Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • 155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

    155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

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    Cambridge English YLE : un test diplômant spécialement adapté aux enfants

    Une cinquantaine de centres d’examens en France proposent de passer les diplômes de Cambridge English Language assessment qui permettent de certifier un niveau d’anglais. Parmi eux, une vingtaine offre le Cambridge English Young Learners (YLE), une série de trois tests amusants spécialement conçus pour les enfants de 7 à 12 ans.

    Cette année, plus de 4000 enfants en France ont passé ce test, dont 155 en Lorraine par l’intermédiaire de l’association Pop English, dont les animateurs enseignent dans les locaux de l’association et dans les écoles primaires. Après avoir réussi le premier niveau du test (niveau Starters), les enfants se prépareront en 1 à 3 ans à la validation du second niveau.

    « Un petit examen d’anglais nous semble essentiel pour encourager l’enfant dans son apprentissage dès son jeune âge. Il permet de prendre conscience de ses capacités et c’est une motivation pour s’améliorer en anglais et passer au niveau suérieur », indique Cécile Loyer, responsable marketing et communication de Cambridge English Language Assessment.

    « Par exemple, un enfant entrant en 6ème pourra se sentir rassuré si au travers d’un véritable examen, il a déjà obtenu le niveau intermédiaire du Cambridge YLE correspondant au niveau A1 du CECR (Cadre Européen Commun de Référence pour les langues), attendu pour l’entrée au collège. »

    Et de poursuivre, au sujet des dernières études sur l’apprentissage des langues chez les jeunes enfants : « Il faut profiter de l’âge de l’école primaire pour rendre l’anglais familier de nos enfants. D’une part, l’ouverture à une autre langue leur permet paradoxalement de mieux connaître le français, et d’autre part, après 10 ans il est souvent devenu trop tard pour apprendre l’anglais car l’oreille n’est plus capable d’entendre les phonèmes spécifiques à cette langue
    Les jeunes Lorrains « speak good English » grâce à Pop English !

    « Pop English en Lorraine est agréé Centre d’examen Cambridge YLE depuis 2 ans. Nous sommes ravis que sur nos 2500 élèves, une bonne centaine passe déjà ce test avec succès » indique sa déléguée régionale Laëtitia Herfeld-Puissegur.

    « Il est très important que les enfants puissent montrer à leurs parents qu’ils progressent. Nous veillons tout particulièrement à ce que l’examen soit vécu par les enfants comme une expérience positive. Les examinateurs du Cambridge YLE sont bienveillants et prennent en compte que les progrès réalisés par l’enfant

    Cette année, le nombre d’enfants présentés au test Cambridge YLE par Pop English devrait sensiblement augmenter, d’autant que l’Association intervient maintenant pour des animations autour de l’anglais auprès des mairies ayant opté pour le changement des rythmes scolaires.

    A propos de Cambridge English Language Assessment

  • Les MOOC débarquent enfin en France

    Les MOOC débarquent enfin en France

    Une définition des MOOC

    Le MOOC, une définition ? Cet acronyme signifie : « massive open online course » éventuellement francisé sous l’appellation CLOM ou « Cours en ligne ouverts et massifs » mais la Ministre de l’Enseignement Supérieur Geneviève Fioraso (qui avait défrayé la chronique en annonçant que les cours universitaires pourraient se faire en anglais) préfère qu’on s’en tienne au terme international.

    L’histoire du phénomène

    Le MOOC découle du mouvement de l’OpenCourseWare dans lequel se sont engouffrées de nombreuses universités américaines dès les années 2000, avec en avant garde de la formation en ligne ouverte pour tous, le MIT et l’Université de Stanford. Cependant, l’interactivité entre étudiants et professeurs est assez faible dans les premières expériences.

    C’est en 2008 que la dénomination de MOOC apparaît avec les cMOOC, « c » pour « connectivisme ». Un cours auprès de quelques étudiants a été ouvert à plus de 2300 participants gratuitement  par l’initiative de Georges Siemens (Université d’Athabasca) et Stephen Downes (National Research Council). L’objectif étant de rompre avec l’esprit plus figé de l’OpenCourseWare et de dynamiser les relations entre professeurs et étudiants afin que le savoir soit transmis par interaction.

    De nombreuses plates-formes ont vu le jour (Udacity avec l’Université de Stanford, puis Coursera en 2012, edX par le MIT la même année puis bien d’autres établissements ont suivi et développé leurs propres plates-formes ouvertes). Aujourd’hui la plupart des Universités américaines proposent des cours ouverts en ligne.

    Les mêmes Stephen Downes et Georges Siemens ont finalement validé l’existence de deux types de MOOC distincts. Les cMOOC et les xMOOC. Les premiers étant plus axés sur la connectivité, où le savoir est généré par les étudiants en interaction et le second héritier des OpenCourseWare ou xMOOC privilégient le transfert des connaissances de manière magistrale donnant éventuellement lieu à un certificat de complétion.

    Sir John Daniel, un pionnier du e-learning expert des MOOC déclarait : « De fait, le première génération de MOOC ou cMOOC visait à maximiser les connexions entre apprenants. Cependant, dès 2012, les xMOOC émergent (avec coursera par exemple) et remettent en avant un enseignement du haut vers le bas, tel un cours magistral. Cependant la phase actuelle de l’évolution est marquée par la multiplication des initiatives et nous n’en sommes qu’au début. »

    Toujours d’après lui quand on lui demande quel est l’avenir des MOOCs : « Un processus assez sauvage de la sélection darwinienne va maintenant se mettre en place. La plupart des institutions qui utiliseront les MOOC uniquement pour un souci de relations publiques verront leurs projets tomber à l’eau, mais des acteurs sérieux mèneront les MOOCs dans le lit de l’éducation et secoueront le monde de l’enseignement supérieur. »

    Un cours en ligne de type MOOC est donc ouvert, gratuit et massif. De fait, des milliers de personnes peuvent suivre le même cours en ligne gratuitement. Qui n’a pas rêvé de suivre un cours universitaire à Stanford ou Harvard ? Néanmoins, pour faire reconnaître un certificat ou un diplôme il sera nécessaire de payer…

    Et la France dans tout ça ?

    Les Universités et les écoles de commerce sont plus en retard mais le mouvement semble s’annoncer clairement. La prestigieuse école de commerce HEC annonce la sortie de deux enseignements en ligne accessibles à tous début 2014 sur la plateforme Coursera (plateforme américaine) puis elle s’orientera ensuite sur le dispositif France Université Numérique.

    En effet, pour « ne pas rester à la remorque » des autres Mme Fioraso a récemment impulsé un vaste mouvement pour le développement de la formation ouverte visant 300 Moocs dans les trois prochaines années et ça commence dès octobre, tous les détails de cette révolution sont sur le site de France Université Numérique.

    Quel est le public des MOOC et du e-learning en général ?

    L’école de langue, EF Englishtown dispense des cours d’anglais à distance et en ligne depuis 1996, date de son partenariat avec Apple, et chaque mois ses étudiants y consacrent un million d’heures. D’une certaine façon, le e-learning est assez proche du phénomène des MOOC.

    Mélodie Laperdrix, Directrice Marketing pour EF Englishtown déclare : « Tout le monde s’attend à voir s’inscrire un public d’étudiants aux MOOC mais dans les faits il est intéressant de savoir que toute la société a un véritable intérêt à cette révolution de la formation en ligne. Nous constatons que notre public est très varié et désireux d’apprendre et de renforcer son savoir-faire ». En effet, Geneviève Fioraso souhaite que tous participent à ces cours et elle a déclaré :

    « France Université Numérique ne s’adresse pas seulement aux étudiants »

    EF Englishtown fait toute la lumière sur la composition de ses propres étudiants qui représenteront sans doute le même public que les MOOC :

    . 16 % des étudiants sont de jeunes adultes et actifs (hommes ou femmes), souvent célibataires et vivant dans les villes avec un profil d’âge de 22 – 45 ans. Ces derniers cherchent à améliorer leur anglais pour des raisons plutôt professionnelles.

    . 22 %, sont des parents de familles actives (homme à 72%), ayant généralement de jeunes enfants et vivant plutôt en marge des centres urbains. Ils apprennent l’anglais presque exclusivement pour leur carrière privilégiant un axe d’apprentissage lié à leur métier avec un profil d’âge entre 26 et 45 ans.

    . 11 % de cadres matures (autant de femmes que d’hommes), issus d’un milieu plutôt aisé et de haut niveau d’éducation cherchent à améliorer leur anglais pour s’élever dans leur carrière professionnelle, ils ont globalement entre 46 et 75 ans et résident en banlieue des grandes villes
    comme Paris, Lyon et Lille.

    . 36 %  de seniors (femmes à 68%) âgés entre 46 et 75 ans (souvent retraités) qui apprennent l’anglais pour leur travail lorsqu’ils sont encore en activité mais également pour le plaisir, le côté social ou les voyages.

    . 15 % ont un profil indéterminé  ne rentrant pas dans ces catégories.

    Plus d’infos sur : www.englishtown.fr

    Emmenez votre école partout et Une nouvelle manière d’apprendre l’anglais

  • Formation « L’économie du Transport Aérien par le Jeu »

    Formation « L’économie du Transport Aérien par le Jeu »

    Objectif général

    Cette formation repose sur le logiciel de jeu de simulation airECONsim.

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    Les joueurs se voient confier la responsabilité de la gestion de la flotte et de la tarification de compagnies aériennes virtuelles, en concurrence sur plusieurs marchés, et doivent adapter leur stratégie à un environnement changeant (crises, saturation de certains aéroports et évolution de la réglementation, apparition de contraintes environnementales, apparition de nouveaux avions, évolution des coûts, ouverture de nouvelles routes…).
    Pour réussir, ils doivent également anticiper les modifications de stratégies de leurs concurrents et adopter un mode de pensée dynamique.

    Contenu de la journée

    airECONsim permet de comprendre par la pratique un grand nombre des points cruciaux de l’économie du transport aérien, sans se perdre dans les détails:

    • Les principes du revenue management.
    • Les déterminants du choix de flotte.
    • La tarification de pointe.
    • L’effet de la fréquence sur la demande des passagers.
    • Les crises de surcapacité.
    • L’analyse des coûts pertinents à prendre en compte lors des différentes décisions à court ou long terme (ou comment éviter la sunk-cost fallacy et ne pas raisonner sur les coûts moyens).
    • La différentiation verticale et le modèle low-cost.
    • L’impact de la congestion aéroportuaire sur la concurrence et l’allocation des créneaux aéroportuaires.
    • L’impact de l’introduction des permis d’émission de CO2 EU-ETS

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    Des allers/retours fréquents entre les phases de jeu et les phases de débriefing théorique permettent d’éclairer les décisions à travers les outils de l’analyse économique.

    Formateur

    Après des études d’ingénieur aéronautique à l’ISAE – SupAéro, Nicolas Gruyer s’est spécialisé en économie grâce à un master 2 en économie du transport aérien, complété par un doctorat de l’Université Toulouse Capitole (maintenant Toulouse School of Economics).

    De 2001 à 2011, il a été enseignant-chercheur à l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile. Depuis 2012, il se consacre exclusivement à la création et à l’animation de jeux pour l’enseignement de l’économie, dans le cadre du projet « economics-games.com »- voir à ce sujet l’article précédent dans LudoMag ici.

    Cette formation a également été réalisée pour l’Aerospace MBA de la Toulouse Business School, à la Toulouse School of Economics ainsi qu’à l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile.

    Public

    Cette formation s’adresse à toute personne souhaitant acquérir des connaissances en économie du transport aérien. Elle peut aussi intéresser un public disposant de connaissances dans le domaine et souhaitant les mettre en pratique.

    Formation également accessible à distance

    Cette formation est accessible à distance pour deux stagiaires.

    La solution de web meeting retenue ne nécessite pas de matériel ou logiciel spécifique, à part un ordinateur (relativement) récent (minimum 2 Go de RAM), une connexion haut-débit (minimum 2 Mbps), une webcam et un casque/micro. La connexion au web-meeting se fait simplement dans un navigateur. Nous prendrons rendez-vous avec tous les participants deux semaines avant la formation pour expliquer le fonctionnement du service web-meeting. Pour les stagiaires assistant à la formation sur place, seul un ordinateur ou une tablette sont requis.

    Plus d’infosaireconsim.com/formation

  • ITOP éducation reçoit le « Trophée PME Bougeons – Nous » par RMC

    ITOP éducation reçoit le « Trophée PME Bougeons – Nous » par RMC

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    Parmi 760 entreprises candidates, ITOP éducation a su convaincre le jury national par son dynamisme et sa créativité et a ainsi été élue lauréate dans la catégorie E-entreprise.

    Lors d’une cérémonie de remise officielle présentée par Jean-Jacques Bourdin, Hervé Borredon, Président du Groupe ITOP, a donc reçu le Trophée «PME Bougeons-Nous 2013».

    Plus d’infos sur: www.rmc.fr

    Voir un extrait de la cérémonie : ici

  • Lancement de « Little Croissant »

    Lancement de « Little Croissant »

    LittleCroissantLogo_281013Le tout nouveau site www.littlecroissant.com répond à cette double demande : proposer à prix doux chaque vendredi des offres de jeux, produits culturels et outils d’apprentissage réellement adaptées aux plus jeunes.

    Des éditeurs francophones de talent

    Little Croissant présente chaque vendredi l’offre d’éditeurs francophones Jeunesse de qualité. Le marché des applications pour les enfants, hautement compétitif, est composé de nombreux éditeurs et l’offre francophone a parfois du mal à être repérée parmi les milliers d’applications proposées.

    Tous les éditeurs participants à Little Croissant ont adhéré à la charte de qualité du Crak qui rappelle les règles d’une application adaptée à un jeune public.

    Crak : cercle du numérique Jeunesse

    Little Croissant est lancé par le Crak, le Cercle des éditeurs d’applications pour les Kids, qui rassemble les éditeurs francophones innovants. Ce cercle d’affaires, lancé en mai 2013, vise à rassembler les professionnels du numérique Jeunesse francophone de qualité dans une même communauté. Afin de leur donner une visibilité accrue au niveau national et international mais également pour aider le secteur à échanger et prospérer.

    Le Crak a organisé le 25 septembre avec Gobelins, Cap Digital, le Labo de l’édition, et Microsoft Éducation un grand événement sur les Tablettes à l’école et la quête du contenu (#educrak).

    La Souris Grise

    Le Crak et Little Croissant sont tous deux portés par la société ScreenKids, également éditrice du site média La Souris Grise. Depuis octobre 2010, La Souris Grise repère et conseille en toute indépendance des applications Jeunesse à ses lecteurs, parents et professionnels de l’enseignement ou de la médiation.

    La Souris Grise est le partenaire presse de Little Croissant : ce service répond aux demandes de ses lecteurs, de bénéficier, en plus d’un choix éclairé sur les applications Enfant, d’offres à petits prix mais de qualité.

    Plus d’infos :
    Le site Little Croisssant
    Le site du Crak
    Le site de La Souris Grise

  • Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

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    Quel est le poids des investissements des collectivités territoriales dans les nouvelles technologies éducatives? Que coûte le renouvellement des matériels chaque année ?
    Quels choix stratégiques entre Tableaux Blancs Interactifs fixes ou mobiles, écrans plats interactifs, vidéoprojecteurs interactifs ou non ?
    Doit-on équiper des classes informatiques et classes mobiles ou équiper des élèves en ordinateurs portables ou tablettes numériques ?
    Que coûte à la collectivité le raccordement des établissements en haut débit et quels frais de fonctionnement et d’abonnement cela implique-t-il ?
    Combien d’établissements sont sur le point d’être connectés à l’ENT ?
    Le BYOD est-il une solution à terme pour la collectivité ?

    Voici quelques-unes des questions auxquelles la deuxième édition de cette étude tentera de répondre ce qui permettra de mettre au jour le poids du numérique dans l’éducation, au regard des investissements dans l’éducation globalement supportés par les collectivités (adaptation des établissements, modernisation des cantines scolaires, transports,…).

    Ces résultats doivent permettre d’apprécier le niveau d’investissement national, consenti chaque année par les collectivités territoriales et son évolution dans le temps, par élève, par Académie et par région administrative française.

    Au delà des aspects quantitatifs qui seront mesurés sur une période de 4 années (2010-2014), l’étude cherche à mesurer les écarts entre les politiques, les points de vues sur les méthodes de gouvernance et les limites à ne pas franchir ou à explorer en fonction des compétences, devenues de plus en plus précises, des collectivités.

    Des constructeurs et éditeurs ont souhaité s’associer à cette initiative en apportant leur soutien pour la réalisation effective de l’étude : MICROSOFT, INTEL deux entreprises leaders de l’informatique mondiale, PROMETHEAN et SMART Technologies, fabricants de Tableaux Interactifs et de solutions interactives pour l’éducation et SFR, fournisseurs de services de télécommunication et solutions liées à la téléphonie et à l’Internet pour l’enseignement scolaire.

    Les premiers résultats de cette grande enquête seront présentés et commentés en avant-première
    le 19 Novembre 2013
    lors d’un Afterwork et d’une table ronde sur le sujet : « Numérique à l’école, un enjeu partagé »
    qui aura lieu à Issy-les-Moulineaux, dans les locaux de Microsoft.

    Si vous souhaitez être invité à participer à l’Afterwork « Numérique à l’école, un enjeu partagé » et à la présentation des premiers résultats, veuillez contactez Aurélie à redaction@ludovia.com ou vous inscrire directement en ligne.

    Plus d’infos sur les partenaires de cette étude :


    L’Assemblée des départements de France : www.departements.fr

    L’Association des Régions de France : www.arf-regions.org

    L’Association des Maires de France : www.amf.asso.fr

    L’Association Nationale des Directeurs de Grandes Villes ANDEV : www.andev.fr

    Ludovia Magazine : www.ludovia.com

     

    Les partenaires industriels :

    MICROSOFT France www.microsoft.fr

    INTEL www.intel.fr

    PROMETHEAN www.promethean.fr

    SMART Technologies www.smarttech.com/fr

    SFR www.sfr.fr

  • Lancement de Kartable.fr : un site inédit pour le collège et le lycée

    Lancement de Kartable.fr : un site inédit pour le collège et le lycée

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    Qu’est-ce que Kartable en deux mots ?

    Kartable est le premier recueil de ressources parascolaires exhaustif et entièrement gratuit.
    Tous les contenus, strictement conformes aux programmes officiels en vigueur, sont accessibles librement.

    Comment est née l’idée ?

    Le projet est né d’un constat très simple : Internet a révolutionné les pratiques dans de nombreux secteurs, à l’exception du domaine scolaire.

    Les jeunes générations étant constamment « connectées« , il nous paraissait impensable qu’un élève ne puisse pas accéder facilement – et gratuitement – aux ressources dont il a besoin dans son travail personnel au quotidien.

    Nous avons donc décidé de créer un outil moderne et pratique, qui centralise tous les contenus scolaires indispensables et les rend accessibles à portée de clic.

    D’ou provient la masse considérable de contenus disponible sur le site ?

    Pour réaliser une plateforme fiable et homogène, nous avons pris le parti de concevoir l’intégralité des contenus. C’est ce qui a permis d’obtenir des ressources d’excellente qualité, et respectant une ligne pédagogique cohérente et globale.

    Pour ce faire, nous avons fédéré une cinquantaine d’intervenants qui ont participé pendant près de deux ans aux différentes étapes de notre processus éditorial.

    Quels sont les avantages de Kartable par rapport aux supports existants ?

    Kartable est la seule plateforme scolaire exhaustive offrant des contenus de qualité entièrement gratuits.

    Quelles sont les différentes utilisations de Kartable ?

    Kartable est avant tout destiné aux élèves.

    A chaque moment de son travail, l’élève y trouve les ressources dont il a besoin :

    • la fiche de cours du chapitre qui synthétise toutes les notions à connaître ;
    • un quiz qui permet de tester la bonne connaissance du cours ;
    • des méthodes illustrées et détaillées pour acquérir les réflexes requis dans les exercices ;
    • des exercices intégralement corrigés, dont la rédaction est semblable à celle attendue sur une copie ;
    • des ressources complémentaires relatives à la culture générale de chaque matière : profils d’œuvres en Français, biographies d’économistes en SES, chronologies en Histoire…

    Kartable peut donc être aussi bien utilisé tout au long de l’assimilation d’un chapitre que pour un besoin précis à un instant donné.

    Dans ce dernier cas, le moteur de recherche est particulièrement bien construit et permet d’atteindre immédiatement la ressource correspondant à une question précise. L’optimisation de l’interface pour tablette et smartphone favorise aussi fortement l’utilisation spontanée de la plateforme.

    Quels sont les premiers retours ?

    Quelques semaines après son lancement, Kartable a déjà enregistré plus de 50 000 visites.
    La plupart des élèves qui sont l’ont découvert l’ont immédiatement adopté.
    Les professeurs qui ont commencé à utiliser Kartable ont été conquis et l’ont recommandé à leurs élèves.

    Nous avons même de nombreux retours de parents qui se félicitent de pouvoir enfin suivre facilement le travail de leurs enfants.

    Quelles sont vos prochaines étapes ?

    Nous nous concentrons actuellement sur la phase de communication. L’enjeu est de faire connaître rapidement le site à l’échelle nationale.

    Nous encourageons tous les enseignants intéressés par le projet à nous contacter pour participer à sa diffusion.

    Julien Cohen-Solal et Sarah Besnaïnou, fondateurs de Kartable, majors de mathématiques au Bac 2003 et aux concours HEC 2005

     

    Plus d’infos : Kartable, cours et exercices gratuits, site web

    A voir aussi, du même auteur, un site de maths gratuit et innovant pour les lycéens

  • Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

    Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

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    L’objectif revendiqué par le  forum est de devenir, en Tunisie, un rendez-vous incontournable, regroupant  des professionnels de l’éducation, de la formation, de la recherche, de l’entreprise et du secteur public.

    Si l’affluence de cet événement, encore débutant, semble encore modeste, la qualité des conférences, l’espace salon, l’encadrement et le lieu sont de premiers ordres.

    Outre l’espace dédié aux exposants qui met en synergie les visiteurs et curieux avec les acteurs effectifs dans le domaine du E-learning, le forum a fait appel a plus de 30 conférenciers nationaux et internationaux afin d’animer des conférences et ateliers ouverts autour du thème «L’E-learning comme levier stratégique du développement des compétences».

    Sur 2 jours, conférences et ateliers se sont donc succédés autour de thématiques actuelles et abondamment relayées dans le secteur de l’E-learning, les MOOCS et le mobile learning . Outre des présentations assez larges sur des retours d’expériences au niveau européen, un focus particulier fut mis sur la mise en évidence du niveau atteint par les compétences locales dans l’e-Learning.

    Les MOOCS, retour d’expérience

    Sujet actuellement très tendance, pas un jour ne passe sans qu’un ou plusieurs articles ne soient édités sur le sujet, les MOOCs se sont également invités dans les discussions.

    Entre véritables opportunités pour des économies éducatives émergentes, mondialisation et monétisation de la formation,  les échanges se sont focalisés autour des expérimentations réalisées cette année dans l’espace francophone.

    Baromètre de l’E-learning

    Le fait marquant de cette deuxième édition fut la présentation des chiffres du premier baromètre e-Learning tunisien.  L’objectif de ce baromètre vise à mettre en perspective la place de l’e-Learning au regard des stratégies de formation et à mieux comprendre les usages de l’e-Learning selon 3 axes :

    –       Place et évolution de l’E-learning

    –       Modalités de déploiement et champs d’application

    –       Conditions de succès et indicateurs de suivi

    Pour cette première étude, les promoteurs ont essayé de toucher les entreprises ayant déjà une expérience active dans le secteur de l’e-Learning. Si les données rassemblées ne démontrent pas une  forte implication des entreprises tunisiennes dans le secteur, elles permettent cependant d’esquisser des tendances dans les usages concernant la formation à distance.

    La Tunisie se place donc résolument grâce à ce forum et ce baromètre comme un futur acteur de la scène de la formation à distance en Afrique du nord.

    C’est dans cette optique que le ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique par la voix de son conseiller Mohamed Ghribi a placé son discours d’ouverture.

    « La Tunisie qui a adhéré au e-learning, vit, aujourd’hui, une révolution scientifique » annonce t-il . « La Tunisie oeuvre ainsi à renforcer tous les domaines d’enseignement et à exploiter les techniques de l’information et de la communication pour promouvoir le système éducatif. »

    Plus d’infoshttp://forumelearningtunisie.com/

     

  • Le numérique et ses bénéfices seront-ils à l’agenda des prochaines élections municipales ?

    Le numérique et ses bénéfices seront-ils à l’agenda des prochaines élections municipales ?

    A l’heure où la maîtrise budgétaire du secteur public est pointée du doigt, il est en effet tentant de mettre en avant le numérique comme un axe d’investissement générateur d’économies. Or, les retombées des projets numériques vont bien au-delà et peuvent aussi se mesurer sous l’angle citoyen, social et environnemental comme en témoignent la cinquantaine de décideurs de collectivités locales interrogés par MARKESS International dans le cadre de son étude.

    Interrogés quant à leur priorité en terme de retours sur investissement (ROI), plus d’un décideur sur deux de collectivités locales mettent en avant les projets numériques porteurs de valeur pour les citoyens et simplifiant leurs relations avec eux. Le ROI économique suit de près, avec deux tiers de ces décideurs le plaçant en première ou seconde position de leurs priorités : en 2013, la réduction des coûts reste une motivation clé en faveur du déploiement de tels projets.

    La relation citoyen, enjeu prioritaire de ROI du numérique pour les collectivités

     

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    Deux autres ROI sont ensuite mis en avant. Il s’agit pour l’un de la dimension sociale des projets numériques ; ce ROI est le plus souvent associé à la capacité de la collectivité de mesurer l’évolution des conditions de travail des agents suite à l’introduction de nouveaux outils numériques. L’autre adresse la dimension environnementale des projets numériques qui peuvent être considérés comme un atout pour améliorer l’empreinte écologique de la collectivité.

    MARKESS International constate cependant que, malgré les priorités fixées, seul un tiers des décideurs de collectivités interrogés mesurent réellement les ROI et bénéfices des projets numériques qu’ils ont conduits.

    Parmi les chantiers numériques les plus susceptibles de générer un retour sur investissement, selon les décideurs de collectivités locales, figurent :

    • La dématérialisation de documents et de processus : elle est considérée par plus de 80% des décideurs comme pouvant générer de forts retours sur investissement. Sont évoqués plus particulièrement les projets de gestion documentaire et de GED, de gestion de courriers entrants, de workflow et de signature électronique. La dématérialisation de la facture figure aussi parmi les priorités des collectivités d’ici 2015 ;
    • Les services numériques pour les usagers avec plus de 70% des décideurs de collectivités les considérant comme générateur de valeur : les projets prioritaires ont trait avant tout à la gestion des flux entrants et aux services en ligne, intégrant notamment des services de paiement en ligne. L’axe de développement majeur est celui des services sur supports mobiles avec, comme objectif ultime, la volonté de fournir des informations contextualisées, géolocalisées et personnalisées pour chaque citoyen. Cette démarche implique pour la collectivité d’accroître sa connaissance des usagers via le déploiement d’applications de relation citoyen (CRM).

    Pour en savoir plus sur l’étude « Projets numériques des collectivités et bénéfices associés, France, 2013-2015″, commandez l’étude