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  • Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Vincent Rosseli, chef de projet ENT à la direction de l’éducation du conseil régional Nouvelle Aquitaine, était présent sur le C2E en tant que représentant de la Région mais aussi en tant que directeur du GIS INEFA, nouvel organisateur du Campus Européen d’été.

    La présence de nombreux acteurs locaux mais aussi nationaux (Canopé, CNED, ESENESR etc) a fait naître le besoin de créer un groupement d’intérêt scientifique, GIS, intitulé INEFA pour « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages ».

    La vocation du GIS INEFA est de travailler ensemble pour apporter le savoir-faire de chacun et monter des projets qui répondront aux attentes de tous, sur le volet ressources et usages.

    Le premier projet fédérateur du GIS est le projet REMASCO, « réinventer le manuel scolaire au sens numérique« .

    Pour la région, l’intérêt d’appartenir au GIS est un levier d’innovation pour l’économie et l’emploi ; la dynamique autour de projets comme REMASCO entre bien dans ce champ de compétences puisqu’ils font appel aux savoirs-faire d’entreprises spécialisées dans le numérique.

    Explications avec Vincent Rosseli dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Mario Cottron, directeur de l’ESPE de Poitiers et partenaire membre du GIS INEFA dans l’organisation du Campus Européen d’été, était au micro de Ludomag pendant l’évènement. Pour lui, faire partie de ce GIS est une évidence.

    En effet, dans les objectifs fixés à la création de l’ESPE, le numérique et spécialement le numérique éducatif, est une des quatre priorités.

    « Nous n’allons pas former les enseignants et n’enseigner demain qu’avec le numérique, cela serait stupide de penser ça ; penser qu’on peut aujourd’hui enseigner sans le numérique est tout aussi stupide », souligne t-il en début d’interview.

    Retrouvez Mario Cottron dans la vidéo ci-contre.

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  • L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’Espace Mendès France de Poitiers fait partie du GIS INEFA, Groupement d’Intérêt Scientifique « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages » ; déjà partenaire du Campus Européen d’été avant la fondation de ce groupement, c’est tout naturellement que l’EMF a accueilli l’évènement encore cette année sur une journée entière autour de deux sujets reliant la thématique 2016 du Big Data : « Quand l’art et l’engagement associatif questionnent le big data » et « Instaurer de nouveaux rapports aux données, entre nouveaux services, Droit et Art ».

    « Cette problématique du big data et plus généralement du numérique est traité toute l’année à l’Espace Mendès France au travers de nos activités autour des activités numériques, des cultures numériques, de l’information des publics, des ateliers de formation etc« , précise Thierry Pasquier, responsable communication à l’EMF.

    « Je pense que ce qu’on attend de nous au C2E est d’apporter ce regard décalé par rapport à la thématique, d’autant plus que le Campus européen d’été n’est pas réservé aux universitaires mais est ouvert à tout type de public« , ajoute t-il.

    Retrouvez l’intégralité de l’interview de Thierry Pasquier dans la vidéo ci-contre.

     

  • Remise des 45 l@bels numériques aux lycées de l’académie de Montpellier

    Remise des 45 l@bels numériques aux lycées de l’académie de Montpellier

    Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités, et Carole Delga, présidente de la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée ont présidé la cérémonie de remise des l@bels numériques à 45 lycées de l’académie de Montpellier, le vendredi 16 septembre 2016.

    L’académie de Montpellier et  la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, soucieuses de l’insertion des jeunes dans la société du numérique d’aujourd’hui et de demain, ont fait du développement du numérique éducatif dans les lycées, une de leur priorités communes.

    Pour valoriser l’usage du numérique éducatif dans les lycées d’enseignement général, technologique ou professionnel, l’académie et la Région ont mis en œuvre une démarche de labellisation numérique appelée « L@bel numérique Lycée« .

    Ce l@bel académique atteste la dynamique numérique d’un établissement, tant au niveau de son pilotage, de son équipement, que des usages pédagogiques et de la formation des personnels.

    « L’académie de Montpellier se mobilise afin de développer l’usage du numérique éducatif dans les écoles, les collèges et les lycées. Nous disposons ainsi d’un ENT unique pour le 2nd degré qui enregistre plus de 800 000 connexions par mois, et mettons à disposition de tous des ressources gratuites pour la classe, notamment les cartables numériques du collégien et du lycéen.  Et pour accompagner les équipes éducatives, nous consacrons chaque année 500 000€ à la formation des personnels », rappelle Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités.

    « La première de nos priorités est l’éducation et, avec  l’Académie de Montpellier,  nous menons des politiques exemplaires pour offrir à nos jeunes les meilleures conditions pour  la réussite scolaire. Dans ce cadre, le développement du numérique éducatif est un vecteur d’innovation qui contribue à promouvoir l’égalité des chances et l’épanouissement  de nos lycéen-nes », souligne Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerrannée.

    Plus d’infos :

    Retrouvez tous nos articles traitant du numérique dans l’académie de Montpellier ici

  • Les équipements mobiles et leur massification  : où en est-on ?

    Les équipements mobiles et leur massification : où en est-on ?

     Réponse avec Pascale Montrol-Amouroux, Cheffe du département Usages et valorisation des pratiques à la DNE au MENESR, au micro de Ludomag et interviewée par Michel Guillou lors de la 13ème édition de l’Université d’été de LUDOVIA.

    Avec le plan numérique en cours, les équipements mobiles vont peu à peu se multiplier dans les classes et mettre les enseignants au défi de venir « composer » avec ces nouveaux usages.

    « Notre rôle au Ministère est de parvenir à organiser toutes ces ressources nouvelles et en faire ressortir une dizaine qui soient vraiment emblématiques de l’utilisation des équipements mobiles tout en croisant avec les nouveaux programmes du collège et du cycle 3 notamment« , explique Pascale Montrol-Amouroux.

    Ces exemples ne sont pas exhaustifs ; ils sont composés d’une fiche pratique avec une vidéo présentant une activité comme, par exemple, la fonction de publication etc.

    « L’idée est de construire une collection en collaboration avec les académies ».

    Plus d’information dans la vidéo ci-contre.

  • Hors-sol ou l’école déconnectée

    Hors-sol ou l’école déconnectée

    Dans un récent essai relayé par Libération, Philippe Bihouix, ingénieur centralien, lance un assaut contre le plan numérique éducatif lancé par le gouvernement, et, plus largement, contre le numérique à l’école. Caroline Jouneau-Sion, enseignante et auteur du blog pedagotice.blogspot.fr répond à Philippe Bihouix. 3ème article « droit de réponse » sur ludomag.com.

    Je dois préciser, pour être honnête, que je n’ai pas eu le temps de lire le livre en cette rentrée scolaire. Je réagis donc uniquement sur la foi de cet article. L’essayiste décrit une école en bien mauvais état. « L’école numérique est un désastre », une « fuite en avant » et rendrait l’école « nocive ». Bientôt, se désole-t-il, « nous allons élever nos enfants hors sol, comme les tomates ! ».

    Au milieu de ces propos un chouïa excessifs – mais c’est sûrement le fait d’être rassemblés dans ce court article – j’entends un certain nombre de vérités sur l’école.
    Je suis tout à fait M. Bihouix lorsqu’il refuse que l’école entraine une addiction aux écrans, soit vidée de ses enseignants.
    Je l’approuve tout à fait dans l’idée que les élèves doivent trouver du plaisir dans le travail intellectuel et manuel, et avoir ainsi le goût de l’effort.
    Et c’est vrai que beaucoup de matériel a été acheté à grands frais pour ne pas servir beaucoup.

    Et pourtant, la lecture de l’article m’a fait bondir de ma chaise. C’est surtout le procédé que je déplore. Je ne sais qui, de l’auteur ou du journaliste, se plaît à jongler avec les présupposés, les suppositions et autres fantasmes à propos des enseignants, mais c’est assez énervant. Je me propose donc de les souligner ici.

    D’abord, traiter les enseignants qui essayent de former au mieux les citoyens du futur de « technopédagogistes », et leur prêter un foi intense dans un certain nombre de mirages, c’est moche.

    Non, les pédagogues (ce n’est pas une insulte) ne sont pas des naïfs, et non, ils ne mettent pas les technologies au centre de la pédagogie. Tous les pédagogues le savent : les technologies sont des instruments pour faire apprendre, au même titre que le lieu où l’on enseigne, avec son tableau, son mobilier, que les manuels que l’on utilise, que les tableaux noirs (qui furent en leur temps un apport technologique fort décriés).

    Non les technologies ne se résument pas à un hochet que l’on donne aux élèves pour les distraire de la corvée d’être en classe. Ils sont un instrument que chacun dans le monde réel est amené à utiliser, un instrument d’accès à l’information, voire à la connaissance, et il convient de ne pas en priver les élèves, et sûrement aussi de les former à leur usage.

    Par ailleurs, M. Bihouix trouve la concertation insuffisante pour « discuter la pertinence du numérique à l’école ». C’est sûrement que M. Bihouix n’a pas lu les articles de André Tricot par exemple, chercheur en éducation et sciences cognitives, qui porte depuis plusieurs années un regard mesuré et étayé par une recherche sérieuse sur le rôle des technologies dans l’apprentissage.

    Je lui conseille également la lecture de nombreux travaux issus des la recherche au sein de l’Institut Français de l’éducation et de l’INRP avant lui. Bref, la recherche est à l’œuvre depuis les années 80 (oui oui !) sur le sujet de l’impact du numérique sur l’enseignement.

    Je pense que les profs savent lire, que les gens qui travaillent au ministère savent se mettre au courant de l’avancée de ces recherches. En fait j’en suis sûre, j’en ai croisé plusieurs centaines à Ludovia au fil des années.

    Enfin, je pense que je n’ai pas la même définition que M. Bihouix quant au terme de « hors sol ». Si je comprends bien le dictionnaire, « élever quelque chose hors sol, c’est le couper de notre terre nourricière pour le faire grandir sur un substrat préparé pour lui« .

    Pour moi, supprimer le numérique à l’école, ce serait justement créer un espace coupé du monde, dans lequel on ne mettrait que les éléments que d’aucuns jugent pertinents pour éduquer des enfants.

    C’est sûr, il y a sûrement des efforts à faire dans l’analyse des équipements nécessaires pour chaque lieu d’apprentissage, de façon à ne pas jeter l’argent public par les fenêtres. Probablement aussi qu’une solide formation, voire un accompagnement des enseignants dans leurs démarches pour former aux usages de ces outils pourrait faire du bien.

    Mais une école déconnectée, c’est une illusion.

    Chaque élève ou presque a un téléphone dans sa poche. Leur interdire toute connexion à l’école, ça signifie qu’une fois sortis de l’école, ils naviguent en toute liberté et sans aucune formation sur un internet que personne ne parvient à dompter. C’est comme lâcher un enfant sauvage dans une boîte de nuit parisienne…

    Non M. Bihouix, l’école déconnectée que vous prônez ne donne pas du tout envie de manger des tomates.

    Source : Auteur Caroline Jouneau-Sion, enseignante et blog pedagotice.blogspot.fr

     

     

     

  • Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    La société française Speechi, spécialiste des solutions interactives, lance la gamme de vidéoprojecteurs interactifs SPE-400W, premiers vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale pouvant fonctionner sans ordinateur : une tablette géante et connectée de 2,80m de diagonale.

    Quand le vidéoprojecteur interactif devient une tablette tactile géante et connectée

    Muni de son boîtier interactif Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400 devient une véritable tablette tactile géante. Il n’est plus nécessaire d’y brancher un PC, le boîtier Android est directement intégré au vidéoprojecteur, qu’il contrôle.

    L’interface Android simplifiée développée par Speechi est intuitive, elle convient aussi bien aux besoins dans la salle de classe qu’en entreprise. Le logiciel interactif d’annotation est notamment inclus, ce qui permet aux fonctions interactives habituellement réservées au PC ou au MAC d’être accessibles sur Android.

     interface android pour vidéoprojecteur interactif

    Pourquoi Android ? Autonomie, ergonomie, réactivité et applications.

    Le système Android embarqué avec ces nouveaux vidéoprojecteurs apporte des usages radicalement nouveaux. Les qualités de ces nouveaux vidéoprojecteurs sont nombreuses :

    • l’ergonomie ainsi obtenue rend le vidéoprojecteur aussi facile à utiliser qu’une tablette ;
    • la réactivité est parfaite, aucune latence n’est visible ;
    • l’ordinateur n’est plus obligatoire ;
    • les applications sous Android sont nombreuses. Speechi a développé un écosystème d’applications partenaires, sans publicité et gratuites, accessibles via le SpeechiStore, qui est fourni dans le boitier interactif Android.

    vidéo présentation vidéoprojecteur tactile speechiCliquez ici pour découvrir le vidéoprojecteur tactile et son boîtier Android en vidéo.

    La société Speechi a été précurseur dans l’utilisation du système Android pour du matériel interactif: elle est devenue en 2015 le premier constructeur français d’écrans interactifs fonctionnant sous Android. Cette année, elle intègre, pour la première fois, le système Android dans un vidéoprojecteur interactif.

    Un vidéoprojecteur tactile adapté au plan numérique « tablettes »

    vidéoprojecteur interactif androidLe vidéoprojecteur  SPE-400W est parfaitement adapté au nouveau plan numérique mis en place par l’Education Nationale, qui comprend entre autres l’équipement en tablettes tactiles des salles de classe. Le système Android du boîtier est compatible avec les tablettes des enseignants et des élèves, la communication entre les deux appareils se fait le plus naturellement du monde.

    Sans parler bien sûr de la simplicité d’usage : de nombreuses personnes utilisent déjà le système d’exploitation Android sur leurs tablette et smartphone personnels.

    La possibilité d’afficher l’écran sur une surface de projection allant jusqu’à 2,80m de diagonale et interactive permet aussi d’établir un rapport plus proche avec les élèves, qui peuvent lever le nez de leur tablette.

    Le vidéoprojecteur interactif idéal pour la présentation en classe ou en réunion

    Indépendamment des atouts du système Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400W est un formidable outil de présentation, à l’école comme en entreprise.

    videoprojecteur tactile multitouch pour la collaboration

    Plus d’ombre portée, qualité d’image supérieure et 3D Ready

    Grâce à son ultra-courte focale, aucune ombre portée ne vient perturber la présentation. L’image projetée est plus grande, plus nette et claire qu’avec un vidéoprojecteur classique, il n’y a plus d’éblouissement ni de reflet.

    L’interaction se fait comme sur une tablette tactile géante.

    Installation et calibration simplifiées

    Le principal problème du vidéoprojecteur tactile, toutes marques confondues, c’est la difficulté de la calibration initiale (lors de la première installation). Jusqu’à présent, le réglage du tactile se faisait en partie à l’aveugle, car la technologie tactile des vidéoprojecteurs interactifs est basée sur un rayonnement laser de fréquence invisible à l’oeil nu.

    C’est pourquoi l’installation d’un VPI tactile devait toujours être réalisée par un installateur spécialisé et formé.

    Avec cette nouvelle gamme de vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale, plus besoin d’être un spécialiste pour régler le vidéoprojecteur tactile :

     

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  • Ersilia : plateforme numérique d’éducation à l’image

    Ersilia : plateforme numérique d’éducation à l’image

    Ersilia est un outil pédagogique collaboratif et transdisciplinaire destiné aux enseignants du second degré, aux collégiens et lycéens ainsi qu’aux artistes travaillant en milieu scolaire, dans un but de formation aux médias et littératies numériques.

    Ersilia (initiée par La Fabrique du Regard, plateforme pédagogique du BAL) a été distinguée dans le cadre du programme La France s’engage. Elle est  diffusée auprès des enseignants sur l’ensemble du territoire national et soutenue par la Direction du numérique pour l’éducation. Comme l’indique Le BAL, l’objectif premier de la plateforme est de penser en images un monde d’images, d’établir des liens entre différents types d’images (art, presse, science, publicité, etc.) issues de différents contextes (presse, internet, musée, salle de projection, espace public, etc.).

    Comment utiliser la plateforme d’éducation à l’image ?

    La navigation dans Ersilia nécessite au préalable la création d’un compte et s’organise à partir de 3 onglets principaux :

    ->« Explorer » permet d’accéder à des parcours, des thématiques (2016 « image et territoire », 2017, « image et corps », 2018 « image et mémoire »), des œuvres et documents spécifiques ou à des clés d’analyse.

    Chaque thème précise la présentation du site, explore quatre œuvres emblématiques : photographie, vidéo, livre, multimédia. Des jeux créatifs et exercices du regard permettent d’approfondir autrement les contenus proposés.

    -> L’intégralité de ces jeux se retrouve d’ailleurs via le second onglet intitulé « Expérimenter ».

    ->La troisième entrée est un outil de recherche interne. Une requête avec le mot-clef « récupération » donne par exemple accès à un texte traitant du photomontage, du pop art et de lappropriationnisme.

    Ersilia peut s’utiliser seul, en groupe ou en réseau, chez soi, en classe ou en atelier, avec un ordinateur, une tablette, un vidéoprojecteur, ou un tableau numérique. L’utilisateur peut archiver et organiser des ressources dans un espace dédié, en vue de les partager avec son réseau mais aussi être acteur de son propre parcours en créant des collections, voire participer à un projet de création avec un artiste.

    L’enseignant peut bien évidemment créer des groupes classes pour mener un travail pédagogique avec des élèves et avec des tiers invités associés au dit projet.

    Le contenu d’Ersilia ne doit en aucun cas être reproduit et/ou communiqué au public en dehors du cadre pédagogique. Les textes sont placés sous licence Creative Commons BY-NC-ND 4.0.

    Ersilia est conçu comme un outil transversal et collaboratif pour les enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), les parcours d’éducation artistique et culturel (PEAC), les enseignements d’exploration, l’éducation aux médias et à l’information (EMI) ou l’enseignement moral et civique (EMC).

    Source : eduscol.education.fr

    Plus d’infos :
    Ersilia : http://www.ersilia.fr

  • Les six avantages de l’écran interactif en école

    Les six avantages de l’écran interactif en école

    Alors que de nombreux écrans tactiles interactifs remplacent les autres solutions interactives, les utilisateurs du secteur éducatif s’attendent à une surface d’écran utile et plug & play comparé aux vidéoprojecteurs interactifs.

    Les systèmes numériques sont de plus en plus présents dans les établissements scolaires comme dans les entreprises. Avec le plan numérique du gouvernement, de nombreux établissements scolaires ont déjà investis dans des tableaux numériques (TNI) et des vidéoprojecteurs interactifs (VPI). Or, avec la progression de l’ecran interactif, devenu de véritable appareil tout-en-un qui intègre toutes les commodités nécessaires pour les salles de classe, la tendance des établissements scolaires pour les dispositifs interactifs se voit changer.

    Pourquoi alors cet engouement pour l’écran interactif, et quels sont ses avantages face au vidéoprojecteur interactif ?

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    Le principe de base

    Dans les deux cas il s’agit de projeter sur un tableau numérique ou une surface blanche murale l’image d’un écran d’ordinateur. On pilote l’ensemble avec le doigt ou un stylet. Ces systèmes permettent de rendre les séances plus vivantes, plus motivantes. Ils favorisent le travail collaboratif et facilitent les interventions à plusieurs.

     

    L’écran interactif présente de très nombreux avantages face au vidéoprojecteur interactif. On peut lister au moins six raisons de choisir un écran interactif.

    ‘’Premier avantage : une durée de vie nettement plus longue’’

    Dans un vidéoprojecteur il y a différents composants dont une lampe indispensable. Cette lampe dégage une forte chaleur et s’use rapidement. Les filtres doivent être régulièrement nettoyés. Il faut la changer environ toutes les 2 000 heures pour conserver de bonnes performances. La durée de vie d’un écran interactif est dix fois supérieure avec 50 000 heures. L’écran interactif utilise la technologie Led. Ces lampes ne chauffent pas et sont nettement plus résistantes.

    On a donc moins de maintenance mais également une consommation énergétique réduite d’environ 50 %.

    ‘’Un fonctionnement silencieux’’

    Le deuxième avantage de l’écran tactile interactif sur le vidéoprojecteur interactif est son silence de fonctionnement. Lorsqu’il est en marche, ce dernier émet en permanence un bruit de fond. Le ventilateur qui limite la chaleur de la lampe tourne en continue ce qui est un facteur de stress et de fatigue pour tous les participants. Avec un écran interactif, les lampes Led ne dégagent pas autant de chaleur et la présence d’un ventilateur n’est pas nécessaire.

    Le fonctionnement est silencieux ce qui est beaucoup plus agréable.

    ‘’Une qualité d’image supérieure’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, la qualité de la présentation n’est jamais excellente. La luminosité perfectible, les couleurs mal rendues, l’image floue, les ombres portées sont très fréquentes avec ce type de projecteur. L’écran interactif a toujours une résolution qui est au moins Full HD avec 1 920 x 1 080 pixels.

    On a même de plus en plus souvent une résolution ultra HD ou 4K. La dalle graphique du grand écran interactif est ultra performante, très résistante et anti-reflets. La netteté est particulièrement bonne, les couleurs très réalistes ce qui permet d’obtenir une présentation plus dynamique, plus motivante et captivante. De plus, la taille de 70 pouces des écrans interactifs est une taille idéale parfaitement adaptée aux salles de classe et n’altère pas la vue des enfants.

    ‘’Un fonctionnement immédiat’’

    Quand on utilise un vidéoprojecteur interactif, il faut d’abord attendre que la lampe soit suffisamment chaude pour avoir l’affichage de l’écran de l’ordinateur connecté. Ce temps d’attente est inévitable. Avec un écran tactile interactif, l’utilisation est immédiate. L’écran est immédiatement opérationnel même quand on branche un nouvel appareil.

    La synchronisation est directe et il n’est pas nécessaire de rajouter un driver ou de procéder à une calibration.

    Cela donne un grand confort d’utilisation et pas d’attente pour des élèves.

    ‘’Cinquième avantage : la mobilité’’

    Un appareil facilement déplaçable est toujours un atout. Or, le vidéoprojecteur interactif est à courte focale. C’est-à-dire qu’il doit impérativement être installé de manière définitive au-dessus du tableau ou du mur d’affichage. Il est extrêmement difficile le passer d’une salle à l’autre. Dans un établissement scolaire, il faut donc que toutes les salles soient équipées ou que les classes tournent dans celle dédiée au vidéoprojecteur.
    Cela entraine une organisation compliquée.

    Avec un grand écran interactif, le problème ne se pose pas. Il est compatible avec différents types de supports qui peuvent être fixes ou mobiles.

    Dans le cas d’un support mobile, il est très simple de déplacer l’écran d’une salle à l’autre en fonction des besoins.

    ‘’Aucune ombre portée’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, l’ombre portée sur le tableau gêne la visibilité. Cette ombre est inévitable puisque l’intervenant se trouve obligatoirement entre la source lumineuse et l’écran. Avec un écran interactif, ce problème n’existe pas puisqu’il émet sa propre lumière. Quelle que soit la position de la main qui pointe un endroit de l’écran, elle ne se trouve jamais entre la lumière et l’écran. Il n’y a pas de gêne et tout le public peut suivre au mieux.

    De plus, la luminosité s’adapte aux différentes circonstances. Une utilisation prolongée n’entraîne pas de fatigue visuelle.

     

    Voici un résumé en vidéo illustrant les avantages de l’écran interactif :

    En conclusion, cette tendance enregistrée pour les écrans interactifs est très générale au niveau des marchés internationaux. La disponibilité des technologies alternatives avancées telles que les écrans plats interactifs avec plus de fonctionnalités et pas ou très peu de coûts d’entretien sont les principales raisons pour la croissance des écrans tactiles interactifs au détriment des TBI et VPI.

    Reste à savoir, comment choisir un écran interactif adapté à l’usage souhaité ? Plusieurs critères sont à prendre en considération …

     

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