Auteur/autrice : laurence

  • Qoveo poursuit son développement à l’international en signant avec 2 géants de l’économie russe

    Qoveo poursuit son développement à l’international en signant avec 2 géants de l’économie russe

    Sberbank et ARMZ, filiale de Rosatom, deux fleurons de la banque et de l’industrie russe, ont choisi l’éditeur lyonnais de solutions dédiées à la gestion du capital humain pour les accompagner dans la mise en œuvre de leurs plans de formation. Fort de ces collaborations prestigieuses, Qoveo, qui réalise 10 % de son chiffre d’affaires en Russie, conforte son implantation sur ce marché à fort potentiel ainsi que son développement dans les pays de l’Est, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

    « Nous répondons particulièrement aux attentes des organisations en forte croissance en leur proposant une prestation globale qui intègre tout à la fois la définition de leurs objectifs pédagogiques, la conception et l’articulation de parcours d’apprentissage sur mesure, mais également des outils dédiés au pilotage des formations de A à Z, indique Denis le Chevalier, directeur général et responsable export de Qoveo. De plus, à l’heure où ces entreprises évoluent dans un environnement de plus en plus concurrentiel, nos solutions e-Learning dédiées à la formation des forces de vente et aux bonnes pratiques managériales les aident à intégrer une culture orientée vers la performance et la qualité de la relation client. »

    Former au management de la performance chez ARMZ (groupe Rosatom)

    Filiale du leader de la filière nucléaire en Russie, ARMZ souhaitait former ses 11 000 managers ou responsables, impliqués dans l’évaluation annuelle des collaborateurs, au management de la performance. Qoveo a conçu un module e-learning de 60 mn, portant sur 3 aspects : le management des tâches et des objectifs, l’évaluation des compétences et le processus de l’entretien annuel.

    Maîtriser les standards de la qualité de service chez Sberbank

    Sberbank est la plus grande institution de crédit en Russie et CEI. Avec 17 directions régionales, plus de 18 880 points de vente et environ 241 000 collaborateurs, elle dispose du plus important réseau sur le territoire. La banque souhaitait former ses 30 000 managers et collaborateurs du front office aux standards de la qualité de service auprès de la clientèle professionnelle. Au cours des 5 modules e-learning, les apprenants sont confrontés à des simulations et à des exercices de mise en situation visant à intégrer les bons comportements pour accueillir et conduire les rendez-vous avec les clients. Cet outil pédagogique constitue un guide de travail au quotidien pour les collaborateurs.

    Implanté en Russie depuis 2009, Qoveo compte 5 collaborateurs répartis à Moscou et à Saint-Pétersbourg. De nombreuses entreprises russes, dans les secteurs de l’extractionde matières premières, le secteur bancaire et la grande distribution ainsi que des grands groupes français présents sur le territoire accordent leur confiance à Qoveo : Auchan, Detskii Mir, Zakamye. En 2011, Qoveo a déployé près de 20 solutions e-learning dans ce pays.

    Qoveo est également présent sur les marchés tunisien, marocain et canadien, et s’appuie sur son réseau de partenaires locaux spécialistes des RH et de la formation pour mieux s’adapter aux spécificités de chaque territoire.


  • Olivier Larizza  » Le livre numérique creuse la tombe d’un certain type de lecture « 

    Olivier Larizza  » Le livre numérique creuse la tombe d’un certain type de lecture « 

    Olivier Larizza vient de publier « La querelle des livres» chez les Editions Buchet Chastel. En ces temps instables où le livre ne parvient plus à distinguer clairement son avenir,  l’auteur nous donne son sentiment sur « cet enjeu de civilisation»  avec un discours à contre-courant de ce qui se dit et se décrète sur cette question.  Propos recueillis par NICOLAS VIDAL – BSC NEWS MAGAZINE 

    Vous déplorez que  » le livre n’est plus le lieu privilégié de la rencontre avec l’autre et avec l’ailleurs, ni l’outil premier de la connaissance du monde ». Qu’est-ce que le livre est appelé à devenir ou qu’est-il déjà devenu selon vous ?
Il a été déclassé dans ce registre par la télévision et l’Internet. Un symptôme le montrera facilement : quand vous avez un doute, une question, vous n’ouvrez plus une encyclopédie ; vous cliquez sur Google. C’est un réflexe. Auparavant on découvrait l’altérité à travers les livres ; maintenant elle nous est servie sur un plateau par la télé, elle est à portée de clic. Le livre se réduit de plus en plus …

    La première partie de votre ouvrage est dédiée au désir pour le livre et à  « la persistance du désir de l’objet livre ». À votre sens, quelle est sa force de résistance face à la lecture sur support numérique ?
(…) J’essaie de démontrer en tout cas, c’est que la plupart des fantasmes à l’origine du désir de livre ne sont pas transposables au numérique. D’où la persistance du papier. Mais prenons par exemple le cas de l’accessibilité. C’est l’idée d’avoir une bibliothèque de Babel à portée de clic. Voilà un fantasme de toute-puissance qui joue clairement en faveur du numérique…  »

    Pouvez-vous nous en dire plus sur  » cette supériorité incontestable du livre papier » dont vous parlez dans votre ouvrage ?
Elle est manifeste dans toute une série de domaines. Le papier comble les attentes et les fantasmes généralement bien mieux que le numérique. Impossible de tout développer ici. J’évoquerai simplement l’ergonomie : l’objet livre est organiquement supérieur à la tablette ou à la liseuse (mieux adapté à la lecture, venant dans le prolongement naturel du corps humain, etc.). Il suffit d’analyser les slogans utilisés par les concepteurs des liseuses : ils…

    Lire l’intégralité de l’interview sur le BSCNEWS.FR en suivant ce lien

  • KTM Advance primée aux E-Virtuoses 2012

    KTM Advance primée aux E-Virtuoses 2012

    KTM Advance annonce que « Disney stars, l’agence virtuelle » vient de remporter l’Award E-Virtuoses du meilleur Serious Game 2012 dans la catégorie « Communication et marketing ». Un prix d’autant plus honorifique qu’il a été décerné par un jury indépendant de 11 experts internationaux.

    Le grand parc d’attractions parisien a fait appel à KTM Advance pour former les 100 000 agents de voyages européens en charge de la commercialisation de séjours à destination du Parc.

    A la fois outil de formation, de communication et de marketing, le jeu permet :

    • Dans une première partie de jeu, de s’entrainer à la vente par la simulation d’une infinité de situations, les profils clients étant générés aléatoirement
    • Dans une deuxième partie, d’accompagner les clients dans le Parc pour mieux connaître les produits et services proposés et ainsi optimiser les ventes en agence

    Pour soutenir l’effet d’expérience terrain et permettre au joueur-apprenant de se projeter dans un lieu qu’il ne connaît pas la plupart du temps, le Parc a été entièrement modélisé en 3D. La rejouabilité infinie est garantie par un moteur de jeu qui génère les événements de manière aléatoire.

    « Disney Stars, l’agence virtuelle » est localisé en 8 langues et décliné en 18 versions différentes prenant en compte les spécificités propres à chaque marché.

    Déployé depuis fin janvier 2012, le jeu compte à ce jour plus de 6 000 joueurs actifs.

    Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici

    Pour visualiser le trailer : www.disneystars.com/landing/trailer_sg/fr/

  • Imagine Cup 2012

    Imagine Cup 2012

    C’est avec un immense plaisir que nous vous annonçons la qualification des équipes Ingésup Toulouse et Bordeaux : trois équipes aux projets différents s’envoleront en juillet pour non seulement défendre les couleurs de leurs écoles mais de la France également puisqu’il s’agit de la finale mondiale Imagine Cup à Sydney (Australie). 

    L’équipe CapStreet d’Ingésup Toulouse, représentée par Anthony Balitrand et Arnaud Poupeville s’est qualifiée grâce à l’application CapStreet : une solution logicielle calculant les itinéraires les plus adaptés pour les personnes à mobilité réduite. Voir la vidéo de CapStreet : youtu.be/s83oNB5jfDo

    D’autre part, l’équipe Ecosia d’Ingésup Bordeaux présentera son projet Ecosia, un jeu ludique dont le but est d’éveiller la conscience environnementale. Le climat de cette application s’annonce chaud ! Plus d’informations sur cette équipe : youtu.be/zYpYhjVp-Jc

    Enfin l’équipe Swifteam d’Ingésup Toulouse exposera son application Swifty Ball, un jeu qui consiste à maîtriser les lois de la gravité avec pour difficulté : la rapidité et la forme non mobilisable d’une balle. Détaillé de ce projet numérique sur: youtu.be/6ikDiBcmeB4

     Sur les quatre équipes françaises qualifiées pour Sydney (toutes catégories confondues), trois représenteront l’école d’informatique Ingésup. Pour en savoir plus sur ces équipes, des vidéos et des informations plus complètes sont disponibles sur : www.ingesup.com/imaginecup12

  • Gamification Day c’est le 5 juin à Paris

    Gamification Day c’est le 5 juin à Paris

    Paris Gamification Day, le premier événement dédié à la gamification en France. L’événement organisé par Services Mobiles regroupera sur une demi-journée au travers de conférences et de tables rondes  les experts du domaine. Si vous souhaitez tout savoir sur la gamification, et comment l’inclure avec succès dans votre stratégie, rendez-vous le 5 juin à partir de 14H00 dans les locaux Microsoft à Issy-les-Moulineaux.

    GAMIFICATION : UN PHENOMENE A S’APPROPRIER MAINTENANT

    Avec un peu moins de 30 millions de français s’y adonnant régulièrement, le jeu vidéo fait désormais partie du paysage socioculturel.
    Les services Marketing se sont déjà emparés du phénomène, qui consiste à utiliser des mécanismes issus du jeu dans d’autres domaines, afin  d’augmenter l’acceptabilité et l’usage d’une offre ou d’un service, en s’appuyant sur la prédisposition humaine au jeu.
    Foursquare et ses badges pour favoriser le partage, LinkedIn et sa barre de progression pour inciter à remplir le profil en sont les exemples les plus connus, mais la gamification s’immisce peu à peu dans tous les secteurs (secteur public, transports, banque/assurance, presse, industrie, santé, éducation…) et tous les métiers (marketing, communication, ressources humaines, gestion de projet…).

     -Quelles sont les bonnes pratiques et les écueils à éviter ?

    -Comment utiliser la Gamification pour créer l’adhésion à vos produits et services ? Comment inclure des éléments vidéoludiques dans les interfaces utilisateurs ? Peut-on utiliser le jeu vidéo dans le fonctionnement d’une entreprise en interne ?

     Parmi les huit speakers présents, deux des experts du groupe SQLI; Jimmy Pina, Directeur de création, et Benjamin Moitié, Coach Agile, Alcyonix ; apporteront leur vision sur ce phénomène en pleine expansion.

    PROGRAMME

    14H00 / Accueil
    14H15 / L’essor considérable du Jeu Vidéo
    Julien Villedieu, délégué général, SNJV (Syndicat National du Jeu Vidéo)
    14H45 / Principes, applications et perspectives de la gamification
    Olivier Mauco, chercheur, game designer et directeur de création, Antidox
    15H30 / Panorama des codes graphiques du jeu vidéo
    Jimmy Pina, Directeur de création Sqli agency 1984
    16H00 / Table ronde : «La gamification & les marques» animée par Sébastien Emeriau, directeur du planning, Agence V Elliot Reilhac est entrepreneur, co-créateur de  Scanbucks
    Autres intervenants en cours de confirmation
    17H00 /  Le jeu au service de l’innovation en entreprise
    Benjamin Moitié, Coach Agile, Alcyonix
    17H20 / La politique se prend au jeu
    Matthieu Lamarre, Directeur du Digital Bayrou.fr
    17H45 / Gamification de l’entreprise 2.0
    18H15 / Le futur de la gamification
    Rémi Sussan, journaliste et auteur «les utopies post-humaines »
    18H45 / Cocktail – Networking

    Pour en savoir plus, et vous inscrire en ligne, rendez-vous sur le site.

  • Numérique ou non, le livre ne doit pas être un produit d’appel

    Numérique ou non, le livre ne doit pas être un produit d’appel

    Depuis plus d’un an, la question du prix du livre numérique est un sujet polémique connaissant chaque mois de nouveaux rebondissements. En France, le modèle qui se met en place pour le livre numérique tend à rejoindre celui du livre papier : un prix unique et une TVA réduite, donnant au livre numérique la même place que le livre traditionnel. Mais dans les pays anglo-saxons, la situation est bien différente et les acteurs de la chaîne du livre se livrent une impitoyable bataille.

    Jusqu’à la sortie de l’iPad en 2010, le monde de l’édition américaine fonctionnait sur un modèle unique : l’éditeur vendait ses titres à un prix de gros, laissant au libraire détaillant le soin de fixer le prix de son choix.

    Afin d’attirer des clients dans son écosystème, Amazon vendait systématiquement à perte les titres les plus recherchés. Ainsi, une nouveauté dont l’édition papier se vendait 28$, était vendue à 9.99$, Amazon perdant sciemment plus de 10$ par titre vendu.

    Dans le monde papier, ces prix fracassés ont permis à Amazon d’anéantir ses concurrents de façon systématique. Aujourd’hui, depuis la fermeture de Borders en 2011, il ne reste plus qu’une seule chaîne indépendante spécialisée dans la vente de livres aux USA ; Barnes & Noble. Précisons que sa situation financière est catastrophique.

    Le livre numérique permet à Amazon de mettre en place une stratégie encore plus agressive. En vendant de nombreux livres dans un format propriétaire, bloqué pour ne fonctionner que dans son écosystème, il rend l’acheteur totalement captif.

    Cette combinaison du bâton (captivité) et de la carotte (vente à perte) assure à terme une situation de monopole dans laquelle Amazon pourrait alors dicter toutes les règles du jeu.

    Inquiets face à cette situation, les éditeurs américains ont profité de l’arrivée d’Apple sur le marché pour changer les règles du jeu, basculant sur un modèle où un même prix s’appliquerait à l’ensemble des revendeurs, permettant de conserver une diversité de canaux de distribution et donc davantage de compétitivité dans ce marché.

    Une récente décision du Department of Justice (DoJ) remet cependant ce modèle en cause. Accusant les éditeurs d’entente illicite sur les prix, le DoJ s’apprête à imposer la fin de ce modèle auprès de cinq des plus grands éditeurs américains, créant ainsi toutes les conditions pour que Amazon reprenne son rôle de prédateur dominant.

    Cette décision défiant le bon sens est le signe avant-coureur d’une tendance lourde que l’édition va devoir combattre : pour ces acteurs, le livre n’est qu’un produit d’appel. Pour Apple ce n’est qu’un moyen de vendre des tablettes, pour Google nos lectures sont un moyen comme un autre d’en savoir toujours plus sur nous et nos comportements de consommateur afin de nous inonder de publicités ciblées. Ces préoccupations sont bien éloignées des attentes des lecteurs comme des éditeurs, et si les autorités laissent le marché entièrement entre leurs mains, tout le monde sera rapidement perdant.

    Fixer le prix du livre numérique n’est pas suffisant en soit, mais c’est une condition préalable à un véritable marché. Un prix unique sur le livre numérique pourrait être perçu comme une opportunité par les éditeurs de ralentir l’adoption de la lecture numérique. Au lieu de cela, il doit absolument devenir un outil leur permettant de mieux comprendre le marché, que ce soit via des politiques de prix ciblés dynamisant leurs ventes, ou en lançant de nouvelles collections adaptées aux attentes des lecteurs numériques.

    Quant aux libraires, dans un monde où les catalogues n’ont plus de limites, leur rôle sera plus que jamais nécessaire pour guider le lecteur dans ses choix. Mais être libraire numérique, c’est aussi repenser la médiation et la manière dont le lecteur navigue dans un catalogue, et c’est seulement en mettant son expérience au service de nouvelles expériences que la librairie trouvera sa place. Plutôt que d’un portail de la librairie, c’est de standards, et d’outils  leur permettant de se différencier dont les indépendants ont besoin.

    Créons ensemble les conditions favorisant la diversité des acteurs et des expériences, le livre mérite mieux que d’être un simple produit d’appel.

    Auteur : Hadrien Gardeur, Co-Fondateur de Feedbooks

  • L’ebook dans l’EPUR : le livre numérique dans l’édition professionnelle, universitaire et de recherche

    L’ebook dans l’EPUR : le livre numérique dans l’édition professionnelle, universitaire et de recherche

    L’ebook dans l’EPUR est en ligne sur le site web du GFII : www.gfii.fr/ebook. Il sera présenté Mercredi 13 juin de  12h30 à 13h30 au salon i-expo, Paris Porte de Versailles, Hall 5.1 (entrée libre). Un atelier consacré au retour d’expérience sur la création collective de ce livre numérique est proposé Jeudi 14 juin de 16h00 à 18h00.

    La campagne présidentielle a donné lieu à de nombreux débats autour du financement de la création, du développement de l’économie de la connaissance, du soutien à l’industrie numérique, de la compétitivité de la recherche française, de la fiscalité du livre, de l’évolution du droit d’auteur….

    Toutes ces thématiques sont au cœur de L’ebook dans l’EPUR, qui synthétise les réflexions du groupe de travail du GFII sur le livre numérique. Depuis 2009, ce groupe présidé par Catherine Thiolon (Editions Quae/Inra), a procédé à des auditions des principaux acteurs de la chaîne du livre numérique scientifique et professionnel (auteurs-chercheurs, éditeurs, plates-formes, libraires, bibliothèques…). Ces auditions ont nourri de riches échanges sur le développement du marché, des usages, des pratiques, des modèles économiques, des freins techniques et juridiques…

    Le livre blanc, L’ebook dans l’EPUR, illustré de nombreux retours d’expérience, donne des clés pour comprendre les problématiques du livre numérique depuis sa création jusqu’à son utilisation (individuelle et collective), en passant par sa distribution et sa diffusion.

    Quelques illustrations de questions abordées :

    • Comment le dynamisme de l’édition numérique contribue-t-il à la performance de la recherche française dans un contexte international de plus en plus concurrentiel ?
    • Comment adapter la réglementation, autour du prix unique du livre, de la fiscalité, de la propriété intellectuelle pour permettre le développement d’un véritable marché ?
    • Comment des acteurs locaux innovants peuvent-ils se développer à côté des majors internationales du secteur ?
    • Search, marketing sur les réseaux sociaux, lecture sociale et recommandations ou comment répondre aux nouveaux enjeux stratégiques des acteurs du livre ?
    • Exemples concrets de monétisation de contenus de l’édition scientifique et professionnelle…

    Informations pratiques :

    Téléchargement gratuit de l’ebook en format ePub pour Apple, ePub pour ADE, ePub pour Amazon et PDF sur le site web du GFII : www.gfii.fr/ebook

    Animation d’une communauté d’experts et recueil de nouvelles contributions en vue de la version 2 sur la plate-forme du GFII : www.gfii.fr/epur

    Présentation du Livre blanc dans le cadre du congrès i-expo, Mercredi 13 juin de 12h30 à 13h30, Paris Porte de Versailles – Hall 5.1 (entrée libre, demande de badge sur le site www.i-expo.net)

    Atelier sur la création collective du Livre blanc numérique dans le cadre du congrès i-expo, Jeudi 14 juin de 16h à 18h (bulletin d’inscription en ligne sur le site www.i-expo.net)

  • Course en cours : Une expérience du monde professionnel passionne 10 500 collégiens et lycéens pour les sciences et les techniques

    Course en cours : Une expérience du monde professionnel passionne 10 500 collégiens et lycéens pour les sciences et les techniques

    L’objectif : inventer, concevoir en 3D, fabriquer et faire courir une mini-voiture de course propulsée par un moteur électrique.

    Ils étaient 10 500 élèves dans toutes les académies de France, à participer à l’édition 2011-2012 du projet «Course en Cours», rendez-vous annuel des élèves de la 6ème à la terminale pour faire concourir de mini voitures de course conçues, testées et fabriquées par leurs soins à l’aide des technologies les plus avancées.

     La saison a culminé par la finale nationale qui vient de se tenir le 25 mai dans les locaux de la prestigieuse Ecole Polytechnique où avaient convergé 250 élèves et leurs accompagnants, pour se mesurer autant dans les courses que dans la soutenance et la présentation de leurs véhicules. Ils ont dû déployer des trésors d’ingéniosité pour accéder à cette finale après avoir triomphé dans leurs académies respectives.

    Au total, sur les 3 000 équipes participantes, le jury de professionnels de « Course en Cours » a distingué, le 25 mai 2012, les 3 équipes lauréates, parmi les 24 finalistes présentes :

    • le Grand Prix « Course en Cours » des Collèges et Lycées : l’équipe «Mach III Révolution» du Lycée Charles-Jully  de Saint-Avold (Académie Nancy-Metz).
    • le 2ème Prix : l’équipe «Jamais contents» du Lycée Saint Julien La Baronnerie à Saint-Sylvain-d’Anjou (Académie de Nantes).
    • le 3ème Prix : l’équipe «Innova’six»du  Lycée Pierre et Marie Curie Saint-Lô (Académie de Caen).

    Depuis 2006, «Course en Cours» invite les collégiens et les lycéens à créer et développer par équipe, tout au long de l’année, une mini voiture de course dans les conditions du réel. Pour la 2ème année consécutive, le projet s’est enrichi d’une innovation de taille : un nouveau mode de propulsion via un moteur électrique (les années précédentes il s’agissait d’une cartouche d’air comprimé). La compétition est du coup devenue plus technique : les élèves doivent définir des stratégies de montée en puissance du moteur et prendre en compte les conditions d’adhésion des roues sur la piste.

    Ecole de multidisciplinarité et d’initiative, facteur de lien entre l’enseignement secondaire, le supérieur et l’entreprise, « Course en Cours » est le résultat d’une ingénierie pédagogique rigoureuse intégrant de nombreuses matières de l’enseignement secondaire : technologie, mathématiques, physique, français, anglais…

     Il permet également de développer certaines valeurs portées par le sport automobile : l’esprit d’équipe, la rigueur, la précision, la créativité et le dépassement de soi. « L’aspect pédagogique du programme a été reconnu par le Ministère de l’Education Nationale en 2009 avec l’agrément pédagogique renforcé par une convention triennale en 2010 » explique Thierry Collet, Président de Course en Cours et Vice-président Global Academia and Education Dassault Systèmes.

    « Course en Cours » doit sa réussite à son organisation triangulaire qui est une première : faire travailler ensemble des collèges-lycées, universités et entreprises. En effet, encadrée par des étudiants-tuteurs de l’enseignement supérieur, chaque équipe dispose des outils et méthodes utilisés par les professionnels du secteur.

    «Outre la sensibilisation aux métiers de l’ingénierie, ce programme a pour vocation de promouvoir l’égalité des chances avec une attention particulière portée aux collèges issus des milieux sociaux et culturels les moins favorisés, de susciter des vocations et d’inciter les élèves à s’engager dans la voie des études scientifiques et techniques d’excellence» conclut Jean Agulhon, Vice-président de Course en Cours et DRH France du Groupe Renault.

     Pour participer à la prochaine édition, inscriptions jusqu’à mi-septembre 2012 sur : course-en-cours.com

  • Qoveo lance «Bouillon de bien-être», une formation e-learning pour prévenir les risques psycho-sociaux dans l’entreprise

    Qoveo lance «Bouillon de bien-être», une formation e-learning pour prévenir les risques psycho-sociaux dans l’entreprise

    Conçu à l’attention des managers opérationnels, ce parcours d’apprentissage de 30-40 minutes fournit à l’apprenant des clés pour améliorer la qualité de vie au travail, mieux appréhender les origines du stress et de ses effets, prévenir les risques, détecter des personnes en difficulté et gérer les crises. Ce module qui s’intègre dans le Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) de Qoveo vient compléter l’offre e-learning et serious game de l’éditeur dédiée aux pratiques managériales.

    Le module met en scène une jeune femme s’apprêtant à animer une conférence sur le thème du bien-être au travail, qui va dialoguer successivement avec 2 personnages :

    • un ami en état de stress
    • un collègue manager

    Lors des différentes étapes du module, l’apprenant va être sensibilisé sur les points suivants :

    • Définition du stress, de ses causes et de ses effets
    • Les règles fondamentales d’organisation et de management pour développer la qualité de vie en entreprise et le rôle clé du manager dans cette démarche
    • Les facteurs de stress dans l’entreprise et les différents types de risques psycho-sociaux inhérents
    • Comment identifier les zones de tension, les réguler afin d’éviter l’apparition des risques
    • Les différents points de vigilance à observer, de l’environnement au sein duquel évolue l’entreprise aux relations au sein de l’équipe en passant par l’organisation et le contenu du travail à effectuer
    • Les indicateurs permettant de détecter les situations à risque
    • Le comportement à adopter face à un collaborateur en difficulté
    • Les moyens à mobiliser pour prévenir ou enrayer les crises liées au stress

    Différentes évaluations jalonnent le parcours d’apprentissage pour valider au fur et à mesure la bonne acquisition des connaissances par l’apprenant.