Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Read Play, le serious game pour évaluer des ados en situation d’illettrisme ou décrocheurs scolaires

    Read Play, le serious game pour évaluer des ados en situation d’illettrisme ou décrocheurs scolaires

    Ce serious game innovant associe des séquences vidéo dynamiques de la vie professionnelle (métiers du bâtiment,  de la restauration…) à des épreuves d’évaluation du langage écrit et du fonctionnement cognitif.

    Gerip2_151013Le logiciel READ PLAY (support DVD PC/MAC)

    Read Play est un serious game d’évaluation des compétences clés pour des apprenants présentant des troubles de la lecture, de l’orthographe ou du calcul. Il permet, à l’aide de 20 épreuves d’évaluation contenant chacune 15 items (ou étapes) d’évaluer le niveau de langage oral et écrit ainsi que le profil cognitif d’un apprenant adulte.

    La passation complète de l’évaluation Read Play permet d’établir un positionnement de l’apprenant concernant son degré d’illettrisme sur une échelle de 1 à 4 (référentiel ANLCI) et surtout de cerner ses points forts et ses lacunes afin d’établir un projet de remédiation efficace et sur-mesure.

    Les épreuves cognitives et linguistiques ont été élaborées en s’appuyant sur des situations concrètes de la vie professionnelle.

    Gerip_141013Read Play utilise des séquences vidéo « métiers » et 300 items d’évaluation

    Le DVD Read Play s’appuie sur des séquences vidéo de gestes techniques liés à la vie professionnelle dans les domaines du bâtiment / transport /  voirie / restauration/ propreté et sur l’évaluation des fonctions cognitives et linguistiques (perception/attention/visio-spatial/mémoire/logique/langage oral/langage écrit/fonctions exécutives).

     

     

    En savoir plus :
    Gerip est une société spécialisée dans l’évaluation et la remédiations cognitives par des dispositifs numériques innovants
    pour les élèves à besoins particuliers : élèves DYS, décrocheurs scolaires, jeunes en situation d’illettrisme
    Plus d’infos : www.gerip.com

  • L’enseignement avec tablettes : SMD Systems et Crealogic conjuguent leurs compétences

    L’enseignement avec tablettes : SMD Systems et Crealogic conjuguent leurs compétences

    Depuis 1989, SMD Systems développe et installe des solutions multimédias didactiques en milieu éducatif.

    Le haut niveau de qualification de notre équipe, composée de pédagogues, d’ingénieurs et techniciens informaticiens et électroniciens, nous permet d’offrir un panel complet de services opérationnels, du conseil au service après-vente, en passant par la vente, le déploiement, la formation et l’assistance, et de disposer d’un bureau d’études performant ayant déjà donné naissance à plusieurs produits innovants et précurseurs.

    Depuis de nombreuses années, SMD Systems bénéficie de la confiance de partenaires institutionnels (Conseils Généraux, Conseils Régionaux, Municipalités, Communautés de Communes…) sur l’ensemble du territoire français, mais aussi à l’étranger.

    SMD Systems a conçu et développé une solution originale et ergonomique : baLibom tablet.

    baLibom  est une solution mobile d’apprentissage des langues et de baladodiffusion. Avec baLibom, toute salle de classe devient un laboratoire de langues.

     

    La vocation première de Crealogic est le développement d’applications mobiles pour l’enseignement.

    Des spécialistes de la didactique et de jeunes développeurs de talent ont permis la réalisation de solutions performantes résolument orientées vers la pratique pédagogique et l’intégration des NTIC et du multimédia en classe ou en formation.

    TClass+ M est le successeur des laboratoires multimédia traditionnels.

    TClass+ M tire le meilleur parti des capacités des tablettes tactiles en termes de facilité de prise en main et de mobilité. Sa richesse fonctionnelle en fait un outil de premier plan pour l’animation pédagogique  en permettant les échanges, la diffusion, le partage de contenus et la communication entre les acteurs de la Classe ou de la formation tout au long de a session de travail.

    et  réunis dans une solution intégrée ?

    Pourquoi faire ?

    Crealogic_111013Les 2 solutions sont parfaitement complémentaires :
    baLibom, outre l’aspect stockage sécurisé, mobilité, mise en réseau Wifi dédiée et rechargement des batteries, facilite le transfert de fichiers et permet de distribuer en même temps (en une seule opération) des contenus différents sur chaque tablette A ceci s’ajoutent les fonctionnalités de type ‘baladodiffusion’ .

    Tclass+M offre les fonctionnalités de communication et d’orchestration de séance et prolonge ainsi  l’action de baLibom en permettant l’utilisation en classe ou en formation des fichiers et données traitées par baLibom .

    L’intégration des 2 produits dans une seule et même solution permet de proposer une chaine complète dédiée à l’enseignement avec les tablettes tactiles. C’est une véritable réponse aux besoins exprimés par les professionnels aussi bien par rapport au traitement de fichiers qu’à leur intégration dans la pratique didactique basée sur l’emploi des contenus multimédia et l’utilisation des NTIC.

     

    Pour en savoir plus : www.crealogic-tn.fr

     

     

     

     

     

     

     

  • Numérique : 5 tendances  qui vont changer le monde

    Numérique : 5 tendances qui vont changer le monde

    Epitech_gillesbabinet_111013

    Cet événement a réuni  près de 150 personnes, professionnels comme étudiants, venues découvrir les cinq nouvelles tendances numériques, introduites comme révolutionnaires : la finance, l’éducation, la santé, la production et l’Etat.

    Retour sur les points essentiels …

    Le numérique associé à ces cinq secteurs clés est et se doit d’être un enjeu économique incontournable pour notre société actuelle. Malgré son 5e rang de puissance économique mondiale, la France est reléguée à la 20e place en terme de numérique.

    C’est ce retard notoire que Gilles Babinet souhaite mettre en exergue auprès des jeunes, acteurs en puissance de cette « ère du numérique ».

    C’est avec des exemples précis et avérés qu’il nous explique comment le numérique représente un accélérateur de croissance national. Basé sur un modèle de démocratie participative, le numérique est source de partage pour combler des manques reconnus.

    Ainsi, les cours interactifs et le partage des informations en ligne (ex : la Khan Académie ou le site Wikipédia), les « Fabs Labs » (lieux de production ouverts à tous) ou encore le partage des informations entre les différentes administrations du gouvernement sont des avancées considérables pour notre société.

    De fait, le message général de Gilles Babinet se veut définitivement optimiste.

    Les nouvelles technologies représentent un secteur d’avenir, créateur d’emplois, de bénéfices et de modernisation pour les générations futures. Cependant, la France paraît réfractaire à une solution pourtant à portée de main.

    Il est donc indispensable de considérer le numérique comme une évolution naturelle et cela passe par une modernisation de l’Etat, la nécessité de former au numérique et de soutenir l’innovation.

    Revoir l’article annonçant la conférence de Gilles Babinet ici

     

     

     

     

  • Jeux pédagogiques multi-joueurs pour l’enseignement de l’économie

    Jeux pédagogiques multi-joueurs pour l’enseignement de l’économie

    Ludovia2013_economicgamesLes enseignements d’introduction à la microéconomie ou à l’économe industrielle sont souvent vécus par les étudiants de L1 comme trop abstraits, irréalistes ou trop techniques. Sans doute parce qu’il n’existe pas une théorie unifiée mais différentes théories qui se complètent.

    Pour ne pas rentrer trop vite dans des modèles techniques, on présente aux étudiants des modèles introductifs trop simples pour être vraiment réalistes, trop compliqués pour être rapides à expliquer et qui peuvent parfois sembler se contredire : face à ces modèles, le néophyte est alors souvent un peu perdu, en particulier par rapport aux différents ensembles d’hypothèses (jamais complètement réalistes) qui valident les conclusions de telle ou telle théorie.

    Pourtant ces modèles sont des outils puissants et ont de nombreuses applications pratiques quand on sait les utiliser et les relier entre eux.

    Les deux sites que nous avons conçus, economics-games.com et aireconsim.com, permettent de découvrir ces notions et théories par la mise en situation, à travers des jeux.

    Economics-games.com propose des jeux multi-joueurs online courts (15-30 min), à utiliser en amphi ou en classe afin d’illustrer les notions et les théories d’un cours « classique ». Le site est conçu de manière à être le plus rapide possible à utiliser : gratuit, sans inscription, sans paramétrage, sans installation.

    AirECONsim.com est aussi un jeu online multi-joueur, mais lui se déroule en continu sur une ou plusieurs demi-journées. Il permet de faire le tour des principales notions d’un cours d’économie industrielle, les étudiants les découvrant pour la première fois en jouant. Au cours du jeu, des débriefings théoriques réguliers permettent de relier l’expérience des joueurs aux outils et théories de l’analyse économique.

    Les étudiants sont tout de suite plus impliqués et intéressés quand on les met en situation. Ils observent les stratégies des concurrents ou des robots, cherchent à comprendre pourquoi certaines marchent mieux, font des essais et commettent des erreurs dans un contexte où les erreurs sont dédramatisées.

    Pendant les phases de débriefing, ils discutent et reformulent les notions comprises intuitivement en jouant, ce qui consolide leur apprentissage.

    Ils cherchent également à anticiper les changements de comportement des autres joueurs face à une modification de l’environnement du jeu (ce qui est peut-être le premier objectif pédagogique de l’économie industrielle). Les étudiants « sentent », par leur vécu, quels sont les mécanismes en action derrière les différentes théories, quelles forces d’adaptation font converger (ou pas) certains comportements vers des équilibres abstraits (par exemple les équilibres de Nash en théorie des jeux) à force de tâtonnements, ainsi que les facteurs qui soutiennent ou ébranlent les différentes théories (l’objectif de certains jeux étant précisément de faire varier ces facteurs).

    Plus d’infos : http://economics-games.com et http://aireconsim.com
     les détails sur le jeu principal sont ici

     

     

     

     

  • GreenPriz s’apprête à attaquer le marché de l’efficacité énergétique

    GreenPriz s’apprête à attaquer le marché de l’efficacité énergétique

    GreenPriz-111013Pour améliorer sa visibilité sur le secteur de l’efficacité énergétique, GreenPriz a décidé de multiplier, d’ici la fin de l’année, sa présence lors de salons spécialisés parmi lesquels IBS (CNIT, 25/26 septembre), Orizon (Parc des Expositions de Nîmes 02/03 octobre), le ShowCase d’Ingram Micro (Parc Floral de Paris 09/10 octobre) …

    C’est d’ailleurs auprès d’Ingram Micro, grossiste IT le plus important au plan mondial, et via sa B.U. française «Eclairage LED & Energie» que GreenPriz sera référencée en France. La distribution sera donc assurée, dès la fin octobre, auprès des réseaux d’informaticiens, d’électriciens, d’énergéticiens…

    Cette jeune start-up basée à La Colle sur Loup, proche de Nice, développe déjà depuis plus de 2 ans une gamme de produits simple, abordable et efficace adaptée au marché du tertiaire. Des produits qui permettent de suivre, de gérer et d’optimiser les consommations d’électricité pour les réduire de 25%.
    Plusieurs expérimentations réussies lui ont déjà permis de « taper dans l’œil d’EDF » et d’autres industriels ou investisseurs.
    Autant de raisons de tabler sur un avenir radieux pour cette solution innovante.

    Dans un monde où les habitudes de consommation évoluent, les dépenses énergétiques sont au cœur des problématiques environnementales, sociales et économiques. Or, les systèmes ordinaires n’y répondent que lentement en raison de leur complexité et de leur coût. GreenPriz apporte la solution avec une large gamme de produits innovants.

    Du module DIN pour tableau électrique à la prise murale, ils assurent de manière simple, efficace et abordable la réponse aux problématiques de suivi, de gestion et d’optimisation de la consommation électrique. Adaptés aux collectivités comme aux entreprises, les produits GreenPriz promettent au moins 25% d’économie d’électricité avec un retour rapide sur investissement.

    Passez enfin à la consommation économique et écologique : l’éconologie selon GreenPriz.

    Voir le précédent article et interview de la société Greenpriz sur LudoMag ici

  • Nouveau livre blanc itslearning : l’évaluation au service de l’apprentissage

    Nouveau livre blanc itslearning : l’évaluation au service de l’apprentissage

    itslearning_livreblanc_021013Apprenez-en davantage grâce au livre blanc « Gérer l’évaluation au service de l’apprentissage » : Comment les plateformes d’apprentissage peuvent aider les enseignants aux emplois du temps chargés à gérer les évaluations au service de l’apprentissage.

    Contenu du livre blanc

    – Les critères d’une évaluation utile
    – Comment une bonne évaluation peut faire progresser les notes des apprenants et améliorer la qualité de l’enseignement
    – Des exemples d’enseignants utilisant une plateforme d’apprentissage pour généraliser ce type d’évaluations dans leurs établissements

    Une plateforme d’apprentissage conçue pour les enseignants

    La plupart des exemples donnés peuvent être appliqués à l’aide de n’importe quelle bonne plateforme d’apprentissage, même si ceux qui sont présentés dans le livre blanc proviennent d’enseignants qui utilisent itslearning. Conçue pour les enseignants et leur façon d’enseigner, itslearning est une plateforme en ligne que la plupart des enseignants apprennent facilement à utiliser. Elle offre également à ces derniers des possibilités illimitées d’adaptation à leur propre pratique.

    Plus d’infos :
    Téléchargement du livre blanc ici

  • Ouverture du MOOC ITyPA saison 2

    Ouverture du MOOC ITyPA saison 2

    ITyPA2_111013La saison 1 qui a duré 10 semaines a démarré avec 900 inscrits et s’est achevée avec plus de 1300 participants.

    La saison 2 a démarré le jeudi 10 octobre 2013 et se déroule sur 9 semaines, jusqu’au 12 décembre 2013.

    Toujours gratuit et ouvert à tous en saison 2, ITyPA est d’ores et déjà repéré par FUN – France Université Numérique -, annoncé par la Ministre Geneviève FIORASO le 2 octobre 2013.

    A quelques jours de lancement d’ITyPA 2, plus de 1000 inscrits se sont déjà pré-enregistrés sur la plate-forme, essentiellement de France, du Canada, de Chine et de pays d’Afrique (Côte d’Ivoire, Sénégal et Cameroun).

    Nouveau : l’évaluation sous forme de Badge de compétences

    Les participants pourront choisir d’assister librement aux séances ou de s’investir davantage dans le but d’obtenir non pas un simple certificat mais un Badge délivré à partir d’une évaluation établie pour chaque participant et alignée sur le référentiel de la Fondation Mozilla dans le cadre l’Open Badges Initiative qui permet la reconnaissance de compétences acquises sur le web ou en présentiel.

    Pour obtenir cet Open Badge délivré au nom des deux partenaires institutionnels que sont Centrale Nantes et Télécom Bretagne, il sera demandé à chaque participant de s’inscrire entre la 3ème et la 8ème séance et de remplir toutes les conditions requises (document de travail à déposer sur une plateforme, quizz, évaluation par des pairs).

    Des lieux relais pour mieux échanger

    En plus du Badge, plusieurs nouveautés sont également au programme de la saison 2, notamment la mise à disposition des participants d’une plateforme d’échange pour que chacun puisse créer son espace personnel en ligne.
    De plus, le réseau de participants va pouvoir bénéficier de séances de travail en présentiel en
    Espagne et en France (Auvergne, Rhône-Alpes, Bretagne, Lorraine, Midi-Pyrénées et Bourgogne) grâce à un réseau de sites partenaires.

    Une équipe d’enseignants passionnés

    A l’exception de Simon Carolan, ils étaient déjà là en 2012. Les participants les retrouveront donc en saison 2, dès le 10 octobre 2013 :
    Simon Carolan est doctorant à l’Ecole Centrale de Nantes. Après avoir effectué une analyse de la motivation des participants de la première session de ITyPA, publiée à l’atelier MOOC de la conférencen EIAH, il rejoint l’équipe de conception et d’animation de ITyPA de l’année dernière.

    Jean-Marie Gilliot, enseignant-chercheur à Telecom Bretagne, chargé de mission MOOC à l’Institut Mines-Télécom.

    Anne-Céline Grolleau ingénieure pédagogique à l’École Centrale de Nantes en charge du dispositif de formation inter-établissements ” PedaTice”.

    Morgan Magnin enseignant-chercheur à l’École Centrale de Nantes, chargé de mission EAT-TICE.

    Christine Vaufrey consultante en formation en ligne, rédactrice en chef de Thot Cursus.
    … Ainsi que de nombreux experts avec lesquels les participants sont invités à échanger durant chaque séance, du 10 octobre au 12 décembre 2013.

    Rejoindre le MOOC ITyPA :  http://mooc.fr/itypa2/

  • « Je filme le métier qui me plaît », les appels à projets sont ouverts !

    « Je filme le métier qui me plaît », les appels à projets sont ouverts !

    jefilmelemetierquimeplait_111013
    Afin de sensibiliser  les jeunes sur les différentes représentations des métiers et de l’entreprise, le concours « Je filme le métier qui me plait » propose aux collèges, lycées, CFA, universités, missions locales et  structures d’insertion, sous l’égide d’un adulte référent, porteur du projet pédagogique, de restituer leur découverte d’un métier, ou d’une organisation/entreprise à travers ses métiers, sous forme d’une vidéo de 3 minutes.

    Soutenu par le Ministère de l’Éducation Nationale, le site lecanaldesmetiers.tv, organise pour la 7e année consécutive, cet événement pédagogique qui favorise de manière dynamique une démarche active de découverte des métiers au travers de la création de supports numériques.

    La participation des enseignants et des élèves augmente en moyenne de 50% par an depuis 2007.

    Pour l’année scolaire 2012/2013, les chiffres :

    –    plus de 800 établissements participants répartis sur l’ensemble des 30 académies

    –    22 000 élèves et plus de 2100 enseignants candidats

    –    318 vidéos ont été retenues en sélection officielle

    –   234 métiers différents ont été filmés

    Grâce au soutien fidèle des partenaires Accor, Fondation Groupe Adecco, Afdet, Ag2r La Mondiale, Cgpme Paris Idf, Disneyland Paris, Gdf Suez, Oracle, Orange, Thalès et Uniformation, la session 2013-2014 est ouverte.

    Tous les métiers peuvent être filmés, les candidats sont cependant incités à choisir un thème à partir des appels à projets qui concernent notamment des métiers d’avenir ou à découvrir :

    « Hôtellerie-Restauration »
    « En avant l’industrie »
    « Les métiers de l’alimentaire, avec plaisir ! »
    « Ma petite entreprise »
    « Science et technique au féminin »
    « Les technologies communicantes dans les métiers »
    « Aventure en haute technologie et nouveaux métiers»
    « Métiers de l’économie sociale et solidaire, à la rencontre des autres »
    « Métiers de l’énergie »
    « Halte aux idées reçues »
    « L’apprentissage, la voie magique »
     
    Comme les années précédentes, un jury prestigieux, présidé par un grand nom du cinéma français, et composé de personnalités issues du monde de l’entreprise, celui des Médias et de l’Éducation, remettra les prix aux lauréats dans le plus grand cinéma d’Europe : le mardi 20 mai 2014 au Grand Rex à Paris

    Dates clés :
    – 11 janvier 2014 au plus tard :   réception des candidatures (réponses à appels à projets)
    – 22 mars 2014 au plus tard :   réception des films

    Plus d’infos :
    Découvrez le concours sur : jefilmelemetierquimeplait.tv

  • Une séance de classe « double niveau » avec l’ardoise numérique BIC Education

    Une séance de classe « double niveau » avec l’ardoise numérique BIC Education

    Découvrons comment elle optimise un cours de français pour ses deux niveaux, en alliant l’utilisation du numérique aux usages traditionnels.

    « Les élèves étaient très enthousiastes lorsqu’ils ont vu débarquer la station d’ardoises numériques dans la classe », confie Valérie.

    « Et il y en a beaucoup qui, depuis, ont demandé à leurs parents d’avoir une tablette tactile à la maison », ajoute t-elle.

    Un phénomène de mode ?

    Certainement un peu ; mais avec l’ardoise numérique, souvent appelée aussi « tablette », la maîtresse observe une réelle motivation à travailler.

    Elle donne l’exemple d’un enfant en CE1 qui avait toujours des problèmes sur les exercices d’écriture. Depuis qu’il utilise l’ardoise, il peut modifier son travail sans faire de ratures et « rendre un travail propre ».

    « C’est vrai que j’ai noté de réels progrès pour cet enfant au niveau de l’écriture », ajoute t-elle.

    Elle précise aussi qu’il faut savoir mesurer les séances de travail sur l’ardoise.

    « En général, je travaille avec les ardoises pendant une heure maximum ; après, les élèves décrochent ».

    C’est un élément que nous fait remarquer Géry Quenesson, Inspecteur de l’Education Nationale dans la circonscription de Boulogne-sur-Mer. Il travaille notamment avec les enseignants, pour les aider à faire le choix des activités où il paraît judicieux de travailler avec l’ardoise.

    « J’ai demandé aux enseignants de n’utiliser l’ardoise BIC que quand ils notaient une réelle plus-value, un intérêt ou une motivation pour les enfants », souligne t-il.

    L’ardoise numérique perturbe-t-elle la classe ?

    Un nouvel instrument pour le moins distrayant qui arrive en classe ne serait-il pas un facteur de déconcentration ?

    Valérie nous explique que tout est question de discipline instaurée dans la classe dès le début d’année ; et ça ne vaut pas que pour les ardoises !

    « Ils prennent l’ardoise sur leur table comme ils sortent leurs livres ou leurs cahiers ».

    C’est réellement un outil de travail et les élèves savent très bien mettre l’ardoise de côté quand l’enseignante leur en fait la demande.

    D’autant qu’elle souligne, au sujet d’Internet que « le module Internet a été bien pensé car on peut limiter le nombre de « clics » des enfants et prévoir sur quel site ils vont aller ». Aucune chance donc, d’avoir un élève qui va surfer sur Internet toute la journée !

    « Pour nous enseignants, cet aspect est vraiment sécurisant ».

    Un modèle d’enseignement qui favorise la collaboration

    L’enseignante peut suivre les travaux des élèves sur son ordinateur ; elle a accès à l’historique de chacun. Elle a également la possibilité  d’envisager une correction collective autour d’un travail d’un ou plusieurs élèves en projetant au tableau (avec un vidéoprojecteur), « l’ardoise d’un d’entre eux ».

    Elle trouve cette fonctionnalité très pratique car l’élève n’a pas besoin de réécrire au tableau ce qu’il a préparé et « nous pouvons discuter avec toute la classe de ses propositions ».

    « C’est quand même un gain de temps pour nous, et les enfants sont fiers de montrer au tableau ce qu’ils ont fait sur leur ardoise », ajoute Valérie.

    L’auto-évaluation, une fonctionnalité de l’ardoise qui marche bien

    L’ardoise numérique propose plusieurs modules sur lesquels les élèves peuvent s’auto-évaluer. Lorsqu’ils ont terminé un exercice, ils comptabilisent le nombre de points qu’ils ont réalisé. « Ils peuvent ensuite s’entraîner jusqu’à améliorer leur score », précise Valérie.

    « Avec l’ardoise, on peut faire plus d’exercices, des exercices différents et surtout, ce qui les intéresse, c’est de voir s’ils ont des réponses correctes ou pas ».

    Valérie nous explique que ce genre d’évaluation n’était pas possible sans les ardoises, du moins pour obtenir des résultats immédiats ; surtout avec une classe « double » où l’enseignante ramassait les cahiers qu’elle corrigeait ensuite à la maison.

    Valérie gère donc son quotidien de classe entre harmonisation de la durée de travail avec les ardoises et les outils traditionnels, choix cohérents d’activités pour l’usage de la tablette et « jonglage » entre les deux niveaux.

    L’ardoise numérique s’avère d’ailleurs bien adapté au cas de Valérie et à la classe « multi-niveaux » ; elle nous a démontré son côté pratique : pendant qu’elle faisait travailler l’écriture des lettres aux CE1 par une mise en commun au tableau de la production d’un élève, elle a pu laisser les CE2 travailler sur un exercice « à trous », dans lequel ils avaient la possibilité de s’auto-évaluer.

    Valérie, une enseignante convaincue

    Valérie était déjà habituée à aller avec ses élèves en salle informatique ; elle avait donc une forme de « culture numérique », mais cela n’a jamais modifié sa manière d’enseigner ; elle voyait plutôt ce « mouvement » d’une salle à l’autre, comme une contrainte, obligeant chaque élève à prendre avec lui livres et cahiers.

    Avec l’arrivée de l’ardoise, elle note de réels changements dans son propre comportement et dans celui de ses élèves, « c’est un plus pour moi et pour mes élèves » !

    « Quand je dis que l’arrivée des ardoises numériques n’a pas changé ma pédagogie, ça l’a améliorée, ça facilite mon travail dans la classe ».

    Et elle apporte juste une nuance : « on fait beaucoup plus de choses avec l’ardoise en classe ; par contre, cela me demande plus de travail de préparation (…) C’est aussi la première année que je les utilise ; une fois le exercices créés, je pourrai les réutiliser l’année prochaine ».

    Un travail préparatoire dont est bien conscient Géry Quennesson ; mais pour lui, « cet investissement en temps est largement rentabilisé par un outil qui est facile à prendre en main ».

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