[callout]L’étude basée sur 500 enseignants britanniques tant dans le primaire que dans le secondaire a été menée par Instructure, une société spécialisée dans les technologies appliquées à l’éducation.[/callout]
Elle a révélé qu’un tiers des professeurs dans les écoles primaires, et à peu près autant dans le secondaire, ne se sentent pas à l’aise avec l’utilisation des nouvelles technologies dans le curriculum scolaire.
De plus, les professeurs dans les écoles du service public sont moins bien préparés à l’utilisation de nouvelles technologies dans les salles de classe. Près de la moitié, 49,3% exactement, déclarent ne pas avoir reçu les formations adéquates. Ce pourcentage est de 43,9% pour les professeurs des écoles du secteur privé.
Cette année, l’utilisation et la mise en place des nouvelles technologies dans les écoles a coûté autour de 623 millions de livres au gouvernement britannique.
Ça représente 11800 livres par école, en prenant en compte 24372 établissements en Angleterre.
Samantha Blyth, directrice des écoles chez Instructure explique : “Ce n’est pas l’enthousiasme pour la technologie qui manque chez les professeurs britanniques, et il y a une énorme adhésion au fait qu’elle améliore l’enseignement”
“Le problème est que les systèmes tendent à être imposés verticalement, depuis le sommet de la hiérarchie vers la base. Les professeurs ne peuvent pas les adapter pour coller à leur propre style, ou aux besoins spécifiques de leurs élèves”.
“Nous avons désormais la sophistication nécessaire pour écarter certains des obstacles qui gênaient les professeurs. Mais ils ont besoin de systèmes qui soient faciles à utiliser, ainsi que de formations pour qu’ils les adoptent”.
Le 21 janvier 2016, Marc Boudin, Délégué général de l’Union des Français de l’Etranger (UFE) et Julien Nizri, Directeur général de Centre Inffo remettent à l’Institut français à la Maison de l’Europe à Paris, le Label européen des langues 2015 pour sa plateforme de formation à distance IFOS.
Le Label européen des langues récompense les initiatives européennes et projets novateurs dans le domaine de l’enseignement et de l’apprentissage des langues, via un concours annuel organisé par la Commission européenne et les agences nationales dans chacun des 33 pays de l’Europe de l’éducation. Le concours 2015 avait pour thématique « Les langues vers l’inclusion sociale ».
Destiné aux enseignants désirant se former ou améliorer leurs compétences en français professionnel, IFOS a été initié par l’Institut français en partenariat avec le Centre de langue française de la Chambre de commerce et d’industrie de région Paris Ile-de-France, dans le cadre du programme du ministère des Affaires étrangères et du Développement international « 100 000 professeurs pour l’Afrique ». IFOS a été lancé en janvier 2015.
Ce label valorise les projets portés par l’Institut français en faveur du secteur culturel français et européen. L’Institut français a en effet à cœur d’affirmer la dimension européenne de l’action culturelle extérieure. L’attribution du Label européen des langues contribue à mieux faire connaître et reconnaître les projets et actions de l’Institut français auprès des institutions européennes et de ses partenaires européens.
L’INSTITUT FRANÇAIS ET LE NUMÉRIQUE
Opérateur du ministère des Affaires étrangères et du Développement international, au service de la diplomatie culturelle, l’Institut français est aujourd’hui une marque unique en France et dans 96 pays. Il assure la promotion à l’étranger des artistes, des idées, des œuvres et des industries, tout en favorisant les échanges artistiques et le dialogue des cultures.
L’Institut français fait du numérique l’une de ses priorités stratégiques transversales. Son ambition est de doter le réseau culturel français dans le monde de plateformes numériques innovantes et d’aborder le numérique comme un enjeu de coopération culturelle, en particulier dans le secteur de la promotion du français.
Attractifs et porteurs, le secteur des nouvelles technologies, au sens large du terme, présente de sérieux atouts, à commencer par ses perspectives de recrutement et d’évolutions.
Devant la large gamme de métiers de ce secteur en pleine croissance, et les différents cursus pour y parvenir, l’Etudiant propose la 9ème édition du Salon l’Etudiant Numérique & Informatique.
Cet évènement, placé sous le patronage du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, se déroulera les 30 et 31 janvier 2016.
Le salon du Numérique & Informatique est l’opportunité pour les lycéens et les étudiants de découvrir les métiers et les filières de formation spécialisées adaptées au monde professionnel.
Les représentantes des organismes de formation, des institutions et des entreprises seront réunis sur le salon pour présenter et expliquer les filières, les cursus et détailler les emplois du numérique et de l’informatique.
A la rencontre des exposants : découvrir les études et les métiers
Les secteurs du numérique et de l’informatique ne cesse d’évoluer… et de séduire. La gamme de métiers qu’ils englobent est large et concerne tous les niveaux d’études.
Durant les deux jours du salon, les représentants des établissements détailleront leurs offres de formation : généralistes ou spécialisées, en formation classique ou en alternance, cursus classiques ou innovants.
Ils se tiendront à disposition des visiteurs pour leur expliquer les spécificités de leurs formations, la durée des études et les débouchés possibles.
Filières techniques ou artistiques, cursus axés sur la programmation ou le commerce électronique, les jeunes vont pouvoir poser leurs questions et obtenir toutes les informations nécessaires pour définir leur projet d’études ou professionnel.
Une occasion unique de faire le point sur les formations qui mènent à l’emploi et les métiers qui recrutent.
Job IRL
Qui mieux qu’un pro peut parler de son métier ?
Les 15-25 ans retrouveront sur le stand de JobIRL des professionnels du numérique et de l’informatique qui répondront à leurs questions.
JobIRL est le 1er réseau social professionnel pour l’orientation des 14-25 ans.
Les professionnels répondent aux jeunes en ligne sur les forums, reçoivent les plus motivés, In Real Life, une heure sur leur lieu de travail. Des offres de stage de 3e et stages étudiants sont disponibles sur le site.
JobIRL organise également des Happy JobIRL, rencontres entre jeunes et pros.
Déjà 18 000 membres, rejoignez-les ! www.jobirl.com
La librairie de l’Etudiant
L’ensemble des publications de l’Etudiant sera proposé sur place : mensuels, hors-série, guides pratiques et guides métiers…. L’occasion pour les jeunes et leurs parents de faire le plein d’informations.
Les conférences : pour aller plus loin
En complément de leur visite, les jeunes pourront assister à un cycle de conférences. Chacune d’elles réunira des représentants d’écoles, d’universités ou d’entreprises, autour d’un journaliste de la rédaction de l’Etudiant.
Grâce à ces conférences, les visiteurs pourront recueillir toutes les informations pratiques dont ils ont besoin et auront une idée plus claire du parcours d’études menant à la profession qu’ils souhaitent exercer. Les professionnels leur feront découvrir les métiers qui recrutent et leur parleront des filières qui mènent à l’emploi.
Agé de 58 ans, François Tinland a exercé ces dernières années les fonctions de directeur stratégique et opérationnel dans le développement de la satisfaction client et de la qualité de services. Il a travaillé à la fois dans des structures publiques et des entreprises privées.
Dans un monde où les technologies de l’information et de la communication construisent un nouveau rapport au savoir, le CNED, opérateur public de l’enseignement à distance, propose des parcours qui développent la capacité de chacun à apprendre, à progresser, à réussir.
La direction de l’enseignement et de la production du CNED est en charge de la stratégie et du pilotage des activités centrées sur l’accompagnement des inscrits tout au long de leur parcours, qu’il s’agisse de moyens humains, matériels ou immatériels. Ceci dans un double objectif : favoriser la réussite des apprenants et améliorer la qualité de la relation client.
Expériences professionnelles (non exhaustif)
Directeur régional
Organisation et mise en œuvre de la stratégie de développement
Groupe Adecco
2001-2015
Directeur de la commercialisation
Direction des actions commerciales et du marketing stratégique et opérationnel
CNED
1995-2001
Responsable marketing et commercial
Société Plisson SA
Autres responsabilités
Il est également Président du Conseil d’administration d’une entreprise de l’économie sociale et solidaire et membre du conseil d’administration d’une association dirigeant plusieurs établissements du secteur médico-social dans la Vienne.
Dans un monde qui va sans cesse plus vite, toujours plus loin, les industries comme les particuliers ont besoin de solutions innovantes aussi simples que pratiques. Dans le monde de l’informatique, tous les professionnels courent après le « Time to market » : c’est-à-dire après tout ce qui peut combiner gain de temps et gain d’argent.
L’enjeu pour les développeurs est de programmer plus vite pour une mise sur le marché rapide afin d’avoir la possibilité de profiter d’un avantage concurrentiel, tout en étant synchrone avec les nouvelles évolutions technologiques.
C’est partie de ce constat que la société AIM a développé et mis sur le marché son nouvel Environnement de Développement Intégré pour microcontrôleurs STM32 embarquables sur de nombreux objets du quotidien : Devtools.
DevTools, l’innovation informatique par AIM
Programmer facilement et rapidement des applications pour les microcontrôleurs STM32 de STMicroelectronics devient une option accessible au plus grand nombre. Diminuer les coûts de développement grâce à des services dédiés spécifiquement à cette gamme de microcontrôleurs en est une seconde.
La société grenobloise AIM présente le résultat de ses derniers travaux de recherche : DevTools, un tout nouvel outil qui permet d’accélérer considérablement la programmation des applications embarquées, des interfaces homme-machine ainsi que des systèmes distribués.
L’idée à l’origine de DevTools germe en 2010, lors de travaux effectués dans le cadre d’un projet collaboratif avec la société STMicroelectronics menés au sein du pôle de compétitivité grenoblois Minalogic, financé par le fonds unique interministériel qui soutient la recherche appliquée et les projets de R&D collaboratifs.
Au cours de 3 années de recherches et d’études, la société AIM s’aperçoit que les besoins en programmation sont colossaux dans la majeure partie des projets de R&D et qu’aucune solution de programmation n’est aussi rapide et efficace qu’il le faudrait.
La problématique de répondre aux besoins de l’utilisateur en terme d’ergonomie et d’efficacité de programmation est déjà un sujet qui interpelle AIM, travaillant déjà à cet instant sur Agilia, un outil de développement graphique. Elle décide alors de repenser les outils classiques de développement pour y associer sa solution de programmation graphique plus intuitive. DevTools voit peu à peu le jour.
Le projet est clair : DevTools a pour ambition de faciliter la vie des développeurs en leur apportant un ensemble d’outils de programmation efficaces et faciles à utiliser. Il n’est pas normal que ces derniers perdent des heures de leur précieux temps à scruter des lignes de codes interminables et à résoudre des bugs à répétition. Grâce à DevTools et à ses outils performants, il est possible de gagner en efficacité et de réduire les temps d’introduction de ses nouveaux programmes. Le développeur dispose d’assistants intégrés, de nouvelles méthodes de programmation graphique, de tutoriels, d’aides en ligne, d’exemples…
Programmer 10 fois plus vite avec la programmation graphique
Aujourd’hui pour un design à base de microcontrôleur, le choix du composant est certes important en termes de fonctionnalités, mais la composante coût de développement devient un critère tout aussi essentiel. Les microcontrôleurs actuels offrent des capacités de mémoire importantes et la mise au point de plusieurs centaines de Koctets de logiciels se chiffrent très rapidement. En divisant par 10 les temps de développement, DevTools apporte une nouvelle dynamique : un développeur peut réaliser 10 projets, là où il n’en développait qu’un !
Grâce aux interfaces intuitives de DevTools, les utilisateurs peuvent configurer leur matériel, choisir leur système embarqué et programmer leur application en quelques clics. Une simplicité d’utilisation qui garde et garantit un haut niveau de fonctionnalités.
Pour fonctionner, DevTools se compose de deux suites logicielles, toutes deux développées par AIM : Agilia et µOne. µOne est un plugin d’Eclipse, un environnement de développement universel. Agilia est un outil de programmation graphique dont les fonctionnalités complètent celles de µOne.
La programmation graphique est un facteur de gain de temps important. C’est la démarche de programmation en elle-même qui change. Le développeur crée son programme non pas en écrivant des lignes de codes mais en glissant et en posant des blocs fonctionnels sur une page blanche où il vient glisser et déposer des blocs fonctionnels, dont le code est déjà écrit, et les connecte comme dans un puzzle. L’assemblage final permet de créer l’application embarquée qu’il est ensuite possible de tester sur un kit.
DevTools est par ailleurs fourni gratuitement avec chaque kit proposé par AIM.
Les AIM-kits, des solutions pour « maquetter » rapidement
La société AIM propose à tous l’achat de ses AIM-kits, un ensemble de cartes d’évaluation développées par la société elle-même à base de microcontrôleur STM32 type F0, F1, F2, F4 ou L1. Le développeur, grâce à son AIM-kit et à DevTools, dispose d’assistants, de tutoriels, d’aides en ligne, de vidéos et d’exemples de tous les outils dont il peut avoir besoin.
Chaque AIM-kit intègre la licence DevTools et permet de créer rapidement une interface utilisateur sur son écran tactile. Tous les AIM-kits sont équipés d’un connecteur mini-USB pour alimenter la carte et communiquer en mode debug avec l’AIM-Link embarqué. Des cartes d’extension pour AIM-Kits sont également proposées.
La réforme des collèges, récemment engagée, ouvre la voie à une pratique plus régulière et opérationnelle de l’anglais, LA langue internationale. De même que l’anglais est désormais pratiqué à partir du CP, l’enseignement des langues vivantes au collège ne sera plus limité à des cours théoriques mais mis en situation via l’interdisciplinarité.
Pourtant, bien que la maîtrise de l’anglais soit un atout notable, voire indispensable, pour la vie professionnelle, plusieurs études[1] révèlent que la moitié des cadres français panique encore à l’idée de devoir parler anglais. Manque d’entretien, lacunes dans l’apprentissage… malgré un bagage scolaire moyen de huit années, le niveau post-baccalauréat est insuffisant.
Comme le souligne Vincent Dennery, à l’origine du projet EnglishWaves : « Cette prise de conscience par le gouvernement de changer notre approche de la langue anglaise en la pratiquant de manière vivante portera ses fruits. Notre expérience auprès de jeunes adultes et d’actifs montre que le développement de l’écoute est la méthode la plus efficace pour progresser dans une langue ».
Certes, les étudiants, actifs, demandeurs d’emplois ou séniors baignent aujourd’hui dans la culture anglo-saxonne à travers les publicités, films ou séries en VO. Bien sûr, il y a la BBC pour écouter l’anglais, mais l’oreille des auditeurs français est-elle à même de bien comprendre ?
La vitesse d’élocution est souvent un frein à la compréhension et donc à la motivation des pratiquants. « Il faut choisir les médias en fonction de son niveau. Ecouter la BBC sans comprendre a peu d’intérêt et peut être décourageant », déclare Sue Thomas, directrice pédagogique d’EnglishWaves.
EnglishWaves, la dose quotidienne d’actualité française en anglais
Avec EnglishWaves gagnez du temps, écoutez les infos françaises ainsi que les magazines d’actualité sur vos thèmes préférés et… progressez en anglais !
Accessible partout et à tout moment sur smartphones, tablettes et PC, EnglishWaves est la première radio française qui parle uniquement anglais.
A la différence des radios anglophones existantes, EnglishWaves propose des programmes en lien avec l’actualité française, présentés par des chroniqueurs natifs issus de différents pays (Grande-Bretagne, Etats-Unis, Afrique du Sud, Inde…) faisant un effort d’élocution, adapté à un auditoire non anglophone. Demandeurs d’emploi, étudiants, salariés, séniors… tout le monde peut entretenir son anglais facilement, à raison de quelques minutes par jour.
En complément de la radio accessible gratuitement, EnglishWaves propose des formules d’abonnement donnant accès à des outils pédagogiques, utiles pour la vie courante et très innovants : l’écoute de la radio à vitesse ralentie sans déformation des voix, les scripts des émissions avec annotations de vocabulaire et de prononciation, les podcasts enregistrés par des speakers américains, anglais, chinois et indiens (très utile dans le cadre professionnel), l’accès à 4 semaines d’archives ou encore les réponses aux questions linguistiques sous 24h.
A propos de www.englishwaves.fr Créée en 2013, par Vincent Dennery et Sue Thomas, EnglishWaves est la première radio française qui parle uniquement anglais ! Avec une vingtaine de programmes, un rythme d’élocution adapté, et des chroniqueurs anglophones, il est désormais possible d’entretenir son anglais tout en restant au fait de l’actualité française. En complément de la radio accessible gratuitement sur smartphones, tablettes et PC, EnglishWaves propose une offre pédagogique innovante sous forme d’abonnement.
Avec le temps qui passe et la montée en puissance de l’ère digitale, nos souvenirs et nos photos sont de plus en plus dématérialisés. Jusqu’au début des années 2000, il était habituel de prendre des photos avec son appareil et de se rendre chez le photographe pour les faire développer. Ces dernières étaient ensuite soigneusement classées et rangées dans des albums au fond de notre armoire.
Depuis l’arrivée des nouvelles technologies (téléphone, réseaux sociaux, ordinateurs), nos photos sont, dans la plupart des cas, stockées dans nos appareils et consultées assez rarement. De plus, ces outils ne sont pas toujours fiables à 100% et il n’est malheureusement pas impossible de voir nos souvenirs s’envoler à cause d’une panne inconnu, un virus, une casse ou encore un vol. Et la ! C’est le drame !
Les photos de nos plus belles vacances, de nos soirées conviviales ou encore de nos enfants supprimées à tout jamais !
Comment allons-nous faire pour montrer à nos proches ou à nos (futures) enfants toutes ces belles aventures ?
Il s’agit là d’un problème de taille…
Heureusement que nos parents et grands-parents n’ont pas eu « la chance » » d’avoir tous ces moyens à disposition pour stocker leurs photos. Grâce à eux, nous connaissons « une infime » partie de leurs vies qui nous donnent la larme à l’œil en les regardant.
Un autre aspect qu’il est très intéressant de soulever est celui de la confidentialité qui n’est pas (ou très peu) respecté sur la toile. En effet, beaucoup de personnes n’hésitent pas à poster des photos de famille, d’amis, d’enfants ou de proches sans penser au fait qu’elles soient visibles par des centaines et des centaines de personnes !
Rassurez-vous, un secret existe (que je vous dévoilerai dans la suite de l’article) pour palier à ces problèmes et pour faire en sorte de regrouper nos plus belles photos au même endroit, de manière sécurisée et confidentielle !
Et si je pouvais connaître la vie de mes ancêtres ?
Un beau jour, nous nous sommes tous posés la question suivante :
« Mais qui étaient mes arrière-grands-parents ? Que faisaient-ils dans la vie ? A quoi ressemblaient leur regard et leur voix ? »
Malheureusement, il ne nous reste pas grand-chose de leur histoire, si ce n’est des photos en noir et blanc ou des récits venus tout droit de la bouche de nos parents ou grands-parents.
Mais quelle est la solution alors ?
Et bien non ! Je ne suis ni magicien, ni un professionnel de la généalogie !
Cependant, il est possible depuis peu d’utiliser la magie d’internet pour donner la chance à nos descendants de faire découvrir notre enfance, notre jeunesse, nos émotions et sentiments de la vie ! En résumé, de RETRACER NOTRE VIE et de la transmettre de génération en génération!
Imaginez le sourire de vos arrière-petits-enfants en voyant votre visage, votre voix ou encore votre sourire.
De la magie à l’état pure !
Et s’il m’arrivait quelque chose ?
Aujourd’hui, nous sommes tous envahis par la routine. On se lève le matin, douche, petit-déjeuner, trajet pour le travail, boulot, repas, boulot, transport, maison, repas et dodo. Tout cela, plus de 300 fois par an ! Durant ces journées, tout peut arriver. Imaginez-vous dans votre véhicule sur la route que vous prenez habituellement, fatigué par cette journée de travail, un soir d’hiver et que par surprise un véhicule vous percute violemment ne vous laissant aucune chance…
Avez-vous pensé à vos proches et à votre famille face à ce drame ? Il est vrai que vous êtes jeunes, prudents et que cela n’arrive qu’aux autres. Malheureusement, il suffit d’ouvrir un quotidien quelconque pour se rendre compte que des personnes de votre âge ont connu ce type de drame.
Avez-vous pensé à laisser une lettre ou une vidéo de précaution à vos proches ? Si la réponse est non, il est grand temps de changer de mentalité et de se pencher sur la question.
Vous laissez ainsi une trace de vous sur terre à tout jamais. Votre message n’aura aucun prix aux yeux de vos proches dans cinq, dix ou vingt ans…
Le remède pour être immortel
Il existe depuis très peu un concept qui permet de transmettre un véritable patrimoine sentimental à ses descendants de génération en génération.
Il permet d’insérer les photos les plus importantes, de retracer l’histoire de sa vie et de créer un message de précaution. Il suffit de désigner un bénéficiaire qui sera en charge de transmettre ce patrimoine.
La seule solution pour être immortel et laisser une trace de son passage sur terre s’intitule Monflashback.com.
Simple, sécurisé et confidentiel !
Avant de penser à léguer votre patrimoine immobilier ou financier, pensez à transmettre votre patrimoine sentimental.
Organisée par le Café Pixel en partenariat avec Acme Archives Ltd., le Poster Posse et avec le soutien de la ville de Marseille, cette exposition gratuite ravira les fans de l’univers créé par Georges Lucas. En cette période de fêtes de fin d’année, la quarantaine d’illustrations originales disponibles à la vente satisferont les fans en quête du cadeau de Noël idéal.
À l’initiative du Café Pixel, l’agence FITCH, qui assure la direction de création de l’exposition, a développé avec trois étudiants d’Epitech Marseille (l’école de l’innovation et de l’expertise informatique) une application de réalité virtuelle.
Cette application interactive et inédite immerge les visiteurs dans une ambiance sensorielle hors du commun.
Dans l’immensité interstellaire, les mouvements de tête et le regard déclenchent un voyage en hyperespace où les planètes s’alignent pour recréer des images à partir de particules d’étoiles ! Pour vivre cette expérience, uniquement accessible lors de l’exposition, il suffit d’un smartphone et de lunettes Cardboard créées par Google (l’ensemble est disponible sur place).
Choisis pour leurs compétences techniques et leur capacité à s’adapter aux dernières évolutions technologiques, Tim Burdairon, Marvin Mottet et Fabien Borel en 3e année à Epitech ont participé au développement de l’application en bénéficiant de l’expertise et des compétences de développeurs seniors de l’équipe FITCH.
Passionnés par l’univers de science-fiction, ces étudiants ont été séduits par l’idée de développer une technologie immersive disponible depuis moins d’un an : la technologie VR*.
Depuis son lancement, l’application a déjà rencontré un vif succès auprès du public.
Rendez-vous donc à l’Espace Villeneuve Bargemon jusqu’au 17 janvier 2016 !
[callout]Le chamane qui convoque les esprits à travers une statuette prenant les traits des dieux, l’enfant qui voue une passion à son doudou, tous ceux qui conversent avec l’animal de compagnie, ami commun du quotidien… partout, les frontières entre l’humain et tout ce qui l’entoure semblent de plus en plus perméables, soulevant des questions plus larges de cohabitation entre l’homme, l’objet, l’animal et la machine.[/callout]
A l’heure des grands débats sur le transhumanisme et l’intelligence artificielle, le musée du quai Branly propose une exposition qui permet de comprendre les mécanismes par lesquels les cultures, des plus ancestrales au plus contemporaines, « injectent de la personne » dans les objets.
À travers un ensemble exceptionnel de 230 œuvres : statues, amulettes, marionnettes, masques, robots, automates, l’exposition fait la lumière sur ces « étranges humains ».
Analysant le processus de transformation de la matière inerte à l’objet incarné voir animé, elle explore les raisons contextuelles, les émotions provoquées (malaise, répulsion, fascination…), les relations tissées (solidarité, empathie, attachement…).
Réunissant des objets de toute nature, souvent surprenants, parfois perturbants, l’exposition PERSONA, Étrangement humain devient un véritable laboratoire d’anthropologie, invitant le visiteur à une expérience de la rencontre, autant déstabilisante qu’enrichissante.
Quand les arts premiers rencontrent la robotique
L’un des domaines où les effets de personnification sont le plus discutés et où ils constituent une pièce majeure du débat est sans nul doute la robotique. De nombreuses questions se posent en effet à ceux qui cherchent à concevoir des créatures artificielles.
Faut-il que nos artefacts nous ressemblent et jusqu’à quel point ? Sinon, de quelle manière doivent-ils différer ? Les robots sont-ils des personnes “non humaines” comme les autres ? La question vaut pour les robots, mais aussi pour toutes les créatures artificielles.
L‘exposition PERSONA, Étrangement humain du musée du quai Branly propose de reprendre autrement ce débat sur les créatures artificielles, de l’élargir grâce à ce que nous savons de l’expérience d’autres cultures qui ont, au contraire de la nôtre, laissé proliférer les quasi-personnes ; car la question : « de quoi voulons-nous nous entourer ? » ne s’est jamais posée avec autant de force qu’aujourd’hui.
« L’exposition décompose le problème des effets de perception de personne en s’interrogeant sur les paramètres qui font que l’on perçoit une personne plus qu’un objet dans tel ou tel artefact (sculpture, marionnette, robot, etc.) et que l’on peut développer avec elle une relation particulière ou personnalisée. L’objectif n’est pas seulement de donner à voir ces artefacts, mais de permettre aux visiteurs de se rendre compte par eux-mêmes de la manière dont on peut être conduit à attribuer à des objets une forme de personnalité, dès lors qu’ils possèdent certaines caractéristiques ou sont pris dans des dispositifs particuliers. », déclare Emmanuel Grimaud, Anthropologue, chargé de recherche au CNRS.
Conseiller scientifique : Anne-Christine Taylor, Directeur de recherche émérite, CNRS
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