Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Le Val d’Oise mise sur le journal scolaire numérique avec Madmagz

    Le Val d’Oise mise sur le journal scolaire numérique avec Madmagz

    Madmagz_080714Le 22 mai 2014, à l’occasion des NetJournées, le Conseil Général a lancé une expérimentation en partenariat avec Madmagz, premier site français de création en ligne de magazines, permettant à 10 collèges de réaliser des journaux scolaires numériques et d’en évaluer les apports pédagogiques pendant un an.

    Si l’expérimentation s’avère concluante, le Conseil Général pourrait mettre l’outil Madmagz à disposition des 109 collèges du département. Avec cette collaboration, le Val d’Oise est le premier département en France à reconnaître la création de journal scolaire numérique comme démarche pédagogique innovante.

    Une initiative prometteuse que Madmagz entend généraliser aux autres départements.

    Le journal scolaire reconnu ressource pédagogique

    Initiation à l’usage du numérique et des Technologies de l’information et de la communication pour l’éducation (TICE), formation des élèves à l’autonomie, développement du travail collaboratif, incitation à l’écriture et à la lecture, rapprochement des liens entre professeurs et élèves… Les avantages pédagogiques du journal scolaire numérique ne sont plus à démontrer. Dans le cadre de son objectif de développement des usages numériques dans les collèges, le Conseil Général du Val d’Oise vient de lancer une expérience consistant à doter 10 collèges d’un accès libre à la première plateforme de création de journaux scolaires en France, Madmagz, pendant une période d’un an.

    Durant cette période, l’outil numérique Madmagz sera proposé directement dans la liste des ressources pédagogiques disponibles dans l’Environnement numérique de travail (ENT) des 10 collèges en test.

    Madmagz accompagne les collèges dans le numérique

    Durant toute la période d’expérimentation, les 10 collèges pourront mieux appréhender le potentiel pédagogique de la création d’un journal scolaire numérique ou d’un projet scolaire au format magazine. Les responsables d’établissement, les professeurs et les élèves bénéficieront non seulement d’un accès libre à la plateforme de création de ces journaux mais également d’un accompagnement à la fois technique et pédagogique dispensé par Madmagz, en étroite collaboration avec le Centre départemental de documentation pédagogique (CDDP) du Val d’Oise, afin de garantir une utilisation optimale de l’outil numérique.

    Si l’expérimentation dans les 10 établissements s’avère fructueuse, le Conseil Général proposera le service Madmagz dans les 109 collèges du Val d’Oise.

    Louis Derrac, Responsable Éducation de Madmagz : “Cette expérimentation de Madmagz, initiée par le conseil général du Val d’Oise au bénéfice de 10 établissements pilotes, témoigne d’une belle reconnaissance des qualités pédagogiques de notre outil. Nous démarrons ce projet prometteur dans un climat de collaboration étroite, intelligente et constructive avec le conseil général et le CDDP du Val d’Oise, et travaillons d’ores et déjà à généraliser cette expérimentation à d’autres départements. »

    Jérome Lucchini, directeur du CDDP du Val d’Oise : “Accompagnant le Plan Numérique des collèges aux côtés du Conseil général, nous avons accueilli avec bienveillance son souhait de mener une expérimentation de Madmagz sur 10 collèges. Nous avons pu l’expérimenter nous-mêmes et préconiser quelques aménagements marginaux pour l’usage dans un cadre scolaire.

    Nous avons reçu de Madmagz une réelle écoute qui n’est pas étrangère à ce qui apparait déjà comme un produit très abouti, capable d’évoluer avec les usages pédagogiques. Sur ces plans il est à l’évidence prometteur et permet déjà de réinvestir et adapter toute la culture pédagogique développée depuis longtemps autour des journaux scolaires en la faisant entrer plus avant dans l’ère du numérique, répondant en cela à de nombreuses attentes. Notre Agence départementale des usages suivra l’expérience avec attention et intérêt.”

    Pour en savoir plus sur l’offre “Education” de Madmagz, cliquez ici.

  • Nomadisme et variété d’usages dans les Pyrénées-Atlantiques

    Nomadisme et variété d’usages dans les Pyrénées-Atlantiques

    Avec les outils numériques nomades, enseignants et élèves gagnent du temps de pratique

    Stéphanie Mirallès, enseignante en anglais, utilisatrice du TNI, des baladeurs Mp3 et de la salle informatique, a déjà la « fibre » numérique.  Elle se plaît à « tester » toute nouveauté dans l’établissement.

    Dans le cadre des Contrats Numériques, le collège Joseph Peyré de Garlin et son équipe enseignante a choisi de s’équiper en tablettes ; au moment de la prise en main, Stéphanie Mirallès a tout de suite compris les atouts de ce nouvel outil pour son enseignement.

    « Sur une heure, quand je sais que je vais avoir recours à des activités sur internet pendant un quart d’heure, je n’ai pas besoin de déplacer tous les élèves en salle informatique, tout simplement », souligne t-elle, en premier lieu.

    C’est bien l’aspect mobile de l’outil qui est pointé du doigt, comme véritable atout ; les tablettes peuvent aller de classe en classe et de discipline en discipline.

    CG64_1erephoto_240614Au collège Irandatz d’Hendaye, Hervé Landagaray, enseignant en mathématiques, dresse le même constat.

    « La classe mobile est désormais indispensable pour notre utilisation quotidienne lorsqu’on a besoin d’aller faire une recherche sur internet ou de faire manipuler certains élèves dans des groupes différenciés » et il précise « à n’importe quel moment, on a les outils à disposition sans déplacer toute la classe en salle informatique ; c’est un outil qui nous permet beaucoup de souplesse ».

    Nadia Sauvy, enseignante d’EPS au collège Irandatz d’Hendaye rejoint l’idée que le numérique fait gagner du temps de pratique aux élèves. Elle confie avoir « eu la chance » d’expérimenter le numérique dans l’établissement où elle exerçait précédemment ; elle avait à sa disposition, tout comme ses élèves, un ordinateur portable, ce qui l’avait motivé à changer quelque peu ses pratiques.

    Pour exemples, en acrosport, en gymnastique, en escalade ou en demi-fond, entre autres, elle a découvert les atouts des outils numériques comme la tablette pour sa discipline.
    En début de séance, elle peut faire l’appel rapidement sur la tablette ; autre atout : la possibilité de visionner mais aussi de prendre des photos ou de filmer. Pour la gymnastique par exemple, elle peut leur montrer des vidéos et « ils visualisent plus facilement ce qu’ils ont à faire ».

    Les élèves peuvent aussi se filmer eux-mêmes ; le côté mobile de la tablette joue pour beaucoup dans la réussite de l’intégration de l’outil dans les pratiques de Nadia et des ses élèves.

    « Cela apporte un vrai « plus » aux élèves car ils ont une connaissance immédiate du résultat et peuvent gagner du temps de pratique ; et qui dit pratique, dit réussite », souligne t-elle.

    Pédagogie adaptée et supports mobiles : facteurs de progrès et de résultats pour les élèves

    CG64_3emephoto_240614Sur les aspects pédagogiques, Stéphanie Mirallès est unanime : la tablette lui permet de travailler autrement ; par exemple, elle peut pratiquer la différenciation. Un travail de différenciation qui est également plébiscité par Hervé Landagaray, une différenciation qu’il avoue avoir eu des difficultés à mettre en place avant l’arrivée de la classe mobile.

    « Je peux diviser la classe en trois ateliers et sur chacun d’eux, appliquer un niveau de différenciation : un atelier tablettes, un atelier au TNI et un atelier expression écrite ; toutes les douze minutes, les élèves tournent », explique Stéphanie Mirallès.

    D’après elle, cette organisation est très motivante pour les élèves et elle note de réels progrès lors des évaluations.

    « L’outil tablette permet d’exposer encore plus les élèves à la langue et ils mémorisent mieux ; enfin, les élèves dyslexiques sont ravis d’avoir des activités sur tablette qui leur sont adaptées », poursuit-elle.

    Pour l’enseignant aussi, le numérique en mobilité est synonyme d’avancées ; faire cours avec des outils mobiles et individuels lui permet d’enregistrer le travail de chaque élève.

    Comme l’indique Nadia Sauvy, c’est aussi un moyen de « voir qui a travaillé », mais aussi de comparer la progression d’une séance à l’autre.

    Introduire les supports nomades de manière cohérente : un vrai travail de réflexion pour l’enseignant

    L’usage du numérique dans la classe de Stéphanie Mirallès n’est pas quotidien ; pour elle, il faut savoir « doser » pour être efficace et ne pas « lasser » les élèves.

    Nadia Sauvy est aussi de cet avis et souligne qu’il faut bien réfléchir aux moments où il est opportun d’utiliser le matériel numérique.
    « Je ne sors pas la tablette dès la première séance pour le cycle d’acrosport, par exemple ».

    Avant de les laisser s’enregistrer au moment des figures, Nadia a abordé en amont avec ses élèves, tous les aspects sécurité et placement, compensation de masses, les différents types de pyramide…

    « Je ne peux pas lancer le cycle directement avec les tablettes ; cela pourrait même être dangereux d’un point de vue sécurité ; car les élèves se concentrent sur la tablette et en oublient le reste », ajoute t-elle.

    Créer de la motivation chez les élèves en les « appâtant » avec des outils qui leur correspondent

    Du côté élèves, on se verrait bien utiliser les outils nomades tous les jours ! L’image et l’attrait que véhiculent ces matériels, notamment les tablettes, créent une vraie « magie », comme le souligne Monique Lacoustille, professeur-documentaliste au collège Joseph Peyré de Garlin.

    Ayant fait ce constat, elle cherche à mettre à profit l’arrivée des tablettes dans l’établissement pour atteindre certains objectifs, en utilisant des moyens détournés. Elle a mis en place ce qu’elle appelle « le kiosque numérique. » Le principe est de prendre des abonnements à des périodiques en ligne et de travailler, en priorité avec les classes de 6ème, lors du cours hebdomadaire « d’initiation à la recherche documentaire », sur « comment les intéresser à l’actualité ».

    « Ils ne sont pas toujours attirés par le papier et le fait de passer par la tablette rend l’activité un peu plus “magique “», décrit t-elle.

    Par ce biais, elle espère susciter l’intérêt des élèves pour la lecture et les conduire, à terme, à lire aussi de la presse écrite traditionnelle.
    En projet et en collaboration avec l’enseignante en histoire-géographie, elle aimerait faire créer des QR codes aux élèves sur les bâtiments de Garlin. Elle ne manque pas d’idées et elle avoue que le côté mobile de la tablette permet aussi beaucoup plus de choses qu’avec des outils fixes.

     

    Des matériels « de base » dans les salles de classe aux outils nomades, souvent plébiscités par les enseignants dans le cadre des Contrats Numériques, l’objectif du Conseil général de mettre le numérique à portée de tous les collégiens est atteint. Et c’est un doublé gagnant puisque les usages ont véritablement suivi les investissements.

    Une belle réussite donc qui ne devrait pas en rester là et qui, comme le rappelait Christiane Mariette, Vice-présidente du Conseil général en charge de l’Education et de la Jeunesse dans les deux premiers épisodes, est devenue possible grâce au partenariat étroit qui existe entre le Département et l’Education nationale.

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  • Le « Tsunami » numérique par Emmanuel Davidenkoff

    Le « Tsunami » numérique par Emmanuel Davidenkoff

    Emmanuel Davidenkoff, Directeur de l’Etudiant et journaliste à France Inter était présent aux JEL à Lyon. Il a bien voulu nous accorder une interview sur la problématique du numérique dans l’enseignement, suite à la sortie de son livre, le « Tsunami numérique« .

    Faut-il faire entrer le numérique massivement dans les établissements, de la maternelle au supérieur, à mon avis OUI.

    Dans la sociologie de la culture ou la sociologie du travail, quelque soit le nouveau dispositif ou le nouvel outil qui apparaît, il y aura toujours des divergences d’utilisation, divergences très marquées par le milieu auquel on appartient.

    Si l’école, par laquelle tout le monde passe, ne fait pas ce travail d’explications des enjeux du numérique, de son utilisation etc, nous allons passer à côté de quelque chose de fondamental qui va accroître les inégalités qui existent déjà.

    Pour Emmanuel Davidenkoff, le numérique va faire émerger de nouveaux modèles pédagogique et économiques.

    Pour reprendre le titre de son livre, le « Tsunami numérique », l’auteur explique qu’il ne faut seulement voir le terme tsunami comme quelque chose de dévastateur.
    Une autre vision comme celle  de tsunamis qui arrivent sur des plages désertes et qui permettent aussi à la nature de se regénérer, est beaucoup moins négative.

    Par contre c’est vrai que si on vous prévient qu’un tsunami arrive et que vous restez sans bouger sur la plage, cela peut faire extrêmement mal et c’est à mon avis un péril qui concerne un bon nombre d’établissements.

     

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  • Le numérique est-il dépassé ?

    Le numérique est-il dépassé ?

    France Henri, enseignante à la TÉLUQ, http://www.teluq.ca, est venue présenter lors des JEL, un thème sur « le numérique est-il dépassé« .

    Elle propose de reformuler la problématique par :  « sommes-nous dépassés par le numérique ».

    Nous ne savons pas tirer du numérique ce que nous devons en tirer.

    « Le numérique propose de nous immerger dans un univers de communication, de construction de connaissances et de partage ; réduire les potentialités du numérique pour les ramener au modèle de l’école, c’est passer à côté des choses« .

    Pour France Henri, nous ne parvenons pas à utiliser les potentialités du numérique car nous « externalisons trop nos fonctions cognitives« .

    Les MOOC authentiques dits « C-Moocs » permettent de répliquer « la vraie vie » qui permettent à chacun, de définir son propre projet.

    Les MOOC très transmissifs qui fleurissent actuellement sont des copies conformes du modèle de l’école.

     

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  • Le plan FUN après 9 mois de MOOC à la française

    Le plan FUN après 9 mois de MOOC à la française

    Un bilan et prospectives du plan FUN et des MOOC à la française a été l’occasion d’une table ronde sur les JEL à Lyon. Nous avons interviewé Thierry Koscielniak, Directeur TICE à l’université Paris Descartes qui nous en a parlé.

    Côté enseignants, les retours sont excellents depuis la création des MOOC ; des ingénieurs pédagogiques et des ingénieurs multimédia pour créer des grains de contenus en vidéo ont été mis à leur disposition.

    Unanimement ils nous disent revoir leur enseignement différemment, même le présentiel.

    Côté utilisateurs, les retours sont tout aussi bons.

    Nous recevons beaucoup de remerciements des participants, qui sont ravis de pouvoir avoir accès à des contenus d’un expert du domaine.

    Quelques conseils de Thierry Koscielniak en fin d’interview sur les personnes qui voudraient se lancer dans la création d’un MOOC, à écouter absolument !

    Voir aussi le témoignage de Catherine Mongeret de France Université Numérique qui reprend un bref historique des MOOC sur FUN puis bilan et perspectives ici.

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  • Tamagocours, un tamagotchi pour apprendre les règles d’usages des ressources numériques

    Tamagocours, un tamagotchi pour apprendre les règles d’usages des ressources numériques

     

    L’analyse du contexte nous a conduit à proposer une formation s’appuyant sur la conception de Tamagocours, un jeu sérieux permettant aux étudiants de se former aux aspects juridiques de l’usage des ressources numériques dans un cadre éducatif. En raison de la rareté des ressources disponibles pour la formation dans ce domaine, de l’étendue des besoins et de l’originalité de la proposition, la solution que nous proposons répond à des attentes qui dépassent largement le contexte de la commande.

    Pour en savoir plus, relire l’article à ce sujet ici.

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  • Aptitude au numérique, innée ou acquise ?

    Aptitude au numérique, innée ou acquise ?

    Nathalie Tingry, enseignante-chercheuse à l’Université Paris Est Marne-la-Vallée est venu présenter cette problématique sur les aptitudes des jeunes à utiliser et comprendre le numérique.

    Il faut aller au-delà des représentations que les jeunes connaissent tout sur le numérique car ces réprésentations font du « mal » puisque les jeunes eux-mêmes sont persuadés d’avoir des compétences incroyables voire innées face au numérique.

    Elle amène l’idée qu’un apprentissage du numérique est absolument indispensable, comme pour apprendre à marcher ou à écrire, même pour la génération dite « Y« .

    Manipuler reste à leur portée de « digital natives » mais l’usage réel de ressources et le choix reste plus compliqué pour eux.

    ils sont souvent débordés par cette information massive et n’ont pas de recul critique face à cette information.

    Elle évoque également un nouveau type de « fracture numérique » par rapport à ce positionnement à avoir face au numérique.

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  • Le numérique comme levier pour le continuum Lycée-Université

    Le numérique comme levier pour le continuum Lycée-Université

    Jean-Pierre Batailler, DAN de l’académie de Lyon, est intervenu aux côtés de Mme la rectrice pour donner son point de vue sur cette question : la numérique comme levier pour le continuum Lycée-Université ?

    L’idée est de permettre aux adolescents de construire progressivement leurs compétences et d’éviter d’avoir une rupture quand ils vont changer de système.

    Le numérique va jouer un rôle dans ce continuum par la mise à disposition facilitée de ressources, le développement d’espaces collaboratifs via des plateformes et surtout nous permettre d’utiliser des méthodes dans lesquelles baignent les adolescents.

    Les outils numériques vont aussi permettre de rapprocher les enseignants du secondaire et du supérieur ; tout autant que la formation continue doit se faire en continuité de la formation initiale des enseignants.

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  • Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique…

    Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique…

    L’introduction du numérique dans le système académique, comme l’appelle Bernard Stiegler, doit se faire par le haut.

    il est évident que les technologies numériques doivent aujourd’hui être mises en oeuvre massivement dans le champ académique mais que le champ académique doit s’en saisir, ce qui ne signifie pas acheter la dernière version de technologie de tel ou tel constructeur.

    Dans cette déclaration, Bernard Stiegler ne tient pas du tout à dévaloriser ces solutions mais il tient juste à donner son point de vue par rapport aux  géants tels que Microsoft, Google ou autres qu’ils nomment « les cavaliers de l’apocalypse » pour dire que ce ne sont pas eux qui doivent prescrire.

    Il conseille même aux grands éditeurs scolaires de travailler avec les jeunes start-up et surtout en collaboration avec les universitaires…

    car il ne faut pas laisser le marché piloter mais bien la science ; ce qui suppose de créer une nouvelle « Taskforce ».

    Discours à suivre dans la vidéo ci-contre.

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