Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    Dispensé soit en mode mixte online-présentiel soit en mode full online, afin d’offrir le maximum de souplesse, cette formation de 620 heures se déploie sur deux ans et se distingue par la dimension d’excellence numérique que tout manager du 21ème siècle doit maîtriser.

    Un Executive MBA qui ouvre les portes de la « BusinessTech »

    Le programme s’appuie sur la maîtrise des fondamentaux du management en les revisitant à travers l’impact de la dimension numérique. Un seul objectif : permettre aux cadres à être au cœur de la transformation digitale des entreprises et de l’activité économique en leur donnant toutes les cartes pour être un « e-leader » : e-commerce, digital-marketing, gestion du système d’information, management digital…

    Une « Digital Learning Expedition » permet chaque année aux participants de s’envoler pour San Francisco, Tel Aviv, Singapour ou Shanghai pour rencontrer les Google, Linkedin, Facebook et autres acteurs qui créent le numérique de demain.

    Une option full online

    Afin de fournir le maximum de souplesse, la formation sera disponible soit en formule mixte online et présentiel (groupe de travail, master class un samedi par mois) soit entièrement en ligne.
    Dans tous les cas, la formation a été pensée pour que les professionnels puissent la suivre sans avoir à mettre entre parenthèses leur activité et leur vie personnelle : son approche permet aux participants de travailler chacun à son rythme.

    L’entrepreneuriat au cœur du programme

    L’Executive MBA s’appuie sur la pédagogie « learning by doing » et la méthode d’apprentissage par le projet développée par l’ISG et l’EPITA. Les participants seront amenés à réfléchir, entre autres, aux améliorations que le numérique peut apporter dans leur domaine à travers la simulation de création d’entreprises.

    Pour Anne Marie Rouane, directeur général de l’ISG, « nous vivons une renaissance extraordinaire de l’ensemble des modèles économiques. C’est pour répondre aux attentes des entreprises qui veulent évoluer que nous créons une formation Executive MBA adaptée au monde numérique. Pour nos alumni, pour tous les diplômés d’écoles de commerce, les managers qui veulent prendre le tournant du digital, c’est une opportunité formidable avec les deux expertises réunies ».

    Pour Joël Courtois, directeur de l’EPITA, « depuis plus de 30 ans, l’EPITA forme celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les innovations numériques, au cœur des entreprises comme dans notre vie de tous les jours.  Nous sommes convaincus que l’avenir appartient aux e-leaders, les managers de demain, maîtrisant la dimension numérique dans toutes les facettes de leurs métiers. »

     Plus d’infos :
    http://executive-mba.isg.fr et http://executive-mba.epita.fr
     

  • Pédagogies, neurosciences et numérique

    Pédagogies, neurosciences et numérique

    Dédié aux pédagogies innovantes ce colloque veut apporter des réponses à la question : « Révolution 3.0 et progrès des neurosciences, quelles opportunités pour les pratiques pédagogiques ? ».

    Les objectifs de ce colloque :

    • Expliquer en quoi les découvertes des neurosciences et les perspectives du numérique ouvrent de nouveaux champs de développement de la pédagogie.
    • Echanger autour des meilleures pratiques et expériences pédagogiques, de leur effet sur la réussite et l’insertion, en limitant notamment le décrochage scolaire.
    • Faire se rencontrer acteurs de l’éducation et de la formation d’une part, scientifiques d’autre part, combiner apports académiques et apports opérationnels.

    Le programme :

    Une matinée, animée par la journaliste Françoise Laborde, consacrée à des apports conceptuels avec une introduction philosophique, suivie d’échanges sur différents thèmes : « neurosciences et pédagogie », « numérique et pédagogie », « Et à l’International ? ». Enfin, une conclusion de l’historien Fabrice d’Almeida portant sur « Le numérique est-il en train de tuer la culture ? ».

    Un après-midi consacré à une approche plus opérationnelle avec une table-ronde, animée par Fabrice d’Almeida, réunissant professionnels, entreprises, enseignants, institutionnels impliqués d’une manière ou d’une autre dans les changements de la pédagogie et de la formation. Cette table ronde sera suivie d’ateliers, de démonstrations et de témoignages, portant aussi bien sur l’utilisation de technologies (fablab, campus virtuel,…), que sur la motivation d’élèves en situation de décrochage, ou encore sur l’accompagnement d’équipes pédagogiques engagées dans l’appropriation de nouvelles méthodes et démarches.

    Enfin, pour conclure la journée, le Prix de l’i-novation sera remis par Bruno Mettling, Directeur général adjoint, Groupe Orange.

    Ce prix récompensera un projet pédagogique innovant, transposable et digital permettant d’apprendre facilement. Doté de 10 000 euros, il est ouvert aux équipes pédagogiques, aux candidats individuels et, plus largement, à tout établissement privé ou public et toute personne morale ayant un lien avec la pédagogie. Le jury sera présidé par Stéphanie Osmont, Déléguée générale de L’Envol, le campus de La Banque Postale.

    Plus d’infos sur :  

    https://colloque-pedagogie-foyerdecachan.fr/

    http://www.foyercachan.asso.fr/

    A propos de Apprendre & Réussir et du Foyer de Cachan :

    Le fonds de dotation Apprendre & Réussir a pour vocation essentielle toute action d’intérêt général contribuant à soutenir la création, l’expérimentation et la diffusion de pédagogies et d’e-pédagogies innovantes pour aider les jeunes en difficultés scolaires à reprendre de processus d’apprentissage et à s’insérer dans la vie professionnelle.

    Il a été créé par Le Foyer de Cachan, association qui fête cette année son centenaire et qui accueille, éduque, forme et insère des jeunes en difficultés scolaires. Depuis 1915, il a permis à 40 000 jeunes d’atteindre « la réussite au bout du parcours ». Passé à l’ère du numérique, son lycée professionnel a expérimenté l’impact positif et dynamisant d’approches pédagogiques innovantes.

    Informations pratiques :

    Foyer de Cachan : 36 Avenue du Président Wilson, 94234 Cachan Cedex. Accès par le RER B, Station Bagneux, entrée rue du Loing. Par le bus n°197, station Pont Royal, entrée rue du Loing. Par la route, en venant de Paris, à la Porte d’Orléans, prendre la RN 20, entrée 36 Avenue du Président Wilson.

     

  • « Ecrire pour le Web », le nouveau MOOC de Rue89

    « Ecrire pour le Web », le nouveau MOOC de Rue89

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    Rendez-vous le 9 novembre 2015 pour vous former aux nouvelles techniques d’écriture sur le Web.

    Étalé sur 4 semaines, ce MOOC vous permettra d’aborder toutes les facettes de l’écriture sur le Web : du référencement à la gestion du temps et de l’audience, en passant par l’influence des réseaux sociaux ou le développement des médias sur tablettes et mobiles.

    Les deux dernières semaines feront l’objet, pour ceux qui le souhaitent, d’une option payante qui vous permettra de faire valider vos acquis et d’obtenir l’attestation de réussite au MOOC « Ecrire pour le web« .

    Le MOOC est ouvert à tous : journalistes, professionnels de la communication, étudiants, retraités, demandeurs d’emplois, salariés…
    Plus d’infos et inscriptionsMoocEcrireWeb

    Source : Rue89

  • LE Hackathon pédagogique du C2E 2015 à Poitiers aujourd’hui en vidéo !

    LE Hackathon pédagogique du C2E 2015 à Poitiers aujourd’hui en vidéo !

    Ludomag était présent à cette première et a mis en scène une vidéo de quelques minutes pour vous faire partager l’ambiance, la concentration, la délibération du jury, le suspense dans l’attente des résultats jusqu’à la délivrance…

    « L’idée est que, lorsqu’on organise une semaine de rencontres et de débats sur le pouvoir de faire, dans cette semaine il faut donner l’occasion de faire« , Jean-François Cerisier, Directeur du Laboratoire TECHNÉ Université de Poitiers.

    « Imaginer des services, des contenus et co-construire ensemble« , Jean-Marc Merriaux, Directeur général CANOPÉ

    « Ce que nous avons essayé de reproduire aujourd’hui à petite échelle, ce sont les méthodologies du design thinking« , Karine Aillerie, CANOPÉ

    « Sur la pédagogie, il va peut-être ressortir de ce hackathon des choses incroyables, des nouvelles façons d’aborder un sujet« , Patrick Joubert, juré du Hackathon.

    « Le plus difficile dans un hackathon, c’est de tenir la pression car c’est à faire dans une période très courte ; et le plus important est de rester avec une mentalité ouverte », Fernando Gamboa-Rodriguez de l’Université National Autonome de Mexico.

    Plus d’infos sur le Hackathon pédagogique du C2E 2015 à lire ici

  • 5 chantiers d’envergure pour la DNE pour répondre au Plan Numérique du gouvernement

    5 chantiers d’envergure pour la DNE pour répondre au Plan Numérique du gouvernement

    « Le développement des usages du numérique ne peut se faire que si il existe un socle et des infrastructures dont la création ne se justifient que parce qu’il y a des usages ; les deux vont donc de pair ».

    Mathieu Jeandron pointe le fait que la transformation numérique ne s’arrête pas à l’action pédagogique et « c’est tout le sens de la Direction du Numérique pour l’Education ».
    C’est aussi la difficulté d’allier des systèmes d’information « à l’ancienne » et le numérique imaginé pour demain dans les classes.

    Le Plan Numérique, c’est tout sauf un plan.

    « En réalité, nous sommes dans une démarche de construction progressive qui n’a pas de terme ».

    Mathieu Jeandron expose les cinq principaux chantiers qui constituent le socle des actions de la DNE en réponse au Plan Numérique du gouvernement.

    L’accompagnement de la transformation passe par la formation et au-delà.

    « En effet, la formation ne suffit pas et nous avons aussi un enjeu d’appropriation à faire passer ».
    Au travers notamment de la mission confiée à Jean-Marc Monteil, le ministère travaille à mettre en place des incubateurs et des lieux d’analyse scientifique avec les projets e-FRAN, Espaces de Formation, de Recherche et d’Animation Numériques.

    Les ressources numériques sont le deuxième chantier d’importance pour le Plan Numérique.

    Elles peuvent être de toute sorte : achats de ressources, appui à la création par des enseignants, soutien aux réseaux sociaux qui encourage les échanges comme Viaéduc.

    Un autre chantier, et pas des moindres, est le lancement des appels à projets pour la rentrée 2016, « qui doit marier un projet pédagogique, un matériel mobile et des infrastructures avec les collectivités locales ». Car, comme le rappelle Mathieu Jeandron, « nous avons l’objectif de couvrir 40% des élèves de classe de 5ème pour la rentrée 2016 ».

    Un autre point abordé est bien entendu le travail sur les nouveaux enseignements et l’éducation aux médias.

    Le fait que l’information soit omniprésente partout ne remplace pas le savoir profond.

    Il est absolument nécessaire d’apprendre aux élèves à se débrouiller dans la recherche d’information « avec les évolutions qu’il faudra amener au B2i », précise t-il.

    Le dernier chantier est la « mise en place d’un environnement numérique favorable ».

    Faire évoluer les ENT mis en place depuis 2003 et qui se retrouvent en « concurrence » avec de grands éditeurs américains est une question d’actualité.

    « Comment marier les environnements protégés des ENT pour lesquels des investissements importants ont été engagés avec des usages qui se développent sur des plateformes américaines » ?

    La Direction du Numérique pour l’Education prend ce sujet très au sérieux et travaille à l’élaboration d’une charte « préalable à toute hypothèse de partenariat » et traitant de la protection des données, la localisation, de la restitution des données pour des besoins pédagogiques.

    Enfin, le Très Haut Débit n’est pas laissé pour compte et la DNE est en collaboration étroite avec le Ministère de l’économie numérique « pour achever le déploiement du Très Haut Débit qui est un élément essentiel ».

    Une transformation numérique qui implique l’ensemble de l’écosystème éducatif.

    Mathieu Jeandron met en avant le positionnement du chef d’établissement qui est très important dans un contexte de développement massif des usages, notamment avec la mise en œuvre du Plan Numérique.

    De même, il souligne l’importance de l’implication des informaticiens dans cette transformation, « car l’innovation se fait souvent en marge de l’informatique traditionnelle » Dans ce sens, Mathieu Jeandron ne souhaite pas que les 2300 informaticiens de l’Education Nationale soient mis à l’écart.

    Le chef d’établissement et les informaticiens ne sont que des exemples pour montrer que le développement des usages ne peut se faire sans l’implication à tous les étages de la communauté éducative.

    Nous ne pourrons pas faire cette transformation numérique de ce qui se passe dans la classe sans avoir l’appui de l’ensemble de l’écosystème éducatif.

  • EDUCATEC – EDUCATICE, c’est dans moins d’un mois !

    EDUCATEC – EDUCATICE, c’est dans moins d’un mois !

    En donnant à la Grande école du numérique une dimension interministérielle, le gouvernement envoie un signe fort : l’éducation doit se penser impérativement avec les technologies d’aujourd’hui.

    C’est dans ce contexte porteur et challengeant que s’ouvre la 20ème édition d’Educatec – Educatice, le salon professionnel de l’éducation primaire, secondaire et de l’enseignement supérieur.

    Comme chaque année, 10 000 experts, décideurs et professionnels des technologies éducatives se retrouveront à la Porte de Versailles pour échanger à chaud sur l’actualité du secteur.

    Au programme

    Les conférences plénières

    Mercredi 18 Novembre – 09h30 à 10h30 – Salle de conférence 1 – Plan numérique : comment s’organise une politique réussie d’équipement partout en France ?
    La généralisation des usages numériques dans les collèges passera par un équipement individuel des collégiens ainsi que par des actions de formation des personnels. Comment les acteurs se mobilisent pour assurer la réussite de ce plan ambitieux ? Quels services seront apportés aux enseignants et responsables d’établissements ?

    Jeudi 19 Novembre – 09h30 à 10h30 – Salle de conférence 1 – La transformation de l’école est-elle (enfin) une réalité ?
    Nouveaux supports multimédia pour l’enseignement, amélioration constante des conditions d’accès à internet, offre grandissante de ressources éducatives de qualité… Le virage numérique est aujourd’hui pris par l’école. Mais la transformation pédagogique a-t-elle véritablement lieu ? L’innovation se diffuse-t-elle dans les pratiques quotidiennes ?

    Vendredi 20 Novembre – 11h15 à 12h15 – Salle de conférence 1 – Comment s’organisent les collectivités et les académies en vue de la mise en œuvre du plan numérique ?
    Les partenariats entre conseils départementaux et académies sont au cœur de la logique du plan Hollande. Ces politiques doivent cependant se construire sur la base de projets pédagogiques élaborés dans les académies. Comment évolue aujourd’hui ce dialogue entre acteurs ? Les stratégies poursuivies diffèrent-elles sensiblement d’un territoire à un autre ?

    Pour accéder au programme complet des plénières, cliquez ici

    Les espaces de démonstration

    → LE STAND DU MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE
    Tout au long du salon, des animations, des démonstrations et des présentations d’innovations pédagogiques seront présentées sur le stand du Ministère: classe virtuelle M@gistère pour la formation des enseignants, trophées EducNUM co-organisés avec la Cnil pour encourager les 6-14 ans à mieux protéger leur vie privée, pratiques enseignantes autour des ressources en sciences et culture du portail Éduthèque, usages innovants des services du CNED D’col et English for schools…

    Cette année, le Ministère organise pour la première fois avec le réseau Canopé, le CNED et l’Onisep, un hackathon durant les trois jours du salon pour encourager la production de ressources numériques par et pour les enseignants.

    Sous les hashtags #HackÉdu et #ÉcoleNumérique, le Ministère propose aux visiteurs et exposants de participer à cette initiative originale où les équipes seront composées d’enseignants, de personnels et d’étudiants, puis départagées par un jury d’experts enseignants, universitaires et industriels !

    → PLATEFORME DEMOTICE

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    Les projets académiques s’appuyant sur le numérique pour la réussite des élèves ne cessent de prendre de l’ampleur. Pour constater et comprendre ce foisonnement d’initiatives de qualité, rendez-vous sur Demotice !

    •    Mercredi 18 novembre 2015 :

    09h30 à 10h45 – VIAÉDUC, le réseau social professionnel dédié aux enseignants et aux métiers de l’enseignement
    Viaéduc est un réseau social professionnel en ligne, à l’instar de réseaux comme Viadeo ou LinkedIn. Il est différent car dédié aux enseignants, centré sur les problématiques pédagogiques. Il est innovant car en plus des fonctions classiques d’un réseau social (créer son profil, construire un réseau, créer des communautés de travail, commenter, partager, recommander), il facilite l’accès à des ressources éducatives, publiées par les enseignants eux-mêmes et par des éditeurs privés ou publics, et propose des outils collaboratifs, notamment de cocréation de contenus.

    16H30 à 17H45 – ACADEMIE DE STRASBOURG / Tablettes « hybrides » et pédagogie inversée en classe dyslexie
    Démonstration en présence d’élèves de 6ème du Collège François Truffaut de Strasbourg

    •    Jeudi 19 novembre 2015 :

    11H00 à 12H15 – ACADÉMIE D’ORLÉANS-TOURS / Twitter et dictées : les twictées au service de l’apprentissage de l’orthographe en cycle 3
    Démonstration en présence d’élèves de CM1 et CM2 de l’Ecole Primaire de Druye (37)

    13H30 à 14H45 – ACADÉMIE DE REIMS / L’usage du smartphone à des fins pédagogiques au lycée : création d’applications et réalité augmentée
    Démonstration en présence d’élèves du Lycée François Bazin de Charleville-Mézières (08)

    •    Vendredi 20 novembre 2015 :

    09H30 à 10H45 – ACADÉMIE DE PARIS / Apprentissage de l’anglais et optimisation interactive des différents supports audiovisuels numériques
    Démonstration en présence d’élèves de l’école élémentaire d’application Milton – Paris 9ème

    13H00 à 14H15 – ACADÉMIE DE POITIERS / Le WEBfolio : Un portfolio numérique au service du développement du projet personnel des élèves
    Présentation avec des élèves du Lycée Pilote Innovant International (LP2I) du Futuroscope – Jaunay-Clan (86)

    A voir également : L’Académie de Lille et « les intelligences multiples », l’Académie de Nancy-Metz et « la collaboration inter-établissements »…

    Pour accéder au programme complet des démos sur Demotice, cliquez ici

    → PLATEFORME DEMOSCIENCES

    Espace dédié aux démonstrations des usages innovants pratiqués dans les sections STI2D, STL, Physique-Chimie et classes préparatoires, Demosciences proposera notamment cette années des démos autour de la Réalité Virtuelle (plateforme STI2D) et de l’Étude de la structure de l’ADN par diffraction (plateforme physique-chimie).

    Pour accéder au programme complet des démos sur Demoscicences, cliquez ici

    L’ACADÉMIE DE VERSAILLES, propose durant ce salon la possibilité de participer aux animations et aux ateliers sur les projets innovants des établissements pilotes ainsi qu’aux échanges d’expériences sur le numérique éducatif.

    Le stand s’organise cette année en cinq espaces :
    •    Espace « M-Education »
    •    Espace « Classes numériques »
    •    Espace « Découverte de la robotique»
    •    Espace « Classe maternelle »
    •    Espace « Jeux et apprentissage»

    Pour plus d’infos sur le stand de l’Académie de Versailles, cliquez ici

    L’ESPACE NUM@CRETEIL, le stand de l’académie de Créteil, aura pour thème cette année : le numérique éducatif : l’affaire de tous.
    Mobilité, collaboration, multi-contextualisation à l’aide du numérique seront au programme des animations.

    Pour plus d’infos sur le stand Num@Créteil, cliquez ici

    La 7ème édition des trophées des technologies éducatives

    Organisés avec le soutien du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et en partenariat avec l’UGAP, les Trophées des Technologies Éducatives, qui récompensent les collectivités territoriales et les établissements de l’enseignement supérieur, sont de retour cette année. Une occasion unique de montrer les innovations qui améliorent l’environnement de travail des élèves et des étudiants. Quatre catégories sont proposées :
    •    Communes
    •    Régions
    •    Départements
    •    Établissements d’enseignement supérieur

    Plus d’infos :
    rendez-vous à Paris, Porte de Versailles, Pavillon 7/1 les mercredi 18, jeudi 19 et vendredi 20 novembre 2015
    www.educatec-educatice.com

    Ludomag est partenaire d’EDUCATEC-EDUCATICE ; retrouvez nous sur le stand C13 !

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  • Numérique et temps périscolaires : c’est pourtant simple, non ?

    Numérique et temps périscolaires : c’est pourtant simple, non ?

    « Nous nous sommes regroupés avec une commune voisine pour gérer notre école de 94 enfants ».

    La réforme des rythmes scolaires est arrivée à Liancourt-Saint-Pierre comme partout ailleurs en France et, plutôt que de considérer dès le début qu’ils n’avaient pas les moyens de cette réforme, les élus ont préféré la voir comme une opportunité.

    Activités périscolaires : un nouveau moyen pour les élus de se rapprocher de l’école ?

    Nous nous sommes dit que c’était une formidable opportunité de mettre un pied à l’école.

    La question de comment organiser le temps disponible est venue en premier : faire 4 fois 45 minutes sur un après-midi ou 45 minutes sur chaque fin de journée ? La concertation avec les professeurs des écoles et les parents a statué sur un temps périscolaire de 45 minutes chaque fin de journée.

    Puis les discussions sont se sont tournées vers le programme et le numérique a fait son entrée chaque jeudi de 16h à 16h45, avec l’intention de faire découvrir le « codage » aux enfants. Néanmoins, Sylvain Le Chatton souligne qu’il a souhaité démystifier la notion de codage dès la première séance.

    « Qu’est ce que le codage ? C’est simplement envoyer des instructions à quelque chose pour que ce quelque chose les réalise ».
    C’est ainsi que Sylvain Le Chatton a introduit la première séance et il n’a pas fait miroiter aux élèves qu’ils allaient, dès le début, manipuler des robots ; il les a invité à travailler sur des tablettes sur un jeu qui demande d’envoyer des instructions et qui aident à passer des niveaux, « Lightbot ».

    Selon le niveau de classe, les objectifs demandés diffèrent un peu ; « avec les CE1 et CE2, nous avons travaillé sur le fait de passer des niveaux, de s’améliorer et d’augmenter la difficulté alors qu’avec les CM, nous sommes vite passés à l’innovation et la création de sa propre histoire avec l’application Scratch, car les enfants ont beaucoup de choses à raconter ».

    Du codage pendant les TAP aujourd’hui apprécié par les parents, plutôt méfiants au départ.

    Lorsque les parents venaient chercher leurs enfants, je m’amusais toujours à leur dire que nous avions fait du codage ; les parents me regardaient souvent avec des yeux écarquillés.

    Les enfants ont demandé à leurs parents d’acheter à la maison l’application Lightbot, ce qui a conduit à ce que parents et enfants jouent au même jeu et comparent leur progression.

    « J’ai des papas qui venaient me voir pour me dire qu’ils arrivaient à tel niveau et que leur fils était à tel niveau », explique Sylvain Le Chatton. « Ce qui donne vraiment une bonne perception de ce que nous faisons le jeudi sur le temps périscolaire », ajoute t-il.

    Pour lui, ce n’est pas uniquement jouer pour jouer ; « on est vraiment dans l’enfant “acteur“ contrairement à ce que pensent certains parents non initiés qu’un enfant devant un écran est obligatoirement un enfant passif ».

    Plus d’infos :
    Usages de Scratch en classe, voir aussi le reportage de Ludomag réalisé au colllège Truffaut de Strasbourg.

  • Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    La ville de Poitiers compte 45 écoles dont 24 écoles maternelles et 21 élémentaires soit 6200 élèves ; ces chiffres sont en constante progression.

    « Nous n’avions pas vraiment de plan numérique au départ et nous affichions un léger retard ».

    La ville de Poitiers a donc réagi face à ce retard ; depuis 2010, elle s’est lancée dans un projet éducatif global dans lequel le numérique est intégré.
    En premier lieu, elle a investi dans les Tableaux Numériques Interactifs avec un TNI par école, « aussi parce qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup d’enseignants volontaires, car la formation n’était pas acquise pour eux à ce moment-là ».

    Passée cette première étape de « mise en route », la ville de Poitiers a établi un partenariat avec l’éducation nationale et a réorienté ses choix.

    Il n’était pas question d’investir l’argent public dans du matériel qui ne serait pas utilisé c’est pourquoi nous nous sommes rapprochés tout naturellement de l’éducation nationale.

    Aujourd’hui, tous les enseignants qui souhaitent utiliser le matériel, reçoivent une formation ; et le partenariat va plus loin puisque le réseau Canopé y est aujourd’hui associé pour les contenus, entre autres.

    Malgré la bonne volonté affichée de la ville de Poitiers de « faire entrer le numérique dans leurs écoles », il reste encore un frein au développement, comme l’explique Laurence Vallois-Rouet :

    « Nos écoles ne sont pas encore toutes câblées et nous avons établi un plan pluriannuel pour pallier à cette contrainte d’ordre technique, mais aussi d’ordre financier ». En effet, les installations techniques font partie des investissements les plus importants à réaliser.

    Aujourd’hui, 14 écoles sur 45 sont équipées et le personnel du service éducation assure la maintenance.

    Avec l’objectif de développement que la ville envisage, un nouvel enjeu sera d’embaucher d’autres personnels pour assurer cette maintenance.

    La ville de Poitiers ne s’engage pas de manière passive sur les projets numériques et ses élus ont conscience qu’il faut suivre les évolutions.

    « Aujourd’hui, nous avons fait le choix de mettre à disposition des chariots mobiles dans les écoles élémentaires ; si demain nous sommes sollicités pour mettre des tablettes, nous pourrons l’envisager ».

    Pour suivre ces évolutions, la commune a mis en place un comité de pilotage qui se réunit deux fois par an et qui est composé de la communauté éducative (IEN, parents d’élèves, techniciens informatique et éducation de la ville etc) ; d’autre part, un comité technique se charge d’évaluer dans le temps les dispositifs mis en place par la municipalité.

    Les parents d’élèves ne sont pas oubliés et la mairie reçoit leurs représentants trois fois par an pour évoquer les projets dont le numérique fait partie. Et, au-delà de ces rencontres, la ville de Poitiers a également fait le choix des ENT pour ses écoles « car le lien avec la famille nous paraissait important ».

    La continuité éducative en dehors du temps scolaire est de notre compétence ; et donc permettre à des familles de s’approprier la scolarité de leurs enfants nous semblait essentiel.

    Laurence Vallois-Rouet est bien de ceux qui croient que les jeunes ont des facilités avec le numérique mais pour elle, c’est dans les familles que la fracture numérique est présente.
    « Il faut aussi éduquer les parents à ce qu’est l’outil informatique et ce qu’est le numérique ».

    Dans sa stratégie de développement du numérique dans les écoles, la ville de Poitiers entend bien impliquer l’ensemble de la communauté éducative.

     

  • Un serious game pour former les jeunes générations au secourisme

    Un serious game pour former les jeunes générations au secourisme

    [callout]Édité par la start-up Abeilles Multimédia, SALVUM (« sauver » en latin) a été imaginé pour permettre au plus grand nombre de se former facilement et efficacement au secourisme. En effet, les accidents de la vie courante représentent à ce jour la troisième cause de mortalité en France avec 20 000 décès par an. Or, moins de 20% de la population française serait actuellement formée au secourisme.[/callout]

    Pierre Sabin, Dirigeant et Co-fondateur d’Abeilles Multimédia, explique : « Notre objectif en créant SALVUM, était de rendre plus accessible le secourisme afin de former davantage de personnes et ainsi, réduire le nombre de drames que certains vivent chaque année.
    Après un démarrage prometteur auprès des adultes, grand public et entreprises, nous souhaitons maintenant nous adresser aux plus jeunes. C’est pourquoi nous avons développé SALVUM ÉDUCATION, pour sensibiliser directement ceux qui pourront faire la différence dans le monde de demain
    ».

    SALVUM ÉDUCATION, c’est quoi ?

    SALVUM ÉDUCATION est une ressource multimédia dédiée au secourisme, conforme à la proposition 1 du référentiel interne de formation et de certification PSC1 de l’Éducation Nationale.

    Le principe est très simple :

    il s’agit d’apprendre aux élèves les réactions et gestes de premiers secours par l’expérience, en les faisant devenir acteur de leur propre formation.

    Face à une situation, l’élève va devoir l’analyser, puis agir. Il va commencer par réfléchir et non par essayer de mémoriser, contrairement aux formations classiques.

    Tour à tour, l’élève visitera des « villes » dédiées à des thématiques comme « Alerte », « Traumatisme », ou encore « Arrêt cardiaque ». Il lui faudra à chaque fois valider ses acquis sur une thématique avant de pouvoir passer à la suivante.

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    L’algorithme développé adaptera en temps réel le parcours de l’élève en fonction de l’évolution de son niveau tout au long de l’apprentissage, lui évitant ainsi de se désintéresser de la formation et de décrocher en cours de route.

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    A la fin de la formation théorique, un bilan sera édité pour chaque élève. Le professeur qui formera les élèves à la partie pratique aura également ces bilans à disposition et pourra ainsi adapter plus facilement l’apprentissage de chacun.

    SALVUM ÉDUCATION, une méthode qui a déjà fait ses preuves

    Avant le lancement de l’application SALVUM ÉDUCATION, sa méthode d’apprentissage a fait l’objet d’une expérimentation suivie par la Direction du Numérique pour l’Éducation, et financée par la Région Île-de-France. Ce sont 68 élèves du Collège du Vieux Chêne de Chessy qui se sont prêtés au jeu de février à juillet 2015.

    Divisés en 3 groupes, ils ont été formés ou se sont formés seuls aux premiers secours. A la fin de la période, les 68 élèves ont été soumis à un même questionnaire d’évaluation des connaissances, et les conclusions ont été sans appel.

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    Proposer une formation en autonomie aux élèves par le biais de SALVUM ÉDUCATION est ainsi la meilleure solution pour leur permettre d’apprendre les gestes qui sauvent, et surtout pour qu’ils les retiennent.

    SALVUM, c’est permettre à chacun de sauver une vie !  #JouerASauverDesVies

    Plus d’infos :  salvumeducation.org