Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Engagement de l’élève sur le terrain avec Tactiléo Map

    Engagement de l’élève sur le terrain avec Tactiléo Map

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Ludovic Delorme présente « Engagement de l’élève sur le terrain avec Tactiléo Map ».

    Problématique pédagogique : 

    Lors d’une sortie terrain, il n’est pas toujours évident de mettre en place des activités favorisant l’autonomie des élèves, et on observe parfois un glissement (conscient ou inconscient) vers une pédagogie transmissive de la part de l’enseignant. Nous avons cherché à créer une application, utilisable à l’école primaire, au collège et au lycée, qui permette de développer l’autonomie des élèves sur le terrain, tout stimulant la collaboration (ou la compétition) à travers des activités différenciées.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée :

    Tactileo Map est une application de géomatique créée pour l’accompagnement d’élèves en sortie terrain. Elle propose 2 modes de fonctionnement :

    • le mode « Exploration libre » permet aux élèves de recueillir des données géo-référencées (notes, photos, audio, schémas …)
    • le mode « Scénario » permet aux élèves de charger un scénario mis à leur disposition par leur enseignant. Le scénario contient des points d’intérêt géolocalisés et des ressources pédagogiques, que les élèves devront débloquer au cours de leur sortie terrain. Il est possible d’insérer dans le scénario différents rôles, intégrant des points d’intérêt différents, et des activités terrain différentes. Ainsi, si l’enseignant conçoit sa sortie autour d’une énigme, il peut rendre la collaboration entre les différents rôles obligatoire afin d’aboutir à la résolution de l’énigme.

    La réalisation du scenario s’effectue dans Tactileo Cloud : https://www.tactileo.org/fr-FR/beta/home/

    L’export des données éditées par les élèves au cours de la sortie, s’effectue par au format kmz, permettant la visualisation des données avec le logiciel Google Earth.

    Relation avec le thème de l’édition :

    Le thème du Ludovia#13 permet de discuter autour de l’engagement de l’élève dans ses apprentissages. Cet engagement peut être facilité si on laisse à l’élève le choix de la mise en forme des ressources qu’il produit, le choix des outils à utiliser, le choix de visualiser quand bon lui semble des ressources numériques qu’il a à disposition. Cet engagement peut être renforcé si on place l’élève dans un jeu de rôle nécessitant un travail collaboratif sur le terrain.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe : 

    Tactileo Map a été conçu par un groupe de travail composé de chercheurs, d’enseignants concepteurs spécialisés en géomatique, d’ingénieur logiciel et de game designers issus de l’Institut Français de l’Education (IFE), de Maskott et de l’IGN. L’application est expérimentée sur le terrain depuis janvier 2014, dans plusieurs classes de l’école primaire, du collège et du lycée : http://eductice.ens-lyon.fr/EducTice/recherche/tactileo/tactileo-map

    L’ExplorCamp proposé détaillera le jeu « GéoChrono Scouts » mise en place avec des classes de 5ème (collège Bernard de Ventadour – Bagnols sur Cèze – Gard) sur le thème « Aléas et enjeux face aux inondations ». Ce jeu de rôle intervient dans le cadre d’une sortie géologique de terrain, au cours de laquelle les équipes de géochimistes, biologistes, géonavigateurs, … collaborent pour trouver une terre émergée au Turonien (il y a 90 millions d’années).

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13
    http://ludovia.org/2016/ateliers-sur-explorcamps-ludovia13/

    A propos de l’auteur 

  • E-conteurs de sciences : « Réalité ou fiction : l’image se raconte »

    E-conteurs de sciences : « Réalité ou fiction : l’image se raconte »

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps et Fabcamps seront proposés. Christophe Pham-Ba présente « E-conteurs de sciences : « Réalité ou fiction : l’image se raconte »

    Problématique 

    En quoi « Dire, raconter, documenter une image avec le numérique » produit une écriture spécifique et permet à l’élève de changer de posture attentionnelle ? Ce projet interdisciplinaire a été développé dans le cadre du partenariat Cité de l’espace, Festival de littérature de jeunesse de St Orens, Délégation académique à l’Action culturelle, et les établissements du Réseau Espace. Le projet pilote « e-conteurs de sciences » proposait à des élèves de collège et lycée de faire « parler » des images scientifiques : en leur attribuant un récit (fictif ou documentaire), et en les animant, via un logiciel permettant des déplacements et des zooms sur l’image.

    Le projet permettait à l’élève d’interroger l’image scientifique, ainsi que la fiabilité de son information prise dans le jeu de la vérité et de la fiction. Deux documents sonores et visuels par groupe de trois élèves ont été produits, soit deux petites vidéos de quelques secondes à quelques minutes chacune.

    Ces vidéos ont été diffusées au festival de littérature de jeunesse de Saint Orens de Gameville puis à la Cité de l’Espace où l’illustratrice scientifique Aurélie Bordenave a été mise au défi de réaliser en direct, grâce à un système de tablette Wacom vidéo projetée, les dessins inspirés des textes des élèves pour les comparer ensuite avec les images les ayant eux-mêmes suscités. Que nous dit une image ? Que nous inspire un texte ? Tels ont été les termes du débat qui a suivi.

    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée

    C’est par le détournement d’un simple diaporama freeware (FFdiaporama) et de Audacity que le projet a vu le jour. Par l’effet KenBurns, que permet FFdiaporama, l’attention du spectateur est focalisée sur une suite de détails repérés dans l’image. Ces détails deviennent autant d’éléments d’un récit dès lors que le narrateur les fait entrer dans une cohérence inédite ou non conforme. L’effet de « zoomage », de déplacement latéral ou vertical dans une photo ou une illustration agit comme déclencheur de narration pour raconter l’image.

    Les élèves ont donc été invités à produire deux objets numériques à partir de trois images scientifiques présélectionnées. Les photos, point de départ du projet ont été sélectionnés par la Cité de l’espace dans le cadre de la thématique choisie. Les élèves choisissaient une photographie qu’ils animaient et sonorisaient via un logiciel numérique (utilisation de l’effet Ken Burns) afin d’élaborer un récit, fiction ou documentaire. Il s’agissait « d’augmenter » une image, c’est-à-dire de faire émerger une écriture numérique spécifique par ce moyen en créant ainsi un itinéraire de l’image au texte et du texte à l’image. Le numérique permettait une exploration de l’image et la valorisation de ses composantes.

    Ainsi grâce au numérique, les fragments d’image, de voix, de musique ont été mis en continuité par le chainage des différents outils à la recherche d’une forme d’expressivité. L’élève ainsi sollicité s’engageait activement, il n’était plus un contemplateur car il opérait sur les images un acte critique qui lui permettait de s’impliquer en infléchissant la réalité de l’image. Il réinterprétait pour redonner à voir autrement.

    Le regard créait ainsi la valeur de l’image qui, de fait, devient ce qu’on y voit. Les élèves ont su hiérarchisé les éléments des photos travaillées pour valoriser ce sur quoi il y a à porter attention. Ils ont opéré un reconditionnement de ce qu’il y a à voir : Le zoom et l’usage du recadrage devenaient une façon de définir un régime de valorisation de l’image : ils se sont emparés de ce dispositif de visibilité et de captation de l’attention qui orientait leur narration.

    Relation avec le thème

    Les recadrages avec lesquels les élèves ont joué sont des processus visant à faire converger les regards ainsi captés sur des éléments jusqu’alors restés non saillants. Ce dispositif d’ « accroissement de notre faculté à remarquer »(Yves Citton) met en scène l’attention elle-même. Le travail en groupe autour de la réalisation des vidéos numériques a suscité également une « attention conjointe » et fait naitre un « souci relationnel » dans la mesure où les inventions collectives réalisées et analysées par la classe et par groupe ont rendu les uns sensibles à l’attention des autres. Une attention conjointe a aussi émergé lors du débat et de la performance en directe de Aurélie Bordenave qui improvisait sur les textes des élèves. De se voir exposés, les classes et les groupes ont également gagné en qualité de relation.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe

    Ce travail sur l’image a instauré, dans les classe de secondes concernées, une culture du lien et a questionné la culture consumériste de la réception passive des informations sur le net. Il en ressort que les phénomènes de singularisation de masse (Facebook, par exemple) ont été utilisés pour produire ces petites formes digitales expressives et rendre manifeste une autre façon de faire du lien et une autre façon de susciter des phénomènes d’attention à l’autre et à soi-même.

    La resignification des images du projet par des réencodages parodiques retrouve donc bien les pratiques du quotidien. L’actualisation de ces savoirs de la pratique a permis très vite aux élèves de s’affranchir des tutoriels mis à leur disposition et de mutualiser un savoir empirique ce qui a permis l’émergence d’un apprentissage informel entre pairs bien plus développé, ceci relevant d’ailleurs autant d’une instruction mutuelle que d’une mise en œuvre d’une attention réciproque.

    Par analogie d’opération il y a eu réappropriation des images du projet par leur inclusion dans des formes et des modalités de rapport à soi propre aux pratiques numériques. Par exemple le selfy de Curiosity a suscité plusieurs poèmes en anglais autour du thème de la rencontre, même incongrue. Autrement dit les formes de l’extimité du net ont été réinvesties comme des réponses fictionnelles et comme construction d’une identité narrative des images par le texte. Et finalement s’il s’agissait de faire parler les images, ce sont les élèves qui ont parlé par la médiation des images. Le numérique a permis d’établir un rapport actif à soi-même, il a servi l’expression personnelle même si c’est souvent avec beaucoup de pudeur, en décalage, ou caché derrière un commentaire scientifique ou son imitation distanciée. D’ailleurs, de par un certain défaut d’assurance ou de par une certaine rapidité d’exécution (de 40mn à six semaines, selon les groupes), la « fragilité » des objets ainsi conçus indique bien encore que les élèves, certes « alphabétisés » voire « insérés du numérique », ne sont pas encore « des lettrés du numérique », selon l’expression de Serge Bouchardon.

    Voir la bio de Christophe Pham-Ba

    Plus d’infos sur les ateliers EXPLORCAMPs Ludovia#13
    http://ludovia.org/2016/ateliers-sur-explorcamps-ludovia13/

  • Un MOOC pour les bacheliers réalisé par leurs enseignants

    Un MOOC pour les bacheliers réalisé par leurs enseignants

    L’université d’été Ludovia aura lieu du 23 au 26 août 2016 dans l’Ariège. Lors de cet événement des ateliers Explorcamps, Fabcamps et WORKSHOP seront proposés. Adeline Bossu et Géraldine Bridon vont présenter « Un MOOC pour les bacheliers réalisé par leurs enseignants accompagnés par le projet européen ECO : le sMOOC Bac2Sciences » et
    « comment utiliser un MOOC en classe ».

    Problématiques pédagogiques :

    • Faire évoluer l’organisation de l’espace scolaire dans le cadre de révisions du baccalauréat avec le numérique permettant ainsi une ouverture ne se limitant pas à une classe/un prof.
    • Développer la collaboration par l’évaluation par les pairs.
    • Changer la place du professeur en tant que tuteur.
    • Faire évoluer les pratiques individuelles vers une pratique collaborative et interdisciplinaire entre enseignants au service des élèves.
    • Ouvrir les élèves aux autres par l’approche collaborative que propose le Mooc.

    Apport du numérique ou présentation de la technologie utilisée :

    Le projet ECO met à disposition un portail européen et des plateformes gratuitement pour ses participants qui deviennent alors auteurs de sMOOC accompagnés par les équipes du projet (en France l’équipe de l’Université Sorbonne Nouvelle).

    Une des plateformes utilisées est la plateforme de MOOC OpenMOOC qui permet une construction de scénario pédagogique de sMOOC : MOOC sociaux (co-constructions, partages, échanges, accessibilité … ).

    Relation avec le thème de l’édition :

    Projet collectif entre plusieurs professeurs de sciences d’académies différentes.

    Proposer une approche de classe inversée à des élèves de première en révision du baccalauréat sciences, tant sur le plan méthodologique que cognitif, permettant le développement de l’autonomie des apprenants avec l’échéance d’un examen.

    Synthèse et apport du retour d’usage en classe

    Ce premier sMooc sera ouvert du 09 mai 2016 au 05 juin 2016.

    Les objectifs visés sont variés :

    • Montrer l’enrichissement d’une évaluation par les pairs et d’un partage sur le forum associé au sMooc. Le travail ne se fait pas seulement pour soi mais aussi pour les autres, cela amplifie l’apprentissage.
    • Plusieurs établissements éloignés géographiquement peuvent ainsi travailler ensemble autour de thèmes communs : collaboration, coopération entre élèves dans d’une même classe ainsi qu’entre groupes de différents établissements. La classe inversée n’a ainsi plus de frontière avec l’ouverture de l’espace classe comme terrain d’apprentissage.
    • Apprendre à construire son identité numérique sur un Mooc et avec des outils collaboratifs. En effet, les élèves seront mineurs et cela sera la première fois qu’ils vont intégrer un tel univers numérique.
    • Faire entrer une pédagogie active au lycée afin de changer l’organisation des espaces temps et scolaires grâce au numérique.
    • Apprendre à collaborer avec les autres pour réaliser des tâches complexes.
    • Utiliser de manière efficace les nouveaux systèmes de représentation et de communication du savoir correspondant à un Mooc.
    • Apprendre à acquérir des compétences nécessaires pour un épanouissement dans un environnement de plus en plus digital.
    • Devenir acteur dans son apprentissage et acteur d’internet et ne pas être simple consommateur.
    • Développement de la pédagogie classe inversée à travers une notion complexe pour les élèves que sont les commentaires argumentatifs du baccalauréat.
    • Développement de l’esprit critique participatif.
    • Accompagnement des élèves. Le professeur est un tuteur pour les apprenants.

    Mettre en place un Mooc en équipe implique aussi que toutes ces compétences soient acquises par l’équipe enseignante.

    L’équipe du mooc Bac2Sciences : Enseignants de Sciences des académies de Nancy, Versailles, Strasbourg (AEFE Vienne-Autriche) et de Paris.

    Plus d’infos sur les ateliers WORKSHOP à LUDOVIA#13

    A propos des auteurs Adeline Bossu et Géraldine Bridon

     

  • Appel à projets : Améliorez la pédagogie grâce à l’évaluation numérique

    Appel à projets : Améliorez la pédagogie grâce à l’évaluation numérique

    La société française Speechi, spécialisée dans les solutions interactives, lance un appel à projets d’évaluation numérique pour les enseignants du primaire et secondaire en France, via le système de réponse et de vote en ligne « Je Lève La Main ».

    Les principes et les objectifs de l’expérimentation

    Les évaluations actuelles (de l’élaboration au dépouillement) sont coûteuses, lourdes et longues à réaliser. Cet appel à projets vise à donner des résultats en quelques semaines, quelques mois au plus tard, en utilisant des techniques d’évaluation et d’analyses. Il s’agit aussi d’aider l’Etat et les collectivités locales à guider les politiques publiques, grâce à des retours d’expérience quantitatifs et fiables.

    Et c’est d’autant plus important dans le cadre du plan numérique actuel, qui comprend notamment l’introduction des tablettes à l’école.

    Pour participer à cet appel à projets, c’est facile et gratuit.
    Remplissez simplement le formulaire à cette adresse :
    https://www.speechi.net/fr/home/ecole-numerique/appel-a-projet-evaluation/

    Partagez le lien ci-dessus
    Si ce projet vous intéresse, nous vous remercions de diffuser le lien ci-dessus par tous moyens (Facebook, site Web, Twitter) de façon à ce que nous puissions entrer en contact avec un maximum d’enseignants.

    Quelques exemples de projets possibles :

    1. Test de différentes méthodes pédagogiques. Vous êtes professeur de langues. Vous gérez 2 classes, dont l’une a accès au labo de langues et l’autre apprend à partir d’un logiciel sur tablettes. Vous comparez la progression des deux classes en fonction des deux méthodes. (Des outils statistiques puissants vous permettent de comparer les progressions, de voir quelle méthode a été la plus adaptée, de voir aussi si, au sens statistique, les résultats observés sont significatifs).
    1. Evaluation des politiques publiques.Votre académie a équipé 20% des collèges en tablettes. Vous définissez un ensemble de quiz avant / après, selon les matières, pour voir si les collèges numériques progressent plus ou moins vite que les autres. En fonction des résultats obtenus, vous décidez de poursuivre ou de stopper l’expérience
    1. Enseignement supérieur. Vous dirigez une école supérieure de commerce et les cours de finance ont lieu soit à Nantes, soit à New-York. Toujours grâce à ce système, vous observez quels cours donnent les meilleurs résultats (et l’année prochaine, vous adapterez l’enseignement en fonction de ces résultats).
    2. Prise de niveau, cartographie locale ou nationale. Le même quiz est posé par différents enseignants à différents endroits (Lille, Lyon, Marseille, Paris). Les résultats à un test donné peuvent être comparés élève par élève, classe par classe, ou cartographiés sur l’ensemble de la population.

    Des outils d’analyses évolués instantanément disponibles

    Speechi2_170616Des outils statistiques très évolués permettent de comparer le niveau des élèves, des établissements ainsi que (grâce à la première fonction “de progression” décrite ci-dessus) leur progression. La carte de niveau peut se faire matière par matière, ville par ville ou même enseignant par enseignant. Des outils puissants de visualisation (sous forme de cartes ou de graphes) sont disponibles. L’ensemble est aussi extrêmement simple à mettre en œuvre.

    Les applications du logiciel sont infinies : vous pouvez évaluer toute méthode pédagogique ou comparer deux enseignements différents.

    « Je Lève La Main » : la solution d’évaluation en ligne pour améliorer l’enseignement

    Le logiciel d’évaluation « Je Lève La Main » permet de créer des quiz, sondages et donc des évaluations en ligne très facilement. Il a été principalement conçu comme un “tube à essai” numérique : son objectif principal est de recueillir des données permettant d’améliorer la pédagogie.

    Speechi_170616

    Présentation du logiciel d’évaluation “Je Lève La Main” : système de vote en ligne (vidéo).

    Ces données sont obtenues en interrogeant les élèves via des quiz qui permettent aussi d’animer les cours. Elles peuvent être recueillies au niveau de chaque élève, de chaque classe, de chaque école, mais aussi de chaque région et de chaque pays. Par nature, ces données sont stockées dans le cloud et disponibles pour toute analyse, quelle que soit la taille de l’échantillon observé.

    L’interface du logiciel (API) permet de créer un environnement de test pédagogique afin d’effectuer des analyses puissantes.

    « Je Lève La Main » intègre des techniques statistiques complexes qui n’étaient accessibles,  jusqu’à présent, qu’aux statisticiens professionnels. En simplifiant drastiquement l’accès aux analyses, cet outil donne à chaque enseignant la possibilité d’évaluer ses propres pratiques et d’effectuer ses propres enquêtes, tout en laissant aux autres enseignants la possibilité de valider ou comparer les données obtenues dans leur propre pratique.

     

    En savoir plus sur la société Speechi : leader national des solutions interactives pour l’enseignement.

     

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  • Inversons la classe fait partie des finalistes de “La France s’engage”

    Inversons la classe fait partie des finalistes de “La France s’engage”

    L’association Inversons La Classe! qui double de taille tous les six mois, fait partie des 30 projets innovants finalistes du dispositif “La France s’engage” : votez pour que chaque élève ait les même chances de réussir 

    Dans ce cadre, les internautes sont appelés à choisir 3 projets qui bénéficieront du label de cette initiative présidentielle. Aujourd’hui, Inversons la classe! fait partie des 10 premiers projets pour lesquels les internautes votent. Pourquoi votent-ils ? car CHAQUE élève doit posséder les même chances de réussir.

    Pour cela, l’association contribue à diffuser l’information sur la classe inversée, afin que cet outil fasse partie de la mallette pédagogique de chaque enseignant. Le vote, qui aura lieu du lundi 13 au vendredi 17 juin, est crucial pour donner les moyens à l’association de continuer son développement spectaculaire et de poursuivre sa promotion de la classe inversée.

    La classe inversée, pour passer d’une logique de face à face au côte à côte

    35ème place sur 37 : c’est la place de la France dans le rapport Unicef France paru en avril dernier. Notre pays fait partie des pays pour lesquels le fossé de la performance pour les élèves les plus faibles est le plus marqué. Depuis de nombreuses années, la France a été régulièrement distinguée négativement en termes d’inégalité scolaires.

    Inversons la classe a pour vocation de lutter contre les inégalités scolaires en sensibilisant, en moblilisant et en accompagnant sur la classe inversée. Inverser la classe, c’est inverser l’ordre de priorité des activités en classe. Cette pratique permet une véritable différenciation des apprentissages, au plus près des besoins de chaque élève.

    Ce qui permet alors, dans les classes, de passer d’une logique de face à face au côte à côte pour mieux accompagner chaque élève au plus près de ses besoins.

    Cette méthode fonctionne : 81% des professeurs en classe inversée constatent un impact positif sur les élèves en difficulté.

    Une association de terrain, en plein essor

    Aujourd’hui, Inversons la classe!, porte et accélère ce mouvement de terrain, c’est une association d’enseignants au service des élèves, dans un modèle de diffusion par les pairs, parce qu’on sait que les changements profonds de l’école, ceux qui fonctionnent, ce sont ceux qui viennent du terrain. La classe inversée est une révolution de l’éducation, au sens où ce sont les acteurs, dans les classes, qui s’en emparent et la partagent – sans que cela soit imposé par l’Education nationale. Par la rapidité de ce mouvement de terrain, c’est vraiment une révolution.

    L’association double de taille tous les 6 mois. Nous sommes actuellement 200 membres bénévoles dans l’association. L’essor de la classe inversée fait que nous avons besoin aujourd’hui de nouveaux moyens pour changer d’échelle et maintenir la dynamique enclenchée. Ce changement d’échelle appelle une professionnalisation de notre structure. Dans ce cadre, le label “La France s’engage” serait un facilitateur important

    En votant pour notre projet, vous contribuez à favoriser une école qui contribue à la réussite de CHAQUE élève. Chaque voix compte !

  • Ma sélection des twittos francophones inspirants

    Ma sélection des twittos francophones inspirants

    La métaphore est un peu facile en cette veille de championnat d’Europe des Nations de football mais je tente quand même la figure de style. Un peu en avance sur notre sélectionneur, j’ai décidé moi-même de rendre hommage et de remercier cette équipe qui m’a permis de progresser.

    Sans l’équipe, on n’est personne. L’enseignement, ce n’est pas une culture de travail hors sol ou plutôt hors relation sociale.

    Enseigner c’est être avec les autres pour la seule victoire qui compte : la réussite de l’élève.

    Une liste est forcément incomplète, sinon, il aurait fallu citer l’ensemble de ma TL car chacun oeuvre dans l’essaim en harmonie et pour le bien de l’autre. Comme pour une écriture contrainte, je vais tenter de m’en tenir à 22 noms. Promis j’essaierais de ne pas tricher : pas de trucage, pas de simulation.

    Du point de vue tactique comme technique

    En football, on fait des mathématiques. C’est un véritable code restreint pour le profane : 3.5.2, 4.5.1… Comme, j’ai le droit à 22 noms et comme finalement pour les listes inspirantes il n’y a pas de règles (de toute manière, c’est ma chronique !). Je tente, donc, le 0.0.22 soit une liste pédagogique 100 % offensive engagée pour la réussite de l’élève.

    Quand on parle tactique, je ne peux m’empêcher d’évoquer le catenaccio. Cette approche, dite du verrou, est rassurante du point vue pédagogique car elle ferme toute possibilité à l’imprévu mais ne donne pas l’espace suffisant à la créativité du joueur et donc pour nous à l’élève comme à l’enseignant (Je file la métaphore mais j’oublie peut-être de constituer ma liste).

    Quand je me suis intéressé au numérique pédagogique, j’ai eu la chance de suivre deux comptes inspirants : @mdrechsler et @mlebrun2. Tous deux m’ont permis de voir tout de suite qu’au delà de l’outil numérique, c’est l’engagement pédagogique qui comptait le plus. il faut pour devenir un bon alchimiste avoir les bons grimoires : @thot , @lasphere, @FCpixel, @anaerevue, @cafepedagogique, @Classe_Inversee et bien sur : @ludomag (N’aie pas peur, je ne nous ai pas oubliés @aurelie_julien !). Alors si quelqu’un pense que je triche déjà sur mes 22 noms, il aurait raison.

    Une liste pas un classement

    Je crois qu’il est important d’en venir à l’équipe et d’en préciser la construction. Cette liste n’a aucune vocation de classement, elle n’est pas exhaustive. Je n’ai que des comptes que je trouve chouette de suivre pour le partage professionnel mais aussi pour l’humanité qu’il y transparaît. Il y a ce que l’on pourrait appeler des jeunes rookies et des pionniers du numériques.

    En tout cas, ils appartiennent tous à mon EAP : mon équipe d’apprentissage professionnel. Je suis en contact avec certains, parfois je les ai vus en réalité mais souvent je ne connais d’eux que le profil (et c’est dommage !). Chacun a une belle interprétation du “jeu” pédagogique et cela m’a permis d’avancer.

    Je me lance

    @outilstice et @Ticeman01 parce que même si on a des intentions pédagogiques, la technique cela aide aussi. Le numérique c’est un état d’esprit collaboratif, une forme d’altruisme et de générosité. Il ne faut, jamais, oublier que derrière cette masse d’information et de tutos, il y a des heures de travail. Je ne peux que saluer l’engagement et le travail accomplis au service des collègues. Pour être moins ampoulé : simplement merci !

    @nbenyounes, @batier, @frompennylane, @Nipedu, @Karabasse77, @profdesecoles, @nicoguitare, @jourde , @marie34, @lvighier et @yannhoury a force de les lire, de consulter les blogs et les partages, j’ai l’impression d’être tout petit face à un monde d’innovation immense. Des pionniers au sens noble du terme. Que ce soit pour l’usage des réseaux sociaux, de la twittclasse, du transmedia, de l’audioguide ou bien du podcast… on a en face de nous des aventuriers. Eux aussi Ils me font penser à ces explorateurs qui tracent des voies pour que l’on puisse prendre le sentier de l’école buissonnière. Avec eux et pour paraphraser les Nipédus : on parle Pédagogie, École, Numérique et surtout Élève. On se nourrit les uns les autres et j’aime beaucoup cela.

    @VPatigniez, @karen_prevost, @infoprofdoc et @Tricardstef Mon équipe EMI quand tu nous tiens, au delà de la compétence, c’est le partage qui compte et les conseils. Il facilite la plus simple et la plus dure des questions “et toi comment tu ferais ?” J’y ai découvert trois professeurs documentalistes survitaminés à la pédagogie et au numérique. Il y en avait plein d’autres et je m’excuse de ne pas les avoir cités comme @roselyneberthon (je triche là non ?) Avec eux, j’ai parlé de différenciation, d’auto-socio-construction et de politique documentaire.

    Ils m’ont montré à quel point, il était important de ne pas rester enfermer dans son silo disciplinogeographique.

    @Fabmarrou, @ProfChrismath (qui doit rire quand il calcule ma sélection de 22 comptes), @YannPoirson @MurielMeillier et @AnneCeGabarrou c’est ma team #fabnum. On vient d’horizons différents, on n’est pas toujours d’accord mais c’est comme cela que l’on progresse ensemble. Comme des passionnés de Vespa, on se penche autour du moteur pour le plaisir de poser des questions, de travailler ensemble et de résoudre des énigmes.

    @PMarques_HG @igruet. Je ne peux m’empêcher de faire un détour par ma Bretagne natale (d’abord parce que c’est le coin le plus beau du monde !). Au delà de l’instinct grégaire, j’ai envie de dire quelle curation ! Une de mes principales sources d’information et de formation personnelle.

    Il serait étrange d’annoncer une équipe francophone uniquement composée de personnes habitant la France. Ce serait injuste car la pédagogie n’a pas de frontière et l’inspiration non plus. J’ai plein de noms en tête… mais comme je triche déjà un peu sur le nombre. Je vous partage deux profils : @BrigitteProf et @anneandrist car franchement je ne peux que leur dire merci pour tout ce qu’elles nous montrent et apportent. C’est important de regarder sur l’autre berge !

    J’entends déjà mon collègue et ami @lenyrobin18 avec son sourire malicieux me dire tu ne peux pas te contenter d’être d’accord avec les autres. Il faut plus d’ambition et se confronter à la parole de l’autre. Pas d’empathie sans altérité ! C’est là que mon non moins ami et collègue @cpoupet me dirait il te faut des profils “rantanplans”. Je n’aime pas trop l’expression un tantinet dévalorisante. Il est certain que si l’on rêve encore d’un internet espace ouvert, il est indispensable de s’ouvrir aux autres si l’on veut faire progresser le savoir échanger et finalement le vivre ensemble.

    En tout cas, j’espère que comme moi, vous arriverez à trouver votre équipe !

     

  • SuperProfesseur lance son nouveau site internet dédié au partage de la connaissance

    SuperProfesseur lance son nouveau site internet dédié au partage de la connaissance

    Nouveau design, nouvelle ergonomie et nouveaux services en ligne : ça bouge pour SuperProfesseur, le site de référence pour préparer et réussir son BAC STMG !

    Le site SuperProfesseur qu’a fondé Ronald Tintin en 2011, est un site spécialisé dans le soutien scolaire, le coaching, les cours particuliers sur mesure et de la formation professionnelle en ligne gratuitement.

    Il propose des supports pédagogiques gratuits pour apprendre l’anglais, avoir les bases en marketing, management, communication, gestion, finance, ressources humaines… du coaching pour aider les candidat(e)s à préparer et réussir le BAC en STMG (Management, Marketing, Gestion et Finance, Ressources Humaines et Communication, Economie et Droit) grâce à des supports numériques très animés et pratiques.

    Le nouveau site Internet de Super Professeur est en ligne depuis le 16 avril 2016 pour aider et accompagner avec un nouveau design, une nouvelle ergonomie et de nouveaux services en ligne.

    A l’origine du site SuperProfesseur, une nuit magique à Paris sur l’avenue des Champs-Élysées

    L’idée du site SuperProfesseur.com est survenue par une merveilleuse nuit hivernale un Mardi 28 décembre 2010 en se promenant dans les rues de Paris vers 21h.

    Le professeur Ronald Tintin est à ce moment si content d’avoir pu concevoir des supports pour transmettre des connaissances à ses élèves et stagiaires en anglais (English for Information Technology), marketing… qu’il s’est dit avec le parfait bonheur et l’envie de mettre à son tour ses compétences au service du bien-être de l’humanité afin de changer le monde en le rendant meilleur grâce au savoir.

    Ronald se dit :

    Pour aider mes élèves et aussi proposer des cours au plus grand nombre grâce à la démocratisation des technologies de l’information et de la communication, je vais lancer le site www.SuperProfesseur.com qui sera dédié à la diffusion de la connaissance.

    A propos du SuperProfesseur Ronald Tintin

    Diplômé de Grande école de commerce et de gestion en 2003, Ronald Tintin est professeur / Formateur en Anglais, et aussi Professeur d’Economie & Gestion :

    • English ( General English / English for specific needs / Business English / Information Technology / Marketing)
    • Marketing
    • Sciences de Gestion (de l’Information Communication et Information Gestion)
    • Management des organisations
    • Economie & Droit
    • Français Langue Etrangère (FLE)

    Spécialiste des cours particuliers sur mesure (Face to Face) et de la formation professionnelle avec 10 ans d’expérience, Ronald Tintin est très actif également dans le domaine de la création et la gestion de l’entreprise, l’Economie Sociale et Solidaire, le Coaching.

    Pour en savoir plus

    Site internet : http://www.SuperProfesseur.com

  • 5 conseils pour motiver votre enfant à apprendre l’anglais dés aujourd’hui

    5 conseils pour motiver votre enfant à apprendre l’anglais dés aujourd’hui

    Dans un contexte d’internationalisation du monde du travail, avoir une formation solide et complète ainsi que parler des langues étrangères est devenu primordial. Aujourd’hui, pour occuper un poste de cadre au sein d’une entreprise française, plus d’un recruteur sur deux exigent que le candidat ait au minimum une maîtrise moyenne de l’anglais (niveau B2).

    De nombreuses études montrent que cette tendance devrait s’accentuer dans les années à venir. Si pour les parents parler cette langue était perçu comme un « plus », pour leurs enfants, cela sera un « must ».

    Kids&Us, académie spécialisée dans l’apprentissage de l’anglais pour les enfants de un à dix-huit ans, révèle cinq astuces malignes pour inciter les enfants à apprendre la langue de Shakespeare dès le plus jeune âge.

    PARAMÉTRER TOUS LES APPAREILS ÉLECTRONIQUES

    Aujourd’hui, les nouvelles technologies sont accessibles à un nombre grandissant de Français. Nous les utilisons tous les jours. Les enfants aussi. Alors pourquoi ne pas en profiter ?
    Afin de favoriser l’apprentissage de l’anglais des jeunes, il suffit d’un geste simple et rapide : paramétrer les appareils électroniques (Smartphones, tablettes, ordinateurs, etc.) en anglais. Ainsi, ils prendront l’habitude de lire et suivre des instructions basiques dans cette langue.

    TÉLÉCHARGER DES APPLICATIONS LUDIQUES POUR APPRENDRE L’ANGLAIS

    Il existe un grand nombre d’applications pour Smartphone spécialisées dans l’enseignement de l’anglais et adaptées aux niveaux de chacun. Voilà une occasion parfaite pour permettre aux enfants de jouer avec un téléphone tout en apprenant.
    Kids&Us vous en conseille quelques-unes comme T&T Homed In, iDod ou d’autres applications avec des personnages comme Betty the Black Sheep ou Gina Ginger Sleep Fairy, disponibles sur Google Play ou App Store.

    REGARDER DES VIDÉOS ADAPTÉES EN V.O

    Youtube est également un outil utile pour introduire l’anglais dans la vie de tous les jours des enfants. En effet, l’avantage principal de ce site est le vaste choix de vidéos, ce qui permet à chacun de regarder ce qui lui plaît, à tout moment de la journée, depuis n’importe quel dispositif mobile, et le tout en version originale.

    Consommer des contenus audiovisuels intéressants, courts et adaptés est un élément clé dans l’apprentissage naturel d’une langue étrangère.
    Kids&Us propose sa chaîne Youtube avec les épisodes de Betty Sheep, idéal pour les enfants entre 2 et 4 ans, et Telekids pour les 4 à 10 ans, pour que les enfants puissent profiter de contenus en anglais sur Youtube tout en s’amusant.

    PARTICIPER À DES STAGES D’ÉTÉ EN ANGLAIS

    Pour familiariser les enfants avec l’anglais, il est important d’associer l’apprentissage de cette langue à différentes activités et ludiques. Apprendre en s’amusant, rien de plus efficace ! L’adaptation en anglais des activités extrascolaires est une bonne solution pour motiver les enfants.
    De cette manière, ils retiendront plus vite les informations et utiliseront des expressions anglophones sans même s’en rendre compte.

    Dans ce sens, Kids&Us propose des stages d’été d’une semaine appelés « Fun Weeks ». Au programme : théâtre, chansons, travaux manuels et autres activités ludiques, tout en anglais.

    LIRE EN ANGLAIS

    La lecture est une activité primordiale pendant l’éducation. Elle permet de développer le sens de l’imagination et facilite l’acquisition du langage. Lire des livres en anglais est donc un moyen simple et efficace pour que l’enfant assimile la grammaire et engrange du vocabulaire anglais.

    Kids&Us met à votre disposition sa collection « Read me a Story », une sélection d’histoires adaptées aux enfants non anglophones, mais sans tomber dans le piège de la simplification excessive du langage. Cette collection « Read me a Story » est disponible dans les centres Kids&Us.

    Enfin, Kids&Us propose aux enfants une méthode très amusante pour qu’ils puissent apprendre à prononcer correctement : le Talking pen. Il s’agit d’un stylo digital avec lequel les enfants apprennent la prononciation anglaise de manière agréable et divertissante.
    Il suffit de placer le Talking Pen sur les étoiles qui apparaissent dans les histoires pendant les cours Kids&Us alors le stylo lit le texte et les personnages prennent vie.

    À propos de Kids&Us et la méthode Natural English
     
    Kids&Us utilise une méthode d’apprentissage basée sur le processus naturel d’acquisition de la langue maternelle, un processus infaillible qui se déroule dans un ordre particulier, naturel et spontané.
     
    Les bébés viennent au monde dotés d’un cerveau où la plupart des circuits neuronaux sont totipotents, y compris ceux de la langue. Pour connecter et activer ce réseau puissant, il faut l’entourer de stimuli importants qui maximisent leurs capacités innées à apprendre. Kids&Us veut exploiter et optimiser l’ensemble de ces mécanismes s’activant dans les premières années de la vie pour qu’ils contribuent dans l’apprentissage d’une deuxième ou troisième langue.
     
    Pour Kids&Us, l’anglais devrait faire partie de la vie quotidienne de l’enfant. Pour cette raison, cette académie de langues favorise l’apprentissage au-delà de la salle de classe, à travers de contes, jeux en famille, applications mobiles en anglais, ateliers de cuisine, etc.
     

  • Museomix, le premier « marathon culturel » repart en campagne pour la 6ème année

    Museomix, le premier « marathon culturel » repart en campagne pour la 6ème année

    Nod-A, co-fondateur de Museomix et à l’origine du Makestorming, s’engage pour un musée plus ouvert, connecté et participatif. Museomix aura lieu du 11 au
    13 novembre 2016, dans dix musées à travers le monde. Pour que le savoir-faire français en termes d’innovation sociale et de « faire ensemble » s’exporte.

    Créé en 2011 et réalisé notamment grâce aux techniques de makestorming conçues par Nod-A, une société française créée en 2009 par Stéphanie Bacquère et Marie-Noéline Viguié, l’événement international Museomix, propose aux musées de s’ouvrir à une communauté de passionnés de culture, de technologies et d’innovation. Tous partagent l’envie de musées ouverts, connectés et participatifs et oeuvrent pour les faire évoluer dans ce sens.

    Museomix : une communauté, des musées et 3 jours de « marathon créatif »

    Museomix est un mouvement, une idée en marche, qui a pour objectif d’engager le changement dans les musées. Museomix adopte une “orientation-visiteur” et se focalise sur son expérience, son vécu. Un moyen de mieux prendre en compte ses motivations de visite au musée. Quand on sait qu’aujourd’hui les millenials, très consommateurs de réseaux sociaux, préfèrent découvrir l’art par ce biais (étude Invaluable), cet exercice prend tout son sens.

    Le principe de Museomix : des passionnés de tous horizons (médiateurs, bricoleurs, designers, développeurs, graphistes, communicants, artistes, écrivains, scientifiques…) se réunissent pendant trois jours pour faire émerger de nouvelles idées et de nouveaux projets et proposer à tous d’être acteurs de notre culture commune.

    Ces personnes travaillent ensemble dès la conception des projets pour apporter plus de créativité par le croisement de leurs façons de faire et de voir. Cette diversité de talents est une des spécificités de la communauté Museomix, qui en fait toute la richesse et l’originalité.

    Répartis par équipe, les participants partageront leurs idées, travailleront sur leurs projets et proposeront des scénarios réels de parcours, des mises en situation de visites, les plus proches de la réalité possible. Chacun sera installer et tester par les visiteurs le troisième jour.

    Au terme de ces trois jours, la pérennisation des projets est encouragée et accompagnée tant que possible. Ce sont généralement les équipes elles-mêmes qui travaillent avec le musée, ou de façon indépendante, pour faire évoluer leurs prototypes vers une solution stabilisée.

    Pour aider la communauté à travailler et à développer ses projets, Nod-A, co-fondateur de Museomix, créé des temps collaboratifs pour co-concevoir, développer et implémenter l’innovation.

    En 2015, ce sont près de 1 000 participants qui ont participé à Museomix dans 10 musées et 5 pays différents.

    A propos de nod-A

    Fondée en 2009 par Stéphanie Bacquere et Marie-Noéline Viguié, nod-A a pour mission de transmettre les nouvelles cultures de la collaboration et du travail issues du monde numérique aux grandes organisations publiques et privées. nod-A a développé le Makestorming, une approche qui place le « faire » et la co-création au cœur des projets ; et pratique le « corporate hacking ». nod-A développe une vision du travail concrète, pragmatique et ambitieuse, diffusée avec plus de 200 sprints à travers le monde, et propose des outils de travail innovants pour prototyper et promouvoir des projets concrets.

    Plus d’informations sur http://makestorming.com/