Catégorie : multimedia

  • La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image d’Angoulême à l’heure du numérique

    Au cours de ses quatre premières années d’existence, la Cité a entrepris sa mutation numérique avec, successivement : la création de son portail internet, le développement de son programme de numérisations de collections, la diffusion de sa lettre d’information électronique hebdomadaire, la migration en ligne de sa revue 9eArt devenant neuviemeart 2.0, la création d’une librairie en ligne puis d’une boutique vidéo en ligne, …

    On retient également le lancement de deux blogs collectifs, l’un de spécialistes (le blog de neuvième art), l’autre d’élèves de primaire et de collège (Quoi de 9 ?), la constitution d’une bibliothèque en ligne de thèses et mémoires, la création avec FranceTélévisions du site événementiel hachijû, la mise à disposition, à la bibliothèque, de postes informatiques dédiés à la consultation de bandes dessinées numériques et d’une sélection de blogs bd, la vente de bandes dessinées numériques à la librairie et dans une boutique en ligne dédiée, la publication, en association avec Néolibris, d’un premier livre numérique : Le Musée privé d’Art Spiegelman.

    Aujourd’hui le mouvement s’accélère : au cours du premier semestre 2012, la Cité s’est engagée dans plusieurs nouveaux chantiers, aujourd’hui aboutis. D’autres sont entamés, qui verront le jour avant la fin de l’année.

    la Cité dans les réseaux sociaux, l’application mobile de la Cité, youtube : la chaîne de la Cité !, les visites virtuelles, exposition virtuelle : « une autre histoire » numérisée, visite virtuelle des bâtiments de la Cité, les collections numérisées nouvelles numérisations de la bibliothèque de la Cité, le cinéma numérique, la numérisation des salles de cinéma….

     

  • Grepolis fête ses 2 millions de joueurs français !

    Grepolis fête ses 2 millions de joueurs français !

    Le jeu de stratégie en ligne d’InnoGames passe un nouveau cap. La France devient donc la première communauté d’Europe.

    InnoGames, développeur allemand de jeux en ligne, est fier d’annoncer que les serveurs français de son jeu Grepolis viennent d’atteindre la barre symbolique des deux millions de joueurs. La communauté française chevillée au titre déjà culte devient ainsi la plus importante des 21 pays accueillant des serveurs locaux ; elle talonne ainsi les serveurs internationaux du hit d’InnoGames.
 A ce jour, Grepolis compte plus de 16 millions de joueurs passionnés sur ses serveurs.

    « Nous sommes extrêmement fiers de l’engouement pour notre jeu et nous remercions l’ensemble des fans. La France représente un de nos plus importants marchés, et satisfaire les joueurs français est toujours un défi »,explique Peter Jacob, chef de produit de Grepolis.

    Bien que le jeu soit développé en Allemagne, toute l’assistance nécessaire est assurée par une équipe entièrement francophone. A l’instar de Jordan Coutout, Lead Community Manager de toutes les versions de Grepolis. « J’essaie de tirer partie de mon expérience dans le community management pour offrir une assistance de haute qualité aux joueurs. Nous sommes convaincus que cela constitue aujourd’hui un élément décisif » déclare-t-il.

    Grepolis est un jeu de stratégie qui prend pour cadre la Grèce Antique. Disponible directement depuis les navigateurs Internet, les joueurs doivent fonder une immense cité et s’unir avec d’autres joueurs pour bâtir un empire militaire puissant et conquérir de nouvelles îles lointaines.

    Les divinités grecques sont également de la partie ; Zeus, Héra, Athéna, Poséidon, Hadès et Artémis jouent un rôle capital, et influent sur le sort du joueur.

    Grepolis est un Free-to-play qui ne requiert aucun téléchargement.

    InnoGames, créateur d’univers
    En parallèle à Grepolis, les allemands d’InnoGames ont créé de célèbres licences jouables directement sur les navigateurs internet, telles que Tribal Wars, Forge of Empires ou encore The West. Riche d’une communauté de plus de 80 millions de joueurs, la société figure parmi les développeurs et éditeurs de jeux en ligne les plus puissants.

    Pour rejoindre la communauté : www.grepolis.fr

  • Un CMS java open source toulousain dans la cour des grands !

    Un CMS java open source toulousain dans la cour des grands !

    L’éditeur du CMS Ametys annonce à l’occasion de la sortie de la v3.3 le nombre symbolique des 30 000 sites déployés et sa participation au CMSday, 1er forum européen dédié au meilleur des CMS open source.

    Un cap de notoriété franchi en 2012

    Si de nombreuses administrations et grands comptes utilisent déjà Ametys depuis 2004 pour motoriser leurs sites ou portails web, l’année 2012 marque pour Ametys la reconnaissance de la qualité du produit par les acteurs du marché.

    « Déjà considéré comme le CMS de référence dans le monde universitaire et déployé à très grande échelle pour des grands comptes en Europe, nous avons pu constater cette année un très bon accueil des acteurs du marché des CMS. Le produit répond à une réelle attente des structures grands comptes, à la recherche d’un outil à l’ergonomie intuitive pour les contributeurs novices, mais aussi capable de motoriser l’ensemble des sites dont ils ont la responsabilité » explique Sylvie SUCHET PDG d’Anyware Services.

    A l’heure du foisonnement des contenus sur le web, il s’agit en effet pour les grands comptes et administrations de gérer au sein d’une plateforme unifiée un large panel de sites (institutionnel, événementiel, portail, intranet, blog, wiki…) au travers d’une ergonomie intuitive pour des contributeurs novices. Le CMS doit exploiter le meilleur du web 2.0, tout en optimisant les contributions à l’échelle de la société : réutilisation des contenus entre sites, mise en ligne instantanée d’un nouveau site, intégration des réseaux sociaux et de modes de contribution conversationnels…

    Ces caractéristiques ont dernièrement suscité l’intérêt chez les sociétés expertes du marché :

    • Smile a en effet choisi d’inviter le CMS Ametys parmi 20 éditeurs et communautés internationaux de CMS Open Source au CMSday à Paris le 14 juin 2012.
    • Lecko (anciennement Useo), société de conseil et organisation en nouvelles technologies, a pour sa part consacré un article dans son blog « Zoom sur Ametys, un CMS 2.0 à destination des collectivités » et le positionne comme « un pur player CMS ».

    Une adoption du CMS Ametys élargie à tous les secteurs d’activité

    Si Ametys compte des utilisateurs fidèles de longue date – DILA (Journaux Officiels), Université Pierre et Marie Curie (Paris 6), Laboratoires pharmaceutiques Merck – l’année 2012 marque un accueil prometteur de la solution auprès des collectivités territoriales. En effet, l’Agence Technique Départementale de la Haute Garonne et le Conseil Général du Lot viennent tous deux de s électionner Ametys pour leurs projets web.

    Retrouvez Ametys au CMS day le premier événement majeur, en France 
et en Europe, dédié à la gestion de contenu open source.

  • Du nouveau pour la plateforme Culture Lycée

    Du nouveau pour la plateforme Culture Lycée

    070620124fd07cc3e025cLe projet Culture Lycée, initié par le Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, et le ministère de la Culture et de la Communication et France Télévisions, a été développé par France Télévisions dans le cadre de sa mission éducative.

    Ce programme, destiné aux lycées, propose à ses abonnés de visionner sur internet des pièces de théâtre, opéras, ballets, ainsi que des documentaires d’arts et portraits d’artistes. Les films et vidéos sont accessibles, depuis le 21 mars dernier, via un visionnage direct ou un téléchargement temporaire pour des projections.

    Partenaire technologique de France Télévisions, ATDI Interactive TV a développé le player permettant de visionner les films et autres vidéos grâce à un lecteur vidéo HD en ligne avec une diffusion en adaptive streaming, et à un second lecteur hors ligne gérant la politique DRM Playready adaptée aux besoins des producteurs de contenus. Cette technologie Digital Right Management (DRM, ou gestion des droits numériques) permet de protéger les contenus contre le piratage et de gérer les droits des internautes qui disposent des bonnes clefs pour regarder les contenus nécessitant un abonnement.
    Une fois inscrits, les lycées accèdent à la plateforme internet « culturelycee.fr« , et choisissent parmi un catalogue répertoriant les plus grands classiques du répertoire artistique (cinéma, danse, musique, théâtre, peinture…) en visionnage et téléchargement limités.

    1 793 lycées sont d’ores et déjà inscrits avec pour objectif un visionnage en streaming de qualité optimale, afin que l’ensemble des contenus vidéo deviennent pour les utilisateurs un support pédagogique incontournable.

    «Cette plateforme offre des temps de démarrage minimum, des vidéos et des performances de visionnage supérieures qui garantissent une expérience utilisateur optimale. Ce service interactif intègre un service de streaming de qualité HD en adaptive streaming qui ajuste le débit pour garantir un visionnage optimal à tous les abonnés
    », explique Gilles Missud, chef de projet d’ATDI Interactive TV.

  • Numérique ou non, le livre ne doit pas être un produit d’appel

    Numérique ou non, le livre ne doit pas être un produit d’appel

    Depuis plus d’un an, la question du prix du livre numérique est un sujet polémique connaissant chaque mois de nouveaux rebondissements. En France, le modèle qui se met en place pour le livre numérique tend à rejoindre celui du livre papier : un prix unique et une TVA réduite, donnant au livre numérique la même place que le livre traditionnel. Mais dans les pays anglo-saxons, la situation est bien différente et les acteurs de la chaîne du livre se livrent une impitoyable bataille.

    Jusqu’à la sortie de l’iPad en 2010, le monde de l’édition américaine fonctionnait sur un modèle unique : l’éditeur vendait ses titres à un prix de gros, laissant au libraire détaillant le soin de fixer le prix de son choix.

    Afin d’attirer des clients dans son écosystème, Amazon vendait systématiquement à perte les titres les plus recherchés. Ainsi, une nouveauté dont l’édition papier se vendait 28$, était vendue à 9.99$, Amazon perdant sciemment plus de 10$ par titre vendu.

    Dans le monde papier, ces prix fracassés ont permis à Amazon d’anéantir ses concurrents de façon systématique. Aujourd’hui, depuis la fermeture de Borders en 2011, il ne reste plus qu’une seule chaîne indépendante spécialisée dans la vente de livres aux USA ; Barnes & Noble. Précisons que sa situation financière est catastrophique.

    Le livre numérique permet à Amazon de mettre en place une stratégie encore plus agressive. En vendant de nombreux livres dans un format propriétaire, bloqué pour ne fonctionner que dans son écosystème, il rend l’acheteur totalement captif.

    Cette combinaison du bâton (captivité) et de la carotte (vente à perte) assure à terme une situation de monopole dans laquelle Amazon pourrait alors dicter toutes les règles du jeu.

    Inquiets face à cette situation, les éditeurs américains ont profité de l’arrivée d’Apple sur le marché pour changer les règles du jeu, basculant sur un modèle où un même prix s’appliquerait à l’ensemble des revendeurs, permettant de conserver une diversité de canaux de distribution et donc davantage de compétitivité dans ce marché.

    Une récente décision du Department of Justice (DoJ) remet cependant ce modèle en cause. Accusant les éditeurs d’entente illicite sur les prix, le DoJ s’apprête à imposer la fin de ce modèle auprès de cinq des plus grands éditeurs américains, créant ainsi toutes les conditions pour que Amazon reprenne son rôle de prédateur dominant.

    Cette décision défiant le bon sens est le signe avant-coureur d’une tendance lourde que l’édition va devoir combattre : pour ces acteurs, le livre n’est qu’un produit d’appel. Pour Apple ce n’est qu’un moyen de vendre des tablettes, pour Google nos lectures sont un moyen comme un autre d’en savoir toujours plus sur nous et nos comportements de consommateur afin de nous inonder de publicités ciblées. Ces préoccupations sont bien éloignées des attentes des lecteurs comme des éditeurs, et si les autorités laissent le marché entièrement entre leurs mains, tout le monde sera rapidement perdant.

    Fixer le prix du livre numérique n’est pas suffisant en soit, mais c’est une condition préalable à un véritable marché. Un prix unique sur le livre numérique pourrait être perçu comme une opportunité par les éditeurs de ralentir l’adoption de la lecture numérique. Au lieu de cela, il doit absolument devenir un outil leur permettant de mieux comprendre le marché, que ce soit via des politiques de prix ciblés dynamisant leurs ventes, ou en lançant de nouvelles collections adaptées aux attentes des lecteurs numériques.

    Quant aux libraires, dans un monde où les catalogues n’ont plus de limites, leur rôle sera plus que jamais nécessaire pour guider le lecteur dans ses choix. Mais être libraire numérique, c’est aussi repenser la médiation et la manière dont le lecteur navigue dans un catalogue, et c’est seulement en mettant son expérience au service de nouvelles expériences que la librairie trouvera sa place. Plutôt que d’un portail de la librairie, c’est de standards, et d’outils  leur permettant de se différencier dont les indépendants ont besoin.

    Créons ensemble les conditions favorisant la diversité des acteurs et des expériences, le livre mérite mieux que d’être un simple produit d’appel.

    Auteur : Hadrien Gardeur, Co-Fondateur de Feedbooks

  • L’ebook dans l’EPUR : le livre numérique dans l’édition professionnelle, universitaire et de recherche

    L’ebook dans l’EPUR : le livre numérique dans l’édition professionnelle, universitaire et de recherche

    L’ebook dans l’EPUR est en ligne sur le site web du GFII : www.gfii.fr/ebook. Il sera présenté Mercredi 13 juin de  12h30 à 13h30 au salon i-expo, Paris Porte de Versailles, Hall 5.1 (entrée libre). Un atelier consacré au retour d’expérience sur la création collective de ce livre numérique est proposé Jeudi 14 juin de 16h00 à 18h00.

    La campagne présidentielle a donné lieu à de nombreux débats autour du financement de la création, du développement de l’économie de la connaissance, du soutien à l’industrie numérique, de la compétitivité de la recherche française, de la fiscalité du livre, de l’évolution du droit d’auteur….

    Toutes ces thématiques sont au cœur de L’ebook dans l’EPUR, qui synthétise les réflexions du groupe de travail du GFII sur le livre numérique. Depuis 2009, ce groupe présidé par Catherine Thiolon (Editions Quae/Inra), a procédé à des auditions des principaux acteurs de la chaîne du livre numérique scientifique et professionnel (auteurs-chercheurs, éditeurs, plates-formes, libraires, bibliothèques…). Ces auditions ont nourri de riches échanges sur le développement du marché, des usages, des pratiques, des modèles économiques, des freins techniques et juridiques…

    Le livre blanc, L’ebook dans l’EPUR, illustré de nombreux retours d’expérience, donne des clés pour comprendre les problématiques du livre numérique depuis sa création jusqu’à son utilisation (individuelle et collective), en passant par sa distribution et sa diffusion.

    Quelques illustrations de questions abordées :

    • Comment le dynamisme de l’édition numérique contribue-t-il à la performance de la recherche française dans un contexte international de plus en plus concurrentiel ?
    • Comment adapter la réglementation, autour du prix unique du livre, de la fiscalité, de la propriété intellectuelle pour permettre le développement d’un véritable marché ?
    • Comment des acteurs locaux innovants peuvent-ils se développer à côté des majors internationales du secteur ?
    • Search, marketing sur les réseaux sociaux, lecture sociale et recommandations ou comment répondre aux nouveaux enjeux stratégiques des acteurs du livre ?
    • Exemples concrets de monétisation de contenus de l’édition scientifique et professionnelle…

    Informations pratiques :

    Téléchargement gratuit de l’ebook en format ePub pour Apple, ePub pour ADE, ePub pour Amazon et PDF sur le site web du GFII : www.gfii.fr/ebook

    Animation d’une communauté d’experts et recueil de nouvelles contributions en vue de la version 2 sur la plate-forme du GFII : www.gfii.fr/epur

    Présentation du Livre blanc dans le cadre du congrès i-expo, Mercredi 13 juin de 12h30 à 13h30, Paris Porte de Versailles – Hall 5.1 (entrée libre, demande de badge sur le site www.i-expo.net)

    Atelier sur la création collective du Livre blanc numérique dans le cadre du congrès i-expo, Jeudi 14 juin de 16h à 18h (bulletin d’inscription en ligne sur le site www.i-expo.net)

  • Téléphonie mobile dédiée aux seniors

    Téléphonie mobile dédiée aux seniors

    De nouveaux téléphones simples, pratiques et hauts en couleur pour … téléphoner.
    Pour offrir aux seniors une alternative aux téléphones toujours plus fins, à l’usage complexe ou au look austère, le Club des Seniors propose une sélection de nouveaux téléphones simples, pratiques et design pour téléphoner et accéder rapidement aux menus les plus utiles.

    Parmi le très large choix de téléphones mobiles dédiés aux seniors, le Club des Seniors a retenu en particulier un téléphone simple, pratique et haut en couleur : le modèle CP10 de la marque Just 5 distribué en exclusivité en France par la société Constellationdistrib.

    Outre sa forme ergonomique, ses couleurs, la taille des boutons et de la police d’écran, la gamme Just 5 se distingue par une haute capacité de la batterie, un haut parleur puissant, une lampe de poche LED, un accès rapide et simple au menu et enfin, une fonction SOS. En cas d’appui prolongé, cette fonction permet de déclencher une sonnerie d’alarme et d’appeler cinq numéros de proches préprogrammés. Une fonction utile et vitale en cas de problème de santé ou de chute.

    Enfin, les téléphones Just 5 sont compatibles avec tous types de carte SIM.

    A propos de Senior Invest SAS
    Le Club des Seniors, marque déposée de SENIOR INVEST SAS, est le 1er espace d’achats groupés dédié aux seniors de 50 ans et plus. Chaque semaine, le Club des Seniors propose des offres à prix réduits répondant aux besoins et envies des seniors autour de 8 univers incluant notamment les voyages et les loisirs, le bien-être et les nouvelles technologies. Dans le cadre du « Mois du Mobile », le Club des Seniors a sélectionné des téléphones mobiles simples, pratiques et beaux pour … téléphoner !

    Pour plus d’informations : le-Club-des-Seniors.com

  • Un nouveau compte Twitter pour s’amuser avec l’orthographe

    Un nouveau compte Twitter pour s’amuser avec l’orthographe

    220520124fbb87ef21134@1fauteparjour propose ainsi aux utilisateurs de Twitter de chasser quotidiennement et définitivement une faute d’orthographe de leur univers. Bien sûr, l’abonnement à @1fauteparjour est gratuit.

    Une faute à 9 heures
    Tous les jours à 9 heures, @1fauteparjour publie une phrase illustrant l’actualité de manière décalée, rédigée par Bruno Dewaele, esprit libre, professeur agrégé de lettres modernes et champion du monde
    d’orthographe. Le problème ? Cette phrase comporte une faute ; l’utilisateur de Twitter saura-t-il la déceler ? Loin de la dictée de Pivot, le niveau de langage reste accessible, et les fautes sont choisies parmi
    celles émaillant le quotidien des internautes.

    Une correction à 14 heures
    Le jour même, à 14 heures, @1fauteparjour publie la phrase correctement rédigée (sans la faute !), avec un lien donnant accès à son explication permettant de ne plus commettre cette erreur.

    Une demi-journée de suspense
    Les utilisateurs de Twitter ont donc cinq heures pour découvrir la faute, la corriger, la commenter, la partager… à partir d’une phrase de Bruno Dewaele proposant un regard décalé sur l’actualité.

    À 14 heures, tout est joué !

    «L’orthographe est une chose trop sérieuse pour ne pas la considérer comme un formidable espace de jeu dans lequel se promener au moins une fois par jour», dit Bruno Dewaele, véritable plume d’1 faute par
    jour.

    Cette initiative est lancée par le Projet Voltaire, n° 1 de la remise à niveau en orthographe avec plus de 650 000 utilisateurs, dont Bruno Dewaele est un éminent expert.
    «Rechercher une faute dans une phrase est une gymnastique aux multiples bénéfices», explique Pascal

    Hostachy, cofondateur du Projet Voltaire. «Cela incite à la relecture (fondamentale pour ses propres écrits),dédramatise la faute, aiguise le regard et favorise la mémorisation de la règle associée à la faute. On parle
    alors d’acquisition d’automatismes
    »

    Plus d’infos :
    Abonnez-vous gratuitement au compte Twitter @1fauteparjour à l’adresse suivante : twitter.com/1fauteparjour
    Toutes les informations sur www.projet-voltaire.fr

    A propos de Bruno Dewaele :
    Champion du monde d’orthographe (titre délivré à l’ONU, à l’occasion du fameux concours rassemblant 108 pays), professeur agrégé de lettres modernes au Lycée des Flandres d’Hazebrouck ; chroniqueur de langue à La Voix du Nord.

  • De vrais QRcodes sur les vaches bretonnes

    De vrais QRcodes sur les vaches bretonnes

    6 mois après la vidéo des vaches taguées dans le Morbihan, vues 65 000 fois dans le monde, le canular devient réalité. Cette fois, c’est  bien vrai et vérifié lors de la conférence de presse mercredi 16 mai. Les agriculteurs de la ferme Penn da Benn dans le Morbihan font réellement porter des colliers de QrCode. Ils se sont pris au jeu pour créer le jeu de grattage : le Gratt’Meuh.

    Depuis le 1er mai 2012, à séné (Morbihan ), à la ferme Penn de Benn, le srandonneurs qui longent  l’exploitation peuvent apercevoir de drôles de vaches. Elle sportent des colliers avec un QR code !  Flashez et gagnez des produits de la ferme

    Le randonneur est invité à flasher les colliers avec son smartphone. Un jeu de grattage (type morpion) apparait. C’est le jeu de « Gratt’meuh » : en grattant 3 cases, si on dévoile 3 vaches, c’est gagné ! Le randonneur peut alors venir jusqu’à la ferme retirer son lot : 1 litre de lait et 4 yaourts ! Tous les joueurs de la saison 2012 participeront en plus à un tirage au sort en fin de saison pour gagner un séjour dans le gîte de la ferme.

    Ce jeu interactif est une innovation technologique et marketing  dans le monde agricole.

     Pourquoi ce jeu et ces QR codes ?
    L’histoire commence en septembre 2011. Une bande de fêlés vannetais passionnés de technologies mobiles (ils tiennent le blog www.qrdresscode.com) propose à la ferme Penn da Benn de prêter son magasin de vente directe pour tourner une vidéo-canular. Ils veulent faire le buzz sur internet en faisant croire qu’un agriculteur peint ses vaches avec des QR codes pour attirer les clients. C’est un succès, la vidéo fait le tour du monde (65 000 vues à ce jour).

    Un canular devenu une réalité
    Les internautes trouvent ça étonnant ? Alors la ferme Penn da Benn décide de réaliser le «jeu de grattage de la vache» pour de vrai. La ferme Penn da Benn est devenue la première ferme animée avec des QR codes…au monde ! 😉

     «Franchement, on a d’abord trouvé l’idée très bizarre. Mais devant le succès du canular et la curiosité de nos clients, on a décidé de le faire « en vrai ». Le jeu de Gratt’Meuh, c’est parfait pour nous : nous sommes dans un lieu exceptionnel (au cœur de la réserve naturelle du Golfe du Morhihan), les randonneurs côtoient notre troupeau, nous vendons en direct et nous avons besoin de faire venir les clients jusqu’à chez nous. Avec ce jeu, nous espérons attirer de nouveaux publics, curieux de notre métier, de nos produits …et des QR codes ! »

    Fabrice Menard, agriculteur / éleveur laitier, en vente directe

    Gaelle Menard présente le lot pour les gagnants : 1 litre de lait et 4 yaourts de la ferme

    Gaelle Menard, dans l’espace boutique de la ferme, devant le panneau qui explique le dispositif du jeu de Gratt’Meuh.