Catégorie : RETOURS D’USAGES

  • Sur les traces d’Harry Potter : un EPI lettres-anglais qui intègre le numérique

    Sur les traces d’Harry Potter : un EPI lettres-anglais qui intègre le numérique

    Marie Soulié, enseignante en lettres au collège Argote d’Orthez dans le Béarn, est une habituée de l’université d’été de Ludovia. Pour sa nième visite sur le plateau TV de Ludovia, elle nous raconte comment elle a décidé d’intégrer le numérique dans un EPI lettres-anglais, « sur les traces d’Harry Potter », qu’elle a mis en place pour cette rentrée.

    Elle a mis en place cet EPI avec Aurore Coustala, « @MrsCoustalat », qui est professeur d’anglais dans le même collège que Marie Soulié, « @marie34« .

    L’Enseignement Pratique Interdisciplinaire fait partie de la réforme du collège ; il permet de construire un projet dans lequel « les élèves vont devoir produire« . Les deux enseignantes ont donc fait un rapprochement entre le programme d’anglais et le programme de français pour trouver une thématique commune pour leurs élèves de 5ème.

    « La spécificité, c’est que nous l’avons conçu comme une simulation globale » : les enfants vont totalement rentrés dans l’imaginaire d’Harry Potter et vont avoir un rôle…

    Toutes les explications dans la vidéo ci-contre, interview de Marie Soulié par Christophe Batier à Ludovia#13.

    Et surtout, les premières productions des élèves sur le blog de Marie !!! -> cahiercollege.blogspot.fr

    Le blog de Marie : tablettes-coursdefrancais.eklablog.com

  • EPI numérique à l’université ou appropriation d’outils numériques pour l’enseignement

    EPI numérique à l’université ou appropriation d’outils numériques pour l’enseignement

    Coralie Ulysse, professeure agrégée en SVT dans le second degré, aujourd’hui référente numérique dans son lycée et Guénaëlle Harié docteure en chimie organique et professeure certifié de physique et chimie, ont animé pour leur première venue à l’Université d’été de Ludovia, un atelier sur « Appropriation d’outils numériques pour l’enseignement » en réponse à un TD qu’elles ont proposé à l’université LYON 2, auprès de 180 étudiants de Licence 1 en sciences de l’éducation.

    « EPI numérique » était le sujet du TD en référence à l’acronyme EPI pour Enseignement Pratique interdisciplinaire mis en place à la rentrée 2016 pour la réforme du collège.

    « Notre problématique était de faire découvrir à ces étudiants des outils qui seraient pertinents pour créer des séquences d’activités pédagogiques avec des élèves ou des adultes, au service des apprentissages« , décrit Guénaëlle Harié.

    Alors que certains tendent encore à penser que le numérique est un acquis pour ces générations, Coralie Ulysse explique que justement, ces jeunes ne connaissent pas beaucoup les applications collaboratives, créatives comme, par exemple élaborer une carte mentale.

    C’est une forme d’acculturation au numérique que proposent Guénaëlle et Coralie.

    Plus d’explications dans la vidéo ci-contre.

  • Comme elle est jolie mon école !

    Comme elle est jolie mon école !

    Au Québec, on donne le nom «Académie» à un établissement d’enseignement. L’Académie Sainte-Anne de Dorval, qui a ouvert ses portes en septembre 2015, est une école élémentaire bilingue français/anglais qui accueille des élèves francophones, anglophones et allophones.

    C’est une école logée dans un édifice ancien mais dont le design intérieur est contemporain. Cette école fait de l’innovation en éducation son leitmotive, non seulement par la mise-en-place d’un agréable décor mais principalement par une pédagogie avant-gardiste.

    Regardez la vidéo suivante qui décrit le projet pédagogique de l’Académie Sainte-Anne. On y raconte les réflexions qui ont mené au concept pédagogique de l’Académie. Il illustre non seulement la pédagogie préconisée mais on y insiste sur l’importance de l’aménagement d’espaces multiples d’apprentissage : « l’espace est un autre professeur, c’est comme un prof adjoint, un troisième prof qui va favoriser un meilleur apprentissage », dit Pierre Thibault en conclusion.

    Un comité pluridisciplinaire, sous la responsabilité de madame Isabelle Senécal, a travaillé dès 2013 à la conception de la vision pédagogique de cette école différente. 

    On y a redéfini :

    1 – les rôles de l’enseignant. Il sera :

    • non seulement un guide disciplinaire par ses connaissances des contenus d’apprentissages ;
    • un planificateur, en anticipant les obstacles à l’apprentissage ;
    • un communicateur, en favorisant les échanges avec les écoliers ;
    • un entraîneur, en motivant ses élèves ;
    • un modèle, dans ses comportements ;
    • mais aussi un collaborateur, en partageant avec ses collègues, un innovateur, un évaluateur et un ambassadeur représentatif de l’établissement.

    2 – les conditions de développement des compétences des élèves :

    • des stratégies et méthodes d’enseignement, variées, inclusives et adaptées à l’élève ;
    • du matériel didactique pertinent et adaptable ;
    • des outils numériques collaboratifs et interactifs;
    • un modèle de classe polyvalent ;
    • et des stratégies d’évaluation intégrées et signifiantes.

    3 – À la fin de son parcours scolaire, dont le primaire n’est qu’une étape, les élèves :

    – auront développé une pensée analytique et créative utile à la résolution de       problèmes ;

    • sauront écouter et s’exprimer avec clarté ;
    • sauront travailler en équipe ;
    • comprendront les environnements numériques ;
    • auront une compréhension de certains enjeux contemporains et apprendront à agir dans ce domaine ;
    • chercheront à se dépasser .

    Les fondements pédagogiques de l’enseignement préconisé par l’établissement sont présentées dans Stratégies et méthodes d’enseignement, mis en ligne à l’été 2016. Placer l’élève au centre de son apprentissage en lui faisant résoudre des problèmes, relever des défis, favoriser la collaboration, lier le contenu de l’enseignement à la réalité et créer une culture essai-erreur sont autant de principes mis quotidiennement en place à l’Académie Saint-Anne.

    Le projet éducatif de l’Académie est axé sur le bilinguisme, la science, la créativité et les mathématiques. Le raisonnement complexe, la ténacité, ainsi que l’intégration des technologies numériques forment les assises des apprentissages.

    Pourtant, selon Innovation Sainte-Anne, innover à l’école, ce n’est pas sorcier.

    Plus d’infos :
    vous pouvez suivre l’Académie Saint-Anne sur son site Facebook

    Conclusion de la pédagogue :
    L’éducation et nos écoles changent. C’est une évolution dynamique, un processus à suivre.

  • « SVTLand » : et si un thème du programme SVT devenait un jeu de rôle ?

    « SVTLand » : et si un thème du programme SVT devenait un jeu de rôle ?

    Géraldine Bridon est enseignante en SVT dans l’académie de Paris ; elle est venue présenter en tant qu’intervenante, pour son premier Ludovia, un jeu qu’elle a créé pour les classes de seconde : SVTLand.

    Les outils utilisés par Géraldine pour construire le jeu sont gratuits et ne nécessitent pas d’avoir des connaissances approfondies en programmation ou en informatique.

    VisuelGBRIDONElle n’a pas utilisé d’ENT, car elle ne dispose pas encore de cet outil dans son établissement (privé sous contrat) ; l’interface de base utilisée est genial.ly puis elle a aussi été piocher dans les padlets, les outils framasoft, google drive, google classroom, « pour pouvoir notamment échanger avec les élèves et qu’ils échangent entre eux, qu’ils déposent leurs compte-rendu, etc« .

    La « gamification » ou ludification consiste à lancer des défis, avoir un royaume et découvrir toutes les caractéristiques de son royaume, chacun à son rythme.
    Le jeu est destiné à être pratiqué en classe, mais Géraldine souligne que les élèves ont voulu aller plus vite et se sont eux-même donnés des devoirs !

    Les défis correspondent en fait à des problématiques posées dans le programme de SVT en classe de seconde. « Et la réponse à la problématique permet de créer son savoir« , ajoute t-elle.

    Tout savoir sur l’expérience de SVTLand dans l’interview ci-dessus de Géraldine Bridon avec François Jourde.

    Site pour les élèves : http://svt4ever.free.fr
    Chaîne YouTube associée : https://lc.cx/46Mq
    Compte Twitter : @svt4ever75

  • Usages massifs et raisonnés des Smartphones en classe

    Usages massifs et raisonnés des Smartphones en classe

    David Cohen, enseignant d’arts plastiques dans l’académie est venu présenter cette expérience dans sa classe d’arts plastiques mais qui peut intéresser tout enseignant quand on sait la prédominance de ces matériels élèves qui animent leur quotidien. Il était au micro de ludomag, interviewé par François Jourde lors de l’université d’été de Ludovia#13.

    Des tablettes sont prêtées pour les quelques élèves qui n’ont pas de Smartphones et « nous (mon collègue Brice et moi), essayons d’intégrer les Smartphones avec un protocole de manière la plus légale et la plus sécurisée possible« , précise David Cohen.

    Tous les types d’appareils sont pris en compte afin de préserver l’équité entre les élèves ; il faut donc trouver des applications gratuites, pour les mêmes usages, pour tous les téléphones. « C’est une des complexités du processus« , souligne David.

    Les usages ciblés par David et son collègue professeur en collège, sont transversaux et peuvent être dupliqués à n’importe quelle discipline.

    Il décrit les étapes de la mise en oeuvre dans la vidéo ci-contre et les réactions des élèves.

    « Je pense qu’il y a un vrai contrat de confiance avec les élèves ».

    Des questions se posent, comme par exemple :  « Jusqu’où peut-on aller dans le scolaire avec un outil qui n’appartient pas à l’usage scolaire » « Cela va t-il changer les pratiques des adolescents » etc.

     

     

  • Améliorez vos formations et vos classes avec les écrans interactifs

    Améliorez vos formations et vos classes avec les écrans interactifs

    Depuis toujours, l’éducation classique est représentée par une salle de classe composée d’un professeur et de ses élèves qui suivent le cours sur un tableau veleda et plus récemment, via un powerpoint projeté par un vidéoprojecteur.

    Cependant, il n’est pas nouveau de savoir que ces moyens de faire passer des connaissances ne vont pas sans inconvénients : le bruit du ventilateur du vidéoprojecteur, l’ombre portée, et surtout la perte de temps avec la mise en route du vidéoprojecteur ainsi que les branchements nécessaires avant de pouvoir lancer la leçon.

    Aujourd’hui, de nouvelles solutions interactives émergent afin de rendre l’apprentissage plus facile : les écrans interactifs.

    Plus précisément, dans le domaine de l’éducation se tiennent deux grands noms : SMART et Mimio.

    SMART : première solution éducative

    SMART Technologies est depuis longtemps une référence en termes de solutions interactives.

    Au Royaume-Uni, ils ont une grande part du marché, et une majorité des écoles possèdent un écran interactif de la marque SMART. La gamme SMART Board, série 6000 en France, est connue pour sa qualité composée de nouvelles technologies :

    • Technologie silktouch : un écran aussi doux que la soie, et qui permet d’écrire de façon très fluide, au doigt ou au stylet. Une surface tactile réactive, naturelle et précise pour une utilisation confortable et fiable pendant vos heures de cours.
    • Pen ID : une nouvelle technologie de reconnaissance de stylet qui permettra à deux élèves de pouvoir écrire en même temps sur le SMART Board, sans se gêner. En effet, l’écran interactif reconnaîtra les stylets comme deux couleurs différentes.
    • Object awareness : l’écran interactif reconnaîtra votre doigt, le stylet et la paume de votre main. Touchez, écrivez et effacez tout naturellement.

    Chaque SMART Board comprend la suite pédagogique de logiciels SMART pour aider les professeurs dans leur application à former leurs élèves. Cette suite pédagogique comprend :

    • SMART Notebook : utilisé par 2.4 millions d’éducateurs dans le monde, SMART Notebook a été étudié pour les professeurs et les élèves. Le logiciel propose des activités préparées et prêtes à être proposées aux élèves, des quiz pour évaluer les élèves, une galerie d’images, des widgets et une facilité d’accès aux autres logiciels.
    • SMART LAB : pour Lesson Activity Builder, propose des activités et des thèmes qui sont modifiables. Ces activités peuvent prendre la forme de jeux pour les enfants.
    • SMART Response 2 : ce logiciel permet de créer des quiz et questions afin d’assurer les professeurs que les élèves ont compris la leçon. Les élèves peuvent répondre via leur ordinateur, smartphone ou tablette.
    • SMART Amp : c’est un espace de partage pour les professeurs et les élèves, un espace de travail commun pour les projets de groupe ; SMART Amp propose le partage de médias et une messagerie instantanée. Les contributions des élèves sont enregistrées afin que les professeurs puissent suivre l’avancée du projet.

    A noter que le logiciel SMART Notebook fonctionne sur toutes les dalles interactives.

    Mimio : une solution complète

    La société Mimio s’est lancée dans la production de solutions interactives dès 1999, mais ce n’est qu’en 2014 qu’elle sort ses premiers écrans interactifs, MimioDisplay. Avec une gamme allant de 55 pouces à 84 pouces, Mimio propose d’équiper les salles de classe ou de formation avec un équipement spécialisé.

    Les dalles MimioDisplay sont à éclairage LED et de résolution Full HD. Il est possible d’utiliser à la fois le doigt et le stylet sur ces écrans interactifs. Ils possèdent l’interactivité Touch 360°, qui permet jusqu’à six utilisateurs simultanés, ou trois en double point de contact. Avec chaque écran MimioDisplay est proposé le logiciel pédagogique MimioStudio.

    Ce logiciel permet :

    • De créer facilement des leçons personnalisées, uniques, richement illustrées et en parfaite adéquation avec les programmes officiels. Les leçons ainsi construites peuvent être présentées par la suite à la classe de façon interactive : avec les fonctions rideau, annotation, déplacement d’images…
    • D’avoir accès à une galerie d’images.
    • D’utiliser une fonction paperboard pour faire des schémas ou prendre des notes.
    • D’utiliser des contenus déjà prêts.

    Le logiciel MimioStudio a été complété par l’application mobile, MimioMobile, en 2013. Grâce à cette application, le travail à partir d’appareils externes est possible : les élèves peuvent interagir à l’aide de leur ordinateur, tablette ou smartphone. MimioMobile contribue à améliorer la participation des élèves en cours, en facilitant notamment les travaux de groupe.

    A noter que le logiciel MimioStudio est aussi proposé avec les écrans Easypitch.

    Plus d’informations sur écran-interactif.net

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  • L’inclusion dans la classe inversée

    L’inclusion dans la classe inversée

    Amélie Mariottat est enseignante en français à Piégut-Pluviers dans le Nord Dordogne, en Périgord vert, dans un collège en environnement rural. Elle était au micro de ludomag sur l’université de Ludovia#13, interviewée par Christophe Batier, dans laquelle elle parle de l’évolution de sa pratique de classe inversée.

    « Je me suis rendue compte qu’en français, il était assez difficile de donner toutes les notions en amont (sous la forme de capsules) donc j’ai un peu changé ce modèle et ce sont mes élèves qui sont devenus créateurs de capsules« .

    « Cette année, j’ai travaillé sur l’inclusion afin que tous les élèves soient pris en charge avec de la différentiation ».

    Elle explique la différence qu’elle fait entre l’intégration et l’inclusion pour laquelle elle met en oeuvre des processus pour tous les élèves qui fonctionnent pour la différence de chacun « alors que quand tu intègres un élève, tu fais quelque chose pour lui spécifiquement« .

     

    Découvrez le blog d’Amélie : http://f2epc.eklablog.com
    et suivez la sur Twitter @MariottatAmelie

     

  • Twictée en CP : oui c’est possible et c’est bien !

    Twictée en CP : oui c’est possible et c’est bien !

    Démonstration et argumentation avec Céline Laumonier, enseignante premier degré en CP à Évry dans l’Essonne lors de l’Université d’été LUDOVIA#13, au micro de ludomag, interviewée par Christophe Batier.

    Rappelons que le dispositif Twictée est un dispositif d’enseignement pour enseigner l’orthographe et les règles grammaticales et il est prévu à la base pour le cycle 3.

    « Le CP s’est incrusté dans le dispositif et il a fallu tout revoir puisque les CP ne savent pas lire« , du moins au début. « Nous avons donc du adapter tout ce qui était supports pour des élèves de cet âge qui sont apprentis lecteurs, apprentis scripteurs« , explique Céline Laumonier.

    Comment en venir à utiliser Twitter en tant qu’enseignante pour sa classe de CP ?

    C’est effectivement la question que pose Christophe Batier à Céline Laumonier et que se posent peut-être nombre d’enseignants et aussi peut-être vous, lecteur !

    Céline avoue que c’est surtout la communauté d’enseignants qu’elle a trouvé sur Twitter et la facilité de dialogue qu’elle a pu y trouver qui l’a tout d’abord attirée.

    « J’ai une ouverture sur de nouvelles pédagogies grâce à tout ça. »

    Et alors, avec la Twictée, c’est mieux ?

    Sans étude approfondie sur la question ni assez de recul, Céline s’aventure à annoncer qu’elle voit des évolutions dans le sens où les enfants s’appuient sur ce qu’ils ont vu en Twictée pour le transposer sur la lecture, par exemple.

    #ponctuation, #pluriel… des hashtags qui aident les automatismes à se mettre en place !

     

     

  • Une enseignante de lycée propose des apprentissages personnalisés grâce à Maple T.A.

    Une enseignante de lycée propose des apprentissages personnalisés grâce à Maple T.A.

    Le défi : Karen Brenneman, enseignante à la Burlington High School dans le Wisconsin (USA), voulait trouver une méthode répondant aux besoins individuels de chaque élève et leur permettant de progresser à leur rythme sur son cours.

    La Solution

    Karen Brenneman a introduit Maple T.A. dans ses cours de géométrie pour permettre à ses élèves d’aborder les leçons, questions et exercices pratiques selon leur niveau d’aptitude. Elle a pu alors évaluer les progrès de chacun des élèves et repérer leurs lacunes.

    Le Résultat

    maplesoft_img2_041016Karen Brenneman a utilisé différents types de questions dans Maple T.A. pour évaluer précisément le niveau de compréhension de ses élèves et adapter les leçons à bon escient, en fonction de leurs besoins individuels. Fort du succès de Maple T.A. dans ses cours de géométrie, le lycée se sert désormais de Maple T.A. en cours d’algèbre.

    Comme la plupart des enseignants, l’une des tâches les plus importantes auxquelles Karen Brenneman est confrontée à la Burlington High School (lycée de Burlington – Wisconsin, USA), c’est de stimuler et faire progresser ses élèves en fonction de leur niveau personnel.
    La progression, au même rythme, des élèves dans un cours suscite l’ennui chez les élèves avancés tandis que les plus faibles sont submergés d’informations nouvelles avant même d’avoir parfaitement assimilé les sujets précédents.

    En conséquence, les élèves brillants sont freinés dans leur élan alors que leurs camarades en difficulté prennent encore davantage de retard. Pour aider les élèves à progresser à leur rythme et en fonction de leur niveau, Karen Brenneman a décidé d’utiliser Maple T.A. dans ses cours de géométrie.

    Karen Brenneman a identifié les compétences spécifiques destinées à ses élèves et a créé des questions Maple T.A. pour évaluer chacune de ces compétences. Elle a utilisé ces questions dans un vaste ensemble de quiz, exercices et problèmes pratiques afin de déterminer à quel point chaque élève maîtrisait les compétences nécessaires.

    Des évaluations informatives sont proposées au début de chaque sujet pour identifier les élèves qui maîtrisent les concepts. Ces élèves sont autorisés à passer à d’autres activités. Elle peut alors consacrer tout son temps à aider les élèves en difficulté, en veillant à ne pas les faire passer à la suite sans avoir acquis la compréhension du sujet.

    « On peut lancer des défis au niveau qui convient aux élèves, même les plus réfractaires aux mathématiques », confie Karen Brenneman. « Maple T.A. rend les mathématiques accessibles à tous les étudiants, y compris ceux en difficulté. En même temps, les élèves possédant des compétences avancées peuvent travailler sur un matériel avancé ».

    Karen Brenneman a trouvé que l’une des caractéristiques les plus précieuses de Maple T.A. résidait dans sa capacité à offrir une rétroaction immédiate et à montrer instantanément aux élèves ce qu’ils ont fait correctement et où ils se sont trompés.

    « Maple T.A. me permet de fournir un retour immédiat, de sorte que les élèves ne persistent pas dans des idées fausses », explique-t-elle. « Au contraire, ils regardent les commentaires, commencent à poser des questions, puis reprennent l’évaluation. Cette approche a stimulé les élèves à tous les niveaux en leur donnant la chance de réussir ».

    Karen Brenneman s’est rendu compte que Maple T.A. l’aidait à évaluer réellement le niveau de compréhension des concepts que possèdent les élèves.
    « A la différence des exercices à choix multiples, les questions que vous pouvez élaborer avec Maple T.A. s’avèrent si variées, judicieuses et stimulantes qu’elles sont à même d’offrir la profondeur nécessaire à l’évaluation des esprits critiques », poursuit-elle.

    Dans ce projet, elle a fait appel à un éventail de questions-types Maple T.A. : questions à réponses mathématiques ouvertes, réponses numériques, tracé de graphiques, texte à trous et questions adaptatives.

    Après le succès obtenu en cours de géométrie, le lycée a élargi l’utilisation de Maple T.A. aux cours d’algèbre.

    « On attend des enseignants qu’ils en fassent toujours plus avec toujours moins. Maple T.A. a sensiblement réduit notre charge de travail d’évaluation et nous pouvons ainsi consacrer davantage de temps à l’enseignement effectif », conclut Karen Brenneman.

    Plus de 1200 questions créées par Karen Brenneman et ses collègues à la Burlington High School sont à la disposition des autres utilisateurs de Maple T.A. dans le Maple T.A. Cloud.

    Plus d’infos :

    Regardez la vidéo sur les 10 raisons d’utiliser Maple T.A.

    A propos de Maplesoft et ses solutions numériques pour l’enseignement :

    Avec plus de 25 années d’expérience dans le développement de produits pour l’enseignement technique et pour la recherche, Maplesoft s’implique particulièrement dans les initiatives innovantes d’enseignement et de pédagogie numériques. Maplesoft a été un précurseur dans l’innovation pédagogique en introduisant un changement fondamental dans l’enseignement technique via son initiative « Mathématiques cliquables et interactives » dans Maple, le développement de Maple T.A. l’outil d’évaluation en ligne, Möbius permettant la mise en ligne des cours de sciences et leurs contenus pédagogiques interactifs.

    Retrouvez tous les articles et retours d’usages sur Maplesoft dans nos articles ludomag.com.

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