Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Robot humanoïde et apprentissage des langues

    Robot humanoïde et apprentissage des langues

    Naoetlangues_160315Samedi 21 mars 2015, l’agence UNIsCo, spécialisée dans les séjours linguistiques haut de gamme organise sa première Journée Portes Ouvertes. Cet événement ouvert à tous permettra de s’informer sur les programmes, rencontrer nos conseillers et faire la connaissance du robot multilingue NAO.

    Développé depuis 2006 par la société Aldebaran, le robot humanoïde NAO offre une multitude de possibilités et est aujourd’hui très utilisé dans le secteur de l’éducation. Sa capacité à parler et à interagir en plusieurs langues pourra en faire un outil innovant pour l’apprentissage des langues notamment auprès des jeunes.
    Plus d’infos :
    www.unisco.fr
    Journée Portes Ouvertes au 37 rue Cardinet
    -75017 PARIS de 09h00 à 19h00. 

  • Université Numérique de Côte d’Ivoire : première mission d’évaluation de l’Agence universitaire de la Francophonie

    Université Numérique de Côte d’Ivoire : première mission d’évaluation de l’Agence universitaire de la Francophonie

    Ouverte et attractive,  cette Université Numérique de Côte d’Ivoire (UNCI) a trois objectifs :
    . améliorer  la qualité de l’’enseignement dispensé par la production de contenus novateurs,
    . moderniser le système en adoptant de nouvelles méthodes d’’enseignement par le déploiement des Technologies de l’’Information et de la Communication pour l’’Education (TICE),
    . multiplier l’’offre de formations pour faire face au nombre exponentiel d’’étudiants grâce à la formation ouverte et à distance (FOAD).

    Première pierre à l’’édifice de cette université numérique, créée en décembre 2014, une mission d’évaluation visant à faire un audit de l’’existant en matière numérique sur l’’ensemble du pays.

    Elle a été conduite entre le 19 et le 22 janvier 2015 par  le professeur Jemaiël Ben Brahim, directeur du bureau  Afrique de l’’Ouest  de l’AUF.
    Au programme de cette mission :
    – une présentation par l’’AUF de plus de 4000 ressources pédagogiques (cours, travaux dirigés, travaux pratiques…), correspondant à 3000 heures de cours.
    – des visites dans les universités du pays notamment des Infrastructures du Réseau Ivoirien de Télécommunication pour l’’Enseignement et la Recherche (RITER), Datacenter, salles multimédia de téléenseignement….
    – l’identification, au sein de l’Université Félix Houphouët-Boigny, de locaux pour l’’enregistrement vidéo des cours et la numérisation des supports pédagogiques.

    Sur l’’ensemble du projet, l’’AUF a pour objet :

    •. d’’établir un inventaire des cours gratuits en ligne, des formations à distance diplômantes et payantes, d’en sélectionner une partie pouvant répondre aux besoins ivoiriens puis d’’apprendre aux enseignants à créer des parcours de formation ciblés à partir de ces cours sélectionnés.

    . de créer une « fabrique à CLOM (Cours en Ligne Ouverts et Massifs) », pour la production de cours filmés, puis de former les enseignants à en réaliser.

    . de concevoir une formation en informatique et internet pour les étudiants.

    La formation ouverte et à distance n’’est pas conçue comme une alternative au présentiel ; elle vient plutôt compléter le dispositif existant.

    Les étapes futures consisteront à former enseignants et étudiants à ce nouveau mode d’’enseignement : un appel international à candidatures pour la production des contenus d’’un « Clom/Mooc certice » (certification des compétences en « TICE », Technologies de l’’Information et de la Communication pour l’’Education) sera lancé dans les mois qui viennent.

    Il sera suivi, entre mai et septembre 2015, par le développement de la plateforme pour l’’intégration des contenus. Le lancement proprement dit de la « formation Certice » est prévu en septembre 2015.

    « Ce partenariat avec l’’AUF s’inscrit dans la suite logique du soutien apporté par l’’Agence aux universités ivoiriennes lors de la reconstruction du pays. Ce projet est déterminant pour le développement du système ivoirien d’enseignement supérieur. Il est l’’aboutissement de l’’investissement déjà ancien, tant de la Côte d’ivoire, que de l’’AUF, dans le numérique : dès 1995, la législation ivoirienne, dans sa loi n° 95-696, avait prévu le développement de cette forme d’’enseignement. Quant à l’’AUF, avec la création de ses campus numériques francophones dès 1990, elle s’’est toujours montrée précurseur dans ce domaine. », indique Bernard Cerquiglini, Recteur de l’’Agence universitaire de la Francophonie.

  • Semaine de la presse : tous les élèves peuvent créer gratuitement un journal scolaire avec Madmagz

    Semaine de la presse : tous les élèves peuvent créer gratuitement un journal scolaire avec Madmagz

    Madmagz gratuit pendant la Semaine de la Presse

    Du 1er au 31 mars 2015, tous les élèves et professeurs d’écoles primaires, de collèges et de lycées pourront bénéficier gratuitement de l’Offre Education de Madmagz, qui comprend :

    • le choix parmi une large sélection de plus de 20 maquettes différentes,
    • la création illimitée de journaux scolaires totalement interactifs (ajouts de liens Internet) et multimédias (ajout de sons, de vidéos, etc.),
    • la possibilité de télécharger gratuitement son journal scolaire au format PDF.

    Les élèves journalistes pendant la Semaine de la presse

    En permettant aux élèves d’endosser le rôle de journaliste et de créer individuellement ou collectivement leur propre magazine en ligne, Madmagz encourage :

    • l’éducation aux médias
    • l’apprentissage de la lecture et l’écriture
    • la responsabilisation des élèves
    • la collaboration
    • l’initiation aux technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE)

    Louis Derrac, Responsable Éducation de Madmagz : “Avec la mise à disposition gratuite de notre Offre Education pendant le mois de mars, nous avons souhaité contribuer à l’élan citoyen de la Semaine de la presse en permettant à chaque élève et apprenant de se glisser, ne serait-ce que le temps d’une semaine, dans la peau d’un journaliste”.

    Exemples de journaux scolaires :

    Madmagz1_semainepresse_050315Madmagz2_semainepresse_050315Madmagz3_semainepresse_050315

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans l’ordre d’apparition : Collège Les Rives du Léman (74)*, Lycée Antoine de Saint Exupéry (59), école française de New York.

    Plus d’infos :

    Pour bénéficier de l’offre, les élèves et professeurs devront remplir le formulaire sur la page dédiée.

    liens vers les magazines :

    Magazine primaire : http://madmagz.com/magazine/331994
    Magazine collège : http://madmagz.com/fr/magazine/404991
    Magazine Lycée : http://madmagz.com/magazine/331289

    A propos de Madmagz : Madmagz est le premier site internet qui permet à chacun de créer son magazine au format numérique ou papier, avec pour ambition que chacun puisse devenir éditeur de magazine en créant, diffusant et monétisant en quelques clics ses magazines. Madmagz compte aujourd’hui plus de 500 000 éditeurs professionnels, associatifs, scolaires, particuliers… depuis son lancement opérationnel en janvier 2010.

    Madmagz compte déjà plusieurs milliers de professeurs parmi ses utilisateurs. Les applications pédagogiques de Madmagz sont nombreuses : journal scolaire, dossier, rapport de stage, TPE (Travaux Personnels Encadrés), travail d’étude…Pour plus d’information sur Madmagz, rendez-vous sur http://www.madmagz.com/fr.

  • Et si l’expertise d’un A.M.O vous permettait de réussir votre Ecole Numérique ?

    Et si l’expertise d’un A.M.O vous permettait de réussir votre Ecole Numérique ?

    Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    MFBodiguianhomep_090315Pour vous assurer le succès de votre Ecole Numérique et trouver les réponses qui correspondent à votre territoire, pourquoi ne pas vous faire accompagner et bénéficier de l’expérience d’une Assistance à Maitrise d’Ouvrage (AMO) ?

    S’il a une expertise spécifique sur l’Ecole Numérique, votre AMO sera force de proposition sur des solutions budgétaires, techniques, organisationnelles voir pédagogique selon les cas.

    Voici les 5 valeurs ajoutées que peut vous apporter un AMO. Telle une cheville ouvrière, il vous accompagnera pour :

     

    Gagner du temps

    Avant d’équiper vos établissements, vos écoles ou vos centres de formation, il est essentiel de bâtir une stratégie sur le long terme. Or, aucune solution standard n’est applicable à l’Ecole Numérique : vous ne pourrez éviter l’état des lieux techniques et pédagogiques de chaque établissement, pour adapter les solutions proposées.

    Or, ce chemin prend du temps, surtout si vous n’avez pas de visibilité d’ensemble sur les expertises* nécessaires à la réussite de ce plan.

    Une Assistance à Maîtrise d’Ouvra respectera l’ensemble des étapes, mènera sa mission dans les délais impartis en vous proposant un calendrier d’actions qu’il respectera.

    Eviter le gâchis d’argent public, voir faire des économies

    MFBodiguian1_090315En ligne de mire : toujours et encore, trouver les solutions correspondants à vos besoins et à votre budget. Car au-delà des modes et des tendances, un AMO vous proposer les équipements et technologies, en phase la configuration des établissements et les besoins des acteurs impliqués à votre projet, qui seront au cœur de la conduite du changement.

    D’autre part le temps est à la baisse des dotations… une des missions de l’AMO peut être selon vos budgets de construire, à la lumière de l’audit détaillé, une stratégie pour redonner vie aux équipements déjà en place.

    Vous éviter les écueils

    Il est indispensable pour réussir votre Ecole Numérique d’ANTICIPER, ANTICIPER et ANTICIPER les évolutions de chaque poste, techniques, organisationnelles, pédagogiques, sur le long terme.

    Grâce à l’expertise d’un AMO, vous éviterez de nombreux écueils qui ont conduit au final tant d’enseignants ou formateurs à relayer les matériels au placard. Son rôle est de penser à tout, d’anticiper et vous faire bénéficier de l’expérience des autres projets, ainsi que de ses réseaux relationnels tant dans les rouages de l’Education Nationale à travers la France qu’auprès des constructeurs, éditeurs ou revendeurs afin de trouver la solution correspondant à vos besoins et à votre budget

    Bénéficier de l’expérience des autres territoires

    MFBodiguian2_090315

     

    Si votre Assistant à Maitrise d’Ouvrage est spécialisé dans l’Ecole Numérique, vous pourrez également profiter des retours d’expériences des autres territoires, collectivités, écoles ou centres de formation à travers la France.

    Depuis 2002, date des premiers usages des Tableaux Numériques Interactifs en France, puis des classes mobiles, nombreuses communes, départements ou régions ont lancé de multiples expérimentations, évaluations d’usages, bilan technique, etc.

    Votre AMO pourra ainsi vous faire partager ce vécu, afin que les conclusions positives ou négatives servent au succès de votre projet, et vous donne tous les éléments pour arbitrer.

     

     

    Trouver des sources de financement

    MFBodiguian3_090315Selon les enjeux  de votre projet, votre AMO vous peut vous aider à accéder à de nouvelle source de financement français ou européen. Pour cela il vous accompagnera dans la construction d’un projet éligible et la mise en place des indicateurs de suivi afin de donner aux organismes financeurs les garanties de l’efficience de vos futures actions

    Et vous, avez-vous choisi de vous faire accompagner dans votre projet d’Ecole Numérique ? Quelle en a été votre expérience ?

      *lié à l’informatique et aux réseaux, à l’organisation structurelle des écoles et pédagogique, aux spécificités des équipements et technologies, à la mise en scène de l’ensemble dans le cadre d’un budget

     

  • WiFi à l’école : Comment arbitrer ?

    WiFi à l’école : Comment arbitrer ?

    MFBodiguian_WIFIHomep_020315Par Marie-France Bodiguian du Cabinet AMO-TICE

    Au lieu de rester dans l’incertitude, la première étape est de fournir une information aussi complète que possible puis d’effectuer des mesures afin, selon les résultats, d’adopter sinon le principe de précaution, au moins le principe d’attention…
Pour vous y aider voici donc quelques éléments de réflexions et quelques bonnes adresses.

    Wi-Fi et santé… que penser des études ?

     

    MFBodiguian_WIFI2_020315Le WiFi est une des nombreuses radiofréquences auxquelles les humains sont exposés. La technologie est cependant assez récente et il n’existe pas d’étude scientifique reconnue portant spécifiquement sur les effets sanitaires du WiFi. En revanche, plusieurs centaines d’études scientifiques ont été réalisées sur d’autres radiofréquences et en particulier sur la téléphonie mobile. Une analyse de ces études est régulièrement réalisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES).

    Les conclusions de l’étude de l’Anses

     

    MFBodiguian_WIFI3_020315La dernière synthèse de l’Anses date de 2013.

     

    Selon l’Agence « les conclusions de l’évaluation des risques ne mettent pas en évidence d’effets sanitaires avérés*. Certaines publications évoquent néanmoins une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables ».

    En conséquence, au-delà d’une nécessaire poursuite des études en particulier sur les technologies émergentes (4G, WiFi…), l’agence recommande essentiellement de limiter l’exposition du corps humain aux téléphones mobiles et aux terminaux sans fil utilisés. Ces terminaux constituent en effet la principale source d’exposition aux ondes, loin devant les antennes et routeurs WiFi.

    *A ne pas confondre avec les effets biologiques comme l’échauffement des tissus

    Du principe de précaution au principe d’attention

     

    Dans sa jurisprudence, le conseil d’État a annulé systématiquement les arrêtés municipaux visant à limiter l’implantation d’émetteurs hertziens (essentiellement les antennes de téléphonie mobile) pour des motifs sanitaires. Le conseil d’État estime qu’incertitude ne vaut pas principe de précaution. Celui-ci s’applique à des risques où existe un faisceau convergeant de preuves ; or, pour le moment, la communauté scientifique n’est pas unanime.

    Les experts (associations, opérateurs, collectivités, experts indépendants) réunis par l’État dans le cadre du Grenelle des ondes ont en revanche estimé que la crainte des populations devait être entendues, au nom d’un « principe d’attention ». En clair, il s’agit de mesurer les expositions et de diffuser largement l’information disponible pour répondre aux interrogations (légitimes) des habitants.

    Le conseil de l’Europe, pour sa part, estime dans une recommandation de 2011, que les connexions filaires doivent être privilégiées dans les classes.

    Mesurer pour rassurer…ou réagir !

     

    MFBodiguian_WIFI4_020315La meilleure méthode pour rassurer la communauté éducative est donc la réalisation de mesures de champs électromagnétiques dans l’école dans les conditions d’usage réelles des équipements sans fil. Ces mesures sont gratuites, elles ne passent plus par les opérateurs mais par l’agence nationale des fréquences (ANFR) et des laboratoires accrédités.

    Le formulaire de demande est à cette adresse et avec des explications sur le protocole ici. Il est également possible de réaliser des mesures via des « dosimètres individuels » qui fournissent une mesure en continu (24h ou +). Attention les dosimètres ne sont pas normalisés et les résultats doivent être pris avec précaution !

    Une des solutions les plus raisonnables serait également de faire appel à un organisme indépendant tel que le CRIREM, qui accompagne les collectivités en effectuant des mesures dans des classes en situation avec des bornes et des tablettes ou ordinateurs allumés. Il vous suffit pour cela d’effectuer une demande par courrier à cette adresse.

    Une exposition à maîtriser

     

    Le site cartoradio.fr, édité par l’agence nationale des fréquences (ANFR), recense toutes les mesures réalisées.

    Les mesures montrent que globalement l’exposition aux ondes dépasse très rarement 1V/m, à comparer aux niveaux maximaux d’exposition fixées par la réglementation (41 à 61 V/m pour la téléphonie mobile).

    Par ailleurs, selon les simulations du « Grenelle des ondes » en 2012-2013, 90% des niveaux d’exposition modélisés sur le territoire d’une dizaine de communes pilotes sont inférieurs à 0,7 V/m.

    Concernant le WiFi, l’exposition générée par cette technologie est la plupart du temps à peine mesurable, l’essentiel de l’exposition provenant de la téléphonie mobile et de la radio FM.

    En revanche toutes les mesures montrent que le développement de tous les usages sans fil (WiFi, Bluetooth, 4G…) provoquent une hausse tendancielle cumulée de l’exposition aux ondes. Il convient donc de rester vigilant.

    Et vous, qu’en est-il de vos écoles ? Avez-vous effectué des mesures en situation ? Comment avez-vous arbitré, à quelle problématique vous êtes-vous confrontés ?

     

  • GRID, le service de jeux vidéo à la demande

    GRID, le service de jeux vidéo à la demande

    NVIDIA a donc lancé, le 18 novembre dernier, GRID, son service de jeux vidéo à la demande, qui propose un catalogue de 20 titres. Ce panel est sur le point d’augmenter pour atteindre les 40 jeux disponibles.

    L’objectif était d’offrir aux utilisateurs de la SHIELD, un large choix de jeux pour son lancement, c’est pourquoi les hits « Borderlands 2 » et « Dead Island » ou encore le désormais classique « Brutal Legend » ont été inclus dès le départ.

    Depuis, NVIDIA ajoute de nouveaux jeux à son catalogue chaque semaine : des blockbusters comme « Batman: Arkham Origins« , des jeux familiaux de la gamme « LEGO« , ou bien des classiques comme « Psychonauts« .

    Les utilisateurs ont fait part de leur désir de voir plus de jeux indépendants, ce à quoi NVIDIA a répondu en ajoutant « Stacking » et « Revolver 360 RE:Actor« , titres très bien notés par les joueurs.

    NVIDIA a commencé le déploiement de 40 jeux supplémentaires, la semaine dernière, avec le hit indépendant « Brothers: A Tale of Two Sons« , ayant reçu plusieurs récompenses en 2013.

    A ces titres s’ajoute cette semaine, « Saints Row IV » avec une note de 9.5/10 sur Destructoid qui rejoint « Saints Row the Third » sur la SHIELD.

    Le 39e jeu sera « Alan Wake« , élu jeu de l’année en 2010 par le Time Magazine.

    Enfin, le 40e titre sera « Metro Last Light Redux », noté 9/10 par la rédaction de GameSpot.

    « Saints Row IV« , « Alan Wake » et « Metro Last Light Redux » compléteront donc la liste des 40 jeux sur NVIDIA GRID, jusqu’au GDC.

  • Concours « JEUNES CRÉA’ 2015  » : votez pour élire votre pochette à billets préférée

    Concours « JEUNES CRÉA’ 2015  » : votez pour élire votre pochette à billets préférée

    TralalereSNCF_020315Un concours citoyen

    SNCF mène des actions de prévention et d’éducation auprès du public jeune, pour prévenir les risques d’accidents de personnes et limiter les incivilités et actes de malveillance en milieu ferroviaire.

    SNCF a donc lancé début novembre 2014 la première édition du Concours Jeunes Créa’ destié aux collégiens et lycéens. Pendant 3 mois, les jeunes ont pu créer, grâce au logiciel « Pochetizer », leur pochette à billets de train sur les thématiques de sécurité et de citoyenneté ferroviaires, dans le but de sensibiliser d’autres jeunes.

    Aux votes !

    Du 16 février au 15 mars, les 78 pochettes seront mises en ligne sur la page Facebook de SNCF, via une application de vote dédiée.
    Les 3 pochettes qui récolteront le plus de votes recevront les Prix du Public (1er, 2e et 3e Prix). Les élèves de chaque groupe lauréat pourront remporter jusqu’à 100 euros de bons d’achats SNCF par élève, ainsi que leur création imprimée comme une vraie pochette.

    Les Prix du Public permettent également de soutenir une cause solidaire. Cette année, le Concours Jeunes Créa’ s’associe aux Restos du Cœur. Plus les jeunes participants collecteront de votes pour leur création, plus ils permettront aux Restos du Cœur de faire partir en vacances des jeunes défavorisés !

    Une récompense pouvant aller jusqu’à 10 000 € en bons d’achats SNCF sera versée aux Restos du Cœur pour des départs en vacances et des journées de loisirs. En plus de cette dotation en nature, les 3 créations qui auront obtenu le plus de votes pourront faire gagner 10 000 € de dotation financière aux Restos du Cœur. Cette dotation sera répartie au prorata du nombre de votes entre les 3 associations départementales des Restos du Cœur des groupes lauréats.

    Un jury de professionnels

    En parallèle des votes du grand public, un jury national de professionnels se réunira début mars 2015 pour récompenser 6 groupes lauréats. Les élèves de chaque groupe lauréat pourront remporter jusqu’à 100 euros de bons d’achats SNCF par élève et le « Coup de Cœur du Jury » sera imprimé en 35 000 exemplaires et distribué en cadeau avec l’édition d’été du magazine L’Étudiant dans tous les kiosques de France.

    Plus d’infos :
    Règlement de l’opération disponible en téléchargement sur :
    http://www.sncf.com/fr/actualite/concours-jeunes-crea-2015

     

  • Journée-débat : Le numérique permet-il de mieux apprendre ?

    Journée-débat : Le numérique permet-il de mieux apprendre ?

    UnivJeanJauresTlse_260215

    Partie prenante de la consultation nationale sur le numérique –contribuez.cnnumérique.fr, le lycée Padailhan d’Auch est un établissement pilote pour les TICE (Techniques de l’Information et de la Communication pour l’Education). Il est notamment amené à utiliser des supports numériques innovants : tableaux blancs interactifs, tables numériques etc.

    C’est dans ce contexte, que le lycée a pris contact avec l’Université Toulouse – Jean Jaurès / UT2J pour organiser une journée de réflexion autour du numérique.

    Dans un premier temps, dans la matinée, les élèves « pilotes » pourront échanger avec Franck Amadieu, maître de conférences en psychologie cognitive et ergonomie à l’Université Toulouse – Jean Jaurès et chercheur au CLLE. Orchestrée par Didier Blanqui, professeur de physique au lycée Pardailhan d’Auch, cette première rencontre sera l’occasion pour la classe, de faire le point sur son utilisation des TICE.

    A 13h30, un deuxième temps d’échange sera ouvert aux professeurs, délégués parents et élèves. Intitulée « Le numérique permet-il de mieux apprendre ? », cette conférence débat sera animée par Franck Amadieu. Toutes les participations sont les bienvenues.

    L’objectif ? Mettre à bas certaines idées reçues et permettre à chacun de poser des questions sur la place du néérique au quotidien. Ce deuxième temps d’échange sera ouvert à la presse.

    Vous pouvez poser vos questions et suivre les débats sur Twitter avec #ConfNumParda. Les élèves de la classe de seconde 203 assureront le live tweet.

    Plus d’infos :
    Contacts :
    – Elodie Herrero, assistante de communication – Centre de Promotion de la Recherche Scientifique Université Toulouse – Jean Jaurès 05 61 50 24 38 / 06 48 24 10 37 – elodie.herrero@univ-tlse.fr

  • Les vidéos et informations dynamiques favoriseraient les apprentissages

    Les vidéos et informations dynamiques favoriseraient les apprentissages

    « La plus-value des technologies est de pouvoir proposer des informations dynamiques comme la vidéo ou les animations », explique Franck Amadieu.

    Les animations dynamiques peuvent-elles vraiment faire apprendre mieux ?

    Depuis une quinzaine d’années, de nombreux travaux sont menés sur l’impact de ces informations dynamiques sur les apprentissages et il s’avère que « les résultats ne sont pas très encourageants ».

    Les travaux portent sur la comparaison de compréhension d’un phénomène à l’aide d’images dynamiques ou statiques (Franck Amadieu prend l’exemple de la formation d’une tornade).
    « Et on s’aperçoit que, soit l’animation n’apporte pas de gain particulier et les élèves n’apprennent pas plus qu’à partir d’une image, voire parfois, ils apprennent moins bien », souligne t-il.

    L’important serait de comprendre comment les personnes peuvent apprendre avec ce type d’animations : « comment concevoir des animations qui soient relativement efficaces » ?

    Structuration des animations : un meilleur schéma à trouver pour coller aux ressources cognitives des individus.

     

    La difficulté de ces animations vient du fait qu’il faut traiter simultanément plusieurs informations, d’autant plus que « l’œil est attiré par tout ce qui est dynamique », précise Franck Amadieu. Il est donc nécessaire de savoir sélectionner l’information.
    Le rythme, l’aspect continu d’une information, sont autant de critères à prendre en compte pour ces animations.

    Ces informations dynamiques sont donc assez exigeantes cognitivement ; des travaux ont donc mis en lumière qu’il fallait certaines compétences chez les élèves voire « de bonnes habiletés spatiales » – pour reprendre l’expression de Franck Amadieu – pour pouvoir sélectionner les informations présentées.

    En créant des animations qui respectent certaines règles, on peut parvenir à des résultats. Pour exemples, on peut aider l’élève à sélectionner l’information qui lui sera utile, en signalant à l’aide d’indices visuels (de la couleur, des flèches…) et donc orienter son attention sur les éléments pertinents à un moment t de l’animation.

    « De ce fait, on réduit considérablement les exigences de prise de décision sur la sélection de l’information », ajoute Franck Amadieu.

    Et il conclut sur le fait que « les animations deviennent de plus en plus intéressantes car nous commençons à comprendre comment les individus traitent ces informations et également quelles caractéristiques nous devons leur donner pour qu’elles soient efficaces et faciles à traiter par les apprenants ».

    Plus d’infos sur les auteurs :
    André Tricot est enseignant-chercheur en psychologie ; il exerce à l’ESPE de Toulouse et également au laboratoire CLLE (Cognition, Langues, Langage, Ergonomie) de l’Université de Toulouse Jean Jaurès.
    Franck Amadieu est enseignant-chercheur en psychologie cognitive, Maître de conférences et exerce également au laboratoire CLLE (Cognition, Langues, Langage, Ergonomie) de l’Université de Toulouse Jean Jaurès.