Étiquette : ressources

  • Outil d’aide à la scénarisation pédagogique

    Outil d’aide à la scénarisation pédagogique

    Présentation de la plateforme québecoise OAS, Outil d’Aide à la Scénarisation pédagogique, qui vise à accompagner les utilisateurs dans l’élaboration de scénarios, en s’appuyant sur des pédagogies actives et l’usage des technologies numériques, sur le site eduscol.

    Les objectifs pédagogiques

    La plateforme poursuit un triple objectif : aider les enseignants, professionnels et étudiants dans le domaine de l’éducation à élaborer des scénarios d’enseignement-apprentissage, assister ce même public cible en leur offrant un cadre théorique en matière de design pédagogique puis favoriser le partage, la réutilisation et l’amélioration de scénarios dans diverses disciplines, ainsi que le matériel pédagogique et les REA (ressources d’enseignement et d’apprentissage) associés aux dits scénarios.
    L’aide en ligne proposée permet aux utilisateurs inscrits de prendre plus facilement en main l’interface grâce au tutoriel vidéo « Premiers pas » (réalisée par l’Université de Montréal EDUlib) :

    La suite sur eduscol.education.fr/

    Source : Eduscol

  • Regards croisés parents/enfants sur les apprentissages scolaires et parascolaires et le numérique

    Regards croisés parents/enfants sur les apprentissages scolaires et parascolaires et le numérique

    A l’occasion du lancement de Squla, plateforme numérique de jeux éducatifs basés sur les programmes scolaires de la maternelle au CM2, mêlant ludologie et digital, Ipsos a réalisé une étude à leur demande.

    Cette étude porte sur le regard des enfants âgés de 6 à 12 ans et de leurs parents sur les apprentissages scolaires et parascolaires. Quelles sont les matières préférées des enfants et celles jugées les plus essentielles par les parents ? Comment ces deux cibles perçoivent-elles les devoirs à faire à la maison ? Quelles sont les attentes des uns et des autres vis-à-vis d’Internet et des outils numériques dans l’apprentissage scolaire et parascolaire ?

    Maths et français, matières essentielles aux yeux des parents, (presque) préférées des enfants.

    Les parents sont unanimes pour dire que l’apprentissage du français et des mathématiques est essentiel pour leur enfant.

    Ils sont ainsi 99 % à considérer que l’apprentissage du français, à travers l’orthographe, l’écriture et la lecture est essentiel à l’avenir de leur enfant.

    De la même manière, ils attachent une importance considérable aux mathématiques, 91 % estimant que son apprentissage est essentiel. Par ailleurs, une large majorité de parents (71 %) pense aussi que l’apprentissage des langues vivantes est essentiel, devant l’instruction civique et morale (63 %).

    À noter que les parents considèrent que la familiarisation des enfants aux outils numériques (54 %) est plus essentielle que l’apprentissage de l’histoire et de la géographie (49 %).

    Du côté des enfants, les mathématiques apparaissent comme étant, de loin, leur matière préférée (29 %) suivie par le sport (17 %) et le français (16 %).

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    Si les garçons et les filles déclarent préférer les mathématiques, leurs goûts diffèrent assez largement. Les filles sont ainsi plus nombreuses à préférer le français puisqu’elles sont 24 % à indiquer qu’il s’agit de leur matière préférée, contre 8 % des garçons. Elles sont également davantage attirées par le dessin (16 %) que les garçons (4 %) qui sont quant à eux, 25 % à considérer le sport comme leur matière préférée contre seulement 9 % des filles.

    Enfin, si 20 % des parents disent être précisément au courant du programme scolaire suivi par leur enfant et 58 % être au courant mais pas de manière précise, plus d’un adulte sur 5 (22 %) estime ne pas l’être du tout. Un sentiment plus fréquent chez les ouvriers (33 %) et plus généralement chez les CSP- (27 %) que chez les CSP+ (16 %), mais aussi plus répandu chez les pères (25 %) que chez les mères (19%).

    Les devoirs en famille ne sont pas toujours un moment agréable.

    Parents et enfants s’accordent à dire que les mères aident beaucoup plus souvent les enfants à faire leurs devoirs que les pères (entre 4 et 5 fois plus souvent). Avec une nuance toutefois : les pères sont 23 % à dire que ce sont eux qui aident le plus leur enfant, quand seulement 12 % des mères leur reconnaissent ce rôle. Autre écart, et de taille : 23 % des enfants disent faire leurs devoirs le plus souvent seuls, contre 2 % des parents qui ont ce sentiment !

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    Globalement, une part importante des parents considère rencontrer des difficultés pour aider leurs enfants dans leurs apprentissages scolaires et parascolaires. La moitié des parents avance le manque de temps (50 %) ou de patience et d’énergie (48 %). 39 % ne savent pas comment donner le goût d’apprendre à leur enfant et 33 % se sentent impuissants quand ils pensent à l’éducation de leur enfant. Un quart (25 %) mettent aussi en cause leur manque de connaissances ou de capacités.

    Au total, c’est près d’un parent sur deux (47 %) qui avoue vivre le moment des devoirs comme un moment de stress.

    Autant de sentiments que restituent les enfants : 22 % de ceux qui font leurs devoirs aidés de leurs parents estiment que ces derniers ne savent pas toujours leur expliquer ce qu’ils n’ont pas bien compris en classe (24 % quand il s’agit de leur mère et 12 % quand il s’agit de leur père). Ils sont plus nombreux encore à témoigner de l’énervement fréquent de leur parent au moment des devoirs : 37 % !

    Pour répondre à ces difficultés, l’usage d’Internet semble fréquent aux yeux des parents. Ils sont 85 % à dire qu’il leur arrive de l’utiliser, dont 11 % souvent et 61 % au moins parfois, pour trouver des réponses et aider leur enfant pendant les devoirs. Les enfants sont moins nombreux (55 %) à déclarer que cet outil est utilisé par leur parents au moment des devoirs.

    Les enfants aiment les devoirs et rêvent de pouvoir apprendre sur tablette ou ordinateur…

    Enseignement majeur de cette enquête : une grande majorité (68 %) des enfants déclare aimer faire leurs devoirs et réviser leurs leçons, dont 20 % qui aiment beaucoup cela. Les filles se montrent encore plus enthousiastes (75 %) que les garçons (61 %), tout comme les élèves du primaire (71 %) le sont plus que les collégiens (62 %).

    Moins étonnant, les enfants adorent jouer sur l’ordinateur ou avec une tablette : 98 % disent aimer cela, dont 80 % l’aimer beaucoup (84 % des garçons).

    C’est donc tout naturellement qu’ils montrent un grand intérêt à l’idée de pouvoir jouer sur ces supports numériques tout en apprenant des choses : 96 % des enfants aimeraient en avoir la possibilité, dont 66 % qui aimeraient beaucoup. Dans le détail, ce sont les plus jeunes (69 % des 6-9 ans aimeraient beaucoup) qui ont le plus fort engouement pour cette idée.

    … ce que souhaitent les parents, néanmoins effrayés par les dangers d’Internet

    Les parents constatent volontiers que leurs enfants sont des utilisateurs réguliers des outils numériques. Si la télévision fait partie du quotidien des enfants (96 % la regardent au moins une fois par semaine), ils sont aussi régulièrement utilisateurs de l’ordinateur (84 % l’utilisent chez eux, dont 56 % au moins une fois par semaine) ou d’une tablette (80 %, 62 % au moins une fois par semaine).

    Ils sont aussi une majorité (54 %) à utiliser un smartphone mais 32 % « seulement » à l’utiliser chaque semaine.  L’usage des outils numériques a naturellement tendance à augmenter avec l’âge des enfants. A titre d’exemple, les enfants âgés de 10 à 12 ans sont plus nombreux (93 %) à utiliser un ordinateur que leurs cadets âgés de 6 à 9 ans (78 %).
    Le plus souvent, les enfants utilisent ces outils pour regarder des films et dessins animés (96 %, dont 78 % au moins une fois par semaine), des clips musicaux ou les vidéos de Youtubers (83 %), mais aussi dans un but scolaire ou parascolaire.

    77 % des enfants font des recherches pour l’école à l’aide des outils numériques, et 88 % jouent à des jeux éducatifs, dont la moitié (44 %) au moins une fois par semaine.

    Les parents sont conscients des mérites et avantages qu’apportent Internet et les outils numériques à l’apprentissage de leur enfant. 93 % des parents s’accordent à dire qu’il y a beaucoup de choses intéressantes sur Internet, et 85 % que les technologies numériques peuvent épauler les parents afin de mieux aider les enfants dans leurs devoirs.

    La même proportion, 85 %, pense que les outils numériques peuvent aider les enfants à mieux apprendre.

    Les parents reconnaissent également les mérites de l’apprentissage par le jeu. Ils sont convaincus que l’apprentissage doit être un plaisir pour les enfants (99 % le pensent), qu’il peut se faire par le jeu (95 %) et que s’amuser permet d’apprendre plus facilement (95 %).

    Cependant, tous ces mérites ne diminuent pas la vigilance des parents, dont la grande majorité s’inquiète des dangers d’Internet. Plus de 4 parents sur 5 redoutent que leur enfant fasse de mauvaises rencontres sur Internet (81 %) et près de 9 sur 10 pensent qu’il y a trop de contenus dangereux pour les enfants sur Internet (89 %).

    Squla est une initiative qui nous vient tout droit des Pays-Bas, où elle a été lancée avec succès il y a 8 ans. Aujourd’hui, plus d’un tiers des enfants néerlandais l’utilise. Squla est également présent en Pologne depuis 2015, et arrive en France en septembre 2016.

    Son concept : le jeu comme outil le plus puissant pour l’apprentissage des enfants !

    Grâce à un contenu de qualité créé par des professionnels de l’éducation, à la possibilité d’organiser des concours entre camarades de classe, et à la création d’un espace “parents” permettant de suivre les progrès réalisés, Squla plaît tant aux enfants qu’aux parents.

    Composée de 42 personnes, l’équipe internationale de Squla est animée par la volonté de transformer l’éducation grâce aux possibilités offertes par le numérique, pour le plaisir de tous !

    Source : Agence Com&Kids

    Plus d’infos : www.squla.fr

  • Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

    Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

    Présentation de ce portail par Malika Alouani au micro de Ludomag, interviewée par Christophe Batier, au cours de l’Université d’été de Ludovia#13.

    « Je pense qu’il est important que les enseignants ayant des pratiques novatrices puissent diffuser, communiquer ce qu’ils ont pu faire dans la classe« .

    Le portail sert en effet à valoriser et à mutualiser les pratiques pédagogiques utilisant le numérique dans le premier degré.

    Tout le monde peut accéder à Prim à Bord mais il est plus destiné aux enseignants du premier degré pour les aider à intégrer le numérique dans leur enseignement. C’est un portail tout jeune qui date de février 2015 et il évolue de jour en jour.
    Par exemple, la possibilité pour les académies de pouvoir publier leurs propres ressources.

    Le portail va vraiment devenir une co-construction au niveau national dans le but de valoriser les usages dans chaque académie.

    Tous les détails sur le portail et son évolution dans la vidéo ci-contre.

    Plus d’infos : eduscol.education.fr/primabord

  • Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    François Catala, directeur du dispositif Viaéduc au réseau Canopé, est venu présenter à nouveau le réseau social conçu pour les enseignants dans un contexte de data, ou comment les données recueillies sur ce réseau pourraient aider à comprendre les évolutions du métier d’enseignant.

    Le réseau Viaéduc existe depuis 18 mois maintenant. « Il a été lancé pour répondre à une problématique qui était d’accroître la dimension collaborative du travail entre enseignants« , rappelle François Catala.

    Aujourd’hui, ce sont près de 40 000 utilisateurs qui évoluent sur le réseau et une des spécificités de Viaéduc par rapport aux réseaux privés que tout le monde connaît « est que, au regard des données personnelles, nous avons une politique extrêmement stricte ; nous ne nous servons pas des data à des fins commerciales« , argument François Catala.

    En revanche, ces données anonymisées doivent servir à comprendre comment les enseignants travaillent entre eux : « Qui vient, pour quoi faire, de quelle académie viennent-ils, quel comportement ont-ils sur Viaéduc etc » ; et c’est uniquement dans ce sens que les data du réseau peuvent être mises à profit.

    Grâce à ces données, déjà des constats se dressent que François Catala détaille dans la vidéo ci-contre.

    « Compte tenu du fait que Viaéduc doit devenir un « hub », soit un centre de socialisation pour d’autres plateformes, en s’interconnectant avec Myriaé, M@gistère, ou encore Canoprof, Viéduc va être une plateforme qui permet de socialiser les autres services ».

    En terme d’analytics, cela devrait permettre d’avoir aussi une vision sur l’utilisation des autres plateformes.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    Plus d’infos sur Viaéduc : www.viaeduc.fr

  • Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ?

    Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ?

    Voici un sujet intéressant posé par la table ronde « ressources, jeux & contenus » lors de l’Université d’été de Ludovia#13 avec la problématique ci-dessous.

    Problématique :

    Si l’on pourra s’interroger sur les formes de présence, d’attention et d’engagement des élèves et des groupes d’élèves ou des enseignants, nous demanderons aux intervenants d’indiquer quels points d’attention ils retiennent pour concevoir, développer, mettre à disposition et diffuser leurs ressources numériques pour l’École ou plus largement pour l’éducation ? Qu’est-ce qu’une ressource qui développe la présence, l’attention, l’engagement des élèves et de leurs enseignants ? Les mêmes à tous les âges ? Pour quels objectifs ? Quels équilibres rechercher entre la qualité des contenus et des services associés, l’ergonomie, les retours sur actions à travers la diversité des ressources (audio-vidéo, textes et images, jeux, etc.) ? Quels dispositifs pédagogiques, quelles évaluations et/ou indicateurs retenir ?

    Cette Table Ronde s’efforcera de confronter des expériences et des points de vue pour aller au-delà des constats de motivation ou de mise en action des élèves si souvent répétés, ou bien encore pour dépasser la simple invocation de l’élève acteur de ses apprentissages.

    Intervenants 
    : Milena Popova – Europeana, Alain Thillay -DNE, Ludovic Delorme – Professeur agrégé de SVT AC Montpellier et Géraldine Bridon – Professeur de SVT AC Paris.
    Modérateur : François Jourde
    Rapporteurs & synthèse : Stéphanie de Vanssay

    Les aventuriers de la ressource perdue

    « Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ? », thème récurrent chaque année à Ludovia, la question des ressources a évidemment fait l’objet d’une table ronde le mercredi 24 août. En débat : quelles ressources ? Quelles provenances ? Comment les trouver et les utiliser ?

    D’où viennent les ressources ?

    Les éditeurs privés en proposent mais aussi le ministère (Eduthèque par exemple), la commission européenne (Europeana), les enseignants eux-mêmes sans oublier les élèves !
    En effet, solliciter les élèves, tant sur la forme et les aspects techniques des ressources numériques que sur le fond de leur contenu, est un puissant moyen d’engagement. Être en position de contributeur, créateur, expert technique a l’avantage de motiver les élèves, d’être une entrée efficace pour asseoir des apprentissages et par la même occasion de faire gagner du temps à l’enseignant.

    Comment les trouver ?

    Tout d’abord il faut connaître leur existence… Nous avons par exemple été très nombreux ici à découvrir l’existence de la bibliothèque numérique Europeana(1). Ensuite une indexation claire et pertinente ainsi qu’un moteur de recherche permettant idéalement de chercher parmi plusieurs banques de ressources sont essentiels. Eduthèque(2) va très prochainement faire un premier pas en ce sens avec un moteur permettant de chercher des ressources chez tous les partenaires en une seule fois. Cela facilitera les recherches thématiques et permettra d’obtenir des résultats dans différents champs disciplinaires.

    Quelles sont leurs caractéristiques ?

    La ressource idéale est libre, gratuite et accessible, c’est-à-dire d’un accès facile en ligne mais aussi adaptée aux personnes en situation de handicap. Elle doit aussi être modifiable en fonction des besoins des élèves et aussi de la pédagogie de l’enseignant, partageable et téléchargeable pour une utilisation hors ligne. Enfin la ressource parfaite est « débrayable » pour une utilisation granulaire dans tout contexte où elle peut être utile et pertinente. Une ressource figée et non partageable risque fort d’être inutilisée car inadaptée ou pire carrément inconnue.

    Mais cela n’est pas simple, il y a des aspects juridiques à prendre en compte pour gagner la confiance des opérateurs et tenter de vaincre petit à petit les résistances à une diffusion plus libre et ouverte. Actuellement, la publication d’une ressource sur le blog personnel de l’enseignant reste trop souvent non autorisée.

    Or, tous les établissements ne disposent pas forcément d’un ENT (écoles primaires, enseignement privé) souvent nécessaire pour diffuser des ressources aux élèves et à ses collègues en respectant les conditions d’utilisation de celles-ci.

    Au delà de la mise à disposition de ressources, des services associés comme la scénarisation ou des exemples de projets sont appréciables.

    Comment les utiliser ?

    Au delà de l’aspect pédagogique “classique” de nombreuses ressources numériques produisent des traces pouvant servir à accompagner (repérer, différencier), à évaluer les élèves et aussi le projet lui-même. Cela pose la question de l’exploitation de ces traces : peuvent-elles/doivent-elles être toutes étudiées ? Qu’est ce qui est collecté comme données ? Dans quels buts ? Pour quelle utilisation ?   Les traces ne suffisent évidemment pas à tout apprécier mais elles se combinent à d’autres éléments sans s’y substituer, tout n’est pas automatisable.

    Les ressources, une fois incluses dans un scénario pédagogique, permettent des usages ludiques, collectifs, participatifs dans le cadre d’un projet. Elles peuvent aussi être accessibles en mobilité, dans plusieurs langues, sous plusieurs formes pour s’adapter à des contextes variés.

    Il ne faut pas hésiter à utiliser les compétences des élèves, à solliciter l’aide et les conseils de collègues (via les réseaux sociaux par exemple), se simplifier la vie en automatisant ce qui peut l’être, en cherchant des solutions sans complication. Les seules compétences indispensables pour utiliser les ressources sont les compétences pédagogiques pour le reste tout le monde est capable de se débrouiller.

    Enfin, il est important de faire des retours d’usage aux plateformes proposant des ressources numériques pour permettre l’amélioration du service.

    La quête des ressources numériques idéales est en cours ; les aventuriers qui produisent, cherchent, utilisent les contenus numériques ont encore un gros travail de défrichage à faire !

    Plus d’infos vers les liens ci-dessous :

    Europeana la bibliothèque numérique européenne

    Éduthèque avec bientôt un moteur de recherche dédié, parcours M@gistère en auto-inscription

    Banque de ressources numériques pour les cycles 3 & 4 (lancement 31 août avec 30 % des contenus puis enrichissement d’ici décembre 2016)

    Tactiléo Map, application de géomatique créée pour accompagner des sorties terrain

    Portail « Apprendre avec le jeu »

    Site de Géraldine Bridon

    MOOC bac2sciences créé par des profs pour aider les élèves à préparer les épreuves du bac

    Storify de la table ronde prise de notes en direct sur Twitter

  • Educ’ARTE, le service pédagogique innovant de la chaîne franco-allemande

    Educ’ARTE, le service pédagogique innovant de la chaîne franco-allemande

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Caroline Ghienne présentera  « Educ’ARTE, le service pédagogique innovant de la chaîne franco-allemande » pour le primaire et secondaire (cycle 2, 3 et 4 et lycée).

    VisuelEducARTE_enligne

    Problématique pédagogique :

    Educ’ARTE utilise les potentialités offertes par le numérique pour améliorer la diffusion d’œuvres audiovisuelles de qualité auprès des enseignants et des élèves.

    En proposant des outils innovants et de partage, ils contribuent à moderniser les méthodes pédagogiques et à enrichir les apprentissages, avec la possibilité de s’adapter aux besoins de chaque élève et de mutualiser de nouvelles pratiques entre professeurs.

    S’appuyant sur la grande diversité des programmes de la chaîne franco-allemande, Educ’ARTE permet de couvrir toutes les matières (de l’histoire à l’économie en passant par la science et l’histoire des arts).

    Il offre un complément intéressant à l’apprentissage de l’allemand et du français, aux enseignements interdisciplinaires (éducation artistique et culturelle, éducation à l’information et aux médias, enseignement moral et civique) et aux travaux personnels encadrés.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée :

    Educ’ARTE est une ressource numérique pour l’enseignement primaire et secondaire qui donnera accès à :

    – un site de vidéo à la demande par abonnement spécialement conçu pour les enseignants et les élèves avec plus de 500 programmes en français et en allemand ;

    -des fonctionnalités pédagogiques innovantes :

    • Un outil d’annotation qui permet d’extraire une séquence d’un film et d’y intégrer un commentaire texte / audio / vidéo, une infographie ou des quiz
    • Un outil de création de cartes mentales

    Documentaires, magazines ou encore films d’animation, les contenus ont été sélectionnés par des professionnels de l’éducation, pour leur intérêt pédagogique. Indexés par discipline, niveau scolaire et mot-clé, ils seront disponibles sur tous les supports (ordinateurs, tablettes, smartphones), en streaming et en téléchargement, pour une utilisation au sein des établissements scolaires (CDI ou en classe) et à domicile.

    Relation avec le thème de l’édition :

    Educ’ARTE fait le pari de l’utilisation du numérique à l’école. Ce service permet en effet de mobiliser l’attention des élèves à travers des œuvres audiovisuelles, sélectionnées pour venir en appui des programmes scolaires. Les fonctionnalités pédagogiques telles que les cartes mentales ou les outils d’annotations créent de l’interactivité entre le professeur et ses élèves.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe :

    Educ’ARTE a reçu le soutien du Ministère de l’Education nationale et suscite l’intérêt du corps enseignant. Le service est actuellement expérimenté dans une soixantaine d’établissements issus de six Académies pilotes (Aix-Marseille, Créteil, Nancy-Metz, reims, Strasbourg et Paris), depuis le mois de mars 2016 et jusqu’en juin 2017.

    L’expérimentation est séquencée en trois temps :

    1) d’avril 2016 à juin 2016 : prise en main du service, découverte du catalogue, accès à la SVOD (soit 350 heures de programmes sélectionnés pour leur intérêt pédagogique) ;

    2) de septembre 2016 à juin 2017 : test des outils innovants (avec une nouvelle mise en ligne à chaque vacance scolaire)

    3) de janvier 2017 à juin 2017 : retours d’expérience et valorisation des bonnes pratiques.
    Des retours d’expérience sont attendus en début et en fin de chaque séquence, à travers des questionnaires utilisateurs (enseignants, professeurs documentalistes, élèves …), des entretiens téléphoniques, ou des visites d’établissements. L’objectif est d’adapter au mieux les fonctionnalités du service, le catalogue de vidéos, la navigation et les outils pédagogiques aux besoins des utilisateurs.

    A propos de Caroline Ghienne

    Voir le programme des ateliers Explorcamps sur Ludovia

     

     

  • Signature d’un partenariat entre France Médias Monde et le CNED

    Signature d’un partenariat entre France Médias Monde et le CNED

    Madame Marie-Christine SARAGOSSE, présidente directrice générale de France Médias Monde et Jean-Charles WATIEZ, directeur général du CNED ont engagé le 16 juin dernier un premier partenariat pour conjuguer leurs complémentarités en vue d’améliorer l’accès et la qualité de l’offre d’enseignement et de formation en ligne à l’international et dans le monde francophone.

    France Médias Monde et le CNED participent, chacun dans leurs champs respectifs, à la diffusion d’une approche française du monde à l’international, France Médias Monde par l’information, le CNED par l’enseignement et la formation. Ils ont à cœur, la langue française, la qualité et la fiabilité des contenus et services offerts. Les deux établissements partagent des valeurs communes d’accessibilité au savoir et de réussite pour le plus grand nombre.

    Engagé sur une durée de trois ans, le partenariat s’appuie sur trois axes structurants:

    • la production de contenus à destination de publics scolaires en France et dans le monde pour l’enseignement et l’apprentissage du et en français, en s’appuyant notamment sur les ressources mises à disposition par le site RFI Savoirs ;
    • la création de modules de formation en ligne pour la formation aux médias et aux métiers du journalisme ;
    • la promotion des futures collaborations entre les deux établissements auprès d’un large public en France et dans le monde, notamment par le biais du site RFI Savoirs.

     

    A propos du CNED

    Dans un monde où les technologies de l’information et de la communication construisent un nouveau rapport au savoir, le CNED, opérateur public de l’enseignement à distance, propose des parcours qui développent la capacité de chacun à apprendre, à progresser et à réussir. Le CNED est le premier opérateur de la formation tout au long de la vie en Europe et dans le monde francophone. Sa mission est d’offrir au plus grand nombre la possibilité de suivre des formations, qu’ils résident en France ou à l’étranger. L’accessibilité, la réussite et l’utilité sociale sont au cœur des valeurs portées par l’établissement. Plus de 243 000 personnes se forment tous les ans avec le CNED réparties dans 163 pays. Cette activité se déploie à l’international au travers d’une centaine de conventions de collaboration passées avec les grands opérateurs de la scolarisation en français et de l’enseignement de la langue française à travers le monde.

    France Médias Monde

    Ecouter et regarder le monde

    Le groupe France Médias Monde réunit France 24, la chaîne d’information continue trilingue ; RFI, la radio mondiale et Monte Carlo Doualiya, la radio universaliste en langue arabe. Les trois chaînes émettent depuis Paris à destination des 5 continents, en 15 langues. Les journalistes du groupe et son réseau de correspondants offrent aux auditeurs, téléspectateurs et internautes une information ouverte sur le monde et sur la diversité des cultures et des points de vue, à travers des journaux d’information, des reportages, des magazines et des débats. 66 nationalités sont représentées parmi les salariés. Chaque semaine, RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya rassemblent près de 100 millions d’auditeurs et de téléspectateurs (mesurés dans moins du tiers de leurs pays de diffusion). Les trois médias du groupe cumulent 30 millions de visites dans leurs environnements numériques chaque mois (moyenne 2015) dont près de 40% sur les offres en langues étrangères. Ils rassemblent 35 millions d’abonnés sur Facebook et Twitter (décembre 2015). France Médias Monde est un des actionnaires et partenaires de la chaîne francophone généraliste TV5MONDE.

     

  • Le fonctionnement de l’œil humain – Guide interactif

    Le fonctionnement de l’œil humain – Guide interactif

    Nous avons développé un guide interactif sur l’anatomie et le fonctionnement de l’œil humain pour simplifier et imager son fonctionnement complexe. Du filtrage de la lumière au traitement des signaux lumineux par notre cerveau, le guide est un voyage à travers nos yeux.

    UTILISATION DU GUIDE INTERACTIF

    Le guide se présente en quatre grande parties : l’anatomie de l’œil humain, le filtrage de la lumière, la mise au point et le traitement des signaux lumineux par le cerveau.

    L’ANATOMIE DE L’ŒIL HUMAIN

    guideinteractifoeihumain1_080616Il vous suffit de passer votre curseur sur chaque partie de l’œil pour que son nom et le rôle qu’elle joue s’affichent.

     

     

     

     

     

     

    LE FILTRAGE DE LA LUMIERE

    guideinteractifoeihumain2_080616La barre mobile de luminosité vous permet de comprendre comment la pupille filtre et régule la quantité de lumière qui atteint la rétine.

     

     

    LA MISE AU POINT

    guideinteractifoeihumain3_080616La barre mobile de mise au point vous permet de comprendre comment le cristallin ajuste la netteté de la vision et projette un environnement renversé sur la rétine.

     

     

     

    LE TRAITEMENT DES SIGNAUX LUMINEUX PAR LE CERVEAU

    guideinteractifoeihumain4_080616Toutes ces informations sont envoyées sous forme de signaux lumineux vers le cerveau, qui traduit ces signaux en image.

     

    Plus d’infos :
    Le lien du guide interactif est le suivant : http://www.visiondirect.fr/oeil-humain

     

     

     

     

     

  • ARIES Développement signe un partenariat pédagogique avec Lelivrescolaire.fr

    ARIES Développement signe un partenariat pédagogique avec Lelivrescolaire.fr

    ARIES Développement et Lelivrescolaire.fr viennent de signer un partenariat pédagogique qui offrira la possibilité aux joueurs de la plateforme du serious game SCOLA d’avoir accès à une ressource éducative illimitée.

    Développé par la société ARIES Développement, SCOLA, proposera l’accès à des cours édités par Lelivrescolaire.fr, éditeur de manuels scolaires collaboratifs et innovants. Le projet SCOLA est une plateforme pédagogique présenté lors du dernier salon Educatec-Educatice qui a eu lieu les 9,10 et 11 mars. Il est un des lauréats de l’Appel à Projet n°2 de la Direction Générale de « Investissements d’avenir – développement de l’économie numérique – services numérique pour l’e-éducation ». Les professeurs et la Délégation Académique au Numérique de l’Académie d’Aix-Marseille sont également partenaires de ce projet innovant.

    Partenariat pédagogique SCOLA

    En complément du serious game et de ses épreuves, SCOLA offrira la possibilité aux joueurs de pouvoir accéder à une bibliothèque pédagogique qui leur permettra de rechercher à tout moment des renseignements durant le temps de jeu.

    Il est composé de démonstrations, d’exercices ou encore de définitions simples à trouver via les mots clés. Grâce aux ressources conçues par Lelivrescolaire.fr, les joueurs peuvent apprendre et utiliser les informations fournies pour évoluer dans le jeu et passer les épreuves avec succès. L’ensemble de ces contenus pédagogiques ont été créés de façon collaborative par une communauté de près de 1 500 enseignants co-auteurs.

    Lelivrescolaire.fr, créé en 2009, est aujourd’hui utilisé par 50 000 professeurs, 500 000 élèves dans environ 1000 collèges en France ; ce qui en fait un acteur de référence dans le monde de l’éducation !

    De plus, les élèves ont à leur disposition un module de discussions en ligne qui leur permet en temps réel pendant les épreuves du jeu, d’échanger avec d’autres élèves ou des enseignants afin de susciter entraide et dialogue. Les enseignants peuvent se servir d’un système d’évaluation qui leur permet de suivre l’évolution de chaque élève durant le jeu, et d’éditer un rapport permettant d’analyser les points forts et les axes d’améliorations de chacun.

    E-learning & Serious Game : SCOLA, une approche de l’éducation alliant apprentissage, technologie et divertissement.

    La plateforme de jeux sérieux SCOLA présente plusieurs intérêts à la fois pour les enseignants, les élèves mais aussi pour les établissements scolaires. En effet, pour les enseignants, les contenus pédagogiques ont été créés par des professeurs experts en la matière, et validés par les inspecteurs Académiques de l’Académie d’Aix-Marseille.

    Cet outil se présente comme une ressource numérique innovante, souple et flexible, adaptée aux nouvelles pédagogies en matière d’éducation.

    Pour les élèves, le jeu sérieux s’inscrit dans un apprentissage ludique, ici des mathématiques et leur histoire, l’objectif étant de donner un aperçu différent aux élèves quant à cette matière incontournable qui occupe une place importante dans notre société et a tendance à « paralyser » les élèves du collège. En se connectant à la plateforme SCOLA, les joueurs personnalisent leur avatar avec lequel ils vont progresser en remportant des épreuves, le tout à travers deux périodes historiques : l’Antiquité et la Renaissance.

    Enfin, pour les établissements scolaires, cette plateforme de jeux sérieux propose une réelle ressource numérique, adaptée aux contraintes techniques des écoles et aux normes de l’éducation nationale, avec de contenus créés par des enseignants.

    L’outil est également adaptable sur tout support informatique : PC, tablettes, … avec une connexion 100% sécurisée en classe ou à distance, ce qui permet aux élèves, comme aux enseignants, de pouvoir l’utiliser même en dehors du cadre scolaire (domicile, en vacances…).

    A ce jour, la plateforme SCOLA a été testée par près de 5000 élèves de collèges de l’académie d’Aix-Marseille et peut supporter plusieurs centaines de milliers de connexions en simultané. Elle a pour vocation d’héberger dans les mois qui viennent, d’autres jeux sérieux interdisciplinaires abordant les matières comme la sécurité, l’histoire, l’archéologie, les langues…, toujours dans l’optique de pouvoir « apprendre en s’amusant ».