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  • Quelle place pour les Equipements Individuels Mobiles (EIM) sur le plan pédagogique ?

    Quelle place pour les Equipements Individuels Mobiles (EIM) sur le plan pédagogique ?

    Voici telle que nous pourrions reformuler en un titre la problématique de cette table ronde sur la session mobilités & pratiques pédagogiques animée par Héloïse Dufour de l’association Inversons la Classe.

    Rappel de la problématique

    La classe a longtemps été le lieu de la transmission des savoirs, un espace protégé, à l’écart du monde. Cette unité de temps et de lieu est fortement bousculée par l’arrivée du numérique et des supports mobiles dans l’écosystème scolaire et par le développement d’usages « en mobilité » qui échappent en partie aux enseignants. Ils les obligent à repenser l’articulation entre différents temps et différents espaces d’apprentissage pour leurs élèves et à prendre en compte un certain nombre de pratiques et de savoirs qu’ils ont développés en dehors de l’école. L’enjeu est bien de reconstruire un continuum pédagogique et éducatif qui permette, comme disait Philippe Meirieu, de réduire le grand écart qui s’est creusé entre l’école et la vie.

    Ce changement qui touche la « forme scolaire » a des conséquences dans tous les domaines (organisation, démarches pédagogiques, modalités d’apprentissage, compétences des élèves, compétences professionnelles…) et pour tous les acteurs de la communauté éducative (enseignants, parents, cadres de l’éducation, partenaires). Mais surtout, il doit être accompagné à tous les niveaux de l’institution scolaire, par la formation et par la recherche, afin que soient mises en place les meilleures conditions de son déploiement : nouvelles compétences, nouvelles pédagogies, nouvelles organisations, nouveaux modes de pilotage, nouvelles ressources (contenus et services), nouveaux projets d’équipements…

    Pour discuter autour de ce sujet étaient présents  Catherine Becchetti-Bizot – Inspectrice Générale de l’éducation nationale en lettres, Christophe Piombo – DAN de l’AC Toulouse, Pascale Montrol-Amouroux – DNE cheffe du département de la valorisation des usages et de la diffusion des pratiques DNE, MENESR, Stéphanie Woessner – enseignante en langues anglais et français à Stuttgart, Allemagne et Membre du bureau Cyberlangues et David Cohen – enseignant d’arts plastiques AC Nice.

    La synthèse de cette table ronde a été réalisée par Jean-Marie Gilliot et Jennifer Elbaz de Brainpop.

    Catherine Becchetti-Bizot cadre le propos et définit précisément le contexte. Quand on parle EIM, le périmètre est très large : on touche à la question du numérique et des apports pédagogiques et aussi, fait important, ce qu’ils impliquent en terme d’organisation générale de l’enseignement, de la classe, de la formation des enseignants, la manière dont les espaces et les temps scolaires se réorganisent.

    Est-ce que tout cela vient des outils ou bien d’un enchaînement plus systémique et plus large des démarches pédagogiques suscitées par le numérique ?

    Précisément :

    • Equipement” : nouveaux supports qui ne sont ni des ordinateurs fixes ni des tableaux blancs interactif. Un ensemble d’appareils qui définissent un environnement de machines. C’est quelque chose de global. Un ensemble d’appareils et un environnement. La question est comment ces équipements conditionnent, facilitent ou entravent la pédagogie ?
    • Individuel” : il s’agit de tablettes, de smartphones ou de liseuses. Beaucoup de candidats au plan numérique ont fait le choix de classes mobile ce qui veut dire que quand on choisit un équipement on fait le choix selon une conception, une vision, une stratégie. Il semblerait que dans un 1er temps c’est l’aspect collaboratif dans la classe induit par la tablette qui ressort, plutôt que l’aspect individuel. Il y a de plus la dimension de plaisir pour l’élève d’avoir son matériel. C’est aussi un support de communication, de connexion, donc d’échange avec l’autre.
    • Mobilité” : de quelle mobilité parle-t-on ? Mobilité des personnes ou bien de l’outil lui-même ? Objet multimodal : par exemple en sorties scolaires, l’objet permet de s’extraire de l’unité de temps et de lieu de la classe. On l’emmène avec soi pour capter des moments en vidéos, photographier, enregistrer, partager, consulter des documents.Ce processus nous renvoie à des pratiques culturelles et sociales : on peut méditer en marchant, l’utilisation se fait aujourd’hui dans un contexte corporel différent, comme par exemple l’utilisation de l’application PokemonGo debout en déplacement. L’équipement pose aussi la question de la distance. On peut échanger, consulter au-delà de l’unité de lieu et de temps scolaire.

    Se pose aussi la question de la dimension tactile, intime et sensorielle à l’objet. Le personnaliser contribue à se l’approprier. La tablette tenant dans la main, elle nous accompagne dans notre vie au quotidien.

    Ces EIM ne sont pas intégrés dans le cadre scolaire, ils le reconfigurent. Ils revisitent le scénario pédagogique : qu’est ce qui va être fait en classe ? Qu’est-ce que je vais pouvoir faire en dehors de la classe ?

    Il fait à la fois exploser le temps et l’espace et permet de reconstituer l’unité et la continuité de l’enseignement, la cohérence pédagogique en regroupant dans le même équipement toutes les actions de l’élève.

    Quelles règles ? Quels comportements ? Quels modes de citoyenneté ?

    Le professeur est le vecteur de confiance qui invite à utiliser les EIM, le chef d’établissement et l’institution garantissent la dimension de responsabilité.

    Se posent bien entendu les questions juridiques, techniques liées aux données et aux identités.

    L’effort d’investissement ne pourra pas se poursuivre. Il posera la question demain d’intégrer les équipements personnels des élèves.

    Question la plus importante soulevée de fait par les EIM : revoir complètement la forme scolaire : comment on repense à la fois la progression de son cours, la cohérence des différents temps d’apprentissages de l’élève, la question de l’aménagement de la classe et de l’établissement (CDI). L’enseignant doit adopter la posture de recherche et innovation. Il doit remettre ses gestes et ses postures professionnelles en question : posture intellectuelle, position par rapport à l’élève.

    Et finalement se pose la question de la formation pour les professeurs : quelles modalités d’accompagnement et de partage ?

    Stéphanie Woessner rentre dans le coeur du sujet en nous présentant son expérience en Allemagne. Dans un collège de 600 élèves, sans TBI et seulement 2 salles informatique, un réseau faible. Partant du principe qu’un élève parle au mieux 1 minute par cours ce qui est peu dans le cadre de l’apprentissage des langues, l’achat de 5 tablettes (en répondant à un appel à projet régional pour 1000€) a permis de mettre des élèves en ilôts, a favorisé la coopération et l’apprentissage par les pairs, l’échange oral entre élève et à l’enseignant de passer plus de temps avec les élèves en plus grande difficulté.

    Pour pallier au souci du droit à l’image des élèves, les applications permettant de fabriquer des avatars et de les faire parler entre eux ont été privilégiées. De plus, l’invention de situations réalistes leur permet de développer des narrations. Certaines productions sont publiées, après correction par l’enseignante, ce qui permet aux autres classes d’y avoir accès.

    Pascale Montrol-Amouroux précise que sur les nouveaux appels à projets la possibilité d’intégrer les équipements individuels personnels des élèves est donnée. Les enjeux sont alors d’accompagner les achats par les familles et de gérer les aspects juridiques. Le choix est laissé aux établissements et aux équipes pédagogiques suivant leurs expérimentations et doit se faire au travers d’une réflexion collective à mener en équipe pédagogique et avec les parents.

    Christophe Piombo nous dit que dans son académie, 40 collèges et une cinquantaine d’écoles seront équipés à la rentrée. Les solutions privilégiées sont : EIM, tablettes et classes mobiles. Il faut s’assurer du développement des usages. Il faut être en association avec les collectivités pour pouvoir rassurer les collègues en étant sûrs que l’environnement soit favorable (accès au réseau etc.).
    Pour les autres établissements, il y a une part du budget de la DAN dédié à l’acquisition de matériel prêté sur appel à projets pour les collègues du premier et second degré. Par ailleurs, les cadres de l’Académie sont équipés.  Catherine Becchetti-Bizot souligne la présence de Canopé pour l’accompagnement des enseignants.

    David Cohen nous raconte comment il passe maintenant à l’intégration des équipements personnels des étudiants.

    Il avait besoin d’un outil multimédia qui permet la captation photo et vidéo, enregistrement et diffusion, en respectant le geste artistique. Il a réussi à faire accepter l’utilisation des smartphones des élèves après avoir inventorié l’ensemble du parc (900 élèves) disponible et démontré ainsi que 90% des élèves étaient équipés (pour les 10% restant, le chef d’établissement a accepté l’achat de tablettes dans le cadre du budget disciplinaire). Une charte a été acceptée par les parents d’élèves, membres du CA, et les autres. D’autre part la problématique de connecter tous les smartphones et tablettes au réseau sécurisé de l’établissement a été résolue par la DAN.

    Le travail pédagogique pendant tout un été a été d’identifier des applications gratuites pour chaque OS visant à monter, transformer les captations photos, vidéos et prises de notes.

    Résultat : le travail sur l’année d’expérimentation fait apparaître que l’espace classe doit être modifié ! Dans une semaine les élèves seront dans des classlabs dans lesquels tables et chaises auront été enlevées au profit de tables basses, poufs, planches et tréteaux car pratiquer les arts plastiques, c’est faire des choix et décider de se mettre avec un tel et ici ou là pour travailler de telle manière, et donc toucher du doigt ce que sont les arts plastiques.

    La table ronde s’oriente ensuite sur la formation des enseignants : Comment est-ce qu’on réfléchit la question de l’accompagnement ? et comment diffuset-on les erreurs qu’on a pu faire ?

    Les enseignants présents se sont autoformés, en allant participer à une association comme cyberlangues, en participant à des webinaires gratuits en ligne et des MOOC. L’institution reconnaît qu’il y a plusieurs modalités de formation qui sont complémentaires et qui doivent être actives pour être en cohérence avec les objectifs de culture numérique.

    Concernant le droit d’utiliser les équipements personnels dans les établissements, les expérimentations restent des cadres dérogatoires et il n’y a pas de réponse claire, nette, précise et opposable à ce jour par l’institution sur le sujet,

    En commentaires proposés par les auteurs de la synthèse :
    nous notons par rapport aux tables rondes des années précédentes sur le sujet, comme nouveautés : la clarification du rôle de l’enseignant qui doit inciter aux usages en proposant un cadre de confiance aux élèves, d’une part, et la reconnaissance des modalités multiples et complémentaires pour la formation des enseignants.

     

  • ENT et espaces plus « ouverts » : comment la complémentarité peut-elle s’opérer ?

    ENT et espaces plus « ouverts » : comment la complémentarité peut-elle s’opérer ?

    Ce fut la question posée lors de la table ronde « Espaces d’apprentissage » qui a eu lieu à Ludovia#13 le jeudi 25 août dernier.

    Rappel de la problématique

    Les exemples se multiplient qui montrent que les jeunes s’emparent de toutes les possibilités d’échange qu’offrent les réseaux sociaux (periscope, snapchat…).

    L’éducation nationale doit former les élèves à un usage responsable de ces nouveaux outils, pour en faire des acteurs du monde numérique et non des consommateurs. Pour cela, les ENT doivent donner accès à de multiples outils et services, dans un cadre respectueux du droit et propice aux activités pédagogiques.

    Comment les ENT évoluent et s’adaptent pour répondre à ces nouveaux usages?

    Pour y répondre, Christine Childs, enseignante en allemand AC Toulouse, Lionel Tordeux – IEN 1er degré dans l’académie d’Amiens, expert sur les dossiers ENT Premier degré et Internet responsable pour la DNE A3, MENESR , Martial Gavaland, enseignant en sciences-physiques AC Nantes,  Dominique Zahnd coordonatrice de la Délégation académique au numérique pour l’éducation (Dane) de Strasbourg  et Pierre Clot, conseiller pédagogique numérique du département du Tarn AC Toulouse ; autour de Pascale Montrol-Amouroux – DNE cheffe du département de la valorisation des usages et de la diffusion des pratiques DNE, MENESR qui a animé cette table ronde.

    La synthèse a été assurée par Jean-Marie Gilliot et Jennifer Elbaz de Brainpop.

    La thématique de cette table ronde est poser la question de comment est-ce que l’on va amener nos élèves à travailler dans le cadre des ENT (dit de confiance) à une Education aux Medias et à l’Information (EMI) pour leur donner les compétences nécessaires afin de pouvoir utiliser des espaces plus ouverts [comme Facebook, Twitter etc]. Comment est-ce que la complémentarité peut s’opérer ?

    Que représente l’espace d’apprentissage dont il est question ?

    Dominique Zahnd nous propose une analogie avec un randonneur.

    Espace : pour y entrer, encore faut-il trouver l’entrée. On peut y entrer librement ou pas. Une fois qu’on est entré dans l’espace regardons autour de nous : est-ce que quelqu’un peut nous aider à évoluer dans cet espace ? Est-ce qu’on peut se laisser aller, emprunter les chemins ou sentiers ou bien doit-on suivre un parcours balisé ? Qu’est ce qui nous est offert comme possibilité ?

    Apprentissage : visant à transmettre quelque chose, l’idée étant que l’élève ait de quoi apprendre, puisse évoluer avec sécurité dans l’espace, qu’il puisse trouver motivation, trouver quelque jeux de piste sur le chemin.

    Martial Gavaland, enseignant dans l’académie de Nantes dispose d’un ENT bien installé depuis 10 ans, institutionnel.

    Seulement voilà : les fonctionnalités ne lui permettent pas de mener son projet pédagogique comme il l’entend. De fait, il utilise alors Edpuzzle. C’est un logiciel ultra simple à efficacité pédagogique immédiate. La DANE lui pose la question de la teneur et respect des CGU vis-à-vis de la loi française. Martial se rend rapidement compte qu’il a outrepassé bon nombre de règles données. Quelles sont ses possibilités afin de maintenir son projet ? Contrat local ? Accord du chef d’établissement ?

    Christine Childs, enseignante dans un établissement privé sous contrat ne dispose pas d’un ENT. Dans le cadre de ses cours, elle a crée, avec ses élèves, une véritable entreprise. Cette année les élèves ont créé des tee-shirts pour les vendre. Ils utilisent alors un certain nombre de stratégies marketing, commerciales et communication et ouvrent une page Facebook, dans ce cadre. Ils se retrouvent sur un espace ouvert.

    Son rôle devient modérateur : expliquer aux élèves qu’ils sont responsables de leurs propos, qu’ils doivent respecter l’image des autres etc. A noter, elle bénéficie du soutien de son chef d’établissement. Elle fait donc le choix de l’éducation et la responsabilisation des élèves dans un cadre ouvert.

    La question qui est alors posée sur la table ronde : l’intérêt pédagogique est-il plus important que le cadre juridique ? Mais la réponse n’est pas apportée.

    Lionel Tordeux nous cite l’exemple d’une élève de CE1 ayant un compte Facebook découvert par son enseignante. L’ENT arrive dans l’établissement, l’enseignante décide alors de travailler sur le profil que chacun va mettre en place dans l’ENT. Conclusion : grâce à l’ENT, on pratique directement l’EMI.

    Lionel TORDEUX affirme que la volonté de l’institution dans l’écriture du schéma est bien la mise à disposition d’outils qui offrent des services autant au moins pédagogique que Facebook peut l’être.

    Pierre Clot entre autre formateur sur l’académie de Toulouse explique son cas : les outils extérieurs préalablement utilisés, remplacés par l’ENT : « on a gagné en sécurité et en tranquillité d’esprit ». Confirmant le gain en efficacité et précisant chaque élève identifié est mieux responsabilisé. Il y a eu aussi la mise en place d’une charte signée par les élèves et les familles, et des règles ont été mises en place en cas de dysfonctionnement.

    Il précise avoir enfin trouvé sur Educatice un ENT branché réseau social.

    En tant que formateur il confirme sa volonté de préférer ne pas laisser les collègues prendre des risques.

    Pascale Montrol-Amouroux pose alors la question : l’idée, c’est de comprendre comment l’ENT peut s’ouvrir vers les réseaux sociaux ? L’ENT a-t-il évolué et a-t-il su se mettre à jour ?

    Dans l’académie de Strasbourg, l’ENT existe depuis 2004 : les élèves pouvaient voir la liste des enseignants et leurs prénoms, ce qui était une révolution à l’époque. Les enseignants ont pris en main l’ENT puis au bout de quelques années ne trouvaient plus leur compte dans ses fonctionnalités. La DANE a donc fait en sorte que l’outil s’adapte aux besoins de l’enseignant et a décidé de tester Moodle en 2011. De nouvelles fonctionnalités ont été intégrées à l’ENT : le travail est devenu collaboratif. En observant le terrain une académie fait évoluer le projet.

    Christine fait remarquer que chez nos voisins anglais, Facebook n’est plus une question, en ayant construit et diffusé un guide « Facebook à destination des éducateurs ».

    Lionel Tordeux précise que de schéma en schéma directeur le produit a évolué. Les professeurs ont eu des commandes, des besoins, les industriels étaient à l’écoute ; on a maintenant des outils qui nous rendent service pour le 1er degré. Et pose la question : est-ce qu’il n’y a pas une méconnaissance des outils proposés ? Pour lui, la Classe inversée et les Twictées sont des dispositifs qui pourraient parfaitement utiliser les ENT.

    Un autre exemple venant de la salle démontre qu’on peut utiliser des forums dans un établissement et cite Babelio dans une perspective d’EMI.

    Est-ce qu’on doit interdire à nos élèves d’utiliser Facebook etc ou bien leur apprendre à utiliser Facebook ?

    Qu’est ce qui est à l’intérieur et qu’est ce qui est à l’extérieur ?

  • Soirée Ludovia#13 autour d’un Pecha Kucha : on en parle encore !

    Soirée Ludovia#13 autour d’un Pecha Kucha : on en parle encore !

    Le Pechakucha ou Pecha Kucha (du japonais ペチャクチャ : « bavardage », « son de la conversation ») « est un format de présentation orale associée à la projection de 20 diapositives se succédant toutes les 20 secondes et de préférence sans effets d’animations (la présentation dure 6 minutes et 40 secondes au total). Cette contrainte impose à l’orateur de l’éloquence et un sens de la narration, du rythme, de la concision, mais aussi de l’expression graphique.

    (Définition source : Wikipédia)

    C’est autour de Jean-Marc Merriaux, Caroline Jouneau-Sion, Laurence Juin, Ninon Louise Lepage, François Jourde, Stéphanie de Vanssay, Jean-Paul Moiraud et Christophe Batier, que Ludovia#13 est entrée en scène avec sa soirée d’ouverture et son thème annuel : « Présence, attention et engagement en classe avec le numérique« .

    Ce sont sous différentes formes mais tous avec la même énergie que nos présentateurs volontaires ont animé un public venu en nombre mardi 23 août dernier à Ax-les-Thermes pour la 13ème édition de l’Université d’été Ludovia.

    Vous pouvez revoir l’intégralité des Pechakucha filmés sur Périscope (au passage, merci à Nicolas Le Luherne, Nadya Benyounes et Christophe Batier pour leur aide technique dans cette réalisation) sur la page dédiée : ludovia.org/2016

     

  • Poppy : un robot open source matériel et logiciel imprimé en 3D pour l’éducation

    Poppy : un robot open source matériel et logiciel imprimé en 3D pour l’éducation

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Didier Roy présente «Poppy : un robot open source matériel et logiciel imprimé en 3D pour l’éducation»

    La plateforme robotique Poppy existe sous trois formes de base, Poppy ergo Jr, Poppy Torso et Poppy Humanoid. Cette plateforme est utilisée de la maternelle à l’enseignement supérieur, pour des projets artistiques (« Poppy entre dans la danse »), pour la découverte des sciences du numérique, simple initiation à la programmation, ou bien design et construction, ou encore travail approfondi dans l’enseignement supérieur.

    Poppy ergo Jr est particulièrement adapté à l’enseignement des sciences du numérique au collège et au lycée.

    Vous vous demandez peut-être comment un bras robotique qui joue au chamboule-tout, au tic-tac-toe  et qui sert même le café peut être utile en salle de classe ?  On vous explique tout ci-dessous…

    1) Premièrement… Qu’est-ce que le kit robotique Ergo Jr ?

    Un robot open-source simple d’utilisation

    Poppy Ergo Jr est un robot open-source conçu pour être utilisé facilement en classe pour initier aux sciences du numérique, notamment à l’informatique et à la robotique. Il est utilisable sans connexion internet et installation préalable.

    Une programmation intuitive par blocs avec Snap! (réimplémentation de Scratch)

    Avec Snap!, les apprenants sont amenés à assembler des blocs d’instructions et à les activer, de façon très intuitive (grâce aux codes couleurs et aux formes), pour voir directement sur le robot Ergo Jr les effets des programmes qu’ils construisent.

    Snap! a été conçu par l’université de Berkeley pour initier à la programmation tout en permettant des utilisations complexes.

    Un ensemble de ressources et d’activités

    Il est accompagné d’un ensemble d’activités pédagogiques gratuites mises au point avec des enseignants du secondaire, allant de la découverte du robot à une utilisation plus complexe.

    Ces activités sont regroupées dans le livret pédagogique Apprendre à programmer Poppy Ergo Jr en Snap! et sont également disponibles sur le forum du projet Poppy où chacun est invité à les commenter et à en créer des nouvelles.

    2) Les caractéristiques du petit nouveau de la famille Poppy

    Un robot à construire soi-même et à personnaliser

    Les pièces sont imprimables en 3D. L’utilisation de rivets rend les modifications simples à réaliser. Il est donc possible de le monter soi-même, de le modifier et de le programmer.

    Il est doté :

    • de capteurs pour prendre des informations dans son environnement : sa caméra et ses servo-moteurs permettent de détecter ce qui se passe autour de lui ou sur lui (sa position, sa température etc.)
    • d’actionneurs pour produire des actions : ses 6 servo-moteurs permettent de bouger et ses leds émettent de la lumière
    • d’un micro-ordinateur (Raspberry Pi) : connecté aux capteurs et aux actionneurs, il permet de contrôler le comportement du robot en exécutant le programme informatique que vous avez élaboré avec les instructions nécessaires.

    Disponible en version virtuelle

    Il est aussi possible d’utiliser le visualisateur web pour faire travailler les apprenants sur le robot virtuel et leur permettre ensuite de faire fonctionner leur programme sur le robot physique. Selon notre expérience, la possibilité de tester n’importe quoi (ex : un angle de 5000°) permet à certains élèves d’être en confiance pour ensuite prendre en main l’Ergo Jr réel.

    Et pour une utilisation plus complexe

    Pour les plus experts, il est aussi possible de le programmer en Python ou avec les langages de votre choix grâce à une API REST qui permet d’envoyer des commandes et de recevoir des informations provenant du robot avec de simples requêtes HTTP.

    La plateforme robotique est faite pour être modifiée et hackable facilement (par exemple ajouter une Arduino) et pour pouvoir communiquer avec d’autres objets et applications (pour les intéressés, la partie technologie et la partie support sont faites pour vous).

    3) De nombreux projets et ressources co-créés avec les enseignants

    Un Kit robotique s’inscrivant dans un projet de recherche

    Le robot Poppy Ergo Jr a été créé dans le cadre du projet Poppy Éducation de l’Équipe de recherche FLOWERS (Inria, ENSTA Paris Tech), soutenu par la Région Aquitaine et les Fonds Européens FEDER. Poppy Éducation vise à développer, évaluer et distribuer des kits robotiques clés en mains à visée éducative, afin de promouvoir la robotique et le numérique dans l’éducation et de faciliter l’acquisition de connaissances en informatique.

    Le robot Ergo Jr et les activités proposées sont testés et évalués sur le terrain grâce à la collaboration d’enseignants de collèges et de lycées de la région Aquitaine.

    Des exemples de projets déjà réalisés

    Voici des exemples de projets qui ont déjà été mis en place par des enseignants et des étudiants :

    4) Liens utiles

    Obtenez votre robot Ergo Jr

    Le kit Ergo Jr est distribué par Génération Robots.

    Vous pouvez aussi utiliser les fichiers source pour le construire par vos propres moyens.

    Ressources pour s’approprier le robot

    Echangez avec la communauté Poppy grâce à son forum

    Le livret pédagogique Apprendre à programmer Poppy Ergo Jr en Snap!

    La documentation complète de la plateforme Poppy

    Et pour les plus curieux …

    Une liste de documents/ressources utile pour la création d’activités pédagogiques avec les robots Poppy.

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13
    http://ludovia.org/2016/ateliers-sur-explorcamps-ludovia13/

    Source article :
    Stéphanie Noirpoudre
    Texte original : https://pixees.fr/dans-la-famille-poppy-je-voudrais-le-robot-ergo-jr/

  • FabCamp et LabCamp se partagent l’espace sous le grand chapiteau de Ludovia#13

    FabCamp et LabCamp se partagent l’espace sous le grand chapiteau de Ludovia#13

    Cette année, le colloque scientifique Ludovia prend de l’ampleur avec, comme traditionnellement, les communications scientifiques, mais aussi des conférences sur la recherche et l’innovation, un espace dédié à la recherche, le « Labcamp » de Ludovia où laboratoires, entreprises et institutions mettront en avant des points de convergence entre la Recherche, l’Ecole et les entreprises.

    Fier de son succès des deux années précédentes, l’espace « FabCamp » ou « Souk Numérique » proposera encore cette année de nombreux sujets de fabrication et de création où vous serez tous acteurs : construire des ressources, des contenus ou des outils ; échanger des astuces entre enseignants avec son matériel ; ou encore mettre en place des solutions peu onéreuses (liseuses « bricolées », ressources « maison »…).

    Sur cet espace, le « chapiteau de cirque de Ludovia« , vous retrouverez aussi des stands partenaires qui proposeront des ateliers pendant les trois jours de Ludovia, du mardi 23 août au jeudi 25 août au soir.

    Plus d’infos sur le programme du FabCamp

    Plus d’infos sur le programme du LabCamp

    Crédit photo : Dessin réalisé par CIRE

  • A Ludovia#13, l’espace Workshop vous attend dès le mercredi 24 août!

    A Ludovia#13, l’espace Workshop vous attend dès le mercredi 24 août!

    Au-delà de l’aspect production, les ateliers sur l’espace WORKSHOP auront une vocation de formation.

    Utilisation de l’iPad dans les EPI, mise en pratique du PodCast, apprendre les maths en codant sur un drone, installer sa TwittClasse ou encore découvrir différents moyens de pratiquer la classe inversée : un programme riche et complet vous attend sur cet espace à Ludovia#13.

    Du mercredi 24 août 09h au jeudi 25 août 13h.

    Retrouvez le programme détaillé ici.

    Crédit photo : Dessin réalisé par CIRE

  • Ateliers ExplorCamps Casio à Ludovia#13 : session mobilité & pratiques pédagogiques

    Ateliers ExplorCamps Casio à Ludovia#13 : session mobilité & pratiques pédagogiques

    L’utilisation des nouvelles technologies peut aider les élèves à mieux conceptualiser certaines notions mathématiques, CASIO Education propose des calculatrices adaptées au mieux à l’enseignement français. En partenariat avec une équipe pédagogique, les ressources pédagogiques créées se doivent être innovantes pour les enseignants et les élèves.
    Camille GASPARD présentera deux ateliers à Ludovia le mercredi 24 août :

    . Pour le collège : Utilisation des QR Codes de 16h à 17h.


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    Présentation de la technologie utilisée :

    Entièrement en français, la calculatrice scientifique fx-92 Spéciale Collège a été conçue pour les programmes du collège de la 6e à la 3e. Cette nouvelle machine a la possibilité de générer des QR Codes correspondant à un tableau de valeurs, une liste, une formule, un menu… Il suffit alors de flasher le QR Code via l’application mobile CASIO EDU+ pour visualiser en ligne un graphique, une boîte à moustache, des diagrammes, ou encore une aide sur le menu …

    De plus, l’application nous donne la possibilité de créer une classe virtuelle dans laquelle nous pouvons regrouper les données générées par les calculatrices de plusieurs élèves pour les comparer ou les combiner.

    Problématique pédagogique, présentation de l’atelier :

    Retenir l’attention des élèves est devenu une priorité pour les enseignants.

    Exercices ludiques, exercices rituels, travail en groupe, travail différencié, types de tâches multiples, construction du savoir ….

    Voilà autant d’idées qui permettent d’engager un travail productif de la part des élèves. Mais toutes ne sont par forcément faciles à mettre en place au sein d’une classe. Par exemple la correction des productions des élèves lors d’un travail différencié peut s’avérer laborieuse.

    Je vous propose donc un atelier pour vous montrer comment la calculatrice fx-92 Spéciale Collège peut devenir une aide précieuse pour ces nouvelles pratiques d’enseignement.

    Dans un premier temps, nous utiliserons la calculatrice dans le cadre d’un jeu réalisé en exercice rituel. Nous verrons ensuite comment la fonction QR Code peut nous aider à récupérer les données des élèves lors d’une séance de travail différencié notamment en transférant les données en MathML.

    . Pour le lycée : Démonstration mathématique et QCM (calcul formel) de 17h à 18h.

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    Présentation de la technologie utilisée

    La calculatrice fx-CP400+E est une calculatrice formelle dont l’utilisation est très intuitive.

    Avec son grand écran couleur haute définition et tactile, cette calculatrice offre un grand confort d’utilisation (meilleure visualisation des calculs, graphes et tableaux, rotation de l’écran, manipulation intuitive grâce à la fonction tactile…). Ses divers claviers numériques donnent accès aux outils mathématiques les plus utiles en écriture naturelle. Son utilisation est similaire à celle d’un ordinateur ou d’une tablette: onglets, copier/coller, menu déroulant, barre de défilement/ stylet… Il est aussi possible de revenir sur les lignes précédentes pour changer certaines données, la machine fera alors à nouveau les calculs. Toutes ces fonctionnalités rendent aisée l’écriture mathématique.

    Ses 19 menus tels que Tableur, Statistique, Géométrie, ou encore Graph3D permettent d’étudier en toute simplicité aussi bien des calculs (transformée de Fourrier, calcul différentiel, factorisation d’expressions algébriques …) que des représentations graphiques (régression quadratique sur l’image d’une trajectoire parabolique, tangente à une courbe…) ou encore de la géométrie dynamique.

    Problématique pédagogique, présentation de l’atelier

    Au Lycée, en plus du programme, les élèves doivent apprendre à travailler en autonomie et ce n’est pas toujours chose facile.

    Habitués à être mis au travail par les enseignants, ils ont parfois du mal à travailler par eux même et ne savent pas toujours comment s’y prendre. La classe de première S est une étape particulièrement difficile en ce qui concerne les mathématiques. Les élèves sont confrontés à des raisonnements logiques plus complexes et la rédaction d’une démonstration peut s’avérer être une tâche ardue.

    Dans cet atelier, je propose de vous montrer comment l’utilisation de la calculatrice formelle peut aider les élèves à être autonomes et à se concentrer sur le raisonnement logique d’une démonstration plutôt que sur les calculs techniques.

    Nous verrons dans un premier temps comment implémenter un QCM sur la calculatrice pour que les élèves puissent revoir les notions indispensables pour la démonstration puis comment créer une e-activité (activité où il est possible de saisir des données de plusieurs menus et du texte) qui guidera les élèves lors de la démonstration.

    A propos de Camille Gaspard

    Voir le programme des ateliers ExplorCamps de Ludovia.

  • PROMETHEAN, Partenaire GOLD de LUDOVIA 2016

    PROMETHEAN, Partenaire GOLD de LUDOVIA 2016

    Présentation de la nouvelle génération d’écrans plats interactifs ActivPanel et de notre plateforme web collaborative ClassFlow pendant les 3 jours de l’Université d’été.

    Promethean, N°1 français des solutions d’apprentissage interactives et collaboratives pour l’éducation, est très fier, cette année, d’être présent en tant que partenaire GOLD de Ludovia et vous propose de découvrir ses dernières nouveautés produits en termes de solutions et logiciels éducatifs interactifs avec notamment :

    Notre nouvelle génération d’écrans numériques interactifs ActivPanel : plus besoin de connecter votre ordinateur ! L’activConnect G-series, module OPS placé dans l’épaisseur de l’écran, révolutionne la salle de classe en créant un environnement de travail collaboratif et interactif de dernière génération. Le processeur Android augmente les fonctionnalités de votre écran interactif comme si vous aviez une tablette en main ! 4 tailles d’écrans disponibles : 55’’, 65’’, 75’’ et 84’’.

    Notre solution tout en un,  l’ActivBoard Touch  : tableau blanc interactif effaçable à sec et tactile. L’ActivBoard Touch associe l’interactivité tactile et intuitive aux fonctionnalités du logiciel ActivInspire, reconnu sur le marché français pour son efficacité en matière d’apprentissage collaboratif.

    ClassFlow : plateforme web d’enseignement et d’apprentissage collaborative. Créez des séquences pédagogiques et diffusez du contenu interactif sur tous les devices de la classe (tablettes, ordinateurs, …) tout en évaluant de façon dynamique la compréhension de l’élève afin de mieux répondre à ses besoins d’apprentissage en temps réel.

    PROMETHEAN2_ludoviaA propos de Promethean

    Depuis sa création en 1996, Promethean s’est axé sur le confort de l’apprenant et le développement de sa créativité en mettant au point des solutions interactives de pointe révolutionnant notre manière d’apprendre, d’enseigner et de travailler de façon collaborative. Avec plus de 1,6 Millions de TBI déployés dans le monde, Promethean aide chaque enseignant, conférencier ou élève à révéler son potentiel, que ce soit en salle de classe, de réunion ou tout espace dédié à la circulation d’informations. Promethean créé, développe, inspire et distribue des solutions interactives et d’évaluation tout en assurant également le support et le SAV dans plus de 100 pays à travers le monde. L’interactivité stimule et favorise de nouveaux usages pédagogiques plus centrés sur l’apprenant, plus coopératifs et plus participatifs. Nos solutions favorisent ainsi la transformation des pratiques et impactent de façon positive les résultats d’apprentissage.

    Promethean a l’une des communautés les plus importantes d’enseignants en ligne au monde via son site Web dédié Promethean Planet www.prometheanplanet.com/fr. Avec plus de 2,4 Millions de membres, Promethean Planet vous permets d’échanger vos contenus et supports de cours tout en bénéficiant d’une banque de 92 000 ressources. Plus de 100 000 enseignants ont déjà choisi en France d’y participer activement au travers des forums dédiés, des leçons interactives mises à disposition, le tout de manière gratuite. C’est en partageant et en contribuant au développement des contenus de tous que chacun pourra s’inspirer et favoriser une approche interactive, participative et structurante.

    Pour plus d’informations :

    www.prometheanworld.com/fr

    www.classflow.fr

    parisinfogroup@prometheanworld.com

     

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Qwant Junior, premier moteur de recherche dédié à la jeunesse, à Ludovia#13

    Qwant Junior, premier moteur de recherche dédié à la jeunesse, à Ludovia#13

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. L’équipe de Qwant sera sur place pour animer des ateliers de présentation de Qwant Junior, le premier moteur de recherche dédié à la jeunesse et de ses outils collaboratifs pour animer la vie en classe.

    Lancé en fin d’année 2015 Qwant Junior est le premier moteur de recherche destiné à la jeunesse. Qwant Junior est né d’un constat simple. Les enfants sont de grands curieux, et un moteur de recherche devrait pouvoir leur apporter les réponses adapter à leur âge.

    Cette nouvelle déclinaison du moteur de recherche Qwant offre ainsi la possibilité aux enfants de découvrir la richesse du web sans s’exposer à des contenus choquants, violents ou encore à caractère sexuel. Qwant Junior repose sur la même philosophie que son grand frère Qwant : Le respect de la vie privée des internautes et la neutralité des résultats. Qwant Junior ainsi est dépourvu de traçage, de publicité et de produits marchands.

    Un espace sécurisé et évolutif

    Pour réussir à adresser la bonne information aux enfants tout en écartant celles négatives,
    Qwant Junior se base sur les travaux de l’Université de Toulouse qui tient et met à jour une liste noire de sites web inadaptés pour un jeune public. Sur laquelle les équipes de Qwant ont ajouté leurs technologies d’analyse de métadonnées, photos, commentaires et mots clés afin de filtrer le Web et en rendant cette liste noire soit évolutive et réactive.

    Reposant tant sur un travail universitaire que sur l’apport des nouvelles technologies Qwant Junior a également souhaité permettre aux enseignants de signaler tout contenu inapproprié passé au travers des mailles du filet, pour ce faire, toutes les écoles disposent d’une version dédiée accessible depuis l’adresse : https://edu.qwantjunior.com/. Une action rendue possible grâce au soutien de l’Education nationale qui a également reconnu une liste blanche de sites éducatifs et pédagogiques.

    De retour à la maison, les enfants pourront continuer à explorer le web en toute sécurité en passant par l’adresse https://qwantjunior.com/, où ils découvriront par ailleurs un contenu éditorial pensé pour les enfants sur la page de garde.

    Qwant Junior est donc un outil fort apprécié dans les foyers comme dans les classes (l’académie de Versailles figure parmi les premières académies à tester le moteur de recherche sur tous ses posts).
    Autre option phare, les carnets de Qwant Junior permettent aux enfants comme aux professeurs de réunir au même endroit le contenu découvert sur le Web.

    Les carnets deviennent ainsi des supports de cours idéal ou un moyen de présenter des exposés de façon ludique et participative.

    Un moteur de recherche sans contenu choquant, sans traçage ni publicité, il fallait le faire !

    Et cocorico, Qwant Junior est certifié « made in France » !