. A sujet similaire, éditeur différent.

    Mes vielles éditions de Molière ne sont plus adaptées à celles d’aujourd’hui, et pourtant cela reste du Molière !

    Je me permettrai une réflexion plus longue sur cet aspect qui inquiète, alors que Google devient le précepteur incontournable de nos élèves et que nous luttons contre…

    Et de revenir sur mon sujet principal : l’énergie des enseignants, et le potentiel des enseignants/développeurs !

    En Essonne, une initiative d’abord locale, s’étend à l’ensemble du territoire, sur la base d’une idée simple. Une idée qui dénonce l’accès aux ressources sur un aspect fondamental qu’est la “facilité”.

    Un collège[2] impulse un moyen différent d’accéder aux contenus : partir de la liste de ce qui est essentiel à retenir d’un cycle de 4 ans au collège. Idée simple, mais qui comporte quelques restrictions que les professionnels doivent intégrer, professeurs ou éditeurs. L’application, « MonCollege« [3],a pour ambition d’intégrer l’ensemble de ces contenus de base dans toutes les disciplines[4], de manière progressive et collaborative, et de les rendre accessibles gratuitement, hors-ligne (et c’est important, car la connexion a un coût pour les élèves).

    Le coeur de cette construction tient à une présentation épurée où l’information est essentielle, facilement assimilable et correspondrait à la connaissance de l’approche des contenus, non pas par le professeur, mais par l’élève, premier concerné.

    Après plusieurs semaines, il semble bien que l’aspect technique du développement ne soit pas l’obstacle le plus conséquent, mais bien cette réflexion nécessaire de l’adulte pour offrir des formations intégrant la notion de BYOD[5] que nous détournons en UYOD (use your own device) pour donner à l’objet technique une fonction éducative de chaque instant.

    Le pari est de présenter le contenu pédagogique comme étant un contenu ludique. De proposer une consultation en amont des éléments ou évènements importants et de rejoindre le concept de “classe inversée” cher à Marcel Lebrun[6]. De montrer que le numérique tient une place dans le quotidien, tant au niveau du multimédia commercial que dans l’utile éducatif.

    « MonCollege » redonne aux enseignants la place importante qu’ils occupent dans les transformations actuelles, là où beaucoup d’entre eux ne se sentent pas concernés ou dépassés par ce qui est en train de changer. Il n’est pas rare de voir s’opposer des arguments comme “de toutes façons, ils [les élèves] sont meilleurs que moi, je n’y connais rien”, alors que le débat d’aujourd’hui n’est plus sur la forme, mais sur le fond, et qu’il apparait comme évident que ces mêmes enseignants n’ont rien à craindre du numérique pédagogique, car c’est par eux que passera la validité des savoirs retenus.

    La question est posée. Ne serait-il pas nécessaire d’utiliser enfin les compétences de nos enseignants, à commencer par ceux qui sont en capacité de développer ce genre d’idées, et bien d’autres, pour donner corps à “des apprentissages par et au numérique” ? Question de fond il me semble !

    Notes :


    [1] doit-on répondre à toutes les attentes, sachant que si ce n’est pas fait, le support risque d’être abandonné ?

    [2] Collège Les Pyramides à Evry

    [3] disponible aujourd’hui sur Google PLAYSTORE uniquement, mais prochainement sur APPSTORE

    [4] aujourd’hui: mathématiques, sciences physiques, histoire, anglais de manière incomplète

    [5] de l’anglais “Bring your own device”, où l’élève utilise en classe son propre périphérique (smartphone, tablette,…)

    [6] Marcel Lebrun, docteur en Sciences, est  actuellement  professeur en technologies de l’éducation et conseiller pédagogique à l’Institut de Pédagogie universitaire et des Multimédias (IPM) de l’UCL (Université catholique de Louvain à  Louvain-la-Neuve, Belgique)

     

  • ADL, les langues dès la maternelle

    ADL, les langues dès la maternelle

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    Le site est né d’un constat. Lorsqu’on recherche des livres étrangers il est particulièrement difficile de trouver les livres répondant aux besoins des enfants (Apprendre les rimes, la grammaire, etc.).

    Soit on connaît déjà le livre et n’importe quel libraire fera l’affaire, soit on n’a pas d’idée, et cela demande une quête longue et fastidieuse. De plus, il existe déjà énormément de sites qui proposent des méthodes pédagogiques, plus ou moins sur abonnement.

    L’idée du site « Apprendre Des Langues » est donc venue naturellement. Un site qui propose aux parents et aux enseignants d’acheter des livres étrangers ET qui renseigne sur les contenus pédagogiques.

    Ce qui rend ADL unique c’est la sélection des ouvrages (des livres plébiscités par les enseignants en langue vivante). Et la mise en avant du contenu pédagogique (des exploitations proposées par des académies et des professeurs).

    Ainsi par exemple, si vous souhaitez faire apprendre à un enfant de 5 ans les animaux, le site ADL vous proposera plusieurs livres sur ce thème, tel que le livre « Brown Bear, Brow Bear, What do you see ? » dont le contenu pédagogique est « Les animaux, les couleurs et savoir poser une question », le vocabulaire est : « Bear, Bird, Duck, Dog, Red, Yellow, White, Black ». De plus, le site pointe sur deux fiches pédagogiques mises au point par des enseignants du primaire.

    Apprendre Des Langues est bien plus qu’un site marchand, c’est aussi :

    – Une plateforme qui permet de trouver le livre que l’on cherche en fonction du thème, de l’enseignement ou du champ grammatical que l’on souhaite travailler. Accompagné de liens vers des exploitations pédagogiques qui ont été créés par des enseignants ou des pédagogues

    – Un espace qui permet de demander des conseils ou des livres bien spécifiques.

    La vocation du site Apprendre Des Langues est de devenir une référence dans le domaine des livres étrangers pour les enseignants et les parents d’élèves.

    Enfin, il faut savoir qu’Apprendre Des Langues est le fruit de l’intuition de deux jeunes étudiants lyonnais en Master Communication et Marketing qui au fil de leurs stages ont constaté qu’il y avait des livres formidable pour apprendre une langue mais qu’il n’existait pas de site qui les regroupe en donnant des informations sur les livres.

     Plus d’infos : www.apprendre-des-langues.fr

  • Arbradoc : s’autoformer à la recherche documentaire

    Arbradoc : s’autoformer à la recherche documentaire

    Arbradoc, plateforme d’autoformation à la recherche documentaire, comprend des ressources développées avec la chaîne éditoriale Scenari, ainsi que des tutoriels sur les différents outils de recherche présentés.

    Arbradoc est ainsi constitué d’un parcours fléché (problématique, critères de recherche, sélection de l’information, traitement de l’information) et d’un parcours libre (chercher des documents, réaliser un travail universitaire).

    On y trouve également un module pour les outils de recherche (catalogue local catalogue collectif, répertoires de revues électroniques, moteurs généralistes et spécialisés). Tous les parcours ne sont pas encore complètement renseignés, notamment la partie consacrée aux outils de recherche.

    Article à suivre sur eduscol.education.fr

  • Les Moocs : un enjeu pour l’université française, la communauté universitaire francophone et la langue française

    Les Moocs : un enjeu pour l’université française, la communauté universitaire francophone et la langue française

    AUFetMOOC_030214Dans un contexte international, on présente souvent l’anglais comme la seule langue de coopération. Pourtant, avec le démarrage des offres de Moocs français et francophones, la langue française et le rayonnement des universités françaises et francophones pourraient connaitre un nouveau souffle.

    L’Agence universitaire de la Francophonie œuvre depuis toujours à la promotion et développement du français comme langue de connaissance et de savoir et comme tradition culturelle.

    Le démarrage des cours en ligne en janvier, lance à cet effet un signal fort  : pour l’université française, c’est une réponse à la multiplication des programmes anglophones et un outil d’attractivité, ainsi qu’un formidable vecteur de la langue française comme tradition culturelle et langue de savoir et de connaissance.

    Comme l’a rappelé, le MESR : « La révolution numérique ne se joue pas sur le seul terrain national. Le développement des MOOCs dans  les dix prochaines années redéfinira la carte universitaire internationale. C’est pourquoi la France a un rôle important à jouer, à la hauteur de la qualité de son enseignement et de sa recherche, à la hauteur aussi de son histoire universelle, en termes de coopération avec les pays en développement et les pays  francophones. La diffusion de cours en ligne, en français, demeure une expression forte de sa politique en faveur de la francophonie. » Dossier de Presse du MESR, du 14.01.2014

    La francophonie n’est pas un frein à l’internationalisation et à l’attractivité des universités françaises, elle est au contraire un atout. La francophonie permet aujourd’hui qu’existe en France un enseignement supérieur accessible, de qualité, et qui, partout dans le monde, incite des millions d’étudiants à faire le choix d’apprendre la langue française ou de s’engager dans des départements de français, classes bilingues ou filières francophones.

    Source : Agence Universitaire de la Francophonie

    L’Agence universitaire en bref :
    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d’universités francophones qui a pour objet de faire le lien entre les universités de langue française. L’association œuvre depuis plus de 50 ans dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a vocation à former des professionnels aptes à contribuer au développement de leur pays. Elle regroupe près de 800 établissements universitaires sur les cinq continents dans une centaine de pays, dont 59 membres (ou observateurs) de l’Organisation internationale de la Francophonie. L’association a pour mission de soutenir les stratégies de développement des établissements membres, de faire émerger une nouvelle génération d’enseignants, de chercheurs, d’experts et de professionnels, acteurs du développement, de promouvoir la communauté scientifique francophone pour qu’elle devienne une référence internationale et apporte sa contribution aux enjeux mondiaux (changement climatique, pauvreté, agriculture, sécurité alimentaire, santé, droit,…). Pour conduire ses actions, l’AUF développe des partenariats avec les organisations internationales (UNESCO, UE, ONG, entreprises du secteur privé…).

    Pour plus d’informations : www.auf.org

  • Mixtaroute, saison 4 : un virage bien négocié !

    Mixtaroute, saison 4 : un virage bien négocié !

    Mixtaroute_280114
    En s’adressant directement aux jeunes sur leur écran préféré, Mixtaroute a réussi son pari : faire de la prévention des risques routiers en utilisant les codes et habitudes des 15/24 ans.

    Sur smartphone, Mixtaroute a fait passer le message

    Avec 5 200 téléchargements de l’application, 30 000 battles, les jeunes ont relevé le défi. Du son, du jeu mais aussi de la prévention ! Cette saison, ce sont près de 130 millions d’informations de prévention qui ont été vues par les participants à Mixtaroute et leur réseau.

    Pour Patrick Jacquot, Président de GEMA Prévention,

    « ces chiffres prouvent que quelque soit le support, Mixtaroute a trouvé sa place auprès des jeunes».

    Des jeunes récompensés lors de la traditionnelle soirée de remise des prix de Mixtaroute, le 21 janvier, au Palace Elysée, à Paris. Scooters Yamaha avec casque, blouson et gants GEMA Prévention, formations ECF au permis de conduire, stage UCPA… les gagnants du concours ont reçu leur lot en présence des partenaires de l’opération : l’ECF, l’UCPA, Yamaha et d’Henri Prévost, Directeur Adjoint au Délégué

    Plus d’infos :
    Retrouvez l’intégralité du classement sur : www.mixtaroute.com et www.facebook.com/mixtaroute
    GEMA Prévention est une association créée par les assureurs mutualistes du GEMA. Syndicat professionnel, le GEMA représente 45 mutuelles d’assurance. GEMA Prévention a pour objectif de réduire la fréquence et la gravité de la sinistralité sur les routes et à la maison.