Étiquette : langues

  • Intégrer le TBI dans l’enseignement des langues

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    Cette volonté d’encourager les pratiques interactives autour du TBI en classe de langue se traduit par la création d’un site internet où retrouver des conseils et ressources pour la formation des enseignants en langue, des vidéos montrant d’usages en classe, des informations sur la bonne utilisation du TBI dans l’enseignement des langues, et un réseau d’échange et d’entraides pour les enseignants et les établissements.

    Shona Whyte, enseignante chercheuse d’Anglais à l’Université de Nice, est chargée pour le projet iTILT de collecter des exemples d’uti

    lisation du TBI dans l’enseignement des langues étrangères.

    Elle a pu disposer et voir utilisé un tableau interactif mobile eInstruction, un Mobi, et en découvrir les avantages : « Une de nos enseignantes (collège de Roquebillière) s’en sert avec ses étudiants, et (…) elle manipule des éléments au TBI depuis la tablette (Mobi). Elle a un tableau eInstruction et un problème de mobilité qui fait qu’elle préfère rester assise au fond de la classe et faire participer les élèves au tableau, les aidant par la tablette. »

    En effet, le Mobi est un tableau interactif mobile et permet de profiter de toutes les fonctionnalités du logiciel Workspace, au même titre que le tableau interactif fixe.

    Toutefois, le Mobi est compatible avec toutes les marques de tableau et permet alors de piloter la classe à distance.

    Et Shona explique ensuite en quoi cet outil l’aide dans son travail quotidien : « La tablette je dois dire m’a été d’une très grande utilité. Je m’en sers en cours quand je n’ai pas de TBI pour écrire, taper, faire participer les étudiants et pour pouvoir m’éloigner de la position magistrale – c’est très sympa, et les étudiants en général prennent le coup très vite. »

    De plus, « lors de problèmes de pilotes et autres « hics » ordi-tableau, la tablette permet de se servir des fichiers TBI quand même. Et puis lors d’une communication à un colloque en Italie, je l’ai utilisé pour montrer nos fichiers TBI sans TBI. »

    Le TBI présente des avantages indéniables dans l’enseignement des langues étrangères. Il offre une multitude d’outils qui permettent à l’

    enseignant d’adapter ses pratiques pédagogiques et développer l’interactivité dans sa classe. Chaque outil doit être au service de l’enseignant et de l’élève. La mémorisation du travail effectué sous forme de PDF ou de vidéo permet une diffusion rapide du travail. De plus, la nouvelle version de Workspace intègre le Common File Format, format de fichier TBI interopérable, c’est-à-dire compatible avec les différents systèmes et produits.

    Plus d’infos :
    Pour en savoir plus :  le site du projet, qui ouvre le 14 janvier.
    De plus, des stages de formation pour le TBI en classe de langue sont proposés cet été.
    www.einstruction.fr et le blog einstructionblog.fr
    Téléchargez gratuitement le logiciel Workspace LE.

     

  • Lancement de « Cambridge English Penfriends »

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    Cambridge English Penfriends est un nouveau programme interactif et innovant développé par l’Université de Cambridge ESOL. Les enfants apprenant l’anglais sont désormais connectés avec un correspondant étranger par l’intermédiaire du site penfriends.cambridgeesol.org. Depuis le début du mois d’octobre, plus de 2 000 écoles, à travers 40 pays dans le monde, se sont déjà inscrites à ce nouveau dispositif.

    À la fois outil pédagogique original et inédit pour les enseignants et solution de travail ludique pour les élèves, le nouveau programme Cambridge English Penfriends, à l’instar du TBI (Tableau Blanc Interactif) qui poursuit son implantation dans de nombreux pays, dont la France, adapte la technologie à l’enseignement, ici de l’anglais et plus particulièrement aux échanges linguistiques entre correspondants étrangers.

  • Speexx, une nouvelle gamme pour une formation linguistique innovante

    dp (digital publishing), prestataire mondial à l’origine du Corporate Language Training (CLT), le dispositif de formation linguistique à distance  a lancé Speexx, sa nouvelle gamme de produits de formation associés à un nouveau portail global pour les apprenants.

    Disponibles depuis le 21 septembre 2011, les produits et services Speexx créent de nouvelles normes de qualité qui favorisent l’excellence en matière de formation linguistique et permettent l’amélioration des compétences en communication professionnelle des employés partout dans le monde.

    Alan Nobili, directeur général de dp France, présente l’offre de Speexx : «Speexx est notre nouvelle gamme innovante de produits et de services de formation linguistique. Nos clients auront désormais accès à un assemblage stimulant de solutions de formation qui aideront leurs employés non seulement en France, mais aussi partout dans le monde, à apprendre une nouvelle langue et à interagir en milieu professionnel.

    Nous proposons un logiciel d’apprentissage des langues nouvelle génération et des outils administratifs améliorés, qui se basent sur notre expérience de la formation linguistique en France et à l’étranger.

    Speexx est le résultat de 17 ans d’expérience dans la conception de parcours de formation innovants et motivants, de service de tutorat et de travail collaboratif entre stagiaires».

    dp travaille avec de nombreuses entreprises classées parmi les plus influentes dans plus de 80 pays et les aide à concevoir des parcours de formation prenant en compte les enjeux culturels, techniques, et juridiques locaux (à titre d’exemples : la prise en charge des formations au travers des OPCA est une spécificité française et la formation à distance est encore interdite en Chine).

    Speexx propose cinq produits :
    Speexx Basic :
    Speexx Basic offre des parcours de formation individualisés, plus de 1000 heures d’entraînement à l’amélioration de l’accent, un tuteur virtuel vidéo haute résolution, le Error Parsing System qui génère un retour précis sur des erreurs individuelles, un dictionnaire audio bilingue, l’impression du cahier d’exercices, un reporting et des outils d’administration facile d’utilisation ainsi qu’un support technique 24h/24, 7j/7.

    Speexx Coach : Cette solution répond aux besoins des stagiaires qui souhaitent travailler selon un planning de formation flexible et se former à leur propre rythme. Des tuteurs experts guident les stagiaires dans leur parcours individualisé – tout comme un formateur personnel.

    Speexx Live : un accès direct, en classes virtuelles, à des formateurs experts – les déplacements sur le lieu de formation n’ont plus lieu d’être.

    Speexx Phone : l’alliance parfaite entre un parcours en auto-formation et un coaching professionnel animé par des tuteurs natifs et expérimentés lors de sessions intensives individuelles par téléphone pour des cadres ou des employés nomades.

    Speexx Class : des cours en face à face alliés à la flexibilité des meilleurs parcours de formation en ligne en Europe et un suivi par un tuteur personnel en ligne, disponible 24h/24, 7j/7.

    Avec Speexx, dp propose des formations en anglais, espagnol, français, allemand et italien. Douze langues d’interface sont disponibles.

  • Le Web 2.0, pratique pour l’enseignement des langues

    Le Web 2.0, pratique pour l’enseignement des langues

    051020114e8c72c6b3948Et ce, car il ne nécessite pas «trop» de matériel et il est simple d’utilisation pour tout le monde. C’est en tout cas ce que croit Emilie Fournier, professeur d’anglais au lycée Montchapet de Dijon, grande utilisatrice du web 2.0, que nous avons interviewé.

    Ludovia Magazine : comment se concrétise l’utilisation du web 2.0 dans vos classes (1ère, Terminale et BTS) ?
    Emilie Fournier : J’ai créé un blog  qui s’appelle  «a Piece of Cake» car quand on dit que quelque chose est «a piece of cake», c’est que «c’est facile comme bonjour», donc l’anglais c’est facile !

    Bon résumé de cette jeune enseignante qui a souhaité d’entrée de jeu «dédramatiser» l’apprentissage des langues, souvent vu comme quelque chose d’insurmontable par les Français.

    LM : D’où vous est venue l’idée de créer un blog pour faire travailler l’anglais à vos élèves ?
    EF : C’est lors d’un master en didactique des langues vivantes étrangères et TICE  qu’un formateur m’en avait parlé. J’ai aussi eu la chance de travailler en tant que professeur de français dans un établissement  étranger (via le programme Jules Verne qui vise à la mobilité des professeurs en Europe).
    Mon expérience au  lycée Lysander High School, en  Grande Bretagne, m’a aidé à comprendre l’intérêt de cet outil car le lycée avait une plateforme éducative que toute la communauté éducative appréciait. J’utilise le blog depuis 4 ans pour environ 150 élèves mais tout le monde peut y avoir accès sur internet.

    LM : En quoi consiste ce blog ?
    EF : Je dépose sur le blog articles, documents, vidéos par niveau de classe ; j’utilise des documents libres de droit telles que les vidéos sur Youtube et dailymotion qui ne posent pas de problème de copyright. Les élèves peuvent ensuite se perfectionner quand ils le souhaitent (à la maison ou pendant les vacances). Chaque année, je vide les dossiers par classe pour les rendre vierges et je complète au fur et à mesure de l’année mais je laisse à disposition d’autres dossiers pour les révisions.

    LM : Quelles compétences cela développe t-il pour les élèves ?
    EF : la compréhension écrite et orale : lire des articles et écouter des documents audio (conversation téléphonique, enregistrements radio, vidéos) qui sont authentiques. D’autant que ce sont des sources fiables qui ont été vérifiées et approuvées par l’enseignant. Il n’y a pas de perte de temps pour l’élève à chercher des informations sur internet.

    LM : Le blog prévoit il également une forme d’évaluation des compétences ?
    EF : En effet, la mise en ligne d’une ressource s’accompagne d’un travail de vocabulaire, grammaire… sous forme de QCM par exemple. L’élève peut donc vérifier si il a compris le texte ou la vidéo qu’il vient de lire ou d’écouter. Il peut s’auto-évaluer ! Cette partie du blog est encore en construction mais j’espère parvenir à créer de nombreux supports assez vite.

    Une méthode plus dynamique, plus riche pour apprendre les langues… qu’en pensent les élèves ?

    LM : Est ce que vous pouvez en déduire une meilleure motivation de vos élèves à apprendre l’anglais ?
    EF : Les TICE rendent la langue étrangère plus «vivante» à leurs yeux. D’autant que l’activité du blog permet une implication de l’élève.

    Emilie nous explique qu’elle met à disposition des élèves une «webquest» en ligne (recherche sur internet d’informations précises sur un sujet, le tout guidé).

    Avec cette méthode, l’élève est acteur.

    « En classe de BTS notamment, je  traite de moins en moins un sujet sans que les élèves aient eux même cherché de l’information sur ce sujet (comme en situation réelle de la vie quotidienne).
    La démarche est heuristique, c’est eux qui font la découverte du thème abordé pour ensuite creuser dans les détails en cours, de façon quelquefois plus traditionnelle
    « .

    LM : Quels sont les «+» pour un élève de travailler sur un blog ?
    EF : Outre les compétences que nous avons déjà évoqué, Il y a la  possibilité de mettre en ligne des supports différents selon les niveaux des élèves ; par exemple, on peut penser à une «webquest» en pédagogie différenciée, qui aide les plus faibles. Les élèves travaillent à leur rythme et selon leurs facilités alors que dans un cours traditionnel la pédagogie différenciée est plus difficile à mettre en place.

    Un blog bien alimenté et vivant, les clés de la réussite de cet outil. Mais combien de temps faut-il pour y parvenir ?

    LM : La création d’un blog demande quand même un gros travail de préparation en amont pour l’enseignant ?
    EF : C’est en effet assez chronophage de mettre des documents sur le blog mais cela permet de le faire vivre et on peut garder les infos et liens glanés au fil des années ; donc à long terme, on gagne du temps car les ressources pour les élèves sont toutes répertoriées.
    Et c’est tellement pratique d’arriver le matin et cliquer sur notre blog dans nos favoris et d’avoir tous les documents sous le coude !

    LM : Justement, ce temps de «démarrage» risque de provoquer quelques réticences de la part de certains enseignants. Qu’en pensez-vous ?
    EF : il faut savoir s’adapter aux changements car les élèves le font très vite, eux, et nous devons suivre et même anticiper les tendances.
    Le web pédagogique m’a aidé à créer mon blog ;  de plus, il propose un forum pour les profs qui veulent échanger sur les problèmes techniques ou sur leur pratique. Je n’aurais jamais conçu un site moi-même, je n’ai pas les compétences !

    LM : Travailler sur un blog nécessite d’avoir un minimum de matériel, en classe et à la maison. L’équipement n’est pas toujours suffisant dans les établissements et dans les familles. Quel est votre point de vue sur la question.
    EF : J’ai la chance de travailler dans un établissement bien équipé (établissement pilote pour les TICE) donc je peux travailler dans de bonnes conditions.
    Il est vrai que tous les élèves ne possèdent pas le matériel nécessaire mais ils ont la possibilité de l’utiliser au lycée (des ordinateurs sont mis à leur disposition) et par ce biais ils se servent souvent de la plateforme numérique en ligne du lycée qui est indispensable elle aussi.

    En conclusion sur la notion de «partage» qui fait tout l’intérêt du web 2.0, on note des atouts incontestables pour l’apprentissage des langues :

    •    Pour un élève en difficultés : possibilité de revoir un document vidéo étudié en cours si il a besoin de le réentendre plus de fois que ses camarades.
    •    Pour un élève absent : possibilité de regarder en ligne le document étudié en classe.
    •    Pour tous : possibilité de revoir les documents étudiés en cours  avant d’apprendre sa leçon, pour éclaircir un doute ou revoir un détail.
    •    Possibilité de contacter le professeur par le biais du blog, «partie commentaires».
    •    Ou de laisser des commentaires à propos des documents, des questions, ou des suggestions…  le professeur les publie ensuite.

    En bref, c’est un travail d’équipe qui a l’air de bien fonctionner pour Emilie Fournier qui, très modeste, ne parle qu’un «début» quant à l’usage des TICE dans son enseignement. Début très prometteur dirons-nous…

    Plus d’infos :
    Blog d’Emilie Fournier : lewebpedagogique.com/emilie8
    Le web pédagogique : lewebpedagogique.com
    Lycée de Montchapet de Dijon :  lyc21-montchapet.ac-dijon.fr

  • Apprendre les langues à sa manière: résultats du sondage Babbel

    Apprendre les langues à sa manière: résultats du sondage Babbel

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    Les utilisateurs babbel.com remettent en question le modèle des types d’apprentissage auditif, visuel, communicatif et moteur.
    Le sondage Babbel montre : planifier c’est bien, digresser c’est mieux.

    47,14% des participants au sondage indiquent que leur type d’apprentissage change constamment. «Il y a autant de types d’apprentissage que d’apprenants» commente un utilisateur.

    Seuls 26,87 % estiment correspondre à un type d’apprentissage en particulier. Beaucoup de ceux-là ne pensent pas aux types d’apprentissage classiques mais plutôt à des catégories très personnelles comme « type heure par jour » ou « type chaotique« . 32,8% des sondés n’ont jamais réfléchi à leur type d’apprentissage.

    Juliane House, professeur-chercheur de l’Université de Hambourg spécialisée dans apprentissage des langues, ne croit pas non plus aux types d’apprentissage : «Il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence des types d’apprentissage. Les gens et leurs manières d’apprendre ne peuvent pas être classés en catégories. Chacun apprend de façon toute personnelle».

    Le succès de l’apprentissage réside surtout dans l’inclusion du plus grand nombre possible de canaux sensoriels (par exemple à travers la parole, l’écriture et des images). La stimulation de plusieurs zones du cerveau permettrait en effet de mieux relier et enregistrer les informations.

    Suivre un plan peut s’avérer utile pour l’apprentissage d’une langue. C’est ce que s’accordent à dire de nombreux utilisateurs Babbel. 

    34,62% des répondants ont besoin pour étudier d’un plan sur lequel ils peuvent s’appuyer. Mais rester spontané est tout aussi primordial : 10 à 17 % des utilisateurs de langue anglaise, française, espagnole et italienne trouvent qu’il faut suivre son plan de manière conséquente tout en improvisant.

    «Il peut être utile d’avoir un plan pour ceux qui ont un objectif d’apprentissage sur une période spécifique, atteindre le niveau A2 par exemple ou rafraîchir ses connaissances avant de partir en vacances. Mais il est important de se laisser la liberté de s’écarter du plan lorsqu’on a envie d’aborder un sujet différent, car c’est lorsque l’apprentissage est un plaisir qu’on apprend le mieux», explique Miriam Plieninger, directrice de la rédaction de Babbel.

    Seuls 16,37% des répondants apprennent sans aucun plan, contre 23% des participants allemands qui recommandent de rester fidèle à son plan d’apprentissage.

    Une nouvelle langue est pour beaucoup un défi. Ne pas décrocher et travailler de façon régulière est souvent le plus difficile. 

    «Il suffit de trouver un programme qu’on a plaisir à utiliser. Pour moi, c’est Babbel. Ne jamais abandonner», raconte un participant dont beaucoup d’apprenants partagent l’avis : 44,61 % des utilisateurs Babbel interrogés tiennent bon pour atteindre leurs objectifs personnels tout en s’amusant.

    23,48% des personnes interrogées ne ressentent aucune pression particulière et 22,70% ont déjà abandonné un cours précédent et repris l’apprentissage avec Babbel.

    Sondage interne réalisé sur 1774 utilisateurs de Babbel.

    À propos de Babbel :
    Babbel est un système d’apprentissage en ligne pour les langues étrangères. Babbel propose des cours interactifs de niveau débutant et avancé ainsi que des applications permettant d’apprendre l’anglais, l’allemand, l’espagnol, l’italien, le portugais brésilien, le suédois, le néerlandais, l’indonésien, le polonais, le turc et le français. Le site web fr.babbel.com propose une multitude de cours en ligne interactifs.

    Une série d’applications pour iPhone complète l’offre. Plus d’1,5 million d’utilisateurs issus de plus de 200 pays se sont déjà enregistrés sur Babbel, les applications pour iPhone ont été téléchargées plus d’un million de fois. La société a été fondée en août 2007 et compte aujourd’hui près de 70 collaborateurs. 

  • Partenariat e-learning pour l’apprentissage des langues

    Partenariat e-learning pour l’apprentissage des langues

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    Au titre de l’accord, l’Académie proposera toute la gamme Corporate Language Training de Digital Publishing à ses clients, dont une grande variété de solutions de logiciels de formations linguistiques interactives. Les deux acteurs espèrent stimuler l’innovation et ouvrir de nouvelles voies pour la collaboration autour des solutions e-learning.

    «Nous sommes ravis d’être en partenariat avec la Saudi Academy car, non seulement ils nous offrent une expertise dans le domaine des formations linguistiques sur leur part du marché, mais en plus de cela, ils possèdent un réseau considérable dans le Royaume – bien que leur influence s’étende bien au-delà de cette région.

    Nous avons aussi choisi la Saudi Academy pour la qualité de ses cours locaux qui sont parfaitement complémentaires à notre logiciel ainsi que pour l’alliance entre nos solutions de formations linguistiques et leur service clientèle réactif qui convient parfaitement aux clients de la région», a réagi Mehdi Tounsi, responsable des partenariats internationaux chez Digital Publishing.

    Plus de 1000 sociétés, instituts et universités bénéficient de la nouvelle approche de Digital Publishing, de ses solutions de formations linguistiques et de ses classes virtuelles. 

    Digital Publishing est présent dans plus de 80 pays, travaille avec un réseau mondial de plus de 750 tuteurs et propose une gamme considérable de modules de formation innovants.

    L’offre Corporate Language Training comprend des solutions blended learning, un logiciel interactif de formation en langues, un service de classes virtuelles, un outil de reconnaissance vocale ainsi qu’un service de tutorat actif.

    La Saudi Academy propose ses services de formations linguistiques en ligne à une communauté mondiale depuis 1983 en Arabie Saoudite. Elle offre ses services de formation aux particuliers et aux sociétés en l’Arabie Saoudite, dans le Golfe et au Moyen-Orient.

    A propos de Digital Publishing

    Créé en 1994, Digital Publishing est le leader européen dans le domaine le domaine du e-learning pour les langues. Grâce à un dispositif complet de formation qui intègre, selon les besoins, cours en ligne, tutorat par email et par téléphone et regroupement en classes virtuelles, près de 80.000 apprenants dans 1000 entreprises, universités et institutions européennes suivent aujourd’hui les formations en ligne Digital Publishing en anglais, en allemand, en espagnol, en italien et en français.

  • Apprentissage réussi des langues avec le « labo » tout numérique et la « balado »

    Apprentissage réussi des langues avec le « labo » tout numérique et la « balado »

    200620114dff0e0181603Avec l’enseignement de l’anglais obligatoire depuis 2005 dès le cycle 2, les enfants du premier degré sont censés acquérir les bases pour être au même niveau que leurs voisins et «rentrer dans le moule» du Cadre Européen commun de référence pour les langues. Dans les faits, des témoignages de parents d’élèves affirment que les heures attribuées à l’anglais à l’école primaire sont épisodiques : la machine n’est donc pas en marche partout de manière homogène. Et alors que Luc Châtel déclarait en janvier, vouloir «réinventer l’apprentissage de l’anglais», en suggérant un enseignement dès l’âge de trois ans, il va bien falloir trouver des moyens d’apprentissage novateurs pour faire apprendre les langues à nos bambins…

    Les Nouvelles Technologies peuvent-elles répondre à ce défi ? Quels sont les atouts du Laboratoire de langues tout numérique et de la baladodiffusion pour cet apprentissage « obligatoire« .

    Gain de temps et plus de pratique pour le laboratoire tout numérique

    Autrefois, il y avait le laboratoire de langues classique, les cassettes à bandes qui déroulaient et qu’on rembobinait ; maintenant le labo est tout numérique, le labo du futur, super moderne. Mais avec son nouveau look très «design», il  compte aussi dans sa valise un bon nombre d’atouts comme nous l’expliquent les enseignantes du collège du Sacré Cœur à Thonon les bains.

    La salle où enseigne Emily Yon, professeur d’anglais, comporte 32 ordinateurs en réseau sur lesquels est installé le laboratoire de langues tout numérique. Avec cet outil, elle passe des activités écrites aux activités orales en un seul clic. Cela lui permet de faire beaucoup plus d’exercices en une heure de cours. Le Labo classique était trop compliqué, trop archaïque et donc moins efficace. «Un exercice de présentation qui nécessitait quatre heures pour faire passer tous les élèves de la classe, ne prend plus que quinze minutes avec le logiciel», nous explique t-elle. Sa collègue, Viviana Michaux ajoute : «il nous est possible de réaliser une quantité impressionnante d’exercices, écouter des fichiers, les répéter, décrire des images, réaliser des chats, créer des podcasts, faire des dictées, utiliser des flashcards…».

    Le laboratoire de langues permet donc un gain de temps, dans la mesure où, sur la même heure, l’enseignant peut réaliser plusieurs choses.

    «Un laboratoire de langues permet à l’enseignant de superviser la salle de classe, de la gérer par groupe et/ou individuellement, de contrôler les accès internet, d’écouter et même d’apporter une aide individualisée. Il peut varier le type d’exercice en combinant texte, audio, vidéo sous des formes actuelles de communication comme « le chat » écrit, le sous-titrage, le doublage, les jeux de rôles ; évaluer les besoins de chacun et faire évoluer leurs scénarios pédagogiques et mesurer les progrès très rapidement. Une véritable immersion dans la langue enseignée est possible en respectant le rythme de tous», déclare Dominique Dupuy de Kallysta.

    Quand baladodiffusion rythme avec prolongation

    Prolongation, sous-entendu prolongement du travail de l’élève en dehors de la classe, car là est tout l’intérêt de la baladodiffusion.

    Au départ, nous retrouvons les mêmes méthodes de travail que «le labo de langues» : le professeur fournit à l’élève un document audio ou vidéo avec une activité à réaliser. Le matériel informatique «standard» peut suffire à utiliser la baladodiffusion (ordinateur + enceintes), mais il est judicieux de prévoir un baladeur numérique par élève pour parfaire l’équipement.

    Aniella Lebeau est professeur d’anglais au Collège d’Ancemont dans la Meuse, département dynamique pour l’apprentissage des langues vivantes où le Conseil Général a investi pour que tous les élèves entrant en 6ème soient équipés d’un baladeur MP4. Elle nous parle de son expérience en baladodiffusion : «nous travaillons de temps en temps avec les baladeurs en classe, mais le plus gros du travail se fait en dehors de la salle de classe. Certains écoutent leurs fichiers dans la cours de récréation, en salle de permanence, au CDI et à la maison bien sûr» ! «Le temps de parole, qui est quand même dérisoire en classe, est plus que doublé avec les baladeurs ; imaginez ce que cela change sur une scolarité» !

    Pour les deux usages : plus de motivation, moins de timidité

    Le baladeur ou le laboratoire de langues affichent les mêmes atouts en terme de travail : les élèves peuvent s’écouter, recommencer avant de soumettre leur travail au groupe ou à l’enseignant, comme en témoignent Douglas et Camille, élèves au collège de Thonon les bains : «on a le droit à l’erreur, on peut effacer et on peut recommencer jusqu’à l’instant où il faut rendre nos travaux au professeur. On a moins de stress de parler devant tout le monde comme en pleine classe. Si notre accent est mauvais, il n’y a que le prof qui l’entend (…)».

    Du côté des élèves, pas de doutes, ces nouvelles technologies font l’unanimité. Ils se l’approprient aisément car ce genre d’appareils les motive plus qu’un nouveau manuel scolaire, par exemple. Elles réduisent aussi le handicap d’expression orale qui peut exister entre les élèves. «L’utilisation du labo de langues lève la timidité de certains adolescents. Il débloque et désinhibe ceux qu’on n’entend pas habituellement en classe», nous confie Sylvie Kuhn, enseignante d’anglais au Collège de Thonon les bains.

    «J’ai des élèves que je n’entends pas en classe, non pas parce qu’ils ne sont pas attentifs, mais parce qu’ils n’osent pas. Avec les baladeurs, ces élèves là me rendent leurs exercices d’expression orale comme les autres et les réussissent», témoigne Aniella Lebeau.

    Meilleure expression orale, allongement de la durée d’exposition à la langue, motivation des élèves… suivis de meilleurs résultats ?

    Il n’y a pas de miracles, l’utilisation de ces outils dernières générations oblige quand même l’élève à travailler. Passé le cap de la nouveauté, les enseignants remarquent souvent une stagnation des progrès. «Le premier mois d’utilisation a été surprenant, les progrès ont été spectaculaires ; mais, durant les deux mois suivants, nous avons assisté à un palier, voire une mini régression», précise Emily Yon.

    Au professeur de maintenir les élèves en haleine, pour suivre la progression. Et pour cela, il doit organiser son temps de préparation et trouver des ressources variées et diversifiées. «Le laboratoire de langues, c’est une boîte vide qu’il faut remplir de médias. Heureusement, il y a de nombreuses ressources sur Internet et de plus en plus de contenus numérisés», nous confient les enseignantes du collège de Thonon les bains. Point de vue partagé par leur collègue de la Meuse «Internet représente un mine d’or ; le plus long, c’est de chercher des podcasts adaptés à la séquence étudiée».

    En dehors de la formation que l’enseignant a la possibilité de recevoir pour utiliser ces outils, il lui faut donc compter un temps de préparation important mais aussi un temps pour l’écoute et la correction des enregistrements des élèves, mais, pour ces enseignants «le jeu en vaut la chandelle». «Mes élèves sont plus confiants lors des évaluations orales, obtiennent des meilleurs résultats lors de ces évaluations et leur diction est meilleure», conclut Aniella Lebeau.

  • PSA choisit telelangue pour former 10 000 salariés à l’anglais

    PSA déploie avec succès les solutions Blended Learning de Telelangue pour former 10 000 salariés à l’anglais dans 25 pays. Premier bilan après un an de mise en place : 97,3% de stagiaires satisfaits.

    PSA souhaite que l’anglais devienne la langue commune de travail du groupe afin de faciliter les échanges entre ses filiales internationales. Pour permettre à 10 000 salariés d’atteindre un seuil opérationnel d ici à 2012, le groupe automobile recherche une solution de formation en langues facilement déployable en multi-sites dans 25 pays (dont 11 majeurs), de qualité homogène, et individualisée en fonction des métiers de l’entreprise. Autres exigences : pouvoir former plus de salariés avec le même budget, offrir une gestion simplifiée et garantir des résultats validés par un certificat international.

    Après avoir réalisé des tests pilotes évaluant les offres de quelques acteurs internationaux, PSA choisit les solutions Blended Learning entièrement à distance de Telelangue. Un choix motivé par la capacité de ce dernier à mettre en place un projet de formation mondial répondant aux exigences d’efficacité et de coûts du groupe.

    En avril 2010, PSA et Telelangue décident de déployer des solutions Blended Learning individualisées selon les profils et les métiers pour 10 000 stagiaires en trois ans. Est proposé un éventail de formations de 120h, 80h ou 60h combinant un parcours d auto- apprentissage personnalisé sur le programme d’e-learning CyberTeachers, des cours particuliers par téléphone, des ateliers collectifs en classe virtuelle et un module de préparation en-ligne au test TOEIC.

    «En moins d un an, 3 800 salariés sont entrés dans le processus ce qui correspond tout à fait à nos prévisions», confirme Jean-François Martin, Directeur Formation et Recrutement du groupe PSA. «Il est trop tôt pour faire un bilan mais nous notons une appréciation positive, notamment le niveau d interactivité de la plate-forme CyberTeachers et le suivi précis par mail».

    A la fin du parcours, les progrès seront validés par le test TOEIC. Selon les cas, PSA et Telelangue ont établi des objectifs de niveau variant de 650 à 850 points au test. En cas de non atteinte des objectifs fixés en début de contrat, Telelangue offre à ses frais des cours jusqu’à l’obtention du résultat. C est la première fois qu’un organisme de formation s’engage sur des résultats dans le cadre d’un déploiement à grande échelle.

    Une ingénierie pédagogique conçue pour optimiser chaque étape du projet : un chef de projet unique est désigné chez Telelangue pour coordonner la mise en place et le suivi des formations. Pour cela, il s’appuie sur des outils de gestion automatiques et une équipe dédiée mise à la disposition de PSA dans le monde entier.

    Un système d’audit online permet de créer des plans de formation individualisés en fonction du niveau et de la spécialisation métier de chaque apprenant. Les programmes sont ensuite créés sur mesure parmi un catalogue de 218 métiers. Pour les cours par téléphone, le stagiaire choisit son professeur et réserve ses sessions directement par Internet. Des questionnaires qualité sont automatiquement envoyés au bout de cinq heures de formation afin de pouvoir ajuster le parcours si besoin est. Pour le suivi pas à pas des stagiaires, un outil de reporting est accessible à tout moment par le responsable de formation.

    Une équipe dédiée de 110 professionnels mobilisés dans 25 pays : Le Responsable Formation est accompagné par un chef de projets et par une équipe dédiée intervenant en simultané sur les quatre plates-formes internationales de l’entreprise (Europe, Amérique, Australie et Afrique), permettant ainsi de couvrir plusieurs fuseaux horaires. Plus de 100 professeurs sont mobilisés uniquement pour PSA et un service de coaching permanent est mis en place pour relancer les apprenants et les stimuler tout au long de leur apprentissage.

    Le département R&D interne de Telelangue a développé des interfaces exclusives afin d’assurer une parfaite coordination entre les outils d’information de PSA et ceux de Telelangue.

    A propos de Telelangue :
    Telelangue et son réseau mondial World Speaking est le leader mondial des cours de langue à distance pour les entreprises et les particuliers (800 collaborateurs, 300 000 stagiaires formés, 15 000 entreprises clientes, un réseau de 40 centres sur les 5 continents). Créateur des cours de langue par téléphone en 1981 et éditeur de solutions Blended-Learning spécialisées depuis 1997, Telelangue est aussi une école de langues avec plus de 600 professeurs natifs dans le monde entier. Telelangue propose une offre exhaustive de formations à distance et en face à face dans 18 langues d apprentissage.

  • Baladodiffusion, pour un meilleur apprentisage d’une langue étrangère

    Baladodiffusion, pour un meilleur apprentisage d’une langue étrangère

    130520114dcd4c109708aAJ : Quels sont les apports d’un tel outil pour l’apprentissage d’une langue étrangère ?
    XS : Concrètement, il s’agit de fournir aux élèves un document audio ou vidéo avec une activité à réaliser afin de prolonger hors de la classe le temps d’exposition à la langue. L’élève peut ainsi développer ses propres stratégies de décodage et d’acquisition du sens de la « chaine parlée« .
    «En plus de la richesse des supports authentiques dans les différentes variétés d’une langue étrangère qui représente une plus-value», la baladodiffusion prolonge donc le cours de l’enseignant et aide l’élève à s’impliquer personnellement dans son travail. «C’est aussi un apprentissage de l’autonomie que nous développons chez les élèves».

    Et pour les élèves qui manquent d’assurance, le fait de pouvoir écouter leur enregistrement et recommencer autant de fois qu’ils le souhaitent, leur fait oublier leur timidité, ils sont plus motivés et les résultats s’en ressentent. «Pour ce qui est de la motivation des élèves, la richesse, l’actualité et l’authenticité des supports audio et vidéo disponibles est un facteur indéniable. De plus, l’exploitation de ces supports à travers des activités vivantes proches des situations de la vie réelle présente un intérêt supplémentaire. Cette plus grande adhésion aux activités se traduit très souvent par de meilleurs résultats».

    Utiliser la baladodiffusion pour les élèves s’avère être incontestablement positif. Mais qu’en est-il de l’enseignant ? Est ce plus compliqué pour lui ?

    «Hormis un temps de formation initial pour l’enseignant, je dirais que le temps de préparation des séances n’est pas plus long, c’est simplement une préparation différente de ce que l’on pouvait faire par le passé. De plus, des stages sont mis en place au Plan Académique de Formation et  les interlocuteurs académiques et formateurs peuvent aussi répondre à des demandes ponctuelles des établissements ou de groupements d’établissements. Pour ce qui est de la formation initiale des enseignants (Université et IUFM), le volet TICE fait partie intégrante du cursus».

    Combien de temps faut-il alors envisager pour bien maîtriser cet outil ?

    «Cela dépend de chacun et des possibilités et solutions offertes par les établissements. Quand les bonnes conditions sont réunies, c’est en général assez rapide car il y a un effet addictif une fois qu’on a découvert cette façon de travailler. Je dirais qu’avec une bonne formation, un projet de baladodiffusion peut se mettre en place en quelques semaines. Je conseillerais de s’y mettre progressivement et si possible en équipe».

    En termes de ressources, Xavier Soltysiak nous confie que «l’assouplissement progressif  du cadre légal, les accords sectoriels,  ainsi que l’existence sur le marché de produits RIP (Reconnus d’Intérêt Pédagogique) offrent à l’enseignant un large choix de ressources».

    D’un point de vue financier, car il en est toujours question lorsqu’il s’agit d’équiper un établissement avec des TICE, Xavier Soltysiak nous rassure «dans la plupart des cas, la mise en place de la baladodiffusion  n’entraine pas un surcoût notable pour l’établissement ; parfois même aucun, selon les équipements présents». «Le matériel informatique « standard » (ordinateur et enceintes) constitue une base. Il est judicieux de prévoir quelques baladeurs numériques avec fonction enregistreur pour les quelques élèves qui n’auraient aucun équipement chez eux. Ce matériel peut être prêté à la journée; ainsi il ne quitte pas l’établissement. Si l’établissement dispose d’une salle informatique ou d’un réseau c’est tout de suite beaucoup plus simple. Ensuite, il est vrai que disposer d’un ENT (Environnement Numérique de Travail) est le nec plus ultra car il permet à l’enseignant d’échanger des documents et travaux en ligne avec ses élèves».

    Pour un établissement déjà équipé en ordinateurs, les frais engagés concernent donc l’acquisition de quelques baladeurs pour pallier à la fracture numérique (élèves sans équipement à la maison), des enceintes pour une amplification de qualité et un éventuel abonnement à un site de ressources en ligne.

    «Il est à noter que tout ceci reste abordable et qu’il est judicieux de travailler sur un projet interlangues afin de partager les frais (le matériel utilisé étant le même), ainsi que les bonnes idées» !