Catégorie : ACTION PUBLIQUE

  • Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Claudio Cimelli est responsable du NumeriLab, autrement dit la mission d’incubation à la Direction du Numérique pour l’Education au MENESR. Il a participé au C2E 2016 à Poitiers sur la thématique du big data et évoque lors de cette interview, le positionnement de la DNE par rapport à ces enjeux des Learning analytics.

    « La DNE s’intéresse aux learning analytics car elle s’intéresse aux apprentissages et à la manière dont on peut travailler sur les apprentissages« , souligne Claudio Cimelli.

    Il rappelle que dans les premiers appels à projets, il y a déjà eu des propositions de solutions faites par des éditeurs et des industriels de mise en oeuvre d’outils d’analytics « qui sont des outils au service des apprentissages ».

    La DNE se pose toutes sortes de questions sur le sujet et notamment l’intérêt de ces outils du point de vue des élèves et des enseignants.

    « Globalement les Learning analytics, c’est une façon d’analyser de ce qu’on est entrain de faire » ;

    « et de bénéficier de l’analyse de traces et de données d’apprentissage pour à la fois étayer soit l’élève, soit étayer l’enseignant pour qu’il puisse aider l’élève et puisse lui permettre de parfaire un parcours de formation ».

    Les questions que se posent le NumériLab sont surtout liées à l’évolution extrêmement rapide dans ce domaine notamment au niveau des solutions industrielles. Et Claudio Cimelli prend l’exemple des Etats-Unis où le phénomène est particulièrement étendu.

    Questions d’éthique, questions juridiques et questions de « est ce que cela sert vraiment à faire progresser les élèves ? »…

    Retrouvez la totalité de l’interview dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Mario Cottron, directeur de l’ESPE de Poitiers et partenaire membre du GIS INEFA dans l’organisation du Campus Européen d’été, était au micro de Ludomag pendant l’évènement. Pour lui, faire partie de ce GIS est une évidence.

    En effet, dans les objectifs fixés à la création de l’ESPE, le numérique et spécialement le numérique éducatif, est une des quatre priorités.

    « Nous n’allons pas former les enseignants et n’enseigner demain qu’avec le numérique, cela serait stupide de penser ça ; penser qu’on peut aujourd’hui enseigner sans le numérique est tout aussi stupide », souligne t-il en début d’interview.

    Retrouvez Mario Cottron dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Remise des 45 l@bels numériques aux lycées de l’académie de Montpellier

    Remise des 45 l@bels numériques aux lycées de l’académie de Montpellier

    Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités, et Carole Delga, présidente de la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée ont présidé la cérémonie de remise des l@bels numériques à 45 lycées de l’académie de Montpellier, le vendredi 16 septembre 2016.

    L’académie de Montpellier et  la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, soucieuses de l’insertion des jeunes dans la société du numérique d’aujourd’hui et de demain, ont fait du développement du numérique éducatif dans les lycées, une de leur priorités communes.

    Pour valoriser l’usage du numérique éducatif dans les lycées d’enseignement général, technologique ou professionnel, l’académie et la Région ont mis en œuvre une démarche de labellisation numérique appelée « L@bel numérique Lycée« .

    Ce l@bel académique atteste la dynamique numérique d’un établissement, tant au niveau de son pilotage, de son équipement, que des usages pédagogiques et de la formation des personnels.

    « L’académie de Montpellier se mobilise afin de développer l’usage du numérique éducatif dans les écoles, les collèges et les lycées. Nous disposons ainsi d’un ENT unique pour le 2nd degré qui enregistre plus de 800 000 connexions par mois, et mettons à disposition de tous des ressources gratuites pour la classe, notamment les cartables numériques du collégien et du lycéen.  Et pour accompagner les équipes éducatives, nous consacrons chaque année 500 000€ à la formation des personnels », rappelle Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités.

    « La première de nos priorités est l’éducation et, avec  l’Académie de Montpellier,  nous menons des politiques exemplaires pour offrir à nos jeunes les meilleures conditions pour  la réussite scolaire. Dans ce cadre, le développement du numérique éducatif est un vecteur d’innovation qui contribue à promouvoir l’égalité des chances et l’épanouissement  de nos lycéen-nes », souligne Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerrannée.

    Plus d’infos :

    Retrouvez tous nos articles traitant du numérique dans l’académie de Montpellier ici

  • Les équipements mobiles et leur massification  : où en est-on ?

    Les équipements mobiles et leur massification : où en est-on ?

     Réponse avec Pascale Montrol-Amouroux, Cheffe du département Usages et valorisation des pratiques à la DNE au MENESR, au micro de Ludomag et interviewée par Michel Guillou lors de la 13ème édition de l’Université d’été de LUDOVIA.

    Avec le plan numérique en cours, les équipements mobiles vont peu à peu se multiplier dans les classes et mettre les enseignants au défi de venir « composer » avec ces nouveaux usages.

    « Notre rôle au Ministère est de parvenir à organiser toutes ces ressources nouvelles et en faire ressortir une dizaine qui soient vraiment emblématiques de l’utilisation des équipements mobiles tout en croisant avec les nouveaux programmes du collège et du cycle 3 notamment« , explique Pascale Montrol-Amouroux.

    Ces exemples ne sont pas exhaustifs ; ils sont composés d’une fiche pratique avec une vidéo présentant une activité comme, par exemple, la fonction de publication etc.

    « L’idée est de construire une collection en collaboration avec les académies ».

    Plus d’information dans la vidéo ci-contre.

  • « Bouge ta cl@sse ! »

    « Bouge ta cl@sse ! »

    Le projet « Bouge ta cl@sse ! » initié conjointement par la Ville d’Elancourt, la Délégation au Numérique Educatif de l’Académie de Versailles et la circonscription d’Elancourt, se déploie dès cette rentrée scolaire dans six écoles élémentaires de la Ville et complète ainsi le dispositif numérique qui affiche d’ores et déjà un bilan positif.

    Ces espaces pédagogiques innovants, imaginés par les enseignants, repensent totalement l’ergonomie des salles de classe avec l’utilisation des outils pédagogiques numériques déployés depuis 10 ans à Elancourt, ville pilote de l’école numérique.

    elancourt_bougetaclasse3

     

    Grâce à « Bouge ta cl@sse ! », des espaces adaptés et flexibles permettent ainsi aux enfants d’apprendre autrement : Pédagogie individualisée grâce aux 2400 tablettes numériques, espaces dédiés pour apprendre à coder sur robots dès la maternelle, sciences collaboratives grâce au TNI, visio-conférence en anglais en petits groupes.

    Ces classes du 21ème siècle ouvrent de nouvelles voies pour une meilleure assimilation des savoirs et optimise les outils numériques utilisés depuis de nombreuses années à Elancourt.

    Apprendre debout, allongé, assis au sol est désormais possible grâce à un environnement scolaire totalement repensé grâce à de nouvelles pratiques pédagogiques.

    elancourt_bougetaclasse4

     

    Complété par l’ENT déployé dans toutes les écoles et notre dispositif de soutien scolaire en ligne embarqué sur les tablettes, cet écosystème place les petits élancourtois au cœur d’un environnement stimulant et adapté pour réussir dans les meilleures conditions.

     

     

     

    elancourt_bougetaclasse1elancourt_bougetaclasse2

     

  • Collectivités territoriales et numérique à l’Ecole: réflexion sur le séminaire Ludovia autour de cas concrets

    Collectivités territoriales et numérique à l’Ecole: réflexion sur le séminaire Ludovia autour de cas concrets

    Les Collectivités Territoriales se sont réunies mercredi 24 août pour une 8ème édition du séminaire sur l’Université d’été Ludovia#13, axé sur les Établissements numériques du XXIème.

    La thématique de cette année, initiée par les besoins issus des dernières actions de décentralisation, avait une double question à résoudre. D’une part et en première partie, la place du numérique dans les territoire ruraux et en montagne, Ariège oblige. D’autre part, la continuité des politiques et des usages dans l’espace et dans le temps.

    Réunissant des collectivités et établissements ayant déjà expérimenté le numérique dans leurs établissements du premier degré aux lycées, les deux sessions auront été mises en valeur par deux études de cas sur les deux axes décrits par la thématique.

    L’élu et les territoires ruraux ou de montagne face au numérique

    Lors du premier acte du séminaire, les représentants présents des régions, départements, communautés de communes et communes ont mis en lumière les retours sur les politiques actuelles et sur les besoins encore présents.

    S’il reste encore quelques zones blanches, principalement en montagne, et des établissements peu fournis en matériel numérique pédagogique, les représentants des autorités régionales et départementales se félicitent des investissements consentis et/ou encore en cours.
    Au niveau de l’Ariège et des compétences du département, par exemple, un effort considérable est fait sur la connectique très haut débit dans les zones les moins couvertes actuellement.

    Concernant le numérique éducatif, la refonte des régions et les derniers actes de la décentralisation ont amené de nouvelles compétences, de nouveaux territoires et de nouveaux intervenants. Ces nouveaux cadres de travail semblent être maintenant bien intégrés par les collectivités territoriales à tous leurs niveaux.

    Fort de cet investissement dans les moyen techniques, la région souhaite maintenant que l’action pédagogique au sein des écoles soit amplifiée. Pour ce faire, elle interroge les académies et l’éducation nationale dans son ensemble sur la vision des acteurs pédagogiques concernant les usages et l’accompagnement de ces derniers. Une volonté de s’engager dans la discussion, nécessairement pédagogique, est même formulée.

    Est-ce par soucis de retour sur investissement ou volonté d’assurer une cohérence avec la formation professionnelle et la mise à l’emploi ? Il n’en demeure pas moins que l’appel est lancé pour une coordination des actions.

    Concernant cette volonté de coordination des actions techniques et pédagogiques, si cette coordination semble facilement organisable au niveau de la région, elle semble plus difficile à mettre en place dans les départements. En effet, au niveau de ceux-ci, un manque de moyen et de compétences dans les équipes est identifié.

    La fragmentation des budgets départementaux rend une cohérence de l’action plus difficile. En effet, si les moyens concernant le développement du très haut débit sont présents, ceux-ci sont peu mobilisables sur l’axe « enseignement ». La volonté du département d’avoir une liaison aux bassins de vie, une coordination avec son action sociale et une continuité pédagogique paraît donc difficile à mettre en place.

    On notera finalement sur la thématique, qu’une réelle coordination et une volonté de partenariat existe maintenant.

    Continuité des politiques dans l’espace et dans le temps

    C’est en effet cette coordination et une mutualisation des moyens qui peut, à termes, assurer une certaine continuité pédagogique aux élèves du primaire jusqu’au lycée.

    Pour cela plusieurs solutions existent, cela peut être soit une réelle coordination des actions des différents acteurs soit, à l’exemple du SMICA repris ci-dessous, par la mise en place d’acteurs capables de travailler sur plusieurs niveaux ou dans un espace relevant de plusieurs pouvoirs.

    Selon Thierry Cagnon du Conseil Régional Nouvelle Aquitaine, si au niveau politique, le temps – qui peut effacer, après élection, une décision ou un mouvement – n’est plus réellement un problème, car un consensus semble se dégager sur les politiques à mener.

    Par contre, l’espace est lui plus difficile à gérer. En effet si une action globale, nécessairement utile en termes d’équité, peut être pilotée sur un territoire complet, l’action locale, avec ses caractéristiques propres, est la plus efficiente.

    Afin d’être le plus efficient possible dans cet espace, deux pistes d’actions régionales doivent donc être explorées. Recouvrant la maintenance et l’assistance, compétences maintenant régionalisées, la première présente l’intérêt d’avoir une accroche locale.

    La seconde concerne les ressources numériques disponibles. S’il existe au niveau national des possibilités publiques ou commerciales, il existe également au niveau local des ressources granulaires issues des enseignants. Ces dernières ressources sont culturellement localisées et/ou dédiées à un territoire.

    Au niveau des élèves enfin, la continuité des services reste à créer. Quant à celle des usages, si les élèves arrivent au lycée avec de nombreuses compétences notamment numériques, c’est au lycée d’amener aux désormais lycéens les savoirs les amenant à l’emploi ou à l’enseignement supérieur.

    Retour d’expériences et exemple de mutualisation

    Lors de chaque session, une étude de cas a été proposée à l’assemblée.

    La première concernait la mutualisation des moyens techniques au travers d’un syndicat mixte regroupant des collectivités publiques, principalement des communes.

    Le SMICA fédère aujourd’hui un très grand nombre de collectivités et d’établissements publics. Il peut ainsi négocier des tarifs de mise à disposition de matériels et de logiciels avantageux pour ses membres.

    Au départ, proposant des solutions techniques pour les différents services publics, le syndicat s’engage maintenant dans l’accompagnement de projet d’équipes en outils numériques dans les établissements. Le syndicat se présente ainsi comme une solution cohérente pour ses membres à propos des équipements locaux des établissements de l’enseignement primaire.

    Le second cas présenté est celui du collège du Mas d’Azil. La présentation de l’expérience menée aura servi de socle à un débat sur l’expérimentation à Ludovia. La présentation de la première expérimentation, bien que balbutiante, car initiée en cours d’année, a permis de rappeler qu’une formation préalable et en cours d’action est importante.

    Dans cette expérimentation globalement bien accueillie par le corps professoral, chaque élève de 5e de l’établissement a reçu une tablette, utilisable en classe et à la maison.

    Outre la formation, un accompagnement technique proposé par les services du département a été sollicité.

    Concernant l’axe pédagogique, il n’est pas inopportun de rappeler que le suivi pédagogique de ce type d’expérimentation est un point très important qui semble avoir été ignoré dans le projet et cela tant en préambule au projet que dans la phase d’expérimentation. Ce sont donc des usages pédagogiques basiques très ponctuels, liés à la recherche sur internet et sur la production de contenus par les élèves (en 1 pour 1) qui ont étés mis en œuvre.

    En conclusion de la présentation et de ce séminaire, quelques conseils ont étés posés. De manière pratique, la définition des besoins de formation comme préalable à l’action. Un accompagnement pédagogique intense et relevant est nécessaire. Enfin et avant toute généralisation d’expérience, mettre en place un processus de projet qui démarre des équipes pédagogiques.

    Synthèse assurée par Sébastien Reinders de Belgique Wallonie et Lyonel Kauffmann de Suisse Romande.

  • L’académie de Montpellier renforce sa présence à Ludovia#13, accompagnée par Armande Le Pellec-Muller, Recteur de la région académique

    L’académie de Montpellier renforce sa présence à Ludovia#13, accompagnée par Armande Le Pellec-Muller, Recteur de la région académique

    Mme le Recteur, Armande le Pellec-Muller, était venue déjà en 2015 pour découvrir Ludovia en tant qu’intervenante sur une table ronde portant sur l’éducation aux médias et à l’information, sujet phare qui lui tient beaucoup à coeur. Pour cette 13ème édition, elle a tenu à nouveau à être présente, aux côtés de ses équipes et enseignants de l’académie de Montpellier venus encore plus nombreux, afin d’institutionnaliser le partenariat qui lie son académie et la région académique à l’Université d’été de Ludovia.

    Au micro de Ludomag et interviewée par Serge Pouts-Lajus du cabinet Education & Territoires, elle nous explique en quoi consiste son rôle de Recteur de région académique et pourquoi avoir créé ces régions académiques.

    « Les académies existent toujours mais sont regroupées pour pouvoir, à un moment donné, s’organiser de manière cohérente sur tous les sujets régionaux à une échelle qui est celle de la nouvelle région ».

  • L’Académie de Toulouse venue en nombre à Ludovia#13 et bien représentée par sa rectrice, Hélène Bernard

    L’Académie de Toulouse venue en nombre à Ludovia#13 et bien représentée par sa rectrice, Hélène Bernard

    Ce sont plus de 150 enseignants de l’académie de Toulouse, soit un record, qui se sont déplacés pour cette 13ème édition de Ludovia à Ax-les-thermes. Cette année, Madame la Rectrice, Hélène Bernard, était présente pour l’inauguration officielle le mardi 23 août aux côtés de tous les partenaires institutionnels de l’évènement.

    Malgré un emploi du temps toujours chargé en cette rentrée, son séjour s’est poursuivi jusqu’au lendemain mercredi 24 août où elle a participé en matinée à une table ronde sur le thème « Innovations, Recherche et pratiques dans le numérique éducatif » aux côtés de Jean-Marc Monteil pour enfin ponctuer sa venue avec brillo en invitant sur l’après-midi, tous les chefs d’établissements de Haute-Garonne et d’Ariège et leurs adjoints, soit près de 400 personnes, pour une réunion de rentrée.

    Au passage, petit clin d’oeil à ces participants courageux qui ont bravé la chaleur de la salle de conférences du casino d’Ax-les-thermes, pas encore équipée d’un système de climatisation !

    Toute l’équipe de Ludovia nous a demandé de transmettre à Madame la rectrice leurs sincères remerciements pour son implication dans cette 13ème édition.

  • La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées ou « Occitanie », fidèle partenaire de Ludovia

    La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées ou « Occitanie », fidèle partenaire de Ludovia

    Kamel Chibli, Vice-Président de la Région en charge des questions d’éducation et Président de la commission éducation à l’ARF, a dit quelques mots au micro de Ludomag lors de la journée d’ouverture de cette 13ème édition de LUDOVIA, mardi 23 août dernier.

    Le challenge de cette grande Région est de mutualiser les pratiques numériques déjà en place qui, de chaque côté, sont allées au-delà de leurs compétences initiales.

    Il est notamment question des deux dispositifs déjà en place comme « LoRdi » dans l’ex région Languedoc-Roussillon et « Ordilib » en ex Midi-Pyrénées. « Que faisons-nous maintenant de ces matériels au plan pédagogique« ? Kamel Chibli interroge l’Education Nationale et s’engage dans une phase de concertation sur le sujet.

    La nouvelle grande région encourage et accorde son soutien financier à l’université d’été de Ludovia.