Catégorie : Écoles SUP

  • L’UNIversité des SCIEnces en Ligne, est là où les étudiants se trouvent !

    Unisciel_28011341Créée en 2007, sous lʼimpulsion du Ministère de lʼEnseignement Supérieur et de la Recherche, Unisciel est lʼune des 7 Universités Numériques Thématiques (UNT) proposant de nombreuses ressources et outils pédagogiques labellisés et gratuits à vocation scientifique.

    « Kézako ? », la série de vulgarisation scientifique ou encore Sciences Express, serious game imaginé pour les étudiants, placent Unisciel comme lʼune des Universités Numériques Thématiques les plus créatives. Unisciel propose de nombreux autres services destinés aussi bien aux étudiants quʼaux enseignants, telle la banque de tests de positionnement qui vise notamment à lutter contre lʼéchec en premier cycle. Explications…

    Unisciel, lʼUNIversité des SCIEnces en Ligne, est un portail offrant des contenus pédagogiques scientifiques de 33 établissements adhérents (universités et grandes écoles). Cours, exercices, travaux pratiques, vidéo en mathématiques, physique, chimie, informatique, sciences de la vie, sciences de la terre et de lʼunivers… plus de 5 000 ressources sont disponibles ! Un vivier dʼinformations labellisées et gratuites, ouvert à tous, sʼadressant aussi bien aux enseignants du supérieur quʼaux étudiants. En 2012, Unisciel affiche tout particulièrement sa volonté dʼaccompagner les étudiants, dans leur apprentissage et leur vie au quotidien.

    « Kézako ? » : la série scientifique qui sʼintéresse à tous les sujets !

    Comment fonctionne un GPS ? Pourquoi le sel fait-il fondre la neige ? Comment un avion vole-t-il ? On sʼest tous déjà posé la question au moins une fois. Ne cherchez plus ! Pour répondre à ces questions de science, Unisciel lance son application mobile « Kézako ? » sur iPad.

    Il sʼagit dʼune série documentaire de vulgarisation scientifique de plus 60 épisodes qui durent chacun entre 4 et 6 minutes et traitant de différents thèmes scientifiques en physique, chimie, biologie, mathématiques ou informatique. Toutes les vidéos sont mises à disposition au fur et à mesure sur le portail Unisciel et via YouTube, sur la chaîne Unisciel. Près de 3 000 abonnés suivent la série sur YouTube !

    Lʼapplication « Kézako ? » est aussi disponible sur lʼiPhone via lʼApple Store (une mise à jour est imminente) ou en flashant le code situé sur le portail Unisciel et bientôt sur iPad ! Et pour les personnes  sourdes,  certains épisodes de la série documentaire « Kézako ? » seront entièrement interprétés en Langue des Signes Française. La diffusion du premier épisode est prévue début 2013 !

    En plein cœur des réseaux avec Beebac !

    Suivant lʼévolution des médias et notamment du Web 2.0, Unisiciel innove en 2012 en devenant le partenaire privilégié de Beebac, le 1er réseau social pédagogique gratuit de partage illimité des savoirs scolaires et professionnels. Documents, vidéos, images… les 15 000 membres, quʼils soient collégiens, lycéens ou étudiants de toute la France et de la Francophonie, ont accès à plus de 20 000 ressources pédagogiques en ligne ! Un réseau social dʼentraide, alimentant un travail de réflexion et favorisant lʼinteraction entre élèves et enseignants, à travers un dispositif de questions/réponses particulièrement apprécié. Avec Unisciel, place à lʼéducation 2.0 !

    « Sciences express » : le serious game pour vivre des aventures tout en apprenant !

    Apprendre et se tester en sʼamusant, voilà tout lʼobjectif de « Sciences express », le premier serious game créé par Unisciel et Beebac. Rappelant le célèbre jeu télévisé, « Sciences express » est une chasse aux trésors à travers différents pays. Lʼétudiant-aventurier, en possession de la carte du Professeur Atomix, doit répondre correctement aux énigmes posées par les habitants de ces pays, tout en sʼaidant des indices disséminés dans les villes et des ressources pédagogiques validées par Unisciel et accessibles depuis Beebac. À chaque énigme résolue, une partie du sésame est donnée. Ne reste plus quʼà lʼaventurier de recomposer le message… le trésor nʼest plus bien loin… Un jeu déjà utilisé pour lutter contre lʼéchec à lʼuniversité de Bordeaux 1.

  • Libcast propulse les podcasts de HEC Paris

    Libcast propulse les podcasts de HEC Paris

    La conférence de Muhammad YUNUS, prix Nobel de la paix 2006 est le premier podcast de HEC Paris disponible sur iTunes U grâce à Libcast.

    Un projet clé pour l’Ecole

    Dans le cadre de sa politique d’ouverture et de partage des connaissances avec le grand public, HEC Paris diffuse ses colloques, conférences et cours sur le portail pédagogique d’Apple iTunes U depuis 2010. L’Ecole a choisi à la rentrée de septembre d’améliorer la gestion de ses podcasts,  en adoptant la plateforme de gestion et de diffusion de contenus multimédia Libcast.

    Et ensuite ?

    La gestion des podcasts, existants et futurs, est la première brique du déploiement de la plateforme Libcast. Le deuxième volet du projet permet à l’Ecole de capter et de diffuser les cours de la Grande Ecole, des MBA et de l’Executive Education …bientôt les détails.

    Accéder au podcast

    La version vidéo du podcast est disponible sur le portail iTunes U et à cette adresse 

    Vous pouvez également télécharger la version audio en cliquant ici

     

  • Lancement de « Cambridge English Penfriends »

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    Cambridge English Penfriends est un nouveau programme interactif et innovant développé par l’Université de Cambridge ESOL. Les enfants apprenant l’anglais sont désormais connectés avec un correspondant étranger par l’intermédiaire du site penfriends.cambridgeesol.org. Depuis le début du mois d’octobre, plus de 2 000 écoles, à travers 40 pays dans le monde, se sont déjà inscrites à ce nouveau dispositif.

    À la fois outil pédagogique original et inédit pour les enseignants et solution de travail ludique pour les élèves, le nouveau programme Cambridge English Penfriends, à l’instar du TBI (Tableau Blanc Interactif) qui poursuit son implantation dans de nombreux pays, dont la France, adapte la technologie à l’enseignement, ici de l’anglais et plus particulièrement aux échanges linguistiques entre correspondants étrangers.

  • Une journée à l’école du futur

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    A Grenoble Ecole Management (GEM), Les technologies révolutionnent l’enseignement, et s’il y a un mot que l’on entend dans toutes les bouches, que ce soit des enseignants ou des élèves c’est le mot innovation. GEM a fait du Management de la Technologie et de l’Innovation un des piliers de son développement.

    Créée en 1984, accueillant chaque année 6000 étudiants de 134 nationalités différentes, GEM est l’une des meilleures écoles de management française ; classée 6eme au rang nationale et 25eme au rang européen. L’institution compte 4 écoles : L’ESC Grenoble, Grenoble Graduate School of Business, L’Ecole de Management des Systèmes d’Information (EMSI) et Doctoral School

    Entrevoir l’école du Futur
    « Une réforme radicale dans les méthodes et contenus des enseignements est en marche. Les entreprises, les nouvelles générations, les participants en formation continue n’acceptent plus l’enseignant comme seul dépositaire du savoir et la salle de classe comme unique lieu d’apprentissage », explique Loïc Roche, Directeur, « c’est le moment d’y aller ».

    La première innovation, c’est donc la diversité ; diversité des publics (étudiants en situation de handicap, diversité sociale…), diversité des parcours (150), diversité des outils (ordinateurs, tablettes smartphone, TNI, imprimante 3D…) et enfin diversité des pédagogies (face à face, par l’action,  à l’anglo-saxonne, chez les partenaires, en entreprise, en alternance…)

    Cette diversité est non seulement voulue par l’école mais aussi par les entreprises car, «de la confrontation des publics nait de l’innovation» nous dit Jean-François Fiorina, Directeur adjoint de GEM et Directeur de l’ESC.

    «L’objectif de l’école, notre mission, c’est que les étudiants aient le métier de leur rêve, dans l’entreprise de leur rêve, le plus rapidement possible et au salaire de leur rêve », conclut  t-il.

    Mais que se passe t’il concrètement à GEM ?

    La Classe SMART
    Lors de cette journée de découverte plusieurs expériences nous on été présentées. Nous sommes installés dans la salle SMART. Opérationnelle depuis quelques semaines, cette salle de 18m2 constitue le point relais SMART et représente un véritable laboratoire pour l’école du futur.

    Elle est équipée de trois tableaux numériques interactifs SMART Board, d’une dalle interactive à stylet SMART Podium et d’un câble de lancement automatique SMART GoWire. Elle devrait également intégrer, courant mars, un vidéo projecteur interactif au doigt.

    L’école dispose également de cinq salles de cours équipées d’une dalle interactive à stylet SMART Podium, d’un système d’écran interactif SMART Board, des logiciels SMART Meeting Pro et Notebook dédiés à l’apprentissage collaboratif, ainsi que d’un amphithéâtre équipé d’une dalle interactive à stylet SMART Podium.

    Les MOOC
    Régis Faubet, Web Manager, est en charge des projets numériques publics au sein de l’école. Il s’est intéressé aux « MOOC » Massive Open Online Course ou, en français, cours en ligne massivement ouvert, c’est à dire une nouvelle méthode de partage de connaissances et de travail en réseau. Son objectif était de voir et comprendre les mécanismes d’apprentissages de ces nouvelles plate-formes et la valeur de ce qu’on pouvait en retirer.

    Il n’y a rien de nouveau en matière de technologie puisqu’il s’agit d’un cursus traditionnel basé sur des cours magistraux en vidéo avec des périodes d’apprentissages et d’évaluation. L’innovation est dans la portée et l’ouverture de ces plate-formes, les cours sont suivis par des dizaines de milliers d’étudiants, l’innovation majeur étant l’évaluation entre apprenants.
    « Cela va créer un bouleversement sur toute la chaîne d’apprentissage, le recrutement, le packaging des formations, le rôle des enseignants et la formation continue », constate Régis Faubet.

    L’imprimante 3D
    GEM vient de faire l’acquisition d’une imprimante 3D, là aussi dans le but de faire de la prospective afin d’évaluer dans quelles mesures tout ce qui va être industrialisés va être bouleversés, puisque cette technologie va être très prochainement accessible au grand public.
    Les expérimentations avec l’imprimante 3D se déroulent dans le cadre des TD Innovations.

    Les TD Innovations
    Constitué, depuis la rentrée 2010, de 35 d’étudiants de 1ère année, le TD Innovation est un laboratoire d’expérimentations et d’innovations pédagogiques. Sélectionnés sur leur motivation et leur sensibilité aux problématiques de l’innovation, les étudiants sont soumis à un régime très particulier et sont des «testeurs en innovation pédagogique». Ils suivent le même programme en termes d’acquisitions de connaissances et de compétences que les autres étudiants de 1ère année et sont également soumis aux mêmes évaluations.

    C’est sur la «forme» que le parcours est différent. En effet, les étudiants « pré-testent » un grand nombre d’expérimentations pédagogiques, de nouveaux matériels, de nouveaux logiciels ou services, parmi lesquels des machines hybrides comme l’iPad, ou les tablettes.

    Des cours en simultané avec le Japon
    Ici également la volonté d’innover. Comment faire travailler des étudiants séparés par 10.000 km à travers plusieurs outils et comment vont ils vivre cette expérimentation ?
    Les 20 étudiants, 10 de GEM et 10 de l’université de Tsukuba (la Science City japonaise) ont choisi de se lancer dans cette aventure « pédagogico-technologique » et ont suivi 5 sessions de 2h30 de cours de marketing international en visio-conférence, assisté de 4 enseignants, 2 à Grenoble et 2 à Tsukuba.

    Pour les travaux en groupe (5 groupes de 4), les étudiants se sont servis de Moodle, Sype ou encore DimDim.
    « La plus grosse difficulté à été le décalage horaire et donc de persuader les étudiants grenoblois d’assister à des cours tard le soir, le samedi ou le dimanche » explique Olivier Aba, Professeur d’innovation pédagogique.

    Plus d’infos :
    Pour plus d’informations sur les MOOC, voir le blog de Régis Faubet
    « Japan-France, one classroom », voir la vidéo sur youtube

  • Une journée à l’école du futur

    Une journée à l’école du futur

    A Grenoble Ecole Management (GEM), Les technologies révolutionnent l’enseignement, et s’il y a un mot que l’on entend dans toutes les bouches, que ce soit des enseignants ou des élèves c’est le mot innovation. GEM a fait du Management de la Technologie et de l’Innovation un des piliers de son développement.

    Créée en 1984, accueillant chaque année 6000 étudiants de 134 nationalités différentes, GEM est l’une des meilleures écoles de management française ; classée 6eme au rang nationale et 25eme au rang européen. L’institution compte 4 écoles :

    • L’ESC Grenoble
    • Grenoble Graduate School of Business
    • L’Ecole de Management des Systèmes d’Information (EMSI)
    • Doctoral School

     Entrevoir l’école du Futur :

    « Une réforme radicale dans les méthodes et contenus des enseignements est en marche. Les entreprises, les nouvelles générations, les participants en formation continue n’acceptent plus l’enseignant comme seul dépositaire du savoir et la salle de classe comme unique lieu d’apprentissage.« , explique Loïc Roche, Directeur, « c’est le moment d’y aller. »

    La première innovation donc c’est la diversité. Diversité des publics (étudiants en situation de handicap, diversité sociale…), diversité des parcours (150), diversité des outils (ordinateurs, tablettes smartphone, TNI, imprimante 3D…) et enfin diversité des pédagogies (face à face, par l’action,  à l’anglo-saxonne, chez les partenaires, en entreprise, en alternance…)

    Cette diversité est non seulement voulue par l’école mais aussi par les entreprises car «De la confrontation des publics nait de l’innovation» nous dit Jean-François Fiorina, Directeur adjoint de GEM et Directeur de l’ESC.

    « l’objectif de l’école, notre mission, c’est que les étudiants aient le métier de leur rêve, dans l’entreprise de leur rêve, le plus rapidement possible et au salaire de leur rêve. » conclut  t’il.

    Mais que se passe t’il concrètement à GEM ?

    La Classe SMART

    Lors de cette journée de découverte plusieurs expériences nous on été présentées. Nous sommes installés dans la salle SMART. Opérationnelle depuis quelques semaines, cette salle de 18m2 constitue le point relais SMART et représente un véritable laboratoire pour l’école du futur.
    Elle est équipée de trois tableaux numériques interactifs SMART Board®, d’une dalle interactive à stylet SMART Podium™ et d’un câble de lancement automatique SMART GoWire™. Elle devrait également intégrer, courant mars, un vidéo projecteur interactif au doigt.
    L’école dispose également de cinq salles de cours équipées d’une dalle interactive à stylet SMART Podium, d’un système d’écran interactif SMART Board, des logiciels SMART Meeting Pro et Notebook™ dédiés à l’apprentissage collaboratif, ainsi que d’un amphithéâtre équipé d’une dalle interactive à stylet SMART Podium.

    Les MOOC
    Régis Faubet, Web Manager, est en charge des projets numériques publics au sein de l’école. Il s’est intéressé aux « MOOC » Massive Open Online Course ou, en français, cours en ligne massivement ouvert, c’est à dire une nouvelle méthode de partage de connaissances et de travail en réseau. Son objectif était de voir et comprendre les mécanismes d’apprentissages de ces nouvelles plate-formes et la valeur de ce qu’on pouvait en retirer.
    Il n’y a rien de nouveau en matière de technologie puisqu’il s’agit d’un cursus traditionnel basé sur des cours magistraux en vidéo avec des périodes d’apprentissages et d’évaluation. L’innovation est dans la portée et l’ouverture de ces plate-formes, les cours sont suivis par des dizaines de milliers d’étudiants, l’innovation majeur étant l’évaluation entre apprenants.
    « Cela va créer un bouleversement sur toute la chaîne d’apprentissage, le recrutement, le packaging des formations, le rôle des enseignants et la formation continue » constate Régis Faubet

    Pour plus d’informations sur les MOOC, voir le blog de Régis Faubet 

    L’imprimante 3D
    GEM vient de faire l’acquisition d’une imprimante 3D, là aussi dans le but de faire de la prospective afin d’évaluer dans quelles mesures tout ce qui va être industrialisés va être bouleversés, puisque cette technologie va être très prochainement accessible au grand public
    Les expérimentations avec l’imprimante 3D se déroulent dans le cadre des TD Innovations.

    Les TD Innovations
    Constitué, depuis la rentrée 2010, de 35 d’étudiants de 1ère année, le TD Innovation est un laboratoire d’expérimentations et d’innovations pédagogiques. Sélectionnés sur leur motivation et leur sensibilité aux problématiques de l’innovation, les étudiants sont soumis à un régime très particulier et sont des «testeurs en innovation pédagogique». Ils suivent le même programme en termes d’acquisitions de connaissances et de compétences que les autres étudiants de 1ère année et sont également soumis aux mêmes évaluations. C’est sur la «forme» que le parcours est différent. En effet, les étudiants « pré-testent » un grand nombre d’expérimentations pédagogiques, de nouveaux matériels, de nouveaux logiciels ou services, parmi lesquels des machines hybrides comme l’iPad, ou les tablettes.

    Des cours en simultané avec le Japon
    Ici également la volonté d’innover. Comment faire travailler des étudiants séparés par 10.000 km à travers plusieurs outils et comment vont ils vivre cette expérimentation ?
    Les 20 étudiants, 10 de GEM et 10 de l’université de Tsukuba (la Science City japonaise) ont choisi de se lancer dans cette aventure « pédagogico-technologique » et ont suivi 5 sessions de 2h30 de cours de marketing international en visio-conférence, assisté de 4 enseignants, 2 à Grenoble et 2 à Tsukuba.
    Pour les travaux en groupe (5 groupes de 4), les étudiants se sont servis de Moodle, Sype ou encore DimDim.
    « La plus grosse difficulté à été le décalage horaire et donc de persuader les étudiants grenoblois d’assister à des cours tard le soir, le samedi ou le dimanche » explique Olivier Aba, Professeur d’innovation pédagogique.
    voir la vidéo sur youtube

    Voir aussi :
    Digital Natives 
    5000 Km les séparent et ils innovent ensemble

  • Grenoble Ecole de Management et Orange créent la Chaire «Digital Natives»

    Cette chaire d’enseignement et de recherche sera placée sous la responsabilité de Benoît Meyronin, professeur titulaire à Grenoble Ecole de Management. Pour Orange, la responsabilité de la création et du suivi de la chaire Digital Natives sera assurée par Stéphanie Hospital, Directrice exécutive d’Orange Digital, la division Audience et Publicité d’Orange, et ancienne élève de Grenoble école de Management.

    Elle a pour vocation d’étudier la culture « Digital Native » et d’analyser ses usages, ainsi que ses conséquences en termes d’expérience client, de relation client, de pratiques culturelles numériques et de modèles économiques et managériaux.

    La Chaire, instituée pour une durée de trois ans à compter du 1er décembre 2012, prévoit la mise en place des dispositifs suivants :

    – «L’Observatoire de la Culture Digitale Native», qui vise à mieux connaître et interpréter les pratiques numériques des jeunes générations, notamment en matière de réseaux sociaux.

    – Le «SchooLab», un terrain d’expérimentation au sein de Grenoble Ecole de Management qui permettra d’analyser les pratiques culturelles en lien avec les technologies numériques de générations ayant entre 20 et 23 ans (pratiques actuelles, émergentes et en croissance) ;

    – Le Mastère Spécialisé «Internet Strategy & Web Management», destiné à former de nouveaux cadres bilingues capables d’utiliser Internet comme vecteur de rentabilité et de notoriété ;

    -Actions dans le cadre de La Doctoral School. Des doctorants aux profils internationaux permettront d’apporter une contribution interculturelle forte par leurs travaux de recherche en lien avec les thématiques de la chaire.

    Grenoble Ecole de Management associera Orange à l’ensemble de ces travaux : des experts de l’entreprise interviendront dans les cours dispensés et, parallèlement, des études et projets seront réalisés conjointement dans ce cadre.

    Thierry Grange explique : «Grenoble Ecole de Management est positionnée depuis son origine sur le Management de la Technologie & de l’Innovation. Grace à ce partenariat avec Orange, elle ambitionne de mettre en place l’«Ecole de l’économie numérique»  qui formera ainsi des étudiants aux business-modèles et aux métiers de demain dans une économie qui va être de plus en plus impactée par le digital.

    L’autre grand enjeu de ce partenariat est de pouvoir accompagner les organisations et les entreprises dans leur mutation vers l’économie digitale en produisant des contenus pertinents (documents de travail, analyses, formations…)

    Jean-Philippe Vanot ajoute : «La génération Y et celles qui la suivent sont nées avec les technologies de l’information et de la communication. Ces utilisateurs très à l’aise avec le monde numérique constituent un public de plus en plus large, qui a des usages spécifiques : il est primordial pour Orange de mieux connaître leur comportement et leurs attentes.

    Ce partenariat avec Grenoble Ecole de Management portant sur la thématique des Digital Natives nous permettra d’approfondir nos connaissances de ce public grâce à de nombreuses expérimentations et synergies entre la formation théorique et l’expérience terrain».

  • Grenoble Ecole de Management et Orange créent la Chaire « Digital Natives »

    Grenoble Ecole de Management et Orange créent la Chaire « Digital Natives »

    Jean-Philippe VANOT, Directeur général adjoint en charge de la Qualité et Responsabilité Sociale d’Entreprise de France Télécom-Orange, Jean VAYLET, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Grenoble et Thierry GRANGE, Président du Conseil Stratégique de Grenoble Ecole de Management, ont le plaisir d’annoncer le lancement de la Chaire « Digital Natives ».

    Cette chaire d’enseignement et de recherche sera placée sous la responsabilité de Benoît Meyronin, professeur titulaire à Grenoble Ecole de Management. Pour Orange, la responsabilité de la création et du suivi de la chaire Digital Natives sera assurée par Stéphanie Hospital, Directrice exécutive d’Orange Digital, la division Audience et Publicité d’Orange, et ancienne élève de Grenoble école de Management.

    Elle a pour vocation d’étudier la culture « Digital Native » et d’analyser ses usages, ainsi que ses conséquences en termes d’expérience client, de relation client, de pratiques culturelles numériques et de modèles économiques et managériaux.

    La Chaire, instituée pour une durée de trois ans à compter du 1er décembre 2012, prévoit la mise en place des dispositifs suivants :

    • « L’Observatoire de la Culture Digitale Native », qui vise à mieux connaître et interpréter les pratiques numériques des jeunes générations, notamment en matière de réseaux sociaux.
    • Le « SchooLab », un terrain d’expérimentation au sein de Grenoble Ecole de Management qui permettra d’analyser les pratiques culturelles en lien avec les technologies numériques de générations ayant entre 20 et 23 ans (pratiques actuelles, émergentes et en croissance) ;
    • Le Mastère Spécialisé « Internet Strategy & Web Management », destiné à former de nouveaux cadres bilingues capables d’utiliser Internet comme vecteur de rentabilité et de notoriété ;
    • Actions dans le cadre de La Doctoral School. Des doctorants aux profils internationaux permettront d’apporter une contribution interculturelle forte par leurs travaux de recherche en lien avec les thématiques de la chaire.

    Grenoble Ecole de Management associera Orange à l’ensemble de ces travaux : des experts de l’entreprise interviendront dans les cours dispensés et, parallèlement, des études et projets seront réalisés conjointement dans ce cadre.

    Thierry Grange explique : « Grenoble Ecole de Management est positionnée depuis son origine sur le Management de la Technologie & de l’Innovation. Grace à ce partenariat avec Orange, elle ambitionne de mettre en place l’« Ecole de l’économie numérique »  qui formera ainsi des étudiants aux business-modèles et aux métiers de demain dans une économie qui va être de plus en plus impactée par le digital. L’autre grand enjeu de ce partenariat est de pouvoir accompagner les organisations et les entreprises dans leur mutation vers l’économie digitale en produisant des contenus pertinents (documents de travail, analyses, formations…).»

    Jean-Philippe Vanot ajoute : « La génération Y et celles qui la suivent sont nées avec les technologies de l’information et de la communication. Ces utilisateurs très à l’aise avec le monde numérique constituent un public de plus en plus large, qui a des usages spécifiques : il est primordial pour Orange de mieux connaître leur comportement et leurs attentes. Ce partenariat avec Grenoble Ecole de Management portant sur la thématique des Digital Natives nous permettra d’approfondir nos connaissances de ce public grâce à de nombreuses expérimentations et synergies entre la formation théorique et l’expérience terrain. »

  • 5 000 km les séparent mais ils innovent ensemble

    5 000 km les séparent mais ils innovent ensemble

    Grenoble Ecole de Management fait vivre à des étudiants une expérience interdisciplinaire inédite : concevoir une application Smartphone avec des étudiants qu’ils ne connaissent pas et situés de l’autre côté de la planète. Explications de Barthélémy Chollet, enseignant-chercheur de cette école.

    Ils sont 600 étudiants de trois institutions, Grenoble Ecole de Management, Georgia Tech et George Mason University, à participer à cette expérimentation de grande ampleur réalisée sur deux ans. L’objectif pour les enseignants-chercheurs à l’origine de cette expérience est d’identifier les structures de leadership et de communication qui conduisent à la meilleure performance en termes de management d’équipes virtuelles et d’innovation. Mais c’est aussi tout simplement de proposer aux étudiants une expérience hors du commun en matière de collaboration virtuelle.

    Les participants sont répartis en équipes réunissant trois disciplines : écologie, psychologie et management, avec pour cahier des charges la conception d’un concept d’application Smartphone en lien avec le développement durable. Aux Etats-Unis, se trouvent les étudiants en écologie, qui ont pour rôle de cerner la problématique de développement durable, et les étudiants en psychologie, qui réfléchissent aux leviers capables de faire évoluer les comportements. En France, les étudiants issus du MIB grenoblois doivent définir un modèle économique viable. Ils utilisent l’outil professionnel de collaboration virtuelle Webex pour se réunir, partager des documents, transmettre des fichiers, etc.

    « Le cadre dans lequel nous réalisons ces travaux de recherche est très proche de celui des entreprises qui mènent des projets innovants » explique Barthélémy Chollet, enseignant – chercheur à Grenoble Ecole de Management. Il ajoute «La plupart de ces étudiants seront amenés à travailler dans un contexte international et à collaborer avec différentes disciplines. Cette expérience est un vrai plus car il ne s’agit plus de suivre une étude de cas dans une salle de cours mais de vivre la conception et la gestion d’un projet dans des conditions quasi-réelles de fonctionnement d’une entreprise. »

    Les étudiants qui ont vécu cette expérience ont ainsi touché du doigt les problématiques liées à l’éloignement géographique mais aussi à la barrière des disciplines. Ils ont dû composer avec les décalages horaires pour fixer leur meeting, avec le jargon professionnel spécifique à chaque discipline, ou encore les aléas de fonctionnement des outils de collaboration virtuelle.

    La finalité de cette expérimentation est double pour l’Ecole. « La collaboration virtuelle et multidisciplinaire se développe de plus en plus dans les entreprises et nécessite des compétences particulières. Il est important pour l’école de former dès maintenant les futurs managers à cette problématique. Mais cela va plus loin qu’un simple bénéfice pour l’étudiant: cette expérience génère une très grande quantité de données, que nous pouvons analyser pour comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans la collaboration virtuelle. De cette analyse, émergent des recommandations pour les managers qui eux sont aujourd’hui sur le terrain » conclut Barthélémy Chollet.

  • Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 : Tiny White Stones à l’honneur !

    Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 : Tiny White Stones à l’honneur !

    Le Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 revient cette année au projet Tiny White Stones réalisé par une équipe d’étudiants de SUPINFOGAME située à Valenciennes. Organisé dans le cadre du Forum des Métiers du Jeu Vidéo, il récompense le meilleur projet de jeu vidéo réalisé par les étudiants d’établissements de formation français.

    Geoffreoy Calis, Lou Lubie, Aurélien Carlier, Nils Velay, Corentin Lemasson et Guillaume Nassi ont conçu un jeu pour PC, Playstation 3 et Xbox360 basé sur la coopération d’un frêre et d’une soeur oeuvrant ensemble pour leur survie dans un univers aussi féerique qu’inquiétant.

    En plus des possiblités de coopération classiques que l’on peut retrouver dans ce type de jeux (franchissement d’obstacles, résolution d’énigmes), l’excellente idée de Tiny White Stones est de proposer aux joueurs deux visons distinctes de l’environnement, le frêre pouvant voir des élements du décor ou des passages différents de sa soeur.

    Le Jury composé de professionnels de l’industrie : Pierre Ghislandi (Konami), Alexis Deville, (Game One), Philippe Dubois (MO5) et Mehdi Cherifia (Agence France Presse) a tenu à souligner l’extrême qualité des projets proposés en compétition, notamment Shadow Diver de l’Université Lumières Lyon 2 (Lyon) – Gamagora (shadowdiver-game.com) pour sa réalisation technique impressionnante et Sphere de l’ENJMIN (Jouer à Sphere) pour son concept original et son ambiance soignée.

    Preuve si besoin en est que la France reste pour le jeu vidéo, tout comme le cinéma et l’animation, un grand vivier de talents créatifs et techniques.

    Rappel des écoles et projets en compétition :

    • Université Lumières Lyon 2 (Lyon) – Gamagora – Shadow Diver – PC
    • Ecole nationale du jeu et des médias interactifs numériques (Angouleme) – Sphere – PC
    • LISAA (Paris) – Trap Factory – PC
    • Creajeux (Nimes) – Mambow – Xbox 360
    • EPITECH (Paris) – Selfish Friendship – PC
    • ITECOM (Paris) – Nightmare Factory – PC
    • Gobelins (Paris) – Typerider – PC
    • Ingésup (Bordeaux) – Ecosya – Windows Phone
    • Isart Digital (Paris) – Warships – Android
    • Institut de Création et Animation Numériques (Paris) – Extrude – PC

    Le Forum des Métiers du Jeu Vidéo est organisé avec le soutien du Ministère du Redressement Productif, de la Direction Générale de la Compétitivité de l’Industrie et des Services, et de nVidia partenaire technologique de l’événement. SUPINFOGAME recevra une carte Geforce GTX 680 pour offrir à ses étudiants un poste de travail optimal.

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.forumemploiformation.com