Catégorie : MARCHES & DISTRIBUTION

  • L’AFINEF, c’est quoi ? Présentation par Hervé Borredon

    L’AFINEF, c’est quoi ? Présentation par Hervé Borredon

    En octobre 2012, 26 acteurs de l’industrie du numérique dans l’éducation et la formation en France se sont réunis pour constituer l’Association Française des Industriels du Numérique dans l’Education et la Formation. Tous mutualisent leur expertise et œuvrent afin de faire de la filière éducation et formation numérique en France une filière d’excellence et l’une des plus dynamiques.

    En avril dernier, lors des assises nationales de l’éducation et de la formation numérique, nous avons émis 25 propositions répondant à des enjeux sociétaux, permettant de structurer et de développer la filière y compris à l’échelle internationale. C’est avec très grand enthousiasme que l’AFINEF a accompagné l’Université d’été de Ludovia pour présenter notamment ces 25 propositions qui sont le résultat d’une concertation de deux mois entre les industriels de quatre grands secteurs : l’équipement, les contenus, les applications et le service, avec comme point de convergence l’e-Education.

    A ce sujet voir aussi les-industriels-du-numerique-dans-leducation-et-la-formation-creent-leur-association et assises-nationales-de-leducation-et-de-la-formation

     

  • Enseignement à distance, a t-on vraiment évolué en 10 ans ?

    Enseignement à distance, a t-on vraiment évolué en 10 ans ?

    Edudemic_090513
    Ces constats ont été dressés aux Etats-Unis à partir de données statistiques et d’enquêtes réalisées par le site www.onlinecollege.org.

    Un certain nombre de données nous permettent d’y voir plus clair sur les pratiques outre-Atlantique. Tout d’abord, comment définiriez-vous l’enseignement « online » ? L’auteur de l’article propose la définition suivante : pour qu’un cours soit considéré comme de l’enseignement à distance, il faut que son contenu soit dispensé au moins à 80% hors présentiel.

    Notons qu’aux Etats-Unis, seulement 30% des universités considèrent l’enseignement à distance comme légitime et efficace. C’est encore très peu et ce chiffre est en baisse depuis 2004.

    Et 32% des étudiants ont l’opportunité d’avoir au moins un cours à distance, un record historique jusqu’alors !

    Enfin, 89 % des responsables « académiques » pensent que la réussite des cours en ligne ne tient qu’à la discipline des étudiants, qui pour l’instant, laisserait à désirer pour que ces nouvelles méthodes d’enseignement progressent véritablement.

    Par ailleurs, les diplômes obtenus à partir d’un enseignement à distance seraient moins bien vus par des futurs employeurs ; c’est en tout cas ce que pensent 40% des responsables interrogés.

    Enseignement à distance et MOOC

    Les MOOC (Massive open online courses) sont un des constituants des cours en ligne sur cette dernière décennie. Ils ont réellement investi la place en 2012.

    Bien que de plus en plus d’institutions offrent la possibilité d’étudier avec les MOOC ou ont pour projet de les proposer dans les mois à venir, beaucoup d’entre elles hésitent encore.

    Seulement 2,6% ont une offre MOOC, 9,4% vont en avoir une, 55,4% n’ont pas encore pris de décision et 32,7% n’en veulent pas !

    Toujours au sujet des MOOC, les représentants « académiques » avouent n’être pas du tout convaincus comme incarnant une méthode durable d’enseignement à distance.

    Plus d’infos : source en VO

  • naoCart : une nouvelle génération de meuble «classe mobile» pour tablettes et PC

    naoCart : une nouvelle génération de meuble «classe mobile» pour tablettes et PC

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    « C’est une nouvelle génération de meubles de type « classe mobile » dédiés à l’intégration de tablettes et d’ordinateurs portables »,

    nous explique Christophe GRASSER, Directeur du marketing chez Naotic. « Le meuble naoCart M1 permet de déplacer et stocker facilement jusqu’à 40 tablettes de 10 pouces ou 21 ordinateurs portables de 17 pouces. Nous avons particulièrement veillé à la facilité d’usage, au haut niveau de protection et de gestion du matériel ainsi qu’à la rapidité d’intégration des éléments.»

    Extrêmement compact et mobile, le meuble de stockage naoCart M1 apporte une haute protection à l’informatique grâce à ses deux zones de stockage modulaires et sécurisées, proposant des logements individuels en mousse haute densité. Ces derniers sont équipés de connecteurs pour recharger ou synchroniser les tablettes.

    L’utilisation au quotidien est facilitée par la possibilité de disposer d’espaces de rangement (casques micro, housses, chargeurs supplémentaires, etc.), de positionner un projecteur, ou d’intégrer une imprimante.

    Les points d’accès Wifi sont embarqués dans la solution de manière à permettre les meilleures conditions d’accès aux ressources Internet et à l’ENT.

    La gestion des flottes de tablettes dans naoCart M1 est optimisée par le hub USB naoConnect et le logiciel easyLab, permettant de réaliser simultanément le rechargement et la synchronisation de 40 tablettes.

    Distribuée par un réseau de plus de 40 partenaires agréés couvrant l’ensemble du territoire, y compris les DOM COM, l’offre Naotic comprend 6 gammes : les gammes naoCart et naoCase citées ci-dessus, mais aussi les mobiliers informatiques multimédias naoDesk, les logiciels d’animation pédagogique et de laboratoires de langues naoLab, les solutions de diffusion interactive naoTouch, ainsi que les simulateurs téléphoniques phone&tic.

    La gamme de produits Naotic, conçue et fabriquée en France, propose des solutions d’intégration des outils informatiques dans un objectif unique : rendre les technologies utiles et utilisables par tous.
    Plus d’infos :
    Contactez Naotic contact@naotic.fr ou rendez vous sur www.naotic.fr.

  • ITOP éducation, en route vers l’ENT primaire

    ITOP éducation, en route vers l’ENT primaire

    ITOP_Netcirco_220413ITOP éducation s’inscrit ainsi dans une démarche citoyenne et contribue à simplifier l’usage du numérique dans les écoles primaires.

    Développé en étroite collaboration avec la circonscription de Grasse depuis plus de 2 ans, NetCirco est devenu la plateforme numérique du pilotage administratif et pédagogique de la circonscription. Parce qu’un ENT ne peut pas être un simple ENT de classe, ITOP éducation permet à tous les Inspecteurs de l’Education Nationale d’utiliser gratuitement la plateforme NetCirco.

    NetCirco offre un bouquet de services numériques à l’inspecteur, lui permettant de simplifier et d’optimiser les écoles qu’il doit administrer : partage de documents, forum, messagerie, groupes de travail, agenda partagé, tableau d’affichage…

    Il permet aussi une meilleure collaboration entre enseignants en favorisant la mutualisation et le partage du travail par exemple.
    NetCirco se destine à tous les membres de la circonscription : inspecteurs, directeurs, professeurs des écoles, conseillers pédagogiques, secrétariat de circonscription…

    Plus d’infos : Voir aussi l’interview de JP Rouby sur l’ENT de circonscription ici.

    A propos d’ITOP éducation
    ITOP éducation est spécialisé dans la maîtrise des nouvelles technologies au service de solutions innovantes pour l’éducation. ITOP éducation conçoit, développe et édite des ENT (Environnement Numérique de Travail) pour les écoles, collèges et lycées. Leader sur le marché des ENT avec plus de 2 millions d’utilisateurs actifs, ITOP éducation est également éditeur de contenu pédagogique multimédia et propose des outils et ressources pédagogiques numériques. ITOP éducation consacre depuis sa création plus de 20 % de son chiffre d’affaires à la recherche et au développement.

  • Belin et Magnard-Vuibert créent une filiale commune : EduLib

    Belin et Magnard-Vuibert créent une filiale commune : EduLib

    Belin_Magnard_220413La solution Lib’, dont une nouvelle version sera lancée en avril, est la plus innovante du marché. Destinée principalement aux professeurs et aux élèves de l’enseignement primaire et secondaire, elle permet de déployer sur plusieurs supports (ordinateur, tablette, clé USB, tableau blanc interactif…) des manuels numériques interactifs, collaboratifs et personnalisables.

    Selon Guillaume Dervieux, P.-D. G. de Magnard-Vuibert:

    « Dans un paysage du numérique éducatif émergent et morcelé, regrouper nos forces autour d’une solution qui a fait ses preuves nous a semblé nécessaire. »

    Sylvie Marcé, P.-D. G. de Belin, ajoute : « pour les enseignants et les élèves, pouvoir retrouver leurs manuels sous une même technologie et dans une même bibliothèque est un véritable plus. Notre ambition est d’étendre cet avantage à tous les éditeurs scolaires qui souhaiteraient l’adopter. »

    C’est la société Immanens qui a été chargée par EduLib de commercialiser cette solution auprès de l’ensemble des acteurs du monde scolaire en France comme à l’étranger.

    D’ores et déjà, 7 éditeurs ont adopté le Lib’: Belin, BPI, Casteilla, Delagrave, LT J Lanore, Magnard et Vuibert.

     

     

     

  • Analyse des différents modes de connexion au digital

    Analyse des différents modes de connexion au digital

    Kantarmedia_digitaltrendy_150413Face à l’offre digitale pléthorique, en constante évolution et très « technique », les experts TGI de Kantar Media lancent une nouvelle étude européenne : « 5 modes de connexion au monde digital». Cette étude décrypte le rapport des consommateurs à cet environnement et leurs mécanismes de choix.

    Les comportements de consommation sont en effet modulés par le niveau d’intérêt pour les équipements digitaux. Mais il faut également prendre en compte l’impact du phénomène d’impulsion/réflexion exercé sur le processus d’achat. Les experts TGI de Kantar Media ont ainsi identifié 5 profils de consommateurs : les « Digital Expert », les « Digital Me-Too », les « Digital Quick’n Easy», les « Digital Cautious » et les « Digital Trendy ». Focus sur les « Digital Trendy ».

    Les « Digital Trendy » : 11 millions de Français recherchent l’alliance de l’innovation et du design.

    Les « Digital Trendy » représentent près de 11 millions de consommateurs âgés de 15 ans et +. Ce sont plutôt de jeunes hommes urbains (la majorité a entre 15 et 34 ans) avec des revenus confortables (41% gagnent plus de 3000€ / mois).

    Ils sont deux fois plus nombreux à posséder des tablettes numériques que l’ensemble de la population. Ils sont très sensibles au gain social et communautaire offert par un nouvel équipement : les 3/4 d’entre eux ne peuvent plus se passer des nouveaux moyens de communication (contre 40% pour l’ensemble de la population) et près de 1 sur 3 pense que la qualité des rapports humains s’est améliorée grâce à la technologie (versus 12%).

    Les « Digital Trendy » agissent comme de véritables Hipsters. Précurseurs et originaux, ils sont les premiers à être séduits par les nouveautés, surtout lorsque l’objet a un impact sur l’image qu’ils veulent donner d’eux-mêmes. Ce groupe de consommateurs développe un comportement d’achat boulimique et court-termiste puisqu’un nouvel équipement peut être remplacé très rapidement par un autre, au gré des évolutions des produits. Cette sur-implication technologique rend légitime leur statut d’influenceur au sein de leur sphère sociale.

    L’achat en lui-même est dicté par plusieurs motivations. Tout d’abord, les qualités intrinsèques du produit : performance technique (40% contre 28% pour l’ensemble de la population), la technologie de pointe (15% contre 8%) et le design (22% contre 14%). Et pour cette population qui a le souci d’être respectée par ses semblables (80% contre 72%), l’engagement social et environnemental de la marque est important (44% contre 37%).

    Muriel Raffatin, Directrice Marketing TGI chez Kantar Media analyse : « Les Digital Trendy se révèlent comme les consommateurs les plus sensibles à la révolution des modes de vie proposés par les marques. Ces profils de consommateurs identifiés par Kantar Media TGI permettront aux marques de cibler efficacement leurs consommateurs et de déterminer les leviers qui vont les influencer ».

    Méthodologie de l’Etude « 5 modes de connexion au monde digital »
    Notre expertise s’appuie sur des questionnaires réactualisés en permanence pour proposer des solutions et des analyses répondant aux besoins des annonceurs, des agences publicitaires ou média, et des régies. Le réseau TGI présent dans plus de 60 pays nous permet de répondre à des problématiques média et marketing sur le plan local et international. L’étude TGI Europa, menée 2 fois par an après de 59 000 interviewés, apporte un éclairage à la fois quantitatif et qualitatif, sur les individus de 15 ans et plus résidant en France, Allemagne, Espagne et Grande-Bretagne grâce à un champ d’enquête très vaste couvrant 25 secteurs de consommation et l’ensemble des médias.
    www.kantarmedia-tgifr.com

  • La première collection de manuels scolaires gratuite sur internet

    La première collection de manuels scolaires gratuite sur internet

    livrescolaire_090413En effet, Lelivrescolaire.fr vient de mettre en ligne sa collection de 16 manuels scolaires en libre accès, couvrant tous les niveaux des matières principales au collège : français, mathématiques, histoire-géographie et anglais.

    Fondée en septembre 2009 par d’anciens professeurs, la maison d’éditionLelivrescolaire.fr propose des manuels scolaires pour le collège, au format numérique (gratuit sur Internet) et au format papier (payant). Les manuels numériques disponibles sur le site internet de l’éditeur se caractérisent par leur grande interactivité.

    L’élève a la possibilité de réaliser la totalité des exercices du manuel en ligne et d’accéder facilement à des contenus multimédias supplémentaires. Côté professeur, le numérique vient renforcer le suivi individualisé de l’élève. L’enseignant peut corriger en ligne les exercices réalisés, sauvegarder les copies et adapter les corrigés au niveau des élèves. Il peut aussi personnaliser son manuel, dont le contenu éditorial réalisé par une communauté de 1000 enseignants est placé sous licence libre (CC-BY-SA).

    En 3 ans, l’éditeur s’est fait une place dans le paysage de l’édition scolaire (7% de part de marché en 2012). Le site internet compte des utilisateurs dans 50% des collèges français. Ce sont aujourd’hui 20 000 enseignants et près de 100 000 élèves qui travaillent régulièrement à partir des manuels numériques gratuits sur le site internetlelivrescolaire.fr.

    L’éditeur ne compte pas s’arrêter là. En mai, il dévoilera ses applications pour tablettes tactiles et pour smartphones, d’ores et déjà annoncées comme révolutionnaires.

  • L’ardoise BIC, une démarche d’innovation partagée avec les acteurs

    L’ardoise BIC, une démarche d’innovation partagée avec les acteurs

    « Je crois que BIC a démarré cette expérience en même temps que nous, les enseignants donc nous avons tous débuté ensemble ».

    Cette phrase de Catherine Le Quellenec, enseignante à l’école Pasteur B de Clichy-la-Garenne résume bien l’état d’esprit dans lequel ce projet d’ardoises numériques a vu le jour.

    Soutenu par le Ministère de l’éducation nationale et en accord avec les communes impliquées, il est actuellement au stade d’expérimentation dans sept écoles représentatives de la diversité territoriale française (centre ville, périphéries et zones rurales) et concerne environ 400 élèves.

    L’objectif de cette expérimentation, une des plus importantes lancée dans le premier degré, est de récolter les avis de la communauté enseignante et des élèves, dans le but d’atteindre un produit qui réponde parfaitement aux besoins de la classe.

    « En interrogeant les enseignants lors de réunions régulières, nous souhaitions pouvoir valider les choix que nous avions fait pour notre ardoise et confronter le produit dès le début », explique Mathias Mattiuzzo, directeur du Développement chez BIC Education.

    Le choix de la simplicité, le maître mot de l’ardoise BIC

    Un des arguments principaux mis en avant par BIC, à savoir la simplicité, a remporté un vif succès auprès des enseignants.
    « Si j’ai une seule phrase à retenir de nos échanges avec les équipes enseignantes, c’est : c’est tellement simple qu’on l’utilise », souligne Mathias Mattiuzzo.

    Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance face à un public « exigeant » qui, dès le début, a annoncé la couleur, « on a peu de temps donc si ça ne marche pas, on laisse tomber », rapporte Mathias des premières réactions recueillies.

    Une simplicité que confirme Catherine Le Quellenec ; elle avoue ne pas avoir eu « peur » d’utiliser le numérique, qui pour elle « est un passage obligé pour l’enseignement d’aujourd’hui » et elle ajoute que les échanges sur l’utilisation de l’ardoise BIC lui ont même été bénéfiques pour son enseignement.

    « Le travail en collaboration avec BIC m’a permis de remettre en question ma pratique pédagogique ; au bout de 20 ans, on peut tout à fait se laisser un peu aller ; avec l’arrivée de l’ardoise dans ma classe, je me suis replongée dans les programmes, j’ai repensé ma pédagogie car l’apparition d’un outil numérique apporte un autre rapport à la classe », affirme t-elle.

    Un matériel pensé pour l’enseignant

    Plusieurs points de détail sont venus aux oreilles des équipes de BIC éducation, comme par exemple un problème de fil, l’autonomie des tablettes ou un stylet qui s’use trop vite !

    La R&D de BIC éducation a fait en sorte que les tablettes se rechargent très rapidement pendant une durée calibrée sur la pause déjeuner, soit environ deux heures, ce qui éloigne toute possibilité de stress à l’enseignant de ce côté-là.

    Concernant les fils, il est apparu qu’il n’y avait pas d’emplacement pour les ranger sur le chariot où sont entreposées les tablettes et les prises se trouvant au dos du chariot, risquaient d’être endommagées par le frottement lors du déplacement des appareils.

    « Pour répondre à cette demande, les prises ont été positionnées sur le côté et le fil peut désormais s’entourer autour de la poignée qui permet de guider le chariot », comme nous le décrit Mathias.

    Au bout de quelques semaines, les enseignants ont fait remonter que le stylet s’usait très rapidement. Aujourd’hui, il est fabriqué avec un plastique plus dur, utilisé dans l’aéronautique, pour faire face à cette usure précoce.

    Au travers de ces exemples, on peut constater que les expérimentations ne sont pas vaines et surtout permettent d’obtenir, à termes, un produit qui réponde à des problématiques concrètes et quotidiennes des enseignants.

    Mathias tient à souligner que l’appropriation de l’ardoise est très différente d’un enseignant à l’autre car le produit a été pensé pour que l’enseignant adapte sa pédagogie, voir la fasse évoluer. « On a vu émerger de nouvelles pratiques dans des matières qui sont pourtant très classiques », ajoute t-il.

    Le produit BIC éducation a été également pensé pour les élèves, qui ne manquent pas non plus, d’émettre des critiques ou suggestions, comme le souligne Catherine Le Quellenec, « les élèves demandent aussi des améliorations comme : pourquoi on peut pas avoir cette couleur ? Pourquoi on peut pas écrire comme ça (…) ? Finalement, je crois qu’ils ont aussi fait avancé le projet ».

    Une ardoise pensée pour des élèves de primaire

    Plusieurs fonctionnalités sur le produit ont été réfléchies pour correspondre aux habitudes d’un élève de primaire et qu’il lui soit confortable, sans le perturber dans sa progression en classe.

    Cela se concrétise par le degré de luminosité au démarrage de la tablette, calé à 40%, « pour éviter la fatigue oculaire des élèves » ; ou encore la possibilité de pouvoir écrire « normalement », comme sur une feuille de papier, en positionnant sa main sur la tablette pendant que l’autre main écrit.
    Pour des âges où l’apprentissage de l’écriture est un incontournable, ce détail n’en presque pas un !

    « On s’est rendu compte qu’on ne pouvait pas demander aux élèves de changer de façon d’écrire entre le papier et un support numérique, c’est pourquoi l’ardoise a des bords profilées de façon à ne pas avoir de cassure au niveau du poignet (…) Un élève qui va écrire sur une BIC Tab ne verra pas la différence avec une écriture sur papier », explique Mathias.

    Un outil numérique qui doit aussi répondre aux exigences des collectivités locales

    L’éducation nationale, qui est une des parties la plus concernée par l’arrivée d’un nouveau produit dans la classe, a aidé à l’élaboration et à l’amélioration de l’ardoise BIC.
    Les collectivités locales, qui, rappelons-le, sont les financeurs de l’école, sont elles aussi rentrées dans la boucle.

    Béatrice Daveney, insiste sur le caractère robuste de l’ardoise, qui va permettre aux communes d’investir dans une solution pérenne qui dure dans le temps.

    Pour M. Moingt, Maire adjoint de Clichy-la-Garenne, en charge de l’éducation, des centres de vacances et de loisirs et en charge de la communication, les outils numériques peuvent servir l’école en apportant des solutions pour une pédagogie différenciée et c’est ce qui a retenu son attention sur la BIC Tab.

    « Ce qui est très intéressant avec les tablettes BIC, c’est que l’enseignant peut faire un travail personnalisé avec chaque élève et pour moi c’est le vrai « plus » de cet outil ».

    Face à des problématiques financières, il avoue ne pas pouvoir équiper toutes les classes de sa commune avec tel ou tel matériel ; d’un autre côté, étant conscient des enjeux du numérique à l’école, Il a tenu une réflexion commune avec l’inspectrice d’académie pour investir dans des outils mutualisables.

    « Nous avons divisé les écoles en cinq secteurs et l’idée, par exemple, est d’avoir une solution pour chaque secteur ; à charge ensuite à l’éducation nationale d’en gérer le planning d’utilisation par les enseignants ».

    Dans ce projet d’ardoise numérique, tous les acteurs ont été concertés, pour apporter un vrai produit d’éducation qui corresponde aux besoins des enseignants et des élèves tout en tentant de prendre en compte les contraintes liées aux collectivités locales.

    Plus d’infos sur l’expérimentation BIC Education :
    L’expérimentation BIC Education comprenant les ardoises numériques et le logiciel BIC Connect a été déployée sur le territoire national dans sept communes volontaires. A voir aussi ici

  • La nouvelle TI Collège Plus en version Solaire avec un programme de découverte personnalisé

    La nouvelle TI Collège Plus en version Solaire avec un programme de découverte personnalisé

    TI-College_Plus_Solar_120313.620Spécialement conçue pour les programmes scolaires du collège, elle est dotée d’un écran 5 lignes avec écriture naturelle des fractions, racines carrées et pi. Grâce à ses touches et menus totalement en français, les fonctions essentielles en accès direct (trigonométrie, statistiques…), la résolution de systèmes d’équations à 2 inconnues (x et y) et la simplification des racines carrées et fractions latines, la nouvelle TI-Collège Plus Solaire est idéale pour le collège ! Enfin le panneau solaire intégré permet de réduire la consommation d’énergie liée à son utilisation fréquente.

    Vous êtes enseignants ? Venez découvrir la TI-Collège Plus Solaire et les ressources pédagogiques associées lors d’une formation gratuite, organisée dans votre région et animée par un enseignant formateur du réseau national T3*.
    Au programme :
    •    Présentation de la calculatrice TI-Collège Plus Solaire et de son logiciel TI-Smartview,
    •    Exemples d’activités permettant une prise en main rapide de la calculatrice
    •    Exemples concrets d’activités intégrant le socle commun,

    Plus d’infos :
    Un programme d’aide à l’équipement réservé à votre établissement scolaire est également disponible ici.
    Pour plus de détails et pour vous inscrire,connectez-vous vitesur : www.univers-ti-college.fr

    En attendant la formation, n’hésitez pas à vous familiarisez avec le produit en téléchargeant gratuitement la version d’évaluation de 90 jours de l’émulateur sur: www.education.ti.com/france/smartview-college

    *T3 signifie « Teachers Teaching with Technologies », un réseau d’enseignants et de formateurs en mathématiques et en sciences qui enseignent avec les nouvelles technologies et qui partagent avec d’autres enseignants leur savoir et leurs expériences pédagogiques.