Catégorie : E-LEARNING

  • Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Un constat : les français sont plus que moyens en anglais

    Une très récente étude annuelle menée par Education First (EPI 2013) montre que la France et les français possèdent un indice de maîtrise de l’anglais plutôt faible (le pays se classe 35ème sur 60 pays concernés par l’étude). Quelle en est l’explication ?

    Les jeunes adolescents ne sont pas assez exposés à l’anglais et peinent à assimiler cette nouvelle langue ne pouvant compter que sur l’école. Quant aux nouveaux actifs, ils trainent un mauvais niveau tout au long de leur carrière. Faute de temps ils ne peuvent se replonger dans les études.

    Le tour d’horizon des outils d’apprentissage : le e-learning en passe de devenir la solution

    Les cours de langues en école ou institution.
    Retourner à l’école, suivre une formation d’anglais en groupe, dans une salle de classe pourquoi pas ? Cependant cette solution offre très peu de souplesse. Horaires contraignants, obligation de présence et de suivi de cours à heures fixes sans compter le coût (celui des cours et celui des transports et du temps perdu).

    Les voyages linguistiques.
    L’immersion à l’étranger est une solution éprouvée, sans doute une des plus bénéfiques mais elle suppose une longue période de temps libre et un certain budget. Cette solution souvent retenue par de jeunes étudiants n’est définitivement pas à la portée de tout le monde et surtout pas des salariés.

    Les applications basiques d’anglais.
    L’Apple store et autre Google regorgent de solutions amusantes et ludiques. Leur aspect est engageant, leur coût modique, mais leur efficacité est assez réduite. Elles sont à privilégier pour les enfants ou les débutants cependant elles n’offrent pas suffisamment d’atouts pour engager un réel processus d’apprentissage et ne s’avèrent pas suffisantes pour la pratique orale… On perd vite ses bonnes résolutions.

    Et le E-learning ?
    Une solution en ligne rassemble en effet beaucoup d’avantages à l’image du service offert par Englishtown sur PC et sur tablettes (iPad et Android) qui permet de rencontrer des professeurs, des outils d’apprentissage variés, une salle de classe virtuelle,le tout en un seul et même endroit disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. L’école en ligne offre 16 niveaux de cours allant de débutant à avancé et permet l’obtention d’un diplôme certifié par L’école de commerce international Hult à chaque unité validée.

    Andrew Wait, Président de EF Englishtown déclare :
    « Nous avons la ferme conviction que si vous voulez progresser en anglais et décrochez de nouvelles opportunités au travail, dans vos études ou dans votre vie personnelle vous avez besoin d’une véritable école à vos côtés. Une école qui vous permet d’interagir avec des professeurs dévoués, repousse vos limites et qui vous encourage à utiliser le langage dont vous avez besoin dans la vie réelle. Si vous avez simplement besoin de savoir commander un plat ou dire bonjour il existe une multitude de solutions basiques et petits jeux mais cela lorsqu’il s’agit de d’acquérir une réelle confiance à l’oral, cela ne sera pas suffisant ».

    Pourquoi le e-learning surpasse les solutions classiques ?

    Les solutions de e-learning seraient les plus efficaces comme en témoigne des spécialistes et des utilisateurs :

    Aurélien, blogueur sur Anglais 5 minutes pour est spécialiste du e-learning et cite :
     » Le gros problème des cours en présentiel c’est que lorsque les élèves en sortent ils ont l’impression qu’ils n’ont plus rien à faire jusqu’au prochain cours. Or, apprendre une langue ça demande d’en faire un peu tous les jours. Internet permet justement de le faire facilement, à temps choisi et en variant les exercices grâce à la grande diversité de contenu gratuit qu’on y trouve. C’est une révolution, et c’est ce qui m’a permis d’apprendre l’anglais, moi qui était un véritable « nul » en langues jusqu’à mes 24 ans.  »

    A la question : « En quoi les solutions de e-learning sont elles plus efficaces dans les cycles d’apprentissage, notamment dans l’acquisition d’une langue étrangère ? »

    Marie Prat, spécialiste du e-learning et auteur du livre « Réussir votre projet e-learning pédagogie, méthodes et outils de conception, déploiement, évaluation... » répond :

    « le e-learning place l’apprenant au coeur du dispositif de formation. Il permet une individualisation des parcours et une souplesse accrue dans les rythmes d’apprentissage.

    Pour ce qui concerne l’apprentissage des langues,  ce qui est important c’est l’écoute et la pratique de la langue, la distance permet de rendre les enseignants plus facilement accessibles pour les apprenants ».

    Quelques étudiants qui sont passés par l’apprentissage à distance évoquent les mêmes remarques :
    Sophie,
    Une école qui donne envie
    « 57 ans est un âge un peu avancé pour retourner sur un banc d’école. C’est cependant ce que j’ai fait en m’inscrivant à Englishtown. Tout est fait pour donner envie d’apprendre. Les cours sont assez ludiques. La méthode d’apprentissage est très au point. Le plus de la méthode, ce sont les cours particuliers : Un prof rien qu’à soit pendant 45 mn (par leçon) c’est le top ! Surtout ne pas hésiter à se lancer ».

    Plus d’infos et témoignages :
    www.trustpilot.co.uk

    www.englishtown.fr
     

  • 8 millions d’euros pour les MOOCs !

    8 millions d’euros pour les MOOCs !


    Ouverture de la plateforme FUN – France… par fr-universite-numerique
    C’était une volonté de Geneviève Fioraso, la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de développer les MOOCs en France.

    Depuis le 16 janvier, les étudiants, mais également les lycéens, les salariés, toutes les personnes désireuses d’apprendre et de se former, pourront suivre gratuitement, à leur rythme, des cours du Cnam, de l’École Centrale Paris, de l’École Polytechnique, de l’Institut Mines-Télécom, de SciencesPo., de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3, de l’Université Montpellier 2, de l’Université Panthéon-Assas – Paris II, de l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, du Centre Virchow-Villermé (collaboration entre Sorbonne Paris Cité et Université La Charité à Berlin), et prochainement les cours de mathématiques de Cédric Villani.

    Ces cours portent donc actuellement sur six thématiques : management, juridique, numérique et technologie, relations internationales, sciences et enfin sciences humaines et sociales.

    Alors que l’offre mondiale de formations en ligne est en plein essor, cette plateforme expérimentale vise à héberger les MOOCs proposés par les établissements d’enseignement supérieur français afin de permettre à tous les publics d’accéder à des cours variés et de qualité où qu’ils soient dans le monde.

    Le lancement de cette plateforme France Université Numérique est une des 18 actions de l’Agenda du numérique, présenté le 2 octobre 2013 dernier par Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche.

    Plus d’infos :
    Toutes les infos sur www.france-universite-numerique.fr

  • The MOOC Agency ou comment créer un MOOC, présenté à Educatice 2013

    The MOOC Agency ou comment créer un MOOC, présenté à Educatice 2013

    Un MOOC est un cours en ligne, ouvert à tous et largement diffusé. Ce terme est né suite au cours d’intelligence artificielle de Stanford diffusé gratuitement sur Internet, et qui a regroupé 160 000 apprenants. On connaissait déjà les principes du e-learning mais le MOOC, lui, va plus loin et propose une véritable interactivité au sein de la communauté apprenante. Les vidéos sont réalisées en séquences courtes, ponctuées de quizz en ligne, d’exercices et d’interactions communautaires.

    La création d’un MOOC de qualité nécessite des compétences diverses : ingénierie pédagogique, réalisation audiovisuelle, développement, animation et gestion de communauté, et communication. Nous souhaitons apporter ces compétences aux écoles supérieures et aux universités qui souhaitent créer des MOOCs dont l’expérience utilisateur sera riche et innovante.

    Pour que ce support d’enseignement soit pérenne,  il ne faut pas le réduire à un outil de communication. Nous travaillons, notamment avec le projet France Université Numérique, au développement de fonctionnalités pédagogiques innovantes sur la plateforme nationale afin de mettre en valeur le talent des enseignants avec qui nous concevons les MOOCs. Certains, comme Joëlle LE VOURC’H, professeur à ESCP EUROPE, utilisent désormais ces outils dans des situations de classe inversée.

    En consultant les enseignants sur leurs besoins et la meilleure manière d’enrichir « l’expérience MOOC », nous souhaitons aider les établissements à proposer des MOOCs réussis et motivants.

    MOOC Agency_educatice2013

  • Kamskool, la start-up qui s’attaque au géant des cours particuliers

    Kamskool, la start-up qui s’attaque au géant des cours particuliers

     

    Qu’est-ce que Kamskool ?

    Kamskool est une plate-forme internet de mise en relation instantanée entre des élèves et des professeurs créée en janvier 2013. Les élèves et leurs parents ont accès à une solution complète de soutien scolaire 24h/24, 7j/7 allant des cours à domicile de 2 heures aux cours d’urgence en ligne de 15 minutes. Sur Kamskool tous les petits cours de France et d’ailleurs peuvent être échangés à tous les prix et à toutes les heures.

    Interview de Nicolas, son fondateur :

    Comment vous est venue l’idée ?

    « De ce MMS envoyé à 20h par une de mes élèves à Sydney ».

    « Je donnais des cours de mathématiques à domicile à Rachel, une élève du lycée français de Sydney. Bloquée à la question 5, elle m’envoie à 20h un MMS montrant son exercice. J’étais moi-même bloqué, mais à une soirée, et ne pouvais lui répondre. Je me suis dit que si les cours en ligne ne remplaceraient pas les cours à domicile, ils les complèteraient merveilleusement tant par leur instantanéité que par leur flexibilité. L’originalité de Kamskool tient en cette double offre domicile / en ligne« .

    Est-ce que c’est cher ?

    Pas du tout ! Nous proposons à la plupart des élèves de Kamskool de tester le service en ligne gratuitement. Après cela les tarifs sont les mêmes que dans votre boulangerie : ils sont fixés par les professeurs qui s’inscrivent auxquels s’ajoute une commission décroissante de 15 à 9% selon le nombre d’heures prises dans le mois. Ainsi si vous avez juste besoin d’aide pour quelques minutes, vous ne paierez que quelques euros. Mais si vous devez travailler une heure ou plus avec votre professeur, cela sera abordable également !

    Comment ça marche ?kamskol2_151113

    Les élèves se connectent sur Kamskool et nous disent dans quelle matière ils ont besoin d’aide. A partir de là, ils voient les professeurs connectés et ceux hors ligne. Quand un professeur est contacté, nous le prévenons par SMS, par Gtalk et par Facebook pour garantir une réponse immédiate !

    L’élève peut choisir d’être facturé sur la base d’un prix par minute, mais il peut aussi convenir en avance du temps à passer avec le professeur. Notre interface de cours en ligne comprend un chat-vidéo, un paint, un éditeur simultané de texte, et un partage de documents. De plus, après chaque cours un rapport est envoyé par le professeur aux parents.

    Comment recrutez-vous vos professeurs et qui sont-ils ?

    Tout le monde peut s’inscrire sur Kamskool : de la personne bilingue en espagnol, au polytechnicien en passant par le professeur à la retraite. Nous vérifions les diplômes de nos professeurs, et les sensibilisons à l’utilisation de la plate-forme. Après chaque cours, les élèves ont la possibilité d’évaluer leur professeur sur différents critères (pédagogie, méthodologie, communication, et ponctualité), il est donc facile de voir si un professeur n’est pas compétent, auquel cas nous déterminons s’ils sont faits pour rester sur Kamskool ou travaillons avec eux pour résoudre les éventuels problèmes.

    Quel est la portée sociale de Kamskool ?

    Démocratiser les cours particuliers ! Le but de Kamskool est de se rapprocher d’un idéal de méritocratie en France. J’ai été sensibilisé via mon passage à la prépa Sainte-Geneviève à l’égalité des chances, qui disons-le franchement est une utopie dans notre pays : les élites ne se renouvellent pas. Mais ce n’est pas une fatalité.

    En période de crise, l’éducation reste le principal espoir de parents soucieux pour l’avenir de leurs enfants. J’ai créé Kamskool pour briser le clivage géographique et permettre à tous d’apprendre au contact des meilleurs professeurs à des prix deux fois inférieurs en moyenne à ceux d’Acadomia. Chaque élève doit pouvoir trouver les moyens de sa réussite sur notre espace communautaire.

    Vous dites que vous démocratisez les cours particuliers mais cela reste payant…

    Oui, « mais » ! Pour ceux pour qui même à 50% du tarif Acadomia, les cours restent trop chers, Kamskool a créé le programme « Dreamstudent ». Ce programme permet à des élèves doués mais issus d’un milieu social non favorisé de prendre des cours gratuits avec les professeurs participant au projet (environ 30% des professeurs de Kamskool). Kamskool établit un partenariat avec l’association des Colis de l’Espoir de M. Jean Hennin pour des cours avec les orphelins de Madagascar.

    Est-ce facile de commencer avec Kamskool ?

    Oui ! Pour les cours à domicile, c’est évident, et pour les cours en ligne maintenant toutes les connexions internet fonctionnent ! Venez tester gratuitement nos cours de maths !

     Plus d’infos : www.kamskool.com

    kamskol_151113

  • 10 ans pour le Tutorat @ Distance

    10 ans pour le Tutorat @ Distance

    Le Tutorat à distance, c’est quoi ? Par Jean-Paul Moiraud, en vidéo


    L’introduction massive des solutions numériques dans les formations (initiales et continues) a fait entrer le e-learning comme élément de l’enseignement et de l’apprentissage.

    Les apprenants ont besoin d’accompagnement dans ces dispositifs. Les tuteurs exercent un rôle déterminant, leurs compétences sont le gage du bon accompagnement des apprenants et au final de leur réussite.

    Jacques Rodet qui est consultant et maître de conférence associé s’est engagé depuis plusieurs années dans une réflexion sur le tutorat.

    Il est le rédacteur du blog de t@d qui réunit des billets d’actualité et de fond sur les différents aspects du tutorat à distance et de la revue les Tutorales.

    Pour les 10 ans se son activité, Jacques Rodet, a souhaité donner une résonance particulière au concept et à l’activité de tuteur.

    IL y aura donc au cours de cette année un ensemble d’événements faits de conférences en ligne. Les 10 ans de t@d sont parrainés par des acteurs de la formation en ligne.
    L’année sera rythmée par un ensemble de conférences , données sur trois espaces différents, en hangout, sur la solution classilio et dans les mondes virtuels (second Life).

    Le programme des différentes conférences est consultable . vous pouvez vous inscrire aux conférences en cliquant sur le lien ici

    les 10 ans de t@d peuvent être suivis sur les réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire sur la page Facebook et en suivant le # tad10 sur Twitter.

    —–

    Séminaire en ligne du 1er octobre au 12 décembre 2013
    Toutes les conférences se dérouleront de 19h à 20h (Paris)

    En octobre
    Présentation du séminaire par le Comité d’organisation
    Conférence d’introduction du séminaire par Geneviève Jacquinot
    Retour sur les 10 ans de t@d par Jacques Rodet
    Accompagner l’apprentissage en formation à distance : le rôle des tuteurs par Nathalie Deschryver
    Les temps du tutorat à distance par Margarida Romero
    Clientèles émergentes et étudiants en situation de handicap : qui sont-ils et comment adapter le tutorat pour répondre à leurs besoins ? par Caroline Brassard
    Certificat d’université en tutorat à distance : une approche de formation isomorphique pour acquérir des compétences de e-tuteur par Brigitte Denis
    De la diversité du tutorat de pairs par Cathia Papi
    La comptabilisation du temps de travail des tuteurs par Corinne Allavoine-Morin
    Tutorat et espaces de formation par Jean-Paul Moiraud

    En novembre
    Peut-on parler du « métier » de tuteur à distance ? par Viviane Glikman
    La syndicalisation des tuteurs de la Téluq : origines, enjeux et résultats ? par Sylvie Pelletier
    Tuteurs, apprenants, enseignants. Similitudes et différences, constantes et évolution des compétences pour la formation à distance par Lucie Audet et Michel Richer
    Les fonctions tutorales dans la formation des cadres : permanence et révolution par Olivier Dulac
    Présentation La coordination en formation à distance et la gestion des tuteurs par Nathalie Deschryver

    En décembre
    Retour sur un dispositif tutoral à l’université par Sylvain Vacaresse
    Conférence de clôture par Pierre Gagné

    Retrouvez toutes les infos ici
    Les premières vidéos sont en ligne ici

  • Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

    Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

    elearningtunisie_151013
    L’objectif revendiqué par le  forum est de devenir, en Tunisie, un rendez-vous incontournable, regroupant  des professionnels de l’éducation, de la formation, de la recherche, de l’entreprise et du secteur public.

    Si l’affluence de cet événement, encore débutant, semble encore modeste, la qualité des conférences, l’espace salon, l’encadrement et le lieu sont de premiers ordres.

    Outre l’espace dédié aux exposants qui met en synergie les visiteurs et curieux avec les acteurs effectifs dans le domaine du E-learning, le forum a fait appel a plus de 30 conférenciers nationaux et internationaux afin d’animer des conférences et ateliers ouverts autour du thème «L’E-learning comme levier stratégique du développement des compétences».

    Sur 2 jours, conférences et ateliers se sont donc succédés autour de thématiques actuelles et abondamment relayées dans le secteur de l’E-learning, les MOOCS et le mobile learning . Outre des présentations assez larges sur des retours d’expériences au niveau européen, un focus particulier fut mis sur la mise en évidence du niveau atteint par les compétences locales dans l’e-Learning.

    Les MOOCS, retour d’expérience

    Sujet actuellement très tendance, pas un jour ne passe sans qu’un ou plusieurs articles ne soient édités sur le sujet, les MOOCs se sont également invités dans les discussions.

    Entre véritables opportunités pour des économies éducatives émergentes, mondialisation et monétisation de la formation,  les échanges se sont focalisés autour des expérimentations réalisées cette année dans l’espace francophone.

    Baromètre de l’E-learning

    Le fait marquant de cette deuxième édition fut la présentation des chiffres du premier baromètre e-Learning tunisien.  L’objectif de ce baromètre vise à mettre en perspective la place de l’e-Learning au regard des stratégies de formation et à mieux comprendre les usages de l’e-Learning selon 3 axes :

    –       Place et évolution de l’E-learning

    –       Modalités de déploiement et champs d’application

    –       Conditions de succès et indicateurs de suivi

    Pour cette première étude, les promoteurs ont essayé de toucher les entreprises ayant déjà une expérience active dans le secteur de l’e-Learning. Si les données rassemblées ne démontrent pas une  forte implication des entreprises tunisiennes dans le secteur, elles permettent cependant d’esquisser des tendances dans les usages concernant la formation à distance.

    La Tunisie se place donc résolument grâce à ce forum et ce baromètre comme un futur acteur de la scène de la formation à distance en Afrique du nord.

    C’est dans cette optique que le ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique par la voix de son conseiller Mohamed Ghribi a placé son discours d’ouverture.

    « La Tunisie qui a adhéré au e-learning, vit, aujourd’hui, une révolution scientifique » annonce t-il . « La Tunisie oeuvre ainsi à renforcer tous les domaines d’enseignement et à exploiter les techniques de l’information et de la communication pour promouvoir le système éducatif. »

    Plus d’infoshttp://forumelearningtunisie.com/

     

  • Lancement d’un Mooc « Arithmétique » à l’université Lille 1

    Lancement d’un Mooc « Arithmétique » à l’université Lille 1

    Moocarithemetique_110913Qu’est ce qu’un Mooc ?

    Un Mooc (Massive Open Online Course) est un cours ouvert à tous utilisant les moyens d’internet (vidéos, polycopiés en ligne, qcm, forum de discussions).
    C’est un phénomène en plein développement initié par les grandes universités américaines.

    Ce cours de mathématiques d’un niveau première année de licence a pour objet l’arithmétique. Pour le rendre plus motivant l’arithmétique est immédiatement appliquée à la cryptographie, le but étant de comprendre comment sont sécurisées les communications sur internet.

    Ce cours démarre début octobre pour une durée de six semaines. Il est conçu et animé par Arnaud Bodin et François Recher, enseignants-chercheurs en mathématiques à l’université Lille 1.

    Plus d’infos :
    Les inscriptions sont gratuites et se font sur la plateforme Canvas.net.
    Lien du cours.

    francoisREcher_110913
    François Recher et Arnaud Bodin sont Maîtres de Conférences en mathématiques à l’université de Lille 1 ; ils contribuent tous deux également au projet Exo7, un projet national de fiches d’exercices de mathématiques à destination des étudiants et des professeurs, voir à ce sujet l’article de Ludovia

    ArnaudBodin_110913

  • La révolution numérique selon les Africains

    La révolution numérique selon les Africains

    elarningafrica_110613Voici l’une des conclusions surprenantes du Rapport eLearning Africa 2013. Lancé aujourd’hui (jeudi) au Safari Conference Centre de Windhoek par le ministre namibien des TIC, l’Honorable Joel Kaapanda, le rapport pose un nouveau regard sur les utilisations complexes de la technologie dans l’éducation en Afrique, du point de vue des Africains eux-mêmes.

    « J’ai été particulièrement encouragé par les échecs en eLearning exprimés ouvertement », a déclaré le ministre, « ainsi que par l’attention portée cette année au contenu numérique local et à l’intégration des langues africaines ».

    En fournissant une vision générale unique du développement des TIC sur le continent, le Rapport eLearning Africa va au-delà des statistiques et donne la parole à des centaines d’Africains impliqués dans la pratique de l’eLearning sur le terrain. L’objectif est de refléter les « les anecdotes, les opinions et les expériences des professionnels du continent et leur contribution au grand récit africain de l’eLearning ».

    Ces expériences offrent un aperçu étonnant. Si, par exemple, 40 % des personnes interrogées indiquent que ces technologies créent des contenus locaux, seul 16 % est rédigé dans les langues africaines. Tandis que les médias sociaux et la mobilité gagnent en popularité, l’accès aux ressources en ligne et l’apprentissage en salle de classe demeurent les utilisations les plus courantes de la technologie.

    « Le rapport confirme que l’Afrique connaît une mobilité accrue en termes d’apprentissage et d’enseignement au niveau de l’éducation et du développement des compétences, mais que cette augmentation n’a pas encore supplanté les approches traditionnelles de l’enseignement », a affirmé Shafika Isaacs, rédactrice du rapport, qui précise « alors que nous débattons du programme de développement post-2015, la grande priorité reste de relever les défis dans le domaine de l’éducation ».

    Le rapport, distribué gratuitement sur Internet en français et en anglais, est destiné à un large public non seulement d’Afrique mais du monde entier.

    Voir le Rapport eLearning Africa 2013 : www.elearning-africa.com

    Notes à l’attention des rédacteurs
    eLearning Africa, 8e Conférence internationale sur les TIC appliquées au développement, à l’enseignement et à la formation
    du 29 au 31 mai 2013
    Safari Conference Centre, Windhoek, Namibie
    Organisateurs : ICWE GmbH (www.icwe.net), gouvernement de la République de Namibie
    eLearning Africa 2013 est soutenue par le Sponsor Platine DELL Wyse, les Sponsors d’Or Microsoft et NComputing ainsi que les Sponsors d’Argent Samsung, PC Training & Business College, ITIDA et Egypt On. Les autres sponsors de la Conférence sont les suivants : JP SA Couto, Gilat Satellite Networks, Teachers Media International (TMI), SES Broadband Service, les Éditions Éburnie, IEEE, E-Course, Telecom Namibia, MTC, UNICEF, PWC et MTN.

  • 8ème Journées du E-Learning les 27 et 28 juin 2013

    8ème Journées du E-Learning les 27 et 28 juin 2013

    Affiche JEL 587 x 724-1A l’occasion de cette édition, des universitaires et spécialistes de renommée nationale et internationale viendront à la rencontre du public. Les journées du E-Learning sont l’observatoire des problématiques qui se poseront demain en matière d’apprentissage avec le numérique.

    Le E-learning est aujourd’hui présent dans la quasi-totalité des domaines de la formation. La réussite passera par des remises en causes profondes de la formation que ce soit au point de vue pédagogique, social ou juridique.

    Le colloque propose ainsi une approche organisée autour de deux axes majeurs :

    • La réussite de l’intégration du numérique dans le processus pédagogique, ou comment enseigner avec le numérique?
    • La réussite avec l’E-Learning ou comment mesurer les bénéfices de l’intégration du numérique dans l’enseignement.

    Cette année le colloque abordera notamment les thèmes suivants :

    • Les dispositifs  juridiques appliqués au E-Learning,  solutions et contraintes pour réussir.
    • L’Open Education en E-Learning, la réussite pour tous.
    • La contextualisation du E-Learning, les réseaux de la réussite.
    • L’efficacité du E-Learning, consolider les acquis.

    Organisées depuis 2006, les Journées du E-learning sont l’occasion de penser et d’anticiper les évolutions que connaitront les outils d’apprentissage numérique. Cette manifestation est organisée avec le soutien du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, de l’Université de Lyon, des trois Universités lyonnaises, de l’Université de St Etienne, de l’INSA de Lyon, de l’ENS de Lyon, de l’Ecole Centrale de Lyon et de VétagroSup.

    Ludovia Magazine est partenaire media de cet évènement.

    Plus d’infos sur le programme et s’inscrire sur www.journees-elearning.com