Étiquette : mobilité

  • EIM & Présence mobile de l’élève

    EIM & Présence mobile de l’élève

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Nicolas Bertos présente « EIM & Présence mobile de l’élève ».

    Problématique pédagogique : 

    A la rentrée 2016, 39 collèges numériques de l’académie de Montpellier transmettront aux collégiens de 5ème un EIM (Equipement Individuel Mobile). Comment s’appuyer sur l’expérience vécue par les 11 collèges préfigurateurs  (2015-2016) ? Comment les enseignants de ces collèges préfigurateurs peuvent-ils servir de relais et de formateurs auprès des collègues des collèges numériques ? Quelles ressources la DANé de Montpellier peut-elle apporter aux collèges numériques ? Quels usages pédagogiques nouveaux ou modifiés apparaissent avec les EIM ?

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée :

    Avec le plan national numérique, l’usage des tablettes tactiles en classe tend à se répandre. Ces outils sont un levier particulièrement efficace pour faire pénétrer dans la classe des éléments d’une culture numérique fondée sur l’engagement des élèves. Leur utilisation peut-être très diverse selon la créativité du professeur, il est donc crucial de partager et mettre à disposition les ressources et les pratiques utiles pour la classe. Cette présentation sera donc axée sur les usages et potentialités des tablettes, outils vecteurs de renouvellement de pratiques, mais aussi de postures pour les enseignants et les élèves.

    Parallèlement, la DANé de Montpellier a mis en place eStore, une banque d’applications pour EIM https://estore.ac-montpellier.fr/ à l’intérieur de laquelle les enseignants de l’académie peuvent, après authentification, déposer un avis pédagogique et attribuer une note pour chaque application.

    La présentation de l’utilisation pédagogique des EIM pourra se faire autour d’un ExplorCamp, par un enseignant d’un collège numérique, Nicolas Bertos.

    Relation avec le thème de l’édition :

    L’Equipement Individuel Mobile accompagne l’élève de 5ème en classe, au CDI, dans la cours de récréation, à son domicile… Avec cet outil, le temps de la mise en activité n’est plus exclusif à l’enceinte de la classe : la mobilité de l’EIM induit une mobilité de production de ressources. Ce nouveau rapport espace / temps peut être un facteur favorisant l’autonomie et l’engagement de l’élève.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe : 

    Après 3 ans d’utilisation en classe, le regard que je porte sur les tablettes n’est plus le même qu’au début de cette expérience. En particulier, les contraintes techniques, omniprésentes lors des premières utilisations, ont été surmontées avec des solutions pragmatiques. On retrouve les mêmes appréhensions chez les collègues des collèges préfigurateurs (panne du réseau, stockage des documents, utilisation de manuels numériques ou d’applications spécifiques, etc…) lors de la mise en route du dispositif dans leurs établissements. Cependant, la majorité de ces problèmes peuvent être anticipés et donc partiellement contournés avec une bonne connaissance matérielle et une scénarisation du cours adaptée. Ainsi, en classe l’utilisation des tablettes est au service de la pédagogie voulue par le professeur, que ce soit lors d’une séance d’intense production (scénarisation complexe du cours) ou d’une utilisation plus simple, d’un « moment numérique » plus ciblé dans le temps.

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13
    http://ludovia.org/2016/ateliers-sur-explorcamps-ludovia13/

    A propos de l’auteur 

  • Le numérique au service du patrimoine

    Le numérique au service du patrimoine

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Thierry Girault et Anne-Sophie Le Vincent du Canopé territorial Montpellier-Toulouse présentent « Le numérique au service du patrimoine ».

    A partir d’une carte physique du département du Tarn associant des QR Codes à des lieux d’architecture remarquables, la proposition est de créer son propre parcours de découverte culturel et de l’enrichir. A l’aide de tablettes, les participants visualisent des documents du patrimoine issus du fonds des archives associées aux lieux et peuvent à leur tour en collecter et en créer pour des sites de leur choix.  Écrits, enregistrements vidéos et audios sur outils mobiles composent alors des notices documentaires qui enrichissent les propositions initiales. Un code couleur permet d’associer chaque notice à un type de patrimoine: culturel, commémoratif, industriel,naturel, militaire, civil.

    La réalité augmentée valorise ce dispositif d’écriture transmédia, en offrant grâce à une application dédiée une vision enrichie des lieux culturels sélectionnés.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée :

    Le recours aux technologies usuelles telles que les tablettes, smartphones, et encore les applications en ligne Evernote et Aurasma, favorise la mutualisation de contenus transmédias. En effet, ces technologies combinent des qualités indéniables en terme d’accessibilité et de mobilité, s’adaptant tout à fait aux demandes de personnes de plus en plus reliées aux objets connectés et à leurs multiples possibilités.

    Relation avec le thème de l’édition :

    Ce projet engage l’investissement personnel des participants à plusieurs titres. Hors du présentiel, il propose d’opérer des choix dans les sites patrimoniaux à valoriser, de s’engager dans une collecte de données notamment auprès d’une institution culturelle afin d’aboutir à une production faisant appel au « sensible » de chacun. Cette démarche se veut collaborative à travers des productions diverses :enregistrements audio,vidéo, texte, image , en privilégiant la qualité des contenus.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe :

    Notre proposition n’a pas fait l’objet d’une application en classe, mais d’une animation d’atelier lors des journées du patrimoine. Néanmoins, nous illustrerons notre propos par un projet mené dans le Tarn autour de la réalité augmentée au service du patrimoine par des classes accompagnées par le Centre Tice qui y a vu l’intérêt suivant : associer la réalité augmentée à une une exposition traditionnelle de travaux d’élèves (photographies plus textes associés) a été une réelle motivation pour les élèves du fait du caractère novateur encore peu répandu. Dans un premier temps, l’effet de surprise suscite l’intérêt quand ils découvrent le fonctionnement à travers un exemple déjà opérationnel, et plus fortement encore quand, dans un deuxième temps on leur livre « les secrets » de fabrication et que, dans un troisième temps, ils deviennent à leur tour acteurs de l’étonnement des autres, surtout quand ce sont des adultes. Les élèves s’investissent donc pour surprendre positivement à travers la forme mais également à travers le fond essayant de proposer des contenus additionnels de qualité. Ils ont une grande fierté à se conduire en tuteurs d’un public adulte néophyte qui découvre avec une certaine admiration ces travaux scolaires.

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13

    A propos de Thierry Girault et Anne-Sophie Le Vincent

     

  • Projet AVAN : usages massifs et raisonnés des smartphones en cours d’Arts plastiques

    Projet AVAN : usages massifs et raisonnés des smartphones en cours d’Arts plastiques

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. David Cohen présente «Projet AVAN : usages massifs et raisonnés des smartphones en cours d’Arts plastiques»

    Problématique pédagogique :

    Lancée dès cette année, l’expérimentation AVAN a pour but de tester in vivo l’apport pédagogique disciplinaire du smartphone en cours. Dans un soucis d’équité républicaine, les quelques élèves non équipés utilisent les tablettes disponibles. Quatre usages ciblés: montage video, retouche photo, lecteur QR Codes et outil de prise de note. En adéquation avec les usages numériques ciblés dans les programmes, et après avoir balisé (choix d’apps gratuites pour les différents OS, avenant au règlement de l’établissement, connexion des smartphones au proxy wifi de la salle…), il nous est désormais possible de produire avec ces outils personnels, et de tester leur introduction de manière pérenne et cadrée.

    Apport du numérique :

    Le choix porté sur les smartphones répond à la question du déploiement massif de tablettes. En effet, n’étant pas éligible (pas encore de fibre), il nous est apparu évident de tester à grande échelle ces nouveaux outils. La complexité vient de la grande hétérogénéité du parc (modèles différents, plusieurs OS…). Nous avons donc cherché des applications équivalentes et gratuites, et ce pour tous les OS et les aurez usages ciblés. Nous testons de plus des beacons afin de tester l’envoi automatique de ressources en live. Enfin, deux points de projection sans fil sont dispos: une Apple TV pour les iphones et un second video projecteur avec une clé miracast pour les très outils mobiles Android et Windows.

    Relation à la thématique :

    L’arrivée des smartphones comme outils de production en cours soulevé les questions suivantes: un outil peso noël est-il adapté au travail scolaire? Peuvent-ils créer de l’inattention? Sont-ils adaptés à un usage créatif en milieu scolaire?

    Retour d’usage et apport :

    Après un vote en CA, un avenant au règlement intérieur, puis une convention d’usage signée, la mise en place massive à débutée mi-décembre. La présence d’iPad en classe (pour les quelques élèves non équipés) permet de palier aux manques. L’installation d’un second poste de projection sans-fil (miracast), d’une imprimante laser sans fil et d’un serveur (Kanex me drive) permet la projection et récupération des travaux. Sur plus de 900 élèves, seuls 3 n’ont pas respecté leur engagement sur l’usage citoyen et pédagogique (ce qui est très peu). Les utilisations en classe sont pertinentes: chaque élève travail et produit et l’écart technologique des appareils est palié par l’utilisation des apps choisies.

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13
    http://ludovia.org/2016/ateliers-sur-explorcamps-ludovia13/

    A propos de l’auteur 

  • Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Au fil du temps, les termes « eBeam » et « tbi mobile » sont devenus synonymes en France. L’eBeam est le tableau interactif le plus vendu en France. C’est une solution mobile parfaitement adaptée à l’utilisation à l’école notamment qui équipe plus de 60 000 salles de classe dans toute la France.

    Le TBI mobile eBeam est composé d’un capteur interactif fin et aimanté, qui s’accroche tout seul sur votre tableau blanc ; et d’un stylet interactif permettant d’interagir sur la surface de projection. Il s’adapte à tous les vidéoprojecteurs et ordinateurs (Windows, Mac OS ou Linux).

    Le tableau interactif qui capte des deux côtés, sur plus de 5 m.

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    C’est la nouveauté la plus marquante de l’eBeam Edge Plus : il est désormais possible d’utiliser la partie interactive digitale (avec stylet interactif) d’un côté du capteur interactif, et la partie prise de note physique (avec marqueur) de l’autre, pour une surface interactive de plus de 5 m de long.

    Il devient ainsi facile de jongler entre tableau interactif et tableau physique, avec le même tableau interactif eBeam Edge +.

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    100 grammes de simplicité dans un monde de brutes


    La simplicité d’utilisation du tableau interactif mobile
    eBeam qui a fait son succès, avec plus de 60 000 utilisateurs en France. Le tableau interactif eBeam Edge transforme votre salle de classe (ou de réunion) en salle interactive très facilement, en s’adaptant à votre matériel existant (ordinateur, tableau blanc et vidéoprojecteur).

    L’eBeam Edge est de plus très léger, il se transporte et s’échange entre collègues sans problème. Ce qui en fait une solution interactive très simple, puissante, partageable et, ce qui ne gâche rien, très économique.

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    Découvrez le tableau interactif eBeam Edge Plus en vidéo

    De nouvelles fonctionnalités pour un tableau interactif plus mobile, plus simple et plus performant

    Par rapport à l’eBeam Edge, l’eBeam Edge Plus est plus précis, plus rapide, plus intégré et dispose d’un nouveau logiciel plus pratique, permettant l’usage du feutre.

    Un nouveau stylet fin et rechargeable 

    Speechi4_190416Le stylet interactif est maintenant rechargeable via prise USB sur ordinateur. Il est ainsi possible d’écrire avec pendant 15 heures, soit environ un mois d’usage normal. La batterie du stylet de son côté ne nécessite que 3 heures de charge.

    Un capteur rechargeable sans fil (8 heures d’utilisation continue)

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    Le TBI eBeam Edge Plus sans fil dispose de sa batterie intégrée, lui permettant d’être utilisé sans fil jusqu’à 8 heures en continu.

    Plug and play, le tableau interactif eBeam Edge peut être utilisé partout, sans aucun fil qui traîne

    Une précision améliorée, un logiciel plus accessible

    Le tableau interactif est devenu plus précis que jamais : latence et précision de l’interaction sont améliorées de 30%. Ce qui veut dire que les erreurs de positionnement sont devenues négligeables et ne sont ainsi plus visibles.

    Le logiciel qui accompagne l’utilisateur du TBI eBeam a été également amélioré. Il est maintenant disponible sur Windows, Mac OS, Android, Chromebook et Linux. L’interface a été également améliorée, pour rendre l’interaction toujours plus simple.

     

     

    A propos de Speechi

    Depuis 2004, Speechi développe des solutions interactives (tableaux blancs interactifs ou TBI, vidéoprojecteurs interactifs, écrans interactifs…), des logiciels innovants et brevetés pour la communication interactive à l’école et en entreprise, ainsi que la formation à distance.
    A ce jour, les solutions Speechi équipent plus de 60 000 salles de classe en France, ce qui fait de Speechi le leader national des solutions interactives. 

    Speechi est aussi la première entreprise au monde à avoir adopté les statuts du Capital Altruiste : elle réserve 10% de son capital à une ONG, l’International Gorilla Conservation Programme. L’ONG dirigée par Eugène Rutagarama effectue un travail considérable de conservation des gorilles des montagnes au Rwanda.

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Les Français et les Applications éducatives : quels usages ?

    Les Français et les Applications éducatives : quels usages ?

    68% des français ont déjà téléchargé une App éducative, la plupart pour apprendre une langue.

    Une récente étude réalisée par l’académie online ABA English parmi plus de 5 000 personnes dans 5 pays, révèle qu’en France :

    • Les Apps éducatives sont les plus utilisées après les applications dites pratiques
    • 70% des utilisateurs qui téléchargent des App éducatives le font pour apprendre des langues
    • 59% des Français utilisent des Apps de langues 1 à 5 fois par semaine

    On le sait, le Smartphone est le meilleur ami de beaucoup de Français. Avec le boom des nouvelles technologies, l’utilisation d’Apps pour Mobile Learning (apprentissage via dispositif mobile) est devenue une tendance à la hausse dans notre pays. C’est ce qui ressort d’une grande étude réalisée par ABA English, une académie en ligne avec plus de 5 millions d’élèves, qui a récemment lancé son Application pour apprendre l’anglais avec des films.

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    Prédominance des Apps pour apprendre des langues

    Etude_Appseducatives2Il n’a jamais été aussi simple d’apprendre une langue. Avec la multiplication de dispositifs mobiles, les Apps sont devenues des outils très utiles pour l’enseignement, à tel point que 68% des Français ont déjà téléchargé au moins une App éducative dans leur vie.

    Les Apps éducatives sont donc les applications les plus utilisées après celles dites « pratiques », suivies ensuite par les Apps de divertissement et de santé :

    • 82% utilisent une App pratique (navigation, maps, entre autres)
    • 54% des Français interrogés utilisent une App éducative
    • 33% utilisent une App de divertissement
    • 21% utilisent une App de santé
    • 9% utilisent une App pour enfants

    Parmi toutes les Applications éducatives téléchargées, 70% concernent l’apprentissage d’une langue étrangère (similaire au niveau mondial 72%).

    Amélioration du niveau de langue avec la App

    Beaucoup de Français considèrent que les Apps pour apprendre des langues sont un outil efficace: 76% des Français estiment avoir amélioré leur niveau de langue grâce à l’utilisation d’applications mobiles.

    La maîtrise d’une langue nécessite que nous y consacrions beaucoup de temps, ce que les Français ne rechignent pas à faire. 59% d’entre eux utilisent des Apps pour apprendre des langues 1 à 5 fois par semaine, et 18% les consultent au moins une fois par jour.

    Utilisation des applications en général

    Selon les données de l’étude, 72% des Français téléchargent une Application ou plus par mois, soit un pourcentage similaire à la moyenne mondiale estimée à 75%.

    Les Français restent néanmoins réticents à payer pour utiliser une application: 18% seulement se déclarent disposés à payer s’il n’existe pas de version gratuite (33% moyenne mondiale), tandis que 28% des interrogés n’hésitent pas à payer quand une application leur plaît (20% moyenne mondiale). Cependant, les Apps gratuites remportent une large adhésion, puisque 54% des sondés confessent ne jamais payer pour une application, un pourcentage supérieur de 8 points à la moyenne mondiale.

    Etude_Appseducatives3Etude_Appseducatives4

    Par les temps qui courent, les Français réalisent l’importance de maîtriser une ou plusieurs langues étrangères pour leur carrière professionnelle ou leur développement personnel. Les technologies et méthodes de m-learning facilitent l’apprentissage de langues, de manière ludique et sans efforts, à l’image de la nouvelle App d’ABA English.

    Source : ABA English.
    Pour plus d’informations: www.abaenglish.com

  • Numérique pour l’Education : mise en œuvre et généralisation des équipements mobiles

    Numérique pour l’Education : mise en œuvre et généralisation des équipements mobiles

    Crédit photo de Marie Deroide : S.Hamon – Pole Communication de la DNE

    Ludovia_DNEMarieDeroide_110915« Dans un premier temps, nos actions sont essentiellement à destination des collèges avec des subventions équipement pour les élèves et leurs enseignants et des dotations en ressources », explique Marie Deroide.

    En complément, plusieurs chantiers nationaux visent à développer et faciliter la mise à disposition de ressources pédagogiques numériques pour le collège mais aussi pour le lycée et le premier degré, « mais l’effort d’équipement se porte bien sur les collèges et sur la généralisation à partir de septembre 2016 qui a été réaffirmée par le Président de la République ».

    Pour arriver à cette généralisation, la logique est celle de l’appel à projets. Basé sur un partenariat collectivités territoriales et Education Nationale et sur le volontariat des établissements et des équipes pédagogiques, un premier appel à projets a été lancé en mars dernier.

    Cet appel à projets a permis de sélectionner environ 220 collèges, et 350 écoles du réseau d’Education Prioritaire.

    Pour l’année 2016, dans une logique de généralisation, c’est à nouveau cette démarche basée sur le volontariat qui va être retenue, « car elle permet de respecter les prérogatives de chacun ».

    « Au sein de la DNE nous cherchons, au travers du programme mis en place autour du plan numérique, à travailler sur l’ensemble des axes en même temps, à savoir : équipements, ressources, formation, usages…Ce qui nécessite une forte mobilisation car de nombreux acteurs sont impliqués ».

     

  • Des applications dédiées au premier degré pour tablettes en classe

    Des applications dédiées au premier degré pour tablettes en classe

    [callout]Vous vous souvenez peut-être de ces publicités ventant l’iPad et finissant par une enfant dessinant un « a » avec un grand sourire ? C’était ABC-Lettres-Cursives, l’une des premières applications d’Emmanuel. Depuis, quelques 100 applications ont été développés dans des domaines très variés, mais toujours en rapport avec l’éducation.[/callout]

    AppsABC_100915Emmanuel travaille avec et pour les professionnels de l’éducation. Chaque rencontre  avec un enseignant donne lieu à une plusieurs applications, donc demandées et conçues pour le terrain.

    La rencontre avec Vindicien, (Professeur des Ecoles) a permis d’amender des applications existantes et de créer les toutes premières applications de français et de mathématiques.
    Sylvie TRAMASURE (présidente du Groupement Belge des GraphoThérapeutes) a guidé le développement de ABC-Lettres-Liées, Quadrillages, Nuages de mots, et une dizaine d’autres applications !
    Avec JP Ramognino (Inspecteur retraité) Paires de mots, Paires de nombres, la suite Jetuil-CE1, etc
    Avec Agnés Desjobert, (orthophoniste) des applis à destination de ces professionnels, Range Mots, Suites, Attention-A, etc..

    « Les contributeurs sont si nombreux que je ne peux tous les citer ! Mais ils sont les garants d’applications développées pour un très large public de professionnels« , explique Emmanuel.

    En cinq ans, chaque email, chaque remarque a été prise en compte, créant un ensemble d’applications répondant exactement aux besoins de chacun (Enseignants, GraphoThérapeutes, Orthophonistes).
    Notons que la plupart des applications  peuvent être complétées et personnalisées. C’est vraiment un plus.

    Le dernier exemple de cette collaboration est sortie le 22 août 2015. « Appel » est une application pour iPad ou iPhone permettant de simplifier l’appel des demi-journées de classe ainsi que le calcul des statistiques de fin de mois avec génération des tableaux des absences.

    L’application « Appel »

    Tilekol avait créé une feuille de calcul Excel pour le calcul des statistiques de fin de mois pour le suivi des absences. Mon application « Appel » est l’application qui copie sa feuille de calcul en ajoutant toutes les fonctionnalités dont peut avoir besoin un enseignant au jour le jour.
    L’application étant sortie le 22 août dernier, il n’y a pas assez de recul pour avoir des témoignages, mais les premiers retours sont tous positifs.

    AppsABC2_100915L’application permet de gérer les absences « normales/injustifiées » et permet de gérer les arrivées de nouveaux élèves en classe ou les départs, le nombre de demi-journées travaillées, les raisons des absences.
    Un tableau des absences en PDF est généré en fin de mois, correspondant aux demandes du ministère.Cette application a été développée sur une idée du site http://tilekol.org et a reçu l’aide de plusieurs dizaines de contributeurs cet été.

    L’appliction « JeValide« 

    JeValide est née durant l’été 2014 lorsque j’ai été contacté par la #teammaternelle sur Twitter, les enseignants de ce groupe voulaient un outil permettant l’auto-évaluation des enfants de maternelle sur le modèle des cahiers de réussites.

    JeValide a depuis sa sortie connu 5 mises à jour et une sixième arrive (soit une tout les deux mois)
    Chaque mise à jour démontre l’engouement suscité par cette application, puisque ces mises à jour sont des ajouts de fonctionnalités demandées par les utilisateurs.

    L’application permet pour chaque élève de spécifier qu’il a acquis une compétence (définie par l’enseignant) et de prendre une photo accompagnant cette compétence.
    Ensuite, l’enseignant peut pour chaque enfant générer un bilan pour l’administration (liste des items acquis, en cours d’acquisition, non acquis) ou pour les parents (comprenant aussi les photos prises par l’enfant).
    L’enfant voit le dessin d’un dragon sortir de son œuf au fur et à mesure des acquisitions.

    L’application « ABC-QR« 

    ABC-QR est une demande de Tilekol, qui voulait utiliser les QR-Code dans sa classe. Cette application est un lecteur de QR-Code, mais aussi un créateur de QR-Code, et elle permet de sauvegarder des fichiers dans son propre répertoire afin de pouvoir utiliser les QR-Codes sans être connecté (car beaucoup de classe ne le sont pas).

    L’application permet donc de générer des QR-Code à partir du contenu de l’IPad. Le QR-Code généré peut être lu depuis l’application sans connexion Internet, et les fichiers (et donc les QR-Codes) peuvent-être partagés entre les iPad de la classe.

    En plus des applications pour IOS, le site web d’Emmanuel contient aussi des ressources gratuites pour les enseignants.

    Plus d’infos :
    Le lien vers l’application Appel (iPad,iPhone) sur iTunes
    Le lien vers l’application JeValide (iPad) sur iTunes
    Le lien vers l’application ABC-QR sur iTunes

     Des articles et des témoignages sur le web :
    Article Tilekol : pourquoi-et-comment-les-qr-codes-vont-faire-leur-entree-votre-classe
    Témoignages : abc-applications.com/apps/ABC-QR

    cahier-de-reussites-ou-de-progres
    www.declickids.fr/je-valide-carnet-de-progres-en-maternelle-ipad

  • Le FREPS. Pédagogie et numérique : une vision de l’interdisciplinarité

    Le FREPS. Pédagogie et numérique : une vision de l’interdisciplinarité

    [callout]Le projet FREPS (Français et EPS) décrit ci-dessous, représente une partie de ce travail conséquent des équipes enseignantes sur le terrain, promptes à valoriser les travaux des élèves et l’esprit des développements numériques pédagogiques. C’est donc en tant qu’observateur que je vous confie leurs travaux.[/callout]

    FREPS : Origine et objectifs

    La réflexion d’un travail d’interdisciplinarité entre l’EPS et le français est née d’un voyage multisports en Ardèche (2008), où les élèves devaient quotidiennement écrire un journal de bord sur les lieux découverts et les sensations vécues.
    Cette expérience, reconduite deux autres années, s’est avérée très fructueuse aussi bien pour la pratique sportive, que les élèves étaient amenés à analyser (en plus de la vivre), que pour l’écriture, où les sensations et les sentiments personnels nécessitaient un choix de mots et de phrases précis pour traduire le vécu de l’élève.

    Par la suite, l’objectif global est resté le même, en lien avec le Socle commun : développer différemment des compétences propres à chaque discipline en faisant appel à des connaissances, des supports et des compétences d’une autre discipline et par le biais d’une production finale. Quatre professeurs animent ce projet : deux professeurs de français et deux professeurs d’EPS.

    Plusieurs outils numériques sont utilisés pendant ce projet, principalement à deux fins :

    ● coopérer. Dans le cadre d’un travail sur des contenus communs, l’utilisation d’une plateforme commune s’est avérée nécessaire. En l’absence d’ENT, les professeurs se sont tournés vers un outil gratuit aux nombreuses fonctionnalités : Google Education. Les élèves ont vite pris l’habitude d’y trouver des ressources et d’y partager des documents avec leurs deux professeurs, co-évaluateurs en ligne d’un seul et même travail.

    ● produire, créer. Les élèves ont profité du fait que des tablettes (destinées à l’EPS) étaient déjà présentes dans l’établissement pour à la fois filmer (donc observer) leur pratique et rendre compte de leur analyse sous des formes diverses (diaporama, schéma, récit, article de journal, enregistrement audio…).

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    Un travail en interdisciplinarité

    La création d’activité en interdisciplinarité nécessite une prise en compte des programmes de chacune des disciplines.
    Ainsi, il faut s’interroger sur nos objectifs d’apprentissage afin que le travail mené avec les élèves ne soit pas superficiel.

    Chaque enseignant devra présenter les compétences qu’il souhaite travailler lors de sa séquence pédagogique et réfléchir aux contenus qui peuvent être acquis dans les différents cycles de travail. Il faudra ensuite organiser chronologiquement les apprentissages afin de proposer un contenu cohérent. Enfin, le mode de restitution de la production finale doit permettre aux élèves de réinvestir l’ensemble des compétences travaillées.

    Descriptifs d’activités FREPS

    Martial_FREPS2_080915FREPS 3ème – Analyse et auto-évaluation

    Activité
    : réaliser une page de magazine portant sur l’analyse d’un match de badminton en employant une tonalité bien précise.

    Compétences :

    Utiliser un lexique approprié
    Analyser une situation / une tâche grâce à des critères :
    faire la différence entre causes et conséquences
    émettre des hypothèses et des axes de travail
    Prendre en compte les conseils donnés
    S’auto-évaluer
    Publier donc : prendre en compte le destinataire ; choisir un angle pour l’article ; réinvestir les notions liées aux tonalités

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    FREPS 3ème – AcroThéâtre

    Activité
    : Jouer un extrait d’une pièce de théâtre et utiliser des mouvements d’acrosport pour mettre en valeur la mise en scène

    Compétences :
    Utiliser le corps et la voix pour exprimer un sentiment et rendre compte d’une lecture personnelle d’un texte
    Prendre la parole en public
    Saisir la complexité liée à la mise en scène au théâtre et les diversités d’interprétation du texte
    maîtriser le vocabulaire du théâtre
    analyser la place d’un personnage par rapport aux autres et dans l’action, le sens de la pièce
    Travailler en groupe et se positionner dans un groupe, en vue d’un projet collectif
    Développer l’autonomie par la pédagogie inversée

    Présentation détaillée de l’activité : slate.adobe.com/a/QAbD5
    Extraits de productions d’élèves : scolawebtv.crdp-versailles.fr/?id=7063

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    FREPS 6ème – Badminton/ Consignes

    Activité : réaliser un film, montrant à Mme de Matteïs comment battre M. Sofianos au Badminton.

    Compétences :
    Créer et partager un document collaboratif
    Différencier et comprendre les différentes consignes
    le but
    les critères de réalisation
    les critères de réussite
    (Re)Formuler une consigne
    Filmer des séquences précises en relation avec les critères de réalisation
    Monter et commenter un film en utilisant le vocabulaire adapté

    Exemples de productions : www.clg-picasso-montesson.com/une-lecon-de-badminton-par-les-eleves-de-6e6/

    FREPS 6ème – L’ épopée / Boxe française

    Activité : réaliser et commenter un film représentant un combat, à la manière d’un film épique, utilisant le vocabulaire (oral et gestuel) de la boxe française et de l’épopée.

    Compétences :
    Construire un scénario cohérent respectant la tonalité épique
    Interpréter le scénario en utilisant la gestuelle et les techniques de la boxe française
    Filmer en utilisant les techniques permettant de glorifier le héros
    Écrire un commentaire en réinvestissant le vocabulaire sur l’épopée et sur la boxe
    Lire un texte avec expressivité afin de donner vient  aux commentaires

    Présentation détaillée de l’activité : slate.adobe.com/a/WDPrd
    Extraits de productions d’élèves : clg-picasso-montesson.com/rencontre-entre-boxe-et-epopee

    Une pédagogie de projet

    L’approche interdisciplinaire autour d’un projet commun a permis de développer plusieurs compétences et d’approfondir les contenus disciplinaires, tout en les mettant en relation.

    Le travail collaboratif

    Ce projet nous a aidé à progresser dans notre manière de travailler à plusieurs, à nous intégrer et à coopérer chacun à notre manière dans un groupe.” (3e5)

    Les élèves ont découvert et approfondi le travail collaboratif, qu’il s’agisse de partage ou de coopération. L’environnement numérique de travail permet non seulement au professeur de mettre à disposition les documents utiles à l’appropriation du cours, mais il permet aussi et surtout le stockage et le partage des documents de travail, auxquels les élèves et les professeurs peuvent contribuer tour à tour, de n’importe quel cours et de chez eux.

    L’environnement numérique est ainsi vecteur d’efficacité mais aussi de lien entre les disciplines, entre les élèves et les professeurs, et entre les élèves eux-mêmes.

    Le travail en groupe en vue d’un projet collectif est à la fois un facteur de motivation et un défi. En effet, il oblige chacun à se positionner et permet à chaque élève de tirer profit tout en étant moteur du groupe. Dans les premiers moments, certains de ces groupes rencontrent des difficultés liées à l’hétérogénéité de leurs membres et leur apparente incompatibilité.

    L’enseignant aide les élèves à définir leur place et à gérer les points de discorde voire de désaccord entre les individus. Il veille à une juste répartition des rôles, à l’investissement de chaque élève et à la combinaison des compétences. Dans cette pédagogie de projet, le facteur humain et le rapport à l’autre entrent en ligne de compte et contribuent à la richesse de l’enseignement ainsi qu’à sa réussite sur le plan pédagogique.

    L’autonomie

    Les activités proposées présentent plusieurs défis : travailler de manière optimale à plusieurs, imbriquer de manière pertinente les contenus disciplinaires, et produire du contenu multimédia. La perspective d’une représentation face aux autres, comme celle d’une publication, et l’interdépendance des élèves entre eux les responsabilisent face au projet : il devient important de réussir, moins pour la note que pour relever les défis. La surprise, parfois la gêne, des premières activités interdisciplinaires laisse place à une volonté de produire du contenu de qualité.

    La pédagogie inversée les place dans une posture différente, en dehors du cours et pendant celui-ci : les élèves prennent connaissance des notions à la maison pour les mettre en pratique dans les deux disciplines, sur un support commun.

    Dès lors, les changements de posture (voir aussi l’article de Martial Pinkowski à ce sujet) sont doubles. En effet, les élèves deviennent acteurs du cours, qu’ils construisent de manière autonome, et acteurs en cours, pendant lequel ils agissent en vue d’une production finale.
    Quant aux enseignants, ils guident l’apprentissage, aiguillent le projet et apportent une solution à des problèmes, d’ordres différents, qu’ils soient didactiques ou humains.

    L’usage de tablettes numériques a aussi permis de développer cette autonomie. En effet cet outil facilite la mobilité des élèves : ceux-ci peuvent ainsi circuler, se regrouper, échanger, de façon simple et tout en gardant leur outil de production entre les mains.

    Par ailleurs la possibilité de filmer et de visionner directement favorise l’analyse grâce à un feedback instantané, première étape d’une auto-évaluation.

    L’auto-évaluation est un moment clé de la pédagogie de projet et une étape indispensable au développement de l’autonomie.

    Dans un premier temps, les élèves sont invités à analyser leur production et leur pratique en se posant des questions liées aux critères de réussite préalablement établies. Les enseignants amènent les élèves à prendre du recul par rapport à l’affect (“je suis nul”, “je suis mauvais en…”, “je n’y arrive pas”), à préciser leur vocabulaire et à être plus objectifs face à leur pratique. L’évaluation par les pairs et le feedback permis par les tablettes contribuent à cette mise à distance.

    Dans un second temps, sont envisagées des stratégies de remédiation et d’amélioration : les élèves prennent mieux conscience de leurs besoins et s’engagent dans un projet et un parcours personnels d’apprentissage.

    L’approfondissement des contenus

    Les deux disciplines ne sont pas simplement juxtaposées, de manière arbitraire ou artificielle. Certes elles ont été associées grâce à certains éléments communs, mais leur mise en relation et leur interaction a permis de développer et de renforcer les compétences disciplinaires elles-mêmes, sans modifier les créneaux horaires. De fait, l’interdisciplinarité ne se fait pas aux dépens des disciplines, elle n’est pas hasardeuse ni opportuniste, mais réfléchie et didactisée, et elle en enrichit les contenus.

    Tout dépend de la manière et du moment où la jonction se fait, et des modalités de croisement entre les disciplines.

    Leur interaction a permis aux élèves d’élargir leurs perspectives et de prendre conscience du champ d’étendue d’une compétence et d’une connaissance, qui ne se limitent pas à une séquence précise, ni à une seule et unique discipline. De surcroît, certaines connaissances et compétences développées dépassent le champ scolaire défini par les programmes et le Socle commun : l’utilisation du numérique et la production de contenus multimédias facilitent l’appropriation, par les élèves, de méthodes de travail et de création qui pourraient leur être utiles, voire indispensables, dans la suite de leur scolarité, pour leur vie professionnelle et leur vie personnelle.

    Bilan

    Un reportage sur le projet a été préparé et filmé par les élèves de la 6ème FREPS. Il propose un bilan des activités proposées

    Plus d’infos :
    en 2014-2015, en mettant en perspective différents regards sur le projet FREPS (élèves, enseignants, direction et parents).

    Reportage à voir ici : scolawebtv.crdp-versailles.fr/?id=6911

    Le projet est poursuivi en 2015-2016 : il sera étendu aux deux autres niveaux et à d’autres disciplines.

    Liens :
    Compte Twitter : @ProjetFREPS
    Collection “Projet FREPS”
    Aurelie De Matteis (@auredematt)
    Mikael Sofianos (@mikasof)
    David Perissinotto (@dadaperi)
    Lionel Vighier (@lvighier)

  • « Réaliser des vidéos pro avec son smartphone » : le 1er MOOC de GOBELINS est ouvert !

    « Réaliser des vidéos pro avec son smartphone » : le 1er MOOC de GOBELINS est ouvert !

    Les inscriptions sont ouvertes dès à présent sur la plateforme FUN (France Université Numérique).

    Gobelins_mooc_040915

    A partir du 6 novembre, GOBELINS invite tous les possesseurs de smartphones, les curieux, passionnés, ayant envie de créer, de partager et de raconter en images, que ce soit à des fins personnelles ou professionnelles, à vivre une expérience unique en suivant la 1ère formation en ligne sur la réalisation de vidéo pro avec son smartphone.

    Pendant 4 semaines, Patrick Thierry, enseignant/coordinateur pédagogique vidéo à GOBELINS et réalisateur de documentaires sera accompagné de Laurent Clause, journaliste, JRI, réalisateur et formateur à GOBELINS pour animer ce Mooc.

    De nombreux invités-surprises experts dans le domaine de la vidéo interviendront également : chefs opérateur/prise de vue, réalisateurs, ingénieurs du son, monteurs, journalistes…
    Leur mission ?

    Faire découvrir au public les secrets de la réalisation de courts métrages – fiction ou reportage – avec un smartphone.

    Au cours des 4 semaines, les participants vont successivement :
    •    Acquérir les bases du cadrage, de la lumière et de la prise de son
    •    Apprendre à scénariser une histoire
    •    Maîtriser leur Smartphone et choisir les accessoires indispensables
    •    Monter rapidement leurs images avec un outil en ligne
    •    Acquérir les bonnes pratiques grâce à des mises en situations ludiques

    Les meilleures réalisations évaluées par les participants eux-mêmes et un jury pédagogique recevront un certificat GOBELINS. Un Grand Prix du jury sera décerné par GOBELINS à un seul des participants pour l’ensemble de son travail.

    Au terme de la formation, les participants obtiendront une attestation de suivi.

    Plus d’infos : inscriptions ici

    A propos de GOBELINS, l’école de l’image :

    GOBELINS s’affirme depuis plus de 50 ans comme l’école de la référence « de la création de l’image » (fixe ou animée) de sa conception à sa production. Elle forme près de 800 élèves dont 400 apprentis et 1900 stagiaires en formation continue, aux métiers de la photographie, de la communication et des industries graphiques, du cinéma d’animation, de la vidéo, du design interactif et du jeu vidéo. GOBELINS est un établissement de la Chambre de commerce et d’industrie Paris Ile-de-France.