Auteur/autrice : Eric Fourcaud

  • SMART soutient la recherche pour analyser l’impact du numérique sur l’enseignement

    Débuté en octobre 2010 par Emilie Magnat, étudiante à l’Université Stendhal – Grenoble 3 et doctorante au sein du LIDILEM (Laboratoire de linguistique et didactique des langues étrangères et maternelles), ce projet d’études porte sur une recherche en didactique des langues visant à déterminer l’impact du tableau numérique interactif SMART Board (TNI) sur le travail de la phonologie en anglais en classe de CE1.

    Quels sont les objectifs visés dans l’utilisation du TNI en langues ? En quoi le TNI permet d’aller plus loin ? Quelles sont les bonnes habitudes à prendre par l’enseignant ? Comment développer sa créativité ?

    Pour répondre à ces interrogations, Emilie Magnat propose une présentation intitulée «L’enseignant et son TNI, un duo efficace pour les langues » basée sur les éléments suivants :
    – L’aide que représente le TNI SMART Board pour l’enseignant.
    – L’intégration du TNI SMART Board dans le travail de la langue étrangère à l’école élémentaire.
    – Les exemples de documents pédagogiques tirant profit des fonctionnalités du SMART Board.

    Dans sa thèse, en plus d’un groupe-classe contrôle, Emilie Magnat a comparé un groupe-classe utilisant le TNI à un groupe-classe effectuant les mêmes activités en anglais, mais sans le TNI. Elle a ainsi pu comparer l’activité de 3 enseignantes et 57 élèves répartis dans 3 classes de CE1 implantées sur les communes de Têche, Saint Vérand et L’Albenc dans l’Isère. Il s’agissait ainsi d’examiner en quoi l’instrument utilisé détermine l’apprentissage.

    Parmi les premiers résultats mis en évidence, elle souligne les points suivants :
    – Le TNI permet à l’enseignant d’améliorer sa confiance en lui en ce qui concerne sa prononciation et donc de proposer des exemples corrects de prononciation aux élèves. Ainsi, le TNI et l’enseignant constituent deux sources d’information complémentaires auxquels les élèves peuvent se référer.
    – Les fonctionnalités du TNI permettent à l’enseignant de proposer à ses élèves des représentations visuelles et sonores des éléments linguistiques ayant un impact significatif sur l’apprentissage. Les élèves peuvent ainsi voir, entendre et manipuler les mots ou les sons de l’anglais, par exemple.
    – Avec le TNI, les élèves animent la séance de travail. Leur participation active détermine la qualité de leur apprentissage.
    – L’utilisation du TNI permet de renforcer la pédagogie, la créativité et les compétences linguistiques de l’enseignant.

    «Cette thèse s’intéresse autant aux élèves qu’à l’enseignant. D’après mes observations, le TNI SMART Board permet d’aider les élèves dans leur processus d’apprentissage et l’enseignant dans l’acte d’enseigner en venant compléter ses compétences linguistiques», indique Emilie Magnat.

    «SMART qui a créé le premier tableau interactif en 1991 a su devenir un acteur majeur sur le marché de l’éducation, en proposant des solutions numériques qui viennent renforcer la pédagogie délivrée par les enseignants dans les salles de classe. Nous trouvons intéressant de participer à des travaux de recherche afin de comprendre l’impact de nos tableaux interactifs sur l’enseignement et l’apprentissage des langues étrangères», précise Richard Ramos, directeur général de SMART en France.

    Emilie Magnat prévoit de soutenir sa thèse à l’automne 2013. Elle a présenté ses premiers résultats à l’occasion du salon Educatec Educatice, lors d’une conférence sur le stand de SMART Technologies.

     

  • Enseignement supérieur et recherche: les Régions souhaitent voir reconnu leur rôle incontournable

    Dans leur contribution aux assises, les Régions ont fait des propositions détaillées pour concrétiser le rôle actif qu’elles entendent jouer dans l’élaboration des stratégies en matière d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation sur leur territoire. Elles revendiquent des responsabilités accrues et clarifiées, en cohérence avec leurs propositions pour le nouvel acte de décentralisation.

    Laurent Beauvais, président de la commission Enseignement supérieur, recherche et innovation de l’ARF, et les élus régionaux, ont porté ces recommandations lors des Assises.

    Cela passe notamment par :

    –    l’élaboration de stratégies régionales, co-construites avec tous les partenaires du territoire ;

    –    une contractualisation pluriannuelle Etat-Régions-établissements permettant d’articuler ambitions nationales et ancrage territorial ;

    –    une association des Régions à l’élaboration de l’offre de formation afin de permettre une meilleure adéquation avec les besoins des territoires ;

    –    l’attribution aux Régions des politiques de transfert de technologies et d’appui à l’innovation sur leur territoire, en cohérence avec la déclaration commune Etat-Régions du 12 septembre dernier, qui leur confie le pilotage du comité régional de l’innovation ;

    –    un rôle d’ensemblier dans le soutien à l’internationalisation de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation des territoires ;

    –    l’élaboration dans chaque Région d’un schéma directeur de l’immobilier universitaire, comportant un volet dédié au logement étudiant ;

    –    la reconnaissance du rôle des Régions dans l’orientation et la lutte contre le décrochage ;

    –    la responsabilité d’ensemblier des politiques liées au logement et aux conditions de vie étudiante (hors bourses nationales), avec les moyens associés ;

    –    le pilotage des politiques de dialogue sciences-société.

    La clarification des compétences des Régions serait en cohérence avec leur investissement dans le secteur. Leur budget annuel pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation a avoisiné le milliard d’euros en 2011.

    La contribution de l’ARF est en ligne sur le site des Assises

  • Imagina 2013 reporté !

    Imagina 2013 reporté !

    Imagina 2013

    imagina qui devait se dérouler du 19 au 21 février 2013 est confronté à un contexte économique défavorable qui ne permet pas d’atteindre les objectifs fixés.

    Dans ces conditions et par respect pour toutes les personnes qui se sont impliquées dans cette édition et les partenaires qui soutiennent

    Imagina 2013

    depuis de nombreuses années, ne souhaitant pas que l’édition 2013 soit en demi-teinte, la difficile décision a été prise de reporter l’événement.

  • Une tablette «made in France», conçue spécialement pour les enseignants et leurs élèves


    Le stand de UNOWHY n’a pas désempli de trois jours à l’occasion du salon Educatice; même le Ministre de l’Education, Vincent Peillon, s’est offert une courte escapade pour l’approcher de près. Pour sûr, le « Made in France », clairement affiché sur cette tablette dernière génération,  y est pour quelque chose…

    En creusant un peu le sujet, on y découvre une histoire non dénuée d’intérêt d’une entreprise « familiale » de Bourgogne, ambitieuse et courageuse de se lancer dans «la course à l’armement » de l’équipement numérique à l’Ecole, face à ses concurrents du CAC 40.

    Jean-Yves Hepp, Président et fondateur, nous explique le parcours de sa tablette.  «ça a commencé par la cuisine ; un jour, coincé dans les embouteillages parisiens, je pense à ma maman qui fait un très bon couscous et qui commence à prendre de l’âge. Je me dis, il ne faut pas perdre cette recette.

    Et donc, nous voilà partis dans la fabrication de la première tablette tactile au monde, qui s’appelle QOOQ ; l’idée était de faire converger tous les contenus (livres, magazines, télé….) dans un seul média».
    Depuis Noël 2009, la tablette QOOQ, version cuisine, connaît un véritable succès en France.

    La seconde étape fut de rapatrier la production, implantée en Chine, vers la France ; désormais la tablette QOOQ est produite en Bourgogne « maîtrise totale de la production : maîtrise du Hard, du Soft et du contenu », ajoute Jean-Yves Hepp ; un atout supplémentaire pour cette dernière née.

    Puis, persuadée qu’il fallait proposer une tablette spécifique pour l’Ecole, l’équipe d’UNOWHY s’est lancée dans l’aventure «éducation nationale». Elle a travaillé à une adaptation aussi bien au niveau du « design » (résistance aux chocs, adaptée à une cour de récréation….) qu’au niveau du contenu (sous environnement Linux, ouvert à tous les éditeurs), qu’au niveau de l’aisance de manipulation par l’enseignant, pour réaliser le modèle présenté aujourd’hui.

    Une expérimentation pourrait être lancée très prochainement sur 5000 enfants au collège.
    Affaire à suivre sur ludovia.com.

    Crédit photo : Yannick Lanchec

  • Guide TICE pour le professeur-documentaliste

    Le numérique est partout : dans la vie quotidienne, dans la vie personnelle, sociale, professionnelle, civique, médiatique, culturelle. La question d’un « après le livre » (selon les termes de François Bon) est posée.

    Les professeurs-documentalistes sont particulièrement concernés par cette mutation qu’imposent les outils numériques. Comment former tous les élèves à la culture de l’information, concevoir une politique documentaire et un système d’information efficaces, ouvrir l’établissement sur son environnement ? Que vont donc devenir le livre, la collection dans ce nouvel univers ? Comment le CDI peut-il évoluer ?

    Des professeurs-documentalistes, des formateurs, apportent à ces questions des réponses à destination de leurs collègues et de ceux qui s’intéressent à ce métier. Chaque chapitre se veut une contribution personnelle à la réflexion et à l’action du professeur-documentaliste.

    L’ouvrage éclaire, à partir d’angles variés, le contexte numérique d’exercice de ce métier et propose des exemples concrets de choix stratégiques et de démarches pédagogiques.

    Des compléments en ligne permettent d’approcher de manière plus interactive les outils et les ressources évoqués.

    Plus d’infos :
    publication disponible
    À la librairie du CRDP de Paris 37, rue Jacob, 75006 Paris | Dans les librairies du réseau SCÉRÉN (CRDP et CDDP) | À la librairie de l’éducation | Sur le site de vente en ligne www.sceren.com |

  • Un serious game reconnu pour l’apprentissage du français

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    Pour répondre à la demande croissante des professeurs face à ces nouvelles formes d’apprentissage, la société Almédia, soutenue par le Ministère de l’Éducation Nationale, a développé le jeu sérieux Les Éonautes.

    Un complément de cours innovant
    Cette ressource a été élaborée afin de compléter les cours des enseignants de manière ludique. Dans cette perspective, le logiciel reprend des principes inspirés des jeux de rôles ou des jeux vidéo pour immerger les apprenants dans la langue et la culture françaises, leur permettre d’interagir en langue cible et minimiser l’aspect didactique des objectifs linguistiques et communicatifs à acquérir.

    Il sollicite l’intérêt des apprenants en les plongeant dans un univers d’aventure attrayant, où ils réalisent des missions qui font travailler les compétences langagières « lire », « écrire » et « écouter ». Il correspond aux objectifs du niveau A2/B1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues et s’appuie sur les principes de la perspective actionnelle.

    Ce jeu propose 30 séquences didactiques d’une durée moyenne de 45 minutes. Il permet à l’enseignant de mettre en place des parcours individualisés selon les besoins et les acquis de ses apprenants. En effet, le dispositif inclut une console spécifique qui permet à l’enseignant de créer et gérer des groupes, de suivre les progressions et de guider chacun face aux difficultés. Il comprend également un système d’évaluation des compétences langagières et communicatives.

    Des univers de jeux passionnants
    En 2992, un problème informatique a effacé les connaissances du passé. La mission de l’apprenant est de chercher le savoir perdu en voyageant dans cinq époques :
    ⁃    Le temps des Gaulois
    ⁃    L’époque médiévale
    ⁃    Les jardins de Versailles au XVIIème siècle
    ⁃    L’exposition universelle de 1900
    ⁃    Les années 1960

    Le jeu propose à l’apprenant de découvrir des univers monolingues à identité culturelle forte afin de communiquer en français, d’améliorer sa compréhension orale, sa compréhension écrite ainsi que son expression écrite.

    Le jeu est accessible en ligne à l’aide d’un navigateur web et est disponible en deux versions : une version Éducation destinée à un usage en classe avec un professeur (avec abonnement) et une version Individuelle à utiliser en autonomie (sans abonnement, prix fixe).

    Vous pouvez retrouver la ressource sur le Catalogue Chèque Ressources du plan numérique.

    Plus d’infos :
    Pour tout savoir sur Les Éonautes, rendez-vous sur le site du jeu et sur notre page
    Une version de démonstration est accessible ici

    Pour tout savoir sur la société Almédia, rendez-vous à l’adresse www.almedia.fr.

  • Des cours particuliers par vidéo-bulle


    Les cours sont donnés par vidéos-bulles, ce qui fait qu’il est possible d’apprendre ou d’enseigner depuis chez soi : vous n’aurez besoin que d’une connexion Internet.

    Sur LearningShelter, les cours sont donnés par vidéo-bulle, c’est-à-dire en direct et par webcam. Plus précisément, la vidéo-bulle est un outil de visioconférence développé par Google, qui dispose de fonctionnalités avancées, très utiles pour un usage pédagogique. Il est notamment possible de prendre des notes ou d’éditer un document à deux ainsi que de partager son écran.

    A partir de là, le fonctionnement de LearningShelter est assez simple : les mentors décrivent le cours qu’ils proposent, fixent librement le prix auquel ils souhaitent être payés et disposent d’un calendrier pour indiquer leurs disponibilités. Si un élève est intéressé, il prend rendez-vous avec lui en deux clics et, le cas échéant, le paie en ligne par carte bancaire. Dix minutes avant le cours, une URL est envoyée au mentor et à l’élève pour qu’ils se retrouvent sur une vidéo-bulle.

    Restaurer la relation mentors/apprenants

    LearningShelter veut restaurer la relation mentor/apprenant, qui a disparu des salles de classe. Dans l’Odyssée, Mentor est l’ami d’Ulysse qui guide son fils, Télémaque, à travers la Grèce et le prépare à gouverner l’Ithaque. Aujourd’hui encore, les meilleurs professeurs que nous avons eus connaissaient nos prénoms.  Mais cette relation individualisée professeur/élève est trop rare à l’Ecole et tend à s’effacer.

    Sur LearningShelter, il ne s’agit ainsi pas d’initiation ou de découverte : le mentor est là pour dispenser un cours entièrement personnalisé, guider l’apprenant sur le long terme et lui faire acquérir une véritable autonomie sur la matière.

    Cette vision répond à l’expérience directe des trois co-fondateurs. Etudiants dans le supérieur à Paris, les cours particuliers étaient pour eux un moyen simple et valorisant de financer leurs études. Pour eux, le constat est clair : on n’apprend jamais mieux que lorsqu’on a la chance de pouvoir être confronté à quelqu’un. Ce quelqu’un n’a pas forcément besoin d’être diplômé : il ne s’agit pas de remplacer le professeur, mais de lui apporter un complément stimulant.

    En un mot, l’interaction est la clef. Pour les fondateurs de LearningShelter, c’est ce que n’ont pas su développer les pionniers de l’éducation en ligne (KahnAcademy, Udemy, OpenYale…). Sur CodeAcademy, par exemple, vous pouvez apprendre à coder. Mais, vous ne pouvez pas montrer votre code à un autre, investiguer un domaine en particulier, ni travailler sur un projet qui vous tient vraiment à cœur.

    Cette interaction, ce sont les mentors qui vont l’apporter sur LearningShelter. Ils sont là pour poser des questions à l’élève, lui faire faire des exercices, l’aider à comprendre ses erreurs et à faire des liens dans la multitude d’éléments théoriques qu’il a appris.

    Inspiré du modèle de l’enseignement Peer to Peer, le mentor n’a pas besoin de diplômes d’enseignant. Il passe à un élève le savoir qu’il a lui-même appris quelques années avant. La plupart du temps, il s’agit d’étudiants qui maîtrisent une matière dont ils ont fait l’apprentissage récemment. Ils connaissent les difficultés de leurs élèves pour les avoir surmontées eux-mêmes.

    Révolutionner les cours particuliers

    Aujourd’hui, les processus de mise en relation entre un « professeur » et un « élève » existent. LearningShelter veut rompre avec ce modèle :

    • déjà parce que le rôle des mentors ne se limitent pas au soutien scolaire. Les mentors sont là pour guider les élèves dans leurs études ou dans leur apprentissage, les écouter, leur donner du travail en amont et en aval…

    • de plus, on peut apprendre beaucoup de chose sur LearningShelter. Sur le modèle de l’Open University, vous pouvez choisir ce que vous voulez étudier, depuis chez vous, quel que soit votre diplôme ou votre cursus : le webdesign, la programmation informatique, monter son entreprise, le montage vidéo…

    • ensuite parce que les cours s’opèrent par vidéo-bulle, autrement dit on peut donner ou prendre un cours en tout lieu, avec une personne habitant à l’autre bout de la France, mais en étant sûr qu’il y a une place pour l’interaction et la discussion.

    • enfin, parce que les élèves choisissent leur mentor, sur la base des informations disponibles sur LearningShelter (biographie des mentors, profils linkedin, facebook, twitter, description de leurs cours…)

    Pour le moment, les cours peuvent porter sur trois grandes catégories de savoir : matières académiques (mathématiques, économie, langue étrangère…), arts créatifs (Photoshop, Illustrator…) et technologie (apprendre à coder une page web, à organiser une campagne facebook…).

    Lancé il y a deux semaines, LearningShelter compte déjà une trentaine de mentors. Parmi les classes les plus populaires comptent « Construire sa startup : de l’idée à la version beta« , « Coder son premier site Internet« , « Réussir l’épreuve de maths aux concours HEC« , « La maîtrise de photoshop pour tous« .

  • e-école pour tous : une solution globale clé en main

    Cette offre comprend l’installation du matériel, un accès internet sécurisé, un espace numérique de travail, des contenus pédagogiques, un accompagnement à l’usage et une assistance, le tout accessible par le biais d’une solution de financement.

    e-école pour tous est la seule offre du marché à bénéficier d’une telle complémentarité d’acteurs réunis pour créer une solution clé en main :

    •  SFR fournit un accès internet haut débit sécurisé à l’établissement, qui assure un filtrage des sites web ainsi qu’une protection contre les cyber-attaques ;
    •  SMART Technologies propose un tableau blanc tactile au doigt et au stylet pour favoriser des classes plus interactives, accompagné d’un logiciel d’apprentissage collaboratif SMART Notebook. Le dispositif peut être complété par la mise à disposition d’un PC portable pour l’enseignant et de tablettes pour les élèves ;
    •  Maxicours.com garantit des centaines de milliers de contenus pédagogiques créés et réactualisés par des enseignants de l’Éducation Nationale ;
    •  Itslearning procure un Espace Numérique de Travail (ENT) qui permet d’intégrer plus facilement les nouvelles technologies dans la pédagogie des enseignants, de partager et de créer des contenus entre enseignants, élèves et parents ;
    •  Leasecom, partenaire financier du service, facilite l’accès à cette offre grâce à une solution de location financière.

    e-école pour tous est à ce jour la solution la plus aboutie pour accompagner les établissements vers une démarche numérique. Sa prise en main est simple et rapide. Tout est inclus : une pré-visite technique pour évaluer les besoins et les éventuels aménagements à prévoir avant l’installation complète, un accompagnement auprès des enseignants sous forme de formation prise en main dans un premier temps, puis une formation pédagogique sur trois ans. Quant à l’assistance, une hotline technique et une maintenance sur site sont également incluses dans les services.

    Cette offre présente une opportunité pour les collectivités locales : elle permet l’accès au numérique au sein des établissements scolaires tout en profitant d’une installation simplifiée et abordable des équipements grâcegrâce aux solutions de financement Leasecom. e-école pour tous offre également un support pédagogique plus riche et interactif pour les professeurs, une façon d’apprendre stimulante, motivante, ludique pour les élèves, de plus en plus sollicités au quotidien par les nouvelles technologies.

    Pour les parents, ce système est un moyen de rester en contact avec l’école notamment grâce à l’accès aux notes et aux devoirs, pour assurer un meilleur suivi et mesurer plus nettement les progrès de leurs enfants.

    La solution e-école pour tous sera présentée Porte de Versailles au « Salon des Maires » du 20 au 22 novembre sur le stand SFR, ainsi qu’au « Salon Educatice » du 21 au 23 novembre sur les stands SMART Technologies (E16-F17), Itslearning (E28) et Maxicours (A18).

    Pour les cinq partenaires, il s’agit de répondre à un enjeu de modernisation et d’accompagner les collectivités et leurs établissements scolaires dans l’utilisation du numérique.
    e-école pour tous s’inscrit dans la problématique de la réduction de la fracture numérique, dans un contexte où les usages du numérique sont encore peu développés dans les écoles.

    Pour plus d’informations sur l’offre e-école pour tous : e-ecolepourtous.com

  • Appel à contribution pour la revue d’hiver 2014: Jeux numériques et apprentissage

    La revue « Vivre le Primaire » s’intéresse à cette question en publiant, pour l’hiver 2014, un dossier spécial intitulé « Jeux numériques et apprentissage ». L’expression « jeu numérique » doit être comprise dans son acception large : une application informatique (telle qu’un jeu vidéo, un jeu en ligne, un jeu de simulation…) utilisée pour enseigner/apprendre ou toute situation ludique intégrant des technologies numériques et ayant un objectif éducatif (jeux géolocalisés, jeux de rôles…).

    Ce dossier sera coordonné par Eric Sanchez, maître de conférences à l’Institut français de l’éducation (ENS de Lyon) et professeur associé à l’Université de Sherbrooke. Un appel à contribution est ouvert jusqu’au 30 juin 2013.

    Pour plus de détails, téléchargez ce document.